QUELS SONT LES ENTRAINEURS QUI VONT ENCORE VALSER CETTE SAISON ? L1 L2 NAT

AS Monaco: Lacombe tombe du Rocher. LE PRINCE RAINIER PARMI LES SUSPECTS





AS Monaco: Lacombe tombe du Rocher. Publié le mardi 11 janvier 2011 à 07H11
Guy Lacombe à l’ASM, c’est fini. L’intéressé était amer et « déçu » hier soir.

Serge Haouzi

Le fil sur lequel tenait en équilibre Guy Lacombe depuis le mois de décembre a fini par casser. L'humiliante élimination aux tirs au but à Chambéry (CFA 2), s'ajoutant aux mauvais résultats du club en championnat (17e place) et à des choix sportifs parfois mal perçus, a convaincu les dirigeants monégasques de changer d'entraîneur, même si l'idée d'attendre une nouvelle fois deux matchs pour voir (Auxerre et Marseille) a été énvisagée.

La décision a été prise dimanche soir, lors d'une réunion dans les bureaux de la Compagnie Monégasque de Banque (CMB) que dirige Etienne Franzi, par ailleurs président de l'ASM, et officialisée hier en fin d'après-midi après que Marc Keller, le directeur général, en ait averti Guy Lacombe, forcément déçu par la nouvelle. « Il a été considéré que les conditions de la défaite à Chambéry, intervenant après une très décevante première partie de championnat (...), nécessitaient une réorganisation de l'encadrement de l'équipe professionnelle », est-il indiqué dans le communiqué officiel du club.

Quel avenir pour Amitrano et Schmidt ?

Guy Lacombe et son adjoint Alain Ravera, dont les contrats couraient jusqu'en juin, ont donc été démis de leurs fonctions à la tête de l'équipe première.

Celle-ci sera désormais dirigée par Laurent Banide, qui a déjà brièvement entraîné l'ASM en 2006-2007, et vraisemblablement Bouziane Benaraibi. Tous deux devraient s'engager au moins jusqu'à la fin de la saison prochaine (juin 2012).

Une conférence de presse est prévue ce matin au stade Louis-II, avant le premier entraînement du groupe avec son nouveau staff.

Les joueurs en profiteront pour savoir s'ils continueront à côtoyer André Amitrano (entraîneur des gardiens) et Christian Schmidt (préparateur physique).

Les dirigeants monégasques souhaitent les entraîner dans le nouveau projet établi. Néanmoins, il n'est vraiment pas sûr que les deux hommes, très proches de Guy Lacombe, acceptent de rester dans l'aventure...

Une nouvelle histoire dans laquelle certains joueurs pourraient bien rebondir. C'est le cas de Dieumerci Mbokani, que Lacombe ne désirait plus dans le groupe, et peut-être même d'Alejandro Alonso. Si l'avenir des deux hommes semblait passer exclusivement par un départ du Rocher dès ce mois de janvier, la donne vient brusquement de changer

BANIDE ..VIRE UN JOUR
LACOMBE ...VIRE UNAUTRE JOUR

ET QUI REVIENT
BANIDE
QUE LA VALSE DES ENTRAINEURS CONTINUE

ENTRAINEUR UN BEAU METIER ..OUI VRAIMENT TRES BEAU

Ruffier: «Lâchez-moi avec Lacombe»

Passablement irrité par les questions concernant le départ de Guy Lacombe, Stéphane Ruffier les a balayées d'un revers de la main. «On ne peut pas parler un peu du terrain? Le reste je m'en fous !, a lancé le gardien et capitaine de l'AS Monaco jeudi, en conférence de presse. Nous, les joueurs, c'est le terrain qui nous intéresse. (...) Lâchez-moi, parlez du terrain les joueurs sont les mêmes. Ce sont eux qui sont sur le terrain. Parler du football, c'est ce qui m'intéresse. Le reste c'est du bla-bla.»

