QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

Ligue des Champions. Arsenal s'est bien entraîné

Publié le 27/11/2013 à 03:49, Mis à jour le 27/11/2013 à 08:24



Doublé tranquille pour Wilshere, hier soir. /photo AFP



Passe de Sagna le long de la ligne de touche droite, Wilshere sème Morel, rentre dans la surface et place un crochet sur Lucas Mendes puis une frappe enroulée du gauche dans la lucarne opposée. On joue depuis trente-trois secondes (c’est le but le plus rapide de la saison en Ligue des champions), et Arsenal a déjà ouvert le score quand les Marseillais ne sont pas encore en place !
Le début de rencontre, marqué ensuite par un sauvetage de Mandanda (7), est catastrophique pour l’OM, même si Szczesny doit sortir dans les pieds de Gignac (20).
Menés, les Marseillais ne tentent rien. OK, l’OM n’attend rien de cette soirée, mais de là à servir de faire-valoir aux Gunners, il y a un monde. Heureusement, dans un match où Arsenal n’a même pas besoin d’accélérer, Özil laisse les Marseillais dans le coup, en trouvant le moyen de manquer un penalty (36).
Sans forcer son talent et malgré des interventions cruciales de Mandanda après le repos, Arsenal double la mise sur une simple accélération, qui permet à Wilshere de doubler son score (65).
L’entrée en jeu de Thauvin permet à l’OM de faire meilleure figure, Monreal (74) et Szczesny (77) l’empêchant de réduire le score. Mais ce n’est vraiment pas suffisant pour espérer autre chose que cette cinquième défaite en cinq matches.

Ligue des Champions : victorieux de l'Olympiakos le PSG qualifié pour les huitièmes
Le 27 novembre à 22h33 | Mis à jour il y a 8 heures
Ibrahimovic puis Cavani ont scoré PHOTO/AFP MARTIN BUREAU
Zlatan Ibrahimovic, auteur du premier but qui a envoyé le Paris SG en 8e de finale de la Ligue des champions, mercredi lors de la victoire contre l'Olympiakos (2-1), a démontré que la récente élimination de la Suède en barrages du Mondial-2014 n'était plus qu'un mauvais souvenir. "N'est-il pas trop affecté par cet échec?" La question n'a cessé d'être posée ces derniers jours, essentiellement à Laurent Blanc qui, parfois agacé autant que déçu pour sa star -une des rares qui manquera la grande fête brésilienne l'été prochain-, s'est borné à répéter qu'il avait "un bon état d'esprit". La déception de Solna il y a une semaine fut pourtant bien grande, à la hauteur de sa performance contre le Portugal à qui il a marqué deux buts qui ont donné l'espoir à toute la Suède. Un espoir qu'en face, Cristiano Ronaldo, immense, s'est employé à étouffer d'un triplé époustoufflant (3-2) pour envoyer son pays en Coupe du monde. A Reims, samedi pour son retour aux affaires courantes de la L1, son but plein d'opportunisme qui a puni la mauvaise relance du gardien adverse Agassa en toute fin de match, a récompensé sa bonne implication 90 minutes durant. Ses coéquipiers ne s'y sont pas trompés en allant le féliciter plus chaleureusement qu'à l'accoutumée, provoquant chez lui un sourire teinté de gratitude.
Contre l'Olympiakos, Zlatan l'insatiable n'a pas attendu aussi longtemps pour montrer de nouveau les crocs et laisser échapper sa joie. Sur ce qui apparait au fil des matches européens comme un grand classique du jeu développé par Paris, "Ibra" a été à la conclusion, de près, d'un mouvement à une touche de balle initié par Cavani qui a ensuite trouvé Van der Wiel, auteur de sa 4e passe décisive de la saison. Ce but, dès la 6e minute, a été la copie conforme de ceux marqués contre Benfica (3-0) et à Anderlecht (5-0). Cette fois, ce sont des "Ibra!" "Ibra!" "Ibra!" émanant du Parc des Princes qui se sont empressés d'accompagner le but, le 8e du Suédois dans cette phase de groupes qui lui permet de partager avec Ronaldo la tête du classement des buteurs et surtout d'égaler avec le Portugais le record en phase de poules co-détenu par Van Nistelrooy, Inzaghi et Crespo.

Sa faim de but étant momentanément rassasiée, il a vite reculé pour jouer les chefs d'orchestre, usant tantôt de transversales, tantôt de dribbles déroutants, tantôt de passes en profondeur, comme celle que Cavani ne put exploiter efficacement (23e).
Vingt minutes ont suffi pour en avoir définitivement la preuve: "le bon état d'esprit" l'habitait bien et avec lui, cela va de pair, le plaisir du beau jeu, comme sur cette roulette-talon qui a humilié Manolas peu avant la pause. En seconde période, l'exclusion de Verratti pour un second carton jaune (46e) a redonné à la rencontre un suspense qu'Ibrahimovic a été près de tuer d'un tir surpuissant, sur un coup franc lointain, qui a obligé Roberto, le portier espagnol de l'équipe grecque à une parade (51e). Danger constant pour la défense adverse, comme sur ce tir juste au-dessus (60e), Zlatan n'a pas non plus oublié d'être guerrier pour souvent revenir défendre, parfois jusqu'en position d'arrière droit, souvent à bout de souffle. Tant est si bien que Laurent Blanc l'a sorti à 12 minutes du terme, juste avant l'égalisation sur corner de l'Olympiakos. Heureusemment pour le PSG, le sacrifice de Zlatan fut payant avec le but de la victoire finalement marqué par Cavani.

