CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
+6
venus
domenico belli
cannelle
aladin
JUDAS
bienvenou
10 participants
Page 24 sur 40
Page 24 sur 40 • 1 ... 13 ... 23, 24, 25 ... 32 ... 40
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Bleus
Un tournoi à Paris en novembre?
Si l'équipe de France termine en tête de son groupe D, elle sera directement qualifiée pour la phase finale de l'Euro 2012 en Ukraine et en Pologne (8 juin-1er juillet 2012). Et, par conséquent, les deux dates prévues pour les barrages entre les huit meilleurs deuxièmes seront alors disponibles (les 11 et 15 novembre) et mises à profit par Laurent Blanc.
Trois solutions sont à l'étude : 1. Disputer deux matches amicaux classiques. 2. Organiser un tournoi triangulaire à Paris (avec un match au stade de France et un autre au Parc des Princes), une solution qui plaît plus à la FFF car moins onéreuse. 3. Effectuer une mini tournée à l'étranger, option qui aurait la préférence du sélectionneur, qui a bien apprécié celle dans les pays de l'Est, en juin, facteur selon lui de cohésion de groupe.
Blanc a rencontré à ce sujet Noël Le Graët, le président de la FFF, en Albanie, pour faire un point sur ce dossier. Lors du tirage au sort des éliminatoires du Mondial 2014 à Rio, fin juillet, les deux hommes avaient reçu quelques propositions d'équipes nationales désireuses d'affronter les Bleus en novembre. Mais il faut d'abord que les qualifications pour l'Euro 2012 soient achevées pour savoir qui sera alors libre.
Un tournoi à Paris en novembre?
Si l'équipe de France termine en tête de son groupe D, elle sera directement qualifiée pour la phase finale de l'Euro 2012 en Ukraine et en Pologne (8 juin-1er juillet 2012). Et, par conséquent, les deux dates prévues pour les barrages entre les huit meilleurs deuxièmes seront alors disponibles (les 11 et 15 novembre) et mises à profit par Laurent Blanc.
Trois solutions sont à l'étude : 1. Disputer deux matches amicaux classiques. 2. Organiser un tournoi triangulaire à Paris (avec un match au stade de France et un autre au Parc des Princes), une solution qui plaît plus à la FFF car moins onéreuse. 3. Effectuer une mini tournée à l'étranger, option qui aurait la préférence du sélectionneur, qui a bien apprécié celle dans les pays de l'Est, en juin, facteur selon lui de cohésion de groupe.
Blanc a rencontré à ce sujet Noël Le Graët, le président de la FFF, en Albanie, pour faire un point sur ce dossier. Lors du tirage au sort des éliminatoires du Mondial 2014 à Rio, fin juillet, les deux hommes avaient reçu quelques propositions d'équipes nationales désireuses d'affronter les Bleus en novembre. Mais il faut d'abord que les qualifications pour l'Euro 2012 soient achevées pour savoir qui sera alors libre.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
D
Bosnie-Herzégovine 20:15 Belarus
Luxembourg 20:15 Albanie
Roumanie 20:30 France
.....Équipes J pts
1 France 7 16
2 Bosnie-Herzégovine 7 13
3 Belarus 8 12
4 Roumanie 7 11
5 Albanie 7 8
6 Luxembourg 8 1
Bosnie-Herzégovine 20:15 Belarus
Luxembourg 20:15 Albanie
Roumanie 20:30 France
.....Équipes J pts
1 France 7 16
2 Bosnie-Herzégovine 7 13
3 Belarus 8 12
4 Roumanie 7 11
5 Albanie 7 8
6 Luxembourg 8 1
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Euro-2012: Roumanie-France, un voyage pas si nul pour les Bleus
La France, dominatrice sans être flamboyante, a ramené un point précieux de son déplacement en Roumanie (0-0), mardi, qui lui permet de conserver sa première place dans la poule D et de rester maître de son destin pour la qualification à l'Euro-2012.
Les Bleus ont encore deux rencontres pour terminer le travail mais avec un point d'avance sur la Bosnie et deux rendez-vous à domicile contre l'Albanie (7 octobre) et les Bosniens (11 octobre), leur route vers le Championnat d'Europe reste toujours dégagée.
Après la victoire étriquée ramenée de Tirana (2-1), vendredi, le sélectionneur Laurent Blanc attendait une réaction de ses troupes. Sur le plan comptable, l'opération réussie dans le tout neuf Arena National de Bucarest est idéale mais dans le jeu, les Français, qui ont eu pourtant une possession quasiment totale du ballon, n'ont jamais vraiment parus en mesure de mettre en danger de très faibles Roumains, sur une pelouse en très mauvais état.
Face à un tel adversaire, les Bleus semblent s'être contentés du strict minimum, histoire de se rassurer une bonne fois pour toutes avant les deux +finales+ prévues au Stade de France.
Confronté à des polémiques grandissantes sur le positionnement de Ribéry et Malouda ainsi que le niveau de jeu insuffisant de Nasri, Blanc n'avait pas fait dans la demi-mesure en écartant trois cadres: le joueur de Manchester City, officiellement touché à un pied, le milieu gauche de Chelsea et le malheureux Alou Diarra, victime de sa propre inconstance. Des choix draconiens et risqués.
Mais le sélectionneur voulait surtout piquer au vif un groupe qui commence tout doucement à être miné par les luttes d'ego et les caprices de diva de vedettes présumées. En se passant de ces trois éléments de poids, le +Président+ voulait montrer qu'il était le patron et n'était pas tributaire du statut des uns et des autres.
Sur cet aspect purement politique de la vie en équipe de France, Blanc s'en sort avec les honneurs sans pour autant avoir réussi à changer quoi que ce soit en terme d'efficacité.
Si Cabaye, titularisé pour la première fois dans l'entre-jeu en match officiel, s'en est bien tiré, la soirée a été beaucoup plus compliquée pour Marvin Martin, qui avait la lourde charge de faire oublier Nasri.
Le héros de Donetsk (doublé lors du succès en Ukraine 4-1, le 6 juin en amical) n'est jamais parvenu à orienter le jeu et à mettre véritablement les Bleus dans le sens de la marche. Dans un match cadenassé et fermé, Benzema, l'arme fatale de l'équipe de France, n'a quasiment eu aucun ballon exploitable.
Dommage pour Blanc qui aurait secrètement bien aimé voir d'autres joueurs s'affirmer pour titiller ses stars et aiguiser la concurrence.
Résultat, la France repart de Roumanie avec une solidité défensive retrouvée grâce au bon retour de Rami, suspendu en Albanie, mais avec toujours les mêmes soucis, notamment le rendement nettement insuffisant d'un côté gauche que Ribéry a du mal à animer même si +Francky+ a eu la meilleure occasion de la partie sur un tir croisé (66). Ce qui ne peut que renforcer la frustration d'un Malouda, confiné sur le banc.
Mais pour le sélectionneur, c'est surtout ce point pris à l'extérieur qui importe le plus. Le temps joue toujours pour lui pour panser les nombreuses plaies des Bleus.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
7 septembre 2011
Lancés vers l'objectif les Bleus gardent leur destin en main.
Malgré le sentiment mitigé laissé par leurs deux matches en Albanie (2-1) et en Roumanie (0-0), les Bleus semblent en mesure de pouvoir finir le travail, lors des deux derniers matches. La balle est dans leur camp.