Santini et Lens, c'est fini
L'adjoint de Jean-Guy Wallemme, Jacques Santini, a résilié ce mardi après-midi son contrat avec le club artésien. Avec une clause de confidentialité.
Jacques Santini est soumis à uen clause de confidentialité sur son départ.
vendredi 14 janvier, Jacques Santini quitte bien le Racing Club de Lens. L'ancien adjoint de Jean-Guy Vallemme a résilié ce mardi après-midi son contrat avec le club artésien, contrat qui courait jusqu'en juin 2012. L'ancien sélectionneur des Bleus (2002-2004) a également paraphé une clause de confidentialité. Le club Sang et Or devrait communiquer sur ce départ dans les prochaines 24 heures. J.


en exclu pour le forum foot mediterranéen il nous a ecrit
c'est pas un scoop
ils nous ont virés tous
MARTELS M" A TUER


je vais me reconvertir en tunisie comme camelot ou montreur d'ours avec ma femme

La Commission de discipline de la LFP a infligé jeudi

Guy Lacombe, limogé début janvier par Monaco, a été sanctionné de deux matches d'interdiction de banc de touche et de vestiaire d'arbitres par révocation du sursis pour «contestations répétées à l'encontre du trio arbitral» lors de la 17e journée face à Saint-Etienne (défaite 2-0).


mais comme il est^plus àmonaco

voilà le pv que je lui ferais passer pour sa prochaine future affectation

monsieur l'ex entraineur guy lacombe
service des valses d'entraineurs
chez bienvenou
forum foot mediterranéen
traverse du désert
13260 cassis

devenu «tolérant»
Claude Puel reconnaît dans le mensuel Vestiaires que son mode de fonctionnement avec les joueurs a évolué avec le temps.
Claude Puel reconnaît que son caractère a évolué avec le temps.
Dans le numéro de janvier du mensuel Vestiaires, l'entraîneur lyonnais reconnaît qu'il «n'aurait pas pu exercer très longtemps» s'il n'avait pas changé son mode de rapport avec les joueurs.

Elle a été au coeur de la crise puis du renouveau de l'OL. Dans un entretien accordé à Vestiaires, le magazine consacré aux éducateurs de football, Claude Puel revient sur sa personnalité. Il affirme qu'il a fait évoluer son caractère depuis qu'il a débuté sa carrière sur le banc, à Monaco à la fin des années 90. «Je pense avoir un peu marqué les premiers joueurs que j'ai entraînés (rires). Ils en ont bavé, mais m'ont témoigné par la suite de la reconnaissance. Certains sont devenus internationaux et ont joué dans de très grands clubs (NDLR : Henry, Trezeguet).»

Et Puel de se livrer sur la manière dont il se comportait en termes de discipline et de rigueur. «J'avais une façon un peu plus abrupte d'inculquer certaines valeurs. Je pouvais être très sanguin, car intolérant. Comme sur le terrain, où j'étais un joueur de devoir qui travaillait pour l'équipe, et qui ne supportait pas le "je m'en foutisme" après une défaite ou un petit jeu perdu à l'entraînement. Depuis, j'ai changé. Heureusement, sinon je n'aurais pas pu exercer très longtemps.»

Puel explique qu'il est devenu plus tolérant. «Parce que chaque joueur est différent, a une approche, un vécu et une éducation qui lui sont propres, précise-t-il. Les modes d'expression et de pensée ne sont pas les mêmes pour tous. D'où la nécessité de faire preuve de tolérance. Cela ne veut pas dire tout accepter, mais prendre en considération ces composantes pour ensuite parvenir à inscrire le joueur dans un collectif. C'est certainement aujourd'hui le rôle le plus important et le plus difficile de l'entraîneur.»

La personnalité de Puel n'évolue pas qu'avec les joueurs, également avec les médias. Demande expresse de ses dirigeants ou initiative personnelle, il égaie, depuis quelques semaines, ses conférences de presse de pointes d'humour et de sourires. La semaine dernière, au moment de convier les journalistes à une galette des rois-Champagne, il avait lâché ironiquement, en référence à la première partie de saison animée : «C'est pour fêter la nouvelle année et vous remercier car vous m'avez rendu célèbre !»

JEANNOT BIENTOT DE RETOUR DANS SES VIGNES A CASSIS
pourrait relancer cassis à carnoux hein!!!



Ma plus grosse déception»
L'entraîneur de Bordeaux, Jean Tigana, n'a pas mâché ses mots après l'élimination en Coupe de France face à Angers (0-1).


Jean Tigana cherche des coupables

Jean Tigana (entraîneur de Bordeaux) : «C'est ma plus grosse déception depuis 17 ans. Enfin je n'ai pas fait un infarctus, c'est déjà ça. Maintenant il va quand même falloir parler avec les joueurs car nous avons rendu ce soir une très pâle copie».

