LE BONDISSANT HUGO LLORIS

HUGO DECISIF ENCORE SAUVE PAR MOMENT LA FRANCE
BRAVO

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06/09/2011 08:17 Hugo Lloris : "l'ensemble reste fragile"

Pas de grande équipe sans grand gardien...
L'ambiance qui règne en équipe de France est « bonne » et il n'y a « aucun problème en interne », a indiqué hier Hugo Lloris, qui reconnaît toutefois que l'ensemble reste « fragile » et conditionné aux résultats avant le match de ce soir.

Où se situe la Roumanie par rapport à l'Albanie que vous avez affrontée vendredi ?

C'est un niveau au-dessus. On s'attend à un match compliqué, bien sûr. Un deuxième déplacement consécutif, ce n'est jamais évident. Pour l'inauguration du stade de l'équipe nationale, il y aura un climat de fête, à nous de faire un match plein. Notre objectif est de prendre les trois points. L'adversaire de l'équipe de France est toujours motivé, surtout à domicile. À nous de ne pas tomber dans le piège, de respecter les fondamentaux et notre collectif. On a un statut à faire respecter.

Que connaissez-vous de l'adversaire ?

J'ai joué plusieurs fois contre Marica ou Goian. À nous d'être maîtres de notre sujet et de venir avec un esprit conquérant. C'est aussi une équipe en reconstruction. En face, il y a une équipe capable de tout, dotée d'une très bonne technique. On a encore le temps de se préparer pour être prêt.

Dans l'optique de la qualification, un nul serait-il forcément un mauvais résultat ?

Ce sont les circonstances en cours de match qui demandent de s'adapter. On ne connaît pas l'histoire du match et il y a toujours des faits de jeu.

Avez-vous insisté depuis vendredi sur la défense, en grande difficulté contre l'Albanie ?

Il y a eu de bons points face à l'Albanie et d'autres moins bons. C'est toujours une question d'équilibre d'ensemble. Derrière, on s'adapte. Il y a eu des circonstances, des blessures, des suspensions. Il a fallu repenser tout cela. Tout ça appartient au passé.

L'ambiance entre les joueurs est-elle toujours bonne ?

Elle est bonne, très bonne. En interne, il n'y a aucun problème. Ca reste fragile car ce sont les résultats qui conditionnent tout. La victoire peut permettre de garder notre stabilité et on sait qu'on se rapprocherait de la qualification. L'objectif est d'être prêt pour l'Euro. On travaille, il faut être patient

07/09/2011 - 08:38
EdF-Lloris: "On ne pouvait pas faire mieux"
Capitaine des Bleus mardi soir en Roumanie (0-0), Hugo Lloris s'est montré globalement satisfait du rendement de l'équipe de France. "On ne pouvait pas faire mieux ce soir sur un terrain aussi catastrophique, c'est dommage parce qu'il y avait une très bonne ambiance, un stade rempli. On a quand même mis de l'application dans la construction, il a manqué la dernière passe dans les 25-30 derniers mètres. Au niveau de la maîtrise, c'était intéressant, on a mis beaucoup d'application, on a fait tourner cette équipe roumaine qui est restée derrière, ils ne se sont pas procuré d'occasions, c'est un bon point pour nous. Quatre points, ce n'est pas suffisant parce qu'il va falloir gagner nos deux derniers matches pour assurer notre première place, mais c'est quatre bons points de pris. Et on continue notre série d'invincibilité, ça se jouera au mois d'octobre", a déclaré le gardien des Bleus.

Ajax 0 - Olympique Lyonnais 0. Les joueurs lyonnais : Lloris décisif, Vu 1493 fois |
Publié le 15/09/2011 à 00:00

L’arrêt exceptionnel d’Hugo Lloris en deuxième mi-temps sur une non moins superbe frappe d’Eriksen aura été l’un des moments forts de la rencontre / Stéphane Guiochon
Le gardien et le milieu suédois ont donné le ton et l’OL n’a pas craqué
> LLORIS 7

Si l’on veut chercher la petite bête, on mentionnera cette mauvaise relance à la 2ème minute. Pour le reste, Hugo Lloris confirma, si besoin était, qu’il fait partie des meilleurs gardiens de la planète et ses deux arrêts spectaculaires aux 64ème et 76ème minutes laissent intact les espoirs de qualification de toute une équipe.

