LA CAVERNE DES TROPHEES DE L"OM

André Ayew, auteur d’un doublé, a permis à l’OM de sortir victorieux du traquenard de Marcel-Picot



Le débat va encore être animé. L’OM ne séduit
toujours pas, mais il continue de gagner et
d’avancer. Vainqueur sans être franchement lumineux
devant l’AC Arles-Avignon (1-0), à Sochaux
(1-2) et contre Saint-Étienne (2-1), le champion de
France en titre s’est de nouveau imposé, hier, sans
réellement éclabousser la partie de son génie.
Mais il n’est pas sûr que ce genre d’observation retienne
l’attention dans les rangs olympiens. L’OM
n’a plus perdu en championnat depuis le 5 décembre
(1-0 à Nice) et cette série de neuf matches sans
défaite (5 victoires, 4 nuls) lui permet, aujourd’hui,
d’avoir une position enviable au classement. La pression
est désormais sur Lille et le choc de dimanche,
au Vélodrome, peut être capital. Celui d’hier soir, entre
le Losc et Lyon (1-1) a fait l’affaire de l’OM, désormais
à un point du leader nordiste.
Si la qualité du jeu proposé ne suffira pas toujours
à bousculer des obstacles autrement plus solides que
l’opposition d’hier, la régularité olympienne et cette
faculté à ne jamais renoncer peuvent être des arguments
de poids à l’heure de forcer la décision, dans le
sprint final pour le titre. Buteur à la fin de chacune
des deux mi-temps, André Ayew les a parfaitement
incarnés sur le synthétique de Marcel-Picot. Si tout
ne fut pas parfait, loin de là, le jeune Ghanéen et ses
coéquipiers ont arraché un succès méritoire, dans
des conditions assez compliquées.
Sauvetages et opportunisme
Il faut ainsi rappeler que l’OM sortait d’un 8e de finale
de Ligue des champions contre Manchester United
(0-0), disputé quatre jours plus tôt, et enchaîner
par une sortie piégeuse à Nancy n’a rien d’évident.
Cela l’est encore moins quand on doit composer
avec plusieurs absences (outre Gignac, Fanni, Cissé
et Brandao avaient été ménagés) et les blessures de
deux cadres supplémentaires en plein match (Rémy
et Mbia).
L’AS Nancy a servi les desseins de l’OM en faisant
preuve de naïveté, mais elle est souvent arrivée à déstabiliser
la défense olympienne. Sur un corner, Sami
aurait pu ouvrir la marque d’une astucieuse déviation
de la tête sans un arrêt prodigieux de Mandanda.
Ce dernier, cependant, dut s’incliner, peu après,
sur une frappe joliment enveloppée du génial Féret,
lequel s’était joué de Kaboré, comme s’il l’avait fait
avec un piquet. Le gardien international évita même
le pire avant la pause en détournant du pied un tir à
bout portant de Traoré.
Cette intervention fut d’autant plus déterminante
que l’OM parvint à égaliser, dans la foulée, à la faveur
d’un immense cafouillage dans la défense lorraine et
d’un André Ayew opportuniste. Le Black Star se racheta,
là, de son gros loupé dans un face-à-face avec
Grégorini, après le premier quart d’heure. À ce moment-
là du match, l’OM s’était, d’ailleurs, montré
bien trop dilettante, trop sûr de lui, pour matérialiser
sa domination territoriale.
Un peu avant l’heure de jeu, il aurait pu encore
payer au prix fort cette suffisance récurrente sur une
double chandelle ahurissante signée Diawara et
Heinze à la retombée de laquelle Diakité fut tout près
de tromper Mandanda, puis Taiwo revenu éteindre
l’incendie sur sa ligne. Mais après avoir trop croisé
deux frappes en début de 2e période, André Ayew allait
de nouveau surgir pour éviter un surplace malvenu
à son équipe.

A. Pelé : «Marseille sera champion»

Actuel troisième de Ligue 1 à une longueur de Lille et Rennes avant la réception du Losc, dimanche, l'Olympique de Marseille pourrait bien conserver son titre de champion de France selon l'ancien milieu de terrain phocéen, Abedi Pelé.

«Marseille sera champion, a-t-il ainsi affirmé ce lundi sur RMC, en dépit des difficultés rencontrées dans le jeu par les Olympiens. Une équipe peut être championne même en jouant mal. En ce moment, c'est le cas de l'OM. Les Marseillais ne jouent pas très bien mais gagnent les matches. Lorsqu'ils ajouteront la manière au résultat, la suite du Championnat sera plus facile pour eux

mimi2mars221 le 1 mars à 02:11
Meercii Abedi Tuu Croiit En Nouus!!

ballonpasrond le 1 mars à 00:49 Oui et puis l'OL a fait un 4-0 facile face a Nancy, pas le cas de tout le monde. Arretons ce genre de comparaison debile et inutile. l'OM gagne en jouant mal, l'OL joue bien mieux maintenant mais n'a pas tout les points qu'ils pourraient avoir, mais tout se tient en 4 points aujourd'hui. Des phrases comme celle d'Abedi Pelé et la plupart des commentaires, c'est des vérités de comptoir...