Après l'élimination surprise de Bordeaux en Coupe de France à Angers (0-1), Jean Tigana pourrait être remercié selon Sud-Ouest.

Totalement hors sujet, Bordeaux a bu la tasse, samedi à Angers, en Coupe de France. «C'est ma plus grosse déception depuis 17 ans, a lâché Jean Tigana. Enfin je n'ai pas fait un infarctus, c'est déjà ça. Maintenant il va quand même falloir parler avec les joueurs car nous avons rendu ce soir une très pâle copie». Une prestation qui n'a pas du tout plu à Jean-Louis Triaud, le président des Girondins. «Je suis abasourdi par autant de lacunes et de médiocrité», a regretté le patron bordelais.

Après cette contre-performance de poids, Bordeaux, où rien ne va plus et où les relations entre les joueurs et Jean Tigana se détériorent, pourrait changer de cap. L'entraîneur girondin pourrait ainsi rapidement quitter ses fonctions selon Sud-Ouest. Après avoir analysé la situation, l'ancien milieu international va-t-il démissionner ? Où alors, y aura-t-il une séparation à l'amiable ? Deux noms circuleraient déjà pour remplacer Tigana : Rolland Courbis et Elie Baup, deux anciens de la maison.

no comment

quand un president parle comme ca
ca veut dire que le licenciement est proche

Alors que c'est désormais le nom de Ricardo qui circule pour palier un éventuel départ de Jean Tigana, le président de Bordeaux Jean-Louis Triaud a tenu à mettre fin aux rumeurs, ce lundi sur RMC. «Laissez les journaux parler. Ce ne sont pas eux qui gèrent les clubs. Je sais bien qu'il faut alimenter les chroniques. Jean Tigana a encore 18 mois de contrat avec Bordeaux. La question de son départ ne se pose pas.»

Tigana sur un siège éjectable
Après Estevan, Wallemme et Lacombe, Jean Tigana sera-t-il le 4e entraîneur de L1 débarqué cette saison ? Les dirigeants bordelais s'interrogent.




Jean Tigana impuissant samedi à Angers.
Après Michel Estevan, Jean-Guy Wallemme et Guy Lacombe, Jean Tigana sera-t-il le 4e entraîneur de L1 débarqué cette saison? Les dirigeants bordelais s'interrogent selon L'Equipe.

Le «déclic» attendu par les Girondins passera-t-il par le départ de leur entraîneur plutôt que par l'arrivée d'un éventuel renfort offensif ? En réclamant du «changement» à l'issue de l'élimination en 16e de finale de la Coupe de France à Angers, Alou Diarra a entretenu le doute sur les capacités de Jean Tigana à redresser la barre. Un scepticisme visiblement partagé par ses dirigeants, à en croire L'Equipe. Depuis samedi soir, ils analysent ensemble l'éventualité de se séparer du successeur de Laurent Blanc. Eliminé des deux Coupes nationales, Bordeaux n'a plus gagné la moindre rencontre de L1 depuis le 21 novembre. Selon plusieurs cadres interrogés par notre quotidien, le message de Jean Tigana ne serait «jamais passé» au sein du vestiaire bordelais. «Et on voit mal comment cela pourrait s'améliorer». Outre ce décalage, le technicien doit composer avec un adjoint, Michel Pavon, avec lequel les relations ne sont pas au beau fixe. «Ils sont constamment en contradiction...», soupire un proche du club. Pour autant, Tigana compterait encore quelques partisans qui aimeraient le voir poursuivre sa mission au moins pour les deux prochains matches de L1 contre Nice, dimanche, et Lyon, le 6 février. Contacté hier, Nicolas de Tavernost nous a donné rendez-vous dans «deux jours». «On ne parlera pas avant».

