QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

Le PSG presque au complet
12/04 16h59 - Football, L1
Laurent Blanc dispose de toutes ses forces vives pour le déplacement du PSG à Lyon dimanche, exception faite de Zlatan Ibrahimovic, toujours sur le flanc en raison d’une blessure à la cuisse. Coman, Diaw, Maignan et Ongenda n’ont pas été retenus.  
Le groupe parisien:
Sirigu, Douchez - Alex, Camara, Digne, Jallet, Marquinhos, Maxwell, T. Silva, Van der Wiel - Cabaye, Matuidi, T. Motta, Pastore, Rabiot, Verratti - Cavani, Lavezzi, Lucas, Ménez.

Lyon: Sans Gourcuff ni Grenier contre le PSG

Yoann Gourcuff et Clément Grenier ne seront pas présents pour la réception du PSG, dimanche soir, pour le compte de la 33e journée de Ligue 1. Rémi Garde doit faire face à un milieu de terrain décimé avec une autre absence d'importance, celle de Gueïda Fofana. Du côté des bonnes nouvelles, l'entraineur lyonnais pourra compter sur le retour de Mouhamadou Dabo dans son groupe de 18 joueurs. Le groupe lyonnais: Lopes, Gorgelin - Bedimo, Bisevac, Koné, Dabo, Umtiti - Fekir, Ferri, Gonalons, Malbranque, Mvuemba, Tolisso - Briand, Danic, Gomis, Lacazette, Njie.

L’OL sort ses griffes !

L’Olympique Lyonnais a régalé le stade de Gerland en remportant le choc de la 33e journée de Ligue 1, face au Paris Saint-Germain (1-0).





RENCONTRES TERMINEES

Dimanche 13 avril 2014
21:00	Olympique Lyonnais		1 - 0		Paris Saint-Germain
31' : Jordan FERRI
				Carton jaune 54' : Thiago MOTTA Carton jaune 81' : Jérémy MENEZ
Jordan Ferri a signé le 800e but de la saison en Ligue 1. Le jeune milieu de terrain lyonnais a inscrit 3 buts dans l’élite, tous marqués de l’extérieur de la surface. L’OL a réalisé une sacrée performance défensive : ce n’est que la 2e fois cette saison que le Paris SG ne parvient pas à trouver le chemin des filets.

L1

L'OL et Ferri crucifient Paris !




Marseille / Publié le Lundi 14/04/2014 à 05H35


Éliminé en C1 mardi, le club parisien est tombé à Lyon (1-0), hier, sur un but du Vauclusien

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Après avoir été giflé par Chelsea, mardi soir en quarts de finale retour de la Ligue des champions (2-0), le PSG a tendu l'autre joue, hier, face à l'Olympique Lyonnais (1-0), pour connaître sa deuxième défaite de rang en moins d'une semaine.

Un sacre parisien était possible avant cette 33e journée, mais aucune des deux conditions n'a été remplie : Monaco n'a pas perdu et Paris n'a pas gagné. Pire, le PSG a subi sa deuxième défaite de la saison en Ligue 1, face à des Lyonnais qu'ils retrouveront dès samedi en finale de la coupe de la Ligue, au Stade de France. Le sacre annoncé des Parisiens n'aura donc pas lieu avant, au mieux, la réception d'Évian TG, le 23 avril, au Parc des Princes, en match décalé de la 34e journée.

Ce matin, les Provençaux peuvent d'ailleurs être fiers de Jordan Ferri (22 ans). Car l'artilleur lyonnais issu de la pouponnière des Gones est né à Cavaillon et a grandi à Saint-Rémy de Provence, où il a tâté ses premiers ballons. Avant de quitter son Vaucluse natal et sa famille, en 2007, pour rejoindre le centre de formation de l'OL à seulement 14 ans.

Hier soir, c'est donc Ferri qui a fait parler la poudre. Encore une fois. Auteur de son quatrième but de la saison (le troisième en L1), il a mystifié Salvatore Sirigu sur une frappe enroulée aux 25 mètres. Rien d'étonnant quand on se souvient que, pour sa première réalisation, l'international espoir avait fusillé l'ETG de 30 mètres. En décembre, pour son premier but européen, il avait également assuré la victoire et la première place de l'OL dans son groupe en C3. Enfin, contre VA, il y a quinze jours, il a également placé une banderille de 25 mètres. Il était même à deux doigts de crucifier Sirigu sur une nouvelle occasion, à la 70e, d'une demi-volée du droit soudaine. Si le portier parisien n'a pu décoller sur l'ouverture du score, il s'est repris en claquant le ballon.

La jeunesse triomphante de Lyon alignée face au PSG (Lopes, Ferri, Fekir, Tolisso) était aussi bien encadrée par les cadres du vestiaire lyonnais (Gonalons, Bisevac, Gomis, Briand). Suspendu pour la finale de la coupe de la Ligue, Jordan Ferri reconnaissait avoir disputé sa "petite finale" hier, au micro de Canal +.

Pour l'OL, cette victoire est avant tout porteuse de promesses. Elle permet surtout à l'OL de revenir à deux points seulement de la 4e place occupée par le rival historique, Saint-Étienne (lire ci-dessous). Sans Ibrahimovic, Paris a de son côté encore souffert en attaque, avec un Cavani en difficulté en pointe et un Lavezzi maladroit.

