FRANCK RIBERY, LE KAISER

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le 17/09/2012 - 10:08
Bayern: Ribéry absent contre Valence ?
Si le Bayern Munich s’est imposé samedi en Bundesliga face à Mayence (3-1), Franck Ribéry n’a pas participé à la fête. Le milieu de terrain offensif tricolore, en délicatesse avec une cuisse suite à l’entraînement du vendredi, avait dû déclarer forfait. Et l’ancien Messin ou Marseillais pourrait également manquer les débuts de son équipe en Ligue des champions cette saison puisqu’il est également incertain pour la rencontre de mercredi et la réception du Valence CF d’Adil Rami, Jérémy Mathieu ou Aly Cissokho dans le groupe F.

Bayern, échec et BATE

Franck Ribéry n'a pu que sauver l'honneur du Bayern Munich en toute fin de match
La victoire décrochée à Lille, la première de l'histoire du club biélorusse en Ligue des champions, n'était donc pas un accident. Le BATE Borisov a confirmé lors de la 2e journée de la plus prestigieuse des compétitions européennes en s'offrant mardi le scalp du Bayern Munich (3-1).


L’Apoel Nicosie fait des émules. Quart de finaliste la saison dernière, après avoir notamment écarté l’Olympique Lyonnais en huitièmes de finale, le club chypriote a visiblement donné des idées au BATE Borisov. Alors qu’elle avait accumulé 12 défaites pour ses deux premières expériences dans la compétition, la formation biélorusse affiche déjà deux victoires en deux rencontres depuis le coup d’envoi de cette Ligue des champions 2012-2013. Après avoir profité des largesses lilloises deux semaines plus tôt, Hleb et ses coéquipiers ont de nouveau frappé, s’offrant une victoire de prestige contre le Bayer Munich qui cumulait pourtant neuf victoires en autant de matches toutes compétitions confondues depuis le début de la saison.

Surprenant ? Oui, si l’on se fie au pedigree de sa victime, finaliste malheureux de la précédente édition, auteur du meilleur début de saison de son histoire (neuf victoires donc, 27 buts marqués et seulement quatre encaissés). Non, si l’on se rappelle la qualité de sa prestation dans le Nord lors de la première journée. Le 4-3-2-1 imaginé par Viktor Goncharenko avait étouffé les Lillois. Les Bavarois, qui ont eu autant de mal à s’en défaire, auraient été bien inspirés d’ouvrir le score pour obliger ces Biélorusses à se découvrir un peu plus. Le poteau de Gorbunov, pris sur le crochet de Kroos, tout heureux de récupérer le ballon dans les pieds de Simich, en a décidé autrement (13e)…

Ribéry en vain…
Un brin chanceux mais toujours aussi réaliste, le BATE n’a pas résisté à la tentation de mettre un premier coup derrière la tête des Munichois, œuvre de Pavlov, bien placé sur la tentative écrasée de son partenaire Volodko pour tromper Neuer (23e, 1-0). La réaction bavaroise est immédiate mais, à l’image de Müller, servi dans les airs par Ribéry (24e), les hommes de Jupp Heynckes vont se heurter à un mur en la personne de Gorbunov, bien aidé par sa défense qui, au plus fort de la domination adverse au retour des vestiaires, pliera sans jamais rompre.

Non contents de tenir, les Biélorusses se montrent toujours aussi tranchants sur leur ballon de récupération, sollicitant une première fois Neuer par Olekhnovich (55e), servi par une géniale talonnade de Hleb, avant de rater le KO par Pavlov, une nouvelle fois décalé par Hleb (65e). Ce n’est que partie remise puisque Rodionov, après avoir s’être appuyé dans la surface sur Olekhnovich, trompe Neuer à bout portant (78e, 2-0). Le Bayern est sonné mais encore debout, à l’image de Ribéry qui s’y reprend à deux fois, après avoir trouvé la barre (83e), pour réduire le score (90e, 2-1). Le coup final est l’œuvre dans les arrêts de jeu de Bressan, à la conclusion d’un contre mené par Mozolevski (90e+3, 3-1). Cette fois, le Bayern ne s’en relèvera pas, défait pour la première fois de sa saison par une équipe biélorusse qui n’a peut-être pas fini de surprendre son monde cette saison en Ligue des champions…

jeudi 11 octobre 2012Ribéry : «Courir comme des fous»
Alors qu'il ne débutera pas vendredi contre le Japon, Franck Ribéry se veut davantage focalisé sur l'Espagne, mardi. Pour lui, l'équipe de France devra sortir une très grosse prestation si elle veut éviter de «prendre une valise».