Aulas_The_Boss le 1 mars à 00:42
@jopol, t'as la mémoire courte ! de toutes nos équipes de Lyon championne la plus décevante dans le jeu fut celle du 2eme titre en 2003 et c'est pas innocent car on avait sacrifié la manière au résultat, on était phase de confirmation à l'époque exactement comme l'OM on n'était pas terrible on jouait beaucoup moins bien que Monaco de Prso-Nonda et on a fini champion avec 68 points en 38 journées le plus faible total jamais vu

thadeus025 le 1 mars à 00:29
en tout cas je te rejoins sur un point, que l'OM soit 3eme avec un jeu pareil,il y a vraiment un probleme de talent général en L1.

boogerman35 le 1 mars à 00:22
Demander à un supporter de l'OM, et en plus un ancien de joueur de l'OM si l'OM sera champion, je pense qu'on aurait tous pus parier notre maison sur le fait qu'il dise "oui"!!!bref, article sans intérêt, surtout que objectivement, on en c'est rien de qui sera champion, il peut se passer beaucoup de choses!!!

Thisismarseille le 1 mars à 00:10
C'est vrai qu'en terme d'objectivité tu t'y connais bien toi...
l'OM devant tes champions ça te fait trop mal mais chaque année c'est pareil, il faut te faire une raison


Ebrithil le 1 mars à 00:01
My God, si ils sont de nouveau champions, quel ambassadeur de "classe" aura le football français. Une défense rude au possible, un milieu assez léger pour le top niveau, et des attaquants qu'on peut qualifier de cruches. Restent Rémy, Valbuena et Ayew pour sauver le navire

Abedi Pelé : "L'OM sera champion !"
mardi 01 mars 2011 à 18H41


Dans un entretien accordé au site internet de l'OM, Abedi Pelé revient sur la performance d'André Ayew et décrypte sa réussite actuelle. Mais l'ancien Olympien en profite aussi pour donner son avis sur la course au titre. Et pour lui, pas de doute : "L'OM sera champion !"

"Je n’ai pas de doute. L’OM restera toujours l’OM. Comme ces dernières années, ils commencent toujours doucement et finissent fort. Les grandes équipes gagnent même quand elles jouent moins bien, ce qui est le cas de l’OM ces derniers temps. Et quand ils vont vraiment commencer à bien jouer, ils vont finir en boulet de canon et être champions !"

Battu par le Losc, l'OM a-t-il fait une croix sur le titre ?
38 contributions Publié le lundi 07 mars 2011 à 12H49


L'OM a subi un coup d'arrêt sur sa pelouse du Vélodrome, hier, en s'inclinant contre le Losc (1-2). Une défaite malvenue dans un mois de mars décisif. D'après vous, les hommes de Didier Deschamps peuvent-ils encore rêver du titre de champion de France ?

Après sa défaite contre Lille, l'OM a-t-il laissé filer le titre ?
40%Oui, le Losc a montré sa supériorité
15%Non, mathématiquement rien n'est perdu
45%Impossible de le savoir, le championnat reste très ouvert

Avant de se rendre
à Manchester, les Olympiens
se sont offert un répit salutaire,
une accalmie bienvenue

Lucho et les Olympiens se relancent dans la course au titre à Rennes. Place à la Ligue des champions...

