LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM

Petit Papa Noël...
LIGUE DES CHAMPIONS L’OM espère revenir de Dortmund avec une qualification, qu’il va devoir conquérir



Gelbe Wande, Sud Tribüne. Le mur est vide,
à la veille du match mais dégage déjà
une incontestable majesté, avec ses rampes
jaunes qui grimpent vers un ciel noir.
L’Europe du football est riche d’enceintes
chargées d’histoire. Certaines décrépites,
d’autres disparues, et d’autres encore, rajeunies,
comme le Westphalenstadion du BvB, qui
a vibré aux exploits de Riedle, Möller, Hässler,
Sammer, Reuter, Chapuisat ou Leo Rodriguez,
l’Olympien fantôme des années 90. Malgré son
"naming" en Signal Iduna Park, cet immense
fleuve de béton a gardé son âme. Et sa fureur. À
laquelle Jürgen Klopp espère bien insuffler rapidement
une ardeur décuplée, en demandant
à ses joueurs d’ouvrir le score très vite.
C’est pour de tels lieux plus que pour une
quelconque musique que la Ligue des champions
mérite d’être vécue, en héritage des coupes
européennes d’antan dans lesquelles le Borussia
fut le premier club allemand à se distinguer
au milieu des années 60. Pour être digne
de l’équipe des années 90, bête noire de la Juve
de Deschamps et Zidane, le Dortmund
d’aujourd’hui va donc se montrer moins naïf,
mais surtout plus présent dans les duels.
C’est une équipe qui se rêve différente du
match aller que l’OM va défier ce soir. Avec le
souvenir d’une certaine réussite, mais aussi celui
de 60 duels gagnés contre 40, d’un réalisme
qui avait alors installé l’OM dans la posture de
l’équipe habituée à ce niveau et le Borussia
dans celui de l’équipe qui découvre.
En deux défaites au Vélodrome, l’OM a dilapidé
le bénéfice de son excellent départ. Et se
trouve donc dans l’obligation d’aller chercher
son cadeau de Noël au pied d’un arbre enneigé
dans la Ruhr. Mais en surmontant toutes sortes
d’obstacles qui vont se dresser tout à
l’heure sur son chemin. Le Père Noël ne sera
pas allemand, il faudra le chercher dans ses
propres rangs. L’OM a-t-il l’âme nécessaire ou
des petits souliers comme face à Olympiakos ?
"La veille du match contre Olympiakos, je sentais
le groupe prêt, souligne Steve Mandanda.
On sait ce qu’il est advenu; la veille et le jour J, ce
n’est pas la même chose.
Cette fois-ci, il faudra l’esprit nécessaire pour
gagner et nous qualifier, car là, il n’y a pas de
deuxième chance."
Depuis Olympiakos, il y a eu Paris, puis
Caen, un OM plus musclé et plus confiant.
Mais qui a laissé sur le bord de la route Morel,
Gignac, Rémy, Mbia, suscitant diverses incertitudes
sur les forces vives qui vont pouvoir
l’animer. C’est un grand défi qu’il va falloir relever
ce soir. Victoire, nul ou défaite, ce n’est pas
seulement l’affaire d’un soir.
C’est aussi un stimulant pour les trois matches
de L1 à venir, c’est l’intérêt de la suite de
la saison, c’est un différentiel de quelques millions
d’euros et un avenir qui va bien au-delà
du mois de février. Bref, faut espérer que le Père
Noël ait une petite préférence pour la France...

Ligue des champions : quels sont les adversaires potentiels de l'OM en huitième ?
le mercredi 07 décembre 2011 à 08H55


Après sa victoire à Dortmund et sa qualification, l'OM pense désormais aux 8es de finale de la Ligue des champions. Voici la liste des adversaires éventuels des Olympiens :
Chelsea,
Apoel Nicosie,
Barcelone,
Bayern Munich,
Inter Milan,
Real Madrid,
Manchester United ou Benfica ou Bâle.

Le tirage au sort Il aura lieu le vendredi 16 décembre à Nyon en Suisse. Les dates : 14 - 22 février Retour: 6 - 14 mars.