Alors qu'il ne débutera pas vendredi contre le Japon, Franck Ribéry se veut davantage focalisé sur l'Espagne, mardi. Pour lui, l'équipe de France devra sortir une très grosse prestation si elle veut éviter de «prendre une valise».

«Franck Ribéry, vous n'êtes actuellement pas à 100% à cause d'une petite blessure. Comment vous sentez-vous ?Ça va. Depuis trois semaines, j'ai effectivement une gêne derrière la cuisse gauche. Il n'y a rien de grave et on a bien géré la situation avec le Bayern. Je suis sorti contre Valence (2-1) et j'ai raté la rencontre contre Schalke (2-0). Cela m'a permis de jouer en intégralité les trois derniers matches. Vendredi, je ne vais pas démarrer mais jouer quand même afin d'être concerné pour la rencontre d'après.Votre prestation contre la Biélorussie (3-1) vous a-t-elle rassuré ?Oui et j'en suis très content. Depuis un petit moment, je suis heureux de revenir, je prends du plaisir. Je suis heureux sur le terrain et avec les supporters du Stade de France. La Biélorussie, c'était un match important où il fallait en plus prendre les trois points. Mais chaque sélection est différente. Vendredi et mardi ce sera autre chose.

Avez-vous le sentiment d'être revenu dans le coeur des Français ?Je le ressens oui. Je suis un affectif et je joue plus libéré, plus tranquille, donc moins stressé et avec moins de pression. Tout le monde le sait, si je suis bien dans la tête alors tout roule. Je suis heureux de jouer en équipe de France.Que vous inspire cette confrontation contre l'Espagne ?C'est certainement le match le plus important depuis un petit moment. On sait que ça va être compliqué là-bas. En face il y a de très grands joueurs. Il faudra faire le maximum, courir pendant 90 minutes comme des fous, être positif... L'Espagne a de très bons joueurs, elle domine tout. Il faudra être plus que motivé et y aller avec l'envie de gagner. On va tout faire pour ne pas prendre une valise.

Eprouvez-vous un sentiment de revanche par rapport aux deux dernières confrontations contre l'Espagne qui ont été perdues ?Contre eux, les deux derniers matches, on a joué petit bras surtout à l'Euro (0-2). Défensivement, on aurait dû jouer notre jeu. On les a trop respectés. Ce serait vraiment bien si on pouvait faire un bon résultat là-bas.Pour vous, l'Espagne reste un bon souvenir grâce à la Coupe du monde 2006. Ce quart de finale a-t-il été un détonateur pour vous ?Ça a été un match très important pour moi. La rencontre d'avant, contre le Togo, j'avais raté pas mal d'occasions. Et là, contre l'Espagne, j'ai eu la chance d'égaliser. Pour moi, ça reste un but inoubliable.Comment jugez-vous votre relation technique avec Benzema ?C'est un joueur avec qui il est très facile de jouer. Quand j'arrive à le trouver, ça va vite et il n'y a pas besoin de se parler avant, d'expliquer quoi que ce soit. Tout se fait naturellement.»

France-Ribéry: "Pas le droit à l'erreur"
Franck Ribéry a évoqué le match des Bleus contre l'Espagne mardi dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2014. Interrogé dans Telefoot, le pensionnaire du Bayern Munich sait que la tâche s'annonce dure à Madrid. "Je serai à 100% mardi contre l'Espagne à Madrid. On sait que Karim (Benzema) et moi, nous avons plus de pression et que nous n'avons pas le droit à l'erreur. On essaie d'être toujours les meilleurs possible. J'ai toujours cette envie d'être décisif, de faire de bonnes passes, de marquer des buts. On ne va pas se mentir, l'Espagne est l'équipe la plus forte au monde actuellement. Ce sera un match compliqué, il faudra être solidaires, positifs, faire notre jeu et être solides défensivement. Il ne faudra rien lâcher et jouer à fond les contres. J'espère que je serai au top mardi et que nous produirons une bonne prestation collective".