Balayé par des violentes bourrasques
au cours d’une semaine cauchemardesque,
l’OM a montré
qu’il n’était pas mort, hier soir. À Rennes,
face à un concurrent au titre malgré
lui, Steve Mandanda et ses partenaires
ont relevé la tête. Ils ont signé un
succès logique (0-2) et, par la même occasion,
cloué le bec à un peuple rouge
et noir un tantinet trop confiant et des
dirigeants un zest trop hautains. Ils ont
réagi en champions qu’ils sont encore
pour deux mois. Au moins.
Car si la copie rendue face à Lille (1-2)
cinq jours plus tôt a légitimement attisé
les plus vives inquiétudes, celle livrée face
à des Rennais en verve jusqu’alors recèle
des vertus apaisantes. L’OM a tenu
le choc et fait tomber la citadelle de la
Route-de-Lorient où quantité d’escouades
ont vu leurs espoirs brisés.
Il s’est également replacé dans la
course à la Ligue des champions. Et il
n’a pas dit adieu à son cher Hexagoal.
Ce matin, il vient se placer à une petite
longueur de ses victimes et du leader lillois,
qui accueille Valenciennes, demain.
Avant de se rendre à Manchester,
mardi, les Olympiens se sont également
offert un répit salutaire, une accalmie
bienvenue après la tempête occasionnée
par l’affaire Brandao. Cet épisode
tragique a peut-être soudé un peu plus
le groupe et éveillé une conscience collective.
Dans le sillage d’une charnière
Diawara-Heinze de combat, d’un
Lucho agressif, d’un Gignac volontaire
qui n’a pas hésité à se lancer dans une
course de cinquante mètres pour
contrarier une relance adverse, l’équipe
de Didier Deschamps a dévoilé une
véritable hargne que l’on ne lui soupçonnait
plus. Le fameux caractère vanté
par Rod Fanni dans la semaine…
Au final, même s’ils ont été ballottés
par des Rennais incisifs, les Olympiens
ont fait preuve d’une solidité monstrueuse.
Ils n’ont jamais tremblé. Ils
n’ont réellement été mis en danger qu’à
une seule reprise, sur cette volée splendide
de Yann M’Vila contraignant Mandanda
à une parade exceptionnelle
(49).
Pour le reste, Rennes peut s’estimer
heureux de ne pas avoir chargé davantage
la valise. Rémy (56), Mbia (66), Gignac
(70) ou encore Taiwo (90+1)
auraient pu donner à ce succès des allures
de triomphe et tuer le suspense bien
plus tôt.
Et que dire du but signé Loïc Rémy!
L’ancien Niçois, désormais fort de neuf
réalisations, a catapulté le ballon dans
la cage de Nicolas Douchez au terme
d’un mouvement collectif d’école, lumineux
et limpide, qui a vu les Olympiens
confisquer le ballon à leurs adversaires
pendant de très longues secondes et les
trimballer d’un côté à l’autre de la pelouse.
Voilà le visage - séduisant - que les
supporters aimeraient que leurs protégés
arborent à chaque sortie. Il est
temps d’arrêter de jouer à Docteur
Jekyll et Mister Hyde pour continuer à
rêver à une fin de saison radieuse. Espérons
que la leçon, maintes fois rabâchée,
sera enfin retenue

LIGUE DES CHAMPIONS

Diable ! Ce serait tellement fort...
mardi 15 mars 2011 à 07H19

Ce soir à Old Trafford, l'OM rêve d'exploit contre les Red Devils, en huitièmes de finale retour de la Ligue des Champions.
Le 0-0 du match aller a fait monter la cote des Olympiens.
Dans les grasses prairies de Carrington, on n'élève pas que des chevaux. C'est ici que se trouve, en périphérie de Manchester, le centre d'entraînement
de Man United. C'est ici que ce club continue de construire sa légende, riche de trois ligues des champions (1968, 1999 et 2008).

Et c'est face à ce géant que se trouve l'OM ce soir à Old Trafford. Un défi de taille. Pourtant, l'exploit n'est pas impossible. Le 0-0 du match aller a fait grimper la cote des Olympiens. "On va avoir affaire à une équipe expérimentée et puissante, annonce l'entraîneur mancunien Alex Ferguson. On s'attend à un match compliqué."

L'OM reste, qui plus est, sur une probante victoire à Rennes (0-2). Attention toutefois, les Red Devils restent toutefois largement favoris d'une rencontre qui, d'ailleurs, ne semble pas passionner les foules à Manchester. Dans les journaux, il est davantage question du derby face à City, le 16 avril et de l'avenir de Van der Sar le gardien, que du match de ce soir... A l'OM de saisir sa chance...

VOILA POUR LA CAVERNE LE TABLEAU D AFFICHAGE DU VELODROME ..

SOUVENIRS ...SOUVENIRS
L'aller n'est pas un bon souvenir" (Deschamps)
dimanche 20 mars 2011 à 17H10

Ce soir à 21h au stade Vélodrome, deux anciens élèves du centre de formation du FC Nantes se retrouveront au stade Vélodrome. Didier Deschamps et Antoine Kombouaré s'apprécient. Mais si l'entraîneur parisien a été un guide pour DD, ce dernier n'oublie pas la manière dont son OM a été dominé, notamment en première période, par le PSG à l'aller…. "C'est vrai que le match aller, cette saison, n'est pas un bon souvenir, déclare aujourd'hui Didier Deschamps dans La Provence. Mais le pire des souvenirs, à la limite, c'est plutôt celui que nous gagnons 1-0, en décembre 1992. Ça ressemblait à tout sauf à un match de foot, même si j'étais content de l'avoir gagné. Mais ce qui s'était passé avant et pendant avait dépassé le cadre du football.

aladin a écrit: VOILA POUR LA CAVERNE LE TABLEAU D AFFICHAGE DU VELODROME ..

Soprano :"La course au titre sera difficile pour l'OM"

le 23/03/2011 à 18:49:17

http://www.laprovence.com/video/Soprano%2B%253A%2522La%2Bcourse%2Bau%2Btitre%2Bsera%2Bdifficile%2Bpour%2Bl%2527OM%2522/iLyROoafzUAJ/laprovence/sport

Ambassadeur de l'OM, le rappeur marseillais Soprano était de passage au centre d'entraînement Robert Louis-Dreyfus ce mercredi. Le minot du Plan d'Aou, (disque de platine avec son album La Colombe) s'est exprimé devant notre caméra sur sa joie après la victoire face au PSG et les chances de l'OM de remporter le titre cette saison.



