SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
banjo a écrit:sara cassillas est a croquer![]()
certes mais ton portefeuille n'est pas assez garni

aladin- Messages : 115038
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Torres: « Comme une finale »
il pourrait se reveiller


L’attaquant espagnol, Fernando Torres, s’attend à un match d’une intensité rare face à l’Allemagne, lors de leur demi-finale du Mondial mercredi.
Les champions d’Europe 2008 s’attaquent à la Mannschaft, qui a marqué un total de 13 buts en cinq matches depuis le début de la Coupe du Monde.
« Je suis très fier de notre parcours, c’est la première fois que nous atteignons une demi-finale de Coupe du Monde, nous créons l’histoire, » a déclaré Torres.
« Maintenant nous avons un match énorme à réaliser contre l’Allemagne, ce sera comme une finale. »
aladin- Messages : 115038
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
COUPE DU MONDE 2010
L’Espagne va-t-elle
se priver de Torres
Il aurait pu être le porte-drapeau
du onze espagnol en Afrique
du Sud. Mais en fait, Fernando
Torres n’a été que l’ombre
de lui-même, ratant beaucoup
de contrôles, de passes et
de frappes. Ses prestations fantomatiques
étant totalement
éclipsées par le talent de David
Villa.
Dès lors, la question peut légitimement
être posée: Vicente
Del Bosque doit-il maintenir
le numéro 9 à la pointe de l’attaque
demain contre l’Allemagne?
Sortir Torres du onze de départ
pourrait, en prime, permettre
de titulariser Fabregas
pour renforcer l’entrejeu. Cela
permettrait aussi à Villa de se
recentrer, alors qu’il évolue davantage
à gauche quand Torres
joue en pointe.
Mais Del Bosque a répété dimanche
qu’il maintenait toute
sa confiance à l’attaquant, espérant
qu’il retrouve de la
confiance en accumulant du
temps de jeu. Torres s’est en effet
fait opérer du genou en
avril et n’a repris l’entraînement
que quinze jours avant le
début du Mondial.
Del Bosque espère aussi
sans doute un déclic du
joueur, qui reste sur trois saisons
brillantes avec Liverpool.
Le sélectionneur espagnol n’a
sans doute pas oublié non plus
que s’il n’a marqué que deux
buts lors de l’Euro 2008: le second
fut capital, en finale,
contre l’Allemagne...

Éclipsé par le talent de Villa,
Torres n’est que l’ombre de
lui-même
Un avenir incertain
chez les Reds
"Il est probable que Fernando
Torres reste en Premier League
mais je ne peux pas dire que ce
sera à Liverpool", a indiqué hier
l’agent de l’attaquant espagnol,
Jose Antonio Martin, au Daily
Mail. Âgé de 26 ans, Torres était
pressenti récemment à Chelsea,
Manchester City et Barcelone.
"Le club catalan a recruté David
Villa, ce n’est plus à l’ordre du
jour", note-t-il. Roy Hodgson, le
nouveau manager des Reds, a affirmé
que le club n’aurait pas à
vendre Torres pour éponger une
partie de sa dette (483 M¤).
L’Espagne va-t-elle
se priver de Torres
Il aurait pu être le porte-drapeau
du onze espagnol en Afrique
du Sud. Mais en fait, Fernando
Torres n’a été que l’ombre
de lui-même, ratant beaucoup
de contrôles, de passes et
de frappes. Ses prestations fantomatiques
étant totalement
éclipsées par le talent de David
Villa.
Dès lors, la question peut légitimement
être posée: Vicente
Del Bosque doit-il maintenir
le numéro 9 à la pointe de l’attaque
demain contre l’Allemagne?
Sortir Torres du onze de départ
pourrait, en prime, permettre
de titulariser Fabregas
pour renforcer l’entrejeu. Cela
permettrait aussi à Villa de se
recentrer, alors qu’il évolue davantage
à gauche quand Torres
joue en pointe.
Mais Del Bosque a répété dimanche
qu’il maintenait toute
sa confiance à l’attaquant, espérant
qu’il retrouve de la
confiance en accumulant du
temps de jeu. Torres s’est en effet
fait opérer du genou en
avril et n’a repris l’entraînement
que quinze jours avant le
début du Mondial.
Del Bosque espère aussi
sans doute un déclic du
joueur, qui reste sur trois saisons
brillantes avec Liverpool.
Le sélectionneur espagnol n’a
sans doute pas oublié non plus
que s’il n’a marqué que deux
buts lors de l’Euro 2008: le second
fut capital, en finale,
contre l’Allemagne...

Éclipsé par le talent de Villa,
Torres n’est que l’ombre de
lui-même
Un avenir incertain
chez les Reds
"Il est probable que Fernando
Torres reste en Premier League
mais je ne peux pas dire que ce
sera à Liverpool", a indiqué hier
l’agent de l’attaquant espagnol,
Jose Antonio Martin, au Daily
Mail. Âgé de 26 ans, Torres était
pressenti récemment à Chelsea,
Manchester City et Barcelone.
"Le club catalan a recruté David
Villa, ce n’est plus à l’ordre du
jour", note-t-il. Roy Hodgson, le
nouveau manager des Reds, a affirmé
que le club n’aurait pas à
vendre Torres pour éponger une
partie de sa dette (483 M¤).
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
◗ ALBIOL TOUJOURS
AUX SOINS
Victime d’une élongation musculaire
et souffrant de sa cheville
droite, le défenseur du
Real Madrid ne s’est pas entraîné,
hier matin à Potchefstroom.
Raul Albiol reste donc très incertain
pour affronter l’Allemagne
demain à Durban pour une
place en finale.
AUX SOINS
Victime d’une élongation musculaire
et souffrant de sa cheville
droite, le défenseur du
Real Madrid ne s’est pas entraîné,
hier matin à Potchefstroom.
Raul Albiol reste donc très incertain
pour affronter l’Allemagne
demain à Durban pour une
place en finale.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Cesc Fabregas sûrement apte contre l'Allemagne
mardi 06 juillet 2010 à 22H35
DURBAN Le milieu de terrain espagnol Cesc Fabregas sera probablement opérationnel contre l'Allemagne mercredi en demi-finale de la Coupe du monde après avoir récupéré d'un coup reçu à la jambe droite lundi à l'entraînement, a déclaré le sélectionneur Vicente del Bosque.
Fabregas a passé une radio qui n'a montré aucune fracture du tibia. "Nous étions inquiets hier (...) Je pense qu'il sera capable de jouer, ça dépend de nouveaux tests", a dit Del Bosque.
Le joueur d'Arsenal, qui n'a pas débuté un match au cours du Mondial mais était entré en jeu en quart de finale contre le Paraguay, souffrait déjà d'une douleur à l'épaule. Il s'était dit lundi prêt à jouer sous infiltration.
mardi 06 juillet 2010 à 22H35
DURBAN Le milieu de terrain espagnol Cesc Fabregas sera probablement opérationnel contre l'Allemagne mercredi en demi-finale de la Coupe du monde après avoir récupéré d'un coup reçu à la jambe droite lundi à l'entraînement, a déclaré le sélectionneur Vicente del Bosque.
Fabregas a passé une radio qui n'a montré aucune fracture du tibia. "Nous étions inquiets hier (...) Je pense qu'il sera capable de jouer, ça dépend de nouveaux tests", a dit Del Bosque.
Le joueur d'Arsenal, qui n'a pas débuté un match au cours du Mondial mais était entré en jeu en quart de finale contre le Paraguay, souffrait déjà d'une douleur à l'épaule. Il s'était dit lundi prêt à jouer sous infiltration.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Compositions officielles
Allemagne :
Neuer - Lahm (Cap.), Friedrich, Mertesaker, Friedrich, Khedira, Schweinsteiger, Trochowski, Özil, Podolski, Klose.
Espagne :
Casillas (Cap.) - Ramos, Piqué, Puyol, Capdevilla, Busquets, Alonso, A.Iniesta, Xavi, Pedro, David Villa.
Muller ( All ) suspendu et Torres (Esp) absent
Allemagne :
Neuer - Lahm (Cap.), Friedrich, Mertesaker, Friedrich, Khedira, Schweinsteiger, Trochowski, Özil, Podolski, Klose.
Espagne :
Casillas (Cap.) - Ramos, Piqué, Puyol, Capdevilla, Busquets, Alonso, A.Iniesta, Xavi, Pedro, David Villa.
Muller ( All ) suspendu et Torres (Esp) absent
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
A.Iniesta, Xavi, Pedro, David Villa. c'est l'attaque du BARCA



