José Anigo DIRECTEUR SPORTIF

ON S EN DOUTAIT BEAUCOUP DE PAROLES
AUCUNE VENUE ET AUCUN DEPART

JOSE ANIGO DISAIT IL FAUT TOUT GAGNER A DOMICILE GRAPILLER DES POINTS DEHORS ET ON FERA LES COMPTES PARES

VOILA 3 POINTS DE PLUS A DOMICILE
A REMETTRE A JOUR...

José Anigo (directeur sportif de l'OM): «Ce n'était pas un très grand match car je pense que nous avons manqué de fraîcheur. Nous restons sereins et lucides par rapport au titre de champion car il y avait eu tellement de regrets l'an passé. Le travail de Didier Deschamps paie et l'équipe a pris conscience de ses qualités.»

ON NE DIT PAS
LE TITRE ...ON I GO ...MAIS AN I GO

Anigo : "Le chemin est encore long"
3 contributions Publié le jeudi 15 avril 2010 à 08H43


Après la victoire de son équipe 1-0 à Sochaux, le directeur sportif de l'OM José Anigo s'est montré satisfait mais estime que le titre n'est pas encore gagné :

- L'équipe a eu de la réussite, est-ce votre sentiment ?
José Anigo : Je ne sais pas si c'est de la réussite. Par contre, je sais que ce n'était pas un grand match. L'accumulation des rencontres tous les trois jours fait que les joueurs manquent de fraîcheur et il n'est pas toujours facile d'avoir le jus nécessaire pour reproduire de grandes choses.

- Le titre approche à grands pas quand même...
J.A. : Le titre sera joué quand nous serons dans une position où personne ne pourra nous rejoindre. Ce n'est pas le cas. Nous n'avons pas envie de parler de quoi que ce soit ce soir. Nous sommes sereins, lucides, nous restons très professionnels, car nous sommes tous conscients qu'une machine est susceptible de se dérégler à tout moment. Il serait ridicule, inconscient d'avancer aujourd'hui que nous sommes champions. Il y a une forte attente à Marseille, nous le savons, mais nous avons appris la saison dernière encore, alors que nous étions bien placés, combien la situation peut être renversée rapidement, parfois même en une soirée.

- Quels sont les atouts selon vous de l'équipe actuellement, ceux susceptibles de continuer à la porter ?
J.A. : Quand elle n'est pas bien et cela a été le cas contre Sochaux, elle dégage une force, un moral. Elle exploite ses points forts, comme les coups de pied arrêtés, car il y a un maître dans ce domaine qui s'appelle Lucho. D'une manière générale, l'équipe a pris confiance en elle, elle croit en ses atouts. Le travail de Didier paie. Mais on veut regarder devant, seulement devant, car le chemin est encore long.

José Anigo
«C'était un match difficile, cette équipe bouscule les favoris, elle laisse peu d'espaces, cherche à contrer... C'est la seule équipe contre qui on n'a marqué ni à l'aller (0-2) ni au retour, c'est vous dire son niveau.

Le nul les laisse à cinq points, il nous laisse l'espoir de viser le titre, mais on n'y est pas encore. On reçoit deux fois, on a notre destin entre nos mains. 0-0 n'est jamais en soi un bon résultat, mais ce soir, c'est bon pour nous. Mais pourquoi voulez-vous qu'on s'emballe? Ca peut donner un matelas, ces cinq points, mais Auxerre peut ramener un résultat de Lyon. Ce soir, on a gagné un point, se retrouver avec deux points d'avance, on aurait eu le couteau sous la gorge. Personne n'a remonté cinq points en trois journées en L1? J'accepte cette statistique,


mais il y a tellement de peur chez nous, vous n'imaginez pas.
.. Dix-sept ans sans être champion (18, ndlr), et pour un club comme le nôtre,