Girondins-Francfort : plus de supporters allemands que bordelais attendus jeudi
Le 27 novembre à 12h18 | Mis à jour il y a 19 heures
Carlos Zambrano jouera quasiment à domicile jeudi face aux Girondins de Bordeaux. PHOTO/AFP JACK GUEZ
Près de 12.000 supporteurs de Francfort sont attendus jeudi soir à Bordeaux pour le match de la 5e journée de l'Europa League, a confirmé le club girondin qui leur a réservé l'intégralité du virage nord du stade Chaban-Delmas. Selon cette même source, ce contingent est le plus important de l'histoire européenne des Girondins.
"C'est même du jamais vu en Europe, de pays à pays, pour des matches de poules, précise David Lafarge, le responsable de la sécurité aux Girondins. Il y aura plus d'Allemands dans le stade que de spectateurs français."

En 2009, Bordeaux avait accueilli 8400 supporteurs de Galatasaray, dont une grande majorité habitant en France et en Allemagne, pour un 16e de finale aller d'Europa League. En 2000, 7400 fans du Celtic Glasgow, dont de nombreux "Français", avaient fait le déplacement en Gironde au 2e tour aller de la Coupe UEFA, alors que 7100 supporteurs d'Osasuna Pampelune, ville distante de 315 km de Bordeaux, avaient été recensés en 2007 pour un 16e de finale aller de la C3.
Pour acheminer ces supporteurs allemands, l'Eintracht a affrété trois Boeing 757 (capacité 300 places), 70 bus et une centaine de minibus. Le reste des supporteurs devrait rejoindre la Gironde par vols lowcost ou par leurs propres moyens, indique le club bordelais. 
Pour les encadrer, 500 stadiers ont été réquisitionnés par le club et qui seront aidés par deux policiers allemands en tenue, quatre spotters allemands chargés de repérer d'éventuels hooligans, et 50 stadiers allemands. Au niveau des autorités, cinq compagnies de CRS viendront en renfort de la police de Bordeaux. Francfort, leader de la poule F avec 9 points, peut se qualifier pour les 16e de finale de l'Europa League s'il ne perd pas à Bordeaux, dernier avec 3 points.

Ligue des Champions. Le PSG remplit son contrat, à dix

Publié le 28/11/2013 à 03:52, Mis à jour le 28/11/2013 à 07:15

Avant-dernière journée de la phase de groupes.

Ibrahimovic + Cavani = le PSG en huitièmes de finale, après avoir largement dominé Olympiakos hier soir./ Photo AFP



Le huitième but de Zlatan Ibrahimovic en phase de groupes de la Ligue des champions (soit autant que Cristiano Ronaldo, qui ne jouait pas hier soir avec le Real contre Galatasaray), marqué d’entrée, a permis au PSG de gérer sa soirée en toute tranquillité.
Au repos, malgré quelques tentatives de Mitroglou (11 et 34) qui ont permis à Sirigu de ne pas mourir de froid dans sa cage, les Parisiens totalisaient 75% de possession du ballon, un chiffre barcelonesque, qui en dit long sur les progrès de cette équipe.
On attend avec impatience les prochaines échéances européennes, de février et mars, pour voir ce que saura faire le PSG face à de vrais adversaires, tant son début de saison en Ligue 1 ou dans ce groupe de Ligue des champions souligne qu’il n’a en fait aucun adversaire à sa cheville.
Hier soir, les Parisiens ont énormément fait tourner le ballon, une phase préparatoire terrible et frustrante, car ils l’ont confisqué aux Grecs. Et cette situation ne laissait alors présager rien de bon pour l’Olympiakos, condamné à craquer tôt ou tard.
Verratti exclu !
Sauf que, dès le retour des vestiaires, Verratti prend un deuxième carton jaune (46) qui relance l’intérêt de cette rencontre. Laurent Blanc reconstruit son milieu avec l’entrée en jeu de Rabiot, au détriment d’un excellent Lavezzi (50).
A dix, le PSG doit faire face à une équipe qui joue son va-tout, en amenant des joueurs offensifs, Weiss d’abord, Dominguez ensuite, Saviola enfin. Joli défi en perspective, car le pressing grec gêne son adversaire!
Les Parisiens ont les meilleures opportunités de la deuxième période, coup-franc d’Ibrahimovic (51), tir non cadré de Zlatan (61), frappe sèche du gauche de Rabiot (72). Mais ils se font rejoindre sur un corner et une tête de Manolas (80), le hors-jeu de Dominguez n’étant pas signalé... Qu’importe, Marquinhos lance Cavani, qui fait exploser le Parc (89). Le PSG est premier et en huitième de finale. Comme prévu.
PARIS SG 2 - OLYMPIAKOS 1
MT 1-0. Parc des Princes. 44000 spectateurs. Arbitre: Craig Thomson (Ecosse). Temps additionnel: 4‘ (1+3).
Pour le PSG: Ibrahimovic (7), Cavani (89).
Pour l’Olympiakos: Manolas (80).
PSG: Sirigu - Van der Wiel, Alex, Thiago Silva (cap), Maxwell - Verratti, Thiago Motta, Matuidi puis Lucas (85)- Cavani, Ibrahimovic puis Marquinhos (79), Lavezzi puis Rabiot (50). Entr.: Laurent Blanc.
Avertissements: Verratti (28, main), Van der Wiel (65, tacle par derrière sur Weiss), Matuidi (67, contestation), Cavani (88, contestation).
Exclusion: Verratti (46, antijeu sur Fuster, 2e carton jaune).
OLYMPIAKOS: Roberto - Salino puis Dominguez (57), Manolas, Siovas, Bong puis Weiss au repos - Maniatis (cap), Samaris - J. Campbell puis Saviola (77), Fuster, Holebas - Mitroglou. Entr.: Michel (Espagne).
Avertissements: Manolas (49, poussette sur Lavezzi), Dominguez (67, contestation), Weiss (71, charge irrégulière sur Thiago Motta), Maniatis (82, tacle irrégulier sur Thiago Motta).