Soprano :"La course au titre sera difficile pour l'OM"
23/03/2011 à 19:39:15

Avantage Marseille
Forme, calendrier... À dix journées de la fin, nous passons au crible les quatre candidats au titre. L'OM est notre favori.




L\'OM et Lille sont les deux équipes en forme depuis le début de l\'année.(EQ)
À dix journées de la fin, nous avons défini cinq thèmes sur lesquels vont se jouer le Championnat. Après analyse, la rubrique foot de l'équipe.fr désigne l'OM comme favori.

Depuis le début de la phase retour, l'Olympique de Marseille est celui qui a le plus le vent en poupe. En neuf journées, le club phocéen s'est imposé à sept reprises et tourne actuellement à une moyenne de 2,44 points par match. Il y a une ombre au tableau : la défaite «symbolique» au Vélodrome contre Lille (1-2). Le LOSC, qui a joué un match de plus en Championnat, tourne à 2,20 points par match (7 victoires, 2 nuls et 1 défaite). Rennes suit le leader nordiste avec 19 points pris sur 27 (2,11 pts par match). Actuellement troisièmes à un point de l'OM, les Bretons viennent de caler contre deux concurrents directs (défaite à domicile contre Marseille et nul à Lyon). L'OL, justement, ferme la marche avec une moyenne de 2 points par match. L'équipe de Claude Puel se montre irrégulière, comme le prouve ses trois nuls lors des sept dernières journées. - D. Mi.
Notre baromètre :
1. Marseille : 4 points, 2. Lille : 3 pts, 3. Rennes : 2 pts, 4. Lyon : 1 pt.

Marseille et Lyon savent sprinter. Champion en titre, l'OM avait fini fort la saison passée avec une seule défaite lors des 17 derniers matches. La saison d'avant, les Phocéens (2e) n'avaient perdu qu'une fois lors de leurs 16 dernières rencontres. Ils sont aussi habitués à la pression des rencontres de gala en C1 (MU, Real, Milan). L'OL a pour lui d'avoir gagné sept fois la L1 entre 2002 et 2008. Et au printemps dernier, les Lyonnais ont participé à une demie de Ligue des champions. Lille et Rennes ne peuvent pas en dire autant. Vainqueur de seulement sept de ses 13 derniers matches la saison passée, le LOSC a échoué au pied d'un podium en s'inclinant lors de la dernière journée. La saison passée, Rennes, qui n'a jamais décroché un podium en D1, n'a pas gagné un seul de leurs huit dernières rencontres ! L'année d'avant, ils avaient remporté seulement quatre de leurs onze derniers matches... - C.O.
Notre baromètre :
1. Marseille : 4 points, 2. Lyon : 3 pts, 3. Lille : 2 pts, 4. Rennes : 1 pt.

En plus de ses quatre points d'avance sur son dauphin, à dix journées de la fin, Lille possède aussi le meilleur calendrier parmi les quatre derniers prétendants au titre. Certes l'OM doit encore recevoir six fois contre cinq pour le leader actuel. Néanmoins, le déplacement à Lyon de la 34e journée pourrait compliquer les choses pour Marseille. Sans compter que les Nordistes finissent à domicile contre Rennes. Un match qui pourrait être celui du sacre. Moins bien lotis, Rennes et Lyon ont eux un programme un peu plus chargé. Cinq déplacements pour les Bretons dont un à Villeneuve d'Ascq pour finir donc, contre six pour l'OL, dont un au Parc des Princes. Le PSG pourrait d'ailleurs être l'arbitre de cette fin de saison, car lui aussi doit accueillir Lille à une semaine du terme. - H.S.
Notre baromètre :
1. Lille : 4 points, 2.Marseille : 3 pts, 3. Rennes : 2 pts, 4. Lyon : 1 pt.

Deux écoles régissent le foot actuellement : les équipes qui privilégient le jeu et celles qui misent tout sur l'impact physique. Un dilemme auquel n'échappe pas la Ligue 1. Avec un léger bémol : la première option fonctionne contre les formations joueuses, ce qui n'est pas le cas en France, où les schémas tactiques sont particulièrement frileux. Didier Deschamps l'a bien compris. C'est pour cette raison que ses principales recrues, les Mbia, Diawara, ou Heinze, sont des monstres physiques. Une stratégie qui a fonctionné à merveille en fin de saison passée. Cette année encore, l'impact physique aura son importance. Et, dans ce registre là, les deux équipes les mieux armées semblent être l'OM et le Stade Rennais. Aux Lillois de nous démontrer que, dans l'hexagone, le jeu peut aussi être synonyme de succès. - A.D.
Notre baromètre :
1. Marseille : 4 points, 2. Rennes : 3 pts, Lyon : 2 pts, Lille : 1 pt.