Lyon s'offre le patron
14/04/2014 05:38
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Auteur du but lyonnais victorieux, Jordan Ferri a eu tout le mérite d'être félicité par ses partenaires. - (AFP)
Le PSG a concédé, à Lyon, sa deuxième défaite de la saison en L1. Monaco et Lille consolident leurs statuts. Saint-Étienne piétine, Marseille se relance.

Cinq jours après avoir été éliminé de la Ligue des Champions par Chelsea, le Paris SG a été battu, hier, à Lyon (1-0). Un résultat qui ne remet pas en cause sa domination sur la Ligue 1 même si la manière n'était vraiment pas au rendez-vous. Le sacre parisien était possible hier mais aucune des deux conditions n'a été remplie : Monaco n'a pas perdu et Paris n'a pas gagné. Pire, Paris a subi sa deuxième défaite de la saison en L1 (après Évian), face à des Lyonnais plus que séduisants. Ils les retrouveront d'ailleurs samedi, en finale de la Coupe de la Ligue. Le sacre annoncé des Parisiens n'aura donc pas lieu avant, au mieux, la réception d'Evian-Thonon le 23 avril au Parc des Princes.
Les Verts au petit trot. Comme contre Nice, les Stéphanois ont joué non pas dans l'action mais dans la réaction à Reims, hier. Le deuxième but rémois a agi comme un électrochoc. Brandao a été le déclencheur du retour stéphanois avant que François Clerc ne vienne arracher le point du match nul. Mérité au vu du pressing exercé par les Stéphanois dans la dernière demi-heure de jeu. Mais ce sont deux points de perdus sur Lille.
Rivière puissance 10. Un vrai buteur, c'est ce qui manque donc aux Stéphanois. Monaco n'a pas eu ce problème samedi contre Rennes : Emmanuel Rivière a inscrit un but plein de maîtrise en résistant physiquement à la pression de son vis-à-vis. Le Monégasque atteint la barre symbolique des dix buts dans une saison. Une première pour lui. Si Monaco ne rêve plus du titre, le promu veut contraindre Paris à attendre le plus longtemps possible l'officialisation de son sacre.
Bouchons signalés en milieu de classement. C'est la tradition de fin de saison : avec le maintien presque en poche et les places européennes inaccessibles, certains clubs n'ont plus rien à jouer. C'est le cas de Toulouse, Lorient, Bastia ou encore Nantes. L'objectif maintenant est de conclure au mieux la saison. L'entraîneur lorientais Christian Gourcuff a fixé un objectif à ses joueurs : « Prendre du plaisir. » Il est fort probable que Vincent Aboubakar en profite pour améliorer ses statistiques, lui qui a inscrit contre Nice son 14^e but en L1.
Guingamp doit être prudent. Les Bretons en sont à quatre défaites de suite. Pas l'idéal alors que Sochaux a fait le plein de points et de confiance, après sa probante victoire contre Toulouse. Pas de quoi affoler a priori Jocelyn Gouvernec, le coach guingampais : « Aujourd'hui, même si notre dynamique n'est pas bonne, on a notre destin en mains. »
Marseille toujours en course. Nullement perturbés par les rumeurs de l'arrivée de Bielsa comme entraîneur de l'OM, les Phocéens reviennent dans la course à l'Europe au prix d'une victoire soufflée aux Montpelliérains dans les dernières minutes par Dimitri Payet.

Lyon s'offre le patron
14/04/2014 05:38
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Auteur du but lyonnais victorieux, Jordan Ferri a eu tout le mérite d'être félicité par ses partenaires. - (AFP)
Le PSG a concédé, à Lyon, sa deuxième défaite de la saison en L1. Monaco et Lille consolident leurs statuts. Saint-Étienne piétine, Marseille se relance.

Cinq jours après avoir été éliminé de la Ligue des Champions par Chelsea, le Paris SG a été battu, hier, à Lyon (1-0). Un résultat qui ne remet pas en cause sa domination sur la Ligue 1 même si la manière n'était vraiment pas au rendez-vous. Le sacre parisien était possible hier mais aucune des deux conditions n'a été remplie : Monaco n'a pas perdu et Paris n'a pas gagné. Pire, Paris a subi sa deuxième défaite de la saison en L1 (après Évian), face à des Lyonnais plus que séduisants. Ils les retrouveront d'ailleurs samedi, en finale de la Coupe de la Ligue. Le sacre annoncé des Parisiens n'aura donc pas lieu avant, au mieux, la réception d'Evian-Thonon le 23 avril au Parc des Princes.
Les Verts au petit trot. Comme contre Nice, les Stéphanois ont joué non pas dans l'action mais dans la réaction à Reims, hier. Le deuxième but rémois a agi comme un électrochoc. Brandao a été le déclencheur du retour stéphanois avant que François Clerc ne vienne arracher le point du match nul. Mérité au vu du pressing exercé par les Stéphanois dans la dernière demi-heure de jeu. Mais ce sont deux points de perdus sur Lille.
Rivière puissance 10. Un vrai buteur, c'est ce qui manque donc aux Stéphanois. Monaco n'a pas eu ce problème samedi contre Rennes : Emmanuel Rivière a inscrit un but plein de maîtrise en résistant physiquement à la pression de son vis-à-vis. Le Monégasque atteint la barre symbolique des dix buts dans une saison. Une première pour lui. Si Monaco ne rêve plus du titre, le promu veut contraindre Paris à attendre le plus longtemps possible l'officialisation de son sacre.
Bouchons signalés en milieu de classement. C'est la tradition de fin de saison : avec le maintien presque en poche et les places européennes inaccessibles, certains clubs n'ont plus rien à jouer. C'est le cas de Toulouse, Lorient, Bastia ou encore Nantes. L'objectif maintenant est de conclure au mieux la saison. L'entraîneur lorientais Christian Gourcuff a fixé un objectif à ses joueurs : « Prendre du plaisir. » Il est fort probable que Vincent Aboubakar en profite pour améliorer ses statistiques, lui qui a inscrit contre Nice son 14^e but en L1.
Guingamp doit être prudent. Les Bretons en sont à quatre défaites de suite. Pas l'idéal alors que Sochaux a fait le plein de points et de confiance, après sa probante victoire contre Toulouse. Pas de quoi affoler a priori Jocelyn Gouvernec, le coach guingampais : « Aujourd'hui, même si notre dynamique n'est pas bonne, on a notre destin en mains. »
Marseille toujours en course. Nullement perturbés par les rumeurs de l'arrivée de Bielsa comme entraîneur de l'OM, les Phocéens reviennent dans la course à l'Europe au prix d'une victoire soufflée aux Montpelliérains dans les dernières minutes par Dimitri Payet.

