LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
C'est désormais officiel, Didier Deschamps est le nouveau sélectionneur de l'équipe de France. Une conférence de presse se tiendra en fin d'après-midi pour officialiser la nouvelle.
L'ancien entraîneur de l'OM signera un bail de deux ans avec les Bleus, plus deux années supplémentaires si la France se qualifie pour la Coupe du Monde 2014. Sur le banc de l'équipe de France, Deschamps ne viendra pas seul, car son adjoint Guy Stephan l'accompagnera.
En revanche, le préparateur physique Antonio Pintus et l'entraîneur des gardiens Nicolas Dehon ne le suivront pas,
La FFF a demandé à Deschamps de travailler avec Philippe Lambert (préparateur physique) et Franck Raviot (entraîneur des gardiens) qui sont salariés à plein temps à la FFF.
Après le départ de Dehon de l'OM, c'est un nouveau coup dur pour Steve Mandanda, qui ne retrouvera pas son mentor avec les Bleus. Rappelons que c'est Mandanda lui-même qui avait demandé l'arrivée de Dehon à l'OM, alors que ce dernier travaillait au Paris SG. Les deux hommes s'étaient rencontrés au Havre. À l'OM, c'est Laurent Spinosi qui est de nouveau en charge de l'entraînement des gardiens
L'ancien entraîneur de l'OM signera un bail de deux ans avec les Bleus, plus deux années supplémentaires si la France se qualifie pour la Coupe du Monde 2014. Sur le banc de l'équipe de France, Deschamps ne viendra pas seul, car son adjoint Guy Stephan l'accompagnera.
En revanche, le préparateur physique Antonio Pintus et l'entraîneur des gardiens Nicolas Dehon ne le suivront pas,
La FFF a demandé à Deschamps de travailler avec Philippe Lambert (préparateur physique) et Franck Raviot (entraîneur des gardiens) qui sont salariés à plein temps à la FFF.
Après le départ de Dehon de l'OM, c'est un nouveau coup dur pour Steve Mandanda, qui ne retrouvera pas son mentor avec les Bleus. Rappelons que c'est Mandanda lui-même qui avait demandé l'arrivée de Dehon à l'OM, alors que ce dernier travaillait au Paris SG. Les deux hommes s'étaient rencontrés au Havre. À l'OM, c'est Laurent Spinosi qui est de nouveau en charge de l'entraînement des gardiens
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
Date d'inscription : 23/06/2009
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Localisation : cassis
Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Avec Laurent Spinosi, on a eu une discussion très courte et qui s'est très bien passée. Je connais sa manière de travailler, il connaît la mienne. Cela fait deux jours qu'on a très bien travaillé ensemble, avec aussi du travail athlétique dans la bonne humeur.»
Rien ne les a vraiment opposés à l'époque et c'est Deschamps qui a pris l'initiative de l'écarter pour imposer Nicolas Dehon dans le staff. Le gardien international l'avait connu dans les équipes de jeunes au Havre et continuait à l'appeler régulièrement en cas de besoin. Entre les deux hommes, Mandanda et Dehon, il s'agit un feeling particulier qui dépasse largement le cadre professionnel. Dehon ne laissait rien passer à son jeune gardien sur le plan sportif mais il lui permettait aussi de se régénérer sur le plan mental à la moindre contre performance. Et les deux dernières saisons où le gardien marseillais a atteint une dimension supérieure, doivent beaucoup à cette collaboration très étroite. Alors malgré ce qu'il en dit, Mandanda a accusé le coup.
Vincent Labrune le président de l'OM, conscient de cette situation, a même tenté de garder Nicolas Dehon malgré le départ de Deschamps. Mais l'ancien Havrais n'a pas pu donner suite à la proposition, compte tenu de l'ambiance générale du vestiaire
Rien ne les a vraiment opposés à l'époque et c'est Deschamps qui a pris l'initiative de l'écarter pour imposer Nicolas Dehon dans le staff. Le gardien international l'avait connu dans les équipes de jeunes au Havre et continuait à l'appeler régulièrement en cas de besoin. Entre les deux hommes, Mandanda et Dehon, il s'agit un feeling particulier qui dépasse largement le cadre professionnel. Dehon ne laissait rien passer à son jeune gardien sur le plan sportif mais il lui permettait aussi de se régénérer sur le plan mental à la moindre contre performance. Et les deux dernières saisons où le gardien marseillais a atteint une dimension supérieure, doivent beaucoup à cette collaboration très étroite. Alors malgré ce qu'il en dit, Mandanda a accusé le coup.
Vincent Labrune le président de l'OM, conscient de cette situation, a même tenté de garder Nicolas Dehon malgré le départ de Deschamps. Mais l'ancien Havrais n'a pas pu donner suite à la proposition, compte tenu de l'ambiance générale du vestiaire
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
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Localisation : cassis
Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Dehon, victime collatérale Le départ de Didier Deschamps a fait des victimes collatérales.
L’une d’entre elles se nomme Nicolas Dehon. Arrivé à l’OM en 2010 en provenance du PSG, l’entraîneur des gardiens a dû quitter le club phocéen avec Deschamps. « Didier nous tenait au courant des discussions, se souvient-il dans L’Est-Éclair. Il y a eu un peu de flou, mais très vite, on a su que ça s'arrêterait là avec l'OM. Le staff était solidaire, et moi, j'ai toujours été loyal envers les entraîneurs avec qui je travaillais. »
Parti avec le reste du staff il y a un mois, Dehon espérait intégrer le staff de l’équipe de France, Deschamps en étant devenu le nouveau sélectionneur. Mais là encore, celui qui a commencé dans le service jardinerie de Troyes a vu ses espoirs réduits à néant : « À un moment, j'ai espéré secrètement suivre Didier chez les Bleus, mais, là encore, il m'a prévenu que la Fédération souhaitait réduire les frais et donc le staff. »
Dehon, dont la réputation n’est plus à faire, pourrait poursuivre sa carrière à l’étranger.
bienvenou- Admin
- Messages : 170618
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Aprèsavoir écrit la légendede l’OM, en remportant notamment lacoupe
d’Europe en 1993 face auMilanAC de VanBasten, il a intégréla cellule
recrutementduclub olympien. Pour continueràoffrir du bonheur,àsa
manière, auxMarseillais.Ces derniers, unbrin nostalgique, lui
manifestent encoreaujourd’hui leur admiration
"Cettttee vviillllee vous marque
àj amais" "Les gens sont nostalgiques, il
me parle de la grande époque, ça me fait toujours chaud au coeur."
Même s’il réside aujourd’hui à Aubagne, Jean-Philippe Durand est toujours très attaché à sa ville de coeur, Marseille. Il y a ses habitudes pour
aller manger une bonne viande près de Castellane ou admirer encore et toujours la Corniche et la cité phocéenne depuis la Gineste
◗ 1960 : Sa naissance àLyon.
◗ 23 MARS 1988 : son premier match en équipe
de France face àl'Espagne (26 sélections au
total).
◗ 26 MAI 1993 : son titre de champion d'Europe
avec l'Olympique de Marseille.
◗ 1995 : son titre de champion de Division 2
avec l'OM et la remontée en Division 1.
◗ 1997 : la fin de sa carrière professionnelle,
sous le maillot olympien.