chaque année sans gagner compte dix

J. Anigo aura "une pensée pour tout le monde"

Il est l’une des figures les plus emblématiques du club marseillais alors forcément en cas de titre champion de France, mercredi soir, le directeur sportif de l’OM, José Anigo, vivra une émotion intense. «Je m’aperçois d’une chose : le Championnat est une compétition extrêmement difficile à gagner. Dans le passé, nous ne sommes pas passés loin de l’emporter. Cela prouve bien sa complexité. Etre en tête avec une avance conséquente ne le rend pas plus facile. Je comprends donc la valeur d’un titre de Champion. Si titre il y a, je ne sais pas comment je le vivrais. Mais je sais que je le ferais partager. Il n’appartiendra pas seulement au domaine sportif, dont je fais partie. Il appartiendra aux personnes qui ont travaillé au club dans le passé. A ceux qui officient aujourd’hui. J’aurai une pensée pour tout le monde»


rien n'est fait encore

05/05/10
à 11:03

J. Anigo : "Merci aux supporters"

Peu importe le résultat de la rencontre face à Rennes, José Anigo, interviewé pour OMmatch, le programme de la rencontre OM-Rennes, tenait à remercier les supporters pour leur soutien inconditionnel. "Merci de nous avoir soutenu depuis aussi longtemps. Quand un club ne gagne pas grand-chose on garde l’image de « looser » alors que pendant plus de dix ans on avait tout gagné. J’ai presque envie de demander des excuses car quand un club comme l’OM ne parvient pas à remporter de titre depuis plus de 17 ans, c’est inacceptable. Cela veut dire qu’il y a eu par moments des erreurs. Mais depuis cinq ou six ans le Club s’est remis à « l’endroit ». Il faut donc remercier encore nos supporters".


à 15:48

J. Anigo : «Antonetti a l’air entier»

Invité d’Un Jour à l’OM mardi soir, José Anigo a dit ce qu’il pensait de l’entraîneur du Stade Rennais. «J’aime bien Frédéric Antonetti car c’est un Corse et les Marseillais et les Corses ont un caractère assez similaire. Sans le connaître intimement, il a l’air entier. Il dit ce qu’il pense et dans le monde où l’on vit, on rencontre plutôt des gens qui font le contraire. C’est un bon entraîneur. Partout où il est passé, il a bien fait jouer ses équipes que ce soit Nice ou Saint-Etienne. Il a eu des classements inespérés avec ses effectifs notamment à Nice.

C’est sa première année à Rennes, elle n’est pas extraordinaire mais il va vite remettre les choses dans l’ordre car il a une bonne connaissance du monde professionnel».

Avant de s’envoler pour Marrakech hier, en début d’après-midi,
le directeur sportif s’est déclaré "ravi" par la sélection de Mathieu
Valbuena, son "petit". Il détaille là les trois grandes phases de la
carrière de l’attaquant, appelé par Raymond Domenech.
1Son recrutement en 2006 à Libourne.
"On me l’avait signalé plusieurs fois à l’époque et lors du dernier
match de la saison, je me suis déplacé. Il avait déjà cette technique,
cette vivacité gestuelle, il marquait beaucoup de buts. Je me suis dit :
’il faut le prendre’. Auxerre et d’autres clubs étaient sur les rangs,
mais son agent Christohe Hutteau nous a donné la priorité. C’était un
bon pari et, à l’époque, j’avais été suivi par mon président."
2Ses quatre saisons à l’OM.
"À son arrivée, il a eu un bizutage difficile... C’était particulier,
mais il s’est accroché et a franchi les étapes les unes après les autres.
Avec ses buts à Saint-Étienne et à Liverpool, il a pris une nouvelle
dimension. Ensuite, Éric (Gerets) en a fait un autre joueur ; puis, avec
Didier (Deschamps), Mathieu a compris que ça ne servait à rien de
parler dans la presse quand on ne jouait pas. En Espagne, en stage,
j’ai eu des mots durs avec lui, je n’ai pas mis de gants... Ses six mois
sont peut-être ses meilleurs à l’OM. Il a montré qu’il était là."
3Sa sélection pour la coupe du monde.
"C’est bien pour lui et pour le club d’avoir un international de
plus. La bonne morale de l’histoire, c’est de donner de l’espoir à tous
les joueurs amateurs qui ratent la marche d’un centre de formation
professionnel. Il est petit mais résiste bien aux chocs ; il a la faculté
d’éliminer un adversaire en peu d’espace. Bref, ce n’est pas idiot
qu’il aille à la coupe du monde car il a quelque chose de différent des
autres. Et, en dix ou vingt minutes, il peut changer un match."