Sirigu : «Il faut qu’on assume»
Par Paolo Biggeri, 14-04-2014

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- Panoramic
Eliminé de la Ligue des champions, le Paris Saint-Germain a connu une deuxième défaite consécutive à Lyon (0-1) dimanche en Ligue 1. Face aux micros, Salvatore Sirigu a tenu à faire passer un message positif.
Salvatore, quelle analyse faites-vous de cette défaite à Lyon (0-1) ?
Salvatore Sirigu : Après l’élimination face à Chelsea, nous voulions vraiment rebondir. Après, c’est difficile de se remettre dedans. Concernant le match de Lyon, en analysant d’un point de vue purement technique, je pense que nous n’avons pas démérité. Il n’y a qu’à voir nos 30 dernières minutes. Après, on a manqué de réalisme. Nous n’avons pas réussi à concrétiser certaines occasions qui, avant, auraient été plus faciles à mettre au fond. On paie cher des petites fautes d'inattention. Avant, on ne prenait pas non plus ce genre de but. L’équipe a besoin de se retrouver.
La semaine avant la finale de Coupe de la Ligue risque d’être difficile…
Le monde du foot est compliqué. Ça l’est encore plus après deux défaites pour le Paris Saint-Germain d’aujourd’hui. Il y aura des critiques toute la semaine. Des analyses négatives sur les joueurs, sur le plan de jeu, sur plein de sujets. Après, nous sommes des joueurs professionnels et c’est à nous de garder un certain équilibre. Dans ces périodes plus négatives, il faut garder les forces qui nous habitaient dans les moments positifs.

On n’est pas devenus des cons du jour au lendemain…
—

La confiance est-elle touchée ?
Non. Mais il faut qu’on la retrouve. Peut-être que ce soir (dimanche) il y avait un peu de déception légitime. En ce moment, on est un peu triste parce qu’on n’a pas le sentiment de faire des erreurs importantes et nous les payons cher. Ça fait mal. Ça faisait déjà mal à Londres, ça le fait aussi à Lyon… Nous ne sommes pas une équipe qui est habituée à perdre. On n’a connu que cinq défaites cette année. Il faut qu’on assume mais surtout qu’on garde notre équilibre. Qu’on reste positif. Il y a encore une finale à jouer et on espère la gagner. Il faut aussi qu’on fasse de notre mieux pour bien finir le championnat.
Quels ingrédients faudra-t-il mettre pour battre Lyon dans moins d’une semaine ?
On s’est toujours bien entraîné pour être prêt. La défaite d’aujourd’hui et la rage que nous avons, il faut la transformer en énergie positive et chercher à retrouver le chemin de la victoire pour la finale. Les ingrédients à mettre ? Etre mobilisés dès demain à l’entraînement, de chercher à oublier cette défaite, de chercher à identifier ce qu’on a aussi raté. Jusqu’ici, on a quand même fait quelque chose bien sur le terrain. On n’est pas devenus des cons du jour au lendemain…

C’est à nous de faire le mieux possible sans Zlatan
—

L’absence d’Ibrahimovic peut-elle expliquer vos difficultés à marquer ?
Oui, bien sûr ! C’est un joueur qui fait la différence. On a des joueurs pour bien le remplacer mais ils n’évoluent pas dans le même registre. Maintenant est-ce qu’avec Zlatan ça aurait été différent ? Peut-être que oui, peut-être que non… Il faut donner la confiance aux gens qui le remplacent. Ce sont quand même de très bons joueurs. La réalité du jour, c’est qu’Ibra n’est pas là et c’est à nous de faire le mieux possible sans lui…
Allez-vous organiser un repas entre vous durant la semaine pour vous remobiliser ?
On l’a toujours fait ! Ce n’est pas ça la solution…

Galtier : «Lille s'est échappé»
13/04 20h32 - Football, L1
Après le match nul de Saint-Etienne à Reims (2-2) ce dimanche, Christophe Galtier, l'entraîneur des Verts, a confié son sentiment. «Lille s'est échappé et je ne vois pas comment on peut aller les chercher. Il faut tout faire pour conserver cette quatrième place, mais il ne faut pas trop se focaliser la-dessus. Il faut rester dans le jeu, dans l'envie de jouer, de prendre du plaisir pour gagner. L'objectif est de finir le plus haut possible, mais cela passe par du relâchement.»