12000 supporters de Francfort attendus à Bordeaux !

Publié le 28/11/2013 à 03:48

ligue europe. 5e journée.

Cheikh Diabaté aura-t-il le droit de jouer ce soir?/ Photo AFP



Si la Ligue Europe semble ne pas intéresser les Girondins qui aligneront une fois de plus, ce soir, une formation remaniée, ce n’est pas le cas partout en Europe: près de 12.000 supporteurs de l’Eintracht Francfort sont attendus à Bordeaux pour ce match de la 5e journée de la Ligue Europe, a confirmé le club girondin qui leur a réservé l’intégralité du virage nord du stade Chaban-Delmas.
«C’est même du jamais vu en Europe, de pays à pays, pour des matches de poules», précise David Lafarge, le responsable de la sécurité aux Girondins, «il y aura plus d’Allemands dans le stade que de spectateurs français.»
Pour acheminer ces supporteurs allemands, l’Eintracht a affrété trois Boeing 757 (capacité 300 places), 70 bus et une centaine de minibus. Le reste des supporteurs devrait rejoindre la Gironde par vols lowcost ou par leurs propres moyens, indique le club bordelais.
Francfort, leader de la poule F avec 9 points, peut se qualifier pour les 16e de finale s’il ne perd pas à Bordeaux, dernier avec 3 points.
De son côté, Lyon peut également se qualifier pour les 16e de finale s’il bat un Betis Séville préoccupé par sa situation très périlleuse en championnat, mais qui peut également se qualifier en cas de succès !
- Lyon - Betis Séville à 19h sur beIN Sport 1, Bordeaux-Eintracht Francfort à 21h05 sur W9 et beIN Sport 1

Paris s'adapte à tout
Rapidement réduit à dix puis rejoint sur la fin, le PSG s'est finalement imposé de justesse contre l'Olympiakos (2-1), mercredi. Assurés de terminer premiers de leur groupe, les Parisiens sont qualifiés pour les huitièmes de finale.

Ibrahimovic et Cavani ont assuré le succès du PSG. (L'Equipe)










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Cette fois, pas question de tergiverser ! Après avoir manqué une première occasion de se qualifier contre Anderlecht (1-1) il y a trois semaines, le Paris-SG a enfin assuré sa place en huitièmes de finale de la Ligue des champions suite à son court succès mercredi face à l’Olympiakos (2-1). Avec quatre victoires en cinq matches, il est désormais en plus certain de finir premier du groupe C. Inlassablement et presque mécaniquement, le club parisien continue sa marche en avant. D’une certaine façon tout du moins. Au vu de ses résultats surtout. Car sur le terrain, comme à l’aller face aux Grecs en première période (4-1), les Parisiens ont encore été mis en difficulté, poussés à défendre après l’expulsion de Verratti (46e) pour un deuxième carton jaune. Plus qu’ils ne l’envisageaient, c’est une certitude. Mais comme une évidence, ils ont fini par s’adapter et en sont encore sortis indemnes.

Ibrahimovic fête sa 100e par un but
Jusqu’à cette faute inutile du jeune milieu italien sur Fuster, un souffle après la reprise, tout allait pourtant bien. Sur une quatrième passe décisive de Van der Wiel cette saison en C1, Zlatan Ibrahimovic avait ouvert le score à l’issue d’une longue séquence collective (7e), un peu comme face à Benfica (3-0) au même endroit. Pour sa centième apparition en Ligue des champions, le Suédois s’était offert un beau cadeau en revenant à hauteur de Cristiano Ronaldo en tête du classement des buteurs avec huit réalisations. Toujours aussi maîtres du ballon (56% sur la totalité de la rencontre), les champions de France n’avaient pas laissé beaucoup d’espoir à leurs adversaires de ne pas repartir bredouille de la capitale. Unique danger helléniste mais permanent, Mitroglu a bien tenté sa chance (6e, 26e, 34e). En vain.