Lille-Landreau: "Ribéry est un affectif" Publié le 22 octobre 2012 à 22h48
Ils ont partagé ensemble le magnifique match nul décroché par l’équipe de France en Espagne dans le cadre des éliminatoires à la Coupe du monde 2014 (1-1). Mardi, Mickaël Landreau et Franck Ribéry seront adversaires lors de la troisième journée de la Ligue des champions. Mais le gardien du Losc porte un regard plein d’admiration pour le milieu de terrain du Bayern Munich. "Je l’ai rencontré plusieurs fois et il est toujours le même dans n’importe quelle situation. C’est une qualité, apprécie le troisième gardien des Bleus. Après, son talent, tout le monde le connaît. C’est un affectif, donc il a besoin d’être en confiance. Et dans son club, on le laisse s’épanouir. Depuis plusieurs mois, il avait à cœur de pouvoir retrouver cette légitimité en France, ce qu’il est en train d’accomplir, même si le chemin n’a pas toujours été facile. Peu de gens se seraient relevés de cette manière-là. Ça prouve son exceptionnelle force de caractère."

Bayern: Ribéry "très content de retrouver l’odeur du Nord"
Présent ce lundi au point-presse du Bayern à la veille de la rencontre de la 3e journée de la Ligue des champions entre Lille et le club bavarois, Franck Ribéry a eu l'occasion de revenir sur son passage au LOSC, au centre de formation: "J’étais très heureux lors de ces trois années. Je suis arrivé à 13 ans et j’y suis resté jusqu’à l’âge de 16 ans. Je me suis fait beaucoup d’amis ici au sein du centre du centre de formation. Et puis, ce n’était pas très loin de Boulogne donc ce ne sont que de bons souvenirs pour moi." Et le fait d'en avoir été par la suite recalé ? L'international tricolore s'est agacé: "Comme je l’ai dit, je suis très content de revenir ici, de retrouver l’odeur du Nord. Quant à mon comportement en dehors du terrain, je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Je n’ai eu qu’un seul problème à l’école où j’ai un peu chahuté et j’ai fait tomber une personne. Cette personne a eu le coude cassé et c’est pour cette raison qu’on m’a viré. Mais c’était déjà le cas avant, parce que j’étais trop petit

Originaire de Boulogne-sur-Mer, Franck Ribéry reste très attaché à sa terre d'origine et à Lille, où il a passé trois ans (entre 1996 et 1999) comme joueur du centre de formation.

Evincé prématurément, ce qui l'a amené à joueur en amateurs avant de se révéler à Metz, le joueur du Bayern Munich assure que le club lillois l'a évincé en raison de sa taille (1m70) : "Je n'ai connu qu'un seul problème : j'ai fait tomber quelqu'un qui s'était cassé le coude. Là, on m'a viré. Mais on voulait déjà le faire avant car j'étais trop petit. Les dirigeants étaient Jean-Michel Vandamme et Pierre Dréossi. Je lis certaines choses qu'a dites Jean-Michel Vandamme, il y a beaucoup de faux. On sent des fois la jalousie de certaines personnes."

De son côté, devenu directeur du centre de formation du club nordiste, Jean-Michel Vandamme répond dans les colonnes de L'Equipe : "Il (NDLR : Franck Ribéry) a voulu mettre un taquet au club pour montrer qu'on s'était trompés sur lui, c'est pas très classe. Il n'a jamais été viré parce qu'il était trop petit. Eden Hazard était plus petit que lui à son âge et il est resté (...) Quand il était au centre de formation, il ne mettait jamais le bordel, mais à l'école c'était un gamin qui était constamment convoqué par le principal. Quand il a fait tomber la jeune fille, les parents ont porté plainte, c'est ce qui a déclenché l'expulsion."

Bayern-Van Gaal: "Ribéry n'en faisait qu'à sa tête"
Passé par le Bayern Munich en 2009, Louis van Gaal ne garde pas forcément un excellent souvenir de certains de ses anciens joueurs. C'est notamment le cas de Franck Ribéry, que l'actuel sélectionneur des Pays-Bas ne se prive pas d'égratigner dans un entretien accordé au quotidien allemand Sport Bild. "Quand je suis arrivé, Ribéry voulait partir au Real Madrid. J'étais d'accord pour qu'il le fasse, mais les dirigeants n'ont pas voulu en entendre parler. J'ai voulu l'aligner comme meneur de jeu, mais il a refusé. Il ne voulait jouer que sur le côté gauche. Il n'en faisait qu'à sa tête et ne supportait pas la moindre remarque", a expliqué le Néerlandais.