Difficile de ne pas être déçu aujourd'hui en regardant le classement. Laurent Blanc n'a du reste pas caché qu'il l'était, mardi soir après le nul à Bucarest (0-0). Alors qu'avant les deux rencontres en Albanie et en Roumanie, elle possédait trois points d'avance sur la Bosnie, son unique rival désormais, l'équipe de France n'en a plus qu'un seul à deux matches du terme. «On avait l'ambition de prendre six points à l'extérieur, a souligné le sélectionneur. C'était ambitieux. On a vu ce soir (mardi) que c'était très difficile». Le problème dans cette situation, c'est surtout que les Bosniens ont gagné leurs deux matches, eux. Car finalement, en d'autres circonstances, beaucoup d'équipes se seraient largement contentées de ces quatre points obtenus sur des terrains difficiles et face à des adversaires plus rugueux et truqueurs que joueurs. A défaut de mieux, «c'est déjà pas mal de garder la tête du groupe, a noté Adil Rami. Il ne faut pas se tromper d'objectif». «Le seul, a rappelé Mathieu Valbuena, c'est la qualification».
Malgré deux oppositions piégieuses devant des publics hostiles, les Bleus ont montré des réelles qualités dans le jeu. En première période à Tirana puis durant tout le match à Bucarest, ce sont eux qui ont pris des risques, tenté et créé. «Au niveau de la maîtrise technique, il n'y a pas eu photo», a constaté Blanc. Autres satisfactions, plus individuelles cette fois, les certains joueurs ont vraiment répondu présent. Pour Karim Benzema, buteur et passeur en Albanie, ainsi que Yann M'Vila, excellent à la récupération mais aussi en soutien des attaquants, c'est plus une confirmation qu'autre chose. En revanche pour Yohann Cabaye, titulaire seulement pour la troisième fois chez les A, c'est plus inattendu. Même s'il a profité des contre-performances de certains à Tirana, l'ancien Lillois a su saisir sa chance en jouant propre, en proposant des solutions et en provoquant. Il a eu tout bon et mérite d'être revu.
Les points négatifs qui sautent aux yeux sont évidemment les prestations décevantes de Younes Kaboul, Florent Malouda et Samir Nasri en Albanie, confirmées en quelque sorte par Laurent Blanc avec leurs remplacements en Roumanie. Impliqué sur le seul but encaissé par Hugo Lloris en trois jours, à Tirana, le défenseur de Tottenham a dilapidé en l'espace d'une rencontre tout le crédit qu'il avait récupéré contre le Chili en amical cet été. Quant à Malouda et Nasri, transparent ou presque samedi soir, la situation est beaucoup plus problématique car elle concerne deux cadres potentiels du groupe. S'ils sont passés au travers, c'est peut-être aussi parce qu'ils ont payé le débat qui les a opposés en amont au sélectionneur. «Je n'avais rien dit avant le match mais je n'en pense pas moins», a lâché Laurent Blanc après coup, laconique à leur sujet. Pour son retour, Franck Ribéry a fait à peine mieux, mais lui au moins a eu le mérite de faire profil bas. Enfin au rayon des déceptions également, mais cette fois collective, l'incapacité des Bleus à se montrer dangereux en Roumanie (cinq frappes dont une seule cadrée) peut inquiéter pour la suite. Comme excuse, les intéressés ont avancé le mauvais état du terrain.
Deux matches à domicile, c'est ce qu'il reste à l'équipe de France pour ne pas avoir à revivre le toujours périlleux épisode des barrages, comme en 2010 pour la Coupe du monde face à l'Irlande. Si certains comme Karim Benzema envisagent déjà une finale au stade de France contre la Bosnie, «le prochain match contre l'Albanie est le plus important», a d'emblée annoncé Rami. «On a un petit avantage avec ce point d'avance», a lui constaté Blanc, pragmatique. Tout petit en effet qui n'autorise plus aucun droit à l'erreur. Contre l'Albanie le 7 octobre, les Bleus en auront aussi un deuxième, celui de voir quatre joueurs adverses suspendus, et pas des moindres puisque le buteur de Tirana, Ergon Bogdani, en fera notamment partie. Dans ces conditions, on voit vraiment mal comment les Rouge et Noir, battus mardi au Luxembourg (1-2), pourraient poser des problèmes aux joueurs tricolores. Contre la Bosnie pour finir, ce sera une toute autre histoire. Mais compte tenu du fait que les Bleus ont été capables d'aller s'imposer à Sarajevo à l'aller (2-0), ne pas perdre devant leur public, avec la qualification à la clé, ne devrait pas être insurmontable
Lancés vers l'objectif les Bleus gardent leur destin en main.
Malgré le sentiment mitigé laissé par leurs deux matches en Albanie (2-1) et en Roumanie (0-0), les Bleus semblent en mesure de pouvoir finir le travail, lors des deux derniers matches. La balle est dans leur camp.
Difficile de ne pas être déçu aujourd'hui en regardant le classement. Laurent Blanc n'a du reste pas caché qu'il l'était, mardi soir après le nul à Bucarest (0-0). Alors qu'avant les deux rencontres en Albanie et en Roumanie, elle possédait trois points d'avance sur la Bosnie, son unique rival désormais, l'équipe de France n'en a plus qu'un seul à deux matches du terme. «On avait l'ambition de prendre six points à l'extérieur, a souligné le sélectionneur. C'était ambitieux. On a vu ce soir (mardi) que c'était très difficile». Le problème dans cette situation, c'est surtout que les Bosniens ont gagné leurs deux matches, eux. Car finalement, en d'autres circonstances, beaucoup d'équipes se seraient largement contentées de ces quatre points obtenus sur des terrains difficiles et face à des adversaires plus rugueux et truqueurs que joueurs. A défaut de mieux, «c'est déjà pas mal de garder la tête du groupe, a noté Adil Rami. Il ne faut pas se tromper d'objectif». «Le seul, a rappelé Mathieu Valbuena, c'est la qualification».
Malgré deux oppositions piégieuses devant des publics hostiles, les Bleus ont montré des réelles qualités dans le jeu. En première période à Tirana puis durant tout le match à Bucarest, ce sont eux qui ont pris des risques, tenté et créé. «Au niveau de la maîtrise technique, il n'y a pas eu photo», a constaté Blanc. Autres satisfactions, plus individuelles cette fois, les certains joueurs ont vraiment répondu présent. Pour Karim Benzema, buteur et passeur en Albanie, ainsi que Yann M'Vila, excellent à la récupération mais aussi en soutien des attaquants, c'est plus une confirmation qu'autre chose. En revanche pour Yohann Cabaye, titulaire seulement pour la troisième fois chez les A, c'est plus inattendu. Même s'il a profité des contre-performances de certains à Tirana, l'ancien Lillois a su saisir sa chance en jouant propre, en proposant des solutions et en provoquant. Il a eu tout bon et mérite d'être revu.
Les points négatifs qui sautent aux yeux sont évidemment les prestations décevantes de Younes Kaboul, Florent Malouda et Samir Nasri en Albanie, confirmées en quelque sorte par Laurent Blanc avec leurs remplacements en Roumanie. Impliqué sur le seul but encaissé par Hugo Lloris en trois jours, à Tirana, le défenseur de Tottenham a dilapidé en l'espace d'une rencontre tout le crédit qu'il avait récupéré contre le Chili en amical cet été. Quant à Malouda et Nasri, transparent ou presque samedi soir, la situation est beaucoup plus problématique car elle concerne deux cadres potentiels du groupe. S'ils sont passés au travers, c'est peut-être aussi parce qu'ils ont payé le débat qui les a opposés en amont au sélectionneur. «Je n'avais rien dit avant le match mais je n'en pense pas moins», a lâché Laurent Blanc après coup, laconique à leur sujet. Pour son retour, Franck Ribéry a fait à peine mieux, mais lui au moins a eu le mérite de faire profil bas. Enfin au rayon des déceptions également, mais cette fois collective, l'incapacité des Bleus à se montrer dangereux en Roumanie (cinq frappes dont une seule cadrée) peut inquiéter pour la suite. Comme excuse, les intéressés ont avancé le mauvais état du terrain.
