LE STAFF TECHNIQUE OLYMPIEN

C'est une info NIANG à l'OM ?

olympien13 a écrit:C'est une info NIANG à l'OM ?

ils en parlent sur les forum de la provence

car niang s'etait proposé il y a 4 jours

et il estpossible

qu'ils ont demandé à gignac d'aller voir si c'est possible en angleterre
et si ca lui plait ce pret

ninag pourrait rappliquer sur un coup de fil

Comme j'aimerais trop !!! Mais bon apparemment LABRUNE en veut pas!!

olympien13 a écrit:Comme j'aimerais trop !!! Mais bon apparemment LABRUNE en veut pas!!

oui il prefere se debarrasser du salaire de gignac et le remplacer par gadi

Il me gonfle !!! mdr

olympien13 a écrit:Il me gonfle !!! mdr

guy stephan est surement à son apogée salariale ds ce poste d'adjoint et il est devenu le perroquet de dd

ALORS LE PERROQUET GUY ...NE DIT RIEN



OM: l'automne sera rude
Ligue 1. 5e journée. Rennes s'impose au Vélodrome et plonge les Marseillais dans le doute.



Soupe à la grimace au Vélodrome.../ Photo AFP Partager Marseille s'est enfoncé un peu plus dans le doute, voire la crise, hier soir, après sa défaite devant Rennes (0-1), sa deuxième en cinq journées de L1, malgré une évidente volonté de bien faire qui ne saurait masquer certains errements dans son comportement défensif (0-1).

A trois jours de son premier match de Ligue des champions dans la bouillante enceinte de l'Olympiakos à Athènes, l'OM offre ainsi l'image d'une équipe impuissante à imposer son jeu, mais aussi en réel manque d'impact physique.

Après sa défaite à Lille lors de la 4e journée (2-3), le champion de France 2009-2010 poursuit son été de poisse et de galères, laissant ses rivaux directs prendre le large dans la course au titre. L'automne s'annonce rude...

Le scénario espéré d'un début de saison tranquille est définitivement éventé après ce revers devant une équipe bretonne très séduisante, qui n'a jamais caché ses intentions de produire du jeu. Et qui, aussi, a pu s'appuyer sur un gardien en réussite exceptionnelle: Benoît Costil a repoussé toutes les frappes dangereuses, notamment de Rémy et d'un Gignac apparu affûté après son entrée en jeu en seconde période.

«Mouille le maillot ou casse-toi!»: c'est sous cet air moqueur chanté par le Vélodrome en fin de partie que la formation de Didier Deschamps accompagnée d'une sacré bronca, a quitté la pelouse.

Rennes au physique
Car Marseille s'est longtemps attaché à l'idée d'offrir du jeu, de ne pas livrer précisément le Vélodrome à la torpeur comme ce fut trop souvent le cas la saison dernière.

«Je sais que le jeu porté vers l'avant comporte des risques à court terme, mais je les assume», avait d'ailleurs indiqué avant le match Didier Deschamps, assurant ne pas vouloir renoncer à cette «ligne directrice» même en l'absence durable de victoire.

Décalages, courses, entraide: dans l'esprit, l'OM a longtemps mis les ingrédients nécessaires. Seuls faisaient défaut l'intensité et l'impact, à l'image du tendre Jordan Ayew titularisé en attaque à la place de son frère André, blessé.

Très athlétique, extrêmement tranchant en contres, à l'instar de Pitroipa et Boukari, aiguillonnés par Féret ou M'Vila, Rennes ne s'en est jamais laissé compter et a imposé son physique. Surtout avec un Costil remarquable, devant Rémy en pivot en 1re mi-temps, mais aussi face à Gignac à deux reprises (59,70).

Il aurait peut-être fallu la vivacité de Valbuena pour perturber un peu plus cette formation-là, mais l'attaquant international, touché en début de partie alors qu'il semblait très en jambes, cédait rapidement sa place à Amalfitano (22).

Rennes en profitait visiblement, mais ne concrétisait vraiment son affaire qu'à la suite d'un renvoi de la tête de Diarra plein axe, que Kembo, laissé seul, se faisait un plaisir de récupérer pour aligner Mandanda des 25 m (76).


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..Le prochain adversaire du TFC ne trouve pas la faille devant le promu Evian.
Bordeaux: rien ne va
Bordeaux, qui avait beaucoup à se faire pardonner, a été dans l'incapacité de s'imposer devant Evian-Thonon-Gaillard, se contentant d'un nul vierge hier soir.