Fin de match cruelle pour l'Olympiakos

Au fil des minutes, malgré cette infériorité numérique, les joueurs de Laurent Blanc étaient même parvenus assez facilement à contenir les Rouge et Blanc. Mais après plusieurs tentatives échouées de faire le break, par Ibrahimovic (51e et 61e), Rabiot (72e) et Matuidi (74e), un deuxième coup de théâtre est alors venu troubler la quiétude du Parc des Princes. Sur corner, Manolas a égalisé en profitant d’une position de hors-jeu de son partenaire Dominguez (80e). Trop tard pour réagir, croyait-on à ce moment-là. Et finalement pas si grave, puisque Paris n’avait besoin que d’un point pour conforter son destin. Sauf que depuis deux ans, le PSG n’est plus cette équipe qui se contente du minimum. Les joueurs du Pirée auraient dû se méfier… Qualifiés eux aussi à quelques minutes du terme, ils ont vu leur situation changer du tout au tout en quelques instants avec le deuxième but de Cavani (89e), en bout de course, puis avec la victoire arrachée par le Benfica à Anderlecht (3-2). Invaincu à présent depuis treize matches consécutifs en C1, nouveau record du club, Paris figurera dans le Top 16 européen pour la deuxième année d’affilée. Et ce n’est peut-être que le début…

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Créé le 28/11/2013 - 07:48
PSG: Pour al-Khelaïfi, "Blanc mérite un long contrat"

S'il n'a pas souhaité confirmer mercredi, à l'issue de la victoire du PSG sur l'Olympiakos (2-1), avoir, oui ou non, offert une prolongation de contrat à Laurent Blanc, le président du club parisien Nasser al-Khelaïfi a néanmoins affiché toute sa confiance en l'entraîneur qui vient de qualifier son équipe pour les 8e de finale de la Ligue des Champions et occupe le fauteuil de leader de la Ligue 1. "Laurent Blanc est un grand entraîneur et mérite un long contrat. Je suis très content de son travail. C’est une discussion entre le PSG et son coach, pas avec les médias", a ainsi déclaré le dirigeant qatarien.

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Créé le 28/11/2013 - 07:14
PSG-Ibrahimovic: "Je sais ce que je pense de moi"

Zlatan Ibrahimovic, jamais avare de petites phrases croustillantes, en a lâché une petite mercredi à propos du Ballon d'Or Fifa. "C’est très important pour beaucoup de joueurs, mais pas pour moi, explique ainsi le Suédois. Je sais comment je me sens et ce que je pense de moi, et c’est le plus important. Je n’ai pas besoin de trophées pour ça." "Ibra" a inscrit le premier but de la victoire du PSG mercredi contre l'Olympiakos en Ligue des champions (2-1, 5e journée du groupe C).

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Créé le 28/11/2013 - 00:00
PSG-Maxwell: "Une grande force"

Maxwell a commenté la victoire du PSG contre l'Olympiakos (2-1) ce mercredi lors de la 5e journée de la Ligue des champions, synonyme de qualification pour les huitièmes de finale via la première place du groupe. "Comme contre Marseille, on a perdu un joueur important mais on a continué à jouer, même en étant plus bas, a expliqué le latéral brésilien au sujet de l'expulsion de Marco Verratti en début de deuxième période. On très content aujourd’hui d’être qualifié, c’est la chose la plus importante. On a démontré une grande force. On a la confiance mais on a l’effectif pour ça et aussi le cœur et l’envie. L’équipe a démontré un grand caractère. On a l’envie d’aller très loin mais ça se joue sur beaucoup de choses."

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Créé le 27/11/2013 - 23:50
PSG-Blanc: "Un sentiment de joie"

Laurent Blanc est revenu sur la qualification du PSG ce mercredi pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions après sa victoire contre l'Olympiakos (2-1). L'entraîneur parisien a salué aussi la première place acquise par les siens. "C’est un sentiment de joie", a expliqué l'ancien sélectionneur des Bleus devant les caméras de BeIn Sport. "Même à 10, même si on avait quelques difficultés à tenir le ballon, on avait quelques bons coups à jouer avec des appels des attaquants qui auraient pu être plus dangereux. En jouant à 10 contre 11, avoir encore l’envie d’aller de l’avant, marquer et gagner, c’est bien. Il fallait le réussir et le concrétiser. On a su être ambitieux et croire qu’on pouvait gagner.On l'a fait, cela prouve qu'on a une qualité mentale intéressante."