LES FRANÇAIS
DE BUNDESLIGA
Franck Ribéry était décidément
intenable ce week-end avec le
Bayern Munich. Les Bavarois, qui
l’ont emporté de manière
écrasante 3-0 à Hambourg, ont
bénéficié de l’adresse du
nordiste. Ce dernier a délivré
deux passes décisives, d’abord à
Muller puis à Kroos après un
beau une-deux.

Ribéry élu meilleur joueur par ses pairs


Franck Ribéry a été désigné meilleur joueur du Championnat d'Allemagne de la phase aller par ses pairs, selon le magazine sportif Kicker sorti ce lundi. Salué pour ses performances actuelles, le milieu de terrain du Bayern Munich (35,3%) arrive devant deux joueurs du Borussia Dortmund : Marco Reus (13,4%) et Mario Götze (11,2%). Le bi-hebdomadaire allemand a interrogé 224 joueurs au total.

Ribéry : «Certains voulaient m'abattre»

Franck Ribéry est revenu ce mardi, sur RMC, sur ses ambitions en équipe de France et sa vie actuelle à Munich, sans éluder son passé en Bleu ni le fiasco de Knysna.

Les Bleus : «J'ai envie de gagner un titre. En 2006, on devait la gagner. J'étais peut-être insouciant, pour moi le kif, c'était de jouer en équipe de France avec de grands joueurs comme Zidane. Ça reste peut-être ma meilleure compétition. Ça a été très difficile à une époque, j'étais crispé, angoissé quand j'allais en France. Je me demandais ce qui allait se dire, ce qui allait arriver. Aujourd'hui, c'est rentré dans l'ordre. J'ai retrouvé mon jeu. A un moment donné, on a mélangé le sportif et le privé. J'ai ressenti de la méchanceté. Ça a été très dur, je ne suis pas seul. J'ai ma famille, j'ai mes parents. Ils ont souffert. Je venais, je ne pensais pas au foot. C'était comme si j'avais des comptes à rendre. Depuis un an et demi, j'ai retrouvé mon meilleur niveau. Je n'ai plus trop la motivation pour aller chercher le Ballon d'Or comme je l'ai eue à une époque, mais j'ai retrouvé le plaisir de jouer.»

L'amour du maillot tricolore : «C'est un bonheur que de pouvoir porter ce maillot. La France, c'est une grande nation. J'ai parfois l'impression que certains considèrent l'équipe de France comme une équipe comme une autre. Ils se disent "Je viens, je ne viens pas, c'est pareil". Pour moi, ce n'est pas ça. Laurent Blanc m'a beaucoup aidé, pareil pour Jean-Louis Gasset (adjoint de Blanc, ndlr), ça a été des gens exceptionnels pour moi. Je sais que mon retour en équipe de France n'a pas été évident pour eux. Je ne l'oublierai jamais. Deschamps, je sais qu'il me donne aussi sa confiance, qu'il compte sur moi. Avec Karim Benzema, on a plus de pression, il ne faut pas qu'on se rate. On en a envie, on en discute sur le terrain ou dans la chambre à Clairefontaine.»

La Coupe du monde 2014 : «Il y a un bon groupe. On l'a vu contre l'Espagne (1-1), en deuxième période, on avait la dalle. Ensuite, on a fait un bon résultat en Italie (1-2). On peut terminer premiers du groupe. On peut battre l'Espagne. A partir du moment où on fait notre jeu, il faut les attaquer. Il ne faut pas avoir peur comme on l'a fait pendant les trente premières minutes. Si on les gagne, on ira au Brésil. On n'a pas le droit de ne pas aller à la Coupe du monde. C'est le Brésil. C'est le pays du foot. Qui ne rêve pas d'aller là-bas ?»

«Knysna n'a pas été le fait de trois joueurs»

Samir Nasri : «Samir Nasri est un très bon joueur, on va le revoir en équipe de France. Il a besoin de retrouver un peu la confiance. Je le connais de Marseille, c'était comme mon petit frère. Je parle avec lui, on s'appelle, il a envie d'être en équipe de France. Il connait des blessures à Manchester City, il a envie de jouer, d'être au top comme il l'était à Arsenal. J'étais dans sa situation. A un moment, il n'a plus pensé au foot, il pensait à régler ses problèmes. C'est ce qu'il s'est passé à l'Euro. Par rapport à 2006 quand je suis arrivé, les jeunes ont peut-être moins de respect. Ils se sentent faciles (sic). Il faut être bien entouré.»