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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
IL N Y A PAS EU DE MATCH
LES ALLEMANDS ONT ETE ETOUFFE... 1 A 0
L'Espagne comme prévu
L'Espagne, championne d'Europe, accède logiquement à sa première finale de Coupe du monde en dominant l'Allemagne (1-0, but de Puyol).
L'Espagne peut laisser éclater sa joie.
«Pourquoi l'Allemagne a-t-elle été aussi attentiste ? (de budlight)
L'équipe de Joachim Löw avait décidé de ne surtout prendre aucun risque. Elle a assumé le fait de laisser l'Espagne dérouler son jeu, jusqu'à une certaine limite, fixée à 20 mètres de son but. Löw a sans aucun doute retenu le quart des Espagnols contre le Paraguay (1-0). Les Sud-Américains avaient défendu comme des morts de faim à dix derrière et joué le coup à fond lors de leurs rares contre-attaques. Et cela a failli marcher. La rapidité des contres allemands est une arme terrible et ils ont clairement misé dessus. Une tactique à double tranchant. Et ce qui devait arriver arriva : le but de Puyol, à la 72e, a mis fin au suspense. Trop peu emballante, l'Allemagne n'a pas su faire lors des 18 minutes restantes ce qu'elle n'a pas osé mettre en oeuvre en 72 minutes. Elle a récolté ce qu'elle a semé. L'ambition dans le jeu des Espagnols a été justement récompensée. Un succès pas du tout volé.
Qui a remporté le duel du milieu de terrain entre Schweinsteiger et la bande à Xavi ? (de panthaduprince)
Comme lors de la finale de l'Euro 2008, le milieu de terrain espagnol a étouffé celui de l'Allemagne. Les Allemands, qui n'étaient pas maîtres du ballon, ont été mis sous pression et ont fini par craquer. Comme le Chili, le Portugal ou plus récemment le Paraguay. Busquets, Xavi, Iniesta et Xabi Alonso ont comme d'habitude joué à la passe à dix tout en ayant un mal fou à trouver Pedro ou Villa dans la profondeur. Sauf qu'à force de chercher la lumière, on finit toujours par trouver l'interrupteur. Puyol a été l'éclaireur. Dans l'autre camp, Schweinsteiger, Khedira et surtout Özil ont paru méconnaissables. Ils ont été beaucoup moins tranchants que d'habitude, avec une incapacité réelle à sortir proprement les ballons interceptés. Cette fébrilité inhabituelle dans la transmission du ballon s'est avérée fatale.
Y avait-il penalty à la 45e minute ? (de thisisbild)
Cette action a fait débat une poignée de secondes avant la pause. Bien lancé dans la profondeur par Klose, Özil s'est effondré quand il a pénétré dans la surface. Sergio Ramos l'a légèrement déséquilibré en lui touchant le pied gauche mais cette «marque d'affection» s'est déroulée quelques centimètres en dehors de la surface. Le milieu allemand a été déséquilibré avant de tomber cette fois à l'intérieur du rectangle. Bilan : il y avait faute (coup franc à la limite de la surface) mais pas penalty.
Qui a remplacé Müller et ce joueur a-t-il été à la hauteur ? (de oliverte15)
Assis en tribune au côté d'Oliver Bierhoff, Thomas Müller avait le malheur d'être suspendu pour cette rencontre. La révélation de ce Mondial, celui qui possède le meilleur ratio tirs/buts avec un taux de réussite de 57%, a été suppléé par Piotr Trochowski préféré, lui, à Cacau et Kroos. Le milieu offensif de Hambourg a connu un début de match très discret. A son actif lors des 45e premières minutes, un bon débordement après vingt minutes puis une frappe puissante que Casillas a magnifiquement détournée (32e). La meilleure occasion allemande de la première période. Invisible au retour des vestiaires, il est sorti à l'heure de jeu, remplacé par Kroos. Müller a donc beaucoup manqué.
Del Bosque a parié sur Pedro plutôt que Torres. Un bon choix ? (de chrisbérard)
La patience de Del Bosque a ses limites et Fernando Torres n'a pas survécu à quatre titularisations insipides. Le jeune Pedro a ainsi fêté sa 7e sélection contre l'Allemagne. Le petit prodige du Barça a débuté côté gauche avant de venir semer le trouble à droite, où il a fini par s'installer. Il a tout de suite été dans le bain et il a tenté d'apporter de la vitesse, de la percussion et parfois même de la profondeur. Mais il ne fut pas toujours en réussite, deux joueurs étaient constamment sur lui. Il a néanmoins pris confiance au fil des minutes avec notamment un tir dangereux bien capté par Neuer (45e). Il est revenu des vestiaires avec de belles intentions. Il s'est même parfois baladé au sein de la rugueuse défense allemande. Boateng a vite eu le tournis et Löw a mis fin à son calvaire en le remplaçant par Jansen. « Pedrito » a réussi l'exploit d'éliminer cinq joueurs sur son côté droit avant de servir Xabi Alonso, qui a frappé à côté (48e). Puis il a enchaîné deux frappes sur la même action (58e), une première fois repoussée par Neuer puis une seconde de peu à côté. Par excès d'individualisme, il a mangé la feuille à cinq minutes de la fin. Torres, qui a joué les dix dernières minutes, a du souci à se faire pour la finale.
LES ALLEMANDS ONT ETE ETOUFFE... 1 A 0
L'Espagne comme prévu
L'Espagne, championne d'Europe, accède logiquement à sa première finale de Coupe du monde en dominant l'Allemagne (1-0, but de Puyol).
L'Espagne peut laisser éclater sa joie.
«Pourquoi l'Allemagne a-t-elle été aussi attentiste ? (de budlight)
L'équipe de Joachim Löw avait décidé de ne surtout prendre aucun risque. Elle a assumé le fait de laisser l'Espagne dérouler son jeu, jusqu'à une certaine limite, fixée à 20 mètres de son but. Löw a sans aucun doute retenu le quart des Espagnols contre le Paraguay (1-0). Les Sud-Américains avaient défendu comme des morts de faim à dix derrière et joué le coup à fond lors de leurs rares contre-attaques. Et cela a failli marcher. La rapidité des contres allemands est une arme terrible et ils ont clairement misé dessus. Une tactique à double tranchant. Et ce qui devait arriver arriva : le but de Puyol, à la 72e, a mis fin au suspense. Trop peu emballante, l'Allemagne n'a pas su faire lors des 18 minutes restantes ce qu'elle n'a pas osé mettre en oeuvre en 72 minutes. Elle a récolté ce qu'elle a semé. L'ambition dans le jeu des Espagnols a été justement récompensée. Un succès pas du tout volé.
Qui a remporté le duel du milieu de terrain entre Schweinsteiger et la bande à Xavi ? (de panthaduprince)
Comme lors de la finale de l'Euro 2008, le milieu de terrain espagnol a étouffé celui de l'Allemagne. Les Allemands, qui n'étaient pas maîtres du ballon, ont été mis sous pression et ont fini par craquer. Comme le Chili, le Portugal ou plus récemment le Paraguay. Busquets, Xavi, Iniesta et Xabi Alonso ont comme d'habitude joué à la passe à dix tout en ayant un mal fou à trouver Pedro ou Villa dans la profondeur. Sauf qu'à force de chercher la lumière, on finit toujours par trouver l'interrupteur. Puyol a été l'éclaireur. Dans l'autre camp, Schweinsteiger, Khedira et surtout Özil ont paru méconnaissables. Ils ont été beaucoup moins tranchants que d'habitude, avec une incapacité réelle à sortir proprement les ballons interceptés. Cette fébrilité inhabituelle dans la transmission du ballon s'est avérée fatale.
Y avait-il penalty à la 45e minute ? (de thisisbild)
Cette action a fait débat une poignée de secondes avant la pause. Bien lancé dans la profondeur par Klose, Özil s'est effondré quand il a pénétré dans la surface. Sergio Ramos l'a légèrement déséquilibré en lui touchant le pied gauche mais cette «marque d'affection» s'est déroulée quelques centimètres en dehors de la surface. Le milieu allemand a été déséquilibré avant de tomber cette fois à l'intérieur du rectangle. Bilan : il y avait faute (coup franc à la limite de la surface) mais pas penalty.
Qui a remplacé Müller et ce joueur a-t-il été à la hauteur ? (de oliverte15)
Assis en tribune au côté d'Oliver Bierhoff, Thomas Müller avait le malheur d'être suspendu pour cette rencontre. La révélation de ce Mondial, celui qui possède le meilleur ratio tirs/buts avec un taux de réussite de 57%, a été suppléé par Piotr Trochowski préféré, lui, à Cacau et Kroos. Le milieu offensif de Hambourg a connu un début de match très discret. A son actif lors des 45e premières minutes, un bon débordement après vingt minutes puis une frappe puissante que Casillas a magnifiquement détournée (32e). La meilleure occasion allemande de la première période. Invisible au retour des vestiaires, il est sorti à l'heure de jeu, remplacé par Kroos. Müller a donc beaucoup manqué.
Del Bosque a parié sur Pedro plutôt que Torres. Un bon choix ? (de chrisbérard)
La patience de Del Bosque a ses limites et Fernando Torres n'a pas survécu à quatre titularisations insipides. Le jeune Pedro a ainsi fêté sa 7e sélection contre l'Allemagne. Le petit prodige du Barça a débuté côté gauche avant de venir semer le trouble à droite, où il a fini par s'installer. Il a tout de suite été dans le bain et il a tenté d'apporter de la vitesse, de la percussion et parfois même de la profondeur. Mais il ne fut pas toujours en réussite, deux joueurs étaient constamment sur lui. Il a néanmoins pris confiance au fil des minutes avec notamment un tir dangereux bien capté par Neuer (45e). Il est revenu des vestiaires avec de belles intentions. Il s'est même parfois baladé au sein de la rugueuse défense allemande. Boateng a vite eu le tournis et Löw a mis fin à son calvaire en le remplaçant par Jansen. « Pedrito » a réussi l'exploit d'éliminer cinq joueurs sur son côté droit avant de servir Xabi Alonso, qui a frappé à côté (48e). Puis il a enchaîné deux frappes sur la même action (58e), une première fois repoussée par Neuer puis une seconde de peu à côté. Par excès d'individualisme, il a mangé la feuille à cinq minutes de la fin. Torres, qui a joué les dix dernières minutes, a du souci à se faire pour la finale.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON

Puyol : «Avec envie et respect»
Auteur du but décisif contre l'Allemagne (1-0), le défenseur espagnol Carles Puyol espère «un but plus important» en finale face aux Pays-Bas.
Toute la rage de Carles Puyol pour inscrire le seul et unique but de la rencontre face à l'Allemagne.
Auteur du but décisif contre l'Allemagne (1-0), Carles Puyol, le défenseur central de l'Espagne, espère «un but plus important» en finale, dimanche contre les Pays-Bas.
«Carles Puyol, quelle sensation vous a procuré votre but ?
J'ai marqué très peu de buts et c'est un but très important, mais je suis très content et très heureux que l'équipe arrive en finale, elle le mérite. Avec Xavi on en avait parlé, qu'il mette des balles au point de penalty. On a essayé en première période, ça n'a pas marché. En seconde période on a insisté et Xavi me l'a très bien mise. Ce sont des moments à vivre, encore plus pour un joueur comme moi qui n'est pas habitué à marquer. Tout va très vite, on était conscient que le match continuait et que si on maintenait notre cage inviolée, on arriverait en finale. Nous avons conscience que c'est important pour le foot espagnol. J'espère que dimanche il y aura un but plus important que celui-là !
Vous attendez-vous à une finale ouverte, où vous êtes favoris ?
J'espère que ce sera un grand match et évidemment que l'Espagne gagnera à la fin. Ce sont deux sélections qui veulent jouer au foot, avec des joueurs de grand talent. Une finale, c'est toujours du 50%. Au début du Mondial, on nous donnait favori, on a perdu le premier match et ç'a été vécu comme un désastre. On a commencé avec ce mauvais résultat même si on n'avait pas mal joué. Après, on a passé des épreuves et chaque fois engrangé de la confiance, et on a fini par faire notre meilleur match (mercredi). On aborde cette finale avec beaucoup d'envie et de respect. L'Espagne et les Pays-Bas essaient de produire un jeu attractif avec des joueurs de qualité, les deux méritent d'être là.
Sneijder est-il le meilleur ou Xavi mérite-t-il davantage le Ballon d'Or ?
Sneijder est un des meilleurs, oui, mais décider quel est le meilleur, c'est difficile. C'est un joueur important, tout le jeu offensif passe par lui, il marque des buts et donne des passes décisives, il faudra le surveiller. Le Ballon d'Or, c'est un prix récompensant une année, et Sneijder et Xavi ont été bons toute l'année, ils le méritent tous les deux. Mais il reste Leo Messi qui, pour moi, est le favori.»
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON

Pedro le talisman
Pedro a rendu fous les défenseurs de l'Allemagne lors de la demi-finale (1-0).
Décisif cette saison avec Barcelone, l'attaquant Pedro (23 ans) devrait fêter sa huitième sélection lors de la finale mondiale de dimanche contre les Pays-Bas. Seulement deux ans et demi après ses débuts en pros...
Lors de la demi-finale de la Coupe du monde contre l'Allemagne (1-0), c'est Xavi qui a été élu homme du match. Si Pedro n'avait pas raté son duel de la 82e avec Neuer, où s'il avait fait la passe décisive à un Torres seul devant le but vide, c'est lui qui aurait remporté ce titre honorifique. «J'ai encore de l'amertume par rapport à cette action», explique le jeune attaquant espagnol sur le site de la FIFA. Il a tout de même largement rempli son contrat face à la Mannschaft pour un joueur de 23 ans qui n'a que sept sélections (un but) au compteur : une percussion de tous les instants, des dribbles éreintants pour la défense adverse, une gestion des temps forts et faibles impressionnante, des orientations de jeu parfaitement exécutées... En choisissant de se passer d'un Torres à côté de ses crampons depuis le début du Mondial pour intégrer un Pedro affolant dans son onze de départ, Vicente del Bosque ne s'est pas trompé.
«J'ai été surpris par ma titularisation. Mais après, je me suis mis dans mon match. Je suis content de la qualification pour la finale. Je ne sais pas si je serai encore titulaire pour la finale, c'est au coach de décider...» Et c'est là toute la question. Comment le technicien de la Seleccion pourrait désormais renvoyer l'attaquant droitier du FC Barcelone sur le banc pour la finale mondiale de dimanche soir contre les Pays-Bas ? Né à Tenerife, celui qui a poussé Thierry Henry sur la touche cette saison au Barça transforme en or tout ce qu'il touche. Et dire qu'il a joué son premier match avec les pros il y a seulement deux ans et demi ! C'était le 12 janvier 2008, contre Murcie (4-0). quot;Pedritoquot;, comme on l'appelait alors, était entré à trois minutes du terme à la place de Samuel Eto'o.
Depuis, sa trajectoire est étonnante. En 2008-2009, il joue quatorze matches avec les Catalans. Au mois de mai, il participe à la finale de la C1 remportée par le Barça contre Manchester (2-0). Cette saison, il est déjà devenu indiscutable dans l'équipe de Guardiola (53 matches, 23 buts). Pedro est toujours présent dans les matches décisifs. Celui qui se trouve sous contrat jusqu'en juin 2015 avec Barcelone a marqué lors de l'aller de la Supercoupe d'Espagne contre Bilbao (2-1), lors de la prolongation de la Supercoupe d'Europe contre Donetsk (1-0), lors de la finale de la Coupe du monde des clubs face à Estudiantes (2-1)... Il est entré dans l'histoire en devenant le premier joueur à marquer dans six compétitions différentes en 2009 (toutes celles jouées par le Barça), devenant quot;Don Pedroquot;.
Del Bosque a fini par convoquer cet attaquant polyvalent à la frappe lourde pour le Mondial, laissant Güiza, Negredo ou Cazorla à la maison. «J'aimerai beaucoup marquer et jouer des matches lors de cette Coupe du monde. Je suis tranquille, je sais que je dois continuer à travailler et ensuite, c'est l'entraîneur qui décidera», déclarait-il avant le Mondial à l'agence de presse espagnole EFE. Son entrée tonitruante face au Paraguay en quarts (1-0) lui a permis d'être titularisé contre l'Allemagne (1-0) avec le résultat que l'on sait. «Sortir le Portugal ou la Mannschaft nous a amené beaucoup de confiance. Moi ? Je suis serein...», a-t-il expliqué à la FIFA peu après s'être fait voler 800 euros à l'hôtel de la Roja. Les portes de la finale de la Coupe du monde sont grandes ouvertes pour le talisman espagnol Pedro
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
MANGEZ DU PIMENT
C BON POUR LA TETE
Mondial 2010 - "On refait le but !" : Puyol (Espagne)
http://www.laprovence.com/video/Mondial%2B2010%2B-%2B%2522On%2Brefait%2Ble%2Bbut%2B%2521%2522%2B%253A%2BPuyol%2B%2528Espagne%2529/iLyROoaf860x/laprovence/info
a décidé de refaire à domicile les plus beaux de la compétition. Subbuteo, baby-foot, mime, tournoi de sixte sur le parking, Playmobil, tous les moyens seront bons !
Aujourd'hui, replay du but de l'Espagne en demi-finale signé Puyol, grâce à... Super Pimientos !
C BON POUR LA TETE
Mondial 2010 - "On refait le but !" : Puyol (Espagne)
http://www.laprovence.com/video/Mondial%2B2010%2B-%2B%2522On%2Brefait%2Ble%2Bbut%2B%2521%2522%2B%253A%2BPuyol%2B%2528Espagne%2529/iLyROoaf860x/laprovence/info
a décidé de refaire à domicile les plus beaux de la compétition. Subbuteo, baby-foot, mime, tournoi de sixte sur le parking, Playmobil, tous les moyens seront bons !
Aujourd'hui, replay du but de l'Espagne en demi-finale signé Puyol, grâce à... Super Pimientos !
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON

Consultant pour la BBC, Chris Waddle suit sa
quatrième Coupe du monde, après en avoir
disputé deux. Ses avis sont tranchés et il prêche
pour un football construit, spectaculaire,
technique. Celui qu’il jouait et qu’il voit incarné
par l’Espagne.
❚ Chris, est-ce que les Pays-Bas peuvent battre
l’Espagne ?
Non... Ils peuvent laisser peser une menace avec
Van Persie, Sneijder, Robben ou Kuyt qui travaille
beaucoup défensivement pour l’équipe. Mais il
devra beaucoup bosser pour surveiller Ramos,
l’empêcher d’aller de l’avant, comme Sneijder devra
surveiller Busquets et Xabi Alonso à qui on ne
peut pas prendre la balle ; et le tacle n’est pas la
spécialité de Sneijder. Van Bommel devra laisser
De Jong faire face à Xavi pour trouver très vite
Robben.
Le point faible espagnol, c’est Capdevila, il faut
jouer de son côté.
S’ils défendent bas, les Néerlandais devront être
courageux, gagner des ballons et contrer très vite.
Leur seule chance, c’est de contrer très vite. Ils seront
dominés, donc, ils doivent profiter du moindre
ballon.
❚ Aucune équipe n’a joué contre l’Espagne. Comment
savoir si la solution n’est pas là ?
Qui peut avoir ce courage ? Ils ont perdu 2 matches
sur 54. L’Angleterre a essayé en amical, elle a
perdu 2-0. La seule chance, c’est de jouer le
contre. Mais il faut avoir un plan pour défendre
haut.
Les Pays-Bas ont des joueurs capables d’instants
magiques: Robben dans un bon jour, Sneijder,
Van Persie...
❚ Van Persie n’a pas fait grand-chose jusqu’ici...
C’est vrai. Et face à Piqué et Puyol, il va souffrir. Et
au milieu, le trio Busquets-Xabi Alonso-Xavi va
dominer: ils sont plus mobiles, maîtrisent mieux
le ballon.
Enfin, Villa est très tonique, il va leur causer des
tourments. Et Pedro a été fantastique contre l’Allemagne.
Il a dribblé, provoqué, il est revenu dans
l’axe.
Le seul espoir des Pays-Bas, c’est de marquer les
premiers et de tenir. L’Espagne va avoir le ballon
60%du temps, sinon plus, et ils savent s’en servir.
❚ N’est-ce pas une finale idéale ?
Sur le papier, oui. Mais les Pays-Bas n’ont pas fait
de grands matches. Je les ai vus quatre fois. Ils ont
surtout bien joué en deuxième mi-temps contre
le Brésil.
Mais la référence, c’est l’Espagne; personne n’a
ce jeu de passes. Battre l’Espagne, c’est comme
battre Barcelone, sans Messi; et qui peut battre
Barcelone? L’équipe de Mourinho (Inter Milan,
ndlr) l’a fait, en marquant en contre. Mais il faut
être très patient.
❚ L’Espagne est très patiente...
Ils perdent un match sur vingt. Les Pays-Bas doivent
espérer que ce sera celui-là. C’est une très
bonne équipe; mais l’Espagne, c’est la meilleure
du monde.
❚ Cette Coupe du monde n’est pas aussi spectaculaire
que le dernier Euro...
Ce n’est pas un bon tournoi. On a vu beaucoup
d’équipes et de joueurs moyens. Bien organisées,
prêtes physiquement, mais sans grande imagination.
L’Argentine avait les joueurs imaginatifs mais pas
de système de jeu. Le Brésil avait le système, mais
pas de flair. L’Espagne a du flair. Ils jouent haut.
Ils ont perdu contre la Suisse, mais ils auraient dû
gagner 5-1. Contre eux, il faut avoir de la chance
et bien défendre. Je ne vois pas comment ils peuvent
perdre.
❚ Un sacre espagnol, ce serait une bonne chose
pour le football ?
Très bonne. On essaie toujours de copier l’équipe
qui gagne. Alors, si l’Espagne donne l’exemple,
c’est très bien; il faut toujours souhaiter la victoire
des formations créatives et imaginatives.
Quand la Grèce a gagné l’Euro, c’était négatif, parce
que d’autres équipes ont cherché à la copier.
Les spectateurs paient pour voir du spectacle.
❚ Oui, mais comment copier une équipe dont les
joueurs sont si habitués à évoluer ensemble?
Ils ont compris qu’ils n’étaient pas puissants, pas
grands et que le meilleur moyen de jouer pour
eux était de se passer la balle, de ne pas la perdre.
Tant qu’ils ont le ballon, l’adversaire ne l’a pas;
alors, ils le font circuler. Ils jouent un football
tic-tac. Petites passes, mouvement. Et c’est ce
qu’on fait partout en Espagne, depuis les jeunes.
C’est aux entraîneurs d’encourager ce type de jeu
où tout le monde est interchangeable. C’est une
chaîne de production où chaque équipe joue suivant
les mêmes principes. S’ils gagnent la Coupe
du monde, ils feront comme la France et ils sont
capables d’assurer leur domination pendant dix
ou quinze ans. Ils auront des joueurs pour succéder
à ceux-là.
❚ Et le futur de cette équipe d’Allemagne,
vous y croyez ?
Il y a deux ans, à l’Euro, ils avaient une bonne
équipe, mais ils avaient perdu contre l’Espagne et
là, ils ont eu peur. Ils se sont dit que s’ils attaquaient,
ils seraient pris. Ils ont donc défendu, à
dix derrière le ballon.
Il n’y a qu’en amical qu’une équipe peut essayer
d’attaquer l’Espagne.
❚ Et la France?
Quelle disgrâce ! Le pouvoir des joueurs, ça existe,
mais là, c’était de la rébellion. Face à face, tu peux
dire à l’entraîneur : "Ton système ne me convient
pas". Mais ce qui s’est passé, c’est...
Ça a transformé la France en sujet de rigolade.
Comment une grande nation de football comme
la France, qu’on voyait atteindre les quarts, a-t-elle
pu en arriver là ? Qu’un ou deux joueurs disent
qu’ils n’aiment pas l’entraîneur, ça peut passer,
mais pas une telle accumulation! Laurent Blanc
va devoir affirmer : "C’est ainsi et pas autrement !
Je veux des joueurs qui veulent jouer pour la France".
D’ailleurs, il aurait fallu le mettre en place
avant le tournoi. Personne n’est plus grand que la
France, aucun joueur, aucun coach.
❚ Déçu par l’Angleterre ?
Je pensais qu’il y aurait plus de feu, mais techniquement
et tactiquement, on a été faible, on ne
sait jouer que d’une manière, 4-4-2 et longs ballons.
Dans le foot international, tu dois savoir
jouer vite, ralentir, avoir une palette étendue. On
se croit grand parce que la Premier League est
grande, mais il y a du boulot, on ne produit plus
de joueurs ; les 17 ans ne sont pas mal, mais surtout
parce qu’ils sont grands et costauds. Nous devons
changer notre philosophie.
❚ Ému de voir André Ayew jouer ?
Très. Je n’ai pas eu le plaisir de croiser Abedi (Pelé),
mais son fils a été formidable. Dire que je l’ai
vu tout petit, bébé...
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON

L'ombre de Johan Cruyff planera sur la 19ème finale de la Coupe du Monde de la FIFA. Les onze Néerlandais ne sont autres que les héritiers de l'apôtre du "football total". En face, sept des joueurs de l'Espagne évoluent à Barcelone où le message du Flac (le maigre en Catalan) est entré dans les gènes du club.
Il faut remonter à 1978 (Argentine - Pays-Bas) pour trouver une finale entre deux aspirants à la recherche de leur premier titre suprême.
Les Oranjes ont réalisé jusqu’alors le parcours parfait : sans-faute dans les qualifications (huit matches, huit victoires) et en Afrique du Sud (six succès). Une victoire dans la troisième finale de leur histoire leur permettrait de rejoindre le légendaire Brésil de 1970, seule nation à avoir réussi un tel parcours.
Championne d'Europe en titre, la Furia Roja mise sur une génération exceptionnelle pour inscrire enfin son nom sur le socle du trophée le plus convoité. Un succès lui permettrait d’égaler l'Allemagne, seul pays à avoir soulevé la Coupe du Monde deux ans après un sacre européen.
Pays-Bas - Espagne, dimanche 11 juillet, Johannesburg (Soccer City), 20h30
"Football total" contre "football spectacle". Cette finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 pourrait bien marquer le début d’une nouvelle ère. Comme dans la peinture, le ballon rond à ses époques. Ce premier rendez-vous en Afrique pourrait officiellement marquer la fin de l'hyper-réalisme, qui ferait place à la libre expression artistique. Wesley Sneijder et Arjen Robben sont les dignes héritiers des "Oranges mécaniques" des années 70. Sauf qu’ils ont ce petit grain de folie en plus qui permet les initiatives les plus audacieuses, celles qui font se lever un stade comme un seul homme. L’Espagnol Xavi, l'homme aux 100 passes par match, est lui un métronome par la régularité et la justesse de ses orientations. Il n'a que l'embarras du choix pour distribuer ses caviars à des feux follets qui se démultiplient sans cesse à l'image d'Andrés Iniesta, David Villa et Pedro. Que dire de la générosité d'un Carles Puyol, énorme contre l'Allemagne, ou de la rage de vaincre d'un Mark van Bommel qui joue les gros bras pour libérer Robin van Persie et autres des tâches ingrates ? Les deux équipes disposeront de toutes leurs forces vives. Et si elles arrivent à oublier l'importance de l'enjeu et à se lâcher, le spectacle sera au rendez-vous.
Le duel
Wesley Sneijder (NED) - David Villa (ESP)
À l'exception de Diego Forlán et Miroslav Klose, les deux hommes ont éclipsé toutes les grandes stars du football mondial. Exit Lionel Messi, Wayne Rooney, Cristiano Ronaldo, Thierry Henry et autres Alberto Gilardino. Le sort de la finale dépendra peut-être d'un coup de patte ou de tête d'un de ces éléments. En prime, même s'ils font passer la victoire collective avant tout, le Néerlandais et l'Espagnol vont se disputer deux récompenses individuelles prestigieuses. Ils sont actuellement en tête du classement des buteurs avec cinq réalisations, à égalité avec l'Allemand Thomas Müller et l'Uruguayen Forlán. Si l’un des deux marque, il pourrait offrir le titre à son pays tout en s’adjugeant le Soulier d’Or adidas et peut-être le Ballon d’Or adidas, remis au meilleur joueur du tournoi.
Entendu…
"J’aime le beau football, mais j’aime aussi gagner. Cela fait deux ans que je dirige cette équipe et j’ai toujours dit et répété à mes joueurs que nous avions une mission et que le meilleur moyen de l’accomplir était de croire en nous" - Bert van Marwijk, sélectionneur des Pays
Le gardien et capitaine de l'Espagne, Iker Casillas, a avoué samedi qu'il avait "une boule au ventre" à la veille de la finale du Mondial-2010 contre les Pays-Bas, ainsi que "beaucoup de nervosité" en raison de l'importance de ce match.
"Je ressens beaucoup de nervosité comme avant tous les matches importants, et on en a eu dans tous les derniers matches, a dit le joueur en conférence de presse. Sachant l'importance du match, personnellement, la boule au ventre, je l'ai".
"Avant chaque match on prévoit une victoire, on ne pense pas à autre chose, c'est notre force mentale, a-t-il ajouté. On a réussi quelque chose de grand en ayant l'occasion de pouvoir disputer une finale de Coupe du monde, mais le pays, mes coéquipiers et moi ne nous en contentons pas. Il peut y avoir une expulsion, un fait de jeu bizarre, on espère à la fin gagner le match".
"Le début du tournoi n'a pas été comme on l'avait espéré, le jeu oui, mais pas le résultat, a poursuivi Casillas à propos de la défaite initiale contre la Suisse (1-0). L'équipe s'en est remise et va jouer la finale. Depuis tout petit on rêve de soulever la Coupe du monde, en tant que capitaine, ça me revient, mais je n'y pense pas trop".
"Le foot espagnol arrive à donner de l'espoir depuis trois ans et demi, depuis 2006, 2007, a détaillé le gardien. L'Espagne a un style qui s'est maintenu jusqu'ici, malgré le changement de sélectionneur et de joueurs. On a eu des résultats: en deux ans, être champions d'Europe et arriver en finale de la Coupe du monde, ça signifie qu'on a bien fait les choses".
Concernant l'adversaire, son coéquipier David Villa a dit s'attendre à "des Pays-Bas qui voudront attaquer". "J'espère un match similaire à celui contre l'Allemagne, a-t-il précisé. Je ne sais pas si c'est la clef, mais si on a le ballon comme face à l'Allemagne, on a des chances de gagner".
"On a hâte que le match commence, a encore dit l'attaquant. On se repose actuellement pour être à 100%, on sait qu'on va jouer un match historique et on doit s'y préparer".
L'Espagne a-t-elle prévu une manière de fêter une éventuelle victoire? "Non, on pense seulement à gagner, pas à ce qu'on fera après, parce qu'on sait que ce sera un match très compliqué, a répondu Villa. Bien sûr, si on gagne, on imaginera quelque chose et on fera sûrement beaucoup la fête".
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
PAULITO LE POULPE ..POUR UN SANS FAUTE ..SPANIA


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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
GRAND CHLEME DE PAULITO LE POULPE 8 RESULTATS JUSTES
C"" TRES RARE QU "UN GRAND FAVORI GAGNE
DE SURCROIT EN AYANT PERDU LE MATCH D" OUVERTURE CE N"EST JAMAIS ARRIVE
L" ESPAGNE LA FAIT BRAVO ET QUE COULE LA SANGRIA ...A FLOTS ....VIVA ESAPANA AVEC UN AIR DE BARCA