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Créé le 27/11/2013 - 19:34
Lyon: Danic écarté face au Betis

Pour la réception du Betis Séville, jeudi pour le compte de la 5e et avant dernière journée de la phase de poules de la Ligue Europa, Rémi Garde, l’entraîneur de l’OL, enregistre les retours de Mathieu Gorgelin et Clément Grenier. Le troisième gardien rhodanien est opérationnel après une blessure aux adducteurs, tandis que le meneur de jeu, suspendu pour Valenciennes le week-end dernier, est bien présent. Mouhamadou Dabo, touché au genou, est toujours absent, tout comme Anthony Lopes, en convalescence. Par contre, l'absence de Gaël Danic n'est pas expliquée par les Gones. Le groupe lyonnais: Vercoutre, Gorgelin – B. Koné, Bedimo, Bisevac, M. Lopes, Umtiti – Ferri, Fofana, Gonalons, Gourcuff, Grenier, Tolisso, Malbranque, Pléa – Briand, Gomis, Lacazette.

Foot

LIGUE EUROPE 5E JOURNÉE
Lyon y croit Bordeaux pas vraiment

Marseille / Publié le Jeudi 28/11/2013 à 06H23





Lyon peut valider son billet pour les 16es de finale de la Ligue Europe, à condition notamment de battre le Betis Séville, ce soir, et que Guimaraes ne s'impose pas à Rijeka. Après le nul ramené de Croatie (1-1) avec une équipe très rajeunie, Lyon a connu un regain de forme, traduit notamment par un succès à l'arraché chez le voisin honni, Saint-Étienne (2-1).
Mais le week-end passé, les hommes de Rémi Garde ont connu un nouveau coup d'arrêt, tenus en échec à domicile par Valenciennes (1-1). Rien de comparable toutefois avec l'humiliation vécue par le Betis lors du derby contre le FC Séville (4-0). Compte tenu de l'enjeu, face à une équipe espagnole qui peut, en cas de succès également, se qualifier et verrouiller la première place du groupe I, l'OL devrait se présenter avec ses titulaires habituels.
Pour Bordeaux, la possibilité de poursuivre l'aventure au-delà de la phase de groupes est infime. Il faudra commencer par un succès ce soir, impératif, car tout autre résultat est synonyme d'élimination. Surtout, la venue de Francfort, qui cherchera à s'imposer pour acter sa qualification, ne ressemblera pas vraiment à un match à la maison, puisque près de 12 000 supporteurs de l'Eintracht sont attendus à Chaban-Delmas (voir ci-dessous). La priorité des Bordelais allant depuis le début au championnat, Francis Gillot devrait faire tourner, comme il en a pris l'habitude.

12000
Bordeaux va prendre l’accent allemand le temps
d’une journée. En effet, près de 12000 supporters
de l’Eintracht Francfort vont rallier la Gironde pour
soutenir leurs chouchous ce soir. Jamais un match
de poules n’avait vu un déplacement si massif.
Pour la peine, Francfort a affrété trois Boeing 757,
70 bus et une centaine de minibus. Tout ce petit
monde prendra place dans le virage Nord du stade
Chaban-Delmas qui lui a été entièrement réservé.

GROUPEA
Kuban - Saint-Gall......................................18h
Swansea - Valence ..............21h05, BISMax 3
GROUPE B
Ludogorets - Eindhoven ....21h05, BISMax 7
T.Odessa - Dinamo Zagreb ..................21h05
GROUPE C
Esbjerg - Standard Liège...21h05, BISMax 10
Elfsborg - Salzbourg ...........21h05, BISMax 9
GROUPED
Rubin Kazan -Maribor...........18h, BISMax 10
Wigan - ZulteWaregem .....21h05, BISMax 8
GROUPE E
Dnipropetrovsk - Pandurii ..21h05, BISMax 4
Paços Ferreira - Fiorentina..21h05, BISMax 6
GROUPE F
APOEL Nicosie-Maccabi Tel Aviv
.............................................21h05, BISMax 5
Bordeaux - Francfort .........21h05,W9 et BIS 1
GROUPEG
Rapid Vienne - FC Thoune.........................19h
Genk - Dynamo Kiev ...............19h, BISMax 3
GROUPE H
Liberec - SC Fribourg ..............19h, BISMax 4
FC Séville - Estoril............................19h, BIS 2
GROUPE I
Lyon - Betis Séville ..........................19h, BIS 1
Rijeka - Guimaraes .................19h, BISMax 5
GROUPE J
Trabzonspor - Apollon Limassol
..................................................19h, BISMax 6
Legia Varsovie - Lazio .............19h,BISMax 7
GROUPE K
Tromsö - Tottenham...............19h, BISMax 8
Anzhi - Sheriff Tiraspol..............................18h
GROUPE L
Alkmaar -Maccabi Haïfa ........19h, BISMax 9
Karagandy - PAOK Salonique ........16h, BIS 2

DEJA 8 QUALIFIES

Comme le Paris Saint-Germain,
le Real Madrid et Manchester
United ont décroché,
hier soir, leur billet
pour les huitièmes de finale
de la Ligue des champions,
à l’ i s s u e de l a 5 e e t
avant-dernière journée de
groupes.
C e s t r o i s q u a l i f i é s
s’ajoutent à Chelsea, Barcelone,
l’Atlético Madrid, le
Bayern Munich et Manchester
City, qui avaient déjà décroché
leur billet à l’issue
de la précédente journée.
Le tirage au sort de ces huitièmes
de finale aura lieu le
13 décembre.