Deux matches à domicile, c'est ce qu'il reste à l'équipe de France pour ne pas avoir à revivre le toujours périlleux épisode des barrages, comme en 2010 pour la Coupe du monde face à l'Irlande. Si certains comme Karim Benzema envisagent déjà une finale au stade de France contre la Bosnie, «le prochain match contre l'Albanie est le plus important», a d'emblée annoncé Rami. «On a un petit avantage avec ce point d'avance», a lui constaté Blanc, pragmatique. Tout petit en effet qui n'autorise plus aucun droit à l'erreur. Contre l'Albanie le 7 octobre, les Bleus en auront aussi un deuxième, celui de voir quatre joueurs adverses suspendus, et pas des moindres puisque le buteur de Tirana, Ergon Bogdani, en fera notamment partie. Dans ces conditions, on voit vraiment mal comment les Rouge et Noir, battus mardi au Luxembourg (1-2), pourraient poser des problèmes aux joueurs tricolores. Contre la Bosnie pour finir, ce sera une toute autre histoire. Mais compte tenu du fait que les Bleus ont été capables d'aller s'imposer à Sarajevo à l'aller (2-0), ne pas perdre devant leur public, avec la qualification à la clé, ne devrait pas être insurmontable
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Le chiffre : 4
points > pour finir première de son groupe. L'équipe de France n'a besoin que de quatre points sur ses deux derniers matches pour finir en tête de son groupe. Et d'un seul pour disputer les barrages entre les huit deuxièmes de groupe.
3 points contre l'albanie et nulcontre bosnie
nul contre albanie et victoire contre bosnie
points > pour finir première de son groupe. L'équipe de France n'a besoin que de quatre points sur ses deux derniers matches pour finir en tête de son groupe. Et d'un seul pour disputer les barrages entre les huit deuxièmes de groupe.
3 points contre l'albanie et nulcontre bosnie
nul contre albanie et victoire contre bosnie
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Si l'équipe de France se qualifie pour l'Euro 2012, elle peut sans doute s'attendre à un tirage au sort compliqué le vendredi 2 décembre à Kiev. A l'heure actuelle, et sauf cataclysme lors des deux dernières journées et des barrages (élimination de l'Angleterre et de la Croatie), les Bleus, actuellement 11es du classement UEFA, semblent en effet promis au troisième chapeau. Voire même au quatrième, si les positions n'évoluent pas de manière significative et si, par exemple, l'Angleterre, la Croatie, la Russie, le Portugal, la Grèce et la Suède se qualifiaient tous.
Le chapeau 1, qui réunira les quatre têtes de série, sera composé de la Pologne et de l'Ukraine, les deux pays organisateurs, de l'Espagne (tenant du titre) et des Pays-Bas, deuxièmes du classement UEFA. Le chapeau 2 comprendrait ensuite l'Allemagne, l'Italie, l'Angleterre et la Croatie. Autrement dit, la France pourrait se retrouver dans un «groupe de la mort» avec l'Espagne et l'Allemagne, ou bien dans une poule avec les Pays-Bas et l'Italie (ou l'Angleterre). Une manière de dire qu'elle aurait tout intérêt alors à tomber sur l'Ukraine ou la Pologne... -
Le chapeau 1, qui réunira les quatre têtes de série, sera composé de la Pologne et de l'Ukraine, les deux pays organisateurs, de l'Espagne (tenant du titre) et des Pays-Bas, deuxièmes du classement UEFA. Le chapeau 2 comprendrait ensuite l'Allemagne, l'Italie, l'Angleterre et la Croatie. Autrement dit, la France pourrait se retrouver dans un «groupe de la mort» avec l'Espagne et l'Allemagne, ou bien dans une poule avec les Pays-Bas et l'Italie (ou l'Angleterre). Une manière de dire qu'elle aurait tout intérêt alors à tomber sur l'Ukraine ou la Pologne... -
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Les Bleus débuteront en Finlande
23/09/2011 à 17:48
L'équipe de France a rendez-vous avec l'Espagne en qualifications du Mondial 2014 en octobre 2012 et mars 2013. Début et fin contre la Finlande.
Laurent Blanc est satisfait du calendrier des qualifications négocié vendredi.
La Finlande pour commencer ! L'équipe de France débutera sa campagne qualificative pour le Mondial 2014 le 7 septembre 2012 à Helsinki, alors que les deux chocs contre l'Espagne auront lieu le 16 octobre 2012 et le 26 mars 2013. L'ensemble du calendrier du groupe I a été fixé vendredi matin à Paris, lors d'une réunion à la FFF entre les sélectionneurs des cinq équipes de la poule (France, Espagne, Finlande, Bélarus, Géorgie). Outre l'ogre espagnol, qu'ils affronteront donc en pleine saison, les Bleus auront deux autres virages piégeux à bien négocier, en septembre 2013, en Géorgie (le 6) et en Biélorussie quatre jours plus tard, alors que les Championnats européens auront à peine repris. En revanche, Laurent Blanc a réussi à éviter de jouer en juin 2013, après la fin de la saison. La France aura en outre l'avantage de finir à domicile contre la Finlande, le 15 octobre 2013.
Blanc : «Recevoir pour notre dernier match nous paraissait une priorité (de même que) ne pas jouer de matches officiels en juin, car c'est très compliqué.»
« Chacun a émis ses souhaits , a expliqué le patron des Bleus sur le site internet de la FFF . Ça a été une discussion très fair-play, on a trouvé un accord assez rapidement. Globalement, on peut et doit être satisfait. Au bout de 2h15, il y avait un accord de toutes les nations, ça s'est relativement bien passé. Recevoir pour notre dernier match nous paraissait une priorité (de même que) ne pas jouer de matches officiels en juin, car c'est très compliqué. » « L'Espagne a la certitude de ne pas jouer en juin car elle va jouer la Coupe des Confédérations en 2013 , a ajouté Blanc. Et vous voyez, on reçoit pour notre dernier match et on ne joue pas en juin, c'est bien. On se déplace deux fois en Géorgie et Bielorussie, deux déplacements qui ne sont pas faciles, et on a accepté de se déplacer en septembre 2013. Tout le monde a été conciliant. »
«Ni gagnant, ni perdant» (Del Bosque)
Le sélectionneur de l'Espagne Vicente Del Bosque a de son côté indiqué qu'« il n'y a ni gagnant, ni perdant ». « L'ensemble des participants à la réunion a fait en sorte que cela se passe du mieux possible. Le calendrier est positif pour l'équipe espagnole », a-t-il poursuivi. Pour mémoire, les premiers des neuf groupes qualificatifs obtiendront directement leur billet pour la Coupe du monde au Brésil, alors que les huit meilleurs deuxièmes de ces groupes devront disputer un barrage.
Le calendrier
7 septembre 2012 Géorgie-Bélarus et Finlande-France
11 septembre 2012 France-Bélarus et Géorgie-Espagne
12 octobre 2012 Bélarus-Espagne et Finlande-Géorgie
16 octobre 2012 Espagne-France et Bélarus-Géorgie
22 mars 2013 France-Géorgie et Espagne-Finlande
26 mars 2013 France-Espagne
7 juin 2013 Finlande-Bélarus
11 juin 2013 Bélarus-Finlande
6 septembre 2013 Géorgie-France et Finlande-Espagne
10 septembre 2013 Bélarus-France et Géorgie-Finlande
11 octobre 2013 Espagne-Bélarus
15 octobre 2013 Espagne-Géorgie et France-Finlande
23/09/2011 à 17:48
L'équipe de France a rendez-vous avec l'Espagne en qualifications du Mondial 2014 en octobre 2012 et mars 2013. Début et fin contre la Finlande.
Laurent Blanc est satisfait du calendrier des qualifications négocié vendredi.