L’ancien défenseur apprécie particulièrement Le Boucher, un
restaurant àviandes, non loin de la place Castellane Ce fin gourmet ne cache pas son admiration pour le chef
provençal Jean-Marc Banzo.
Jean-Philippe Durand admire souvent la vue depuis la Corniche Kennedy
Avec l’OM, Jean-Philippe Durand a
connu les plus hauts sommets. Avec,
en point d’orgue de sa riche carrière,
la coupe d’Europe acquise en 1993, avec Boli,
Barthez, Pelé et consorts, face au MilanAC
de Gullit, Van Basten, Baresi et Rijkaard…
Mais lorsque les strass et les paillettes des
campagnes européennes se sont dissipés
pour laisser place au purgatoire de la D2, en
1994, Durand le fidèle a choisi de rester sur
les bords de la Méditerranée. Un choix qui
l’amènera à finir sa carrière dans le club de
son coeur en 1997, en D1, avec le sentiment
du devoir accompli. Les Marseillais, ne s’y
trompent pas, et le considèrent, lui, le natif
de Lyon, comme l’un des joueurs ayant marqué
à jamais l’histoire de leur club.
Aujourd’hui cheville ouvrière de la cellule recrutement
de l’OM, il continue d’oeuvrer à la
Commanderie. "C’est une grande fierté, ce
club m’a tellement apporté. Là, je travaille
dans un autre contexte, c’est une expérience
fantastique, avec des gens que j’estime. Je suis
viscéralement attaché à l’OM. D’ailleurs, même
les joueurs qui ne restent qu’un an ou
deux ici gardent en eux la marque de cette ville,
de ces supporters. Regardez Drogba,
Ravanelli…", souligne "Jean-Phi". Même s’il
est depuis longtemps éloigné des terrains, il
est toujours sollicité par les plus fervents.
"Les gens sont nostalgiques, il me parle de
la grande époque, ça me fait toujours chaud
au coeur. Mais l’histoire s’écrit aujourd’hui.
On a une équipe qui fait preuve de qualité et
de cohésion, c’est de bon augure."
Si l’OM occupe la majeure partie de son
temps, il fait profiter dès qu’il le peut sa famille
et ses amis de ses coins favoris. Avec
passion. Comme toujours.
◗ SES BONNES TABLES
Lorsqu’il a l’occasion de venir en centre-
ville, Jean-Philippe Durand fait halte
chez Le Boucher, rue du Village, à quelques
encablures de la place Castellane. "Je suis un
amateur de bonnes viandes, et j’y trouve des
produits de qualité. C’est aussi le concept qui
m’a plu, mettre un restaurant dans
l’arrière-boutique d’une vraie boucherie, il fallait
oser! C’est convivial, copieux, frais, l’idéal
pour emmener des amis. Le patron vous accueille
toujours avec le sourire." L’ancien
olympien ne se cantonne pas à Marseille intra-
muros lorsqu’il s’agit de stimuler ses papilles.
Ainsi, il a trouvé Chez Louisette, à La
Ciotat, un vrai petit coin de paradis. "Ce restaurant,
situé sur la petite Ile Verte, on dirait
un cabanon, on s’y sent chez soi. Il faut s’y rendre
en bateau, ce qui ajoute du charme au repas.
Le top, c’est de commander la pêche du
jour, bien grillée." Plus huppé, il se rend aussi
à la Villa Madie, à Cassis. "Un restaurant gastronomique
dans une calanque qui vaut le détour".
◗ SES VUES À COUPER LE SOUFFLE
"Ce n’est pas très original, mais la première
à laquelle je pense, c’est celle qu’offre la Corniche
Kennedy. Je l’ai faite plusieurs fois en courant
et je ressens toujours cette impression
d’être entre la ville et la nature. On y mesure
la chance qu’on a d’avoir la Méditerranée à
nos pieds." Ses yeux s’illuminent aussi
lorsqu’il pense à la Gineste, une route qui lui
rappelle d’impérissables souvenirs. "Lorsque
je jouais à l’OM, je la prenais pour rejoindre
le Vélodrome. On peut y apercevoir Marseille,
dans toute sa splendeur. Ça peut paraître bête,
mais cette vision me transcendait avant
chaque rencontre, je me sentais pousser des
ailes. Je me disais quelque chose comme
’Marseille est à toi, il ne peut rien t’arriver,
alors fonce et donne le meilleur de toi-même
pour cette ville.’" Et souvent, ça faisait son
effet…
◗ CES MARSEILLAIS QU’IL ADORE
Bien qu’il avoue d’emblée "je ne connais
pas grand-chose au hip-hop", Jean-Philippe
admire le leader d’IAM, le rappeur Akhenaton.
Les deux hommes se connaissent bien.
"Il a fait beaucoup pour la renommée de Marseille,
c’est quelqu’un d’affable, de sincère, qui
privilégie le côté humain. Je garde un excellent
souvenir de toutes les fois où l’on s’est croisé,
où on a échangé. Ce n’est pas pour rien que
beaucoup de supporters sont fans du personnage
et de ses chansons. Et en plus, c’est un
amoureux de l’OM." L’autre personnage cité
par l’ancien footballeur n’est pas Marseillais,
mais Cassiden: Jean-Marc Banzo, le chef
étoilé de la Villa Madie. La relation entre les
deux hommes ne se limite pas à l’assiette.
"Jean-Marc est fascinant, il me subjugue et
me bluffe à chaque fois que je mange chez lui.
Cette façon de marier des ingrédients à la base
totalement différents… Un repas chez lui
est un spectacle, une véritable expérience. En
plus, c’est quelqu’un d’accessible, qui prend le
temps de discuter, un vrai personnage
d’Europe en 1993 face auMilanAC de VanBasten, il a intégréla cellule
recrutementduclub olympien. Pour continueràoffrir du bonheur,àsa
manière, auxMarseillais.Ces derniers, unbrin nostalgique, lui
manifestent encoreaujourd’hui leur admiration
"Cettttee vviillllee vous marque
àj amais" "Les gens sont nostalgiques, il
me parle de la grande époque, ça me fait toujours chaud au coeur."
Même s’il réside aujourd’hui à Aubagne, Jean-Philippe Durand est toujours très attaché à sa ville de coeur, Marseille. Il y a ses habitudes pour
aller manger une bonne viande près de Castellane ou admirer encore et toujours la Corniche et la cité phocéenne depuis la Gineste
◗ 1960 : Sa naissance àLyon.
◗ 23 MARS 1988 : son premier match en équipe
de France face àl'Espagne (26 sélections au
total).
◗ 26 MAI 1993 : son titre de champion d'Europe
avec l'Olympique de Marseille.
◗ 1995 : son titre de champion de Division 2
avec l'OM et la remontée en Division 1.
◗ 1997 : la fin de sa carrière professionnelle,
sous le maillot olympien.
L’ancien défenseur apprécie particulièrement Le Boucher, un
restaurant àviandes, non loin de la place Castellane Ce fin gourmet ne cache pas son admiration pour le chef
provençal Jean-Marc Banzo.
