José Anigo DIRECTEUR SPORTIF

VSD condamné pour
avoir injurié José Anigo Le tribunal correctionnel
condamne le directeur de la publication
de VSD à 6 000 ¤
d’amende pour avoir injurié José
Anigo, directeur sportif de
l’OM. Même peine pour le journaliste
auteur d’un article paru
en novembre 2011 et intitulé
"Le parrain se rebiffe". L’article
évoquait l’implication du fils de
José Anigo dans des vols avec
violences et de supposés liens
avec un homme fiché au grand
banditisme. Pour le tribunal, "il
est indiscutable que le rédacteur
de l’article a entendu donner au
mot (parrain) un sens et une portée
péjoratifs". Pour Me Emmanuel
Molina, avocat de José Anigo,
"son honneur et sa réputation
ont été lavés par le tribunal
et cette décision a valeur
d’exemple pour tous ceuxqui estimeraient,
par l’avenir, devoir
injurier José Anigo et attenter à
sa réputation". VSD avait plaidé
que le terme "parrain" n’a pas
de sens péjoratif mais évoque
"un personnage incontournable,
unpeu fort engueule". Le tribunal
alloue un euro symbolique
de dommages et intérêts
au cadre de l’OM et ordonne la
publication du jugement dans
VSD. Mais pas en caractère
d’un centimètre de hauteur
commel’avait réclamé José Anigo.

05/07/2012 - 15:55
OM: Anigo envisage "un ou deux départs"
Alors que l'OM a repris le chemin de l'entraînement à Crans-Montana, en Suisse, où les joueurs ont débuté leur préparation d'avant-saison, José Anigo, le Directeur sportif du club, a profité de la présentation à la presse d'Elie Baup, le nouvel entraîneur en remplacement de Didier Deschamps, pour évoquer le mercato estival. "Les gens à Marseille sont inquiets et je comprends leur inquiétude. On savait que si Didier Deschamps partait, on aurait un remplaçant", a notamment clamé le Phocéen, précisant dans la foulée à nos confrères de La Provence : "En interne, on a donc tracé une route et on sait où on veut aller. Pour le projet sportif, notre effectif a certes fini dixième, mais il est allé en quarts de Ligue des champions." Et de conclure : "Il y aura un ou deux départs d'ici la fin du mercato, certainement des arrivées, a précisé le directeur sportif de l'OM. Elie Baup va définir le projet de jeu et bâtir l'équipe en fonction de ses demandes."

Anigo et Baup, un duo qui redonne le sourire à Labrune et l'OM Vendredi 20 Juillet 2012 à 11h36 Dans : Marseille, Ligue 1.

C’était une évidence et cela a probablement abouti au départ de Didier Deschamps de l’Olympique de Marseille, l’ancien entraîneur du club phocéen et José Anigo étaient des ennemis jurés. Si les deux ont tenté tant bien que mal de ne pas s’affronter directement, même si cela a parfois été chaud, le départ d’un des deux semblait une évidence et c’est ce qui s’est passé. Désormais, le directeur sportif de l’OM semble avoir repris des couleurs et on peut le voir très souvent dialoguer avec Elie Baup, le successeur de Didier Deschamps. Une communication qui est évidemment une bonne chose pour Marseille, et que constate avec plaisir Vincent Labrune. « Aujourd’hui, il y a une meilleure alchimie entre José et Élie, que précédemment entre José et Didier », constate avec satisfaction, dans l'Equipe, le président de l’Olympique de Marseille après cette remise à plat au sein de l’organigramme phocéen. Seuls les résultats pourront toutefois confirmer, ou pas, que ce changement porte ses fruits.

Anigo : «Il y a une cohésion» 25/07/2012 00:51:47

JoséAnigo, le directeur sportif de l'OM, est optimiste avant la nouvelle saison qui arrive.

A moins de trois semaines avant le début du championnat, José Anigo a fait le point ce lundi sur RTL sur l'actualité de l'OM. Le directeur sportif olympien, satisfait de la préparation de Baup, ne cache pas que Mbia ou Azpilicueta pourraient quitter le club.