Les quatre prétendants partent quasiment sur la même ligne quant à l'état actuel de leur troupe. A quelques exceptions près. Lyon devra se passer de Michel Bastos, mais la richesse de l'effectif devrait compenser son absence. A Marseille, tout va bien, si l'on excepte le départ précipité de Brandao. Les internationaux sont revenus indemnes et les autres joueurs ont bien travaillé cette semaine avec Deschamps. Lille a retenu son souffle lorsque Adil Rami est mal retombé sur son épaule gauche face à la Croatie mardi (0-0). Mais il semblerait qu'il y ai plus de peur que de mal. Le coup dur est pour le Stade Rennais qui devra composer sans Yacine Brahimi. Alors qu'il avait repris l'entraînement mardi après un mois d'arrêt, le milieu offensif a rechuté sur une accélération mercredi matin. Il devrait être indisponible pour trois semaines environ. Les absences vont compter... - S.Bi.
Notre baromètre :
1. Lyon : 4 points, 2. Marseille, 3 pts, 3. Lille : 2 pts, 4. Rennes : 1 pt.

1. Marseille : 18 points
2. Lille : 12 points
3. Lyon : 11 points
4. Rennes : 9 points

CHAMPION DES MATCHS RETOURS
C EST UN TROPHEE...ENGRANGEONS ENGRANGEONS

LA FIN DE SAISON DE L’OM
Dimanche 3 avril
Lens - OM..........................21h, Canal +
Dimanche 10 avril
OM - Toulouse ....................17h, Foot +
Dimanche 17 avril
Montpellier - OM................17h, Foot +
Samedi 23 avril
Finale de la Coupe de la Ligue
OM - Montpellier .....20h45, France TV
Mercredi 27 avril
OM - Nice ............................................
Samedi30avrilou dimanche1ermai
OM - Auxerre .......................................
Samedi 7 ou dimanche 8 mai
Lyon - OM ............................................
Mercredi 11 mai
OM - Brest ...........................................
Dimanche 15 mai
Lorient - OM ........................................
Samedi 21 mai
OM - Valenciennes...............................
Samedi 29 mai
Caen - OM ............................................

La réussite est de retour
LE JEU Sans véritablement maîtriser son sujet, l’OM s’est imposé grâce à un éclair de Cheyrou.Unsigne?



Les Olympiens, à l’image de ce duel entre Valbuena et Yahia, ont été bousculés par Lens
Le secteur offensif
de cette équipe reste
toujours en quête
d’un véritable équilibre


Le sprint, c’est une question
de mental. Et de réussite.
Que ce soit dans la course
pour la couronne nationale ou
dans la lutte pour le maintien, les
rencontres aux enjeux capitaux
basculent souvent sur des détails.
Les Lensois peuvent ainsi s’en
mordre les doigts, eux qui voient
la relégation en Ligue 2 arriver à
grands pas. Car si, dans le premier
domaine, celui de l’envie, les Artésiens
furent irréprochables, le
soupçon de réussite fut olympien.
Pourtant, dans l’ambiance électrisante
de Bollaert, les Marseillais
étaient bien mal embarqués. La
faute à un état d’esprit en deçà de
celui qu’on est en droit d’attendre
d’un candidat à sa propre succession.
Bousculée au milieu de terrain,
où l’impact d’Édouard Cissé
n’a rien de comparable à celui
montré par Stéphane Mbia ces dernières
semaines, l’équipe de Didier
Deschamps a progressivement
perdu pied dans cette rencontre.
Et elle n’a jamais pu s’accrocher
à une pseudo-maîtrise
technique supérieure à celle du
19e de la L1; passes mal ajustées,
inspiration oubliée aux vestiaires,
en dehors de l’activité de Mathieu
Valbuena -pendant les 20 premières
minutes - et d’André Ayew,
seul un éclair de Lucho a apporté
un peu de lumière en première période.
Mais l’offrande fut gâchée
par Loïc Rémy (37).
L’OM voulait poser sa patte sur
la rencontre. C’est avec cette volonté
que les Olympiens ont entamé
la rencontre, mais ce n’est pas
sur ces qualités qu’ils ont su remporter
un match ô combien important.
Non, si l’OM revient de Bollaert
avec les trois points dans son
escarcelle, c’est grâce à ce soupçon
de réussite si précieux dans ce
genre de rendez-vous. Celui-là même
qui permet à Lille de maintenir
un rythme effréné en tête du classement
depuis plusieurs semaines.
Celui-là même qui permit à
l’OM d’être sacré champion de
France en mai dernier.
Un tir du droit de Benoît Cheyrou,
au sortir d’un duel gagné face
à trois adversaires, a fait la différence.
Là où Lens a poussé et s’est cassé
les dents sur un Mandanda des
grands soirs, sur la barre transversale,
ou encore… sur un coéquipier
placé sur la trajectoire d’un
tir.
La copie ne fut donc pas parfaite,
loin de là. Le secteur offensif
reste toujours en quête d’un véritable
équilibre. Hier, Didier Deschamps
avait décidé de titulariser
Loïc Rémy en pointe.
Si l’ancien Lensois s’est montré
intéressant dans le jeu dos au but,
il ne présente pas le profil idoine,
décrochant parfois trop pour participer
au jeu.
L’entrée de Gignac… sur le côté
gauche, occasionnant le repositionnement
d’André Ayew à droite,
a apporté davantage de soutien
et de solutions. Ce n’est pas par hasard
si l’action du but part des
pieds de l’ex-Toulousain. Au milieu,
Lucho est toujours l’ombre
de lui-même.
Malgré tout, l’OM a gagné. Et
s’impose désormais comme l’ultime
adversaire crédible à Lille dans
la course au titre.
Si la réussite est de retour, alors
tous les espoirs sont permis…