Le Mondial 2010 et le fiasco de Knysna : «En 2010 à Knysna, j'aurais pu m'exprimer, mais je sortais d'une situation très difficile, j'avais mon problème privé (affaire Zahia, ndlr). Je suis allé à la Coupe du monde avec la volonté de réussir, en croyant que ça allait tout changer. On a tous fait la même erreur. Personne n'a su dire stop. On en a trop dit sur Evra, Ribéry, Anelka. L'histoire avec Gourcuff, par exemple... Knysna n'a pas été le fait de trois joueurs, tout le monde était concerné. Certains journalistes m'aiment, d'autres ne m'aiment pas. Mais là, ils voulaient m'abattre. C'était de la rage. Ils se sont dit : "Celui-là il est fond du trou, il ne va jamais revenir". Mais je suis là. Ce qui me rend heureux, c'est que je suis revenu à mon meilleur niveau, et que j'ai retrouvé le sourire en équipe de France.»

«Guardiola, un grand entraîneur»

Le Bayern Munich : «Je pense de plus en plus finir ma carrière ici. Il y a 3 ans, j'avais tous les clubs qui étaient intéressés : Manchester, le Real, Chelsea. Ça flatte mais avec le recul, je suis très content d'être resté. C'est un très grand club, Rummenigge, Hoeness sont des grands messieurs. Ils m'ont toujours soutenu, même dans les moments difficiles. Je suis quelqu'un d'affectif. J'ai besoin de me sentir soutenu. Quand il y a la confiance, je fais le maximum. Je suis loin (sic), je me sens léger, libéré. Je m'éclate, en fait.»

L'arrivée de Pep Guardiola : «Je suis très content de voir l'arrivée de Pep Guardiola. Il dégage quelque chose. C'est une bonne personne, j'en ai discuté avec Eric Abidal. C'est un très grand entraineur, on a vu ce qu'il a fait à Barcelone, même s'il avait de grands joueurs. On en est conscient aussi. S'il vient ici, ça prouve que le Bayern est un grand club et c'est pour réussir à faire quelque chose de bien, avec d'autres joueurs. Je pense qu'on peut faire quelque chose avec lui. Il connait le club. Il était venu avec l'équipe s'entrainer, il avait visité les installations. Les gens savent que le Bayern peut faire venir n'importe qui.»

France: Ribéry, "leader par le jeu"
Le match amical France-Allemagne sera particulier pour Franck Ribéry, qui évolue depuis maintenant plusieurs saisons au Bayern Munich, et Didier Deschamps compte sur lui pour débloquer la situation au Stade de France. "Avec le Bayern, cela fait plusieurs années qu’il est à son meilleur niveau, en équipe de France, cela n’a pas toujours été le cas. Il fait partie des joueurs habitués au plus haut niveau, a déclaré le sélectionneur des Bleus, mardi en conférence de presse. Il a l’expérience, je lui demande d’être lui-même, qu’il soit tranquille et libéré. Il est apprécié dans le groupe, je ne lui demande pas des choses qui peuvent l’embêter. Un leadership a plusieurs formes, lui c’est par le jeu et par son envie. Il est un des joueurs doivent qui peuvent tirer le groupe vers le haut."

Allemagne-Lahm: "Content de retrouver Ribéry"
Philipp Lahm s'est exprimé mardi à propos de son coéquipier Franck Ribéry: "Je le connais très bien, c’est un des meilleurs joueurs en Europe et au monde, un des plus techniques. Je suis content de le retrouver, et je pense que lui aussi a hâte." Joachim Löw s'est lui aussi montré dithyrambique envers le Français: "Il est dangereux pour toutes les équipes contre lesquelles il joue, par sa vitesse. Il faut se préparer à ce qu’il passe à droite, à gauche. C’est un joueur de classe mondiale." Enfin, Lahm est aussi revenu sur les révélations à propos des paris truqués, sans trop s'attarder: "On est surpris mais surtout déçus, comme les supporters qui s’attendent à ce que les deux équipes donnent le meilleur d’elles-mêmes. Entre nous, on n’en parle pas