Le promu, dans les rangs duquel l'expérimenté Danois Poulsen faisait ses grands débuts, reste invaincu à l'extérieur après trois déplacements.

Côté girondin, la soupe à la grimace perdure et on se demande bien s'il existe un remède à un mal qui dure maintenant depuis plus d'un an et demi, pour sauver le champion de France 2009, englué dans le ventre très mou du classement.

Lors de la défaite en Coupe de la Ligue à Saint-Etienne (1-3), Francis Gillot avait pointé « un état d'esprit de confort à Bordeaux qui m'exaspère ».

Nul doute que contre les Savoyards, même avec son flanc gauche habituel absent (Trémoulinas et Maurice-Belay), il s'attendait à autre chose que cette production lénifiante en première mi-temps, jouée sur un rythme de sénateurs, sans réel caractère ni maîtrise devant un adversaire venu essentiellement pour défendre.

Depuis janvier 2010, les Aquitains ont du mal à se faire mal, c'est un constat implacable. Ils ont aussi beaucoup de mal à s'approcher tout court du but adverse, fautes de décalages évidents à réaliser ou d'applicaction sur les centres.

bordeaux 0 - evian TG 0

Stade Jacques Chaban-Delmas.

Spectateurs: 15.853. Arbitre: A. Gautier.

Bordeaux: Carrasso - L. Sané, Henrique, Ciani, Marange - Plasil (cap), Nguemo, Jussiê (Ab. Traoré 84) - Sertic (Saivet 45+1) - Gouffran, Modeste (Diabaté 60). Entr.: Francis Gillot.

Avertissements: Ciani (37), Nguemo (41).

Evian: Andersen - B. Dja Djédjé, Angoula, Cambon, Ehret - Barbosa (cap) (Govou 65), Tié Bi, Leroy (Berigaud 84), Poulsen (Rabiu 70), Khlifa - Sagbo. Entr.: Bernard Casoni.

Avertissements: Angoula (27), Poulsen (44), Govou (82

LAPALISSE A ENCORE parlé
Olympiakos-OM 11/09/11 17:06
Stephan : «Gagner, la meilleure des vitamines»
La semaine prochaine s’annonce compliquée pour l’OM avec deux déplacements. Le premier, dès mardi en Champions League, Didier Deschamps et ses hommes iront au Pirée affronter l’Olympiakos. Le second, dimanche à Lyon, leader après cinq journées avec 11 points. Bien que ces deux matches soient rapprochés, Guy Stephan les dissocie. « Les deux matches sont importants mais il faut les prendre un par un psychologiquement et quand on sait, dans la tête des joueurs, l’importance d’un premier résultat favorable, ce serait intéressant. Les joueurs attendent la victoire et un succès serait la meilleure des vitamines avant Lyon

Pour son premier match de la saison au poste de milieu gauche, le latéral marseillais Jérémy Morel a fait forte impression mardi, face à l'Olympiakos (1-0). Auteur d'un match plein ponctué par une passe décisive pour Lucho (51e), l'ancien Lorientais va-t-il être de nouveau titularisé à ce poste dimanche à Lyon en Championnat ? «C'est une possibilité», a reconnu sur OMtv Guy Stéphan, l'entraîneur adjoint de Didier Deschamps

Le championnat ne s’arrête pas dimanche »

OutilsL’entraîneur adjoint de l’Olympique de Marseille, Guy Stephan revient sur le début de saison du club phocéen et sur les enjeux qui entourent la rencontre de dimanche entre l’OL et l’OM.

Aujourd’hui, n’est-il pas plus facile pour vous d’évoluer à l’extérieur qu’au Vélodrome ?
Je n’en suis pas sûr. Je pense surtout que l’on doit s’occuper du jeu avant l’enjeu, même si l’on est l’Olympique de Marseille, même si c’est actuellement difficile au classement. On doit se focaliser sur le jeu collectif, être très créatif, sans négliger la rigueur. Cela ne signifie pas que l’on n’a pas un impérieux besoin de points ; on a fait les comptes, on sait que c’est un match très, très important, mais, trois jours après, il y aura un nouveau match, contre Evian, qui vaudra également trois points, tout comme le suivant contre Valenciennes : le championnat ne s’arrête pas dimanche.

Est-ce que vous signeriez pour un match nul ?
Tout dépend du contexte, du déroulement du match. Hors contexte, un match nul à Auxerre nous aurait convenu, mais en regard du déroulement du match, on ne peut pas s’en satisfaire : on menait 2 – 0 à la mi-temps avant de se faire rejoindre, alors qu’on était au-dessus.