OL: Briand blessé
Titulaire pour le match opposant l'Olympique Lyonnais au Betis de Séville jeudi soir, dans le cadre de la 5e journée de Ligue Europa, Jimmy Briand a été contraint de quitter ses partenaires prématurément avant le repos. L'international tricolore semble s'être blessé sur un appui et a quitté la pelouse en jetant son maillot à terre, terriblement déçu. Bafétimbi Gomis est entré en jeu pour épauler Alexandre Lacazette en pointe.

/ Foot

LIGUE EUROPE
Lyon qualifié Bordeaux éliminé

Publié le Vendredi 29/11/2013 à 06H18





Lyon est assuré de sa qualification pour les 16es de finale de la Ligue Europe, après sa victoire obtenue hier, à Gerland. Un succès mérité aux dépens du Betis Séville (1-0) sur un but inscrit par Bafétimbi Gomis en seconde période d'un match peu intense. L'OL est certain d'être qualifié après cette 5e journée en raison du résultat nul enregistré lors de l'autre rencontre de la poule I, entre Guimaraes et Rijeka (0-0), deux formations qui ne peuvent plus rejoindre au classement les Rhodaniens, désormais en tête devant le Betis, lui aussi assuré d'être qualifié malgré sa défaite.
De son côté, Bordeaux a dit adieu à la scène européenne, après avoir subi un nouveau revers, le 4e en cinq matches en Ligue Europe, face à Francfort (1-0), leader réaliste qui a validé sa qualification hier soir en Gironde, devant ses 12 000 supporters.
Les Bordelais avaient encore un petit espoir, lié aussi à la performance du Maccabi Tel Aviv à Nicosie (0-0). Il était minime et a existé jusqu'à la 83e minute et un but assassin de Lanig, servi parfaitement par Barnetta sur l'une des rares actions dangereuses des Allemands au deuxième acte.

Triaud : «Une équipe de retraités»
Plus que la défaite contre Francfort (0-1), la quatrième en cinq matches de Ligue Europa pour Bordeaux, c'est l'attitude de ses joueurs que le président Jean-Louis Triaud n'a pas appréciée jeudi soir.

Jean-Louis Triaud s'est montré très critique envers ses joueurs après la défaite concédée contre Francfort. (L'Equipe)










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«Jean-Louis Triaud, cette fois, Bordeaux est éliminé...
Oui et c'est heureusement terminé car j'en ai marre d'assister à des matches comme ça. C'est à l'image de leur public (12000 Allemands étaient venus au match) et du nôtre... Eux, ils mettent le paquet et nous on joue en marchant, le train-train, incapables d'imposer un défi physique, incapables de mettre du rythme, incapables de mettre du dynamisme dans le jeu. On a été mangés, on a eu quelques actions plan-plan et eux, quand ils récupèrent le ballon, ils se retrouvent à quatre dans notre surface de réparation. La fin était prévisible.

«On ne sait pas se sublimer, se dépasser...» Vous dressez un constat sévère...
C'est le même que celui que je fais assez souvent en Championnat. Ce soir, une équipe mal classée du Championnat allemand a un autre comportement qu'une équipe moyennement classée en France... Je ne sais pas, c'est à l'image bien souvent du sport français, on ne sait pas se sublimer, se dépasser. On l'a fait une fois à Nice (1-2), il faut croire que c'était un miracle ! Si on continue comme ça, je crois qu'on va s'ennuyer ferme jusqu'à la fin de la saison.

C'était pourtant un match couperet, Bordeaux avait une dernière chance…
Oui, et d'autant plus que Tel Aviv et Nicosie ont eu la bonne idée de faire match nul avant nous (match à 19h00) pour maintenir le suspense jusqu'au déplacement en Israël. On n'a pas su saisir notre chance. C'est à n'y rien comprendre, pourtant on avait insisté sur ce point. On ne doit pas subir quand on joue un match de coupe d'Europe, on doit essayer de s'imposer, de donner le tempo ! Comme à Chypre, comme peut-être contre Ajaccio dimanche, on ne fait que subir.

«Ils ont couru à deux à l'heure...» Allez-vous hausser le ton dans les jours qui viennent ?
Je voudrais qu'ils me montrent autre chose sinon il faudra prendre des mesures. Il y en a qui resteront sur le banc de touche.

