QUELS SONT LES ENTRAINEURS QUI VONT ENCORE VALSER CETTE SAISON ? L1 L2 NAT

En instance de départ à Lyon, Claude Puel pourrait rebondir en Liga. L'entraîneur de l'OL est courtisé par l'Athletic Bilbao.
Après Philippe Montanier, débauché par la Real Sociedad, il pourrait y avoir un deuxième entraîneur français en Liga la saison prochaine. En effet, si l'on en croit le quotidien As, l'Athletic Bilbao serait particulièrement intéressé par Claude Puel, sur le point de quitter l'Olympique Lyonnais. En cas d'accession à la présidence du club basque, le 7 juillet, Fernando Garca Macua voudrait nommer l'ancien coach du Losc à la tête des Leones.

Une autre touche en Premier League

Qualifié pour la prochaine campagne de Ligue Europa, l'Athletic ne laisserait pas insensible Puel, qui se serait déjà entretenu avec les Basques. A Bilbao, le futur ex-entraîneur de l'OL serait accompagné de son fidèle adjoint Patrick Collot. Mais la piste espagnole n'est pas la seule dont dispose le technicien de 49 ans. Toujours selon le quotidien sportif madrilène, Puel aurait également été contacté par un club de Premier League, sans en dévoiler le nom. En Angleterre aussi, le natif de Castres serait le deuxième entraîneur français (le premier étant Arsène Wenger, ndlr) à occuper un banc de touche la saison prochaine...

LIGUE 1 ● Lyon et Puel, ça continue... Après avoir été limogé,
Claude Puel a porté l’affaire devant les Prud’hommes. L’ancien
technicien lyonnais réclame 7 millions d’euros au club de Jean-Michel
Aulas. "Par respect pour la juridiction, l’Olympique Lyonnais
réservera à celle-ci ses explications qui seront sereines mais particulièrement
fermes et ce, compte tenu du caractère indécent des sommes
demandées", a réagi l’OL sur son site... Verdict mercredi

- Foot-L1-Bordeaux - Tigana : «Le vestiaire était divisé»
Jean Tigana égratigne ses anciens joueurs et son ancien staff.
Deux mois après sa démission, Jean Tigana est revenu dimanche dans un entretien accordé à Sud Ouest sur les raisons de son échec.

Jean Tigana a la dent dure. Démissionnaire de son poste d'entraîneur des Girondins de Bordeaux le 7 mai dernier à l'issue de la claque infligée par Sochaux (0-4), le technicien a ciblé dans un entretien accordé à Sud Ouest les raisons de son échec. Premiers responsables selon lui : les joueurs.

«Le vestiaire était divisé, explique-t-il. Les Bordelais (Matthieu Chalmé, Marc Planus, notamment) qui voulaient me dégager n'avaient pas le soutien des Brésiliens (Fernando, Jussiê ou Wendel) ni de Plasil». S'il regrette que certains joueurs à l'image d'Alou Diarra -«qui n'était déjà plus à Bordeaux» aient joué «beaucoup trop loin» de leur niveau, Tigana ne manque pas non plus de souligner la part de responsabilité de son staff.«Le problème est que j'ai hérité d'un staff qui n'avait pas expurgé ses différends de la saison 2005, insiste-t-il. Les hommes (ses adjoints, Pavon, Dominique Dropsy et Eric Bédouet) ne se parlaient pas, ne voulaient pas être dans le même bureau...» Interrogé sur la possibilité de reprendre les rênes d'une équipe, Tigana a admis avoir déjà reçu des propositions et qu'il pourrait accepter «si le projet (lui) plaît

UN ENTRAINEUR INVAINCU VA VALSER AVANT LE DEBUT DU CHAMPIONNAT

Simon Tahar, président de «l'assocation PSG» qui siège au conseil de surveillance du club, a expliqué que le Brésilien Leonardo sera un «manager général à l'anglaise» au Paris SG, à l'image d'Arsène Wenger à Arsenal ou encore Sir Alex Ferguson à Manchester United. Une décision qui vient menacer directement l'actuel entraîneur parisien, Antoine Kombouaré. Son départ du club pourrait être annoncé prochainement.

Une conférence de presse sera d'ailleurs tenue «ce soir à 18h30 au Parc des Princes, en présence de Nasser Al-Khelaifi, président du conseil de surveillance du Paris SG, et de Leonardo», a confirmé le club parisien dans un communiqué.