Mbia et Azpilicueta sur le départ ?
«Tout le monde est obligé de vendre avant d'acheter. On est contraint et forcé de vendre de toute manière car l'actionnaire a posé les bases et on doit le respecter. Et effectivement, il pourrait s'agir soit de Mbia soit d'Azpi. Mais pour le moment, tout est figé rien a encore bougé. Azpi a un profil pour aller dans un grand club. Soit il va dans un grand club soit il restera ici. C'est dur car aujourd'hui les clubs comptent leur argent. Si j'avais eu l'argent pour payer Mendes il serait à l'OM, même Marvin Martin il serait à l'OM.»


Les premiers pas d'Elie Baup
« Ça se passe très bien. C'est un homme de dialogue, de partage et qui fait l'unanimité. Je pense qu'il aura la possibilité de faire un bon Championnat et je l'espère car c'est quelqu'un qui sort de trois ans où il n'a pas entraîné. Il est revanchard, il a envie. (...) Dans les séances, dans les projets qu'il a mis en place, il y a une orientation tactique, on sent qu'il y a une cohésion, c'est bien. Il y a une super ambiance au sein du groupe.»


L'année de Gignac ?
« Il a fait une très bonne préparation. A l'entrainement, il est pas mal. Je ne sais pas si ça marchera, s'il marquera des buts, mais je sais qu'il met tous les moyens de son côté. »


Le PSG...
« C'est un championnat où Paris peut finir avec le coup de poing dans la hanche, il risque de tuer tout le suspense. Maintenant est-ce que c'est bien pour le football français ? Je n'en sais rien... Ce qui est bizarre, c'est de voir une équipe française, c'est la première fois que ça arrive, avec quasiment pas de joueurs français dans l'effectif, en tout cas dans le onze de départ. Si j'ai bien compris il n'y a que Jallet qui s'impose apparemment, mais il y a une bagarre qui va s'instaurer derrière. On va tous démultiplier nos forces pour essayer de lutter contre l'ogre parisien. Il va falloir qu'ils s'habituent à jouer dans les championnats où même les petits matchs vont devenir les gros matchs de Coupe de France pour eux, ça ça peut être compliqué aussi à gérer pour eux et ça va multiplier les forces pour les adversaires. Je parle en connaissance de cause...»

L’INTERVIEWDE JOSÉ ANIGO
"L’OMades joueurs qui ont faim
Moins de fric mais plus d’humilité"
JOSÉ ANIGO Le directeur sportif de l’OM dresse le bilan du mercato et détaille la nouvelle politique du club

"Cet hiver, ce sera peut-être
le moment de donner un coup
de collier avec une ou deux arrivées."