Jean-Philippe Durand admire souvent la vue depuis la Corniche Kennedy
Avec l’OM, Jean-Philippe Durand a
connu les plus hauts sommets. Avec,
en point d’orgue de sa riche carrière,
la coupe d’Europe acquise en 1993, avec Boli,
Barthez, Pelé et consorts, face au MilanAC
de Gullit, Van Basten, Baresi et Rijkaard…
Mais lorsque les strass et les paillettes des
campagnes européennes se sont dissipés
pour laisser place au purgatoire de la D2, en
1994, Durand le fidèle a choisi de rester sur
les bords de la Méditerranée. Un choix qui
l’amènera à finir sa carrière dans le club de
son coeur en 1997, en D1, avec le sentiment
du devoir accompli. Les Marseillais, ne s’y
trompent pas, et le considèrent, lui, le natif
de Lyon, comme l’un des joueurs ayant marqué
à jamais l’histoire de leur club.
Aujourd’hui cheville ouvrière de la cellule recrutement
de l’OM, il continue d’oeuvrer à la
Commanderie. "C’est une grande fierté, ce
club m’a tellement apporté. Là, je travaille
dans un autre contexte, c’est une expérience
fantastique, avec des gens que j’estime. Je suis
viscéralement attaché à l’OM. D’ailleurs, même
les joueurs qui ne restent qu’un an ou
deux ici gardent en eux la marque de cette ville,
de ces supporters. Regardez Drogba,
Ravanelli…", souligne "Jean-Phi". Même s’il
est depuis longtemps éloigné des terrains, il
est toujours sollicité par les plus fervents.
"Les gens sont nostalgiques, il me parle de
la grande époque, ça me fait toujours chaud
au coeur. Mais l’histoire s’écrit aujourd’hui.
On a une équipe qui fait preuve de qualité et
de cohésion, c’est de bon augure."
Si l’OM occupe la majeure partie de son
temps, il fait profiter dès qu’il le peut sa famille
et ses amis de ses coins favoris. Avec
passion. Comme toujours.
◗ SES BONNES TABLES
Lorsqu’il a l’occasion de venir en centre-
ville, Jean-Philippe Durand fait halte
chez Le Boucher, rue du Village, à quelques
encablures de la place Castellane. "Je suis un
amateur de bonnes viandes, et j’y trouve des
produits de qualité. C’est aussi le concept qui
m’a plu, mettre un restaurant dans
l’arrière-boutique d’une vraie boucherie, il fallait
oser! C’est convivial, copieux, frais, l’idéal
pour emmener des amis. Le patron vous accueille
toujours avec le sourire." L’ancien
olympien ne se cantonne pas à Marseille intra-
muros lorsqu’il s’agit de stimuler ses papilles.
Ainsi, il a trouvé Chez Louisette, à La
Ciotat, un vrai petit coin de paradis. "Ce restaurant,
situé sur la petite Ile Verte, on dirait
un cabanon, on s’y sent chez soi. Il faut s’y rendre
en bateau, ce qui ajoute du charme au repas.
Le top, c’est de commander la pêche du
jour, bien grillée." Plus huppé, il se rend aussi
à la Villa Madie, à Cassis. "Un restaurant gastronomique
dans une calanque qui vaut le détour".
◗ SES VUES À COUPER LE SOUFFLE
"Ce n’est pas très original, mais la première
à laquelle je pense, c’est celle qu’offre la Corniche
Kennedy. Je l’ai faite plusieurs fois en courant
et je ressens toujours cette impression
d’être entre la ville et la nature. On y mesure
la chance qu’on a d’avoir la Méditerranée à
nos pieds." Ses yeux s’illuminent aussi
lorsqu’il pense à la Gineste, une route qui lui
rappelle d’impérissables souvenirs. "Lorsque
je jouais à l’OM, je la prenais pour rejoindre
le Vélodrome. On peut y apercevoir Marseille,
dans toute sa splendeur. Ça peut paraître bête,
mais cette vision me transcendait avant
chaque rencontre, je me sentais pousser des
ailes. Je me disais quelque chose comme
’Marseille est à toi, il ne peut rien t’arriver,
alors fonce et donne le meilleur de toi-même
pour cette ville.’" Et souvent, ça faisait son
effet…
◗ CES MARSEILLAIS QU’IL ADORE
Bien qu’il avoue d’emblée "je ne connais
pas grand-chose au hip-hop", Jean-Philippe
admire le leader d’IAM, le rappeur Akhenaton.
Les deux hommes se connaissent bien.
"Il a fait beaucoup pour la renommée de Marseille,
c’est quelqu’un d’affable, de sincère, qui
privilégie le côté humain. Je garde un excellent
souvenir de toutes les fois où l’on s’est croisé,
où on a échangé. Ce n’est pas pour rien que
beaucoup de supporters sont fans du personnage
et de ses chansons. Et en plus, c’est un
amoureux de l’OM." L’autre personnage cité
par l’ancien footballeur n’est pas Marseillais,
mais Cassiden: Jean-Marc Banzo, le chef
étoilé de la Villa Madie. La relation entre les
deux hommes ne se limite pas à l’assiette.
"Jean-Marc est fascinant, il me subjugue et
me bluffe à chaque fois que je mange chez lui.
Cette façon de marier des ingrédients à la base
totalement différents… Un repas chez lui
est un spectacle, une véritable expérience. En
plus, c’est quelqu’un d’accessible, qui prend le
temps de discuter, un vrai personnage
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 38
Localisation : DANS LE REVE DES ENFANTS
Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
"Le physique, un travail collectif"
ENTRETIEN Revenu aux affaires, le préparateur physique Christophe Manouvrier évoque un état d’esprit.Unvrai plus
Le retour de Christophe Manouvrier à la préparation
physique a été accueilli avec soulagement par le groupe.
Apprécié des joueurs, mais écarté après le titre par
Deschamps, il a peaufiné ses gammes, a poursuivi la
préparation de sa thèse sur "l’élaboration d’un test VMA
avec ballon" dans la quête d’un doctorat. Son retour
s’inscrit surtout sur le principe d’un travail collectif
médico-physique mis en place par le Dr Baudot
Christophe Manouvrier, avec Nkoulou et Morel: "Le ressenti du joueur est essentiel. Si on l’occulte, on part à la casse
❚ Que vous a apporté l’année
passée au centre de formation ?
Très instructif. J’ai continué à
travailler en relation directe
avec Christophe Baudot dans le
cadre de la cellule médico-physique
mise en place en 2008. On
a poussé notre vision des protocoles
d’évaluation, avec des planifications
adaptées aux jeunes
évidemment.
❚ Cela vous donne un regard
plus précis sur ceux ayant intégré
le groupe pro cette saison.
Exactement. Le projet athlétique
mis en place au centre de
formation donne une carte
d’identité précise de chaque
joueur. Cela permet aussi
d’avoir un jeune prêt sur le plan
athlétique quand il arrive à
l’échelon supérieur.
❚ V o u s a v e z g o û t é à
l’expérience d’une sélection nationale
avec le Cameroun?
Très enrichissant sur le plan humain.
Une aventure extraordinaire
car je n’avais aucune
connaissance poussée de la
culture africaine. L’approche
est différente, car, dans un laps
de temps réduit, il faut individualiser
le travail de chaque international,
découvrir un nouveau
coach, mettre en place un
programme avec les GPS. Très
instructif.
❚ Vous parlez du GPS (ndlr: Global
positioning system), un outil
sur lequel vous vous appuyez
beaucoup.
Depuis 2009.