LE TITRE DE CHAMPION DE FRANCE
DOSSIER

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LE TITRE DE CHAMPION DE FRANCE
DOSSIER

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LE TITRE DE CHAMPION DE FRANCE
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LE TITRE DE CHAMPION DE FRANCE
DOSSIER

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DUEL LILLE//OM ...POUR

LE TITRE DE CHAMPION DE FRANCE
DOSSIER

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DUEL LILLE//OM ...BEN NON

L’OM et Lucho Gonzalez risquent de se retrouver face à un mur, cet après-midi. À eux de ne pas perdre patience pour ne pas gâcher cette aubaine.




Cette fois, il ne s’agit plus
de maintenir l’écart avec
le chassé, mais de le réduire
à une toute petite unité.


La voilà, l’occasion tant espérée.
Au petit jeu du chat et de la souris,
Lille a donc craqué, hier, à Monaco
(1-0). Plus qu’une défaite, les Nordistes
ont perdu leurs nerfs en Principauté,
dévoilant au passage des tensions
dans un vestiaire qu’on imaginait
uni et serein.
La ligne d’arrivée qui approche, un
statut de leader et de favori pour le titre
pesant sur les épaules, et voilà le
Losc qui laisse apparaître des failles
jusqu’alors insoupçonnées. La pression
était donc bien plus forte que
l’équipe de Rudi Garcia ne voulait le
laisser transparaître. "Lille n’est pas
programmé à la base pour jouer le titre
car le club n’a pas le budget pour, mais
s’ils ont le plus de points, c’est qu’ils le
méritent, glissait malicieusement Didier
Deschamps vendredi. Nous, tout
ce que nous avons à faire, c’est d’essayer
de prendre le plus de points possible
d’ici la fin de la saison, sans nous occuper
d’eux. Et si les Lillois en font
autant, eh bien, ils resteront devant."
Un constat implacable mais loin
d’être innocent dans la bouche d’un
technicien aussi expérimenté. Et, surtout,
d’un compétiteur dans l’âme.
L’OM de Didier Deschamps n’est jamais
aussi à l’aise que dans la peau du
chasseur. Et sait comment reporter
toute la pression sur les épaules du
chassé.
Depuis la réception du PSG, le dimanche
20 mars, les Olympiens n’ont
eu de cesse d’envoyer des messages
forts aux Lillois. Que ce soit face aux Parisiens
(2-1), puis à Lens (0-1), Steve
Mandanda et ses coéquipiers avaient
beaucoup à perdre. Mais à chaque
fois, ils ont su répondre du tac au tac
aux victoires lilloises. "Jouer en
connaissant le résultat de ses adversaires
? Je ne suis pas sûr que ce soit un
avantage, précise Didier Deschamps.
Je ne sais pas non plus si c’est mieux de
jouer avant; pendant, c’est parfait..."
Aujourd’hui, pour la troisième journée
consécutive, l’OM jouera après le
Losc. Mais cette fois, il ne s’agit plus de
maintenir l’écart avec le chassé. Mais
bien de le réduire à une toute petite
unité et de profiter du faux pas de Rennes
à Brest pour assurer une qualification
en Ligue des champions.
Cette chance, les Marseillais doivent
la saisir. Et pour y parvenir, Didier Deschamps
dispose de l’intégralité de son
effectif. Une multitude de possibilités
qui ne sera pas de trop pour trouver
l’ouverture dans une défense toulousaine
que l’on pressent compacte sur
la pelouse du stade Vélodrome. "Toulouse
va venir faire le mur et contrer",
annonce DD. Alors, il s’agira de s’armer
de patience si l’OM ne parvient
pas à trouver l’ouverture rapidement.
L’occasion est trop belle pour la gâcher.
Il y a deux ans, le Téfécé avait sonné
le glas des espoirs olympiens en venant
tenir en échec l’OM (2-2), grâce à
un doublé... d’André-Pierre Gignac,
qui permettait à Bordeaux de s’échapper
irrémédiablement.
Dans la chaleur d’un après-midi que
l’on annonce estival, APG sera l’un des
atouts d’un OM qui s’apprête à vivre
un nouveau tournant face au club
haut-garonnais. Cette fois, les supporters
espèrent que l’issue en sera victorieuse.
Et marquera le début de la reconquête
du titre de champion. C’est
le moment...