❚ Ce mercato était-il l’un des plus difficiles que
vous avez eu à gérer?
En effet, ce fut plutôt compliqué! Il y avait un
cahier des charges à respecter, qui était plutôt
serré. Avec un porte-monnaie bien plein, forcément,
ça aurait été plus facile. Là, il a fallu
d’abord vendre, ce qui n’était pas la chose la
plus simple contrairement à ce que l’on peut
croire. C’était également le cas pour tous les
clubs français et européens. Au final, on s’enest
pas tropmal tiré et cela nous a permis de nous
resituer, de retrouver des valeurs différentes.
❚ Quelles sont ces valeurs?
Lors du premier stage, on s’est retrouvé avec
beaucoup de jeunes et ça nous a fait prendre
conscience aussi qu’on rentrait dans une nouvelle
dimension. Quand Élie Baup est arrivé, on
a tout de suite su ce qu’on voulait et surtout ce
qu’on ne voulait pas. Onachoisi uneoption différente,
avec peu de moyens et des joueurs qui
voulaient vraiment rentrer dans le dur, dans un
championnat compliqué, mais qui étaient
prêts dans leur tête à assumer ça, investis à
100% dans le projet. On savait lesquels étaient
des locomotives et allaient tirer le groupe vers
le haut. Ceux-là, il fallait absolument les garder.
D’autres, pour nous, avaient plus de possibilités
de sortir car leurs valeurs ne correspondaient
plus avec celles qu’on souhaitait avoir.
❚ Les départs étant peu nombreux (Azpilicueta,
Diarra et Mbia), forcément, on sait de qui
vous parlez...
Le cas d’Azpilicueta est différent. Il est parti uniquement
pour des raisons financières car
l’homme est exceptionnel, humainement et
sportivement. Alou Diarra avait un bon projet à
West Ham, Stéphane Mbia voulait financièrement
un meilleur projet. Ce qu’on cherchait, ce
n’était pas des joueurs avec un projet financier,
mais des joueurs qui souhaitaient un projet
sportif, avec l’envie de réussir quelque chose.
Des joueurs qui ont faim.
❚ Mbia a pourtant déclaré qu’il ne souhaitait
pas partir. Ce n’était pas le cas ?
C’est une forme de jeu entre nous et la presse...
Stéphane, c’est le premier qui est venu nous
voir pour nous dire qu’il voulait partir, il ne faut
pas raconter d’histoires. On n’a jamais mis un
joueur dehors. Ceux qui sont partis sont des
joueurs qui voulaient absolument quitter le
club.
❚ Vous avez recruté dans les dernières heures
du mercato. Ainsi, plusieurs joueurs vous sont
passés sous le nez, n’est-ce pas frustrant?
C’est ainsi, le travail s’effectue toujours bien en
amont. Le marché fut finalement franco-anglais,
on a vendu tard, au rythme du mercato
britannique. C’est toujours embêtant quand tu
penses que tu as fait le boulot et qu’au final, il
ne te manque que l’argent. Lorsqu’on a vendu,
ceux qui étaient dans les tuyaux avaient signé
ailleurs... Il a fallu agir différemment mais je
crois que les choses se font quand elles doivent
se faire, et inversement. Il ne faut rien regretter.
❚ Comment se sont passés les contacts avec
Joey Barton?
On l’a rencontré un peu fortuitement avec son
agent, avec qui on a déjà travaillé par le passé,
lors d’un rendez-vous à Londres pourMbia. On
a discuté, il nous a expliqué qu’il avait envie de
quitter l’Angleterre, et quand on est rentré, notre
"mariage" était devenu une évidence!
❚ Sa suspension n’a pas freiné vos envies ?
On a été obligés de tenir compte de sa suspension
et d’en parler avec l’entraîneur. Tout le
monde a été consulté au club, y compris des
joueurs, et il n’en est ressorti que du positif. Les
seuls points négatifs arrivent de l’extérieur ; en
terme d’image, on dirait qu’on a fait signer le
pire des pires... Mais son arrivée a fait presque
un plus gros buzz qu’Ibrahimovic, pour des raisons
peut-être différentes. On est très contents
de l’avoir avec nous. C’est un compétiteur. On
sait qu’on peut s’attendre à tout, mais c’est un
garçon loin de correspondre à tout ce qu’on raconte
sur lui. Il a du tempérament, mais on ne
voulait pas un mouton prêt à rentrer dans le
rang. On souhaitait réveiller notre vestiaire et
lui emmener cette forme de gagne. Il incarne
ça. Barton correspond à la ville, il colle bien au
club, aux supporters ; ces paramètres sont entrés
en ligne de compte. Si je devais le définir, je
dirais que c’est un mélange de Mozer, de Di
Méco, ce genre de garçon avec cette grinta.
❚ Comment définiriez-vous Lucas Mendes, bien
moins connu?
Jean-Philippe Durand l’a vu pour la première
fois il y a deux ans et, depuis, on suit son évolution.
C’est un jeune avec qui il va falloir être patient
car il découvre une nouvelle culture, une
nouvelle langue, un football différent. On va essayer
de le mettre dans les meilleures dispositions
car il vaut le coup.
❚ Et Kassim Abdallah?
Lui aussi, on le suit depuis pas mal de temps. Il
existe un très un gros vivier en L2, avec des
joueurs entre 20 et 23ans qui accumulent
des matches, prennent le
temps de grandir. Abdallah possède
une mentalité exemplaire
et des valeurs car il connaît le
goût de la sueur. Il bossait encore
il n’y a pas si longtemps.
J’aime ce genre de
joueurs. Ils emmènent
d’autres valeurs, des trucs
qu’on voit peu ou plus
dans le foot. C’est exactement
comme Barton. Le
fric, bien sûr qu’il y en a
dans le foot, il ne faut pas
être hypocrite. Il y en a même
beaucoup. Mais il y a aussi
les aspects sportif et humain.
Et ça, ça devient prioritaire pour
nous. On ne veut plus s’embêter
avec des joueurs qui nous cassent
les pieds rien qu’en nous parlant
d’oseille.
❚ Le début de saison vous donne raison...
Ce qui est bien, c’est que quand on gagne,
on ne fait rien dans l’urgence. Mais soyons
honnêtes: on partait dans l’incertitude totale
avec peu de joueurs confirmés, les matches de
coupe d’Europe au milieu... On n’a rien dit, ona
mis de l’humilité et de la sueur dans notre job
quotidien et on a fait notre petit parcours. Personne
ne s’enflamme chez nous, on va essayer
de prendre encore des points pour se mettre
dans une situation encore plus
confortable. Mais si
vous m’avi e z d i t
qu’on aurait quatre
victoires après quatre
matches, j’aurais été
un peu sceptique ! On
est très heureux mais on
reste très humble.
❚ Vous vous préparez
déjà au mercato hivernal
?
Cela dépendra de notre position
en championnat.Ce sera
peut-être le moment de donner
un coup de collier et les joueurs
qu’on perdra à la CAN pourraient être
remplacés par une ou deux arrivées. Mais
aujourd’hui, le voeu de tous les clubs est
que ça bouge encore à ce moment-là dans
les deux sens...