Paris sans réaction


Jordan Ferri, après sa frappe enroulée qui a trompé Salvatore Sirigu.

Par Jean-Sébastien Grond
Publié le 13 avril 2014 à 22h54
Mis à jour le 14 avril 2014 à 00h27

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Sans génie en l’absence d’Ibra, le PSG s’est incliné sur le terrain de l’OL (1-0), dimanche soir, en clôture de la 33e journée de Ligue 1. L’élimination en Ligue des champions contre Chelsea, mardi, est encore dans les têtes et Laurent Blanc doit remotiver ses troupes avant la finale de la Coupe de la Ligue, samedi prochain, contre ces mêmes Gones.
"Thiago Silva est déjà parti au Brésil, c’est fini !" A la mi-temps du choc entre l’OL et le PSG (1-0), dimanche soir, Pierre Ménès a livré une analyse exagérée mais si symbolique de l’état actuel des Parisiens. Les joueurs de Laurent Blanc sont encore sous le choc de l’élimination en quart de finale retour de la Ligue des champions sur le terrain de Chelsea (2-0). Très proche d’un deuxième titre de champion (même si le sacre est repoussé, avec Monaco revenu à 10 points après cette 33e journée), Paris doit vraiment se remobiliser pour aborder la finale de la Coupe de la Ligue, samedi prochain contre les Gones, comme un favori intraitable. Ce qu’il peut largement être même sans Zlatan Ibrahimovic.
Sauf que, sans son géant suédois, l’équipe de la capitale perd tellement de sa superbe. En son absence, seulement 4 buts ont été marqués en 4 matches, dont les deux réalisations contre son camp de Reims. Lors de cette 2e défaite en championnat, après l'exploit d’Evian TG (2-0), début décembre, le PSG a seulement manqué de génie dans les zones de vérité. Les visiteurs de Gerland ont pourtant dominé dès l’entame, sous le contrôle d’un duo Cabaye-Motta et à l’aide des accélérateurs Matuidi et Pastore. Mais ils n’ont jamais su avoir la précision nécessaire pour revenir au score après le but de Ferri à la 31e minute. Les entrées de Lucas (58e) et Ménez (79e) n’ont pas vraiment changé les choses, Lopes répondant présent sur quelques ballons chauds.

Cavani a tout raté
Surtout, Sirigu et ses coéquipiers ont été plombés par le manque de réussite et de réalisme de Cavani. Déjà coupable d’avoir raté une énorme occasion à Stamford Bridge, l’Uruguayen a encore déçu. D'abord sur une tête à bout portant brillamment repoussée par Lopes (2e) puis en optant pour une simulation (vue par M. Turpin mais non sanctionnée) après un crochet devant le portier adverse (8e). Après l’ouverture du score lyonnaise, "Edi" a eu l'occasion de démontrer sa maladresse et de confirmer son manque de confiance (41e, 52e ou 63e). Un avant-centre trop handicapant sur cette rencontre.
Au moins, l’opposition tactique aura été intéressante en raison de la bonne prestation rhodanienne. Regroupés autour de leur milieu en losange, les hommes de Garde ont su ressortir la balle en faisant preuve de calme. Certes, Ferri a trouvé la faille d’une frappe enroulée de 25 mètres après avoir intercepté une passe de Lavezzi, mais Gomis avait pu se mettre en évidence lors du premier quart d’heure, en étant énorme dans son jeu de corps aux dépens de Digne puis de Cabaye, pour deux frappes imprécises (11e et 13e). Au SDF, l’attaquant pourra d’ailleurs retrouver le soutien de Lacazette ou Malbranque, envoyés sur le banc après le quart de finale retour de Ligue Europa contre la Juventus (2-1), jeudi. Ça promet

Aulas reste prudent


Jean-Michel Aulas entend proposer des solutions. (Reuters)

Par Alban Lagoutte
Publié le 14 avril 2014 à 07h51
Mis à jour le 14 avril 2014 à 07h55

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Si l'Olympique Lyonnais est tout à sa joie d'avoir fait mordre la poussière au Paris Saint-Germain en championnat de France, l'heure n'est pas à l'euphorie entre Rhône et Saône. Et pour cause, il fait de nouveau falloir se frotter aux Franciliens samedi prochain en finale de la Coupe de la Ligue.
Alors que le club de la capitale a passé une semaine difficile, l'Olympique Lyonnais termine la sienne avec le sourire. Certes, les hommes de Rémi Garde ont été éliminés par la Juventus Turin en quart de finale de la Ligue Europa malgré une prestation d'ensemble encourageante au retour, mais ils ont surtout réussi à faire chuter le Paris Saint-Germain à Gerland dimanche soir, pour le compte de la 33e journée de Ligue 1.
D'une part, les Rouge et Bleu viennent d'enchaîner deux revers consécutifs toutes compétitions confondues, et d'autre part ils sont d'ores et déjà prévenus avant la finale de la Coupe de la Ligue face aux Gones, prévue samedi prochain au Stade de France. Anthony Lopes et les siens ne débarqueront pas sur la pelouse de l'enceinte dyionisienne en victimes expiatoires malgré la toute puissance du champion en titre.