"Important dans l’histoire de l’OM"
ANALYSE Didier Deschamps mesure la portée
de l’exploit olympien d’hier soir

Laborieux puis étincelant
07-12-2011

Dernière mise à jour : ( 07-12-2011 )



La tête d’André Ayew qui remet les Marseillais dans le droit chemin. Le tournant du match.
Un match en deux temps mercredi soir, avec un OM qui a su changer de costume au meilleur moment.

Les Olympiens s’attendaient à souffrir. Ce fut le cas. La première période aurait pu virer au cauchemar complet sans un trait de génie signé Loïc Rémy. Son coup de tête victorieux dans le temps additionnel a non seulement fait taire le Westfalenstadion, mais il a surtout assommé un collectif allemand qui, jusque là, en avait fait baver ses ronds de chapeau à une défense marseillaise au bord de l’explosion.

L’OM a donc dû plier l’échine. Les Phocéens étaient condamnés à courir dans le vide, tentant vainement d’apprivoiser un ballon qui se refusait à eux. Face au rouleau compresseur allemand, la défense allait tenir vingt-quatre minutes. Mais à force de subir les piques de Lucas Barrios ou Lukasz Piszczek, la défense cédait sur une action initiée par le latéral polonais et conclue par son compatriote Jakub Blaszczykowski.

Cette réussite déclenchait un maelström jaune qui amenait rapidement un petit frère à ce premier but. C’était sur penalty cette fois que Steve Mandanda s’inclinait, huit minutes plus tard, après que sa défense ait montré des signes inquiétants de faiblesse. A ce moment de la rencontre, les Phocéens avaient la tête dans le sac et semblaient incapables de la sortir. L’OM était amorphe, avec une équipe coupée en deux, où Loïc Rémy se sentait bien seul dans une moitié de terrain allemande hostile et qui devait attendre la trente-huitième minute pour obliger Roman Weidenfeller à effectuer sa première intervention. Toutefois, sur la seconde, il offrait le but de l’espoir à son équipe.

Revigorés, les Olympiens entamaient le second acte avec d’autres intentions. Ils sortaient plus facilement de leur zone, faisant à leur tour douter la défense du Borussia. Plus équilibrés, les débats montaient en intensité. Après le ballon d’égalisation obtenu par André Ayew, on sentait que l’OM pouvait encore inverser la tendance dans un Westfalenstadion moins sûr de ses " Borussen ". Les craintes locales étaient fondées. Car André Ayew ne manquait pas sa seconde chance de remettre son équipe dans la course aux huitièmes.
Il entrouvait les portes du bonheur, avant que Mathieu Valbuena, ne vienne les ouvrir définitivement. Le troisième but marseillais, venu d’une frappe dont le " petit " a le secret, faisait chavirer de bonheur la délégation venue de Marseille.
Saint Nicolas avait choisi son camp.

EnzoWaddle


07/12/2011 à 21h26

Amalfitano est clairement une bonne pioche et je suis sur qu'il peut-être aligné avec Valbu...
mais c'est notre attaque dans son entier qui mérite d'être mis en avant...
Remy, un ballon, 1 but la marque des grands
Amalfitano 2 passes décisives, grosse activité
A.Ayew la gnac, un coup de boule superbe, une énergie de tout les moments
Valbu, le but de folie
et...
La bonne mère car hier soir elle était là en douzième "homme", on rejoue le match dix fois, on le perds neuf fois, mais la bonne mère c'est la plus forte...



narxes


07/12/2011 à 19h14

Je viens de revoir le match: Amalfitano a fait une prestation de grande classe. Il a boosté l'OM pendant toute la partie, jouant toujours juste. C'est avec Nkoulou la grande réussite du recrutement cette année.
Quant à Lucho, s'il a été un grand joueur, ça fait mal au coeur de le voir se traîner ainsi sur le terrain. Je crois que son départ au prochain mercato est acquis...