BEN NON HUGO EST NUMERO 1
ET STEVE EST DANS LES 3 AUTRES (DOUCHEZ MANDANDA RUFFIER) QUI LE SUIVENT DE LOIN




Avant leur opposition, dimanche (21h00) à Gerland lors de Lyon - Marseille, y a-t-il encore débat entre Lloris et Mandanda ? OUI : 18% NON : 81% NSP : 1%
Nombre de votants: 8633
moi j'ai répondu NON

HUGO EXPULSE
STEVE NON NOTE
DROLE DE CONCURRENCE

Rooooooooooooouuuuuuuuuuuuuge Ils doivent regretter ne pas avoir été arbitré par Piccirello Avec lui au moins, Lloris aurait fini la partie...il n'y n'aurait pas eu but sur peno vu que l'autre fan de Afflelou ne l'aurait pas siffler ...et peu être même que OL aurait voler le match en marquant a la 80eme
Bon voila ,Mais Piccirello était a Ajaccio et a mit un rouge en fin de partie a Montpellier qui gagnait par 3 buts a 1 ........pas vraiment pénalisant de prendre rouge en menant au score

y a eu 8 penaltys hier de sifflés et autant le rouges
les arbitres etaient chauds

JUDAS a écrit:Rooooooooooooouuuuuuuuuuuuuge Ils doivent regretter ne pas avoir été arbitré par Piccirello Avec lui au moins, Lloris aurait fini la partie...il n'y n'aurait pas eu but sur peno vu que l'autre fan de Afflelou ne l'aurait pas siffler ...et peu être même que OL aurait voler le match en marquant a la 80eme
Bon voila ,Mais Piccirello était a Ajaccio et a mit un rouge en fin de partie a Montpellier qui gagnait par 3 buts a 1 ........pas vraiment pénalisant de prendre rouge en menant au score

Lloris : "la dernière ligne droite"

On est vraiment dans la dernière ligne droite », a rappelé hier le gardien de l'équipe de France Hugo Lloris, avant d'estimer que toutes les absences sur blessure pouvaient servir à « renforcer les liens » du groupe, ce soir contre l'Albanie.

Avec cette hécatombe, cette semaine devait avoir un goût particulier…

C'est la sélection nationale qui veut ça. On doit toujours faire en fonction des blessés, des absents. Maintenant, c'est vrai qu'il y en a eu beaucoup pour ce rassemblement. On est déçu pour eux mais aussi pour l'équipe. Ca permet à d'autres joueurs de se mettre en avant et de renforcer les liens dans l'équipe.

Comment s'y est pris Laurent Blanc pour éviter la sinistrose ?

Il a toujours un discours positif et il a essayé de le faire apparaître dans les séances et en dehors. Il a sa façon de prendre du recul mais ça n'est pas un problème. Le groupe y est attentif et tout le monde est concerné pour ces matches importants en vue de la suite de la compétition.

N'y a-t-il donc aucune chance d'être rattrapé par le syndrome de 1993 ?

Il y a des échéances plus importantes que d'autres. Là, on est vraiment dans la dernière ligne droite. Tout le monde veut participer à l'Euro et ça passe par deux résultats positifs.

En tant que gardien, vous allez avoir une nouvelle charnière devant. Est-ce perturbant ?

Il y a des automatismes qui se sont créés lors des derniers matches. Je dois m'adapter aux joueurs qui seront titulaires. Bon, on se connaît bien, on se côtoie aux entraînements.

Le retour en sélection de Gomis, votre coéquipier à Lyon, est-ce que ça vous touche ?