Des efforts à reproduire samedi
"On peut maintenant se tourner vers la finale. On n’a pas pris d’ascendant. Le PSG, c’est une grande équipe", prévient toutefois le dernier rempart lyonnais sur le site officiel du club. "Restons concentré pour le seconde manche qui risque d’être terrible", renchérit lui Jimmy Briand.
"L’équipe du PSG est plus forte. Il a fallu une grande équipe de l’OL et un état d’esprit irréprochable pour faire ce résultat. Je félicite Rémi Garde pour avoir préparé son équipe de cette manière. Il y a la victoire et il y a aussi la qualité de jeu avec une volonté farouche, a d'abord tenu à expliquer Jean-Michel Aulas. Il ne faut pas prendre la grosse tête pour samedi. Paris est favori. On n’aura pas la partie facile."
Pas question pour le président de l'OL de fanfaronner à outrance. Mais il ne boude pas pour autant son plaisir. Certes, la Coupe de la Ligue 2014 est encore loin de la vitrine où trônent les autres trophées remportés par l'équipe, mais la quatrième place du classement de Ligue 1 occupée par l'AS Saint-Etienne n'est elle qu'à deux petites longueurs plus haut. Et après avoir mordu la poussière lors du dernier derby face au Vert, nul doute que JMA aimerait particulièrement terminer devant son rival au soir de la 38e et dernière levée du championnat.

PSG-T. Silva: "Ils n'ont gagné qu'un match"

Thiago Silva a donné son sentiment à l’issue de la défaite du PSG dimanche à Lyon lors de la 33e journée (1-0), la deuxième en Ligue 1 cette saison du club parisien. "C'est un moment difficile pour nous, ça arrive dans une saison. Lyon est une très bonne équipe et elle nous a été supérieure, a confié le défenseur brésilien au Parisien. Mais ils n'ont gagné qu'un match, le champion de France s'appellera Paris. Ce résultat n'aura pas d'incidence pour la finale (de la Coupe de la Ligue, ndlr). Ce sera du 50-50. Samedi, il s'agira d'un match totalement différent."

MDR Paris qui perd contre Lyon j'ai pas vu le match pour dire s'il est arrangé ou pas mais quand je vois Menez qui joue c'est que Blanc n'avait pas vraiment envie de gagner lol


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  Jimmy Armandi Trop fort ce Aulas !
  il y a 16 heures · J’aime
  
  
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  Theo Neymar Il leurs on donne le match quand i doivent gagner i perde c'est pd !
  il y a 16 heures · J’aime
  
  
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  Thierry Banuls non mon fils il on joue lion 4 a zero ce pareil
  il y a 15 heures · J’aime
  
  
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  Tchoi Fada J'ai pas vu le match un pote vien de me dire que que eu un penalty refuser et 2 but refusée
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  Tchoi Fada Apret comme j'ai dit je l'ai pas vu le match
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  Elie Emsellme un lyonnais ne tournera jamais ses yeux vers la mediterranee se considerant dans la 2 eme ville de France à egalité avec la capitale ; vu le peu d'entrain de paris on pourrait croire à un match donné ! contrepartie ?? coupe de la ligue à paris ca paraitrait peu plausible
  

Nasser al-Khelaïfi entre colère et prospection
Par Nicolas Cerbelle, 15-04-2014

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Nasser al-Khelaïfi n'a pas totalement confiance en Laurent Blanc - Panoramic
Alors que Laurent Blanc tarde à prolonger son contrat au PSG, le président Nasser al-Khelaïfi, furieux après la défaite à Lyon dimanche soir, sonderait le marché des entraîneurs.
La scène n’a pas échappé aux journalistes présents à Gerland dimanche soir. Regard noir, visage fermé, Nasser al-Khelaïfi a eu du mal à contenir sa colère après le deuxième revers en cinq jours du PSG, dimanche à Lyon (1-0). Contenant sa colère, le président parisien s’est muré dans le silence, refusant même d’aller saluer les joueurs et le staff dans les vestiaires, comme il en avait pris l’habitude cette saison. Lundi, il est rentré au Qatar, où il a prévu de passer cinq jours. Son retour à Paris est prévu pour samedi, jour de la finale de la Coupe de la Ligue ; jour où le destin de Laurent Blanc pourrait être définitivement scellé.
La confiance en Blanc s’effrite
L’avenir de l’entraîneur s’écrit aujourd’hui en pointillé. Lui qui devait initialement prolonger son contrat au lendemain du quart de finale retour de la Ligue des champions disputé contre Chelsea, n’a toujours rien signé. Cela ne veut pas dire que Blanc n’a pas eu d’offre. «J’ai une proposition et je me donne dix jours pour y répondre, parce qu’il y a des choses importantes qui vont se passer sur le terrain, a-t-il expliqué samedi dernier en conférence de presse. Des choses peuvent changer.» Cela veut seulement dire que les conditions du contrat ont été remises en perspective. La confiance qu’il avait fini par acquérir auprès de la direction de QSI semble s’être envolée. Désireux d’avoir plus d’influence sur la composition de son staff et sur le recrutement, Blanc n’a certainement pas obtenu ce qu’il voulait. Il est légitime de penser que certaines clauses dépendent désormais de résultat de la Coupe de la Ligue.
Quoi qu’il en soit, toutes ces tergiversations alimentent les rumeurs et laissent du temps à Nasser al-Khelaïfi pour cogiter, voire prospecter. Très proche de certains cadres comme Zlatan Ibrahimovic ou Thiago Silva, le président qatarien, s’interrogeant sur les capacités de Blanc à remobiliser les troupes en période de tempête, aurait sondé le vestiaire. Pour beaucoup, les propos du défenseur brésilien assurant le «soutien du groupe à l’entraîneur» font partie d’un discours de façade. Car en off, la vérité paraît différente. «Ce qui se passe au club n’apporte pas la sérénité nécessaire», lâche dans Le Parisien un joueur préférant garder l’anonymat.
L’agent de Diego Simeone consulté ?
Selon L’Equipe, Nasser al-Khelaïfi entretiendrait le contact avec Jorge Mendes, agent de Cristiano Ronaldo mais aussi de Diego Simeone, le technicien argentin de l’Atlético Madrid, cité parmi les potentiels successeurs de Blanc. Arsène Wenger, en fin de contrat avec Arsenal, serait lui toujours considéré en haute estime. Quant à Leonardo, ancien directeur sportif du PSG, éminence grise de Nasser al-Khelaïfi, il activerait actuellement des pistes pour trouver un nouvel entraîneur au club parisien. Si cette rumeur a été démentie par l’intéressé lui-même, elle entretient l’idée d’une fin de saison non maîtrisée à Paris, qui n’a (rappelons-le) toujours pas remporté officiellement le titre de champion de France…