Pl Equipe Pts Jo G N P F Bp Bc Pé Dif
1 Montpellier 37 18 11 4 3 0 37 19 0 18
2 Paris S G 37 18 11 4 3 0 30 17 0 13

3 Lille 35 18 9 8 1 0 29 15 0 14
4 Lyon 35 18 11 2 5 0 31 20 0 11
......TROU
5 Saint Etienne 30 18 8 6 4 0 23 20 0 3
6 Toulouse 30 18 8 6 4 0 20 17 0 3
7 Rennes 29 18 8 5 5 0 28 23 0 5
8 Marseille 28 18 7 7 4 0 24 17 0 7..IS SONT 8 POUR LE TITRE
NE RIGOLEZ PAS L"OM PEUT ETRE CHAMPION MAIS WOUIIIIIIIII
VENUS OLYMPIEN MARC MAGIC DEBOUTS ALLEZ ON ACCELERE WROOOOOOOOOUM

..PAS UN TROU ...UN ABYME
9 Bordeaux 23 18 5 8 5 0 20 21 0 -1

L'OM au Stade de France ?
Le 19/12/2011 à 23:01

Le 32e de finale entre le Red Star et l'Olympique de Marseille, prévu le 7 janvier (20h45), pourrait se jouer au Stade de France,
. Les dirigeants du club de Steve Marlet auraient trouvé un accord de principe avec le consortium qui gère le Stade de France. La réponse définitive sera donnée mardi.

Red Star-OM
Mardi 20 Décembre 2011 à 17:52

Red Star-OM au Stade de France

La rencontre des 32es de finale de Coupe de France entre le Red Star et l'OM se jouera le samedi 7 janvier à 20h45 au Stade de France.

http://www.om.net/fr/OMtv_Online/301003/Accueil/7167/Il_etait_une_fois_OM_0_2_AJA

Il était une fois... OM 0-2 AJA
Durée : 2'07 - Date : 23/12/2011

23 décembre 2009

OM: letitre, encorepossible?
OBJECTIF Le podiumet la qualificationpour
la Liguedes champions sont beaucoupplus
dans les cordes

Mi-figue, mi-raisin
26-12-2011

Dernière mise à jour : ( 26-12-2011 )



Juin 2011, nouveau casting à la tête de l’OM. Après le limogeage de Jean-Claude Dassier, Vincent Labrune passe aux commandes. L’année 2011 a été encore une fois mouvementée du côté de la Commanderie, entre révolution de palais et tempête dans un verre d’eau. Rappel des faits...

Après une année 2010 millésimée, l’OM et Didier Deschamps étaient attendus au tournant. Allaient-ils enclencher une nouvelle série de trophées, surfant sur la vague d’une qualification historique en huitièmes de finale de Ligue des Champions ?
2011 s’ouvraient donc sur la possibilité d’un exploit face à Manchester United. La double confrontation face aux Red Devils devait finalement donner le ton de ce que serait cette année : mi figue, mi-raisin. Car, si l’OM n’a pas eu à rougir de son élimination, sa prestation face au futur finaliste a laissé comme un arrière-goût d’inachevé. Comme le fait de se faire coiffer par Lille pour le titre.
Certes, les Ch’tis ont mérité leur couronne pour leur régularité. Mais là encore, avec un peu plus de rigueur, les Olympiens auraient pu s’offrir autre chose qu’une seconde coupe de la Ligue au printemps dernier. Un printemps qui aboutissait sur un coup de tonnerre dans un ciel clair.

La Ligue des Champions pour bouée de sauvetage
Dans cet OM du début du XXIe siècle, les mois de juin des années impaire semblent propices aux révolutions de palais. Pape Diouf fut débarqué en 2009. Jean Claude Dassier a connu le même sort deux ans après. Avec au final l’intronisation de Vincent Labrune, qui jusque là officiait dans l’ombre et les pleins pouvoirs sportifs enfin réunis dans les seules mains de Didier Deschamps.
Restait à voir comment l’homme du renouveau allait gérer sa liberté d’action. Cela commençait plutôt bien, avec un second trophée des Champions, obtenu au terme d’un match rocambolesque face à Lille (5-4). Mais dès la reprise du championnat, l’édifice marseillais a connu une mer forte dans laquelle il est passé tout près d’un naufrage.
La Ligue des Champions a servi de bouée dans cette tourmente. L’OM s’y est accroché, emmagasinant de la confiance qui a ensuite rejailli dans les performances du championnat. Un championnat marqué par les derniers relents de la rivalité interne entre José Anigo et Didier Deschamps aboutissant sur un succès total du second.
En se qualifiant une nouvelle fois pour les 8e de finale de la Ligue des Champions, en étant toujours en course en coupe de Ligue, en coupe de France et en se relançant dans la course au titre, l’OM a su terminer sur une bonne note, lors d’un quatrième semestre presque parfait.
Avec comme symbole la renaissance de Mathieu Valbuena, redevenu décisif au bon moment.