En cas de défaite dimanche, vous auriez 11 points de retard sur l’OL…
Cela ferait beaucoup, ça c’est sûr ! Surtout si tôt dans la saison. Toutefois, il y a deux ans, on avait 11 points de retard sur Bordeaux mais cela ne nous a pas empêchés d’être champions. Mais il n’y avait qu’une équipe devant nous, alors qu’il y en a plusieurs cette saison, et des grosses cylindrées.



Loïc Rémy sort du centre de formation lyonnais. Vu de Lyon, on a le sentiment qu’il a franchi un cap ces derniers temps. Est-ce un avis que vous partagez ?
Il a même franchi plusieurs caps. Dans les domaines de la profondeur, des déplacements, du jeu aérien, qui est devenu l’un de ses atouts, de l’efficacité. Il lui en reste encore à franchir, sa progression n’est pas du tout terminée.

Que pensez vous de cet OL 2011 – 2012 ?
Il y a un élan, un état d’esprit qui est très présent. Je trouve cette équipe conquérante, elle transpire la joie de jouer. C’est une équipe complètement différente de celle de la saison dernière. J’ai de plus l’impression qu’il y a un fort esprit de famille cette saison.

"Le foot est un sport collectif dans lequel ce sont souvent les individualités qui font la différence"

Sur quoi cette rencontre devrait-elle se jouer ?
Le foot est un sport collectif dans lequel ce sont souvent les individualités qui font la différence. Si les deux équipes ont bien récupéré de la Champions League, on devrait avoir une rencontre enlevée, ouverte, comme lors des précédentes éditions, où l’on a eu des super matches… sauf pour les entraîneurs. Des matches avec du suspens et de la qualité offensive. L’OL et l’OM sont deux équipes qui osent, qui prennent des risques, capables de longues séquences avec le ballon.

Vous avez bien connu l’OL, où vous avez passé cinq saisons (entraineur adjoint entre 1992 et 1995, entraîneur entre 1995 et 1997). A titre personnel, les matches contre l’OL sont-ils toujours particuliers ?
Le temps fait son effet. Mais cette saison, cela va être particulier car je vais retrouver des joueurs que j’ai entraînés (Rémi Garde et Bruno Génésio). J’ai également travaillé avec Robert Duverne, Guy Genet. Je connais également des dirigeants, le président, et beaucoup d’autres personnes. Venir à Lyon, ça me fait autre chose que d’aller à Valenciennes, sans qu’il y ait quoi que ce soit de péjoratif pour Valenciennes. Concernant Rémi Garde, je ne suis pas surpris de le voir entraîneur. Je suis très content qu’il ait réussi son examen de passage lors des premiers matches.

silvinho


17/09/2011 à 09h23

encore une fois la préparation à la pintus les rend tous complètement cassés...
souvenez-vous à Monaco où les gars étaient cramés en début de championnat.
Pourquoi avoir changé de préparateur alors qu'l avait emmené l'équipe au titre ? Pintus est passé par le fenêtre et le voilà seul maître à bord...

des paroles
on veut des victoire

banjo a écrit:des paroles
on veut des victoire

ben oui
on en est à un stade ou maintenat il faut une serie de 3 victoires successives

Les raisons d'un redressement
Le 09/11/2011 à 16:44 | Mis à jour le 09/11/2011 à 16:55

L'OM a réussi un redressement spectaculaire ces dernières semaines, remontant de la 19ème à la 8ème place au classement. Guy Stephan, l'adjoint de Didier Deschamps, nous aide à comprendre pourquoi.


Guy Stéphan, en survêtement, est le fidèle adjoint de Didier Deschamps à Marseille.(EQ)
Le changement tactique et le passage en 4-4-2
C'est évidemment le changement le plus spectaculaire et qui coïncide avec la bonne période marseillaise. Il supposait de laisser sur la touche des joueurs clés comme Lucho et de remettre tout le monde à niveau. «Didier y pensait depuis longtemps, affirme Guy Stephan. Nous avions observé que l'équipe ronronnait et manquait de cohérence. Mais pour mettre en place ce système, il faut réunir tous les ingrédients. Nous avions besoin de deux attaquants centraux en pleine possession de leurs moyens. Nous avons changé quand ce fut possible. Une flamme s'est rallumée. Mais le 4-4-2 n'est pas forcément la panacée.» Il y a d'ailleurs fort à parier que cette tactique soit revue contre les équipes de tête.