La qualification ne s'est-elle pas jouée avant, avec trois défaites d'entrée ?
De toute façon, on n'a pas fait un seul match satisfaisant dans cette coupe d'Europe. C'est un problème de mentalité, d'investissement. On ne peut pas dire que les garçons n'ont pas couru mais ils l'ont fait à deux à l'heure. Quand on a un coup-franc, on met un quart d'heure pour ramasser la balle... Les autres, ils ont l'envie, le tonus… Nous, c'est une équipe de retraités. On doit emballer ce match et on attend vingt-six minutes pour réagir ! Ce n'est pas satisfaisant. A croire que l'on n'est pas capable de se surpasser pour inverser une tendance ! Ce soir, on a vu la différence d'investissement entre le football allemand, valable aussi pour le football anglo-saxon, et le foot français. On joue des matches amicaux... Ce n'est pas ce football que j'apprécie.»

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Créé le 29/11/2013 - 07:16
Lyon-Garde: "On est qualifié, c'est l'essentiel"

Victorieux jeudi soir du Betis Séville (1-0) lors de la cinquième journée de Ligue Europa, les Lyonnais ont assuré leur qualification pour les 16es de finale. Un soulagement pour Rémi Garde, qui avait fait de cette rencontre un rendez-vous important de la saison. "C'était un match difficile. On a réussi à marquer et à ne pas prendre de but. On est qualifié et c'est l'essentiel", a déclaré le coach des Gones au micro de beIN Sport, à l'issue de la partie.

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Créé le 28/11/2013 - 23:40
Bordeaux-Planus: "Pas réussi à mettre de la folie"

Marc Planus s'est livré après la nouvelle défaite des Girondins de Bordeaux en Ligue Europa ce jeudi soir contre l'Eintracht Francfort (1-0) à Chaban-Delmas. "C’est une déception car on est attaché à la coupe d’Europe. Je pense qu’il y avait plus de place que l’année dernière pour passer. On fait énormément de sacrifices pour la jouer, c’est un échec et il faut relever la tête, a confié le stoppeur bordelais au micro de BeIn Sport. Le plus important, c’est le championnat même si la coupe d’Europe permet à certains joueurs d’avoir du temps de jeu. Le seul regret qu’on peut avoir ce soir, c’est de ne pas avoir réussi à mettre de la folie. Il faut que ça nous serve pour le championnat. Francfort n'a pas été meilleur que nous, mais peut-être plus audacieux."

LIGUEEUROPE
Lyonqualifié
Bordeaux éliminé Lyon est assuré de sa qualification
pour les 16es de finale de
la Ligue Europe, après sa victoire
obtenue hier, à Gerland. Un
succès mérité aux dépens du Betis
Séville (1-0) sur un but inscrit
par Bafétimbi Gomis en seconde
période d’un match peu intense.
L’OL est certain d’être
qualifié après cette 5e journée
en raison du résultat nul enregistré
lors de l’autre rencontre de
la poule I, entre Guimaraes et Rijeka
(0-0), deux formations qui
ne peuvent plus rejoindre au
classement les Rhodaniens, désormais
en tête devant le Betis,
lui aussi assuré d’être qualifié
malgré sa défaite.
De son côté, Bordeaux a dit
adieu à la scène européenne,
après avoir subi un nouveau revers,
le 4e en cinq matches en Ligue
Europe, face à Francfort
(1-0), leader réaliste qui a validé
sa qualification hier soir en Gironde,
devant ses 12 000 supporters.
Les Bordelais avaient encore
un petit espoir, lié aussi à laperformance
du Maccabi Tel Aviv
à Nicosie (0-0). Il était minime
et a existé jusqu’à la 83e minute
et un but assassin de Lanig, servi
parfaitement par Barnetta
sur l’une des rares actions dangereuses
des Allemands au
deuxième acte.

Le tirage décalé au 16 décembre







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Initialement prévu le vendredi 13 décembre, le tirage au sort des huitièmes de finale de la Ligue des champions aura finalement lieu à midi le lundi 16 décembre, au siège de l'UEFA à Nyon en Suisse, a annoncé l'instance organisatrice. Il sera mené par l'ancien international portugais, Luis Figo. Aucune raison particulière n'a été évoquée pour justifier ce report. Le tirage des 16es de finale de l'Europa Ligue suivra à 13h00.

LIGUE 1
Paris, un appétit de Lyon

Marseille / Publié le Dimanche 01/12/2013 à 05H55

Qualifiés en Ligue des champions et en Ligue Europe, le PSG et l'OL s'affrontent ce soir




Le PSG, qui s'est qualifié mercredi pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions en battant l'Olympiakos (2-1), peut clore en beauté une semaine déjà bien entamée par le succès à Reims (3-0) samedi dernier. Invaincus depuis 35 rencontres toutes compétitions confondues (à deux matches du record du club établi lors de la saison 1993-1994), les hommes de Laurent Blanc comptent évidemment le rester, de préférence par le biais d'une victoire qui maintiendrait leur avance de quatre et cinq points sur leurs poursuivants lillois et monégasques, tous les deux vainqueurs hier soir.
Face à des Lyonnais (7e) très irréguliers cette saison, mais qui viennent eux aussi de valider leur qualification en 16es de finale de la Ligue Europe en battant jeudi le Betis Séville (1-0), les Parisiens conduits par un Ibrahimovic qui tourne actuellement à plein régime (17 buts lors de ses 12 derniers matches) savent que les Gones leur réussissent au Parc des Princes puisqu'ils les ont battus quatre fois sur cinq (un nul) ces cinq dernières saisons.
Mais attention, car si Lyon n'a plus l'aura de sa grande époque récente, le septuple champion de France (entre 2002 et 2008) sait encore répondre présent dans certains grands rendez-vous. Il l'a prouvé cette saison lors de son dernier déplacement, très chaud, à Saint-Étienne (2-1). Mais sans Briand ni même peut-être Gomis et Umtiti, l'OL aura fort à faire malgré un Gourcuff sur une pente de nouveau ascendante