❚ Est-il incontournable ?
Oui. Il donne les informations
indispensables sur la charge de
travail à travers les jeux proposés
par le coach. Par exemple,
en fonction des informations récoltées,
y a-t-il dans les jeux la
quantité de travail suffisante en
fonction des postes? La réponse
nous oblige à rajouter ou pas
une charge de travail supplémentaire.
Le football est une activité
où on s’appuie beaucoup
sur les entraînements.
❚ Cela robotise la vision de votre
fonction quand on parle de
GPS, d’ordinateur...
Je ne sais pas si le terme est approprié.
Le noeud du problème
est d’individualiser la charge de
travail dans un sport collectif.
Le GPS nous offre ce confort. Il
convient d’avoir une grille de
lecture, mais tout est harmonisé
au sein d’une cellule mise en
place par Christophe Baudot. Il
y a une profonde réflexion.
Avoir un GPS n’est pas un gadget
ou un effet de mode, mais la
première question est : que
peut-il nous apporter?
❚ Sur la base d’une charge de
travail individuel, peut-on tendre
alors vers une harmonie physique
collective ?
C’est compliqué, car les organismes
réagissent différemment.
Le but est d’obtenir une zone de
performance, avec une fourchette
basse et une fourchette haute
dans laquelle le joueur s’inscrit.
L’ambition est qu’un joueur réponde
aux exigences du championnat
ou de l a coupe
d’Europe, quand il se trouve
dans sa fourchette basse.
Dire que nous programmons
des mecs pour un pic de forme,
je n’y crois pas une seconde. Par
contre, avoir une zone de performance,
oui.
❚ Comment calculez-vous une
zone de performance?
Ça ne se calcule pas. Avec les années,
on prend du recul pour
analyser ce qui est proposé.
Connaître les joueurs sur le long
terme facilite la compréhension
et la réactivité sur son suivi.
Nous avons des critères
d’évaluation sur l’explosivité,
ses temps de fatigue.
❚ Un joueur peut-il avoir une
appréciation ne correspondant
pas avec votre analyse des données?
C’est possible. L’effet de la chaleur
par exemple. Il peut vous dire
: "Je ne suis pas bien, j’ai
chaud, je n’arrive pas à enchaîner,
je ne suis pas explosif". Or,
le GPS nous dira qu’il a quand
mêmeaccompli un certain nombre
d’accélérations. L’effort est
tellement coûteux par rapport à
la chaleur que sa sensation peut
être tronquée.
Attention, on ne peut pas être esclave
du GPS, de l’analyse de
l’ordinateur. Le ressenti du
joueur est essentiel.
❚ Vous nous rassurez, il perdure
quandmême une approche humaine.
Ne jamais l’occulter. Si on
l’oublie, on part à la casse.
❚ Vous parliez d’explosivité,
on a senti à Reims que le groupe
en manquait, ce qui peut se comprendre
à ce stade de la saison.
Avez-vous planifié une période à
laquelle l’équipe atteindra cet objectif
?
Tout est calculé en fonction de
la date de la reprise. Reprise le
2 juillet, premier match le
2août. Après on enchaîne, les
joueurs passent dans une machine
à laver. On travaille en
conséquence. L’explosivité
n’est pas secondaire, mais sans
fondation vous n’aurez jamais
d’explosivité.
❚ Êtes-vous toujours en phase
de préparation foncière ?
On en sort, même si on continue
à travers les jeux. En fonction
des données, on rajoute un
travail de puissance aérobie, de
puissance lactique. Cela permet
de gagner en explosivité. On a
fait des pentes dans la colline
cette semaine, on profite vraiment
de la richesse du site.
Dans les matches amicaux, des
joueurs réalisent entre 80 et
100accélérations sur des zones
supérieures à 4mètres secondes
carrés, ce qui est pour nous
une fourchette basse. Là aussi,
on travaille l’explosivité. Établir
une planification sur le papier,
c’est super-facile, mais il y a la
vérité du match.
❚ Quelle est la bonne durée
d’une préparation ?
Six à sept semaines. Cela permet
d’avoir une planification
globale, de ne pas être contraint
de faire des choix par rapport à
un laps de temps. Là, on a effectué
des choix.
❚ Vous avez rogné sur des éléments?
Non. On a fixé des priorités.
❚ Lesquelles ?
La capacité à répéter des efforts
à ha u t e i n t e n s i t é , e n
s’inscrivant dans la filière aérobie,
sans perdre de vue toute
l ’ a p p r o c h e concernant
l’explosivité. On a commencé la
période d’affûtage huit jours
avant, car il y avait le match du
2août. On s’adapte, cela permet
d’avoir un autre type de préparation.
On se remet en question,
on travaille avec les docteurs,
c’est un échange permanent.
C’est l’esprit de cette cellule.
Tout seul, je n’existe pas.
❚ Tout le monde loue la qualité
du staff médical de l’OM.
Je suis arrivé en 2008. Le médical
m’a permis de progresser au
quotidien. Il vous contraint à
vous poser des questions sur
vous, sur la crédibilité de vos
propositions.
❚ Quels genres de questions ?
L’analyse de la fonction, la biomécanique,
les blessures, le
pourquoi d’une blessure. Pourquoi
elle apparaît? Comment
l’anticiper ?
Que suis-je capable de mettre
en place pour éviter de donner
du boulot aux docs, car le but
du jeu est aussi de ne pas avoir
de blessé afin que le coach ne
perde pas de joueur. C’est un
vrai travail d’équipe.Le terrain
est le fruit de la réflexion menée
avec le coach, le doc’. Cette cellule
est le plus de l’OM, même si
les résultats conditionnent tout,
car l’aspect psychologique est
d’une importance capitale. Il
faut se poser les bonnes questions
au bon moment, pas attendre
que tout se passe.
ENTRETIEN Revenu aux affaires, le préparateur physique Christophe Manouvrier évoque un état d’esprit.Unvrai plus
Le retour de Christophe Manouvrier à la préparation
physique a été accueilli avec soulagement par le groupe.
Apprécié des joueurs, mais écarté après le titre par
Deschamps, il a peaufiné ses gammes, a poursuivi la
préparation de sa thèse sur "l’élaboration d’un test VMA
avec ballon" dans la quête d’un doctorat. Son retour
s’inscrit surtout sur le principe d’un travail collectif
médico-physique mis en place par le Dr Baudot
Christophe Manouvrier, avec Nkoulou et Morel: "Le ressenti du joueur est essentiel. Si on l’occulte, on part à la casse
❚ Que vous a apporté l’année
passée au centre de formation ?
Très instructif. J’ai continué à
travailler en relation directe
avec Christophe Baudot dans le
cadre de la cellule médico-physique
mise en place en 2008. On
a poussé notre vision des protocoles
d’évaluation, avec des planifications
adaptées aux jeunes
évidemment.
❚ Cela vous donne un regard
plus précis sur ceux ayant intégré
le groupe pro cette saison.
Exactement. Le projet athlétique
mis en place au centre de
formation donne une carte
d’identité précise de chaque
joueur. Cela permet aussi
d’avoir un jeune prêt sur le plan
athlétique quand il arrive à
l’échelon supérieur.
❚ V o u s a v e z g o û t é à
l’expérience d’une sélection nationale
avec le Cameroun?
Très enrichissant sur le plan humain.