OM : le point mercato de José Anigo
03/07/2010 à 12:39:03


Présent en Bretagne pour le stage de l'OM, le directeur sportif marseillais a fait le point ce samedi
sur le mercato olympien. Si la coupe du monde rend la période plutôt calme, l'OM reste positionné sur plusieurs dossiers et entend les mener à bien.

http://www.laprovence.com/video/OM%2B%253A%2Ble%2Bpoint%2Bmercato%2Bde%2BJos%25C3%25A9%2BAnigo/iLyROoaf8jab/laprovence/om

Un seul mot d'ordre pour José Anigo : ne pas s'enflammer et recruter des valeurs sûres. Retour en images dans le Morbihan...

Anigo : "Plus compliqué pour Taiwo"
vendredi 16 juillet 2010 à 13H00


Interrogé sur le site officiel du club, le directeur sportif de l'OM passe en revue les dossiers mercato. Et notamment le cas Taye Taiwo. Courtisé par des formations européennes, le Nigerian, à qui il reste une seule année de contrat, souhaite quitter Marseille pour jouer davantage. "Taiwo, c’est un peu plus compliqué, reconnaît José Anigo. Il a de vraies offres de clubs étrangers, il lui reste un an de contrat et l’entraîneur veut le garder. Soit on le prolonge, soit il partira libre mais dans la tête de Taye comme de ses agents, la prolongation n’est pas envisageable aujourd’hui

Le point mercato de José Anigo

Le directeur sportif de l’OM a souligné que si
Kaboré et Brandao devaient rester, l’avenir
de Taiwo restait en suspens

Sans langue de bois. Le directeur sportif de
l’OM s’est plié au jeu des questions-réponses,
hier à Saint-Jean-de-Luz, avec les internautes
de LaProvence.com.
Évidemment, le mercato a tenu une large
place dans l’échange. José Anigo est notamment
revenu sur le dossier Taiwo à plusieurs
reprises. "Il a envie de vivre une autre aventure.
Mais, du côté du club, Didier Deschamps
compte sur lui. Soit on discute avec lui pour
prolonger, soit il partira. Et rien ne dit qu’il sera
encore là le 31 août prochain", glisse-t-il au
sujet du Nigérian, courtisé par l’Atlético de Madrid.
Au rayon des départs, il a ensuite passé au
crible plusieurs cas, dont celui de Charles Kaboré,
approché par le FC Barcelone mais qui
"n’est pas à vendre".
Mais aussi ceux de Brandao, qui "est à Marseille
et, sauf offre importante, y restera", et
Mamadou Samassa, "placé sur la liste des
transferts". Quant à André Ayew, le Marseillais
espère parvenir à prolonger le contrat
de l’international ghanéen, qu’il considère
comme "l’avenir de l’OM avec Jordan", son frère.
L’ancien Minot a également commenté les arrivées
probables et les rumeurs les plus folles. Si
le dossier Alou Diarra traîne en longueur, il ne se
fait pas pour autant de souci.
En revanche, Anigo a balayé d’un revers de
main le feuilleton qui envoie chaque été Didier
Drogba à l’OM, comme l’avait fait l’entraîneur
olympien à Port-du-Crouesty, dans un tchat précédent
avec les Provençaunautes.