La Finlande pour commencer ! L'équipe de France débutera sa campagne qualificative pour le Mondial 2014 le 7 septembre 2012 à Helsinki, alors que les deux chocs contre l'Espagne auront lieu le 16 octobre 2012 et le 26 mars 2013. L'ensemble du calendrier du groupe I a été fixé vendredi matin à Paris, lors d'une réunion à la FFF entre les sélectionneurs des cinq équipes de la poule (France, Espagne, Finlande, Bélarus, Géorgie). Outre l'ogre espagnol, qu'ils affronteront donc en pleine saison, les Bleus auront deux autres virages piégeux à bien négocier, en septembre 2013, en Géorgie (le 6) et en Biélorussie quatre jours plus tard, alors que les Championnats européens auront à peine repris. En revanche, Laurent Blanc a réussi à éviter de jouer en juin 2013, après la fin de la saison. La France aura en outre l'avantage de finir à domicile contre la Finlande, le 15 octobre 2013.
Blanc : «Recevoir pour notre dernier match nous paraissait une priorité (de même que) ne pas jouer de matches officiels en juin, car c'est très compliqué.»
« Chacun a émis ses souhaits , a expliqué le patron des Bleus sur le site internet de la FFF . Ça a été une discussion très fair-play, on a trouvé un accord assez rapidement. Globalement, on peut et doit être satisfait. Au bout de 2h15, il y avait un accord de toutes les nations, ça s'est relativement bien passé. Recevoir pour notre dernier match nous paraissait une priorité (de même que) ne pas jouer de matches officiels en juin, car c'est très compliqué. » « L'Espagne a la certitude de ne pas jouer en juin car elle va jouer la Coupe des Confédérations en 2013 , a ajouté Blanc. Et vous voyez, on reçoit pour notre dernier match et on ne joue pas en juin, c'est bien. On se déplace deux fois en Géorgie et Bielorussie, deux déplacements qui ne sont pas faciles, et on a accepté de se déplacer en septembre 2013. Tout le monde a été conciliant. »
«Ni gagnant, ni perdant» (Del Bosque)
Le sélectionneur de l'Espagne Vicente Del Bosque a de son côté indiqué qu'« il n'y a ni gagnant, ni perdant ». « L'ensemble des participants à la réunion a fait en sorte que cela se passe du mieux possible. Le calendrier est positif pour l'équipe espagnole », a-t-il poursuivi. Pour mémoire, les premiers des neuf groupes qualificatifs obtiendront directement leur billet pour la Coupe du monde au Brésil, alors que les huit meilleurs deuxièmes de ces groupes devront disputer un barrage.
Le calendrier
7 septembre 2012 Géorgie-Bélarus et Finlande-France
11 septembre 2012 France-Bélarus et Géorgie-Espagne
12 octobre 2012 Bélarus-Espagne et Finlande-Géorgie
16 octobre 2012 Espagne-France et Bélarus-Géorgie
22 mars 2013 France-Géorgie et Espagne-Finlande
26 mars 2013 France-Espagne
7 juin 2013 Finlande-Bélarus
11 juin 2013 Bélarus-Finlande
6 septembre 2013 Géorgie-France et Finlande-Espagne
10 septembre 2013 Bélarus-France et Géorgie-Finlande
11 octobre 2013 Espagne-Bélarus
15 octobre 2013 Espagne-Géorgie et France-Finlande
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Blanc préfère «cette pression-là»
29/09/2011 à 16:34
A deux matches d'une qualification à l'Euro 2012, Laurent Blanc ne craint pas de revivre un scénario semblable à celui de 1993.
Laurent Blanc préfère avoir la pression ''pour obtenir quelque chose que pour éviter quoi que ce soit''.
« Laurent Blanc, à votre arrivée, vous aviez déclaré être en quête d'un noyau dur. Pensez-vous l'avoir trouvé ? On aura réussi que si l'on se qualifie. Par rapport à là d'où on vient, on a fait un grand pas, mais il faut enfoncer le clou au mois d'octobre. Pour l'instant, un noyau s'est formé, il faut encore l'améliorer. N'oublions pas qu'il y a également des joueurs qui sont actuellement blessés... En tout cas, c'est vrai que pour faire la liste, il y a des noms pas encore tout à fait indiscutables, mais qui sont plus faciles à sélectionner. C'est dans ce sens-là que je dis qu'on progresse.
«Mieux vaut avoir la pression pour obtenir quelque chose que pour éviter quoi que ce soit.»
Dans cette logique de groupe, avez-vous été tenté de rappeler Philippe Mexès ? Non, il faut être sérieux. On a deux matches internationaux décisifs à jouer. Il faut être au maximum de ses moyens physiques, avoir repris le rythme de la compétition. Philippe n'a joué que quarante-cinq minutes. C'est de bon augure, mails il était trop juste pour prétendre être sélectionné. Alou Diarra réalise un début de saison décevant. Lui bénéficie de cette notion de groupe, non ? Entre autres, oui. Je connais très bien le joueur et l'homme. Je sais ce dont il est capable. Même s'il réalise effectivement un début de saison médiocre, sa présence est importante pour le groupe. Il ne reste plus que deux matches. Craignez-vous de voir le spectre de 1993 ressurgir ? Je savais que vous y feriez référence, mais ça fait un certain temps. Je ne suis même pas sûr que les joueurs de cette génération aient connu cette période, il ne vaut mieux pas, d'ailleurs. Bien sûr, on va avoir la pression, mais quand vous attaquez une campagne qualificative, vous savez qu'à un moment donné, vous disputerez des matches plus importants que d'autres. Pour avoir vécu les deux, mieux vaut avoir la pression pour obtenir quelque chose que pour éviter quoi que ce soit. A nous de bien gérer ça. Qu'est-ce qui peut faire la différence ? Le mental, c'est quelque chose de capital. Les joueurs concernés ont l'habitude de ce type de match, c'est leur quotidien. On sait qu'un certain nombre de points suffirait pour se qualifier, mais ce genre de calcul n'est pas une bonne chose. On est à domicile, on va jouer pour gagner. Après, s'il ne reste que 10 minutes à jouer et qu'on doit gérer, peut-être que ça nous amènera à changer de posture...
«J'ai lu qu'il (Ribéry) avait retrouvé le plaisir de jouer. S'il peut nous en faire profiter...»
Franck Ribéry est actuellement dans une forme resplendissante. Vous comptez évidemment sur lui pour faire la différence. Il est en forme. Comme je l'ai dit à plusieurs joueurs, on veut toujours plus d'eux parce qu'on les sent capables d'apporter plus. Mais Il n'y a pas de discours particulier avec Franck. J'ai lu qu'il avait retrouvé le plaisir de jouer. S'il peut nous en faire profiter... Allez-vous vivre les moments les plus importants de votre carrière d'entraîneur ? Des moments importants, on en vit tous les jours. Là, il y a deux matches importants pour l'équipe, pour les joueurs, pour moi. On a tous envie de se mesurer à ce qui se fait de mieux en Europe.»
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
http://www.fff.fr/mediatheque/bleu/539416_la-video-de-l-opposition
06/10/2011
France-Albanie La vidéo de l'opposition
Yann M'vila et les Bleus ont terminé leur séance d'entraînement de mercredi à Clairefontaine par une opposition sur une moitié de ... terrain. A découvrir en images...
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
bienvenou a écrit:http://www.fff.fr/mediatheque/bleu/539416_la-video-de-l-opposition
06/10/2011
France-Albanie La vidéo de l'opposition
Yann M'vila et les Bleus ont terminé leur séance d'entraînement de mercredi à Clairefontaine par une opposition sur une moitié de ... terrain. A découvrir en images...
pour se rassurer ..UN PEU ..THIERRY
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Pas le moment de craquer
Le 07/10/2011 à 07:30 | Mis à jour le 06/10/2011 à 20:55
Même s'ils ne sont pas dans les meilleures dispositions, les Bleus peuvent se qualifier pour l'Euro vendredi (21h00) en cas de victoire contre l'Albanie et de succès du Luxembourg en Bosnie.