Les Parisiens ont le cafard

Publié le 15/04/2014 à 08:32



Dimanche, même Thiago Silva n'a pas trouvé la solution et c'est tout Paris qui a enfilé le masque./Photo AFP




En perdant à Lyon dimanche (0-1), Paris n'a pas mis son futur titre de champion en danger mais il a clairement montré que la motivation manquait en cette fin de saison.
S ur un petit nuage depuis le début du championnat, bien au chaud sur son trône, le Paris-SG a quelque peu refroidi son atmosphère en tombant à Gerland, dimanche soir. Une défaite sans gravité sur le plan comptable, puisque Paris conserve 10 points d'avance (et 28 buts !) sur Monaco. Mais un résultat qui cristallise les tensions, la fatigue et le manque de motivation de cette fin de saison : conséquences directes à la fin de parcours européen en quart de finale de la Ligue des champions contre Chelsea (3-1, 0-2). De plus, le PSG a, pour la première fois depuis 28 mois, enchaîné 2 défaites consécutives toute compétition confondue.
À l'image du Barça
Comme le FC Barcelone, qui a chuté à Grenade samedi en Liga (0-1) et qui a été éliminé au même stade par l'Atlético Madrid (1-1, 0-1), le Paris-SG a donc perdu le premier match de championnat suivant son éviction de C1. Dans ce cas-là, la comparaison à un grand d'Europe est beaucoup moins flatteuse. Autre similarité, les deux clubs ont l'occasion de relancer la machine en remportant une coupe nationale. Le Barça contre le Real Madrid en Coupe du Roi (demain, 21h30 sur Canal+ Sport). Paris contre… Lyon en Coupe de la Ligue (samedi, 21h sur France 2). La seule opportunité, au niveau des titres, pour faire mieux que l'an dernier : objectif annoncé par les dirigeants qataris en début de saison.
Pour cela, «il va falloir remobiliser le groupe et que certains éléments retrouvent leur efficacité offensive» dixit Laurent Blanc. Un reproche à demi-mot semble-t-il adressé à Edinson Cavani…
«L'Ibradépendance» du PSG
Dans l'ombre de Zlatan Ibrahimovic, Edinson Cavani s'est révélé être l'équipier modèle. Sans lui, l'Uruguayen ne brille pas. Et pourtant, peu avant la blessure du n°10, il réclamait plus de responsabilités, souhaitant reprendre sa vocation : conclure les actions. Échec cuisant à Stamford Bridge et à Gerland… Résultat ? En une semaine sans sa star suédoise, le PSG a perdu plus de matches que sur toute la saison !
Pour ne rien ajouter au malaise, Blanc n'a toujours pas donné sa réponse pour la prolongation de son contrat (fin juin 2015). Se sentirait-il moins désiré ?
La déclaration de Thiago Silva après le match contre Chelsea a, en tout cas, fait état d'une sérénité en berne : «Ils ont un entraîneur et des joueurs très expérimentés.» Un sous-entendu lourd de sens

PSG: Leonardo, le retour ?

C'est bien sûr une information à prendre avec des pincettes puisque Leonardo, le principal intéressé, l'a lui même démentie dans la foulée. Mais, selon les informations du Parisien, l'ancien Directeur sportif du PSG chercherait un successeur à... Laurent Blanc. Selon nos confrères, le Brésilien aurait réactivé son réseau pour voir les entraîneurs susceptibles d'être intéressés par le challenge. Une initiative qui serait personnelle puisque, toujours selon le quotidien régional, Nasser Al-Khelaïfi, le président du club de la capitale, ne l'aurait pas sollicité sur le sujet. Du coup, certains pensent même que l'ancien gaucher de l'AC Milan, notamment, serait prêt à revenir chez le champion de France 2013 pour endosser le rôle actuellement détenu par l'ancien sélectionneur des Bleus. "C'est absolument faux ! Je ne cherche rien pour le PSG", a pour sa part réagi Leonardo.