En attendant de connaître la décision des dirigeants bordelais, les noms d'Elie Baup, Roland Courbis, Alain Perrin, Paul Le Guen, Franck Dumas et... Michel Pavon sont déjà avancés comme possibles successeurs de Tigana. Intéressé par le challenge, Courbis a néanmoins précisé à L'Equipe qu'il n'avait, pour l'instant, pas été contacté. Le consultant de RMC plairait à Triaud. Beaucoup moins aux actionnaires en raison de son passé judiciaire.
Tigana vers la sortie ?,

Contacté par Sud-Ouest, Ricardo s'est dit «surpris» de voir son avenir lié aux Girondins. Actuellement libre de tout engagement, l'ancien coach de Bordeaux assure n'être au courant de rien, pas même des turbulences que traverse le club au scapulaire. «Je n'ai pas suivi les résultats du foot en Europe ce week-end. Je n'imaginais pas que Bordeaux vivrait ces événements et il est très étonnant de constater que mon nom sort dans la presse», explique le Brésilien depuis Rio de Janeiro.


Le «premier supporter» de Tigana



Annoncé favori - par le quotidien régional - à la succession de Jean Tigana, Ricardo nie toute discussion avec les Marine et Blanc. «Non, je n'ai pas été contacté», répond le Brésilien, avant de détourner habilement la conversation lorsque son éventuel intérêt pour le poste est évoqué : «J'ai beaucoup d'admiration pour Jeannot, pour ce qu'il a réussi. Il était venu passer quelques jours ici alors que j'étais l'entraîneur de São Paulo. J'ai beaucoup discuté avec lui. Je suis sûr qu'il va réussir avec Bordeaux. Je suis son premier supporter.»

LE PROCHAIN APRES LACOMBE...CA Y RESSEMBLE

Semaine de crise aux Girondins de Bordeaux au lendemain de l'élimination en 16es de finale de la Coupe de France à Angers (0-1). Petit récapitulatif. Jean-Louis Triaud a dû intervenir mardi : 1) pour calmer les supporters et leur annoncer que Maazou ne serait plus Girondin ; 2) pour redire que le contrat de Jean Tigana avait encore un an et demi devant lui. Par ailleurs, certains entraînements au départ ouverts au public se sont transformés en autant de huis clos, la presse restant confinée à l'entrée du Haillan.

Pendant ce temps-là, l'ancien Girondin et «néo» Niçois, David Bellion apprenait, à son grand dam, qu'en vertu d'un accord passé entre les états-majors azuréens et bordelais, il ne jouerait pas Bordeaux - Nice (21e j. de L1). Il en a profité aussi pour déclarer que Tigana en son temps, «l'ignorait» et «manquait de psychologie»...

Le «manque de psychologie» de Jean Tigana
Enfin, il semble qu'une séance vidéo au lendemain d'Angers - Bordeaux ait tourné, pacifiquement, en une vaste thérapie de groupe, les joueurs reprochant à Tigana certains choix tactiques et individuels, le manque d'explications qui va avec et ses silences durant les séances d'entraînement. Un «manque de psychologie», en somme, dénoncé aussi à distance par Bellion. La conférence de presse de l'entraîneur des Girondins, ce vendredi, était, vu le contexte, très attendue, tout comme le retour de Fernando au milieu du terrain. Un des premiers effets de la réunion de lundi ?

Tigana : «J'aime ce club et je reste ici»

Sur la sellette à Bordeaux, l'entraîneur Jean Tigana avance tout de même confiant avant la réception de Nice dimanche. Et surtout, il ne compte pas rester sur un échec avec les Girondins.

«Peut-on parler de votre semaine la plus difficile ?
Non, mais une semaine intéressante. Après tous ces revers, cela a été intéressant avec beaucoup de discussions, de mises au point. J'espère qu'on va retrouver ça sur le terrain. Les discours, c'est bien beau mais il faut de la présence sur le terrain.



Il y a eu une onde de choc après l'élimination à Angers, votre nom est revenu dans la presse. Cela vous a-t-il touché ?
Je n'ai pas lu la presse. J'ai lu, en arrivant ici, des choses par terre (des graffitis de protestation, ndlr). Que le débat soit lancé, c'est normal. Cela fait partie de la vie d'un entraîneur, cela ne perturbe pas du tout. J'ai accepté de venir tout seul et je savais que ça allait être difficile. J'ai les épaules assez larges pour assumer. Même pour des propositions plus intéressantes en Angleterre ou n'importe où, je ne quitterai pas ce club comme ça. Beaucoup parlent, moi c'est mon CV qui parle. Chaque fois que j'ai quitté un club, c'est que j'avais réussi. Et pour le moment, je n'ai pas réussi. J'aime ce club et je reste ici.