Lille a encore lâché du lest.
Voilà une nouvelle occasion
de grignoter le retard




Ce n’est pas exactement l’endroit
recommandé pour se refaire la
cerise. Bien sûr, la lecture des
derniers résultats de Montpellier à
LaMosson (deux nuls, une défaite) et
son bilan global depuis le lancement
de la saison pourraient rassurer Didier
Deschamps. Mais les troupes de René
Girard ont de la ressource et se transcendent
à l’approche des rendez-vous
de prestige. Les Héraultais n’ont pas
mis Lille à genou par hasard (1-0).
La venue de l’OM, cet après-midi, se
range inévitablement dans les matches
de gala. Surtout dans un calendrier
rendu bizarroïde par la proximité
d’un autre duel entre ces frères ennemis
du Sud qui, six jours plus tard seulement,
se retrouvent au Stade de France
pour la finale de la coupe de la Ligue.
D’une semaine à l’autre, le contexte
différera évidemment. Mais chaque
camp cherchera à prendre l’ascendant,
à marquer les esprits, à remporter
la bataille de LaMosson. Celle que
l’OM avait lamentablement perdue
(2-0) il y a quatorze mois en ne jouant
pas. Le spectre du 30 janvier 2010 hante
encore les nuits marseillaises. Les
plaies n’ont pas totalement cautérisé.
"Ons’était fait marcher dessus", se rappelle
amèrement Mathieu Valbuena.
Les Olympiens ont rejoué un scénario
quasi similaire la semaine passée face
à Toulouse (2-2) avec, comme principale
variante, la quête d’un point. Ce
soir-là, ils sont complètement passés à
côté de leur sujet. Didier Deschamps
ne veut plus vivre ces non-matches. Il
appelle ses ouailles à retrouver leurs
vertus.
"Je veux que nous redevenions plus
solides défensivement, ce qui faisait notre
force jusqu’alors. Notre détermination
et notre agressivité doivent être supérieures.
Nous avons besoin de ces ingrédients
de base à chaque rendez-
vous", prévient DD.
Ce couac n’a pas accouché d’une
profonde remise en question. La semaine
s’est écoulée paisiblement au
centre Robert Louis-Dreyfus. Pas
d’éclat de voix, ni de rappel à l’ordre
ou de coup de gueule. Encore moins
de discours mobilisateur des cadres.
"On ne va pas tomber dans la déprime",
prévenait Steve Mandanda quelques
instants après la bouillie face au
Téfécé. "C’était une bonne semaine
pour remettre les choses en place et se
rebooster pour les matches à venir, explique
André Ayew, remplaçant
aujourd’hui. On ne va pas tout remettre
après une contre-performance."
Didier Deschamps, qui est apparu
un brin tendu vendredi en conférence
de presse, a tenté de remobiliser ses
hommes, en s’entretenant avec certains
d’entre eux. Le technicien olympien
a décidé de maintenir le cap et de
renouveler sa confiance.
Transparents contre Toulouse,
contestés et escortés par les interrogations,
Souleymane Diawara et Lucho
Gonzalez seront de nouveau titulaires
dans l’Hérault (voir page suivante).
L’OM doit rapidement retrouver ses
esprits pour, au moins, assurer une place
en Ligue des champions, strapontin
vital pour le club, et pour continuer à
rêver à un nouveau sacre national.
Car Rennes marque le pas, tandis
que Lille, accroché par Bordeaux, ne
trouve pas le second souffle et craque
sous la pression ; entre Paris ou Lyon,
qui s’affrontent ce soir, l’un des deux
pourrait bien perdre des plumes.
Steve Mandanda et ses partenaires
disposent d’un nouveau joker pour recoller,
eux qui doivent une revanche à
leurs supporters, mais aussi à eux-mêmes.
C’est souvent en pareille occasion
qu’ils ont su hisser leur niveau au
cours de l’actuel exercice. Olympiens,
avez-vous du coeur

À portée demain

Longtemps inconsistants, les
Olympiens sont parvenus à renverser
la tendance et à s’imposer à Montpellier (1-2).
L’OM n’est plus
qu’à un point du leader lillois


Sur penalty, Taiwo a inscrit le but d’une victoire olympienne que l’on peut qualifier de miraculeuse.

