QUELS SONT LES ENTRAINEURS QUI VONT ENCORE VALSER CETTE SAISON ? L1 L2 NAT

je t'aime moi non plus
tu vas partir non je reste

c'est le nouveau jeu des entraineurs qui font des va et vient

Et si Le Guen continuait ?
Bien qu'en fin de contrat et qu'il n'ait pas rempli sa mission au Mondial, le coach français pourrait rempiler à la tête des Lions Indomptables.





Tout ça pour ça !
Michel Estevan peut avoir le sourire, il entraînera bien Arles-Avignon en Ligue 1.
Michel Estevan sera bien l'entraîneur d'Arles-Avignon cette saison. L'entraineur de l'ACA s'est enfin mis d'accord avec ses dirigeants.Après moult tergiversations, Michel Estevan a finalement été maintenu, mercredi, à son poste d'entraîneur d'Arles-Avignon pour la saison à venir. En conflit ouvert avec sa nouvelle direction, le technicien est quand même parvenu à trouver un terrain d'entente avec les deux co-présidents, Marcel Salerno et François Perrot, lors d'une réunion exceptionnelle. S'ils n'ont «rien signé», les trois hommes ont conclu un «accord de confiance», suffisant pour permettre à l'entraîneur de rester en place.

Bazdarevic sur le départ
Mehmet, le coach de Grenoble, pourrait quitter le club mercredi. Les Grenoblois sont à la dernière place du classement.




Mecha Bazdarevic va peut-être quitter le GF38.(AFP)
Mehmet, le coach de Grenoble, pourrait quitter le club mercredi. «J'ai demandé que l'on trouve une solution. Mon départ est envisageable pour le bien du club. Nous verrons mercredi. Les dirigeants ne seraient pas contre. Je sais ce que je compte faire», a déclaré Mehmet Bazdarevic. Le coach de 49 ans est arrivé au GF38 à l'été 2007. Il l'a fait monter en L1, l'a maintenu, puis a coulé lors de la saison 2009-2010. Depuis le début de saison, cela se passe très mal en L2 et les Grenoblois sont à la dernière place du classement. En cas de départ de Bazdarevic, il pourrait être remplacé par un duo composé de Laurent Roussey et de l'ancien international Didier Christophe. (Avec AFP)

ALLEZ DES LAURIERS A FRED
● Rennes: le 400e match de Frédéric Antonetti. Le technicien
corse s’assiéra pour la 400e fois sur un banc de Ligue 1
ce soir à l’occasion du match Rennes-Sochaux.
➔ Ses 399 matches : 205 avec Bastia,152 avec Nice et 42 avec Rennes.
Artisan de la remontée de Saint-Étienne en
L1 en 2004, Frédéric Antonetti avait cédé sa place à Élie Baup.

il serait le combientiéem coach viré cette saison entre LIGUE 1 LIGUE 2 NATIONAL

GROUPE B
La dernière chance de Puel


L’entraîneur lyonnais est de
plus en plus contesté


Jean-Michel Aulas n’avait jamais
connu pareille situation de
crise.


Depuis la défaite historique
concédée samedi à Gerland face
aux Verts (0-1), le président de l’OL
a revêtu son uniforme de pompier
pour éteindre les incendies qui se
déclarent de part et d’autre de la
maison lyonnaise. Après avoir rencontré
les supporters et invectivé
les Stéphanois* - "qui jouent la Ligue
des champions à la Playstation",
dixit JMA -, le boss des Gones
a fait publier hier soir sur le site officiel
du club un communiqué visant
à démentir tout contact avec
un nouvel entraîneur, "contrairement
à ce que les médias affirment
ou laissent entendre". Reste que la
position de Claude Puel demeure
on ne peut plus fragile.
Il y a douzeans quasiment jour
pour jour, une défaite du PSG en Israël,
face au Maccabi Haïfa, avait
condamné Alain Giresse. Le contexte
est quasiment identique
aujourd’hui pour l’ancien technicien
lillois, qui aurait bien du mal à
résister à un échec à Tel-Aviv ce soir et être décapité demain