Malgré la première place de la France, l'inquiétude règne.
Il faut espérer que les Bleus ne soient pas trop attachés aux signes. Entre la blessure de leur meilleur buteur et passeur, Karim Benzema, celle de Franck Ribéry, revenu à un niveau mondial en club, et les fantômes de 1993 qui rodent au-dessus du Stade de France, les événements qui ont précédé les deux derniers matches de qualification à l'Euro 2012 n'incitent guère à un optimisme débordant. Toute la semaine, Laurent Blanc et ses joueurs se sont évertués à minimiser le poids des absents. Mais l'hécatombe est telle qu'elle a contraint le Dr Bryant à tenter de la justifier, à la demande express du sélectionneur. Face à cette situation, «ça chambre» , a tout de même (r)assuré Samir Nasri, bien placé pour en parler puisqu'il a lui-même passé une IRM : «Des joueurs importants nous ont quittés, mais j'espère que le collectif sera fort» .
Le souvenir de la Biélorussie
La notion de groupe ayant toujours prévalu depuis l'intronisation de Blanc, il serait très tentant de le croire. La prudence nous oblige toutefois à faire remarquer que la seule défaite concédée par les Bleus lors de cette campagne l'avait été sans Benzema, contre la Biélorussie (1-0, le 3 septembre 2010). C'est dire si l'attaquant madrilène va manquer vendredi, mais surtout mardi soir contre la Bosnie. Dans l'hypothèse où les joueurs de Safet Susic viendraient à bout du Luxembourg - un obstacle loin d'être insurmontable-, seul ce deuxième match comptera vraiment, quel que soit le résultat de France-Albanie. Une victoire face aux partenaires de Cana maximiserait toutefois les chances de qualification* des Bleus, en même temps que leur confiance. Mais si la sélection de Josip Kuze n'a plus rien à espérer, elle compte bien «se farcir l'équipe de France» , annonce Djibril Cissé. L'attaquant de la Lazio sait de quoi il parle : «On en a discuté avec Lorik» .
Dans ce contexte, on ne fera pas les difficiles. Indépendamment des attentes que concentrent la probable association Gomis-Rémy en pointe et le 4-4-2 vers lequel semble pencher Laurent Blanc, l'enjeu prendra évidemment le pas sur les velléités de beau jeu. En 1993, la France n'avait besoin que d'un point contre la Bulgarie pour se qualifier pour la Coupe du monde aux Etats-Unis. Elle n'avait finalement vu l'Amérique qu'à travers la sono du Parc des Princes qui crachait du Joe Dassin. En cas de succès vendredi, elle se retrouvera vraisemblablement dans la même situation, «mais il ne faut pas avoir peur» , souligne Jérémy Ménez. A l'époque, l'attaquant du PSG n'avait que 9 ans, mais le souvenir de la détresse tricolore lui est resté. «A nous de faire attention parce que rien n'est acquis» . Après avoir passé sept journées en tête du groupe et étiré leur série d'invincibilité à treize rencontres (matches amicaux compris), ce serait bête de craquer maintenant. Quels que soient les signes.
* Une victoire contre l'Albanie autoriserait les Bleus à se contenter d'un point face aux Bosniens pour se qualifier.
Le 07/10/2011 à 07:30 | Mis à jour le 06/10/2011 à 20:55
Même s'ils ne sont pas dans les meilleures dispositions, les Bleus peuvent se qualifier pour l'Euro vendredi (21h00) en cas de victoire contre l'Albanie et de succès du Luxembourg en Bosnie.
Malgré la première place de la France, l'inquiétude règne.
Il faut espérer que les Bleus ne soient pas trop attachés aux signes. Entre la blessure de leur meilleur buteur et passeur, Karim Benzema, celle de Franck Ribéry, revenu à un niveau mondial en club, et les fantômes de 1993 qui rodent au-dessus du Stade de France, les événements qui ont précédé les deux derniers matches de qualification à l'Euro 2012 n'incitent guère à un optimisme débordant. Toute la semaine, Laurent Blanc et ses joueurs se sont évertués à minimiser le poids des absents. Mais l'hécatombe est telle qu'elle a contraint le Dr Bryant à tenter de la justifier, à la demande express du sélectionneur. Face à cette situation, «ça chambre» , a tout de même (r)assuré Samir Nasri, bien placé pour en parler puisqu'il a lui-même passé une IRM : «Des joueurs importants nous ont quittés, mais j'espère que le collectif sera fort» .
Le souvenir de la Biélorussie
La notion de groupe ayant toujours prévalu depuis l'intronisation de Blanc, il serait très tentant de le croire. La prudence nous oblige toutefois à faire remarquer que la seule défaite concédée par les Bleus lors de cette campagne l'avait été sans Benzema, contre la Biélorussie (1-0, le 3 septembre 2010). C'est dire si l'attaquant madrilène va manquer vendredi, mais surtout mardi soir contre la Bosnie. Dans l'hypothèse où les joueurs de Safet Susic viendraient à bout du Luxembourg - un obstacle loin d'être insurmontable-, seul ce deuxième match comptera vraiment, quel que soit le résultat de France-Albanie. Une victoire face aux partenaires de Cana maximiserait toutefois les chances de qualification* des Bleus, en même temps que leur confiance. Mais si la sélection de Josip Kuze n'a plus rien à espérer, elle compte bien «se farcir l'équipe de France» , annonce Djibril Cissé. L'attaquant de la Lazio sait de quoi il parle : «On en a discuté avec Lorik» .
Dans ce contexte, on ne fera pas les difficiles. Indépendamment des attentes que concentrent la probable association Gomis-Rémy en pointe et le 4-4-2 vers lequel semble pencher Laurent Blanc, l'enjeu prendra évidemment le pas sur les velléités de beau jeu. En 1993, la France n'avait besoin que d'un point contre la Bulgarie pour se qualifier pour la Coupe du monde aux Etats-Unis. Elle n'avait finalement vu l'Amérique qu'à travers la sono du Parc des Princes qui crachait du Joe Dassin. En cas de succès vendredi, elle se retrouvera vraisemblablement dans la même situation, «mais il ne faut pas avoir peur» , souligne Jérémy Ménez. A l'époque, l'attaquant du PSG n'avait que 9 ans, mais le souvenir de la détresse tricolore lui est resté. «A nous de faire attention parce que rien n'est acquis» . Après avoir passé sept journées en tête du groupe et étiré leur série d'invincibilité à treize rencontres (matches amicaux compris), ce serait bête de craquer maintenant. Quels que soient les signes.
* Une victoire contre l'Albanie autoriserait les Bleus à se contenter d'un point face aux Bosniens pour se qualifier.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Les compositions des équipes :
FRANCE : ALLEZ LES BLEUS
.................Lloris (cap.)
- Debuchy Kaboul, Rami, Evra
- Cabaye, Mvila, Malouda, Nasri
-......... Gomis, Rémy.
ALBANIE : Ujkani - Vangjeli, Lila, Cana (cap.), Dallku - Lika, Salihi, Muzaka, Hyka - Roshdi.
FRANCE : ALLEZ LES BLEUS
.................Lloris (cap.)
- Debuchy Kaboul, Rami, Evra
- Cabaye, Mvila, Malouda, Nasri
-......... Gomis, Rémy.
ALBANIE : Ujkani - Vangjeli, Lila, Cana (cap.), Dallku - Lika, Salihi, Muzaka, Hyka - Roshdi.
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
11 E debordement eclair de remy centre et but de malouda
22 E FRANCE 1 ALBANIE 0
22 E FRANCE 1 ALBANIE 0
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
38 éme p âsse en profondeur de NASRY et but de REMY
42 E FRANCE 2 ALBANIE 0
¨PAS MAL
42 E FRANCE 2 ALBANIE 0
¨PAS MAL
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
MI TEMPS FRANCE 2 ALBANIE 0
¨PAS MAL ..