Il a fait des choses magnifiques avec Lyon et il est très performant depuis un moment. C'est une belle récompense qu'il soit appelé. Je ne peux pas vous dire en revanche s'il sera sur le terrain.

À quoi ressemblerait le scénario parfait ?

L'idéal, c'est de marquer le plus tôt possible. Mais face à un adversaire qui va venir sans pression, qui n'a plus rien à espérer, ce n'est jamais joué d'avance. Ce sont les matches les plus difficiles pour les gardiens de but. Je m'attends à ne pas toucher beaucoup le ballon. Mais on n'est jamais à l'abri de quoi que ce soit. À nous de mettre de la maîtrise, de l'application et d'être réalistes

Lloris monte en grade
Le 10/10/2011 à 18:15 | Mis à jour le 11/10/2011 à 02:00
Pour la quatrième fois de sa carrière, Hugo Lloris arborera le brassard de capitaine contre la Bosnie, mardi. «Il doit prendre de l'importance au sein du groupe», explique Laurent Blanc.

Comme contre l'Albanie, Hugo Lloris sera à nouveau capitaine face à la Bosnie.
Laurent Blanc s'en était fait la réflexion auprès d'Henri Emile. Cela faisait longtemps qu'on ne l'avait pas cuisiné sur la question du capitanat. Forcément, lorsqu'il lui a été demandé si la présence d'Hugo Lloris à ses côtés signifiait que le portier porterait le brassard contre la Bosnie, mardi soir au Stade de France, le sélectionneur a esquissé un sourire : «Ça faisait un petit moment que vous ne me l'aviez pas posée... Vous aviez oublié, non ?» Au moins a-t-il, pour une fois, répondu à la question : «Oui» , Lloris sera capitaine. Est-ce un choix définitif ? «J'en dirai un peu plus bientôt».
Blanc compte sur «le conseil des sages»
Fidèle à ce qu'il avait annoncé au mois de juin après la tournée des Bleus en Europe de l'Est, le technicien ne compte pas s'appuyer sur un seul capitaine, mais sur une liste de cinq noms qu'il surnomme dès à présent «le conseil des sages» . Depuis son arrivée, sept joueurs ont déjà porté le brassard : Mexès, Malouda, Diarra, Lloris, Nasri, Mandanda et Abidal. Pour le gardien lyonnais, ce sera la quatrième fois après l'Angleterre, la Roumanie et l'Albanie. Pourquoi lui, alors que l'on connaît joueur bien plus expansif, ce que ne nie pas Laurent Blanc ? «Il fait partie des joueurs qui doivent prendre de l'importance au sein de ce groupe. Dès à présent, mais aussi pour le futur.»
«J'ai des responsabilités en plus, un devoir de performance, mais je garde le même état d'esprit.»
Cette question, l'intéressé lui-même a eu du mal à y répondre. Jusqu'à ce qu'on lui rapporte les propos de Laurent Blanc, il assurait même n'être au courant de rien. «Les choses ne sont pas établies, il y a pas mal d'absents, a-t-il souligné. C'est toujours une fierté de pouvoir porter le brassard, mais c'est aussi secondaire. Le plus important, c'est la qualif' pour l'Euro» . Brassard ou pas, Lloris assure, de toute façon, ne pas vouloir changer. «J'ai des responsabilités en plus, un devoir de performance, mais je garde le même état d'esprit. Si j'ai quelque chose à dire, je le dis, mais tout le monde a le droit à la parole. Tant que ça va dans le sens du collectif...» . Un vrai discours... de capitaine.