LA CHAISE D' ESTEVAN


N'EST PAS ENCORE
REFROIDIE QUE


Officiellement nommé entraîneur d'Arles-Avignon vendredi, Faroucou Hadzibegic va tenter d'aider l'ACA à se maintenir en Ligue 1. La situation est difficile mais «l'homme est capable de tout».
«FaroucouConnaissez vous la provence Hadzibegic, dans quel état d'esprit venez-vous à Arles-Avignon ?
Je viens avec conviction. Je sais qu'il faut faire des résultats exceptionnels avec cette équipe mais l'homme est capable de tout. La situation est difficile et je souhaite travailler dans la continuité de Jean-Louis Saez et Kader Ferhaoui, qui seront mes adjoints. Moi, je vais aider pour atteindre le haut niveau. L'effectif a des qualités mais le niveau physique et mental n'est pas le même pour tous. Ce que je vois, c'est qu'on a manqué de réussite car le courage et la volonté sont là. Une équipe, c'est jouer le même football, pas avoir les onze meilleurs joueurs.

Que pensez-vous pouvoir apporter ?
Le football reste un jeu. On va faire le métier le mieux possible. On est en difficulté mais Lyon aussi ! Cette équipe a mérité de monter. Après, sans doute a-t-elle grandi trop vite. L'équipe de l'an passé était de toute façon insuffisante pour la L1 et les dirigeants ont bien agi. Maintenant le retard est considérable. Je crois malgré tout le challenge possible à relever.

Croyez-vous vraiment le maintien possible ?
L'effectif est capable, j'en suis convaincu. L'équipe n'a jamais été faible et elle monte en puissance. Elle va s'exprimer de mieux en mieux. Ce qui m'amène ici, c'est la passion, mais je ne suis pas un spécialiste des équipes en difficulté. Parfois on y arrive et d'autres pas. On est dans le même bateau et il faut y aller. Mon premier objectif va être de faire s'exprimer les joueurs et d'amener de la sérénité.»


Connaissez vous la provence
Quand j'étais petit ma mère m'a elevé à la ciotat en compagnie de mon ami JUDAS
et nous avons grandi dans le même club de foot

● Les Lyonnais ne supportent vraiment plus Claude Puel. Les Bad Gones,
un groupe de supporters de Lyon, ont installé hier une cinquantaine
de banderoles réclamant la démission de Claude Puel dans la
ville. Ils en ont notamment déployé une sur la place Bellecour. Selon
le quotidien Le Progrès, ces banderoles ont toutes été déroulées au
même moment

Puel : encore un démenti
La direction du club a démenti jeudi les rumeurs selon lesquelles le départ de Claude Puel avait été entériné lors d'un déjeuner Aulas - Seydoux.Dans un communiqué officiel publié ce jeudi, l'Olympique Lyonnais tient à faire taire toutes les rumeurs évoquant le licenciement de Claude Puel. «L'Olympique Lyonnais dément catégoriquement les propos du journaliste Edward Jay qui a déclaré sur RMC que Jérome Seydoux et Jean-Michel Aulas auraient décidé de mettre un terme au contrat de Claude Puel à l'occasion d'un petit déjeuner pris avant le Conseil d'administration du club, mardi matin.» Ce petit déjeuner était organisé afin d'«arrêter les comptes annuels du groupe. Le conseil d'administration a ensuite confirmé à l'unanimité son adhésion à la stratégie sportive mise en place par Jean-Michel Aulas et confiée à Claude Puel», a tenu à préciser la direction de l'OL


par contre un de nos reporters
aurait aperçu CLAUDE PUEL devant poleemploi vers 13h30

PAS DE FUMEE SANS FEU

Lyon - Puel chahuté à Bron


ca semble loin tout ca il n est plus adule




Claude Puel peut s'attendre à un accueil hostile du public lyonnais lors de la réception de Lille. (EQ)
Les deux derniers matches victorieux de l'Olympique Lyonnais n'ont visiblement pas atténué le mécontentement des supporters à l'encontre de Claude Puel. Venu à Bron voir jouer son plus jeune fils, pensionnaire des moins de 15 ans, l'entraîneur du club septuple champion de France a été quelque peu chahuté par quelques personnes présentes pour assister à la rencontre.

Plusieurs slogans hostiles à l'ancien coach de Lille, dont le désormais traditionnel quot;Puel démissionquot;, ont été scandés tout au long de la partie, rapporte le site Internet du Progrès. La réception du LOSC, dimanche prochain au stade de Gerland (21 heures), promet d'être chaude. Et pas que pour les Lillois


CA POURRAIT LUI ETRE UN REMPLACANT SURPRISE

PUEL RESTE DETENDU SOUS LA PRESSION DE JMAULAS



On risque de repousser»
La question de l'ultimatum fixé par Jean-Michel Aulas, son président, ne semble pas inquiéter Claude Puel. Au contraire, ce dernier ironise.