UNE BONNE TETE DE NAÏF A ETRE VIRE..EN DECEMBRE


Garde veut garder soit Bastos soit Cissokho

En marge du match amical perdu par ses joueurs face à Genk samedi (1-3), l'entraîneur de l'OL, Rémi Garde, a été clair concernant les dossiers Michel Bastos (27 ans) et Aly Cissokho (23 ans), sur le départ. «Ce sont deux joueurs qui occupent le flanc gauche de mon équipe donc l'un ou l'autre partira mais probablement pas les deux», a-t-il assuré au micro de RMC.

Alou Diarra tacle sévèrement Jean Tigana

Désormais marseillais, Alou Diarra n'oublie pas pour autant d'où il vient. Il n'oublie surtout pas Jean Tigana, l'entraîneur des Girondins, qui a démissionné en fin de saison dernière et qui avait récemment critiqué le milieu de terrain international.

«J'ai toujours tout donné à Bordeaux, a-t-il expliqué sur France 3. Tigana m'a connu pendant une saison. Contrairement à lui, je n'ai pas lâché l'équipe. Il a failli démissionner quatre fois.
Tirer sur les joueurs, je pense que c'est bas de la part du grand monsieur
qu'est Jean Tigana, que je respectais énormément avant de le côtoyer comme entraîneur.»

Et de conclure sur son ancien coach. «Je n'ai jamais fait ce que je voulais aux Girondins de Bordeaux, poursuit-il. J'ai toujours eu le respect des dirigeants, du staff, de toutes les personnes que j'ai connues dans ce club. Tigana n'est pas à même de me de juger.» A coup sûr, Tigana et Diarra ne partiront pas en vacances ensemble...

Négociations et crispations
Le recrutement du PSG sous l'autorité de Leonardo provoque du tiraillement avec les Qataris.

Leonardo aux côtés de Nasser Al-Khelaïfi, le représentant de QSI en France, le 13 juillet.
. Le recrutement du PSG sous l'autorité de Leonardo provoque des tiraillements entre le directeur sportif et l'actionnaire qatari du club.

Les crispations sont apparues autour du dossier d'Abel Taarabt, le milieu offensif des Queens Park Rangers (22 ans, sous contrat jusqu'en 2013). La négociation, menée côté Paris par Leonardo, s'est interrompue pendant quelques heures, jeudi. Le Brésilien a semble-t-il émis des doutes sur le potentiel du joueur devant ses interlocuteurs anglais et fait une offre très en deça des prétentions de QPR - 6-8 millions d'euros contre les 12 millions + 3 de bonus attendus par le club promu en Premier League.

Ce coup de frein dans la discussion a contrarié l'entourage du cheikh Tanim bin Hamal al-Thani, le prince héritier du Qatar et patron du PSG depuis le rachat par Qatar Sports Investments (QSI), fin juin, de 70% des actions du club parisien. Le dossier Taarabt est en effet très cher au prince qui voit dans l'international marocain une valeur technique propre à briller au sein du PSG new-look. Le message a été passé à Leonardo qui est revenu en fin de journée à la table de négociations...

Cet épisode illustre un climat moins euphorique entre Leonardo et les nouveaux maîtres du club que lors du premier contact mi juin à Doha entre l'ex-entraîneur de l'Inter et QSI. L'entourage du cheikh reprocherait à "Leo" de ne pas communiquer davantage et de fonctionner de façon un peu trop indépendante. «Ce n'est déjà plus le grand amour» confie-t-on en coulisses. Ce qui n'empêche pas le club de continuer à s'activer. Leonardo, aidé d'Alain Roche, le responsable de la cellule recrutement, continue de plancher sur les venues de Matuidi (ASSE), Bivesac (VA), Luisao (Benfica)...

«Paris avance sous tension»

COUP DE PIED DE L "ANE

QPR ferme la porte au PSG
Plus question de lâcher Taarabt, jurent les Queen's Park Rangers, samedi. Un cadeau empoissonné à Leonardo, sous la pression de son patron qatari ?