Une aventure extraordinaire
car je n’avais aucune
connaissance poussée de la
culture africaine. L’approche
est différente, car, dans un laps
de temps réduit, il faut individualiser
le travail de chaque international,
découvrir un nouveau
coach, mettre en place un
programme avec les GPS. Très
instructif.
❚ Vous parlez du GPS (ndlr: Global
positioning system), un outil
sur lequel vous vous appuyez
beaucoup.
Depuis 2009.
❚ Est-il incontournable ?
Oui. Il donne les informations
indispensables sur la charge de
travail à travers les jeux proposés
par le coach. Par exemple,
en fonction des informations récoltées,
y a-t-il dans les jeux la
quantité de travail suffisante en
fonction des postes? La réponse
nous oblige à rajouter ou pas
une charge de travail supplémentaire.
Le football est une activité
où on s’appuie beaucoup
sur les entraînements.
❚ Cela robotise la vision de votre
fonction quand on parle de
GPS, d’ordinateur...
Je ne sais pas si le terme est approprié.
Le noeud du problème
est d’individualiser la charge de
travail dans un sport collectif.
Le GPS nous offre ce confort. Il
convient d’avoir une grille de
lecture, mais tout est harmonisé
au sein d’une cellule mise en
place par Christophe Baudot. Il
y a une profonde réflexion.
Avoir un GPS n’est pas un gadget
ou un effet de mode, mais la
première question est : que
peut-il nous apporter?
❚ Sur la base d’une charge de
travail individuel, peut-on tendre
alors vers une harmonie physique
collective ?
C’est compliqué, car les organismes
réagissent différemment.
Le but est d’obtenir une zone de
performance, avec une fourchette
basse et une fourchette haute
dans laquelle le joueur s’inscrit.
L’ambition est qu’un joueur réponde
aux exigences du championnat
ou de l a coupe
d’Europe, quand il se trouve
dans sa fourchette basse.
Dire que nous programmons
des mecs pour un pic de forme,
je n’y crois pas une seconde. Par
contre, avoir une zone de performance,
oui.
❚ Comment calculez-vous une
zone de performance?
Ça ne se calcule pas. Avec les années,
on prend du recul pour
analyser ce qui est proposé.
Connaître les joueurs sur le long
terme facilite la compréhension
et la réactivité sur son suivi.
Nous avons des critères
d’évaluation sur l’explosivité,
ses temps de fatigue.
❚ Un joueur peut-il avoir une
appréciation ne correspondant
pas avec votre analyse des données?
C’est possible. L’effet de la chaleur
par exemple. Il peut vous dire
: "Je ne suis pas bien, j’ai
chaud, je n’arrive pas à enchaîner,
je ne suis pas explosif". Or,
le GPS nous dira qu’il a quand
mêmeaccompli un certain nombre
d’accélérations. L’effort est
tellement coûteux par rapport à
la chaleur que sa sensation peut
être tronquée.
Attention, on ne peut pas être esclave
du GPS, de l’analyse de
l’ordinateur. Le ressenti du
joueur est essentiel.
❚ Vous nous rassurez, il perdure
quandmême une approche humaine.
Ne jamais l’occulter. Si on
l’oublie, on part à la casse.
❚ Vous parliez d’explosivité,
on a senti à Reims que le groupe
en manquait, ce qui peut se comprendre
à ce stade de la saison.
Avez-vous planifié une période à
laquelle l’équipe atteindra cet objectif
?
Tout est calculé en fonction de
la date de la reprise. Reprise le
2 juillet, premier match le
2août. Après on enchaîne, les
joueurs passent dans une machine
à laver. On travaille en
conséquence. L’explosivité
n’est pas secondaire, mais sans
fondation vous n’aurez jamais
d’explosivité.
❚ Êtes-vous toujours en phase
de préparation foncière ?
On en sort, même si on continue
à travers les jeux. En fonction
des données, on rajoute un
travail de puissance aérobie, de
puissance lactique. Cela permet
de gagner en explosivité. On a
fait des pentes dans la colline
cette semaine, on profite vraiment
de la richesse du site.
Dans les matches amicaux, des
joueurs réalisent entre 80 et
100accélérations sur des zones
supérieures à 4mètres secondes
carrés, ce qui est pour nous
une fourchette basse. Là aussi,
on travaille l’explosivité. Établir
une planification sur le papier,
c’est super-facile, mais il y a la
vérité du match.
❚ Quelle est la bonne durée
d’une préparation ?
Six à sept semaines. Cela permet
d’avoir une planification
globale, de ne pas être contraint
de faire des choix par rapport à
un laps de temps. Là, on a effectué
des choix.
❚ Vous avez rogné sur des éléments?
Non. On a fixé des priorités.
❚ Lesquelles ?
La capacité à répéter des efforts
à ha u t e i n t e n s i t é , e n
s’inscrivant dans la filière aérobie,
sans perdre de vue toute
l ’ a p p r o c h e concernant
l’explosivité. On a commencé la
période d’affûtage huit jours
avant, car il y avait le match du
2août. On s’adapte, cela permet
d’avoir un autre type de préparation.
On se remet en question,
on travaille avec les docteurs,
c’est un échange permanent.
C’est l’esprit de cette cellule.
Tout seul, je n’existe pas.
❚ Tout le monde loue la qualité
du staff médical de l’OM.
Je suis arrivé en 2008. Le médical
m’a permis de progresser au
quotidien. Il vous contraint à
vous poser des questions sur
vous, sur la crédibilité de vos
propositions.
❚ Quels genres de questions ?
L’analyse de la fonction, la biomécanique,
les blessures, le
pourquoi d’une blessure. Pourquoi
elle apparaît? Comment
l’anticiper ?
Que suis-je capable de mettre
en place pour éviter de donner
du boulot aux docs, car le but
du jeu est aussi de ne pas avoir
de blessé afin que le coach ne
perde pas de joueur. C’est un
vrai travail d’équipe.Le terrain
est le fruit de la réflexion menée
avec le coach, le doc’. Cette cellule
est le plus de l’OM, même si
les résultats conditionnent tout,
car l’aspect psychologique est
d’une importance capitale. Il
faut se poser les bonnes questions
au bon moment, pas attendre
que tout se passe.
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
"Le joueur doit s’inscrire
dans une zone de perf’
avec une fourchette haute
et une fourchette basse."
"Le médical vous
contraint à vous poser des
questions sur la crédibilité
de vos propositions."
dans une zone de perf’
avec une fourchette haute
et une fourchette basse."
"Le médical vous
contraint à vous poser des
questions sur la crédibilité
de vos propositions."
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
LIGUE EUROPE Il a supervisé Tiraspol
Jean-Philippe Durand :
"Le Shériff a trois stades
Jean-Philippe Durand, attrapé
au vol, hier, pendant son esc
a l e à Mu n i c h , é t a i t c e
week-endà Tiraspol où il a encore
vu évoluer le Shériff, prochain
adversaire de l’OM en barrages
de la Ligue Europe. "Ils
ont fait match nul 0-0, c’était
pas terrible. Mais il faut bien
comprendre que cette équipe
est championne de Moldavie
tous les ans depuis onze saisons;
sa motivation en championnat
n’est certainement pas maximale. En coupe d’Europe,
en revanche, c’est certainement très différent. Ils ont le niveau
d’une bonne équipe de Ligue 2."