Claude Puel ne se sent pas concerné par l'ultimatum de son président et a confirmé vendredi que cette période de haute pression ne le «dérange pas».

Jeudi soir, en marge de la large victoire de l'OL féminin contre AZ Alkmaar en Ligue des champions (8-0), Jean-Michel Aulas a repoussé la date qu'il s'était fixé pour décider du sort de Claude Puel. «Ce ne sera pas le 24 après Arles-Avignon mais fin octobre après le PSG» (le 27, en Coupe de la Ligue), a précisé le président lyonnais.

Pour son entraîneur, interrogé ce vendredi, cela ne change rien. «Et après le PSG, il y a Rennes (le 6 novembre, match qui sera lui-même précédé de la réception de Sochaux le 30 octobre, ndrl), donc on risque de repousser l'échéance à début novembre», en a même plaisanté Claude Puel. Plus sérieusement, celui-ci a insisté sur le fait qu'il «ne se sent pas concerné par un quelconque ultimatum», faisant comprendre qu'il conserve sa même ligne de conduite, celle qu'il a exposée ces derniers jours dans de nombreux médias. Face à la pression et à ce contexte difficile, Puel est détendu, ironise, se sent à l'aise, s'ouvre. «Je ne vais pas dire que je suis dans mon élément, mais cela ne me dérange pas, reconnaît-il. Disons que c'est mon moteur». L'idée étant de réussir à faire fonctionner très rapidement celui de l'OL au super. Cris et ses partenaires, mais aussi leur entraîneur, passent un test important contre Lille dimanche, pour «un match toujours particulier», indique l'ancien Lillois, dont le message au public de Gerland est clair : «Simplement être derrière son équipe.» Et l'oublier un peu ? «Je fais partie de l'équipe», lâche Puel. A voir la bonne humeur transpirer des séances d'entraînement cette semaine, il a réussi à transmettre sa sérénité à ses joueurs. «Ce n'est pas la pression qui leur donne le sourire, ce sont surtout les dernières victoires (à Tel-Aviv et Nancy) et la trêve», conclut-il.

reponse à 23 heures



Le dernier match au programme de la 9e journée de Ligue 1 entre Lyon et Lille, dimanche soir à Gerland (21h), promet du spectacle et du suspense, surtout pour Claude Puel. L'entraîneur lyonnais joue clairement sa place contre son ancien club.

Une soirée Puel. Il est clair que pour l'entraîneur de l'OL, le choc de dimanche soir (21h) sera particulier. Tant sur le plan sportif qu'humain. Si Claude Puel a gardé des affinités avec certains de ses anciens joueurs, il ne devra pas faire dans le mélo. Son avenir se jouera en partie face à Lille. Et pour cause. Lyon, et plus particulièrement Jean-Michel Aulas, attendent des résultats. «On n'a plus tellement de jokers, on sait que c'est une belle équipe, qui a des prétentions, des ambitions, lâchait Puel cette semaine. Maintenant je ne la crains pas, c'est juste un bon challenge à relever». De marbre, le technicien rhodanien n'a peur de personne et vit au jour le jour. On appelle ça carpe diem. Sauf que là, la situation est vraiment délicate. Imaginons que Lyon prenne une nouvelle valise à domicile, le président de l'OL pourrait bien ne pas attendre la date butoir, fixée à la fin du mois, avant de limoger l'intéressé. Inversement, une belle victoire lyonnaise redonnerait un peu de crédit à Puel avant le match décisif à Benfica mardi en Ligue des champions.

Quelques heures après la fin de la 9e journée de Ligue 1, Jean-Michel Larqué est revenu sur la victoire lyonnaise contre Lille (3-1). La faculté de Claude Puel à ne pas courber l'échine l'impressionne.

«On a revu une équipe de Lyon plus conforme à celle que l'on attendait. Le retour en forme de Lisandro n'y est pas étranger. Mais pas seulement. Bastos est bien, Cris est de retour à un niveau auquel on ne l'attendait peut-être pas si vite. Et puis la pièce maîtresse, Lloris, qui fait l'arrêt qu'il faut quand il faut. Réveillère est là encore une fois. Et puis Gourcuff qui marque son premier but, qui trouve petit à petit ses marques. Ce n'est pas encore le Gourcuff d'il y a deux ans mais il y arrivera.