«Je ne pars que quand j'ai réussi»
Les dirigeants vous ont-ils suggéré l'idée de partir ?
Non. C'est même moi qui ai raccompagné Jean-Louis (Triaud) chez lui, on n'a jamais discuté de ça.

Compte tenu de la situation, n'est-ce pas une erreur d'accepter l'objectif de jouer une Coupe d'Europe?
L'objectif c'est de gagner dimanche, il y a tellement longtemps qu'on n'a pas gagné en championnat (le 21 novembre à Arles-Avignon, ndlr). Il n'y a que le terrain qui me le dira, mais, oui, l'équipe a la possibilité de décrocher une place européenne.

A un moment donné, allez-vous pouvoir continuer ?
Bien sûr. Je ne lâche jamais. Je ne pars que quand j'ai réussi. Dans la tempête, ce n'est pas moi qui vais sauter le premier du bateau. La difficulté, c'est là où je suis le meilleur, quand je suis attaqué, critiqué. J'ai été meilleur entraîneur en France, en Angleterre, en Turquie et j'ai l'impression de démarrer mon diplôme d'entraîneur. Cela me permet de me remettre en question

Football : Albert Emon limogé
le lundi 31 janvier 2011 à 15H53


C'est officiel : Albert Emon n'est plus l'entraîneur de l'AS Cannes, actuel 5e de National. L'ancien Olympien a été démis de ses fonctions après la cuisante défaite des siens à Guingamp (4-0). "L’AS Cannes a décidé de retirer la responsabilité de l’équipe première à M. Albert Emon pour manque de résultats. Son successeur sera nommé très prochainement", indique de façon lapidaire le communiqué du club. Victor Svunka tiendrait la corde pour lui succéder

ADIOS ALBERT

Trinita 31/01/2011 à 17h10
Il reste une place dans la fameuse "cellule recrutement de l'OM" ?? mdr

- Bordeaux - Tigana : «Je suis très mal»




Jean Tigana, désemparé après la lourde défaite des Bordelais à Lorient (1-5). (EQ)
Très affecté par la «débâcle» de ses joueurs samedi soir à Lorient (5-1), Jean Tigana n'a pas trouvé d'explication à la copie rendue par les Bordelais.


Pour l'entraîneur les choses sont claires : il ne faut plus parler d'Europe.

Les têtes baissées, les yeux rougis, les Bordelais ont quitté le Stade du Moustoir de la même façon qu'ils ont erré sur la pelouse synthétique du FC Lorient samedi soir (5-1). «C'est un cauchemar ce soir. Dans le contenu, dans la finalité, c'est zéro sur toute la ligne. C'est la première fois que nous passons autant au travers cette saison. C'est inexplicable », a déclaré Jean Tigana très affecté à l'issue de la débâcle de ses joueurs en Bretagne : «J'aime ce club et si je suis venu là c'est pour ça. Ça me fait beaucoup de mal. Je savais que ce serait une année difficile, je ne pensais pas que ce serait très difficile. Pour moi, pour le club, je suis très mal.»

Un sentiment de honte partagé par son capitaine Alou Diarra : «On a montré un visage pitoyable et je pense surtout à nos supporters, qui attendaient beaucoup de nous sur ce match», a lâché l'international français, pour qui Bordeaux n'est pas au niveau de ses ambitions : «Que ce soit physiquement, mentalement, tactiquement, l'équipe n'est pas au niveau des ses objectifs.» Comprenez par là qu'il ne faut plus parler d'Europe pour les Girondins : «On va surtout regarder derrière désormais. Ce que j'ai vu ce soir m'inquiète», a même soufflé Tigana. Monaco, 18e, n'est plus qu'à sept points des Aquitains. Il faut remonter à la saison 2004/2005 pour trouver traces d'une aussi mauvaise position pour les Bordelais. Cette saison-là, l'équipe girondine, entraînée par Michel Pavon, avait évité la relégation lors de l'ultime journée contre Marseille. -

IL DOIT PARLER DE LUI Zéro sur toute la ligne»


Tigana : «Zéro sur toute la ligne»