Anigo : «On partait dans l'incertitude»
Après un été sans folie, l'OM trône malgré tout sur la première marche de Ligue 1 après quatre journées. Si la consigne de Margarita Louis-Dreyfus, l'actionnaire principale du club, était de «vendre» avant «d'acheter», José Anigo a géré au mieux cette nouvelle politique pour finalement présenter une balance positive de 15 millions d'euros sur le marché des transferts, grâce notamment aux ventes d'Azipilicueta (8 ME) et Mbia (6 ME).

«Il y avait un cahier des charges à respecter, qui était plutôt serré, détaille le diriecteur sportif olympien ce samedi, dans La Provence. Avec un porte-monnaie bien plein, forcément, ça aurait été plus facile. Au final, on ne s'en est pas trop mal tiré et cela nous a permis de nous resituer, de retrouver des valeurs différentes. Lors du premier stage, on s'est retrouvé avec beaucoup de jeunes et ça nous a fait prendre conscience aussi qu'on rentrait dans une nouvelle dimension.»

«L'aspect sportif et humain devient prioritaire»

L'arrivée d'Elie Baup pour succéder à Didier Deschamps est d'ailleurs l'un des symboles les plus frappants de cette nouvelle ère. «Quand Baup est arrivé, on a tout de suite su ce qu'on voulait et surtout ce qu'on ne voulait pas, poursuit Anigo. On a choisi une option différente, avec peu de moyens et des joueurs qui voulaient vraiment rentrer dans le dur, dans un Championnat compliqué, mais qui étaient prêts dans leur tête à assumer ça, investis à 100 % dans le projet. On savait lesquels étaient des locomotives et allaient tirer le groupe vers le haut. Ceux-là, il fallait absolument les garder. D'autres, pour nous, avaient plus de possibilités de sortir car leurs valeurs ne correspondaient plus avec celles qu'on souhaitait avoir. (...) Il y a aussi l'aspect sportif et humain, ça devient prioritaire pour nous. On ne veut plus s'embêter avec des joueurs qui nous cassent les pieds rien qu'en nous parlant d'oseille.»

«Rester humble»

Avec quatre victoires engrangées en autant de rencontres de L1 et une qualification pour la phase de poules de la Ligue Europa, le début de saison donne pour l'instant raison aux choix du dirigeant olympien. «Ce qui est bien, c'est que quand on gagne, on ne fait rien dans l'urgence, conclut-il. Mais soyons honnêtes, on partait dans l'incertitude totale avec peu de joueurs confirmés, les matches de coupe d'Europe au milieu... On n'a rien dit, on a mis de l'humilité et de la sueur dans notre job quotidien et on a fait notre petit parcours. Personne ne s'enflamme chez nous, on va essayer de prendre encore des points pour se mettre dans une situation encore plus confortable. Mais si vous m'aviez dit qu'on aurait quatre victoires après quatre matches, j'aurais été un peu sceptique ! On est très heureux mais on reste très humble.»

OM : José Anigo est présent pour voir les U19 Publié le mercredi 12 septembre 2012 à 18H41


Le directeur sportif olympien est présent à Carnoux pour assister à la rencontre de NextGen des U19 de l'OM face à l'Athletic Bilbao, ce mercredi soir.

OM : Anigo n'aurait pas continué avec DD (14/09/2012)
Maintenu au poste de directeur sportif de l'Olympique de Marseille cet été, José Anigo s'est vu retirer une sacrée épine du pied avec le départ de Didier Deschamps, avec qui ses rapports étaient loin d'être fraternels. Le Phocéen évoque une renaissance.

"Le départ de Deschamps un soulagement ? Non ! Parce que de toute façon, je n'aurai pas continué comme ça", a révélé Anigo dans les colonnes de L'Equipe. "A un moment, il faut être heureux et je ne l'étais pas. Mais ça m'a endurci. Je comprends mieux le système. Dans ce monde du football, il faut avoir un réseau médiatique, je l'ai appris à mes dépens. L'an dernier j'ai passé sept mois en retrait. Aujourd'hui je fais mon job et j'essaie de faire le mieux." L'arrivée de Joey Barton (30 ans) sur la Canebière en est un illustre exemple

OM: Anigo au secours d'Amalfitano
Auteur d'un mauvais comportement face au PSG (2-2), dimanche dernier en Ligue 1, Morgan Amalfitano a été rattrapé par la patrouille cette semaine et devrait passer devant la commission de discipline de la LFP. Emporté par la tempête médiatique, l'ancien Lorientais a été défendu par José Anigo, le directeur sportif de l'OM. "Je pense que l’affaire Amalfitano, si on peut parler d’affaire, prend trop d’ampleur et la déclaration de Christophe Bouchet ce matin n’avait pas lieu d’être. Si certains veulent faire campagne pour une élection présidentielle, ils ne doivent pas se servir de Morgan, a lâché le dirigeant phocéen sur le site du club. Ce fut l’un des clasicos les plus tranquilles de ces dernières années, que ce soit sur le terrain et en tribunes, et il est dommage qu’il soit réduit à cet incident. Morgan va passer devant la commission de discipline mais nous avons des images pour montrer qu’il y a eu des propos d’avant-match comme ceux de Jallet et des gestes qui méritent aussi d’être sanctionnés."

La défaite contre Lyon est-elle due aux limites de l'effectif olympien ?
78%Oui
20%Non
2%Ne se prononce pas

Transferts
Anigo : «Un joueur offensif, peut-être deux»
(EQ)

A huit jours de l'ouverture du marché des transferts, José Anigo a fixé les priorités de recrutement de l'Olympique de Marseille. «Il va certainement y avoir l'arrivée d'un gardien de but et d'un joueur offensif, peut-être deux, a ainsi assuré le directeur sportif olympien sur OMtv. On travaille pour ça.

PSG-OM : les directeurs sportifs au crible
Marseille / Publié le mercredi 27 février 2013 à 00H17


A l'occasion du deuxième Clasico consécutif à Paris, en huitième de finale de la Coupe de France (20h55), retrouvez ce mercredi les portraits sans concession des directeurs sportifs des deux clubs : Leonardo et José Anigo.

José Anigo, l’énigme
OMLe dirigeant marseillais vit une période délicate. Portrait d’un directeur sportif à l’image guère flatteuse

Environ 80 supporters de l'OM se sont donnés rendez-vous devant le stade Vélodrome avant le match de la 27e journée de Ligue 1 contre Troyes (coup d'envoi à 17h) pour manifester. Ils réclament notamment la démission du directeur sportif du club, José Anigo.