Puel a apporté «un démenti cinglant»
En ce qui concerne Claude Puel, il a une sacrée faculté à encaisser les coups. Si j'étais un adversaire de Lyon, j'aurais peur parce qu'il démontre la solidité de l'édifice lyonnais. A sa place, beaucoup d'entraîneurs auraient mis la tête dans le seau ou baissé les bras. Lui, au contraire, a été galvanisé par cette période. Son attitude, c'est tout bénéfice pour l'Olympique Lyonnais. Il démontre que l'OL est un club solide, comme son entraîneur. Je ne dirais pas qu'il est en train de se sauver parce que la pression reste là. Un entraîneur sait qu'il n'est jamais tranquille, c'est la définition même du métier. Mais vis-à-vis de ceux qui le pensaient cuit, c'est un démenti cinglant. Contre Benfica, en Ligue des champions, l'élan est tel qu'on peut considérer les Lyonnais comme favoris. Ils prendront certainement les points nécessaires.»

OUFF IL A EU CHAUD

LE COUP EST PASSE SI PRES ..
IL LUI SEMBLAIT 10 JOURS



L'entraîneur de Lyon, Claude Puel, se félicite de la victoire de son équipe contre le Benfica Lisbonne (2-0), mercredi au stade de Gerland en Ligue des Champions, et espère qu'il permettra de capitaliser pour les prochaines rencontres, de championnat notamment.

«Quel est votre sentiment après cette victoire sur Benfica ?
C'est un résultat très intéressant, car nous avons bien négocié ce match contre une équipe de qualité qui a su se montrer dangereuse. Nous avons livré une bonne performance défensivement et offensivement, nous avons été équilibrés. Nous avons fait les efforts qu'il fallait. Il y a eu de très bons mouvements qui auraient pu nous permettre de gagner plus largement. L'exclusion nous a permis de mieux gérer encore la seconde période. Nous restons dans la lignée de ce que nous faisons depuis quelques temps. Nous montons en puissance avec un bon niveau de jeu. Le match le plus difficile arrive dimanche à Arles-Avignon. Ce n'est pas la coupe d'Europe, et il faudra être bien présent.

Dans quel état d'esprit aborderez-vous les deux prochains matches qui se joueront à l'extérieur ?
Je peux rassurer l'entraîneur du Benfica. L'objectif sera bien de gagner lors de nos deux prochains déplacements à Schalke, mais aussi à Benfica dans un stade de la Luz magnifique et dans une grosse ambiance. La qualification n'est pas encore assurée. Nous allons à Benfica pour obtenir un bon résultat. La première place du groupe est très importante. Si nous pouvons nous qualifier avec un match retour des huitièmes de finale chez nous, ce serait très bien. Nous avons neuf points. C'est bien avant deux matches très costauds qui nous attendent en Championnat et en Coupe de la Ligue.

En quoi le match de ce soir peut-il servir à l'OL pour la suite dans une série de matches tous les trois jours ?
Nous sommes dans une continuité. C'est la quatrième victoire de suite. Il faut encore capitaliser, prendre de la confiance, de la solidité, des repères dans le jeu. Nous sommes en train de construire un collectif. Le match de dimanche ne sera pas le plus facile contre un adversaire qui vendra sûrement très cher sa peau. Il sera difficile à préparer. Il est important de ne pas lâcher après notre début de saison difficile. Il faut revenir dans le haut du classement. Le match de dimanche est primordial».

Claude Puel va savoir. C'est cette semaine que l'entraîneur de l'Olympique Lyonnais en saura davantage sur son avenir. Son président Jean-Michel Aulas, qui a promis d'effectuer un bilan après le match de Coupe de la Ligue face au PSG, a lancé les grandes manoeuvres après le nul concédé sur le terrain d'Arles-Avignon (1-1). «Je vais voir tous les acteurs du club. Ce lundi, ce sont les composantes techniques, a expliqué le dirigeant du club rhodanien dans OL System




. Mardi, je vais rencontrer les responsables des supporters que je tiens d'ailleurs à remercier. Mercredi matin, il y aura un conseil d'administration pour parler de l'ensemble des réflexions menées depuis 5 matches.»