PSG : Leonardo ne cherche pas d’entraineur
Par La rédaction, 15-04-2014

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- Panoramic
Si certaines sources laissent entendre qu’il s’activerait dans l’ombre pour trouver le futur entraîneur du PSG, Leonardo a apporté un démenti clair, net et précis sur RMC. Il souhaite revenir à une carrière de coach et assure ne plus avoir aucune influence à Paris.  
Leonardo s’active-t-il en coulisses pour dénicher le successeur de Laurent Blanc ? C’est ce qu’on pouvait lire ce mardi matin dans les colonnes du Parisien. Mais l’intéressé a fermement démenti cette théorie sur les ondes d’RMC. «Les informations n’ont rien de vrai. Je ne cherche pas d’entraineur pour Paris. Je suis parti du PSG, c’était une histoire très belle, une expérience très positive. Cette histoire est finie. Je n’ai pas le projet de revenir à Paris. Je ne suis pas lié au PSG. Je n’ai aucune influence. Je ne travaille pas dans l’ombre du PSG, je n’ai aucun projet de revenir au PSG», a affirmé l’ancien international brésilien, qui avait quitté la capitale l’été dernier suite à une lourde suspension infligée par les autorités du football français suite à un coup d’épaule donné à un arbitre au cours de la saison passée. «Le vais attendre la dernière décision, dans 10 jours à peu près. Le rapporteur public (du Conseil d’Etat) m'a donné raison, j’espère que le Conseil d’Etat va le suivre», a-t-il précisé à ce sujet.
L’avenir de Leonardo ? Il passe visiblement par le banc. L’ancien directeur sportif du club parisien souhaite retrouver un poste d’entraîneur. Il l’a réaffirmé. «Ce ne sera pas au PSG l’an prochain», a-t-il aussitôt indiqué. D’ailleurs, Leonardo croit que Laurent Blanc sera toujours en poste pour 2013-14. «On ne peut pas changer d’entraineur chaque année», justifie-t-il, avant d’assurer que Blanc «sera le futur du PSG». Un futur que représentent également Javier Pastore, Lucas ou Marco Verratti, pas exempts de tout reproche en quarts de finale de la C1 contre Chelsea. «On a fait un recrutement pour le présent et le futur. On a intégré des joueurs de très haut niveau et des joueurs très prometteurs. Il y a de la concurrence, c’est dur pour tout le monde. C’est normal que des joueurs souffrent. Aujourd'hui on a des joueurs comme (Lucas) Digne, Marquinhos mais aussi Lucas ou Verratti qui sont le futur du club», affirme Leonardo, qui ne prête d’ailleurs guère attention aux pseudos tensions qui semblent apparaitre en ce moment dans le vestiaire. «C’est le cas dans toutes les grandes équipes», a-t-il rappelé. «Leo» croit d’ailleurs toujours le PSG capable de remporter la Ligue des champions. Peut-être dès l’année prochaine.  
Al-Khelaifi veut garder Blanc
Restera, restera pas ? L’avenir de Laurent Blanc à la tête du PSG était tout sauf certain depuis quelques jours. Nasser al-Khelaifi a donc tenu à clarifier la situation de son coach dans une interview à paraitre demain, mercredi, dans les colonnes du Parisien : «C’est très simple : Laurent Blanc est notre entraîneur aujourd’hui et j’insiste sur le fait que je veux qu’il le reste. J’ai été très clair là-dessus avant le match retour de Ligue des champions contre Chelsea et mon opinion n’a pas changé après cette rencontre.» La balle est donc dans le camp de Laurent Blanc.

Le PSG interdit de recrutement ?
16/04 09h33 - Football, LdC
Selon le quotidien britannique The Telegraph, l’UEFA s’apprêterait à dévoiler les sanctions retenues contre une vingtaine d’équipes, punies pour le non-respect des nouvelles règles en matière d’équilibre financier. Dans la ligne de mire, le PSG et Manchester City pourraient se voir interdire tout recrutement lors du prochain marché des transferts cet été. Pour le moment, l’instance européenne n’a pas confirmé cette information, mais devrait communiquer dans les prochains jours. En cas de sanction, les clubs auront l'occasion de faire appel

Duel PSG-Monaco pour Conte ?
18/04 10h09 - Football, L1
La réussite d'Antonio Conte à la Juventus attise les convoitises. Notamment en France. Le technicien transalpin, sous contrat jusqu'en juin 2015, figurerait en effet à la fois sur les tablettes du PSG pour remplacer Laurent Blanc et celles de Monaco pour succéder à Claudio Ranieri.

Football: Le Barça cherche-t-il à vendre Messi au PSG dans son dos?
Le 18 avril à 14h23 par St.S. | Mis à jour il y a 15 heures
Le Barça tourne-t-il le dos à Messi ou est-ce l'inverse? PHOTO/AFP LLUIS GENE
Selon Esport 3, la chaîne de sportive de la télévision catalane, l'entourage de Messi est convaincu que le club veut le vendre à un autre club.
Pour Messi, la réticence du Barça à revaloriser son contrat et les offres mirobolantes de ces derniers mois venues du Paris Saint-Germain sont autant de signaux qui laissent à penser à une vente prochaine.