Nice-OM: Altercation Anigo-Fournier
Si l’OM s’est bien imposé à Nice, dimanche, lors de la 30e journée de Ligue 1 (0-1), l’avant-match a été marqué par une altercation verbale entre José Anigo et Julien Fournier, le directeur général de l’OGC Nice, rapporte Nice-Matin. Le directeur sportif marseillais a notamment accusé son homologue d'avoir eu une influence sur la décision d'interdire le déplacement des supporters marseillais, et de lui faire une mauvaise réputation. Alors qu’Anigo a violemment insulté Fournier, ancien secrétaire général de Pape Diouf à l’OM, c’est finalement Jean-Pierre Rivère et le responsable de la sécurité qui ont réussi à calmer les esprits. "M.Anigo voulait avoir une explication avec M.Fournier. Les propos ont pu être mal compris et mal entendus et c’est parti en vrille. Du style : «Je vais te trouver là où tu es». Il n’y a pas eu d’excuses. Ils ont leur contentieux. Je n’ai pas demandé d’excuses. Sur un terrain de football, on ne doit pas avoir ce type d’altercation, c’est inacceptable. On peut s’expliquer de façon normale", explique le président niçois sur RMC, précisant au passage qu’il ne porterait pas plainte à titre personnel.

OM : José Anigo dira ses vérités en fin de saison
Marseille / Publié le dimanche 21 avril 2013 à 15H59


Hier soir, après la victoire de l'OM sur Brest (1-0), José Anigo, discret depuis plusieurs mois, est sorti du silence en répondant aux questions de Téléfoot. "La saison prochaine se prépare maintenant, on a même commencé depuis pas mal de temps, a d'abord expliqué le directeur sportif olympien. On fera un point en fin de saison car ça n'a pas été facile tout le temps et, malgré ce, on a poursuivi notre parcours, on a continué à travailler.

"Il faut rester concentré sur le sportif, pas sur le reste, sinon on perd trop de temps et d'énergie. Mais une fois la saison finie, beaucoup de choses se régleront parce qu'on ne peut pas laisser tout dire. Il y a eu beaucoup de mensonges, il y aura quelques vérités qui ne seront peut-être pas bonnes à entendre pour tout le monde, mais il faudra les dire."

"On m'a envoyé au Maroc, un peu partout. Je suis là, je suis bien dans ma vie, bien dans mon club, a-t-il poursuivi. Oui, je crois que je serai encore là, même si ça ennuie pas mal de gens. Désolé. Au niveau du boulot, il n'y a pas grand chose à redire sur notre parcours depuis quelques années. Prenez mon bilan en tant que directeur sportif, vous verrez que c'est pas mal. Il y en a beaucoup qui aimeraient avoir le même. Je vois des confrères qui aimeraient avoir ce parcours-là. Quelques fois, je minimise les choses. Ce n'est jamais agréable d'être dans l'ombre, de temps en temps, il faut se mettre en avant.

Ce n'est pas ce que j'aime le plus mais, à un moment donné, je suis obligé de dire les choses. Tellement de choses ont été racontées ces derniers mois qu'effectivement, il faudra faire un bilan ; pas seulement sur cette saison, mais sur les nombreuses années que j'ai passées ici et vous verrez que c'est différent de ce qu'on peut raconter." Et Anigo de conclure sur la présence de l'entraîneur la saison prochaine : "Elie Baup est là, ça c'est certain. Et on sera là ensemble, je l'espère."

Anigo : «Ecuele-Manga me plaît beaucoup»
Après Fabrice Abriel, Jérémy Morel, Morgan Amalfitano, ou, plus récemment, Alaixys Romao, qui sera le prochain joueur de Lorient à rejoindre l'OM ? José Anigo, le directeur sportif du club phocéen, a répondu à cette question sur La Provence. Et trois pistes se dégagent.

«Jérémie Aliadière ? Il réussit une très belle saison, a commenté Anigo. Ecuele-Manga me plaît beaucoup depuis pas mal de temps déjà et cette saison, j'ai découvert le jeune Maxime Barthelmé, qui a vraiment un bon pied gauche