«Tout n'est pas lié au résultat du match» face au PSG
Et ensuite ? Puel pourrait diriger une dernière fois les Gones, mercredi soir au stade de Gerland, face au club de la capitale, à l'occasion des 8es de finale de la Coupe de la Ligue. Aulas, de son côté, assure qu'aucune décision n'est déjà actée. «On veut faire les meilleurs choix pour l'institution. Il y a des tendances qui se dégagent avant le match face au PSG. Tout n'est pas lié au résultat du match à venir, jure-t-il. Il faut partir de l'analyse pour prendre la décision d'orientation. Cela doit renforcer notre conviction puis l'expliquer en disant comment on va faire les choses.» Bien malin celui qui parvient à lire entre les lignes.

Les résultats de Lyon en Championnat ne sont pas au goût du président Jean-Michel Aulas, ni des supporters. Une défaite en huitièmes de finale de Coupe de la Ligue contre Paris pourrait bien mettre Claude Puel définitivement sur la touche.


Le compte à rebours est lancé. Si la date butoir fixée par Jean-Michel Aulas approche à grands pas (27 octobre), Claude Puel garde son calme, comme toujours. Mais l'entraîneur de l'Olympique Lyonnais voit clairement défiler ses jours à la tête de l'équipe lyonnaise. On l'a bien remarqué. Puel a eu beau obtenir d'excellents résultats en Ligue des champions et redonner le sourire à certains en Championnat, le nul de ce week-end contre Arles-Avignon reste en travers de la bouche. Et forcément, c'est la seule chose que l'on retient. Dans un tel contexte, forcément, tous les points comptent, notamment en Coupe de la Ligue. Loin d'être un objectif pour l'OL, cette compétition, et plus précisément le match contre Paris mercredi soir en huitièmes de finale, sera donc capital pour l'avenir de Claude Puel.
«Cela devient un match capital»
«A priori, ce n'est pas aussi important que le derby, mais dans ce contexte, si, a assuré Jean-Michel Aulas. Cela devient un match capital, qui n'aurait pas dû être aussi important si nous avions poursuivi notre belle série. Nous avons fait match nul face à Arles-Avignon. Tous les gens qui espéraient une victoire sont déçus même si ce n'est pas déshonorant». Puel est prévenu, mais Paris arrive à point. Considéré comme un adversaire de taille cette saison, le PSG ne devrait pas faire de cadeau à cette équipe lyonnaise. Et c'est parfait. Comme on peut le voir depuis le début de la saison, l'OL a besoin d'adversaires de taille pour réaliser des performances et se surpasser. Benfica en a fait les frais, pas Arles-Avignon : ça veut tout dire.

COURAGE CLAUDE LE FOOT C EST TROP DUR
ENTRE TARNAIS ON SE SOUTIENT
Confirmé par Jean-Michel Aulas à la tête de l'Olympique Lyonnais, Claude Puel a avoué sur RMC, ce jeudi, qu'il n'avait «jamais songé à partir». «Les problèmes doivent être résolus et une carrière d'entraîneur n'est jamais facile, a-t-il poursuivi. Mon groupe de joueurs est là pour faire gagner le club mais pas pour me soutenir. Je n'ai jamais demandé aux joueurs de monter au front pour moi. Il y a certains supporters qui sont contre moi mais j'espère les faire changer d'avis. Je ne compte pas les rencontrer prochainement...» Il aura l'occasion de reconquérir le coeur de fans ce samedi avec la réception de Sochaux à l'occasion de la 11e journée.

JEANNOT TIGANA COACH JE LE SENS PAS
UN MERVEILLEUX JOUEUR ..MAIS
Tigana hausse le ton
Agacé après le nul à Monaco (2-2), Tigana a haussé le ton. Une stratégie payante dès samedi contre VA ?




Jean Tigana souhaite que ses joueurs se responsabilisent.
Agacé par la deuxième période de son équipe à Monaco (2-2), Tigana a changé de ton cette semaine au Haillan pour bousculer son effectif. Une stratégie payante avant d'accueillir Valenciennes samedi ?