Ce qui a le plus étonné l’envoyé spécial de la cellule de recrutement
de l’OM, ce sont les installations.
"Elles sont magnifiques. Ils ont trois stades ! Un fermé, pour
jouer l’hiver et deux autres qui se touchent, l’un de 8000 places
pour le championnat et l’autre de 13000 pour les matches internationaux.
Or, ils en font deux ou trois par an. C’est vraiment
spécial."
Jean-Philippe Durand :
"Le Shériff a trois stades
Jean-Philippe Durand, attrapé
au vol, hier, pendant son esc
a l e à Mu n i c h , é t a i t c e
week-endà Tiraspol où il a encore
vu évoluer le Shériff, prochain
adversaire de l’OM en barrages
de la Ligue Europe. "Ils
ont fait match nul 0-0, c’était
pas terrible. Mais il faut bien
comprendre que cette équipe
est championne de Moldavie
tous les ans depuis onze saisons;
sa motivation en championnat
n’est certainement pas maximale. En coupe d’Europe,
en revanche, c’est certainement très différent. Ils ont le niveau
d’une bonne équipe de Ligue 2."
Ce qui a le plus étonné l’envoyé spécial de la cellule de recrutement
de l’OM, ce sont les installations.
"Elles sont magnifiques. Ils ont trois stades ! Un fermé, pour
jouer l’hiver et deux autres qui se touchent, l’un de 8000 places
pour le championnat et l’autre de 13000 pour les matches internationaux.
Or, ils en font deux ou trois par an. C’est vraiment
spécial."
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
LE RETOUR
Jour de reprise pour Alain Soultanian Victime d’un infarctus dans la nuit
du dimanche 20 au lundi 21mai,
alors qu’il se trouvait à Clairefontaine
avec l’équipe de France
dans le cadre du rassemblement
des Bleus pour l’Euro, Alain Soultanian
a suivi une longue convalescence.
"J’ai eu très peur, avait-il confié à
La Provence, quelques jours plus
tard.
Je ne sais pas quand je reprendrai,
mais je dois me retaper."
Après deux mois de convalescence
et une rééducation appropriée,
le kiné, plus ancien membre
du staff olympien, reprend enfin
du service. Son retour est annoncé
aujourd’hui
Jour de reprise pour Alain Soultanian Victime d’un infarctus dans la nuit
du dimanche 20 au lundi 21mai,
alors qu’il se trouvait à Clairefontaine
avec l’équipe de France
dans le cadre du rassemblement
des Bleus pour l’Euro, Alain Soultanian
a suivi une longue convalescence.
"J’ai eu très peur, avait-il confié à
La Provence, quelques jours plus
tard.
Je ne sais pas quand je reprendrai,
mais je dois me retaper."
Après deux mois de convalescence
et une rééducation appropriée,
le kiné, plus ancien membre
du staff olympien, reprend enfin
du service. Son retour est annoncé
aujourd’hui
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Fenerbahçe-OM
Vendredi 07 Septembre 2012 à 13:16
Manouvrier : «Barton est un gros bosseur»
De passage devant la presse ce vendredi, le préparateur physique Christophe Manouvrier a notamment parlé de la condition physique de Joey Barton. «Il a été 10 semaines en vacances comme il le dit lui-même. Il a du travail mais on sait d’où il part et il a le temps même s’il s’est préparé seul dans son coin, il n’est pas arrivé sans avoir rien fait et c’est un gros bosseur. Il a une très bonne mentalité et il n'y a pas besoin de le pousser pour travailler, au contraire.»
Quant à savoir si l’Anglais serait prêt à jouer à Fernabahçe le 20 en Europa League, il explique : «90 minutes ce ne sera pas possible mais un bout de match, oui. Ensuite, c’est le coach qui décidera
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
MANOUVRIER A L AOEUVRE
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
L'OM en deuil
Le kiné du club, Alain Soultanian, a eu la terrible douleur de perdre son papa, Onnik, dans la nuit de dimanche à lundi. Dans ces moments difficiles, le club présente ses condoléances et s'associe à la peine d'Alain, de sa famille et de ses proches.
Le kiné du club, Alain Soultanian, a eu la terrible douleur de perdre son papa, Onnik, dans la nuit de dimanche à lundi. Dans ces moments difficiles, le club présente ses condoléances et s'associe à la peine d'Alain, de sa famille et de ses proches.
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Manouvrier finit dans le lac !
Durée : 2'00 - Date : 11/07/2013
Comme annoncé, le préparateur physique Christophe Manouvrier a fini dans le lac Moubra jeté par les Olympiens
Durée : 2'00 - Date : 11/07/2013
Comme annoncé, le préparateur physique Christophe Manouvrier a fini dans le lac Moubra jeté par les Olympiens
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
bienvenou a écrit:Manouvrier finit dans le lac !
Durée : 2'00 - Date : 11/07/2013
Comme annoncé, le préparateur physique Christophe Manouvrier a fini dans le lac Moubra jeté par les Olympiens
http://www.om.net/fr/OMtv_Online/301003/Accueil/9582/Manouvrier_finit_dans_le_lac
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
ENORMEEE
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Tommy Allez l'O.M a écrit:ENORMEEE
ET WOUIIIIIIIIIIIIIII COMME UNE COLONIE DE VACANCES
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Vidéo - OM : le préparateur physique dans le lac
Publié le jeudi 11 juillet 2013 à 10H47
L'année dernière, ils avaient raté leur coup. Ils avaient promis de le tenter à nouveau cette année. Ce jeudi matin, à l'occasion du footing matinal, les Olympiens ont jeté dans le lac Moubra, leur préparateur physique Christophe Manouvrier qui leur en fait baver depuis le début de la préparation.
LA REVANCHE
LOL
http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/2443106/om-le-preparateur-physique-dans-le-lac-crans-montana.html
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Réunie le 16 janvier 2014,Commission de Discipline de la LFP
17e journée : Olympique de Marseille – FC Nantes du 6 décembre 2013
Exclusion de M. Christophe Manouvrier, préparateur physique de l’Olympique de Marseille, pour contestations répétées des décisions de l’arbitre
Réunie le 12 décembre 2013, la Commission avait convoqué M. Christophe Manouvrier pour sa séance du jeudi 9 janvier 2014 dans le respect des dispositions des règlements disciplinaires et du Code du Sport imposant 15 jours de délai minimum. A la demande du club, la Commission avait accepté de reporter l’audition du jeudi 16 janvier 2014.
Après audition de M. Christophe Manouvrier par visioconférence, la Commission lui inflige trois matchs de suspension dont deux matchs par révocation du sursis de banc de touche, de vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles. La sanction prend effet le mardi 21 janvier 2014 à 0h00.
17e journée : Olympique de Marseille – FC Nantes du 6 décembre 2013
Exclusion de M. Christophe Manouvrier, préparateur physique de l’Olympique de Marseille, pour contestations répétées des décisions de l’arbitre
Réunie le 12 décembre 2013, la Commission avait convoqué M. Christophe Manouvrier pour sa séance du jeudi 9 janvier 2014 dans le respect des dispositions des règlements disciplinaires et du Code du Sport imposant 15 jours de délai minimum. A la demande du club, la Commission avait accepté de reporter l’audition du jeudi 16 janvier 2014.