METTRE LE 3 EME RAPIDOS POUR ETRE TRANQUILLES
¨PAS MAL ..
METTRE LE 3 EME RAPIDOS POUR ETRE TRANQUILLES
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
66 EME PASSE DE MARTIN BUT DE REVEILLERE
son 1 er en EDF
68 E FRANCE 3 ALBANIE 0
¨PAS MAL ..
son 1 er en EDF
68 E FRANCE 3 ALBANIE 0
¨PAS MAL ..
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
«Rien n'est fait»
Le 08/10/2011 à 00:48 | Mis à jour le 08/10/2011 à 08:44
Les Bleus n'ont pas pris le temps de savourer leur succès contre l'Albanie (3-0), se projetant immédiatement sur la finale qui les attend contre la Bosnie, mardi.
« Une bonne préparation » pour « la finale » qui les attend contre la Bosnie, mardi soir. C'est ainsi que les Bleus ont qualifié leur large succès aux dépens de l'Albanie (3-0) . Si le plan imaginé par Laurent Blanc s'est déroulé sans anicroche (« attaquer pied au plancher, marquer vite... », raconte Yohan Cabaye),
la joie tricolore est restée très contenue dans les couloirs du Stade de France. « Normal, rien n'est fait », rappelle Adil Rami. Avec un point d'avance sur la sélection de Safet Susic, l'équipe de France n'est certes pas encore qualifiée. Mais elle s'est offert le droit d'aborder cette dernière rencontre du groupe D « en position de force». «On a les cartes en main , souligne encore le défenseur de Valence. Il va falloir se servir de ce qu'on a fait ce (vendredi) soir, mettre le bleu de chauffe et répondre présent».
«On ne va pas préparer ce match pour faire un nul. C'est le meilleur moyen de le perdre.» (Laurent Blanc)
Les Bleus n'ayant besoin que d'un point pour valider leur billet pour l'Euro ukraino-polonais, l'hypothèse de les voir jouer le nul, mardi, était tentante. Elle a été balayée d'un revers de main par Laurent Blanc. « Notre stratégie sera de gagner le match comme on a l'habitude de le faire , a-t-il assuré. Après, si suivant l'évolution, on peut gérer, on le fera du mieux possible. Mais on ne va pas préparer ce match pour faire un nul.
C'est le meilleur moyen de le perdre. » Ce qu'il a vu vendredi soir l'incite-t-il à l'optimisme ? « Oui, mais on a eu des problèmes au niveau des blessures , a-t-il déploré. On n'est pas verni mais ça fait partie du métier. Ce qu'on voulait faire en seconde mi-temps, on n'a pas pu le faire. C'est la période qui veut ça. » Outre Cabaye qui s'est fait « écraser la cheville », Evra et Rami ont tous les deux ressenti une pointe derrière la cuisse. Un point sera fait samedi ou dimanche. Après Benzema, Ribéry, Matuidi, Abidal et Gameiro, le série noire se poursuit. Mais les Bleus ont prouvé contre l'Albanie que la notion de groupe n'était pas usurpée. « A la base, si on est 23, c'est pour ça , souligne Yann M'Vila. On a un vrai groupe. La preuve, c'est que Pat' sort et qu'Antho (Réveillère, son remplaçant) marque le troisième but ».
Avec cette victoire, les Bleus peuvent désormais « se tourner tranquillement vers le match contre la Bosnie » (Cabaye). Mais ne leur parlez surtout pas d'une éventuelle participation aux barrages
. «Non, non, non », répond Rami. « On veut terminer premiers », insiste M'Vila.
Blanc encore : « Quand on commence une phase qualificative, on espère jouer des matches qui nous permettent de nous qualifier.
Si on a plus d'expérience, on peut être plus performant dans le domaine offensif et, cette expérience, on peut l'acquérir grâce à des matches comme celui de mardi .» Il espère évidemment pouvoir en parler comme une expérience positive
Le 08/10/2011 à 00:48 | Mis à jour le 08/10/2011 à 08:44
Les Bleus n'ont pas pris le temps de savourer leur succès contre l'Albanie (3-0), se projetant immédiatement sur la finale qui les attend contre la Bosnie, mardi.
« Une bonne préparation » pour « la finale » qui les attend contre la Bosnie, mardi soir. C'est ainsi que les Bleus ont qualifié leur large succès aux dépens de l'Albanie (3-0) . Si le plan imaginé par Laurent Blanc s'est déroulé sans anicroche (« attaquer pied au plancher, marquer vite... », raconte Yohan Cabaye),
la joie tricolore est restée très contenue dans les couloirs du Stade de France. « Normal, rien n'est fait », rappelle Adil Rami. Avec un point d'avance sur la sélection de Safet Susic, l'équipe de France n'est certes pas encore qualifiée. Mais elle s'est offert le droit d'aborder cette dernière rencontre du groupe D « en position de force». «On a les cartes en main , souligne encore le défenseur de Valence. Il va falloir se servir de ce qu'on a fait ce (vendredi) soir, mettre le bleu de chauffe et répondre présent».
«On ne va pas préparer ce match pour faire un nul. C'est le meilleur moyen de le perdre.» (Laurent Blanc)
Les Bleus n'ayant besoin que d'un point pour valider leur billet pour l'Euro ukraino-polonais, l'hypothèse de les voir jouer le nul, mardi, était tentante. Elle a été balayée d'un revers de main par Laurent Blanc. « Notre stratégie sera de gagner le match comme on a l'habitude de le faire , a-t-il assuré. Après, si suivant l'évolution, on peut gérer, on le fera du mieux possible. Mais on ne va pas préparer ce match pour faire un nul.
C'est le meilleur moyen de le perdre. » Ce qu'il a vu vendredi soir l'incite-t-il à l'optimisme ? « Oui, mais on a eu des problèmes au niveau des blessures , a-t-il déploré. On n'est pas verni mais ça fait partie du métier. Ce qu'on voulait faire en seconde mi-temps, on n'a pas pu le faire. C'est la période qui veut ça. » Outre Cabaye qui s'est fait « écraser la cheville », Evra et Rami ont tous les deux ressenti une pointe derrière la cuisse. Un point sera fait samedi ou dimanche. Après Benzema, Ribéry, Matuidi, Abidal et Gameiro, le série noire se poursuit. Mais les Bleus ont prouvé contre l'Albanie que la notion de groupe n'était pas usurpée. « A la base, si on est 23, c'est pour ça , souligne Yann M'Vila. On a un vrai groupe. La preuve, c'est que Pat' sort et qu'Antho (Réveillère, son remplaçant) marque le troisième but ».
Avec cette victoire, les Bleus peuvent désormais « se tourner tranquillement vers le match contre la Bosnie » (Cabaye). Mais ne leur parlez surtout pas d'une éventuelle participation aux barrages
. «Non, non, non », répond Rami. « On veut terminer premiers », insiste M'Vila.
Blanc encore : « Quand on commence une phase qualificative, on espère jouer des matches qui nous permettent de nous qualifier.
Si on a plus d'expérience, on peut être plus performant dans le domaine offensif et, cette expérience, on peut l'acquérir grâce à des matches comme celui de mardi .» Il espère évidemment pouvoir en parler comme une expérience positive
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Euro 2012. Les Bleus ont besoin d'Abidal et Cabaye
Eliminatoires, groupe D. L'infirmerie de l'équipe de France affiche complet depuis lundi dernier.