 Paris a mangé Lyonhttp://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Paris-a-mange-lyon/421640

Il n'y a pas eu photo ce dimanche au Parc des Princes entre le solide leader du Championnat, le PSG, et Lyon (4-0). Ibrahimovic, qui a inscrit un doublé, prend les commandes du classement des buteurs.










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Décidément, rien n’arrête la fusée PSG. Dans l’univers de la Ligue 1, le club de la capitale file plus vite et plus haut que tout le monde. Ce dimanche au Parc des Princes, l’équipe de Laurent Blanc a allongé son incroyable série à 36 matches sans défaite toutes compétitions confondues. La victime du jour s’appelle Lyon (4-0). La performance est d’autant plus remarquable qu’une fois de plus, et malgré un onze de l’OL très défensif (5-4-1), la partie était déjà quasiment pliée à la pause. Alors que ses poursuivants Monaco et Lille ont fait le boulot samedi, le PSG conserve ses quatre longueurs d’avance sur le LOSC et cinq sur l’ASM. L’avance pourrait s’accroître dans trois jours puisque les nordistes reçoivent l’OM et les Monégasques seront opposés à leurs voisins Niçois. Paris ira lui à Annecy défier Evian-TG.

Blanc, changement de système payant

Face au double rideau défensif lyonnais, Paris a mis une bonne demi-heure à trouver la solution. Elle est venue du banc, et de Laurent Blanc, qui a insufflé à ses troupes une petite évolution tactique. Elle a tout changé. L’idée était de faire évoluer le 4-3-3 de base en un 4-4-2, avec Pastore glissant à gauche et Cavani venant apporter le surnombre dans l’axe. Et c’est le placement de l’Uruguayen qui a fait plier Lyon. El Matador a surgi au premier poteau, profitant d’un Gonalons trop court au marquage, pour placer sa tête au premier poteau et au fond des filets (36e, 1-0).

Ibrahimovic, expert en penalties

Il y a aussi et surtout eu une histoire de penalties. L’ancien du Napoli a vu l’arbitre lui accorder un penalty avant la pause. Ibrahimovic a converti l’offrande d’une aussi sublime que subtile feuille morte (41e, 2-0). Et, à l’heure de jeu, le capitaine Thiago Silva a enfoncé le clou en force suite à un corner (60e, 3-0), avant qu’Ibra ne signe un doublé en transformant un second penalty (82e, 4-0). Les Lyonnais venaient d’encaisser quatre buts sur des coups de pied arrêtés. Souvent inexistants dans le jeu, ils ont pourtant eu le mérite de tenter leur chance en début de match, en s’engouffrant dans les petits espaces vacants. C’est ainsi que Lacazette avait failli ouvrir le score. Mais la transversale a sauvé Sirigu (7e). Ce fut l’unique lueur rhodanienne dans la nuit parisienne, constellée d’étoiles du PSG.

Ibrahimovic encense Cavani
Après la victoire face à l'Olympique Lyonnais dimanche (4-0), Zlatan Ibrahimovic a rendu hommage à Edinson Cavani, qui «rend [son] jeu plus facile».

Ibrahimovic et Cavani ont tous les deux marqué contre Lyon. (L'Equipe)










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Zlatan Ibrahimovic (attaquant du PSG) : «Avoir Cavani rend mon jeu plus facile. On s'entraide. Si je ne marque pas, c'est lui qui marque. C'est quelque chose qu'on n'avait pas l'an dernier. Il fait aussi beaucoup de travail défensif et il est bon pour l'équipe. C'est ce dont nous avions besoin. On est plus fort cette année. Si on utilise Cavani de la bonne façon, ça peut être bien pour l'équipe. Non, non ce n'était pas facile. C'est parce qu'on joue bien. Quand on fait ça, on se rend les choses faciles. On a la même qualité que les grandes équipes. Il nous manque juste de l'expérience. On s'entraîne dur, tout le monde est pro et travaille dur. Après un peu plus d'un an ensemble, on joue mieux et les choses sont plus faciles cette année. En même temps, on est champion, donc il y a plus de pression. C'est un travail collectif. Quand on joue bien, on sait que quel que soit l'adversaire on fera quelque chose de bien. (Est-ce la meilleure équipe dans laquelle vous avez joué ?) C'est une bonne équipe. La Barça, c'était encore autre chose. Le Milan aussi était fantastique, et la Juve. Mais ici, c'est un super projet.»