Après audition de M. Christophe Manouvrier par visioconférence, la Commission lui inflige trois matchs de suspension dont deux matchs par révocation du sursis de banc de touche, de vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles. La sanction prend effet le mardi 21 janvier 2014 à 0h00.
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Les tergiversationsdubancde l’OM
Alors que l’OM pousse pour tenter d’arracher la victoire
dans les ultimes instants de la rencontre, une scène
cocasse se produit. On joue la
86e minute, les Olympiens bénéficient
d’un corner. Le banc
olympien décide de rappeler sur
le banc Valbuena pour lancer
Imbula. Avant de se raviser pour
que le "Petit" puisse tirer le
coup de pied arrêté. Ces tergiversations
durent une bonne minute,
soit autant de temps de perdu
par le camp marseillais. Une
erreur.
Alors que l’OM pousse pour tenter d’arracher la victoire
dans les ultimes instants de la rencontre, une scène
cocasse se produit. On joue la
86e minute, les Olympiens bénéficient
d’un corner. Le banc
olympien décide de rappeler sur
le banc Valbuena pour lancer
Imbula. Avant de se raviser pour
que le "Petit" puisse tirer le
coup de pied arrêté. Ces tergiversations
durent une bonne minute,
soit autant de temps de perdu
par le camp marseillais. Une
erreur.
aladin- Messages : 115038
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
JEAN-PHILIPPE DURAND, RESPONSABLE DE LA CELLULE
"La frustration est toujours là" ❚ Comment fonctionne la cellule de recrutement ?
On a deux fonctions principales: la supervision
de l’adversaire et le recrutement destiné à 90%
pour l’équipe pro. Le reste concerne la post-formation,
surtout des étrangers entre 17 et 20 ans.
Le recrutement est défini avec l’entraîneur, le directeur
sportif et le président. On doit toujours
être prêts à proposer une solution.
❚ Qui décide des matches à superviser ?
Moi. On a des axes de travail, des championnats,
des clubs, des joueurs ciblés. On a une base de
données qui nous permet de rentrer tous nos rapports,
élaborés après chaque match.
❚ La priorité étant de recruter français, pourquoi
continuez-vous à aller à l’étranger ?
On n’a pas toutes les solutions en France. À un
moment, le président va venir voir José pour lui
dire qu’il n’arrive pas à engager tel joueur et demander
des solutions de rechange. Parlons de ce
mercato. Les départs de Fanni ou de Morel
étaient dans l’air. On a cherché des alternatives
avec une difficulté: on n’avait pas d’argent pour
un transfert. On a apporté des solutions pour ces
postes-là en prêt. S’il n’y en avait aucune en France,
il y en avait à l’étranger, comme Alvaro Pereira.
❚ Vos recommandations sont-elles suivies ?
Difficile de répondre. La frustration est toujours
là. On voit chacun 150 matches par an, on a trois
ou quatre joueurs par poste dont on se dit qu’ils
iraient bien à l’OM. Au final, très peu arrivent. À
la cellule ou en interne, on n’est jamais tous
d’accord. Le président tranche.
❚ Vous auriez pu engager Azpilicueta à 17 ans...
Plus jeune, il n’aurait pas été titulaire chez nous.
Trois ans et cent matches de championnat plus
tard, il est plus prêt.
❚ Mais il est plus cher...
Il faut savoir ce qu’on veut. Quand tu mets
l’argent, tu as plus de sécurité. Avant, on l’aurait
peut-être brûlé.
❚ Vous êtes très implanté en Afrique...
J’ai mis en place un programme pour les jeunes
de 15 à 18 ans au Cameroun (il y a trois ans) et en
Côte d’Ivoire (depuis cette année). J’y vais deux à
trois fois par an. À chaque fois, on organise un
tournoi avec les académies locales. Cela me permet
de suivre les gamins, de repérer les meilleurs
et de les faire venir à leurs 18ans chez nous ou
dans un autre club. C’est un travail de moyen terme.
"La frustration est toujours là" ❚ Comment fonctionne la cellule de recrutement ?
On a deux fonctions principales: la supervision
de l’adversaire et le recrutement destiné à 90%
pour l’équipe pro. Le reste concerne la post-formation,
surtout des étrangers entre 17 et 20 ans.
Le recrutement est défini avec l’entraîneur, le directeur
sportif et le président. On doit toujours
être prêts à proposer une solution.
❚ Qui décide des matches à superviser ?
Moi. On a des axes de travail, des championnats,
des clubs, des joueurs ciblés. On a une base de
données qui nous permet de rentrer tous nos rapports,
élaborés après chaque match.
❚ La priorité étant de recruter français, pourquoi
continuez-vous à aller à l’étranger ?
On n’a pas toutes les solutions en France. À un
moment, le président va venir voir José pour lui
dire qu’il n’arrive pas à engager tel joueur et demander
des solutions de rechange. Parlons de ce
mercato. Les départs de Fanni ou de Morel
étaient dans l’air. On a cherché des alternatives
avec une difficulté: on n’avait pas d’argent pour
un transfert. On a apporté des solutions pour ces
postes-là en prêt. S’il n’y en avait aucune en France,
il y en avait à l’étranger, comme Alvaro Pereira.
❚ Vos recommandations sont-elles suivies ?
Difficile de répondre. La frustration est toujours
là. On voit chacun 150 matches par an, on a trois
ou quatre joueurs par poste dont on se dit qu’ils
iraient bien à l’OM. Au final, très peu arrivent. À
la cellule ou en interne, on n’est jamais tous
d’accord. Le président tranche.
❚ Vous auriez pu engager Azpilicueta à 17 ans...
Plus jeune, il n’aurait pas été titulaire chez nous.
Trois ans et cent matches de championnat plus
tard, il est plus prêt.
❚ Mais il est plus cher...
Il faut savoir ce qu’on veut. Quand tu mets
l’argent, tu as plus de sécurité. Avant, on l’aurait
peut-être brûlé.
❚ Vous êtes très implanté en Afrique...
J’ai mis en place un programme pour les jeunes
de 15 à 18 ans au Cameroun (il y a trois ans) et en
Côte d’Ivoire (depuis cette année). J’y vais deux à
trois fois par an. À chaque fois, on organise un
tournoi avec les académies locales. Cela me permet
de suivre les gamins, de repérer les meilleurs
et de les faire venir à leurs 18ans chez nous ou
dans un autre club. C’est un travail de moyen terme.
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
270000
En euros et par année, c’est le budget de fonctionnement de la
cellule de recrutement de l’OM. "Le club a demandé de faire des
économies. S’ils le doivent, ils partent en low-cost", explique
José Anigo.
120à 150
Soit le nombre de matches supervisés en une saison par chaque
recruteur. "Le recordman, c’est Brisson !, clame JA. Il a déjà assisté
à 160 matches en une saison."
En euros et par année, c’est le budget de fonctionnement de la
cellule de recrutement de l’OM. "Le club a demandé de faire des
économies. S’ils le doivent, ils partent en low-cost", explique
José Anigo.