Mardi, après le match à Monaco (2-2), les murs du vestiaire bordelais ont tremblé et l'onde de choc s'est ressentie jusqu'au lendemain au Haillan. Déçu du comportement de ses joueurs à Louis II, Jean Tigana n'a pas hésité à resserrer les vis dès le soir du match mais aussi quelques heures plus tard lors de la séance d'entraînement. Un comportement qui traduit peut-être l'agacement du coach bordelais qui ne trouve toujours pas la bonne formule alors que son équipe ne cesse de patiner en Championnat. Le technicien bordelais a-t-il, depuis, retrouvé son calme ? «Oui ça va, c'est passé, assure-t-il. Je ne sais pas si ce coup de colère était nécessaire mais il était logique. Je ne sais pas non plus si c'est efficace mais si c'était à refaire, je le referais, il n'y a aucun problème. Je suis toujours un éducateur mais, à un moment donné, il y a un trop plein. Il faut qu'on écoute. C'est un coup de colère et ensuite il faut revenir au travail du terrain, j'ai toujours été comme ça.»

En l'absence d'Alou Diarra, suspendu depuis le 16 octobre, Jean Tigana semble regretter le manque de leadership de son équipe et son incapacité à réagir dans la tourmente. «Au delà de l'attitude, il y a des périodes, notamment dans le placement et le replacement, où il faut respecter le collectif, ajoute le technicien. D'habitude, l'entraîneur n'a pas besoin d'intervenir sur des trucs comme ça. Tout le monde fait des fautes mais il faut savoir se recadrer. Il faut que les joueurs prennent plus de responsabilités». Le portier bordelais, Cédric Carrasso, comprend la réaction de son entraîneur : «Il a été déçu qu'on laisse passer l'occasion de recoller au classement. C'est normal. Il avait tellement envie qu'on fasse bien que c'est dur... Mais ne vous inquiétez pas, c'est toujours le même, il ne changera jamais, je pense.» Souhaitons que ce coup de colère ne se reproduise pas samedi à l'issue du match contre Valenciennes. Le stade Chaban-Delmas, où des fissures ont été découvertes à la fin du mois d'octobre, pourrait ne pas apprécier...

LE CELESTE AUX AIRS D "ALBATROS



Après la gifle infligée par Monaco (0-4), Pablo Correa avoue se poser «vraiment des questions». «Peut-être que c'est mon message qui ne passe pas. C'est à moi de savoir si je dois m'adapter», a confié l'entraîneur de Nancy.
«Pablo Correa, quelle est votre analyse après ce match ?
Nous avons pris une volée, c'est la première chose qui me vient à l'esprit. Pour autant, l'équipe était bien rentrée dans le match, comme on le souhaitait. Ce n'est pas la volonté de l'adversaire qui nous a désarmés, c'est nous-mêmes. Le manque d'agressivité qui est, par moment, flagrant dans cette équipe, a fait que la différence a tourné en faveur de Monaco.

Est-ce l'inconstance qui vous a fait perdre ce match ?
C'est fâcheux de voir le groupe changer de visage en permanence. Nous avons eu la capacité d'agir dans beaucoup de matches. Mais je n'arrive pas à comprendre pourquoi, par moments, on reste complètement amoindri et sans réaction. Je pense que nous n'avons pas eu l'agressivité nécessaire aujourd'hui pour vouloir vraiment l'emporter à tout prix. J'accepte de perdre des matches en étant dangereux et en prenant des risques. Le problème, c'est qu'on perd le match et qu'on ne prend pas de risque. Cela me dérange énormément. Pour marquer, il faut cadrer des tirs. Mais si on a beaucoup tiré, on n'a pas cadré. Or l'efficacité est déterminante.

Est-ce que la différence de buts, très négative, vous fait peur ?
Ce n'est pas le -9 à la différence de buts qui me gêne. Ce qui m'inquiète, ce sont les 22 buts encaissés en 12 journées. Je me pose vraiment des questions. Peut-être que c'est mon message qui ne passe pas. C'est à moi de savoir si je dois m'adapter. Je ne sais pas. Il faut chercher un peu partout, pas seulement chez les joueurs. On a la capacité de réagir mais dans la durée, on n'a pas la capacité d'exprimer cela en permanence. Je pense que notre problème est là, dans le manque d'agressivité. Cela, ce n'est pas en mettant un tacle, c'est dans tout ce qu'on va entreprendre. Je n'arrive pas à trouver le mot exact. Mais quand je vois le match contre Monaco, je me dis que nous avons peut-être aussi une grosse défaillance dans le mental.»