Claude Puel s'est exprimé, ce mardi

Lloris, futur capitaine des Bleus ?
«Il a toutes les qualités pour l'être. Il était un jeune gardien au début avec moi. J'ai poussé Hugo à intervenir encore plus au sein du groupe au cours des deux dernières saisons, pour lui donner encore plus d'importance. Il a du caractère. Il est très exigeant envers lui-même, ses partenaires, son entourage. Il peut faire un très bon capitaine. Comme Eric Abidal, également, qui a pour moi la stature pour l'être. Hugo a la faculté de bien analyser, de prendre du recul, pour ne pas dire les choses à chaud.»

bienvenou a écrit:Claude Puel s'est exprimé, ce mardi

Lloris, futur capitaine des Bleus ?
«Il a toutes les qualités pour l'être. Il était un jeune gardien au début avec moi. J'ai poussé Hugo à intervenir encore plus au sein du groupe au cours des deux dernières saisons, pour lui donner encore plus d'importance. Il a du caractère. Il est très exigeant envers lui-même, ses partenaires, son entourage. Il peut faire un très bon capitaine. Comme Eric Abidal, également, qui a pour moi la stature pour l'être. Hugo a la faculté de bien analyser, de prendre du recul, pour ne pas dire les choses à chaud.»

souven les gardiens captain
lloris aussi

c'est vrai
mandanda l'est aussi devenu a l'om

Bleus
Lloris : «Des places à prendre dans les 23»

A la veille du match amical face aux Etats-Unis, Hugo Lloris a assuré ce jeudi que rien n'était encore figé dans le groupe France concernant la liste des 23 pour l'Euro 2012. (Photo Presse-Sports)
«Après la tension sportive des derniers rendez-vous, y a-t-il un risque de relâchement ?
Il y a moins de pression et d'enjeu. Mais on reste quand même des compétiteurs et il y a un Euro à préparer. Ca passe par des bonnes performances collectives. Ces matches amicaux nous permettent de nous concentrer sur nos performances. Il y a pas mal de détails à peaufiner dans notre jeu d'ici l'Euro, on le sait. Dès demain, il faut travailler là-dessus.

Quelle est l'importance de la série de 15 matches d'invincibilité ?
C'est important pour ce climat de sérénité qui règne aujourd'hui et pour notre degré de confiance. C'est intéressant de garder cette série jusqu'à l'Euro. Ce n'est jamais évident mais on a le potentiel et l'envie pour.

Est-ce un risque de procéder à une grande revue d'effectif ?
Ça permet à certains joueurs de se montrer, d'avoir du temps de jeu. Il y a encore certainement des places à prendre dans le groupe de 23. Maintenant, il y a une relation de confiance dans l'effectif et quels que soient les joueurs titularisés, ils répondront présent et s'adapteront à la tactique du sélectionneur. Il y a un climat de confiance mais on a aussi le sens du devoir, des responsabilités. Chacun est disponible et a envie de prouver. S'il y a des changements, cela demande plus de concentration que d'habitude.

Tout le monde est susceptible de tourner, mais apparemment pas vous...
Il y a une réflexion là-dessus mais c'est celle du sélectionneur, pas la mienne. Je n'ai pas eu de discussion avec lui. On s'adapte à ses choix. Avec certains autres, je suis là depuis le début. On a connu le Mondial, on a un certain vécu, une petite expérience. S'il fait appel à moi, je répondrai présent. C'est important que tout le monde ait du temps de jeu.

«Une obligation de performance»

Qui joue le plus gros demain : ceux qui ont déjà un statut ou les petits nouveaux ?
On a tous une obligation de performance. On a tous une responsabilité, surtout ceux qui font partie de l'aventure depuis le début. Il reste beaucoup de temps avant l'Euro mais il va passer très vite. Les victoires conditionnent beaucoup le reste.

Que pensez-vous de la sélection de votre coéquipier lyonnais Gonalons ?
C'est une belle récompense de son début de saison. Il ne doit pas s'arrêter là. Cela doit lui donner de la confiance et cela doit se transcrire sur le terrain par ses performances.

Et de celle de Giroud ?
Au niveau des statistiques, il fait partie des meilleurs attaquants du Championnat. Il a un registre intéressant. En plus il a une très bonne mentalité. Il s'est adapté tout de suite à ses coéquipiers. Comme tout nouveau joueur, il a envie d'apprendre, de progresser et de s'inscrire dans le projet de l'équipe de France. S'il a du temps de jeu, il le prouvera sur le terrain.