Le vote OMPeut-on encore croire au titre pour l'OM ? Oui Non Ne se prononce pas Tous les votes OM
Peut-on encore croire au titre pour l'OM ?
19%Oui
80%Non
1%Ne se prononce pas

CatalogneL'OM arrive à Peralada



Valbuena et les Phocéens étaient venus à Peralada en 2010.

Quelques mois plus tard, ils étaient champions de France.
C'est un groupe élargi de 26 joueurs que s'apprêtent à retrouver Didier Deschamps et son staff, aujourd'hui pour la reprise de l'entraînement de l'OM, fixée à Peralada où les Olympiens ont droit à un stage de trois jours. Les Africains, concernés par la Coupe d'Afrique des Nations (21 janvier-12 février) seront présents ainsi que quatre jeunes issus du centre de formation. André-Pierre Gignac et Lucho sont également annoncés, bien que leurs noms alimentent la chronique du mercato. Le premier serait courtisé par Fulham tandis que le second pourrait s'exiler à l'étranger.

Les Marseillais ne seront pas en terre inconnue en Catalogne puisqu'ils s'étaient déjà rendus à Peralada, il y a deux ans. En janvier 2010, ils y avaient d'ailleurs lancé leur sprint final qui les avait ensuite amenés au doublé Championnat-Coupe de la Ligue. Cette année, les Phocéens vont également y préparer leur 32e de finale de Coupe de France face au Red Star (National) programmé samedi au Stade de France (20 h 45 sur Eurosport).

DD : «Ne pas s'enflammer»
11/01/2012 à 09:55

«Sérieux» contre Caen (3-0) et qualifié pour les demi-finales de la Coupe de la Ligue, l'OM ne doit «pas s'enflammer» avant le choc contre Lille, dimanche prochain en Championnat, prévient Didier Deschamps.


Didier Deschamps a passé une soirée tranquille et rassurante mardi soir à Caen. Mais Lille sera un autre match... (AFP)
«Didier Deschamps, quel bilan tirez-vous de ce match ? On était venu chercher la qualification, on l'a obtenue, c'est très bien. Il ne faut pas s'enflammer pour autant. On est reparti avec de bonnes intentions, on fait de bonnes choses, même si on a rencontré une équipe de Caen à qui il manquait quelques joueurs, mais ça n'enlève rien au mérite des joueurs qui ont joué avec sérieux. On a eu une bonne maîtrise, j'ai fait une équipe avec dominance technique, on a pu ressortir les ballons. On a eu beaucoup de mobilité, de justesse, en les faisant courir sur la largeur. Il était important de ne pas encaisser de but ? Même si on a eu deux ou trois piqûres de rappel en première période, être solide défensivement est important. C'est bien pour ceux qui sont rentrés et n'avaient pas joué samedi, et j'ai fait rentrer des jeunes (Ndlr : Gadi, 19 ans, et Omrani, 18 ans) qui n'avaient pas la pression parce que le résultat était acquis, c'est bien. Est-ce le scénario rêvé pour ce début d'année ? L'objectif a été atteint, mais ça ne garantit rien pour dimanche (face à Lille). On aura un autre adversaire, je serai demain (mercredi) dans mon fauteuil pour les regarder (contre Lyon). On se qualifie sans se faire de frayeur ni puiser dans l'énegie. Mais je le répète, il ne faut pas s'enflammer parce que dimanche ce sera largement supérieur.»

Jean-François Fortin (président de Caen) «Nous avons été battus par plus fort que nous, le score est assez éloquent pour l'affirmer. Peut-être que le score est un peu lourd. Je souhaite que cette détermination demeure, et que samedi contre Rennes je retrouve au minimum cette détermination. Par rapport au match de Coupe de France, j'ai trouvé dans l'équipe une motivation que je n'avais pas vue contre Troyes. J'avais dit aux joueurs ce que j'en pensais. J'avais eu le besoin de leur dire que j'avais honte, et quand bien même nous n'avions pas l'objectif premier de faire la finale de la Coupe de France, leur comportement n'était pas à la hauteur de mes espérances. Je considérais que depuis que je suis président, le Stade Malherbe avait toujours respecté les joueurs, et que les joueurs devaient respecter les supporteurs et les partenaires.»