PABLO REAGIS STP
C "EST PAS LA FIN DU MONDE ...........

aladin a écrit:
LE CELESTE AUX AIRS D "ALBATROS



Après la gifle infligée par Monaco (0-4), Pablo Correa avoue se poser «vraiment des questions». «Peut-être que c'est mon message qui ne passe pas. C'est à moi de savoir si je dois m'adapter», a confié l'entraîneur de Nancy.
«Pablo Correa, quelle est votre analyse après ce match ?
Nous avons pris une volée, c'est la première chose qui me vient à l'esprit. Pour autant, l'équipe était bien rentrée dans le match, comme on le souhaitait. Ce n'est pas la volonté de l'adversaire qui nous a désarmés, c'est nous-mêmes. Le manque d'agressivité qui est, par moment, flagrant dans cette équipe, a fait que la différence a tourné en faveur de Monaco.

Est-ce l'inconstance qui vous a fait perdre ce match ?
C'est fâcheux de voir le groupe changer de visage en permanence. Nous avons eu la capacité d'agir dans beaucoup de matches. Mais je n'arrive pas à comprendre pourquoi, par moments, on reste complètement amoindri et sans réaction. Je pense que nous n'avons pas eu l'agressivité nécessaire aujourd'hui pour vouloir vraiment l'emporter à tout prix. J'accepte de perdre des matches en étant dangereux et en prenant des risques. Le problème, c'est qu'on perd le match et qu'on ne prend pas de risque. Cela me dérange énormément. Pour marquer, il faut cadrer des tirs. Mais si on a beaucoup tiré, on n'a pas cadré. Or l'efficacité est déterminante.

Est-ce que la différence de buts, très négative, vous fait peur ?
Ce n'est pas le -9 à la différence de buts qui me gêne. Ce qui m'inquiète, ce sont les 22 buts encaissés en 12 journées. Je me pose vraiment des questions. Peut-être que c'est mon message qui ne passe pas. C'est à moi de savoir si je dois m'adapter. Je ne sais pas. Il faut chercher un peu partout, pas seulement chez les joueurs. On a la capacité de réagir mais dans la durée, on n'a pas la capacité d'exprimer cela en permanence. Je pense que notre problème est là, dans le manque d'agressivité. Cela, ce n'est pas en mettant un tacle, c'est dans tout ce qu'on va entreprendre. Je n'arrive pas à trouver le mot exact. Mais quand je vois le match contre Monaco, je me dis que nous avons peut-être aussi une grosse défaillance dans le mental.»

Samedi matin, Bernard Lacombe a donné une interview au Dauphiné Libéré, dans laquelle il charge l'entraîneur, Claude Puel Comme la situation de l'OL ne s'améliore pas franchement depuis le début de saison, le conseiller du président Aulas refuse d'en endosser la reponsablité. JMA lui aurait demandé de se rapprocher du terrain et de l'entraîneur, mais Lacombe avoue n'avoir rien pu faire: «Je n'ai plus mon mot à dire. Rien n'a changé. Puel et moi, on ne se parle pas. Il n'y a jamais d'échanges avec lui. Je suis toujours proche des joueurs. Mais le maître, c'est Puel. Il faut arrêter de dire que je me suis rapproché du terrain.»

«Pas de contact avec Puel»
Toutefois, c'est une situation qu'il regrette: vu son statut et son ancienneté dans le club, Lacombe aimerait se sentir plus utile auprès de l'homme de terrain et lui «transmettre son expérience». «J'estime que lorsqu'on débarque dans un club, on peut aller demander son avis à quelqu'un qui est là depuis vingt-deux ans. Je suis allé vers Puel au début, mais il n'y a jamais eu de retour. J'avais beaucoup de contacts avec Perrin, Houllier ou Le Guen. Pas avec Puel.»

«Aulas, un peu à vif»
De là à lâcher franchement l'entraîneur, toujours dans la tourmente après le nul à Rennes (1-1), il n'y a qu'un pas que Lacombe n'ose pas encore franchir: «Ce sont les résultats futurs qui le diront.» Il sent en tout cas que Jean-Michel Aulas «est un peu à vif.» «Il ne peut pas éteindre tous les incendies», justifie son conseiller. Mais en prenant position ouvertement contre Claude Puel, Lacombe ne lui facilite pas vraiment la tâche.