De plus en plus influent dans l'entrejeu tricolore, Yohann Cabaye et sa cheville ont été sérieusement secoués vendredi soir
C'est la loi des séries. Et elle contrecarre à ce point les projets du staff technique de l'équipe de France que ce dernier s'accorde jusqu'à ce soir pour, éventuellement, convoquer d'autres joueurs avant la finale du groupe D des éliminatoires de l'Euro-2012, mardi soir au Stade de France, qui décidera qui de la France ou de la Bosnie, se qualifiera directement pour le tournoi de juin prochain.
Laurent Blanc s'est déjà entretenu, cette semaine, avec Erick Mombaerts, le sélectionneur des Espoirs, qui aura pourtant bien besoin (entre autres) du phénomène madrilène Raphaël Varane, mardi après-midi dans un gros choc en Roumanie. Le jeune défenseur issu de l'école lensoise serait effectivement une (très belle) solution de remplacement en cas de forfait d'Eric Abidal, déjà indisponible contre l'Albanie.
« La date limite, c'est dimanche soir. On saura sur qui compter et ne pas compter. Vous oubliez souvent que ce sont des joueurs qui ne se sont pas entraînés normalement durant dix jours. S'ils ne sont pas à 100 % demain, je ne vois pas comment ils peuvent faire un match international », a expliqué hier matin le sélectionneur français, qui a noté les progrès d'Abidal (cuisse), mais aussi de Gameiro (genou), lors d'entraînements très légers.
Cabaye pose problème
Depuis vendredi soir et la victoire sur l'Albanie, l'infirmerie des Bleus a, malheureusement, accueilli trois nouveaux pensionnaires : Evra (cuisse), Cabaye (cheville) et Rami (cuisse).
Peu d'inquiétudes entourent le défenseur central de Valence alors que le latéral de Manchester United a été préservé en sortant dès la mi-temps.
Mais le cas de Yohann Cabaye est un véritable casse-tête pour Laurent Blanc. « Il est devenu un joueur important. Techniquement, il est très bon et très intelligent dans les déplacements, et intéressant dans les replis défensifs », déclare ainsi le technicien en chef des Bleus, attaché à la qualité du jeu de son équipe, et guère convaincu par un Alou Diarra qu'il ne juge « pas dans les meilleures dispositions ».
La solution -plutôt idéale compte tenu de ses statistiques (2 buts et 2 passes décisives en 6 matches) et de la qualité technique du joueur- a nom Marvin Martin, ce qui impliquerait toutefois un maintien du 4-3-3 vu en deuxième période vendredi soir.
Mais la meilleure idée demeure le retour en forme tant d'Abidal que de Cabaye. Deux joueurs dont l'influence mentale et technique est indispensable aux Bleus actuels.
--------------------------------------------------------------------------------
Pjanic est «une pleureuse»
Le milieu bosnien Miralem Pjanic « est une pleureuse, il ne fait que tomber », a critiqué sévèrement à deux reprises le défenseur de l'équipe de France Adil Rami, hier, avant le match qualificatif de l'Euro-2012 contre la Bosnie mardi.
« C'est une pleureuse, il ne fait que tomber et c'est chiant », a réagi en conférence de presse l'ex-défenseur de Lille au sujet du meneur bosnien, passé par Lyon avant d'être transféré à l'AS Rome cet été.
« Est-ce que je pleure moi ? Le danger N.1 ça reste Dzeko, avec de bons joueurs comme Pjanic autour de lui », a-t-il encore estimé après avoir fait monter la température avant le match décisif entre les deux nations, qui décidera de l'équipe qualifiée directement pour la phase finale et de celle qui disputera les barrages.
Interrogé par RTL sur ces déclarations, Pjanic n'a pas cherché à entretenir la polémique, tentant plutôt de calmer le jeu : « Je n'ai jamais eu de mauvais rapports avec Adil Rami, mais peut-être que je suis un joueur qui essaye de jouer un peu avec l'arbitre », concède-t-il.
--------------------------------------------------------------------------------
Eliminatoires, groupe D. L'infirmerie de l'équipe de France affiche complet depuis lundi dernier.
De plus en plus influent dans l'entrejeu tricolore, Yohann Cabaye et sa cheville ont été sérieusement secoués vendredi soir
C'est la loi des séries. Et elle contrecarre à ce point les projets du staff technique de l'équipe de France que ce dernier s'accorde jusqu'à ce soir pour, éventuellement, convoquer d'autres joueurs avant la finale du groupe D des éliminatoires de l'Euro-2012, mardi soir au Stade de France, qui décidera qui de la France ou de la Bosnie, se qualifiera directement pour le tournoi de juin prochain.
Laurent Blanc s'est déjà entretenu, cette semaine, avec Erick Mombaerts, le sélectionneur des Espoirs, qui aura pourtant bien besoin (entre autres) du phénomène madrilène Raphaël Varane, mardi après-midi dans un gros choc en Roumanie. Le jeune défenseur issu de l'école lensoise serait effectivement une (très belle) solution de remplacement en cas de forfait d'Eric Abidal, déjà indisponible contre l'Albanie.
« La date limite, c'est dimanche soir. On saura sur qui compter et ne pas compter. Vous oubliez souvent que ce sont des joueurs qui ne se sont pas entraînés normalement durant dix jours. S'ils ne sont pas à 100 % demain, je ne vois pas comment ils peuvent faire un match international », a expliqué hier matin le sélectionneur français, qui a noté les progrès d'Abidal (cuisse), mais aussi de Gameiro (genou), lors d'entraînements très légers.
Cabaye pose problème
Depuis vendredi soir et la victoire sur l'Albanie, l'infirmerie des Bleus a, malheureusement, accueilli trois nouveaux pensionnaires : Evra (cuisse), Cabaye (cheville) et Rami (cuisse).
Peu d'inquiétudes entourent le défenseur central de Valence alors que le latéral de Manchester United a été préservé en sortant dès la mi-temps.
Mais le cas de Yohann Cabaye est un véritable casse-tête pour Laurent Blanc. « Il est devenu un joueur important. Techniquement, il est très bon et très intelligent dans les déplacements, et intéressant dans les replis défensifs », déclare ainsi le technicien en chef des Bleus, attaché à la qualité du jeu de son équipe, et guère convaincu par un Alou Diarra qu'il ne juge « pas dans les meilleures dispositions ».
La solution -plutôt idéale compte tenu de ses statistiques (2 buts et 2 passes décisives en 6 matches) et de la qualité technique du joueur- a nom Marvin Martin, ce qui impliquerait toutefois un maintien du 4-3-3 vu en deuxième période vendredi soir.
Mais la meilleure idée demeure le retour en forme tant d'Abidal que de Cabaye. Deux joueurs dont l'influence mentale et technique est indispensable aux Bleus actuels.
--------------------------------------------------------------------------------
Pjanic est «une pleureuse»
Le milieu bosnien Miralem Pjanic « est une pleureuse, il ne fait que tomber », a critiqué sévèrement à deux reprises le défenseur de l'équipe de France Adil Rami, hier, avant le match qualificatif de l'Euro-2012 contre la Bosnie mardi.
« C'est une pleureuse, il ne fait que tomber et c'est chiant », a réagi en conférence de presse l'ex-défenseur de Lille au sujet du meneur bosnien, passé par Lyon avant d'être transféré à l'AS Rome cet été.
« Est-ce que je pleure moi ? Le danger N.1 ça reste Dzeko, avec de bons joueurs comme Pjanic autour de lui », a-t-il encore estimé après avoir fait monter la température avant le match décisif entre les deux nations, qui décidera de l'équipe qualifiée directement pour la phase finale et de celle qui disputera les barrages.
Interrogé par RTL sur ces déclarations, Pjanic n'a pas cherché à entretenir la polémique, tentant plutôt de calmer le jeu : « Je n'ai jamais eu de mauvais rapports avec Adil Rami, mais peut-être que je suis un joueur qui essaye de jouer un peu avec l'arbitre », concède-t-il.