José Anigo : "Nous avons attendu 17 ans pour gagner un titre et en quelques
mois, nous venons d’en remporter trois, je suis donc très heureux car nous
sommes une ville qui vit pour le foot. L’OM est le coeur de la ville et ce soir,
nous avons fait plaisir à tous les Marseillais qui étaient ici, à tous nos supporters
de Tunisie et du Maghreb en général qui étaient venus nous soutenir. C’est
un grand bonheur de ramener ce trophée à Marseille

Anigo : "Nous restons zen"
MERCATO Pas d’affolement, pas question d’amputer l’OM de certains joueurs, et toujours deux recrues souhaitées

José Anigo mise sur la continuité. "Aujourd’hui, cette équipe peut rester la même à 95 %. Je ne vois
pas pourquoi, on devrait tout changer."


"L’OM fait fantasmer,
mais ce n’est pas la
peine de faire rêver les
gens pour rien."



"Ben Arfa préfère les
ambitions sportives au
pont d’or. Il pense à son
métier avant l’argent."

José Anigo a multiplié les
rendez-vous au retour de
Tunisie, notamment pour
Hatem Ben Arfa, demandé en
Allemagne, en Italie et en Angleterre.
Mais rien ne s’est encore
décanté, pas plus rayon départs
que rayon arrivées où Bordeaux
s’efforce d’empêcher le
transfert d’Alou Diarra.
❚ Vous avez eu l’air particulièrement
heureux du succès au
Trophée des champions...
Je suis heureux pour le club.
Trois titres en si peu de temps
après dix-sept ans sans rien,
c’est exceptionnel. Démarrer la
saison par un trophée, c’est le
plus important.
Il n’y avait pas de pression, mêmesi
c’était le PSG, avec une récompense
au bout. En revanche,
j’ai lu beaucoup de tristesse
dans les regards des joueurs
parisiens, ce qui confirme qu’il
y avait un enjeu.
Mais ça n’a rien de comparable
avec une finale de coupe. Nous
sommes toujours en phase de
préparation pour amener
l’équipe vers le championnat.
Il y avait beaucoup de sérénité,
de décontraction. L’équipe a
gardé son envie de gagner, sa
rage, sur le registre de l’an dernier,
très saine et très sereine.
❚ Commencer avec un nouveau
titre, ça ne va pas vous mettre
une pression supplémentaire ?
Non, parce que chez nous, elle
est permanente. Il n’y a pas un
entraîneur, pas un dirigeant,
pas un joueur qui échappe à la
pression. Ni avant, ni maintenant,
ni après. L’OM est médiatiquement
puissant, scruté
sous tous les angles ; ceux qui
arrivent doivent apprendre à vivre
avec ça, ceux qui sont là depuis
quelque temps, savent gérer
ce genre d’émotion.
❚ La saison continue de se préparer
en coulisses et ça prend beaucoup
de temps cette année...
Comme à chaque intersaison.
Au début de mon expérience
de directeur sportif, j’appréhendais
ça parce qu’il y avait des
pressions, pour acheter et vendre.
Aujourd’hui, je me dis
qu’avec des joueurs de qualité,
s’ils doivent arriver ou partir,
quand ça doit se faire, ça se fait.
Il est inutile de bousculer les
choses. En coulisses, on travaille
en restant zen...
❚ Vous n’avez recruté qu’un
joueur. Avoir gagné sans Niang,
Brandao, Mbia et Heinze, ça doit
contribuer à la sérénité...
Dans le passé, on nous a souvent
reproché les grands chamboulements
; il fallait du temps
pour que l’équipe trouve des
automatismes. L’an dernier,
c’est ce qui s’est produit, avec
un nouvel entraîneur et une arrivée
massive de nouveaux
joueurs. Nous avons été champions,
gagné la coupe de la Ligue
: aujourd’hui, cette équipe
peut rester la même à 95 %. Je
ne vois pas pourquoi, on devrait
tout changer.
Nous avons remplacé Laurent
Bonnart après trois excellentes
saisons à l’OM, par un jeune
joueur, Cesar Azpilicueta, qui
est bon et va encore s’améliorer.
Une recrue doit être un
plus. Si nous prenons encore
un ou deux joueurs, il faut que
ce soit une valeur ajoutée.
❚ Si on a reproché à l’OM ses
chamboulements, il faut bien
avouer qu’il y a de la gourmandise
pour la nouveauté...
L’OM fait fantasmer. Mais parfois,
on a des prénoms avant
d’avoir des noms. Nous avons
un petit Dédé qui deviendra un
grand Ayew, un petit Charly
qui deviendra un grand Kaboré...
Nous avons misé sur des jeunes
; Leyti N’diaye montre le
bout de son nez. Mais c’est vrai
que nous aurons besoin d’un
ou deux renforts, des vrais...
❚ Adebayor, ce serait un vrai renfort
? Mais est-ce faisable ?
Il a le profil type pour jouer
chez nous, mais ce qu’on entend
à droite et à gauche, n’est
pas forcément vrai ; ce n’est
pas la peine de faire rêver les
gens pour rien. Nous préférons
travailler dans l’ombre et nous
dévoiler quand c’est fait. Rien
n’est irréalisable, dans la mesure
où le recrutement n’est pas
massif, mais nous sommes
dans une logique économique
où le marché ne bouge pas.
Il y a une ou deux sorties à réaliser
pour garder un budget équilibré.
La crise touche tout le
monde ; même les clubs qui
achetaient sans compter, font
désormais attention.
❚ Quand on vient d’être champion,
c’est paradoxal...
Un titre, ça induit des primes,
des paiements de bonus pour
des transferts passés...
❚ Le titre a rendu Lucho encore
plus cher...
Pas que lui... Être premier, ça a
un coût et il faut l’assumer.
Mais on ne regrette surtout pas
d’avoir acheté Lucho...
❚ Vous avez été sollicité pour
pas mal de joueurs...
Oui, mais chez nous, il y a beaucoup
de joueurs qui n’ont pas
de bon de sortie. Je suis d’accord
avec Didier (Deschamps) :
quand on a une bonne équipe,
il est impensable de s’amputer
de bons joueurs si on veut gagner
encore des titres. Après, il
y a un arbitrage économique,
qui se joue au-dessus de nous,
par le président, l’actionnaire...
❚ Les pays du Golfe ont l’argent,
eux...
Oui, mais pas un championnat
attractif. Les joueurs qui ne
sont pas en fin de carrière restent
en Europe ; comme pour
Ben Arfa, pour qui nous avons
reçu une offre , mais il préfère
les ambitions sportives au pont
d’or. Il fait partie des joueurs
qui songent d’abord à leur métier,
avant de songer à l’argent.
❚ C’est la bonne année pour franchir
un cap en Ligue des champions
?
Oui. Nous avons encore besoin
d’un ou deux joueurs pour cela,
mais j’espère que nous
aurons un tirage moins sévère.
Et nous bénéficierons de l’expérience
acquise ces dernières années.
❚ La progression qu’a connue
Lyon, c’est l’exemple ?
Tout à fait, même si le contexte
n’est pas le même. Chacun a
son histoire, la pression n’est
pas la même. Mais quand ils
ont eu l’équipe, ils n’ont fait
que des retouches de qualité
autour d’une base très forte. Ils
se sont construit au fil des ans.
Pour nous, l’arrivée de Lucho,
joueur de haut niveau international,
a été déterminante et je
ne comprends toujours pas
comment Maradona a pu s’en
passer. C’est le type de joueur
que l’OM n’avait pas eu depuis
très longtemps.

Anigo : «Laisser Hatem se calmer»


José Anigo ne désespère pas de ramener Hatem Ben Arfa à la raison.


Face au refus d'Hatem Ben Arfa de s'entraîner, José Anigo prône l'apaisement. D'une manière générale, le directeur sportif de l'OM souhaite qu'on laisse son club travailler.

«José Anigo, Maître Jean-Jacques Bertrand a confirmé l'intention d'Hatem Ben Arfa de ne plus revenir à la Commanderie. Qu'est-ce que cela vous inspire ?
Je n'ai pas spécialement de réaction. Hatem, je le connais. C'est un bon garçon avec beaucoup de caractère. Il est un peu comme un de mes enfants. Personnellement, quand il y a des conflits, je suis toujours ouvert aux discussions. J'espère qu'on trouvera une solution. Il faut lui laisser le temps d'évacuer sa colère.

Il affirme que vous avez annoncé à Hatem Ben Arfa, au début du mercato, que vous ne comptiez pas sur lui et que l'OM est, par conséquent, responsable de cette situation. Comprenez-vous cette accusation ?
Maître Jean-Jacques Bertrand, il est bien gentil, mais il a pris le train en marche. Il a le droit de s'exprimer, mais s'il parle comme ça, je vais lui répondre. Ce dossier, il le connaît depuis une semaine, il ne peut pas l'évaluer. Ce qu'il dit dans la presse, je préfèrerais qu'il nous le dise à nous. Parce qu'il connaît bien le monde du foot et les affaires, il devrait savoir que dans ce genre d'histoire, pour qu'il y ait un accord, il faut un vendeur et un acheteur.

Est-il possible que vous fléchissiez votre position comme vous l'avez fait pour Mamadou Niang ?
Chaque cas est différent. J'ai lu ou entendu qu'on se comportait comme des amateurs. Je trouve ça un peu simpliste. C'est faire preuve de méconnaissance du dossier. Le cas d'Hatem est particulier. S'il réagit comme ça, c'est pour exprimer son mal-être. Il faut le laisser se calmer. Mais si j'ai un conseil à lui donner, ne pas venir s'entraîner n'est pas la bonne solution.

L'avez-vous eu au téléphone ?
Non, je préfère laisser redescendre la tension.

Il aurait passé la journée à Newcastle...
Je n'en sais rien, mais si c'est le cas, les Anglais font une bêtise. Ce serait une grande faute de lui parler alors qu'il n'y a pas d'accord avec nous. Aujourd'hui, le plus important, c'est notre match à Valenciennes. Lundi, on aura l'occasion de se remettre sur son dossier.

D'une manière générale, n'espériez-vous pas un été moins agité ?
Mais, à part le cas Hatem, quels dossiers nous reste-t-il à régler ? Concernant Taiwo, c'est fait. Pareil pour Mamad' (Niang). Le club a décidé de le vendre, point final. Derrière, c'est vrai qu'il nous reste à acheter un attaquant, mais ce n'est pas parce que la presse et les supporters nous pressent qu'on doit faire tout et n'importe quoi. Laissez-nous travailler ! On verra après le 31 août ce qui a été bien fait ou pas.

Etes-vous pressé d'arriver à cette date ?
Pourquoi le serais-je ? Je pense que la défaite contre Caen a fait un peu peur à tout le monde, mais on a assez d'expérience pour gérer. Je suis sidéré par l'emballement actuel. N'oubliez pas que 98% de l'équipe qui a été championne est encore là. Où sont les problèmes ?

Il se dit que tout le monde au sein du club ne serait pas sur la même longueur d'onde...
Un exemple ?


Mamadou Niang va partir alors que Didier Deschamps voulait à tout prix le conserver...
Il va partir parce qu'il y a également un volet économique. Sans le départ de Mamad', impossible de faire le grand attaquant que souhaite Didier (Deschamps). Mamad', ça fait 5 ans qu'il est là, il a 31 ans. Peut-être est-il à un âge où c'est le bon moment de le vendre... Il ne faut pas non plus en faire tout un pataquès. Le jour où on aura recruté son remplaçant, on ne parlera plus de nous comme des amateurs. Peut-être les gens trouveront-ils autre chose, mais on est habitué...