CAVAAAAALLLLLLLLLLLLLI

CAVALLI CORREA PUEL ...NOMMINES

JUDAS a écrit:CAVAAAAALLLLLLLLLLLLLI

aladin a écrit:
CAVALLI CORREA PUEL ...NOMMINES

JUDAS a écrit:CAVAAAAALLLLLLLLLLLLLI

Je me demande comment Cavalli a pu tenir aussi longtemps au NO

il doit avoir pas mal d'amis par là bas

PUEL NE PASSERA PAS NOEL A LYON

BERNARD LACOMBE A DONNE LE CLAP DE FIN

ET SON PRESIDENT AUALS VA SORTIR BIENTOT SA GUILLOTINE COMME DS UN SCENARIO BIEN ECRIT

PUEL COMMENCE A OUVRIR SON COUER MEURTRI TOUT EN PRESERVANT SES DROITS DE SALARIE

CA SE TERMINERA A LA MIABLE PAS COMME ESTEVAN

SUITE ET FIN POSSIBLE SI NICE GAGNE A GERLAND DIMANCHE A 23H EN DIRECT SUR CANAL MOINS



Puel : «Difficile de travailler à Lyon» 12/11/2010

Avant la réception de Nice en Ligue 1, Claude Puel a estimé ce vendredi que l'environnement de l'OL devait «être plus serein», tout en déclarant avoir «pris parti que cela ne sera pas le cas» tant il lui semble «difficile de travailler à Lyon sans soubresauts»

Votre équipe a enfin eu une semaine d'entraînement pleine. Qu'en pensez-vous ?
C'est un luxe d'avoir une semaine pleine pour préparer un match même si nous aurions bien aimé continuer en Coupe de la Ligue. Nous avons beaucoup enchaîné mais nous avons pu faire des soins, retravailler le foncier en prévision des prochaines échéances jusqu'à la trêve, fin décembre.

La semaine dernière, votre équipe a connu des difficultés en début de match, contre Benfica, durant une heure même, puis à Rennes. Quel est votre commentaire ?
Il faut corriger les entames de match dans lesquelles nous n'avons pas été assez performants. Il y a la fatigue, l'aspect psychologique et la concentration sont moins évidents. Cela peut donc se compliquer. La semaine que nous venons de passer a permis de récupérer.

En octobre, l'OL a été la meilleure équipe en championnat en terme de points. Qu'est-ce que cela vous inspire ?
Pour une fois, on souligne les choses positives alors que d'habitude on insiste sur les aspects négatifs ! Même si nous avons conscience que nous avons encore des lacunes, sur le début de saison on se retrouve éliminés de la Coupe de la Ligue. Nous aurions mérité mieux, même s'il n'y a pas de regrets en raison de l'investissement des joueurs contre le PSG ce jour-là. Nous sommes conscients de certains manques à l'intérieur d'un match et d'un match à un autre. Dans l'esprit et le caractère, nous avons en revanche été en capacité de réaction mais il faut être dans l'action. Bien sûr, Hugo Lloris est trop sollicité. Nous devons corriger cela. Nous avons été hors sujet à Rennes.


«Je sais que je suis de passage et je donnerai tout pour ce club»
Quel commentaire faites-vous des propos tenus par Bernard Lacombe dans le Dauphiné libéré la semaine dernière, déplorant notamment qu'il n'y ait «jamais d'échanges» avec vous ?
Il faut que l'environnement soit plus serein mais j'ai pris mon parti que ce ne sera pas le cas. Je ferai sans. Il faut positiver sans faire abstraction des manques que nous avons. Il est difficile de travailler à Lyon sans qu'il n'y ait de soubresauts. J'en prends acte. Je suis employé du club et j'ai envie que le club avance. Je ne dirai rien qui puisse permettre des interprétations ou mettre de l'huile sur le feu. Je comprends une seule chose : le terrain. Je sais que je suis de passage et je donnerai tout pour ce club. Je ne ferai pas de commentaire, ni ne lancerai de polémique qui serait contraire à la bonne marche du club. Je m'y tiendrai.

Que pensez-vous des performances de Yoann Gourcuff ?
C'est un nouveau joueur dans un club avec de nouveaux équipiers et un nouvel environnement. Je suis patient avec les joueurs qui découvrent leur nouveau lieu de travail. Il normal d'avoir un temps d'adaptation. Contre Rennes, j'ai apprécié qu'il joue beaucoup plus haut. Il est dans la bonne démarche.

François Clerc, qui viendra dimanche avec Nice, a été critique envers vous et l'OL. Qu'en pensez-vous ?
Je ne ferai pas de commentaires. François n'est plus un joueur de l'OL. Cela ne m'intéresse pas et il ne m'intéresse pas.»