Déjà, en 2013, le renouvellement du contrat (et la revalorisation du salaire) de Messi avait été compliqué. Il avait fallu l'intervention du président  Sandro Rosell pour débloquer la situation. Les négociations de cette année, sont encore plus difficiles avec de nombreux désaccords entre les deux parties.
Selon Esport 3, le PSG ne fait plus de mystère de son désir d'attirer l'Argentin. Et les Parisiens seraient prêts à payer le prix fort de sa clause : 250 millions d'euros.
L'entourage de Messi estime que cette insistance parisienne ne se ferait pas sans l'accord du club catalan. Le fait que le Qatar soit le propriétaire du PSG et le sponsor principal du club catalan renforce cette idée chez Messi et les siens.
Pour Esport 3, Messi se sent floué. D'une part parce qu'il considérerait le championnat français comme étant trop peu compétitif pour lui. D'autre part parce qu'il a déjà montré sa fidélité au club par le passé pas plus tard que l'été dernier où il aurait repoussé cinq offres majeures dont une du Real Madrid, club que Messi a toujours refusé de rejoindre.
Un club aux abois
Reste que l'hypothèse d'un départ de Messi est crédible. Tout d'abord parce que la "Messi dépendance" semble toucher ses limites cette saison dans le jeu désormais bloqué du Barça. Puis le club est au bord de l'implosion financière avec les affaires qui se succèdent et ne cracherait pas sur 250 M d'euros. Surtout qu'une prolongation de contrat de Messi se fera forcément sur la base d'un salaire supérieur à celui de Neymar (15 millions par an contre 11 à l'Argentin actuellement). Pas viable du tout pour un Barça en crise.
Mais le président qui laissera partir Messi devra l'assumer devant les socios. A moins que Bartomeu ne se sacrifie avant de convoquer des élections. Pas impossible.
Et vous, qu'en pensez-vous? Messi doit-il partir de Barcelone?

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Nos illustrations des maillots du #PSG pour la saison prochaine. Plus d'infos ici : http://forum.culturepsg.com/index.php?showtopic=4375 …
4:29 PM - 18 Avr 2014
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Blanc : «Retrouver le vrai PSG»
18/04 19h23 - Football, CdL
En conférence de presse d'avant-finale de la Coupe de la Ligue contre Lyon, l'entraîneur parisien, Laurent Blanc, a confié son sentiment. «L'OL fait partie des meilleures équipes françaises, de par l'idée de jeu développée, de par ses joueurs... A l'aller, malgré la victoire 4-0, ils nous avaient posés des problèmes. Dimanche dernier aussi. On peut expliquer la défaite à Lyon (1-0) par beaucoup de choses, mais ce n'était pas une défaite tactique. On a eu trop de lacunes sur ce match, pourtant on aurait aussi pu faire très mal en étant efficace. Lyon a su utiliser nos faiblesses. Nous n'avions pas le bon état d'esprit dans la récupération du ballon. Là, j'espère qu'on va retrouver le vrai Paris SG.»

PSG: Blanc défend (un peu) Cavani

En conférence de presse, avant la finale de la Coupe de la Ligue entre le PSG et Lyon, Laurent Blanc a refusé d'évoquer la méforme d'Edinson Cavani pour expliquer la période délicate que traverse son équipe depuis quelques matches.
"Il ne faut pas se focaliser sur un joueur", a expliqué le "Président", qui a préféré passer un message à ses milieux de terrains. 
"Ça fait deux matchs qu’on ne marque pas, alors qu’on marquait pratiquement à chaque match depuis le début de saison, a expliqué Blanc. Il faut qu’on essaye de mettre des joueurs pour amener nos joueurs à être efficaces. Il nous faut des bons passeurs. Nos attaquants, Lucas, Cavani, Lavezzi sont des joueurs de rupture, d’espace ; il leur faut des bons ballons."

PSG-Thiago Silva: "C'est important pour le club"

Thiago Silva est prêt à en découdre avant la finale de Coupe de la Ligue, samedi face à Lyon. "C’est évidemment difficile de jouer contre une équipe avec autant de qualité, ils nous ont mis en difficulté à chaque fois, a déclaré le Brésilien vendredi. Mais samedi, ce sera une finale, c’est un autre match. Ce sera différent. Elle arrive et c’est important pour le club. On espère produire un autre match et gagner." Quant à la concentration du Brésilien alors que la Coupe du monde approche, le capitaine du PSG tient à mettre les choses au clair: "Il y a eu des rumeurs après Chelsea, comme quoi je n’avais pas la tête au PSG et je pensais déjà au Mondial… Ç’aurait été différent si on avait gagné, on aurait dit pareil mais pour les joueurs de Chelsea." Pour rappel, les Blues ont éliminé Paris en quarts de finale de Ligue des champions (victoire 3-1 du PSG à l'aller à Paris, défaite 2-0 au retour à Londres). "La pression est normale car nous avons été éliminés, mais les gens parlent parfois sans réfléchir et regrettent ensuite, termine Thiago Silva. Je ne pense qu’au PSG jusqu’à la fin de la saison, j’ai envie d’atteindre tous les objectifs. Et une fois la saison finie, on pensera au Mondial."