Comment jaugez-vous votre prochain adversaire ?
Il y a quelques joueurs qui évoluent dans les championnats européens. Et d'autres dans leur ligue qui sont moins connus. C'est une équipe athlétique, qui va nous lancer un défi physique. Ce sont des joueurs modernes, rapides, mais je ne les connais pas spécialement très bien. Ceux que je connais en Europe, sont de très bons footballeurs. Même si le football n'est pas le sport numéro un aux Etats-Unis, aujourd'hui, c'est une équipe compétitive. Ils l'ont montré au Mondial. Ils ont beaucoup évolué depuis une quinzaine d'années. Ce ne sera pas évident.»

Pas là pour créer l'événement»15/11/2011 à 00:55

Comme avant France-USA, Hugo Lloris s'est présenté face à la presse à la veille de France-Belgique, mardi (21h00). Presque une habitude désormais.

Hugo Lloris souriant à l'entraînement des Bleus lundi au Stade de France sous l'oeil de Laurent Blanc.
Il y des signes qui ne trompent pas. Ceux qui témoignent de l'importance prise par Hugo Lloris en équipe de France, par exemple... Pour la cinquième fois d'affilée, la deuxième en cinq jours et la sixième en tout, le portier lyonnais a succédé à Laurent Blanc derrière le pupitre réservé au sélectionneur... et à son capitaine. Contre les Etats-Unis, déjà, Lloris avait hérité du brassard alors qu'Alou Diarra était pourtant titulaire, une situation inédite sous l'ère Blanc. Dans les travées du Stade de France, l'ancien Niçois avait alors confié s'habituer à cet honneur, tout en assurant rester « concentré comme si je ne l'avais pas ». Alors que la réflexion de Laurent Blanc sur la question du capitanat se poursuivra jusqu'au 29 février et le déplacement des Bleus en Allemagne , il est aujourd'hui impossible de faire abstraction du message envoyé par le technicien à son gardien. « Je pense que c'est de la confiance , évacue l'intéressé. J'essaie de m'en servir. » La nature timide et réservée de Lloris, ajouté à la particularité du poste qui est le sien, n'en faisaient pas un favori pour occuper ce rôle. « Mais même s'il ne parle pas beaucoup, il a toujours les bons mots et les bons arguments pour faire avancer les choses , soulignait Maxime Gonalons, son équipier en club, samedi matin. Il a l'étoffe d'un capitaine. Il n'y a qu'à voir la gueulante qu'il avait poussée à Nice la saison dernière. » Son seul fait d'arme si l'on peut dire... Pour mieux comprendre pourquoi Blanc semble avoir fait de lui l'un de ses deux futurs capitaines, il faut plutôt aller chercher du côté de la posture consensuelle adoptée par le portier. Chez lui, « c'est naturel ».

«Je suis toujours impliqué à fond dans le projet pour l'Euro, et même pour plus tard.»
Comme il l'a très bien souligné lundi après-midi, Lloris n'est « pas là pour créer l'événement », mais pour « représenter l'équipe de France ». « Je suis un relais pour mes équipiers , dit-il. J'essaie toujours d'avoir un certain recul par rapport à ce que je vis pour le traduire en mots simples. » Forcément, cela l'oblige « de temps en temps » à un devoir de « réserve ». Mais brassard ou pas, Lloris assure de toute façon « ne pas avoir changé ». « Je suis toujours impliqué à fond dans le projet pour l'Euro, et même pour plus tard , dit-il. Le statut, il faut le confirmer à chaque match en club comme en sélection. » A en juger le discours policé, sans un mot plus haut que l'autre, qu'il a encore tenu à la veille de la réception de la Belgique, on ne peut que lui donner raison. « Les matches ne se ressemblent jamais », « je ne suis pas là pour juger telle ou telle équipe », « on va essayer de jouer pour gagner », « le groupe vit bien »... Voilà pour les banalités d'usage. C'est bien parti pour durer

Lloris :«On doit avoir plus d'ambition»23/11/2011 à 09:17

Touché par cette contre-performance face à l'Ajax Amsterdam (0-0), Hugo Lloris a regretté le manque d'ambition dans le jeu de l'OL, qui a selon lui «un pied en Ligue Europa».