ALLEMAGNE● Ribéry
agressé par un fan... à cause d’un
chien.Un jeune marginal français
s’en est pris, hier, au milieu
offensif des Bleus, à l’issue de
l’entraînement du Bayern Munich.
Le jeune homme a tenté
de frapper l’ancien Olympien,
avant que les vigiles
n’interviennent. Une rapide enquête
a permis d’identifier
l’intrus, un SDF qui avait laissé
son chien au centre
d’entraînement du Bayern, à
l’attentiondu joueur dont il est
un admirateur, le molosse
n’étant pas admis dans les centres
d’accueil munichois pour
sans-abri.

Bayern Munich: Ribéry forfait contre Arsenal
Buteur ce week-end contre le Fortuna Düsseldorf (3-2), Franck Ribéry s'est également blessé au genou lors de cette rencontre. Résultat, l'international français, touché au ligaments, manquera le huitième de finale retour de Ligue des champions contre Arsenal mercredi soir. L'ancien Marseillais laissera sa place sur le flanc gauche à Arjen Robben. A l'aller, il y a trois semaines, le Bayern s'était imposé 3-1 à l'Emirates Stadium.

Bleus :
Ribéry remis à temps ?Le Bayern Munich laisse planer le doute sur les chances de Franck Ribéry de récupérer de sa blessure à la cheville pour les matches de l'équipe de France des 22 et 26 mars.Franck Ribéry a été touché à la cheville contre Düsseldorf, ce qui ne l'a pas empêché de marquer. (AFP)

Forfait pour le 8e de finale retour de Ligue des champions face à Arsenal mercredi à Munich (victoire allemande à l'aller 3-1), Franck Ribéry, blessé à la cheville gauche samedi en Championnat à la 53e minute du match du Bayern contre Düsseldorf (3-2), pourra-t-il répondre à la convocation de Didier Deschamps pour les matches des Bleus contre la Géorgie (22 mars) et surtout l'Espagne quatre jours plus tard ? L'entraîneur du Bayern, Jupp Heynckes n'a pas voulu se prononcer, mardi, sur la durée d'indisponibilité du milieu offensif français, alors que les examens pratiqués après la rencontre - que Ribéry a terminé après avoir égalisé à 2-2 - ont révélé que les ligaments étaient touchés.
«S'il est forme, il pourra aller jouer avec l'équipe nationale, sinon il continuera de récupérer»«Je pense qu'il va recourir. On verra s'il peut effectuer un entraînement complet jeudi, mais on ne prendra aucun risque», a déclaré le technicien bavarois en conférence de presse d'avant-match. «S'il est forme, il pourra aller jouer avec l'équipe nationale, sinon il continuera de récupérer», a-t-il ajouté. «La blessure n'est pas grave mais j'ai toujours dit que pour produire son jeu, il doit être en forme, dans les bonnes conditions, et il faut qu'il puisse s'entraîner et pratiquer ses dribbles pour pouvoir tout donner le jour du match», a insisté Heynckes, précisant qu'il savait «dès samedi après le match (contre Düsseldorf) qu'il (Ribéry) ne jouerait probablement pas» mercredi en C1.
Robben le remplacera mercrediL'international français (29 ans, 48 sélections, 7 buts) pourrait également manquer le déplacement à Leverkusen samedi en Bundesliga. Un repos bienvenu avant de rejoindre les Bleus lundi prochain à Clairefontaine ? Sauf aggravation du diagnostic, Franck Ribéry fera bel et bien partie de la liste du sélectionneur, annoncée jeudi en début d'après-midi. Dans l'immédiat, face aux Gunners, il sera remplacé par Arjen Robben sur son aile gauche.

France: Deschamps confiant pour Ribéry
Touché à la cheville le week-end dernier avec le Bayern, Franck Ribéry ne manquera pas forcément les deux matches de l'équipe de France face à la Géorgie et l'Espagne, prévus le 22 et le 26 mars au Stade de France, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2014. Le sélectionneur Didier Deschamps, qui livrera sa liste jeudi en début d'après-midi, se montre en tout cas confiant sur la participation de la star bavaroise. "Ribéry a pris un bon choc sur une cheville. Je ne pense pas qu’il jouera ce week-end. Je n’ai pas de souci particulier. Il y a un hématome. Mais je ne suis pas inquiet. Il doit logiquement reprendre la course demain (jeudi)", a ainsi confié DD sur RMC.

