LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM

Coupe de la Ligue : l'OM recevra Nice en demi-finale4 contributions Publié le mercredi 11 janvier 2012 à 23H17


L'OM connaît son adversaire pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue. Didier Deschamps et ses joueurs ont évité Lyon, qui se déplacera à Lorient le 31 janvier prochain, pour hériter de l'OGC Nice. Les Olympiens recevront la formation de René Marsiglia le 1er février.


SCENARIO IDEAL ELLE EST PAS BELLE LA VIE

L'OM ECRASANT NICE AU VELODROME
LORIENT SUR SON SYNTHETIQUE ACCROCHANT LE LYON CONVALESCENT

EN FINALE AU STADE DE FRANCE L'OM NE FAISANT QU'UNE BOUCHEE DE TENDRES MERLUS
ET CONSERVANT FACILEMENT SON TITRE DANS SON JARDIN

JAMAIS DEUX SANS TROIS ...EFFECTIVEMENT

Le coup parfait
LLes OOllyymmppieennss oonntt bbaattttuu LLillllee ((22-00)) ggrrââccee
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Diarra : "Mathématiquement, tout est encore possible
le lundi 16 janvier 2012 à 13H16


Voici la réaction d'Alou Diarra après la victoire de l'OM sur Lille : "Gagner de cette manière est bénéfique pour le moral, la confiance. Nous sommes capables de rivaliser avec n'importe quelle équipe. Mathématiquement, tout est encore possible, mais il est encore trop tôt pour parler de titre ou d'autre chose."

VENUS C 'EST UN TITRE

Quevaut lacoupedeFrance?
CONCURRENCE La plus vieille compétitionfrançaisen’estplusque le quatrièmeobjectif pour l’OM

Le règlement de la coupe de France
est très clair en son article V,
alinéa A : "Cette compétition a
priorité sur toutes les compétitions seniors."
La Coupe de France est donc en
théorie la compétition la plus importante
du foot français. Elle est la première,
historiquement, avec une création
en 1917, contre 1932pour le championnat
de France professionnel. Mais
cette primauté remonte vraiment à
d’autres temps; pas aussi totalement
révolus que ne l’indiquent les premiers
finalistes (Olympique de Pantin-
FC Lyon, CASG Paris-Olympique
de Paris). Les finalistes suivants (Le Havre
en 1920, le Red Star, vainqueur en
1921, 22, 23, l’OMen 1924) sont même
tout à fait d’actualité en ce début
d’année 2012.
Mais si la cohabitation avec le championnat,
qui sacre la meilleure équipe,
a longtemps permis à la Vieille Dame
de conserver son rang, par son originalité,
ses surprises, la créationde la coupe
de la Ligue en 1995, puis la vampirisation
du foot de haut niveau par la Ligue
des champions, avec samultidiffusion
télévisée, a fait peu à peu reculer
la coupe de France dans la hiérarchie
des préoccupations des clubs.
La raison est d’abord financière, le
tableauci-contre, le démontre: une demi-
finale de coupe de la Ligue peut
rapporter plus qu’une victoire en coupe
de France, surtout si le club a la
chance de rencontrer des adversaires
qui remplissent les stades. Alors qu’en
coupe de France, on peut très bien aller
loin en affrontant Aubervilliers, Locminé,
Carquefouet le FCSainte Thérèse
des Bois Jolis. Mais sans remplir les
tribunes, ni les caisses.
En outre, la coupe de la Ligue qui offre
une place européenne au vainqueur
(qui la galvaude généralement
en faisant l’impasse sur la Ligue Europe),
se gagne en quatre victoires, alors
que la coupe de France en exige sept.
Mais c’est surtout le calendrier de
fin de saison qui pose problème.
Si Lille a réussi le doublé en 2011, c’est
un exploit rare que même le grand
Lyon des années 2000 n’a accompli
qu’une seule fois, en 2008; l’OM y est
parvenu en 1972 et 89, mais sans jouer
de coupe européenne en même
temps. Dimanche, Didier Deschamps
peut aligner sa meilleure équipepossible,
sans tropde risque. Si l’OMsequalifie,
ce sera plus délicat en huitièmes,
avec l’accumulation des rendez-vous,
trois jours après OM-Lyon. Sans faire
d’impasse, il faut faire des choix.
Aujourd’hui, pourtant, c’est avec un
enthousiasme non dissimulé qu’un
garçon comme Jérémy Morel, qui
avoue n’être jamais allé loin en coupe,
aborde la compétition. "La coupe garde
toute sa saveur; quand on est venu à
Marseille pour gagner un maximum de
matches, on ne se préoccupe pas de la
lourdeur du calendrier. Et il ne faut surtout
pas manquer d’agressivité contre
des équipes hiérarchiquement inférieures."
Cesar Azpilicueta, qui, lui, a la culture
d’un autre pays, pointe la différence
avec l’Espagne: "Les rencontres s’y déroulent
par matches aller-retour, ça réduit
les surprises et d’ailleurs les clubs
qui jouent pour éviter la relégation,
font souvent l’impasse. Mais en France,
on a envie d’aller au bout. C’est plus
long que la coupe de la Ligue, il faut
donc être encore plus costaud

dommage moi je prefere coupe de france a celle de laligue

banjo a écrit:dommage moi je prefere coupe de france a celle de laligue

tu as vu qu'elle rapporte plus

Les titresDE LA QUALIF
La Provence : C’était moins une
La Marseillaise : Tout sauf un Havre de paix
L’Equipe : L’OM s’extirpe du piège havrais
Lfp.fr : L’OM toujours en course
Europsort : L’OM a serré les dents

Laammaarchheennaavaannt


SÉRIEMenés au score, lesOlympiens
ont surenverserune situationcompliquée
pour s’imposer à Rennes et signer un retour
fracassant dans le Top5de la Ligue1

Les Rennais ont offert
deux belles saucisses
pour remettre en selle
cet OM mal embarqué
Benoît Cheyrou peut tirer la langue, il vient de permettre à l’OM de doubler Rennes




Toutes les séries sont vouées à
s’arrêter". Quand Didier Deschamps
prononçait cette phrase,
vendredi, il songeait avant tout à celle de
Rennes, invaincu cette saison dans son
stade de la route de Lorient (4 victoires, 5
nuls). Davantage qu’à celle de son escouade,
invincible depuis la fin du mois
de novembre (9 victoires et un nul, toutes
compétitions confondues).
L’entraîneur marseillais ne pensait
pas si bien dire. En Bretagne, l’OM a
poursuivi la sienne, stoppant nette celle
de son adversaire, et en profite pour le
doubler au classement.
Pourtant, avec les succès conjugués
du PSG, Montpellier, Lille et Lyon la
veille, l’OM n’avait - encore - pas le choix
pour rester accroché au wagon "Ligue
des champions": il lui fallait ramener un
résultat de Bretagne. La faute à ce maudit
début de saison, qui place, à chaque
journée, l’équipe de Didier Deschamps
dans une situation de quitte ou double.
Une position d’autant plus renforcée
quand l’OM voyait se dresser tour à tour
Lille, Rennes et Lyon à la suite, dans son
calendrier de début d’année.
La première étape nordiste a été
franchie avec brio. Pour la Bretonne, ce
fut une toute autre paire de manche. Ce
fut même un petit miracle si les Olympiens
parvenaientà égaliser avant la pause,
tant le milieu de terrain marseillais
fut concassé par les bulldozers de Frédéric
Antonetti. À ce moment-là,
l’inquiétude était grande tant avec Diarra
à la ramasse et Lucho aux abonnés absents,
l’OM peinait à endiguer les assauts
bretons. Un sentiment renforcé
par le but de Doumbia, qui profitait de
sa liberté pour ajuster Mandanda de 20
mètres (15). Et il fallait un gardien olympien
inspiré pour que l’addition ne soit
pas davantage salée.
Mais à Rennes, la spécialité locale,
c’est la galette-saucisse. On en trouve de
partout aux abords du stade, et elleamême
inspiré un tube - enfin, une chanson
- à un groupe local pour en faire l’hymne
du Stade Rennais. Si le but de Doumbia
peut s’apparenter à la galette, les Rennais
ont offert deux belles saucisses pour
remettre en selle cet OM mal embarqué.
Il y eut d’abord ce centre de Rémy dévié
dans son but par le revenant Apam(44) ;
et puis cette bien mauvaise inspiration
du jeune Abdoulaye Diallo - suppléant
de Benoît Costil (suspendu) - sur un tir
puissant de Benoît Cheyrou (77).
Ce deuxième but était cependant bien
mérité pour un OM métamorphosé
après le repos. Certes, Rennes avait baissé
de pied, incapable de maintenir le
pressing tout terrain de la première période.
Mais l’OM a su dans le même
temps hausser son niveau de jeu, à
l’image d’un Alou Diarra redevenu solide
dans l’entre-jeu.
Même l’entrée en jeu de Mevlut Erding,
que les supporters olympiens ont
copieusement saluée, n’a rien changé.
Rennes n’avait plus les moyens pour
contrecarrer les plans de cet OM décidément
irrésistible. Après la victoire à
l’aller, Frédéric Antonetti avait prévenu :
"L’OM sera vite de retour dans la première
partie du tableau". Lui aussi, il avait
tout bon

COUPE DE LALIGUE CONTRE NICE AUVÉLODROME
L’OM pour une troisième finale

UUUnnn pppeeeuuu
tttrrroooppp fffaaavvvooorrriiisss
COUPEDE LA LIGUE FaceàNice, lesOlympiensont la possibilité
de jouerune troisièmefinaled’affilée.Gareàl’excès de confiance

10 L’OM reste sur dix victoires consécutives en coupe
de la Ligue, face à Saint-Étienne, Lille, Toulouse,
Bordeaux, Guingamp, Monaco, Auxerre,
Montpellier, Lens et Caen. Sa dernière défaite remonte
au 24 septembre 2008 à Sochaux (1-0).

Sept victoires
consécutives.
Dix sur les onze
derniers matches,
avec un seul nul concédé
aux Girondins.
L’OM, passé de la dernière à la cinquième
place, entre septembre et janvier. Avec la
possibilité de devenir quatrième, voire troisième
dimanche soir en cas de victoire sur Lyon
et de défaite lilloise à Sochaux. L’OM qualifié
pour les huitièmes de finale de la Ligue des
champions, pour les huitièmes de finale de la
coupe de France et donc, les demi-finales de la
coupe de la Ligue, qu’il a déjà remportée en
2010 et 2011.
Un OM où Loïc Rémy, Mathieu Valbuena,
Morgan Amalfitano marchent sur l’eau, tandis
que l’épanouissement de Nicolas Nkoulou ou
Cesar Azpilicueta, devant un Steve Mandanda
souvent impérial, ont contribué à hisser
l’équipe audeuxième rang des défenses de L1.
L’OM, enfin, qui joue à domicile, face à un
OGCNice, qu’il a déjà battu cette saisonàMarseille,
Nice, dernier de L1, dont la dernière victoire
remonte au 17 décembre contre Valenciennes.
Un Gym, qui avec ses huit absents,
blessés ou participant à la CAN, fait encore pire
que l’OM"seulement" privé de six joueurs.
Bref, tout seprésentepour le mieux. L’OM est
favori. Trop, beaucoup trop pour que l’on
s’attende à une soirée sans problème. Comme
le souligne Steve Mandanda, "quand on est sur
une série, plus on avance, plus on s’approche de
la fin de la série. On me prendrait pour un fou si
je disais que nous ne sommes pas favoris.
Mais en coupe, ce n’est jamais pareil, quand au
bout d’un match, il y a une finale au bout.
Le match contre Le Havre a confirmé cela.
Nous ne sommes pas déjà au Stade de France,
mais nous avons très envie d’y retourner."
"Quand une opportunité se présente..."
Le danger est là finalement: être trop nettement
désigné comme le finaliste qui va défendre
son trophée le 14 avril prochain, tandis que
le Gym joue le maintien et pourrait ne songer
qu’à ça.
"Je ne crois pas que mes joueurs se croient déjà
qualifiés. Je suis convaincu qu’ils ont l’envie de
victoire en tête, répond Didier Deschamps. Gagner
des titres, c’est toujours important et on ne
peut pas toujours choisir. Quandune opportunité
se présente, il faut la saisir. Je ne vais pas minimiser
la coupe de la Ligue. Mes joueurs en sont
conscients."
Il est vrai que nous sommes là en demi-finale.
Pas en seizièmes ou en huitièmes et que la
motivation n’est pas la même. La politique
d’un entraîneur non plus. Didier Deschamps
en a donné la preuve avec Monaco. En 2003,
il était venu disputer une demi-finale au Vélodrome.
Il l’avait gagnée et remporté le trophée
dans la foulée. Quelques mois plus tard, à
l’automne, il avait aligné une équipe de jeunes
réservistes renforcés par Plasil et Prso et il avait
perdu. "Ce n’était pas le même moment dans la
saison", explique-t-il.
Le même raisonnement pourrait prévaloir
pour le poste de gardien dont il a affirmé hier
qu’il n’avait pas tranché entre Steve Mandanda,
le capitaine-titulaire et Gennaro Bracigliano,
aligné contre Lens et Caen aux tours précédents
comme l’avait été Elinton Andrade en
2010 et 2011.
Pour le reste, il aplutôt le choix de l’embarras
que l’embarras du choix. Comme René Marsiglia.
Une bonne tempête de neige, un report, ça
ne dérangerait peut-être pas grand-monde.
Mais si ça reste jouable, l’OM devra jouer en
oubliant la hiérarchie, en conservant sa fraîcheur
d’âme et son caractère. Et en se méfiant
de l’ami Renato Civelli sur les corners et les
coups francs.

: jeudi 2 février 2012 08:17
Coupe de la Ligue: Marseille défendra son DOUBLE titre en finale contre Lyon
La finale de la Coupe de la Ligue offrira le 14 avril au Stade de France une affiche de choix entre deux cadors de la L1: Marseille, vainqueur de Nice (2-1) mercredi, qui briguera un 3e titre d'affilée contre Lyon, renversant la veille pour éliminer Lorient (4-2 a.p.).

Doubles tenants du titre, les Marseillais auront l'occasion de rejoindre Bordeaux et le Paris SG au palmarès des clubs les plus sacrés d'une compétition née en 1995. Mais ils pourraient ajouter de l'inédit à l'exploit en étant les premiers à y parvenir pour la 3e fois consécutivement.

L'OM, tombeur de Bordeaux et Montpellier et 2010 et 2011, sera cette fois opposé à Lyon, dont ce sera la 4e finale après celle remportée en 2001 et les deux perdues en 1996 et 2007.

Favoris de leurs demi-finales, Marseillais et Lyonnais ont néanmoins lutté pour arracher une place en finale.

Au Vélodrome, face à des Niçois derniers du championnat et minés par l'annonce de l'arrêt de la carrière d'Emerse Faé, victime à 27 ans d'une phlébite, les Phocéens ont montré un visage moins séduisant que lors de leurs dernières sorties.

Rémy s'est d'abord distingué en ouvrant la marque d'une superbe frappe enroulée (17e), avant d'être à l'origine de l'égalisation azuréenne de Mounier (44e), en perdant le ballon au début de l'action. C'est Brandao, pour sa deuxième titularisation depuis son retour, qui a offert sa troisième finale à l'OM en reprenant du gauche une offrande malheureuse du Niçois Clerc (57e).

le chef d'ouevre de REMY FETE..
maritima sports

LA COUPE DE LA LIGUE
Prioritéàl’OL

La première réunion concernant l’organisation
de la finale de la coupe de la Ligue, le 14 avril, s’est
tenue hier à Paris. Le tirage au sort effectué en présence
des deux clubsa donné à Lyon toutes les priorités,
celui du club recevant. L’OL aura donc les
avantages accordés à l’OM, les deux dernières saisons
contre Bordeaux et Montpellier.
Lyon a le choix des couleurs (il jouera en blanc,
l’OM en bleu), du vestiaire et aura également le privilège
de choisir ses créneaux horaires pour
l’entraînement la veille de la rencontre au Stade de
France. Concernant les autres détails, la Préfecture
de Paris décidera rapidement comment répartir les
supporters des deux clubs dans l’enceinte dionysienne.
Selon les premières discussions, les supporters
olympiens se retrouveront aux mêmes emplacements
que lors des deux succès. Chaque club s'est
vu attribuer un quota identique de billets dont il a
la charge en terme de commercialisation. Le nombre
de places est limité à cinq par acheteur.
La gratuité est assurée pour toute personne handicapée.
T.M.
Les tarifs: 90€, 75€, 60€et 45€.

Le casse-tête
de la Coupe
de France

En pleine embrouille...
COUPE DE FRANCE Bourg-Péronnas-OMaété reporté au 15 février. Pas certain que ce soitàGeoffroy-Guichard...

Dans le petit bureau de
Saint-ÉtienneMétropole
au rez-de-chaussée du
stade Geoffroy-Guichard,
Jean-Jacques Fradin et son équipe
consultent les derniers bulletinsmétéo.
Il pointe du doigt la
courbe et affirme: "Aucune dépression
n’est prévue, mais on
reste sur des valeursnégatives inquiétantes.
Franchement, je ne
vois pas comment ce match
peut être maintenu."
Dehors, le thermomètre affiche
-10ºC. À l’intérieur, "c’est
13,6ºC", s’amuse la secrétaire,
emmitouflée dans une polaire
et uneparka, balayéepar le courant
d’air de l’ouverture incessante
de la porte.
Il est 9h30. Sur le chemin menant
à Bourg-en-Bresse, la halte
à Saint-Étienne a déjà des allures
de fin d’étape. À l’entrée
du stade, la voiture de Gilles
Garnier, le président de
Bourg-Péronnas, accompagné
de deux assistants attend
l’ouverture de la barrière.
L’homme fort du club de l’Ain a
déjà son idée derrière la tête. Il
lit le texto reçusamedi du directeur
des activités de la Fédération:
"Nous travaillons sur un
report. Il est effectivement plus
saged’envisager avec sérieux cette
éventualité." L’humeur du
temps du week-end ne change
pas la donne.
L’OM suggère une inversion
de la rencontre. Pendant la réunion,
regroupant encore les services
municipaux, la Préfecture
et Pierre Longere, secrétaire général
adjoint de la Ligue Rhône-
Alpes, représentant la Fédération,
le téléphone sonne.
L’OMn’a pas été convié à la réunion
et boude un peu. "Oui,
Monsieur, exprime Gilles Garnier,
nous avons bien reçu vos
mails et vos textos. Par correction
pour les personnes assistant
à cette réunion, je dois raccrocher.
Je vous rappelle."
Depuis plusieurs minutes, le
report est déjà entériné. Le président
de Bourg se tourne vers
nous. Il s’excuse presque :
"Comprenez bien, c’est un acte
de sagesse. Il y a des décisions où
il est nécessaire de braver les éléments
pour sauver des vies et
c’est humble ; pas pour un
match de football."Dans le mille!
Le club burgien est aussi un
peupris à la gorge: "Je veux éviter
un déplacement aux gens de
l’Ain, dans des conditions de circulations
risquées pour un
quart d’heure de foot. Si onnous
impose de venir, que le match
est arrêté, Bourg-Péronnas paiera
deux fois les frais de sécurité.
Je ne mettrai pas le club dans le
rouge."
La propositionde l’OM est balayéeimmédiatement:
"Techniquement,
en 48 heures, il est impossible
de rembourser les
5200 billets déjà vendus. Nous
sommes un petit club dans une
compétition de géants. Il faudrait
demander aux joueurs de
poser trois jours de congés dès ce
lundi pour mercredi ; organiser
le déplacement des supporters et
encore, combien nous suivrait
un mercredi après-midi à plus
de 400 kilomètres de chez nous?
Je ne peux pas imposer cela aux
Bressans, il ne me le pardonnerait
pas."
Pierre Longere acquiesce :
"Rien n’a évolué depuis samedi,
explique le délégué fédéral. En
voyant les accès de voirie aux
alentours du stade, on ne peut
pas jouer avec la sécurité des
gens." Un relevé de température
de la pelouse indique -4,9ºC.
Elle est bâchée. Jean-Jacques
Fradin : "Il faudrait un jour
avoir un peu de bon sens dans ce
pays et nepas faire jouer des rencontres
coûte que coûte. On ne le
sait pas assez: Geoffroy-Guichard
est l’un des stades les plus
élevés d’Europe. La pelouse n’est
pas tout. À Sochaux, elle est
chauffée et pourtant, elle a gelé
samedi. L’homme ne peut pas
lutter avec la nature."
La reprogrammation de
Bourg-Péronnas- OM, mercredi
prochain à 17h, n’est pas une
garantie.
Un léger redoux est annoncé,
mais le thermomètre restera largement
en dessous de zéro. De
quoi brûler encore beaucoup
de fuel. La semaine dernière,
avant Saint-Étienne-Lorient, 7
000 litres ont été consommés
pour avoir droit à une parodie
de neuf minutes...