Lloris, ici à la parade contre l'Ajax, a regretté le manque d'ambition de l'OL.
«Hugo Lloris, quelle est votre analyse après ce résultat décevant ? Déjà, c'est une grosse déception. Je pense que nous n'avons pas fait le match qu'il fallait même si on aurait pu faire la différence sur la fin. On aurait pu forcer la décision. Mais il aurait fallu prendre des risques, et jouer plus simple. Il aurait fallu attaquer ce match comme on l'a fini pour pouvoir prétendre ouvrir le score. Est-ce un problème d'envie ? Non, elle était là. Mais on aurait dû lancer un gros pressing lors des quinze première minutes. On les a trop laissés jouer. Du coup, ils ont été mis en confiance et nous ont subtilisé le ballon.

«On se doit de faire beaucoup mieux»
Quittez-vous la Ligue des champions avec un goût amer ? On peut effectivement dire qu'on a un pied en Ligue Europa, même si on ne sait jamais ce qu'il peut se passer lors du dernier match... C'est une déception. Lorsqu'on a des objectifs et des ambitions, on se doit de faire beaucoup mieux. Mais c'est comme ça. Il faut continuer à avancer.

L'équipe n'a pas paru très sûre d'elle. Comment l'expliquez-vous ? On n'était pas en confiance. Cela s'est vu en première période avec beaucoup de passes ratées. On avait du mal à aller vers l'avant, à jouer juste et simple. Avec le talent qu'il y a dans cette équipe, on aurait dû faire la différence dans le dernier quart d'heure. On a eu les occasions pour. On doit avoir plus d'ambition dans le jeu et rentrer sur le terrain en étant plus agressif pour aller chercher un résultat.

«Les miracles, c'est possible. Mais bon, je pense que ça risque d'être difficile.»
Faut-il tirer le signal d'alarme ? Espérons surtout que cela nous enlève des soucis et qu'on va se concentrer sur le Championnat. Même s'il ne faut pas lâcher le dernier match à Zagreb. Celui-là, il faut le gagner. On a une image à tenir. Après, les miracles, c'est possible. Mais bon, je pense que ça risque d'être difficile. Vous posez-vous des questions ? Non, même si c'était un objectif de se qualifier. Il reste encore un match. Quand on a des objectifs, il faut les atteindre. Là, ce n'est pas le cas. Il faut continuer à travailler et à avancer. La saison est contre longue. Si on va en Ligue Europa, on verra quelles seront les ambitions souhaitées par le club et les joueurs

23/12/2011 - 14:32
OL: Lloris élu joueur lyonnais de l'année
Le gardien de but de l'OL, Hugo Lloris, vient d'être élu joueur lyonnais de l'année par les internautes du site officiel des Gones. Avec 42% des suffrages, le portier des Bleus devance assez nettement ses coéquipiers Lisandro Lopez (32%) et Bafétimbi Gomis (9%).

Football: ça roule pour Hugo Lloris.Publié le vendredi 30 décembre 2011 à 07h06
Le Niçois dans la somptueuse boutique d'Albert Goldberg.

. En vacances à Nice avant la reprise, le gardien des Bleus et de l’OL a pu souffler, à l’orée d’une année qui s’annonce exceptionnelle : championnat, Ligue des Champions et Euro 2012 !

Hugo, les raisons de votre présence ici ?

La démarche est venue de Michel Jourdan. Je le connaissais de réputation mais j'avoue que je n'ai pas une immense culture musicale, surtout que ce n'est pas ma génération. J'ai tout de suite accepté car c'est un Niçois et c'est respectueux de ma part d'accorder un peu de temps à cette personne qui a grandi dans l'ombre et fait des choses extraordinaires.

Les vacances à Nice vous ont permis de couper ?