INESTA XAVI EXCEPTIONNELS ...IL NE MANQUE PLUS QUE MESSI
A MOINS QU "EUX SOIENT LES MUSICIENS ET QUE LIONEL LE VIOLON

Deux ans après sa victoire à l'Euro, l'Espagne s'offre son premier titre de champion du monde en battant en prolongation les Pays-Bas (1-0).
Iker Casillas, le capitaine espagnol, soulève le trophée tant convoité.
La 19e Coupe du monde a rendu son verdict et le Soccer City de Johannesburg a déroulé le tapis rouge pour l'Espagne, victorieuse des Pays-Bas (1-0, a.p.), deux ans après son sacre à l'Euro.
Le trophée s'est longtemps fait désirer. Au terme d'une finale extrêmement fermée et donc très décevante sur le plan du jeu, il a fallu la prolongation pour départager les deux finalistes
. La décision est venue à cinq minutes de la séance de tirs au but par le petit génie catalan Iniesta. Cette victoire sonne la consécration de l'Espagne, championne d'Europe en titre, et qui devient le huitième champion du monde de l'histoire mais aussi le premier pays européen à triompher hors de son continent.
C'est une énorme déception en revanche pour les Oranje, qui échouent pour la troisième fois en finale après les échecs marquants de 1974 et 1978. La Coupe s'est offert au plus ambitieux des deux. Mais que ce fut laborieux. Une véritable partie d'échec s'est mise en place entre une Roja toujours aussi possessive avec le ballon et des Oranje à l'esprit ultra défensif. Les 84 450 spectateurs n'ont pas eu la chance d'assister à une finale mémorable. Il n'y avait pas les ingrédients pour offrir un grand spectacle.
Cette finale a quelque peu reflété cette Coupe du monde, où les grands matches non pas été légion. L'Espagne n'a jamais réussi lors des 90 premières minutes à forcer le verrou néerlandais, fermé à double tour. Sergio Ramos (5e, 11e et 77e), Villa (12e, 70e, 75e et 77e), Pedro (38e) et Xavi (52e et 110e) ont tenté. En vain. Le meilleur espagnol aura pendant longtemps été "San Iker" Casillas, auteur de deux sorties impeccables devant Robben (62e et 83e).
L'ailler du Bayern était le seul Oranje à insuffler un peu de mouvement et d'espoir. Mais il était bien seul.Les entrées de Jésus Navas, lequel a remplacé à l'heure de jeu un Pedro invisible, puis de Fabregas, ont apporté de l'eau au moulin d'une Seleccion impuissante. Le Sévillan s'est de suite montré à son aise en servant Villa par deux fois (66e et 70e). Le Gunner a, lui, manqué un grand duel face à Stekelenburg en tout début de la prolongation (124e). C'était le match des duels perdus. Avant l'éclair de génie d'Iniesta, le sauveur. Un grand monsieu
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aladin- Messages : 115038
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
aladin a écrit:
Andres Iniesta : "Remporter
une Coupe du monde procure un sentiment indescriptible.
C'est le fruit d'un travail difficile
entrepris il y a longtemps mais
nous savourons à présent."
Vicente del Bosque
sélectionneur de l’Espagne :
"Ce fut un match très difficile.
Nous avons des joueurs fantastiques.
Nous aurions pu inscrire
un but ou deux de plus mais je
pense que le résultat est juste.
C'est un jour très heureux pour
moi. Bien entendu, je suis fier."
Iker Casillas : "Je suis super
content. On l’a mérité du début
à la fin. Je dédicace cette victoire
à mes parents, à mon frère..."
Cesc Fabregas : "'J’espère que
lors de l’Euro 2012, on va encore
donner de la joie à nos compatriotes
! Je ne sais pas quoi dire,
c’est un moment historique
et nous ne savons pas si cela se
reproduira un jour dans nos vies."
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Euro 2012 - L'Espagne, l'ombre d'un doute
La sélection espagnole n'affiche pas une grande sérénité depuis son titre mondial. Elle est pourtant en tête de son groupe éliminatoire à l'Euro. (EQ)
Simple impression ou réel constat ? L'Espagne semble moins souveraine que par le passé. Elle vise en tout cas une quatrième victoire face à la République tchèque, vendredi à Grenade (22h00).
Les apparences sont trompeuses. Même si elle occupe la première place de son groupe en éliminatoires de l'Euro 2012 et réussit jusque-là un sans-faute (trois victoires en autant de matches disputés), l'Espagne est loin d'afficher une forme optimale. Pour preuve, depuis l'été dernier et le Mondial remporté en Afrique du sud, la Seleccion s'est déjà inclinée à deux reprises, certes en amical mais à chaque fois de triste manière. Il y a bien longtemps que ça ne lui était plus arrivé. Après avoir déjà frôlé la défaite en août au Mexique (1-1), juste après son titre, l'équipe n°1 au classement FIFA a ensuite été surclassée coup sur coup en septembre par l'Argentine (1-4) et en novembre le Portugal (0-4). Deux raclées difficilement explicables pour une telle machine de guerre. «Le principal coupable, c'est probablement moi, avait aussitôt assumé son chef des armées, Vicente Del Bosque. Et je ne dis pas ça pour me poser en martyr mais parce que je n'ai pas su trouver la motivation nécessaire pour les joueurs».
Seulement le manque de motivation, bien compréhensible au vu des deux dernières années de rêve qu'ils ont vécues, n'est pas le seul problème des Espagnols. Les absences de plusieurs cadres tout comme l'intégration de certains nouveaux (Monreal, Bruno et Cazorla) peuvent aussi expliquer cette mauvaise passe. Sans Xavi, Iniesta, Fabregas et Puyol, tous blessés à un moment donné lors des six derniers mois, ça devient tout de suite plus difficile d'être performant. Surtout quand on a pour habitude de tourner à effectif réduit. C'est bien simple, depuis la finale de Johannesburg, l'Espagne n'a jamais aligné la même composition. Sept matches au cours desquels le dispositif tactique (4-3-3) n'a pas bougé, contrairement aux hommes qui l'ont animé. Exemple : la défense centrale. Tour à tour Piqué, Puyol, Marchena et Raul Albiol ont occupé l'axe. Trois gardiens (Casillas, Valdès et Reina) se sont aussi succédés dans la cage. Bref, autant de changements qui ont affaibli le collectif.
Sans parler des erreurs grossières inhabituelles (Reina à Buenos Aires), de la maladresse des attaquants (Villa face à la Colombie), ou encore du passage à vide traversé par Torres. Ajoutés à la cadence infernale des matches, «l'inquiétude» prioritaire de Del Bosque, tous ces facteurs ont sérieusement obscurci le tableau idyllique de la Roja. Ce qui ne l'empêche pas de regarder vers l'avant. «Plus vite nous obtiendrons notre objectif, moins nous souffrirons, a annoncé David Villa en prévision de la réception de la République tchèque vendredi, puis du déplacement en Lituanie mardi. Ces deux matches sont très importants. Si nous les gagnons nous aurons un pied et demi au prochain Euro». La qualification en poche, le reste sera vite oublié.
La sélection espagnole n'affiche pas une grande sérénité depuis son titre mondial. Elle est pourtant en tête de son groupe éliminatoire à l'Euro. (EQ)
Simple impression ou réel constat ? L'Espagne semble moins souveraine que par le passé. Elle vise en tout cas une quatrième victoire face à la République tchèque, vendredi à Grenade (22h00).
Les apparences sont trompeuses. Même si elle occupe la première place de son groupe en éliminatoires de l'Euro 2012 et réussit jusque-là un sans-faute (trois victoires en autant de matches disputés), l'Espagne est loin d'afficher une forme optimale. Pour preuve, depuis l'été dernier et le Mondial remporté en Afrique du sud, la Seleccion s'est déjà inclinée à deux reprises, certes en amical mais à chaque fois de triste manière. Il y a bien longtemps que ça ne lui était plus arrivé. Après avoir déjà frôlé la défaite en août au Mexique (1-1), juste après son titre, l'équipe n°1 au classement FIFA a ensuite été surclassée coup sur coup en septembre par l'Argentine (1-4) et en novembre le Portugal (0-4). Deux raclées difficilement explicables pour une telle machine de guerre. «Le principal coupable, c'est probablement moi, avait aussitôt assumé son chef des armées, Vicente Del Bosque. Et je ne dis pas ça pour me poser en martyr mais parce que je n'ai pas su trouver la motivation nécessaire pour les joueurs».
Seulement le manque de motivation, bien compréhensible au vu des deux dernières années de rêve qu'ils ont vécues, n'est pas le seul problème des Espagnols. Les absences de plusieurs cadres tout comme l'intégration de certains nouveaux (Monreal, Bruno et Cazorla) peuvent aussi expliquer cette mauvaise passe. Sans Xavi, Iniesta, Fabregas et Puyol, tous blessés à un moment donné lors des six derniers mois, ça devient tout de suite plus difficile d'être performant. Surtout quand on a pour habitude de tourner à effectif réduit. C'est bien simple, depuis la finale de Johannesburg, l'Espagne n'a jamais aligné la même composition. Sept matches au cours desquels le dispositif tactique (4-3-3) n'a pas bougé, contrairement aux hommes qui l'ont animé. Exemple : la défense centrale. Tour à tour Piqué, Puyol, Marchena et Raul Albiol ont occupé l'axe. Trois gardiens (Casillas, Valdès et Reina) se sont aussi succédés dans la cage. Bref, autant de changements qui ont affaibli le collectif.
Sans parler des erreurs grossières inhabituelles (Reina à Buenos Aires), de la maladresse des attaquants (Villa face à la Colombie), ou encore du passage à vide traversé par Torres. Ajoutés à la cadence infernale des matches, «l'inquiétude» prioritaire de Del Bosque, tous ces facteurs ont sérieusement obscurci le tableau idyllique de la Roja. Ce qui ne l'empêche pas de regarder vers l'avant. «Plus vite nous obtiendrons notre objectif, moins nous souffrirons, a annoncé David Villa en prévision de la réception de la République tchèque vendredi, puis du déplacement en Lituanie mardi. Ces deux matches sont très importants. Si nous les gagnons nous aurons un pied et demi au prochain Euro». La qualification en poche, le reste sera vite oublié.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
l'Espagne, en tête de leur groupe, affronteleur dauphin.
Dans les autres rencontres disputées vendredi,
l'Espagne, championne du monde et d'Europe, devra se méfier à Grenade de la République tchèque, son dauphin dans le groupe I.
Mais les Espagnols, qui comptent trois points d'avance sur les Tchèques, ont remporté leurs trois premiers matches dans ces éliminatoires en marquant chaque fois au moins trois buts.
"Nous avons deux matches très importants (face à la République tchèque puis mardi en Lituanie, ndlr) et si nous les gagnons nous aurons un pied et demi au prochain Euro", a assuré mardi David Villa.
Dans les autres rencontres disputées vendredi,
l'Espagne, championne du monde et d'Europe, devra se méfier à Grenade de la République tchèque, son dauphin dans le groupe I.
Mais les Espagnols, qui comptent trois points d'avance sur les Tchèques, ont remporté leurs trois premiers matches dans ces éliminatoires en marquant chaque fois au moins trois buts.
"Nous avons deux matches très importants (face à la République tchèque puis mardi en Lituanie, ndlr) et si nous les gagnons nous aurons un pied et demi au prochain Euro", a assuré mardi David Villa.
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
Bon match hier au soir de Remy Cabella (international Corse
)
http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9my_Cabella