Le changement d'attitude de Deschamps lui-même
Didier Deschamps n'a pas la réputation d'être un entraineur très proche de ses joueurs, enclin à se servir du ressort affectif, comme tant d'autres. Depuis quelques matches pourtant, on le voit féliciter ses hommes à grand renfort d'accolades après la victoire. Et Stephan confirme : «Il avait ce comportement-là à l'entraînement, mais on ne le voyait pas beaucoup. On ne peut nier aussi une dimension humaine dans le rétablissement opéré. Didier a discuté avec tout le monde avant de prendre des décisions. Il a aussi beaucoup écouté.» Après la venue de Margarita Louis Dreyfus le 13 octobre, il a pris les décisions radicales qui s'imposaient.

La prise de conscience des joueurs
Les joueurs ont eux aussi changé d'état d'esprit. C'est une évolution progressive, née de discussions répétées. Les cadres ont fini par prendre leurs responsabilités. «Ils ont pris conscience qu'il leur fallait être plus généreux dans l'effort. Nous avons dans l'équipe beaucoup de garçons consciencieux qui se sont aperçus qu'on pouvait aller dans le mur. Nous n'avons pas forcément de leader moral et oral comme l'était Heinze, mais plusieurs individualités ont pris conscience que la situation ne pouvait pas s'éterniser.»

Jeudi 10 Novembre 2011 à 11:47

Stephan et les leaders dans le groupe

Depuis l’entame de la saison, les observateurs pointent du doigt l’absence de leaders dans le groupe olympien. « L'an dernier, il y a avait un leader oral qui était Gaby Heinze. Il se dégageait par son charisme, sa prestance, son CV, sa personnalité. Là, il y a de fortes personnalités dans le groupe mais il n'y a pas de véritables leaders qui se dégagent, avoue Guy Stephan. Par contre il y a beaucoup de joueurs consciencieux qui se sont aperçus que l’on pouvait aller dans le mur. Il y a eu une réaction à ce niveau-là, sinon la dynamique de groupe ne serait pas revenue. »

Guy Stephan : "Un stage intéressant pour l'OM" Publié le mercredi 04 janvier 2012 à 22H45


Guy Stephan a dressé un bilan du stage de l'OM à Peralada, qui s'est achevé mercredi en fin de journée. "C'était un stage court avec cinq séances d'entraînement, rappelle l'adjoint de Didier Deschamps. Il y a eu du travail technique, du foncier et du jeu, ainsi qu'une opposition dans des conditions quasi normales de match. C'était un stage intéressant avec parfois de l'intensité, mais avec beaucoup de convivialité et de plaisir à se retrouver après dix jours de vacances. On a fini l'année 2011 avec beaucoup de victoires et les joueurs ont envie de repartir pour 2012 avec de grandes ambitions. Les conditions hôtelières et de terrain étaient très bonnes, les joueurs ont pu se reposer dans de bonnes conditions entre chaque entraînement avec les soins nécessaires. Ce rassemblement nous a aussi permis de conserver la bonne dynamique de groupe pour avoir de bons résultats."

02/02/2012 - 23:37
OM-Stéphan: "Deschamps trouvera des solutions"
Privé de Mathieu Valbuena après l'expulsion de ce dernier en Coupe de la Ligue mercredi, l'Olympique de Marseille ne se présentera pas sous ses meilleurs atours dimanche, face à Lyon. Une situation qui n'inquiète pas Guy Stéphan, l'adjoint de Didier Deschamps, persuadé que l'entraîneur phocéen trouvera la parade. "l trouvera des solutions même s’il n’y en a beaucoup. Diawara et Kaboré sont revenus. Il faut une équipe complémentaire avec de la rigueur défensive et de la créativité offensive. Ce n’est pas évident. Ce match est un tournant important comme contre Lille ou Rennes", a prévenu Stéphan sur le plateau d'OMTV.

Guy Stéphan grand-père

Il attendait ça avec impatience depuis quelques
jours. La bonne nouvelle est arrivée
vendredi soir: Guy Stéphan est grand-père.
Son fils Julien et son épouse Nathalie ont
connu le bonheur de la naissance de Chloé,
joli bébé de 50cm et 3,1 kg.
La grand-mère est déjà partie à Lorient
pour dorlotter Chloé ; le grand-père, lui, regarde
le calendrier de l'OM pour trouver un
moment où prendre un avion et aller embrasser
sa petite-fille.
Félicitations, Guy !