(il sourit) En fait, j'ai été un peu malade et cloué au lit deux jours... Mais ça fait du bien une semaine ici, après le grand nombre de matchs joués, que ce soit avec l'OL ou les Bleus. On finit l'année un peu fatigués et c'est bien de se ressourcer.

Vous suivez toujours de près, on suppose, l'OGCN. Avec une nouvelle saison très compliquée... Quelle est votre analyse ?

C'est le championnat qui veut ça... Si on regarde bien, il y a une dizaine de clubs qui jouent le maintien cette année. La Ligue 1 est de plus en plus homogène et si l'on ne prend pas les points tout de suite, on court après toute la saison... C'est le cas du Gym, mais ils ont gagné des matchs importants juste avant la trêve.

C'est votre 4e saison à Lyon. Celle de la transition avec le départ de Puel et des moyens à la baisse ?

Beaucoup de choses ont changé. Avec les débuts de Rémi Garde. On a retrouvé un enthousiasme, on va dire un nouvel élan. C'est un jeune entraîneur, il apprend mais ça se passe bien. On a connu des absences avec Ederson et Lisandro qui nous ont porté préjudice mais bon, on est toujours en course dans toutes les compétitions.

Ça vous a fait mal qu'on ait pu douter de la nature de votre succès à Zagreb (1-7) et de la qualification ?

Disons que je peux le comprendre... Mais dans le sport aujourd'hui, c'est difficile de truquer. En tout cas nous, on l'a vécu sur le terrain en sachant se transcender, même si le résultat est assez atypique. C'est une équipe qui était déjà en vacances et on a su les faire craquer, voilà.

Votre avis sur les pétrodollars du Qatar qui pleuvent sur le PSG et semblent redistribuer les cartes : un bien ou un mal pour la Ligue 1 ? Lyon et l'OM ne vont-ils pas rentrer dans le rang ?

Ça peut être un bien car de grands joueurs vont venir. Surtout à Paris (il rit) ! Maintenant, Lyon, l'OM et Lille ont un statut à confirmer chaque année et il ne faudrait pas trop que l'écart se creuse sportivement, autant que financièrement... Mais c'est le terrain qui décide, on l'a vu à Lyon qui a dépensé beaucoup pendant deux saisons sans avoir de résultats. Et aujourd'hui le club est dans le besoin de vendre...

Les 500.000 euros nets mensuels d'Ancelotti choquent déjà en France. Vous également ?

Il faut quand même souligner que la moitié va

à l'Etat français (Ndlr, sur le brut mensuel). C'est bien aussi pour l'Etat ! Le foot reste un sport avant tout mais aujourd'hui, il y a tout l'extra-sportif qui l'entoure avec énormément d'argent en jeu... Et puis bon, Ancelotti fait partie à mon avis des trois meilleurs entraîneurs du monde, c'est logique qu'il soit rémunéré de la sorte, comme il l'a été avant. Même si c'est vrai qu'en France, on n'a pas connu encore ce genre de très gros salaires.

Parlons un peu de l'équipe de France. Avec des hauts et des bas... Toujours en chantier, non ?

Oui, dans le jeu... Après, les résultats restent cohérents et bons avec un série d'une quinzaine de matchs d'invincibilité. Cela dit, on ne peut pas prétendre à quoi que ce soit face à des équipes comme l'Espagne, l'Allemagne ou la Hollande. On peut être un outsider mais il ne faudra pas brûler les étapes. Car ça fait deux compétitions internationales où l'équipe de France n'a pas passé les poules : c'est l'objectif !

Comment faire pour jouer mieux ?

La génération 98 ne s'est pas faite en un jour, elle a aussi connu des échecs. L'équipe est jeune avec une belle marge de progression sur les quatre à huit années à venir. Il faut être patient même si les gens veulent tout, tout de suite. C'est une culture. C'est bien aussi de s'en tenir aux résultats. L'OM a été champion sans forcément séduire.

Vous avez eu 25 ans, vous avez le brassard de capitaine en équipe de France : est-ce que c'est l'âge de la maturité désormais ?