120à 150
Soit le nombre de matches supervisés en une saison par chaque
recruteur. "Le recordman, c’est Brisson !, clame JA. Il a déjà assisté
à 160 matches en une saison."
aladin- Messages : 115038
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Les failles durecrutement
GROS PLAN La cellule olympienne supervise de nombreux joueurs, mais les rapports restent souvent à l’état d’archives
"En réalité, Vincent Labrune
joue à Football Manager"
Les superviseurs travaillent
pourtant à 90%en faveur
de l’équipe professionnelle
Malgré le travail de la cellule de recrutement, Vincent Labrune et José Anigo privilégient leurs réseaux.
GROS PLAN La cellule olympienne supervise de nombreux joueurs, mais les rapports restent souvent à l’état d’archives
"En réalité, Vincent Labrune
joue à Football Manager"
Les superviseurs travaillent
pourtant à 90%en faveur
de l’équipe professionnelle
Malgré le travail de la cellule de recrutement, Vincent Labrune et José Anigo privilégient leurs réseaux.
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Re: LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN
Si l’attente autour de la nomination
du futur technicien de l’OM est interminable,
l’avenir d’une partie du staff actuel
se joue également en ce moment.
Dans une atmosphère certes moins enfiévrée
que celle provoquée par les négociations
entre le club olympien et Marcelo
Bielsa.
En cas de réponse favorable, le "Fada"
récupérera tous les pouvoirs sportifs
et sera le seul maître à bord pour rebâtir
un projet complet et cohérent. Le
natif de Rosario devrait même arriver à
Marseille avec, au minimum, trois hommes
à lui (outre Diego Reyes, les noms
des anciens Olympiens Gabi Heinze et
Eduardo Berizzo circulent, sans confirmation).
Il apparaît également que le
technicien sud-américain repensera
complètement la collaboration avec la
cellule de recrutement, et se penchera
en profondeur sur le fonctionnement
de celle-ci.
Mais les desiderata de l’Argentin ne
semblent pas signifier pour autant que
l’essentiel du staff technique de l’OM sera
mis à laporte une fois la saison terminée.
D’une part, cela a un coût élevé
pour le club; et, d’autre part, Vincent Labrune
répète en effet depuis de longs
mois qu’il désire élargir l’encadrement
sportif et y incorporer des compétences
supplémentaires. VLB n’a pas attendu
les remarques des observateurs de
Mons pour s’apercevoir que La Commanderie
était une succursale du
ClubMed (voir notre édition du9avril).
Que deviendront donc José Anigo (directeur
sportif et entraîneur), Albert
Emon (entraîneur adjoint), Franck Passi
(entraîneur adjoint), Laurent Spinosi
(entraîneur des gardiens) et Christophe
Manouvrier (préparateur physique)? La
question mérite d’être posée. Car, au-delà
du cas du staff médical (lire encadré),
il apparaît évident que tous ne continueront
pas l’aventure.
Anigo sur le départ
Certains ne laissent plus de place au
doute. L’homme à la double casquette
fait ainsi savoir que son choix est arrêté,
ouvrant la porte à un départ du club en
fin de saison. Les autres éléments du
staff technique, eux, ne sont pas forcément
dans cette optique, en dépit de
leur proximité avec JA. Certains resteront
en place. Et, comme cela a été fait à
plusieurs reprises par le passé, il n’est
pas interdit de voir une partie d’entre
eux recasés à d’autres étages du navire
marseillais. Le parcours de l’entraîneur
olympien, passé de la formation à la direction
sportive avec un intermède en
tant que coach, en est le plus bel exemple.
Mais ce n’est pas le seul. Albert
Emon, lui, avait intégré la cellule de recrutement
après avoir été évincé du poste
d’entraîneur, peu de temps après
l’arrivée d’Éric Gerets.
Plus récemment, Laurent Spinosi
avait, lui, été relégué au centre de formation
quand Nicolas Dehon a intégré
l’OM, après le titre de champion de
France 2010. Avant de revenir au premier
plan lorsque le divorce avec Didier
Deschamps a été acté. Idem pour Christophe
Manouvrier, remplacé par
l’Italien Antonio Pintus, qui avait été
cantonné au retour en forme des blessés,
puis à la réserve olympienne.
Y aura-t-il un nouveau jeu de chaises
musicales à l’intersaison? Suspense
du futur technicien de l’OM est interminable,
l’avenir d’une partie du staff actuel
se joue également en ce moment.
Dans une atmosphère certes moins enfiévrée
que celle provoquée par les négociations
entre le club olympien et Marcelo
Bielsa.
En cas de réponse favorable, le "Fada"
récupérera tous les pouvoirs sportifs
et sera le seul maître à bord pour rebâtir
un projet complet et cohérent. Le
natif de Rosario devrait même arriver à
Marseille avec, au minimum, trois hommes
à lui (outre Diego Reyes, les noms
des anciens Olympiens Gabi Heinze et
Eduardo Berizzo circulent, sans confirmation).
Il apparaît également que le
technicien sud-américain repensera
complètement la collaboration avec la
cellule de recrutement, et se penchera
en profondeur sur le fonctionnement
de celle-ci.
Mais les desiderata de l’Argentin ne
semblent pas signifier pour autant que
l’essentiel du staff technique de l’OM sera
mis à laporte une fois la saison terminée.
D’une part, cela a un coût élevé
pour le club; et, d’autre part, Vincent Labrune
répète en effet depuis de longs
mois qu’il désire élargir l’encadrement
sportif et y incorporer des compétences
supplémentaires. VLB n’a pas attendu
les remarques des observateurs de
Mons pour s’apercevoir que La Commanderie
était une succursale du
ClubMed (voir notre édition du9avril).
Que deviendront donc José Anigo (directeur
sportif et entraîneur), Albert
Emon (entraîneur adjoint), Franck Passi
(entraîneur adjoint), Laurent Spinosi
(entraîneur des gardiens) et Christophe
Manouvrier (préparateur physique)? La
question mérite d’être posée. Car, au-delà
du cas du staff médical (lire encadré),
il apparaît évident que tous ne continueront
pas l’aventure.
Anigo sur le départ
Certains ne laissent plus de place au
doute. L’homme à la double casquette
fait ainsi savoir que son choix est arrêté,
ouvrant la porte à un départ du club en
fin de saison. Les autres éléments du
staff technique, eux, ne sont pas forcément
dans cette optique, en dépit de
leur proximité avec JA. Certains resteront
en place. Et, comme cela a été fait à
plusieurs reprises par le passé, il n’est
pas interdit de voir une partie d’entre
eux recasés à d’autres étages du navire
marseillais. Le parcours de l’entraîneur
olympien, passé de la formation à la direction
sportive avec un intermède en
tant que coach, en est le plus bel exemple.
Mais ce n’est pas le seul. Albert
Emon, lui, avait intégré la cellule de recrutement
après avoir été évincé du poste
d’entraîneur, peu de temps après
l’arrivée d’Éric Gerets.
Plus récemment, Laurent Spinosi
avait, lui, été relégué au centre de formation
quand Nicolas Dehon a intégré
l’OM, après le titre de champion de
France 2010. Avant de revenir au premier
plan lorsque le divorce avec Didier
Deschamps a été acté. Idem pour Christophe
Manouvrier, remplacé par
l’Italien Antonio Pintus, qui avait été
cantonné au retour en forme des blessés,
puis à la réserve olympienne.
Y aura-t-il un nouveau jeu de chaises
musicales à l’intersaison? Suspense
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
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