Lorient-Bordeaux : 5-1
Jean Tigana (entraîneur de Bordeaux) : «C'est un cauchemar ce soir dans le contenu, dans la finalité, on a des joueurs suspendus pour les prochains matches, c'est zéro sur toute la ligne, on prend des contres en profondeur. On est prévenus et sur le premier ballon, on se fait poignarder. Il n'y a pas eu de réaction en plus, c'est ce qui est inquiétant. Je ne peux pas l'expliquer, c'est une faillite collective, c'est inexplicable. Je ne suis pas inquiet sur mon avenir, c'est très simple, je ne suis pas quelqu'un de compliqué. C'est la première fois depuis le début de saison qu'on prend une volée comme ça. Il y avait de l'abandon, à dix contre onze, on aurait pu prendre encore des buts. (...) J'aime le club, et ça me fait beaucoup de mal. Si je suis venu là c'est que j'aime ce club. Je savais que ce serait une année difficile, je ne pensais pas que ce serait très difficile.»

JUSQU" A PREUVE DU CONTRAIRE
CE SONT LES DIRIGEANTS QUI FONT VALSER OU NON LES ENTRAINEURS .........................



23 février 2011Ils n'ont «pas lâché» Tigana
Auteurs d'une prestation «catastrophique» à Lorient (1-5), les Bordelais n'ont «pas lâché» leur entraîneur.

Chalmé et Diarra sont au plus mal. La prestation collective bordelaise à Lorient a été «catastrophique».
Auteurs d'une prestation collective «catastrophique» à Lorient (1-5), les Bordelais n'ont «pas lâché» Jean Tigana selon Matthieu Chalmé.

La lourde défaite subie samedi à Lorient (1-5) a laissé des traces dans les esprits bordelais, au point d'évoquer à chaud une rupture entre Jean Tigana et ses joueurs. Matthieu Chalmé a levé le doute ce mardi, lors d'une conférence de presse improvisée. «J'ai lu que l'on avait lâché Tigana, mais c'est bon, il faut arrêter avec ça, a tranché ferme le latéral droit girondin. On a joué haut parce que le pressing était haut, mais on a donné le bâton pour se faire battre et c'est tout, ajoutait-il, allusion faite à une éventuelle consigne défensive de ne pas jouer le hors-jeu en Bretagne. Il n'y a pas eu de grands discours ou quoi que ce soit,
mais à l'entraînement, on avait fait la même chose ; donc, quand on s'entraîne comme ça, c'est pareil le week-end. On ne va pas parler de la défense, mais d'un collectif qui a fauté, et on ne va pas pointer du doigt certains joueurs.»


Reconnaissant avoir fourni une prestation collective «catastrophique», qui «pendait au nez depuis le début de la saison», Chalmé n'a pas oublié les supporters*, déjà rencontrés dimanche à l'aéroport. «C'est le ras-le-bol de tout depuis an, ce qui est très difficile pour nous aussi. Ils donnent beaucoup de temps au club et font des déplacements importants, et ils viennent nous dire leur mécontentement. Mais ils ont bien compris que l'on ne s'amusait pas non plus. Ils ont envie que l'on réagisse et je les comprends, c'est normal.» -

*A sa demande, Cédric Carrasso, qui avait lui aussi rencontré les supporters à l'aéroport, a convié mardi midi une demi-douzaine de leurs représentants pour un déjeuner dans un restaurant de la périphérie bordelaise.

Gilbert Stellardo: "Il n'y a pas de plan B".
Gilbert Stellardo maintient sa confiance au staff en place. Pour l'heure, il n'est pas question d'envisager une solution de rechange.

Après la défaite de dimanche face au PSG, le président de l'OGC Nice Gilbert Stellardo maintient sa confiance à son entraîneur Eric Roy.
Au lendemain du cuisant revers subi face au Paris-SG (0-3), le Gym n'a vraiment pas bonne mine. Son début d'année complètement ratée laisse de plus en plus pantois quant à sa capacité à s'en sortir.

Pour l'heure, Gilbert Stellardo ne veut toujours pas entendre parler de Ligue 2. Dans le même temps, le président niçois maintient sa confiance à Eric Roy, même s'il le place face à ses responsabilités. Prémices d'un divorce annoncé ? Les trois prochains matches de championnat (Saint-Etienne, Lens et Auxerre) devraient éclaircir certains points.

La défaite face à Paris va certainement laisser des traces...
(Silence). Je ne sais pas. Quand Paris joue comme ça, c'est une équipe remarquable. De notre côté, on a à peu près tenu en première mi-temps puis on s'est effondré. C'est ça le vrai problème. On n'arrive pas à faire un match plein. Est-ce physique, moral ? Je ressens surtout un manque de volonté. Il y a toujours un peu de laisser-aller quand ça ne va pas.