Justement, où en est la possible arrivée de Luis Fabiano ?
C'est la piste prioritaire, mais quand on cherche un joueur, il y a toujours une short-liste de trois ou quatre noms. A nous d'avancer sur ce qui est le mieux pour l'OM. Un montant de 18 millions ? Personne chez nous n'a donné ce chiffre. Je vais continuer à laisser planer le doute. Puisque tout le monde parle pour nous, continuons dans ce truc-là. On fera le point après le 31 août».

Anigo : "Ben Arfa s'expose à de lourdes sanctions financières"

le 20/08/2010

video http://www.laprovence.com/video/Anigo%2B%253A%2B%2522Ben%2BArfa%2Bs%2527expose%2B%25C3%25A0%2Bde%2Blourdes%2Bsanctions%2Bfinanci%25C3%25A8res%2522/iLyROoaf81fi/laprovence/sport

Lors de la conférence de presse vendredi, José Anigo a fait le point sur le dossier Ben Arfa qui n'est pas réapparu au centre Louis-Dreyfus depuis plus de dix jours. Le directeur sportif de l'OM a confirmé que Ben Arfa s'entraînait seul. Il est aussi revenu sur son comportement et a jugé que le joueur "s'expose à de lourdes sanctions financières".

Ligue des champions : l'espoir de Dassier et Anigo
Publiée par laprovence
le 26/08/2010 à 20:55:59
VIDEO
http://www.laprovence.com/video/Ligue%2Bdes%2Bchampions%2B%253A%2Bl%2527espoir%2Bde%2BDassier%2Bet%2BAnigo/iLyROoaf8p8G/laprovence/om
L'OM connaît ses adversaires européens pour la phase de groupes de la Ligue des champions : il s'agit de Chelsea, du Spartak Moscou et des Slovaques de Zilina. Interrogés à l'issue du tirage au sort, qui a eu lieu ce jeudi au Grimaldi Forum de Monaco, Jean-Claude Dassier et José Anigo se montrent confiants... mais prudents !

ANIGO: "ON NE FAIT PAS LA FINE BOUCHE"
"Chelsea semble au-dessus du lot, mais l’OM a toutes ses chances
face aux deux autres adversaires. Je trouve le groupe assez ouvert.
On connaît déjà le Spartak Moscou et son terrain synthétique. Nous
avons également des renseignements sur Zilina, puisque ce club a
été supervisé par notre cellule de recrutement.
"À première vue, cela paraît moins compliqué que la saison dernière.
Je ne sais pas si c’est le tirage le plus facile de l’OM en Ligue des
champions comme vous le laissez entendre. On ne fera quand même
pas la fine bouche, mais il faudra être très bons lors des quatre rencontres
contre les clubs issus des chapeaux 3 et 4."
D’unde nos envoyés spéciaux bienvenou

reactions


José Anigo : "Nous n’avons pas gagné, mais ce match soulève beaucoup
d’espoirs. La mentalité de l’équipe est intéressante. Comme chaque
saison, il faut du temps pour que tout se mette en place. On part
doucement dans ce championnat, mais il n’y a pas de raison de s’affoler.
Il y a des nuls désespérants, mais celui-ci est encourageant. Il
convient de féliciter les joueurs, les onze, puis les dix, car même en
infériorité numérique, il se sont arrachés."