Jean-Jacques Fradin, de Saint-Étienne Métropole,
et Gilles Garnier, président de Bourg-Péronnas
, en haut à gauche, ne savent pas si le match



pourra se jouer mercredi prochain. Hier, à 10h30, la température de la pelouse, sous protection, était de -4,9ºC.


"Acceptez l’inversion !




Nous connaissons
du monde à la
Fédération,
nous allons activer
tous nos réseaux."
VOICI LES MOTS PRONONCÉS PAR
UN CADRE DE L’OM, HIER,ÀUN
DIRIGEANT DE BOURG-PÉRONNAS.
LESBURGIENS N’ONT PAS
APPRÉCIÉ

ÉCONOMIE
L’OM a gagné plus d’argent que l’OL


Comme chaque année, le
cabinet Deloitte a établi le
classement des clubs qui
ont gagné le plus d’argent
en 2011 (sans tenir compte
de leurs dépenses).
Pas de surprise, le Real Madrid
et le FC Barcelone occupent
les deux premières places
avec respectivement
479 et 451 millions d'euros
de revenus annuels, devant
Manchester United, avec 367 M¤.
L'OM, malgré un bilan négatif, grimpe à la 14e place (150 M¤). L'OL
est 17e avec 133 M¤. C'est la première fois depuis sept ans que l'OM se
place devant l'OL, avec des revenus accrus de 9,3 M¤, ceux de l’OL
ayant, au contraire, diminué de 13,3 M¤ en 2011

1/4 de finale
Le tirage des quarts
•Valenciennes FC - Stade Rennais FC
•Ajaccio GFCO - Montpellier HSC
•US Quevilly ou US Orléans 45 - Olympique de Marseille
•Paris Saint-Germain - Olympique Lyonnais


je sens que la coupe de france est pour nous cette annee
les gros s'entrebattent alors que nous nous allons battre le petit poucet
apres le red star puis bourg puis quevilly puis le gaz
LA ROUTE DE LA FINALE EST TOUTE TRACEE

Découvrez l'affiche officielle de la finale de la coupe de la Ligue Publié le lundi 20 février 2012 à 18H11
L'affiche officielle de la prochaine finale de la Coupe de la Ligue a été dévoilée ce lundi sur le compte Twitter de la LFP. Cette rencontre, qui mettra aux prises l'OM et Lyon, aura lieu au Stade de France le 14 avril (20h45).
- Renseignements :
Si la billetterie n'est pas encore ouverte, la Ligue a déjà communiqué les tarifs :
Catégorie 1 : 90€
Catégorie 2 : 75€
Catégorie 3 : 60€
Catégorie 4 : 45€

Tu arrive a ouvrir le journal !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Moi non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

venus a écrit:Tu arrive a ouvrir le journal !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Moi non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

ca c'est celui du 18 samedi

celui du 21 je l'ai ouvert vers 9 h 20
sois patient mon jeune ami