Visiblement peu enthousiaste à l'idée de recruter Adel Taarabt, Leonardo, le directeur sportif du Paris-SG, sous la pression de l'actionnaire qatari du club parisien sur ce dossier, a reçu samedi ce qui peut s'interpréter comme un soutien indirect... ou un coup de pied de l'âne des Queen's Park Rangers. Dans un communiqué, Bernie Ecclestone et Flavio Briatore, les co-propriétaires du club anglais, promu en Premier League, se disent en effet résolus à ne pas lâcher leur milieu international marocain, un joueur que Qatar Sports Investments (QSI), le patron de "Leo", place très haut dans l'ordre des priorités de recrutement du club de la capitale.

«Nous sommes heureux d'annoncer qu'Adel Taarabt restera à QPR cet été. En dépit d'offres substantielles, nous avons choisi de construire pour le futur dans la Premier League et de ne pas vendre», expliquent les deux dirigeants italiens du club de l'ouest de Londres. Selon nos informations, ils auraient décidé d'abandonner les discussions avec le Paris-SG, vexés par l'offre de 6 millions d'euros formulée par Leonardo, deux fois inférieure à leur attente.

Si la porte du "nouveau" PSG se ferme définitivement à Adel Taarabt, cette fin de non-recevoir peut-elle avoir des conséquences pour Leonardo ? Avant ce dernier développement, des voix assuraient déjà en coulisses que le Brésilien était menacé. Alors qu'il a bien avancé sur les dossiers déjà initiés avant son arrivée - Bisevac, attendu dimanche, Matuidi et Menez, signatures a priori imminentes - QSI lui reprocherait de peiner sur les profils plus prestigieux à ses yeux. Outre Taarabt, les pistes menant à Luisao, le défenseur de Benfica, ou encore à Ganso, la pépite de Santos, n'avancent guère...

Taarabt a «envie de venir» à Paris
. Adel Taarabt (QPR) s'exprime alors que son transfert au PSG s'enlise, sur fond de tension entre Leonardo et les Qataris.
Adel Taarabt a réussi une saison de feu en Championship avec les Quuen\'s Park Rangers. Il aimerait venir à Paris mais resterait bien aussi en Premier League. (AFP)

«Moi j'ai envie d'aller à Paris, mais si ça ne se règle pas ce week-end, ça ne se fera plus. (...) Mais vous savez, à Londres, je suis bien aussi et j'aurai une belle saison qui m'attendra en Premier League.» Adel Taarabt, le milieu offensif des Queen's Park Rangers (22 ans), élu meilleur joueur de D2 anglaise la saison dernière (19 buts), ne paraît pas faire un drame du coup d'arrêt enregistré samedi dans les négociations entre ses dirigeants et Leonardo, le directeur sportif du Paris-SG. Les patrons de Taarabt ont assuré dans un communiqué que l'international marocain resterait au club. «Pour mon président (Flavio Briatore), cette affaire est finie. Il en a ras-le-bol, ça fait deux mois que ça dure.»

Serait-il quand même déçu de ne pas rejoindre Paris ? «Bien sûr que ce serait une déception car j'ai envie de venir. Le projet m'intéresse. (...) En Angleterre, je gagnerai plus d'argent mais Paris, c'est la capitale de la France. Si j'explose là-bas, ça peut être extraordinaire.»

Il semble que Leonardo ne désire pas autant Taarabt que le cheikh Tanim bin Hamad al-Thani, actionnaire principal du PSG. Du coup, le Brésilien refuse de proposer plus de 8 millions d'euros, alors que le prince héritier du Qatar serait prêt à aligner les 11 millions d'euros plus les bonus exigés par QPR. Taarabt, qui a parlé une fois à Leonardo, est fataliste : «Si ça ne se fait pas, je n'en voudrai à personne, parce que le courant est vraiment bien passé avec les gens du PSG. C'est le destin. Paris aurait été une belle opportunité.» La discussion pourrait se renouer ce dimanche. Pour une dernière tentative d'accord.

«Mon président en a ras-le-bol

Rémi Garde n'a pas encore trouvé la recette
pour que Lyon pèse devant le but adverse.



En trois matches amicaux, Lyon n'a pas encore gagné. Mais face à Hanovre, l'OL a enfin été solide derrière (0-0).