Pour l’adjoint de Deschamps, "Monsieur
Buquet a eu tout faux et cela nous est
préjudiciable

LE DÉCRYPTAGE
Guy Stéphan: "Ilyavait beaucoup de déception"

Hormis Alou Diarra, au micro de Foot +,
quelques secondes après le coup de sifflet final,
aucun Olympien n’a souhaité s’exprimer
dimanche soir, à la sortie du vestiaire du stade
Francis-Le Blé. "Il y avait beaucoup de déception
dans le vestiaire, explique Guy Stéphan,
l’adjoint de Didier Deschamps. Nous
avions le sentiment d’avoir beaucoup tenté,
beaucoup frappé avec 22 tirs, beaucoup eu le
ballon, avec près de 65% de possession
(63% pour être exact, ndlr), ce qui est énorme.
Mais nous n’avons pas été récompensés.
Et à cela, il s’est ajouté de la colère par rapport
à la décision d’arbitrage sur Brandao,
dès la première minute de jeu..."
Cette défaite dans le Finistère est restée
en travers des gorges marseillaises. D’autant
qu’elle plonge l’OM en 8e position, après une
série exceptionnelle de 16 matches sans défaites
toutes compétitions confondues (13 victoires
et trois nuls). "Nous n’avons pas
grand-chose à reprocher aux joueurs, poursuit
Stéphan. Il nous est arrivé de perdre
d’autres matches en n’ayant pas ce volume
de jeu là, sans fournir ce type de prestation.
"Nous sommes tombés sur un gardien, Elana,
en état de grâce. Et quand on y ajoute de
la malchance et de la maladresse, on obtient
ce résultat. Lors de la mise en place, samedi,
Didier avait beaucoup insisté sur le fait qu’il
fallait oublier l’Inter et ne se focaliser que
sur Brest, en étant dynamique et en harcelant
l’adversaire dès le coup d’envoi. C’est ce
qu’ils ont fait, avec le pressing de Mathieu
Valbuena et Brandao qui provoque l’erreur
de Martial. La sanction paraissait évidente
mais un seul homme dans le stade n’a pas vu
la faute. Monsieur Buquet a eu tout faux et
cela nous est préjudiciable. Didier lui a dit sa
façon de penser, mais il n’a pas daigné répondre.
D’ailleurs, je ne l’ai toujours pas entendu
s’exprimer sur le sujet... Mais bon, perdre
un match qu’on mérite de gagner, ça arrive
dans une saison. Il faut digérer tout ça et repartir
dès samedi, contre Toulouse."
Une rencontre qui lancera un cycle infernal,
avec huit matches programmés en mars,
soit un tous les trois jours. Trop, pour
l’effectif de Didier Deschamps? "Notre calendrier
est très chargé mais on ne va pas s’en
plaindre, rappelle Guy Stéphan. Il y a une gestion
d’effectif qui est mise en place et qui est
efficace compte tenu de ce que l’équipe a été
capable de produire dimanche, quatre jours
après l’Inter. On espère juste que les internationaux
ne seront pas trop sollicités cette semaine
mais à ce niveau, nous n’avons aucun
contrôle. Après, tout reste ouvert, ce sera
dur pour les autres aussi."

Baup avec Passi et Spinosi
Le 05/07/2012 | Mis à jour le 05/07/2012 23:09:32

Lors de sa présentation à la presse, jeudi à Crans-Montana en Suisse, Elie Baup a laissé entendre qu'il allait s'entourer de membres déjà sous contrat avec l'OM pour composer son staff technique. A commencer par Franck Passi, entraîneur de la réserve depuis 2010 mais qui a dirigé les premières séances du groupe pro depuis la reprise et qui, à l'écouter, pourrait bien devenir son adjoint. «Il y a des jours de chance. Je connais très bien Franck Passi qui est passé par Toulouse que je retrouve ici et que j'apprécie depuis des années tout comme son frère (Gérald), a déclaré le nouvel entraîneur olympien. J'ai aussi eu la chance par le biais de Fabien Barthez de rencontrer Laurent Spinosi dont j'ai eu de très bons échos. (...) Ce sont des gens que je connais et j'ai confiance en eux, en leurs compétences et leur investissement».


«Un ou deux départ avec autant voire plus d'arrivées»
S'agissant des transferts, ce n'est pas Baup qui s'est exprimé, mais José Anigo. «Il n'y aura pas de départs d'ici la fin du mercato sauf pour des joueurs qui n'étaient pas titulaires la saison passée, a assuré le directeur sportif de l'OM sur le site du club. Il n'y aura donc qu'un ou deux départs avec autant voire plus d'arrivées».