Les Olympiens ont pris
un ascendant sur Montpellier
avant la finale de samedi



Le miracle de LaMosson vaut bien
un pèlerinage à Notre-Dame de la
Garde. Jean-Claude Dassier l’a
parfaitement compris. Après le succès
arraché par l’OM à Montpellier (1-2) au
terme d’une prestation longtemps insipide,
le président olympien a décidé de
grimper sur le toit de Marseille dans les
jours à venir pour remercier chaudement
la Bonne Mère de sa protection.
Car la victoire de la bande de Didier
Deschamps a été laborieuse, longue à
se dessiner. Pis, on a longtemps cru
qu’elle allait se casser les dents sur cette
équipe montpelliéraine vaillante
mais limitée, et, du coup, rater une nouvelle
occasion de fondre sur le leader lillois.
Au lieu de les ensuquer, le but héraultais
signé Olivier Giroud (64e) a fait souffler
un vent de révolte chez le champion
de France en titre. "Il nous a poussés
dans nos retranchements", assure
Benoît Cheyrou.
André-Pierre Gignac (69e), idéalement
servi par Benoît Cheyrou, puis
Taye Taiwo (82e), sur un penalty qu’il
souhaitait tirer à tout prix, ont complètement
relancé le suspense en tête de
l’élite hexagonale.
Une semaine après l’acte manqué face
à Toulouse (2-2), l’OM n’a pas tremblé
et met clairement la pression sur le
Losc, dont le jeu se délite et dont le rendement
s’effrite à mesure que la ligne
d’arrivée se profile (un point en deux
rencontres). Ce matin, une seule longueur
sépare désormais les deux escouades
dans leur mano a mano à distance.
Pour l’OM, la quête d’un nouveau titre
de champion de France n’est plus
un mirage inaccessible. Elle devient encore
plus réelle, à portée de main. Il faudra
compter avec Steve Mandanda et
ses partenaires jusqu’au bout, quand
bien même l’absence de fonds de jeu
demeure inquiétante et criarde. Fort
d’une seconde partie de saison ébouriffante
(29 points amassés en 2011,
meilleur total de Ligue 1), l’OM façonné
par Didier Deschamps ne va pas abdiquer
aussi facilement.
Montpellier en a fait l’amère expérience,
hier, incapable d’endiguer les
assauts olympiens lorsque ceux-ci ont
décidé d’appuyer enfin sur le champignon.
Auparavant, cela avait le néant
ou presque. Soixante-quatre minutes
soporifiques, ennuyeuses, sans grand
relief qui avaient fait regretter aux
25 119 spectateurs d’avoir mis le cap
sur La Mosson plutôt que vers la plage
pour prendre un bain de soleil.
Soixante-quatre minutes au cours
desquelles l’OM a ressemblé à tout sauf
à un champion de France en puissance.
"À ce moment-là, vous auriez tous
dit que nous étions des tocards, a lancé,
lucide, Deschamps en conférence de
presse. Alors que nous sommes toujours
là." Et bien là même. Ce succès permet
également aux Olympiens de prendre
un ascendant sur Montpellier, à cinq
jours du second acte avec la coupe de
la Ligue et le Stade de France en toile de
fond. "Ce succès va compter pour la finale",
promet Rod Fanni.
Tout comme l’expulsion de Loïc Rémy,
gros point noir de ce court déplacement.
L’ancien Niçois ratera le rendez-
vous dionysien
et amoindrira les solutions offensives
de "DD". Tous les pèlerinages du
monde n’y changeront rien.

Dassier : "Je vais monter à Notre-Dame de la Garde"
le dimanche 17 avril 2011 à 19H20


La victoire de l'OM à Montpellier a soulagé le président olympien. Interrogé devant les caméras d'OMtv, Jean-Claude Dassier a même annoncé qu'il irait à Notre-Dame de la Garde pour se recueillir avant la finale de la coupe de la Ligue. Est-ce le pélerinage de Rémi Gaillard qui a achevé de le convaincre ?

"Je vais monter discrètement à Notre-Dame de la Garde dans la semaine. Je ne l’avais pas fait la saison dernière et c’est un manque, regrette "JCD". On doit le faire quand on est un vrai Marseillais et je crois que je suis en train de le devenir. Cette victoire est sans doute essentielle. On ne gagne jamais facilement ici. Il y a une ombre au tableau, c’est Loïc Remy qui va nous manquer pour la finale. On a fait une très mauvaise première période. Le but de Montpellier nous a réveillés et on a enfin assumé notre statut et montré nos capacités."

Fanni : ''Ça peut être magique"
20/04/2011 à 15:47:50


Rod Fanni a l'occasion de remporter, ce samedi au Stade de France, le premier trophée de sa carrière . Pour le défenseur olympien, cette finale de coupe de la Ligue contre Montpellier "peut être magique" : "Ce sont des matches qui nous marquent, qui marquent les gens et qui marquent l'histoire d'un club. Ce n'est pas une coupe de 'publicité'".

http://www.laprovence.com/video/Fanni%2B%253A%2B%2527%2527%25C3%2587a%2Bpeut%2B%25C3%25AAtre%2Bmagique%2522/iLyROoafz1ad/laprovence/actualite