Battu par Salzbourg (0-1) puis par Genk (1-3), Lyon a été tenu en échec par Hanovre (0-0) dimanche après-midi (0-0). Au moins, l'OL a réussi à tenir sa cage inviolée. La charnière Cris-Mensah a été plutôt convaincante et Lloris n'a, pour une fois, pas eu trop de miracles à réaliser sur sa ligne. Volontaires, les joueurs de Rémi Garde ont tenté d'envoyer du jeu. Sans succès. Les occasions ont été rares et, lorsque l'OL s'est montré dangereux, Gomis a gâché plusieurs belles opportunités, notamment à la 57e. A la 86e, Pied a failli marquer du gauche mais le portier adverse a été bien vigilant, comme il l'avait été à la 3e et à la 8e face à Briand et Bastos. Dans trois jours, Lyon aura un beau test face à Donetsk. La défense devrait être mise à l'épreuve face aux multiples joueurs brésiliens du champion d'Ukraine.

Lloris - Réveillère, Cris (Lovren, 60e), Mensah, Cissokho - Gonalons, Källström (S.Koné, 76e), Briand (Novillo, 66e), Bastos - Lisandro (Pied, 60e), Gomis (Belfodil, 66e).

si en octobre¨PARIS N EST PAS ENCORE A LA FETEE

SA TETE RISQUE DE VALSER



L1
Kombouaré : «Pas vu Pastore signer au Parc»

Le transfert - fait ? pas fait ? - de Javier Pastore au PSG a évidemment été l'un des premiers thèmes qu'Antoine Kombouaré a dû développer lors de la conférence de presse qu'il a donnée vendredi soir à Arsenal, à la veille de l'Emirates Cup. Ce qui ne signifie pas qu'on en sache beaucoup plus pour autant. D'un ton plutôt sec, le manager parisien a lâché ces mots : «Moi, je ne parle pas du recrutement, voilà. Transferts, recrutement...Moi, je travaille avec l'effectif que j'ai aujourd'hui, et après, on verra bien...J'ai une très belle équipe avec un recrutement qui a été réfléchi, de qualité. On n'a pas fait n'importe quoi, et c'est pour ça que je suis un entraîneur comblé».

Chelsea proposerait un salaire supérieur

Relancé sur la question, Kombouaré ne s'est pas montré plus disert. «Moi, je n'ai pas vu Pastore signer un contrat au Parc des Princes, jusqu'à preuve du contraire», a-t-il lancé. «Un contrat, tant qu'il n'est pas signé...Après les gens peuvent raconter ce qu'ils veulent, moi, je ne peux pas passer mon temps à démentir ou à justifier les propos de certaines personnes. Aujourd'hui, je suis tourné vers la préparation, ce tournoi qui est très important, et puis amener mon équipe à être prête pour le 6 août contre Lorient.»

La réserve de l'entraîneur du PSG peut surprendre, quand les presses italienne et française parlent de l'achat de Pastore - pour un montant de 44 millions d'euros, un record en Ligue 1 - comme d'un fait accompli. Mais les médias britanniques, eux, donnent encore une petite chance à Chelsea dans le mano-a-mano qui les oppose aux Parisiens pour la signature de l'Argentin de Palerme. Les Blues, qui n'entendent pas se lancer dans de folles enchères, proposeraient néanmoins un salaire supérieur aux 5 ME bruts annuels que le PSG serait disposé à verser à Pastore. Plus un ticket de participation à la Ligue des Champions, ne l'oublions pas. La prudence de Kombouaré aurait-elle d'autres raisons que sa réticence à empiéter sur les terres de Leonardo ?

Kombouaré : «On gagne, je reste. On perd...»

A deux jours de la reprise du Championnat, le coach du PSG Antoine Kombouaré s'est longuement confié ce jeudi. Morceaux choisis. (

Ses objectifs
«Moi, je m'appuie sur la saison dernière. On a fini quatrième du Championnat, huitième-de-finaliste de la Ligue Europa, demi-finaliste de la Coupe de la Ligue et finaliste de la Coupe de France. Le palier supérieur, c'est d'atteindre la Ligue des champions.»

Le titre
«Sans commentaire. Les gens pensent ce qu'ils veulent. Pour jouer le titre, il faut aussi avoir de la chance. La saison dernière, si Gervinho ou Sow se blessent, Lille n'est pas champion. Si Nene, Gameiro se blessent, comment fait-on ?»
Le recrutement
«Ce que nous vivons actuellement, je l'ai vécu en tant que joueur à l'époque de l'arrivée de Canal +. La chaîne avait acheté neuf ou dix joueurs importants, les Le Guen, Fournier, Lama, Roche, Ginola... La difficulté pour Arthur Jorge, l'entraîneur, a été de construire une équipe. La difficulté pour mon staff et moi, ce sont les arrivées tardives et le manque de préparation de certains garçons. (...) Si on prend l'exemple de Javier Pastore, il a disputé la Copa America où il a peu joué et il sort de deux semaines de vacances. Lui, si tout se passe bien, on ne le verra pas avant le mois de septembre.»
La concurrence
«Il faut que les joueurs comprennent qu'on est entré dans une nouvelle dimension au niveau des moyens et de la mentalité. On exige maintenant des résultats. On ne peut pas se plaindre. La concurrence, il faudra l'accepter. Il n'y a pas de place de titulaire assurée. Ménez vient de la Roma, il connaît ça, pareil pour Nene... Il faut intégrer cette mentalité.»
Son avenir
«Je connais la règle. On gagne, je reste. On perd, on me mettra de côté. (...)


Cela fait trente ans que je suis dans le milieu et je sais comment ça marche. Très honnêtement, après l'arrivée des Qatariens, je ne pensais pas repartir. Quand de nouveaux actionnaires arrivent, ils viennent en général avec leurs hommes. Mais le prince m'a dit : "c'est vous qui dirigerez l'équipe". Je me retrouve donc là, au début de cette nouvelle histoire excitante.»

PSG - Kombouaré : «On était crispé»


Antoine Kombouaré, entraîneur du PSG : «C'est une grosse déception car on perd. Ce n'est pas le meilleur des départs, on est très déçu. En première période, on est passé à côté, car on était crispé, sur la défensive. Défensivement, on a eu beaucoup de soucis, ce qui a mis Lorient en confiance. J'ai aimé la seconde période, on a poussé mais cela n'a pas voulu sourire. Le mal était fait. C'est dans le travail qu'on progresse et qu'on prend confiance. Sakho je ne l'ai jamais vu faire un (première) mi-temps comme ça.
Guillaume l'a raté aussi. Alors forcément ça complique les choses. On a vu vrai visage du PSG mais trop tard. On aurait rêvé de gagner. Il ne faut pas douter de nos qualités. Il ne faut pas paniquer. Il faut vite qu'on reparte, qu'on trouver une cohésion, ce n'est pas évident.»

aladin a écrit:si en octobre¨PARIS N EST PAS ENCORE A LA FETEE
SA TETE RISQUE DE VALSER

bruits quil va etre viré en setembre

oui il a une bonne tete de vaincu

aladin a écrit:si en octobre¨PARIS N EST PAS ENCORE A LA FETEE
SA TETE RISQUE DE VALSER



bruits quil va etre viré en setembre

L1 - PSG - Kombouaré (déjà) sous pression

Une semaine après la défaite contre Lorient (0-1), la position d'Antoine Kombouaré est déjà fragilisée. Une défaite à Rennes (19h00), un adversaire qui ne réussit pas au PSG, l'affaiblirait davantage.

La saison vient à peine de débuter et Antoine Kombouaré est déjà sur la sellette. La faute à une défaite inaugurale contre Lorient (0-1) samedi dernier. Forcément, la rencontre à Rennes est déjà capitale pour le Kanak. Mais n'allez surtout pas lui demander. Interrogé sur son avenir vendredi, l'entraîneur a été clair : «Je vais répondre une bonne fois pour toutes. Je viens en conférence de presse pour répondre à toutes les questions concernant le jeu. Et le jeu, c'est le terrain, la tactique, les joueurs. Je ne répondrai plus jamais à cette question. A chaque fois qu'elle sera posée, je me lèverai et je m'en irai.»

Antoine Kombouaré n'a pas mis sa menace à exécution. Il a parlé jeu, et donc joueur, afin de revenir sur la piètre performance de Sakho au Parc des Princes : «Je n'ai pas de regret de le mettre sur le terrain, car c'est le meilleur défenseur du Championnat. Pendant deux, trois saisons, il a été énorme. C'est un compétiteur, il va relever la tête.» Comme l'ensemble de ses troupes, enfin l'espère-t-il : «J'attends de mon équipe un autre visage. Il faudra être solide, plus que face à Lorient, et être capable de proposer du jeu pour se créer des situations. Dans les intentions, j'espère un autre PSG. Les joueurs savent ce que j'attends d'eux.»

Afin de redonner confiance à ses joueurs, les deux ingrédients de Kombouaré sont «le temps» et «le travail». Il a d'abord évoqué un «groupe» qui n'est «pas au complet». Ce qui d'ailleurs a été le cas cette semaine, puisque Kombouaré a été privé de ses internationaux, dont les cinq Français (Sakho, Matuidi, Ménez, Hoarau, Gameiro). «Certains sont en retard [Sissoko, Pastore, ndrl], d'autres blessés [Douchez, Armand, ndrl]. J'ai un groupe qui a un potentiel énorme, qui est jeune, avec du talent. Mais il faut du temps, il faut que cela se mette en place.»

En ce qui concerne le deuxième ingrédient, Antoine Kombouaré a assuré que ses troupes «répétaient les séances, les situations de match...» «Après, il y a le discours que j'ai au quotidien. Cela fait plus de deux ans que je suis avec les joueurs. Concernant les nouveaux, il faut apprendre à se connaître. Travailler, parler, instaurer la confiance. Cela passe aussi forcément par les bons résultats.» Et donc une victoire contre Rennes, un adversaire qui ne sied guère aux Parisiens, puisqu'ils restent sur cinq défaites consécutives à la Route de Lorient en L1 et qu'ils n'ont plus gagné depuis neuf matches contre les Bretons. Pour retrouver trace de leur dernière victoire, il faut remonter au 28 octobre 2006. Les Parisiens s'étaient imposés (1-0). Un tel résultat ferait certainement le bonheur de Kombouaré. Et lui permettrait de gagner du temps.

Pasqualetti (Istres), Kombouaré (PSG) et Cormier (Le Mans)

JUDAS a écrit:

Pasqualetti (Istres), Kombouaré (PSG) et Cormier (Le Mans)

TU CROIS DONC AVOIR LE TIERCE
DANS L ORDRE OU LE DESORDRE

Leonardo a sondé Ancelotti
Le directeur sportif du Paris-SG a contacté mardi l'entraîneur italien. Le successeur de Kombouaré ?
Toujours basé à Londres, Carlo Ancelotti ne serait pas opposé à l\'idée de travailler en France. Surtout à Paris.
Le successeur à court terme d'Antoine Kombouaré ?

Contrarié par les deux points abandonnés en fin de match à Rennes, samedi (1-1), Leonardo, l'homme fort du Paris-SG, a contacté mardi Carlo Ancelotti, l'entraîneur italien - après feu vert de l'actionnaire qatarien - pour savoir s'il serait, éventuellement, intéressé pour diriger l'équipe en cas de nouvelle contre-performance, dimanche prochain, contre Valenciennes (3e journée). Selon nos informations, le technicien de 51 ans, limogé de Chelsea en fin de saison dernière, ne serait pas contre l'idée de débarquer à Paris, même si les deux parties ne sont pas encore d'accord. Cet échange entre les deux hommes qui se connaissent bien (ils ont travaillé ensemble à l'AC Milan de 2001 à 2009) éclaire les propos tenus par Léonardo jeudi en conférence de presse : «Je suis très content de travailler avec lui (Kombouaré) (...) Le projet, c'est avec Antoine Kombouaré. Maintenant, on vit de résultats. Antoine le sait.»

A l'heure de se déplacer ce jeudi à Differdange, pour disputer les barrages aller de la Ligue Europa, Antoine Kombouaré est clairement sous pression. Non pas pour cette rencontre face au vainqueur de la Coupe nationale luxembourgeoise, mais lors des deux prochains matches de Ligue 1, face à Valenciennes et Toulouse.
l'entraîneur du Paris-SG doit absolument venir à bout de ces deux formations s'il veut conserver une chance de rester à la tête du club de la capitale.

Ancelotti plaît aux Qataris

Après la défaite face à Lorient (0-1) et le nul à Rennes (1-1), Leonardo aurait tout simplement déclaré au prince héritier Nasser al-Khelaifi que le PSG ne «peut pas continuer comme ça». Et tout comme le directeur sportif brésilien, le nouvel homme fort à Paris ne verrait pas d'un mauvais oeil l'arrivée de Carlo Ancelotti en cas de renvoi du Kanak...

« Même avec Mourinho sur le banc… »
Le défenseur Florian Marange et son entraîneur Francis Gillot ont dressé le constat désabusé des limites bordelaises.


"Le travail, la patience, je ne vois que ça", a soupiré Francis Gillot hier (photo Thierry David)
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ImprimerLes Bordelais auront réussi à surprendre les défenseurs d'Evian-Thonon-Gaillard au moins une fois hier soir. Si, si ! « Après les déclarations de leur entraîneur dans la semaine, on pensait qu'ils nous rentreraient dedans au coup d'envoi. On a été un peu étonné de leur entame », avouera Cédric Chambon. Doux euphémisme.

Francis Gillot, qui avait demandé à ses joueurs « d'enlever les ballerines » après l'élimination à Saint-Etienne en Coupe de la Ligue, a lui aussi vu une équipe dans ses petits souliers, comme transie par la peur. « Il n'y a pas que l'entrée : le plat de résistance et le dessert ne m'ont pas plus plu », grinçait-il. « C'était un mauvais match. Techniquement très faible, très peu d'occasions, beaucoup de manques dans tous les domaines… » « On s'était pourtant promis de jouer le premier quart d'heure à fond », réagissait Florian Marange, arrière gauche en l'absence de Benoît Trémoulinas. Mais comme c'est le cas depuis des mois, les Girondins n'ont pas été au-delà des actes. Le changement de staff durant l'été n'y a rien changé. « On peut mettre Mourinho sur le banc, c'est nous qui sommes sur le terrain, poursuivait Marange. C'est à nous de faire les efforts, de créer des différences. Malheureusement, on a toujours l'impression que ça va passer tout seul ».



Pour Francis Gillot, les 90 minutes d'hier soir ne sont qu'un nouveau constat de l'impuissance de Bordeaux à élever son niveau de jeu. « Pour la première fois, j'ai changé à la mi-temps (Sertic par Saivet, Ndlr). J'essaie de trouver des solutions mais il y a toujours un truc qui ne va pas. On oublie des choses qu'on pensait acquises. »

Et vogue la galère

Pour l'ancien Sochalien, c'est dû à un « manque de confiance et à d'autres limites ». Celles d'un effectif qui manque de talent dans chaque ligne. « Je dis depuis deux mois que des joueurs importants n'ont pas été remplacés. Je ne suis pas surpris ». L'a-t-il répété à ses dirigeants : « Ils lisent les journaux, non ? »

Quoiqu'il en soit, avec seulement six points en cinq matches malgré un calendrier favorable, les Girondins croupissent dans le marais du milieu de tableau (10e avant les matches d'aujourd'hui). « Nos six points sont mérités, ni plus ni moins. On n'est pas supérieur à une quinzaine d'équipes de ce championnat. Avec de la réussite, on peut finir dans la première partie du classement. Sinon, ce sera la deuxième », prévient leur entraîneur qui n'est « ni docteur, ni magicien » et prévoit de « galérer jusqu'à la fin de la saison ». Sa méthode ? « Le travail, la patience, je ne vois que ça », en espérant « un déclic, un regain de confiance ».

Le programme à venir, avec les déplacements à Toulouse (samedi) et Lyon (24 septembre), avec la réception du champion lillois (le 20) au milieu, n'incite pas à l'optimisme. Florian Marange n'est pas vraiment rassuré : « Si on ne se surpasse pas contre ce genre d'équipes, ce ne sera pas 0-0 mais 3 ou 4 à 0 à la fin du match…

Football: Claude Puel règle ses comptes avec l'OL
Mis à jour le 11.09.11 à 13h06
Il ne s’était pas exprimé depuis son licenciement pour faute grave en juin dernier. Dans un entretien accordé au JDD, Claude Puel est revenu sur ses trois saisons à l’OL durant lesquelles il n’a remporté aucun titre. La faute, selon lui, à «un environnement hostile». «On l’aurait eu (le titre) si, à tous les niveaux du club, on avait fait preuve de solidité. Mais on ne parlait pas d’une même voix ». L’ancien entraîneur de l’OL constate que son successeur, Rémi Garde, bénéficie de davantage de mansuétude. «Il y a moins d’attentes. Ce n’est pas anodin. C’est un staff lyonnais, adoubé par tout le monde. Il n’y a pas de parasites ni de fuites qui alimentent un feuilleton. Tout le monde tire dans le même sens», souligne Claude Puel qui envisage de s’accorder «une année sabbatique». En attendant, il réclame 5 M€ aux prud’hommes. «La dignité, c’est de respecter les contrats. Cela aurait pu se régler autrement, mais les conditions proposées n’étaient pas du tout acceptables», affirme-t-il.

Banide est dégoûté
Le 12/09/2011 à 22:46 | Mis à jour le 12/09/2011 à 23:07

Laurent Banide a été remercié très rapidement par Monaco et il n'a pas du tout apprécié. Le président Franzi l'a remercié et confirmé l'arrivée de Marco Simone.


Laurent Banide est dégoûté par la façon dont il a été viré par Monaco.
Laurent Banide a donc été radicalement éjecté du poste d'entraîneur de Monaco ce lundi après-midi et remplacé par le duo Marco Simone-Jean Petit, après seulement six journées de L2 marquées par deux revers et aucune victoire. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la manière dont le changement s'est produit lui reste en travers de la gorge et qu'il a été surpris par le timing. La manière, d'abord. « Vers deux heures, je discutais encore avec Jean-Luc (Buisine, responsable du recrutement du club) de l'éventuelle arrivée d'un nouveau joueur. J'ai dirigé normalement mon entraînement du matin et celui de l'après-midi à la Turbie. A ce moment-là, le vice-président (Michel Aubéry) est venu me parler d'une convocation chez le président (Etienne Franzi) à 19h00. Et à l'issue de l'entraînement, juste avant de prendre ma douche, j'ai appris que c'était réglé, tout le monde est venu me voir en me disant que l'info circulait dans les medias bien avant que je descende à Monaco au rendez-vous. Ce n'est pas terrible. Les choses auraient pu se faire différemment. » Le timing apparaît aussi assez brutal. « J'ai du mal à accepter cette décision , dit-il. On n'a certes pas gagné encore un match, donc notre départ n'est effectivement pas terrible. Mais on est encore loin de la fin, il restait 32 journées... On était surtout partis sur d'autres bases à l'intersaison, sur un projet précis qui réclamait un peu de temps pour faire émerger des automatismes, et tout a explosé. Cet été, j'avais accepté qu'on diminue le nombre de joueurs pour prendre des joueurs gratuits, il y a eu 30 départs, une dizaine d'arrivées et des jeunes à incorporer, tout s'est fait au compte-gouttes. Dans notre match contre Angers (1-3, le 9 septembre), trois joueurs seulement avaient suivi toute la préparation avec nous. Je paie l'addition, je suis très déçu. Je pensais avoir encore quelques matches pour lancer la machine. C'est surprenant. C'est comme ça. » Banide est donc remercié après avoir été près de sauver le club de la relégation en mai. « Je n'ai pas eu le sentiment d'avoir échoué durant mes six mois en L1 , dit-il. Il aura manqué deux points. »

Puel : Audience reportée
Le 15/09/2011 à 19:01 | Mis à jour le 15/09/2011 à 19:38

L'audience autour du litige entre l'Olympique lyonnais et Claude Puel a été reportée au 10 novembre, la faute à un argumentaire de la défense jugé insuffisant.


Claude Puel devra encore patienter avant de connaître la décision des Prud'hommes.
Après une heure de séance jeudi devant le Conseil des prud'hommes à Lyon, l'audience portant sur le litige entre l'Olympique lyonnais et Claude Puel a été reportée au 10 novembre. Alors que ni l'ancien entraîneur de l'OL ni Jean-Michel Aulas n'étaient présents, l'avocat du premier a expliqué les différentes sommes réclamées par son client. Le Conseil des prud'hommes a jugé son argumentaire insuffisant, d'où le report de l'audience. «Je n'ai pas la possibilité de comprendre vos conclusions» , a notamment coupé le juge, au moment où Me Reiss tentait d'exposer notamment les points de droit et de jurisprudence justifiant sa demande de 3,3 millions d'euros de salaires restant dus selon lui, et les 1,6 million de dommages et intérêts. Le moins que l'on puisse dire, c'est que la défense de Claude Puel n'est pas encore au point.