Disons que j'ai évolué. Je pense avoir encore un cap à franchir. Je reste malgré tout quelqu'un d'épanoui. J'avance et je chercherai toujours à progresser. J'ai eu la chance de débuter très jeune. Je ne trouve le plaisir que dans la gagne et lorsqu'autour de moi je ne ressens pas la même envie, la même détermination, je le fais savoir !

Après Lyon, quel horizon pour Hugo Lloris : l'Italie, l'Espagne, l'Angleterre ?

J'ai toujours dit et je n'ai pas changé, c'est la grande maison qui m'attire. Avoir l'opportunité de jouer dans un grand club, c'est un objectif. Il y en a quatre ou cinq majeurs en Europe. Mais j'aimerais quand même gagner des titres avec Lyon avant de partir, car j'y suis venu pour ça.

sportif azuréen sur qui parier en 2012.
lundi 02 janvier 2012 à 07h20 L'ex-gardien du Gym Hugo Lloris sportif azuréen devrait "perfer" en 2012.
Hugo Lloris : un rempart pour les Bleus à l'Euro 2012

A 25 ans, il a atteint la maturité à son poste et reste convoité par les plus grands clubs de football européens. Avec 197 matchs de Ligue 1 au compteur, au fil de ses trois saisons à l'OGC Nice et désormais quatre sous le maillot lyonnais, Hugo Lloris demeure l'incontestable gardien de but n°1 en France.

A charge pour le Niçois d'aller le plus loin possible au printemps avec l'OL en Ligue des champions. Et surtout, de faire briller le maillot frappé du coq lors de l'Euro 2012 en Pologne et Ukraine. Un signe qui ne trompe pas : Laurent Blanc lui a confié le brassard de capitaine des Bleus.

Lloris : «Tout à gagner»
Le 10/01/2012 à 10:52
Hugo LLoris veut jouer le coup à fond en Coupe de la Ligue contre Lille.
Hôte de Lille, mercredi en quarts de finale de la Coupe de la Ligue, Lyon compte bien profiter de cette rencontre de prestige face au champion de France pour «lancer (sa) deuxième moitié de saison» , comme l'a indiqué Hugo Lloris en conférence de presse. «Il y a tout à gagner, a ajouté le gardien des Bleus. Il faut prendre ce match sérieusement et chercher la performance» . Seulement pour se qualifier, l'OL devra sortir le grand jeu face au «favori du Championnat» pour Lloris. «Lille a très bel effectif et un très beau collectif, a-t-il estimé. A nous de les faire déjouer».

«De l'émulation et de l'envie»
Motivés cette année, les Lyonnais le sont dans une compétition qui n'a pourtant pas toujours été leur priorité. «Il y a de l'émulation, de l'envie, a lui aussi constaté le coach rhodanien, Rémi Garde. Il ne faut pas avoir de regrets et aller jusqu'au bout». Pour cela, Lloris et les siens savent ce qui leur reste à faire.

28/02/2012 - 19:05
Jacquet: "Blanc ne prend pas de risque"
Invité à réagir à la nomination d'Hugo Lloris en tant que capitaine pour l'Euro, Aimé Jacquet a salué le choix de Laurent Blanc: "Je pense que Lloris fait l’unanimité avec le groupe donc il(Laurent Blanc, ndlr) ne prend pas de risque. Il faut un capitaine qui a l’habitude de commander, il le fait déjà bien à Lyon. L’équipe de France n’est pas une équipe de club, ce qui est intéressant pour Laurent Blanc, c’est qu’il rentre dans une période où chaque match va donner le ton de ce qui va se passer à l’Euro." Et l'ancien sélectionneur de répondre à une question sur une éventuelle défaite des Bleus mercredi face à l'Allemagne: "Ce n’est pas la défaite qui est importante, c’est le contenu. Il y a encore beaucoup de choses à faire, les animations ne sont pas tout à fait en adéquation avec le jeu collectif, donc il y a encore du travail avant cet Euro."