Loïc Rémy: "Il fallait vite m’intégrer après seulement une semaine
d’entraînement, je m’adapte mais on continue à apprendre à se
connaître avec mes coéquipiers. J’aurais bien aimé marquer mon premier
but, mais le poteau a repoussé le ballon. C’est dommage car le
contexte faisait que si j’avais marqué, la fin aurait été sans doute différente.
C’est frustrant de prendre ce but à 5 minutes de la fin, c’est
même cruel, car même à 10 contre 11, on a fait preuve d’une belle
combativité. C’est très encourageant pour la suite."
Edouard Cissé : "Franchement, le carton rouge c’est très dur. Le jaune,
j’aurais été d’accord. Le suis fier de mes coéquipiers qui ont été
exemplaires à 10 contre 11 pendant plus d’une heure. Sur le coup, je
ne pense pas que ce soit vraiment un tacle par derrière. Je cherche à
récupérer et à toucher le ballon. Ce n’était pas un gros tacle méchant,
mais bon, ce sont les nouvelles règles... La manière avec laquelle
nous avons obtenu ce résultat, ne fait que confirmer qu’on est sur la
bonne voie."

SECRET STORY A MARSEILLE



jeudi 9 septembre 2010 22:11
Deschamps-Anigo, ça va mieux
Selon Jean-Claude Dassier, Didier Deschamps et José Anigo ont passé «un mois compliqué», mais ont réglé leurs différends.

ILS ONT PAS DIT LEUR SECRET


Selon Jean-Claude Dassier, Didier Deschamps et José Anigo ont mis les choses au point.
Ces dernières semaines, on avait bien compris que dans les cuisines de la Commanderie, le torchon brûlait entre Didier Deschamps et José Anigo. Une tension confirmée ce jeudi par Jean-Claude Dassier , mais le président de l'OM se veut rassurant : l'heure est à l'apaisement entre les deux hommes.

«José et Didier se sont parlé, il y a une quinzaine de jours. Cela a permis de dissiper les incompréhensions. Ils se sont dit ce qu'ils pensaient l'un de l'autre. C'est bien. Même si l'accouchement a été un peu angoissant, le bébé a bonne mine. Il a du rose aux joues. (...) Les tensions sont derrière nous. Aujourd'hui, ils travaillent ensemble après, disons, un mois compliqué.»

Un mois compliqué essentiellement dans la gestion du mercato, source des différends entre les deux hommes forts de Marseille : «Didier fait les choix. D'accord, sur Niang, il y a eu des désaccords, sur Ben Arfa, c'était compliqué ... Mais jamais Anigo ne s'est mis en travers d'un choix de Deschamps. Jamais.»

BIENVENOU JOSE QD MEME 14 MATCHS SANS MARQUER
JOSE AH BON

BIENVENOU ET A CHAQUE MATCH 2 OCCASES FRANCHES
JOSE AH BON

BIENVENOU CA FAIT 28 OCCASES FRANCHES ET PAS UN BUT DEPUIS 6 MOIS
JOSE AH BON Y A UN BLEME

BIENVENOU TU VOIS J AVAIS RAISON





Anigo : "Brandao mérite plus de respect"
le mercredi 22 septembre 2010 à 12H04

L'OM fait front derrière Brandao. Après Didier Deschamps samedi soir, le tandem Cissé-Hilton hier et le président Jean-Claude Dassier aujourd'hui, c'est au tour de José Anigo de monter au créneau pour défendre l'attaquant brésilien, pris en grippe par une partie des supporters de l'OM.

"Quand un joueur se fait siffler c’est qu’il y a forcément eu des manques quelque part, reconnaît le directeur sportif olympien au micro d'OMtv. En l’occurrence, Brandao a raté une occasion franche à Avignon. Le problème, c’est qu’il a été sifflé avant de rentrer. Or comment voulez-vous mettre dans de bonnes dispositions un joueur qui rentre en se faisant siffler? On sait bien que Brandao n’est pas un grand technicien et même en le sifflant il ne s’améliorera pas à ce niveau là, mais il apportera sa générosité et sa combativité. Il faut accepter d’avoir ce genre de joueurs qui, en plus, a permis, comme les autres, de gagner trois titres l’an dernier. Rien que pour cela il mérite un peu plus de respect et d’indulgence."