http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9my_Cabella



JUDAS- Messages : 7590
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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON
YES
bon joueur en devenir JE RAJOUTE C message au SUJET AVEC L"EDF
bon joueur en devenir JE RAJOUTE C message au SUJET AVEC L"EDF

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Re: SPANIA CONFISQUADOR DEL BALLON

L'Espagne fête Villa
Villa a marqué un superbe but du gauche pour égaliser contre la République tchèque.
Menée 0-1 par la République tchèque jusqu'à la 69e, l'Espagne peut remercier Villa qui a retourné le match en quatre minutes (2-1). L'équipe championne du monde est leader du groupe I avec 6 points d'avance.
Menée jusqu'à la 69e minute par la République tchèque, l'Espagne s'est sortie du piège (2-1) dans un stade de Grenade qui l'a vu encaisser un but pour la première fois de l'histoire. A la 29e, l'ancien Monégasque Plasil s'est mis sur son gauche plein axe à 30 mètres avant d'envoyer une frappe limpide à ras de terre dans le petit filet. «Un but depuis leur pays», a souri David Villa après la rencontre. Face aux Tchèques, les hommes de del Bosque n'ont pas réussi à bien faire circuler le ballon, ce qui est leur force principale d'habitude. Pas ménagés par des adversaires rugueux, les Ibériques ont bien eu quelques occasions mais ils ont été vraiment maladroits. Lorsque les tirs étaient cadrés, c'était Cech qui était bien présent.
Mais la Seleccion possède avec David Villa un buteur d'exception. Un joueur capable de tout manquer pendant de longues minutes sans jamais lâcher. Pour finalement marquer deux buts en l'espace de quatre minutes. L'égalisation a tout simplement été superbe : bien trouvé par Iniesta, il s'est amusé des défenseurs à l'entrée de la surface avec une feinte de frappe avant de marquer du gauche (69e) et de se jeter dans les bras de Pepe Reina. Trois minutes plus tard, Iniesta, excellent ce vendredi, a obtenu un penalty qui a été transformé par le Barcelonais. quot;El Guajequot; est devenu le meilleur buteur de toute l'histoire espagnole avec 46 réalisations (en 71 capes). Raul est désormais à deux longueurs...
Peu en verve contre les équipiers de l'ancien Lyonnais Milan Baros, Xavi a fêté sa centième sélection avec une victoire. Seuls trois joueurs ont plus porté le maillot rouge que le natif de Terrassa : Zubizarreta, Casillas et Raul. «Je suis content et fier. Je veux continuer encore longtemps», a expliqué le Barcelonais. La fête aurait pu être complète sans un Torres fantomatique. Indigent depuis son arrivée à Chelsea, l'ancien attaquant de Liverpool a perdu sa place en équipe nationale et a commencé le match sur le banc. Entré après la pause, le joueur formé à l'Atletico a tout manqué. Une fois de plus. La fin de saison va être longue pour quot;El Ninoquot;.
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