Bayern: Ribéry forfait contre le Bayer
Comme prévu depuis plusieurs jours, Franck Ribéry ratera le déplacement à Leverkusen, samedi, pour le compte de la 26e journée de Bundesliga. L'entraîneur du Bayern Munich, Jupp Heynckes, l'a annoncé de vive voix en conférence de presse, indiquant qu'il espérait le retrouver "dimanche à l'entraînement". L'international français souffre de la cheville depuis le week-end dernier et la rencontre contre le Fortuna Düsseldorf (3-2). Il devrait néanmoins être disponible pour les rendez-vous de l'équipe de France à la fin du mois de mars.

Ribéry incertain

Franck Ribéry, gêné par des douleurs aux orteils, est incertain pour le quart de finale aller de Ligue des champions contre la Juventus, programmé ce mardi. L'international français du Bayern Munich ne devrait pas prendre part à l'entraînement collectif de son équipe ce lundi. Il suivra une séance personnalisée

ALL - Bayern
Etre capitaine, Ribéry aime
Le premier brassard de capitaine, porté samedi contre Nuremberg (4-0), a été «super important pour ma confiance», a déclaré Franck Ribéry, peu avant le coup d'envoi de la demi-finale de Coupe d'Allemagne entre le Bayern et Wolfsburg, mardi à Munich. «Je suis heureux de ce premier brassard de capitaine. Je tiens à remercier l'entraineur (Jupp Heynckes)», a poursuivi l'international français, suspendu et remplacé par le Suisse Xherdan Shaqiri contre Wolfsburg.

«On est des pros. Tout le monde sait l'importance de ce match contre Wolfsburg, a-t-il souligné. Ce n'est pas la Bundesliga, c'est la Coupe. Ce ne sera pas facile. Wolfsburg aussi veut aller à Berlin», pour la finale prévue le 1er juin. A 30 ans, Ribéry vise le troisième doublé Coupe-Championnat (après 2008 et 2010) depuis son arrivée au Bayern en 2007, le géant bavarois s'étant assuré le titre dès la 30e journée de Bundesliga.

Ribéry : «J'étais proche du Barça»190a+
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RSS Futur adversaire du FC Barcelone en demies de la Ligue des champions, Franck Ribéry vient de révéler au Mundo Deportivo qu'il avait été proche de rejoindre le club catalan. «C'est vrai qu'il y a deux ou trois ans, j'étais en contacts avec le Real Madrid et avec le Barça. Mais j'ai décidé de rester au Bayern Munich et je ne le regrette pas. Cela fait désormais six ans que je joue ici et je m'y sens comme à la maison», a expliqué le milieu offensif international français.

Bayern-Ribéry: "De grandes chances d'aller au bout"
A quelques jours de retrouver Barcelone, pour la demi-finale de la Ligue des champions entre le Barça et le Bayern Munich, Franck Ribéry est revenu sur ses relations passées avec le club catalan. "J'ai eu des contacts, il y a deux ou trois ans avec le Real et le Barça mais je me sentais bien à Munich", a expliqué l'international tricolore lors d'un point presse. Son aventure en Bavière donne raison à l'ancien Marseillais. En six ans, il est devenu un des tauliers du vestiaire. "Je veux donner une bonne image de moi et du club, devenir un référent", a-t-il déclaré. Un rôle de cadre qu'il devra assumer dans le dernier carré de la plus prestigieuse compétition européenne face à un adversaire redoutable:"Le Barça reste et restera toujours un grand club. Nous ne sommes pas aussi fragiles qu'il y a trois ans, nous sommes plus forts, aujourd'hui nous pouvons rivaliser avec eux. C'est un match entre deux géants. Les gens parlent plus de ce choc que de Madrid-Dortmund."La frustration de la saison dernière ne pourra être évacuée que si le Français soulève le trophée à Wembley."Ils ont manqué la dernière finale, ils sont déterminés. Je suis ici depuis six saisons, j'ai gagné des titres mais j'ai surtout perdu deux finales très importantes. Je crois que nous avons de grandes chances d'aller au bout cette année", a-t-il affirmé dans des propos relayés par Marca.