Vous restez sur une victoire lors des sept derniers matches, la zone rouge se rapproche à grands pas (Nice est 17e à deux points du premier relégable, ndlr). Les joueurs en sont-ils conscients ?
Avec Marseille, ça fait deux victoires en huit matches ! Ce qui me désole, c'est que lorsque je vois la composition de l'équipe, je me dis qu'on a individuellement des joueurs qui valent largement mieux. Or, on n'arrive pas à les voir jouer un match entier. Un joueur comme Faé a tout de même de la qualité...

Allez-vous justement leur parler et leur faire part de votre point de vue quant à la situation actuelle ?
Je vais les voir tous ensemble avant le match à Saint-Etienne. J'en verrai d'autres individuellement. Votre objectif de finir dans les dix premiers semble aujourd'hui utopique, d'autant qu'Eric Roy martèle depuis le début de saison que le maintien est l'objectif prioritaire. N'existe-t-il pas un décalage entre vous ? Notre place, au regard de notre effectif, est entre 8e et 15e. Sur le papier, on tient la route, même si on n'a pas pu recruter un attaquant de haut niveau.

Vous vous êtes entretenu avec Eric Roy aujourd'hui (lire hier, ndlr). Est-il à l'heure actuelle menacé ?
Non, il n'est pas menacé. On a mangé notre pain noir, il faut maintenant redresser la barre sur les matches à venir. On a un vrai challenge. Je râle un peu quand il se plaint. Il a les joueurs qu'il a.

Avez-vous fixé un objectif de points sur les trois prochains matches de championnat (à Saint-Etienne, puis face à Lens et Auxerre à domicile) ?
Je ne l'ai pas fixé mais on l'a établi ensemble. Six points, ce serait très bien. Cinq, pas mal. Si on peut commencer par faire un résultat à St-Etienne... On sait être capables du pire comme du meilleur.

Eric Roy n'a pas hésité à tirer la sonnette d'alarme depuis plusieurs semaines. Allez-vous faire de même ?
J'estime qu'il doit faire avec les joueurs qu'il a. Si on avait les moyens de recruter... Ce n'est pas le cas, je redis toujours les mêmes choses. On fait 28-29 millions de recettes pour 35 millions de dépenses depuis plusieurs années. Qu'est ce que vous voulez que je vous dise ? Ce n'est pas facile à Nice.

Avez-vous pour l'heure songé à un plan B ?
Il n'y a pas de plan B. Je l'ai toujours soutenu. Il est jeune dans le métier, il doit progresser. On ne peut pas devenir le meilleur entraîneur en quinze ou dix-huit mois (11 en réalité, ndlr). Il fait une formation accélérée, j'ai confiance en lui.

Il est presque de coutume de taper sur l'entraîneur quand les choses ne vont pas. Les joueurs sont, eux, souvent épargnés. Comment l'expliquez-vous ?
Eric (Roy) m'a dit qu'il faudrait que je m'engage davantage auprès des joueurs. J'estime que chacun a son boulot. Mais je vais le faire dans les prochains jours. J'ai connu des moments plus compliqués que le foot ces derniers temps, donc il est vrai que j'avais un peu levé le pied. On va essayer de s'y remettre.

Une descente en Ligue 2 aurait-elle des effets dévastateurs pour le club ?
Pour le moment, il n'y a pas de descente en Ligue 2.

Et pourtant, il va falloir, à un moment donné, songer à cette éventualité...
Demandez à Lens ou des clubs qui sont déjà descendus. Pour l'instant, ce n'est pas le débat. On pense uniquement au maintien.

oui roy est su la sellette qd on lit en tre les lignes

tigane veut v faire valser pavon
mais peut etre qu'il valsera avant

Il faut que quelquechose change à Bordeaux ça ne va plus, Alou DIARRA n'a plus envie de se donner à fond ça se voit durant les matchs, WENDEL pareil alors que ce sont de superbes joueurs...

c'est simple
TIGANA ..

Oui et moi je mettrais Rolland Courbis à la place ! J'adore cet entraineur

oui il est tres fort
c'est lui qui a construit la remontee de montpellier en ligue 1