--------------------------------------------------------------------------------
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
Dzeko, «danger numéro un»
Le 09/10/2011 à 16:00 | Mis à jour le 09/10/2011 à 16:22
Contre la Bosnie, mardi, les Bleus se méfieront d'Edin Dzeko. Blanc les incite toutefois à ne pas faire de fixette sur l'attaquant de Man. City.
Quand Edin Dzeko prend son élan, les défenses s'inquiètent...
Parlez-leur de la Bosnie, il vous répondront Dzeko. Les Bleus n'ont pas attendu de battre l'Albanie (3-0) pour cibler la principale menace qui les attend mardi soir au Stade de France. Sur toutes les lèvres, un seul nom : celui de l'attaquant de Manchester City. Présenté comme le « danger numéro un » par Adil Rami, redouté par Samir Nasri pour le « tandem redoutable » qu'il forme avec Zvjezdan Misimovic, l'ancien joueur de Wolfsburg (2007-janvier 2011) a le profil pour contrarier les plans tricolores. « Il a franchi un palier , souligne par exemple Nasri qui le côtoie chaque jour à l'entraînement. C'est un joueur très complet, bon de la tête, dans le jeu dos au but... C'est un vrai finisseur. » Attention, semble toutefois dire Laurent Blanc. La Bosnie dispose « d'autres joueurs talentueux ». « Il ne faut pas faire de fixation sur Dzeko .»
Rami : «C'est un joueur qui aime bien s'excentrer à gauche. Je vais l'avoir de me mon côté...»
Au match aller (victoire française 2-0 le 7 septembre 2010), le Citizen avait déjà monopolisé l'attention. Adil Rami l'avait finalement parfaitement muselé, livrant certainement à Sarajevo « (son) meilleur match » en Bleu. Mardi soir, le défenseur de Valence s'attend une nouvelle fois à se le coltiner. « C'est un joueur qui aime bien s'excentrer à gauche. Je vais l'avoir de mon côté... » S'il n'a pas encore croisé « ce type de joueur » en Espagne (comprendre un joueur imposant physiquement, qui peut servir de point d'appui ou prendre la profondeur), l'ancien Lillois ne semble pas habité par une pression monstre, ce qu'il confirme à demi-mot : « C'est un match super important, mais peut-être qu'on ne s'en rend pas encore compte et qu'inconsciemment, c'est mieux ». Il se souvient aussi qu'à Lille, en fin de saison dernière, il avait connu des moments similaires. « Et on avait été champion. »
Pas «plus facile» que face à l'Albanie
Après tout, si l'on fait tout un foin de Dezko et de la Bosnie en général, personne n'a oublié dans les rangs tricolores que les Bleus avaient livré leur match le plus abouti de l'ère Blanc contre la sélection de Safet Susic. Le sélectionneur en a souvent parlé lui-même comme d'« un match référence ». Alors qu'on lui rapportait les propos de Frédéric Antonetti qui estimait que la tâche proposée aux Bleus serait « plus facile » que face à l'Albanie, du fait que la Bosnie joue beaucoup moins regroupée, le technicien n'a pas pu s'empêcher de lâcher dans un sourire : « Fred, il est gentil, mais c'est comme si je lui disais, tu vas jouer contre Lyon, tu vas voir, ça sera plus facile parce que c'est une équipe qui ne ferme pas le jeu ». Malgré l'obligation pour les Bosniens d'aller chercher une victoire pour se qualifier, Blanc s'attend à affronter une formation qui évoluera principalement « en contre ». Devant leur public, et même si un point leur suffira pour valider leur billet pour l'Euro, les Bleus n'auront eux, aucune autre stratégie que de « gagner » . Dzeko ou pas
Le 09/10/2011 à 16:00 | Mis à jour le 09/10/2011 à 16:22
Contre la Bosnie, mardi, les Bleus se méfieront d'Edin Dzeko. Blanc les incite toutefois à ne pas faire de fixette sur l'attaquant de Man. City.
Quand Edin Dzeko prend son élan, les défenses s'inquiètent...
Parlez-leur de la Bosnie, il vous répondront Dzeko. Les Bleus n'ont pas attendu de battre l'Albanie (3-0) pour cibler la principale menace qui les attend mardi soir au Stade de France. Sur toutes les lèvres, un seul nom : celui de l'attaquant de Manchester City. Présenté comme le « danger numéro un » par Adil Rami, redouté par Samir Nasri pour le « tandem redoutable » qu'il forme avec Zvjezdan Misimovic, l'ancien joueur de Wolfsburg (2007-janvier 2011) a le profil pour contrarier les plans tricolores. « Il a franchi un palier , souligne par exemple Nasri qui le côtoie chaque jour à l'entraînement. C'est un joueur très complet, bon de la tête, dans le jeu dos au but... C'est un vrai finisseur. » Attention, semble toutefois dire Laurent Blanc. La Bosnie dispose « d'autres joueurs talentueux ». « Il ne faut pas faire de fixation sur Dzeko .»
Rami : «C'est un joueur qui aime bien s'excentrer à gauche. Je vais l'avoir de me mon côté...»
Au match aller (victoire française 2-0 le 7 septembre 2010), le Citizen avait déjà monopolisé l'attention. Adil Rami l'avait finalement parfaitement muselé, livrant certainement à Sarajevo « (son) meilleur match » en Bleu. Mardi soir, le défenseur de Valence s'attend une nouvelle fois à se le coltiner. « C'est un joueur qui aime bien s'excentrer à gauche. Je vais l'avoir de mon côté... » S'il n'a pas encore croisé « ce type de joueur » en Espagne (comprendre un joueur imposant physiquement, qui peut servir de point d'appui ou prendre la profondeur), l'ancien Lillois ne semble pas habité par une pression monstre, ce qu'il confirme à demi-mot : « C'est un match super important, mais peut-être qu'on ne s'en rend pas encore compte et qu'inconsciemment, c'est mieux ». Il se souvient aussi qu'à Lille, en fin de saison dernière, il avait connu des moments similaires. « Et on avait été champion. »
Pas «plus facile» que face à l'Albanie
Après tout, si l'on fait tout un foin de Dezko et de la Bosnie en général, personne n'a oublié dans les rangs tricolores que les Bleus avaient livré leur match le plus abouti de l'ère Blanc contre la sélection de Safet Susic. Le sélectionneur en a souvent parlé lui-même comme d'« un match référence ». Alors qu'on lui rapportait les propos de Frédéric Antonetti qui estimait que la tâche proposée aux Bleus serait « plus facile » que face à l'Albanie, du fait que la Bosnie joue beaucoup moins regroupée, le technicien n'a pas pu s'empêcher de lâcher dans un sourire : « Fred, il est gentil, mais c'est comme si je lui disais, tu vas jouer contre Lyon, tu vas voir, ça sera plus facile parce que c'est une équipe qui ne ferme pas le jeu ». Malgré l'obligation pour les Bosniens d'aller chercher une victoire pour se qualifier, Blanc s'attend à affronter une formation qui évoluera principalement « en contre ». Devant leur public, et même si un point leur suffira pour valider leur billet pour l'Euro, les Bleus n'auront eux, aucune autre stratégie que de « gagner » . Dzeko ou pas
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
JUDAS APPELE FARUCU AU PARLOIR
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Page 24 sur 40 • 1 ... 13 ... 23, 24, 25 ... 32 ... 40
Sujets similaires
» CALENDRIER ET MATCHS CAPITAUX DE L 'EDF
» RESULTATS INFOS ET CLASSEMENTS DHR
» DH LANGUEDOC ROUSSILLON
» MATCHS AMICAUX
» MATCHS DE LA RESERVE OLYMPIENNE
» RESULTATS INFOS ET CLASSEMENTS DHR
» DH LANGUEDOC ROUSSILLON
» MATCHS AMICAUX
» MATCHS DE LA RESERVE OLYMPIENNE
Page 24 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum