CORRUPTIONS TRUCAGES ET VIOLENCES DANS LE FOOTBALL ET LE SPORT EN GENERAL

Le Qatar a-t-il acheté le Mondial 2022 ?
Sepp Blatter et la Fifa ont-ils volontairement favorisé la candidature du Qatar ?
29 janvier 2013 à 12h09
De forts soupçons de corruption pèsent sur l'attribution de la Coupe du monde 2022 au Qatar, selon France Football, qui a publié une longue enquête dans son édition de mardi.



Et si le Qatar n’organisait tout simplement pas la Coupe du monde 2022 ? Désigné en 2010 -soit douze ans avant la tenue de la compétition ! -, le petit Emirat du Golfe Persique, aux moyens économiques colossaux, avait réussi à convaincre la Fifa de lui attribuer, avec 14 voix contre 8 pour les Etats-Unis, le plus grand événement de la planète football malgré des problèmes liés aux infrastructures et aux conditions météorologiques, qui font encore débat. Mais pour France Football, ce choix du Qatar est encore plus discutable.

Pour le bi-hebdomadaire, qui publie une vaste enquête sur le sujet dans son édition de mardi, cette désignation est "suspectée d'avoir été entachée d'actes de collusion et de corruption". FF évoque ainsi le rôle trouble joué par Mohammed bin Hamman, le président démissionnaire de la confédération asiatique et membre du comité exécutif de la Fifa. Ce dernier, d’origine qatarie, a été suspendu suite à des soupçons de corruption. Un rapport du Tribunal arbitral du sport (TAS), malgré l’absence de preuves directes, souligne toutefois qu’un "certain nombre d’enveloppes non marquées qui contenaient chacune 40 000 dollars (environ 29 700 euros) ont été distribuées aux délégués de l’union caribéenne de football" lors d’une réunion organisée à Trinité-et-Tobago les 10 et 11 mai 2011. Une conférence à laquelle participait Mohammed bin Hamman, "alors en campagne et adepte de ce genre de circuit financier", précise France Football.

Pour étayer ses soupçons, FF cite également un mail de Jérôme Valcke envoyé à Jack Warner, alors vice-président de la Fifa, dans lequel le secrétaire de l‘instance dirigeante du football mondial écrivait: "Ils ont acheté le Mondial 2022". Afin de couper court à la polémique, Valcke avait plaidé l’humour. Mais de réels soupçons pèseraient sur le Qatar selon le magazine français qui évoque notamment l’enquête menée par Michael J. Garcia, président de la chambre d’instruction de la nouvelle commission d’éthique de la Fifa mise en place en juillet 2012. Cette dernière aurait indiqué récemment dans un communiqué: "certaines allégations concernant des événements survenus dans le cadre de la procédure d’attribution des Coupes du monde 2018 (Russie) et 2022 ont été référées à la commission". Pour France Football, "les méandres des compromis et des compromissions sont complexes et tortueux. Mais tellement édifiants".

Une réunion secrète à l'Elysée
FF pose notamment la question du rôle joué par les ambassadeurs de la candidature qatarienne. Des anciennes ou actuelles stars du football payées grassement pour prêcher la bonne parole. 5,5 millions d’euros auraient ainsi été dépensés pour "recruter" Gabriel Batistuta, Pep Guardiola, Zinedine Zidane, Bora Milutinovic, Ronald de Boer et Roger Milla. Une somme à laquelle il faut ajouter: les primes versées après l’obtention du tournoi et celles qui seront encore versées à ces ambassadeurs pour "continuer à faire passer les bons messages". Le Qatar aurait également "sponsorisé" à hauteur d’1,25 millions d’euros le congrès de Confédération africaine (CAF) organisé en janvier 2010 en Angola. Ce qui leur aurait permis d’avoir un accès exclusif à plusieurs délégués de la CAF, membres du comité exécutif de la Fifa.

Citant de nombreux exemples de ce type, FF évoque également le rôle joué par la France. Une réunion secrète se serait tenue au palais de l’Elysée le 23 novembre 2010, à l’initiative du président de la République Nicolas Sarkozy, en présence du prince du Qatar, Tamin bin Hamad al-Thani, du président de l’UEFA Michel Platini et de Sébastien Bazin, représentant en France de Colony Capital, alors propriétaire du Paris Saint-Germain. Toujours selon le magazine, Michel Platini aurait accepté de donner sa voix au Qatar, plutôt qu’aux Etats-Unis comme il souhaitait initialement le faire, en échange d’investissements qatariens en France, concernant notamment le club de la capitale ou la création d’une nouvelle chaîne pour concurrencer Canal+, selon le souhait de Nicolas Sarkozy. Le fils de l’actuel président de la Fifa aurait également été recruté par Qatar Sports Investments (QSI) en janvier 2012, au titre de senior manager de la branche Europe. Au regard de ces nombreux éléments, mais aussi des problèmes que posent en termes d’organisation une Coupe du monde au Qatar (chaleur, infrastructures), France Football, qui n’hésite pas à parler de "Qatargate", la Fifa doit se poser sérieusement la question d’une réattribution de la compétition, sous peine de voir exploser un scandale d'ampleur international.

COUPE DU MONDE 2022
France Football
dénonce le "Qatargate Dans son édition d’hier, le
bi-hebdomadaire France Footb
a l l a le v é u n e somme
d’interrogations sur les conditions
d’attribution du Mondial
2022, en dénonçant un "Qatargate",
mêlant corruption et arrangements.
Selon le journal, cette désignation
"dégage une odeur de scandale
qui oblige à se poser la seule
question qui vaille: ce vote doit-il
être annulé?" L’enquête de 16 pages
débute par un mail interne à
la Fifa dans lequel le secrétaire général
de l’instance, Jérôme Valcke,
déclare: "Ils ont acheté le Mondial2022."
Selon le Suisse Guido Tognoni,
ex-directeur de la communication
de la Fifa, il "existe de forts
soupçons de compromissions"
autour de plusieurs membres de
la Fédération internationale qui
ont voté le 2 décembre 2010 pour
le Qatar, dont la candidature était
portée par un budget (record) de
33,75millions d’euros.
France Football évoque également
"une réunion secrète" à
l’Elysée, le 23 novembre 2010, entre
Nicolas Sarkozy, le prince du
Qatar Tamin bin Hamad al-Thani,
Michel Platini, président de
l’UEFA, et Sébastien Bazin, représentant
de Colony Capital, alors
propriétaire du Paris SG. Rachat
du club de la capitale (effectif en
juin 2011) et création d’une chaîne
de sport (la future BeIn Sport)
auraient notamment été évoqués,
le tout en échange d’une promesse:
"Que Platini ne donne pas sa
voix aux Etats-Unis, comme il
l’avait envisagé, mais au Qatar."
Platani a dénoncé, hier, un tissu
de "mensonges", n’excluant
pas "d’attaquer en justice toute
personne qui mettra en doute
(mon) intégrité".
Les organisateurs du Mondial2022
ont rejeté toutes ses accusations
: "Nous avons obtenu
l’organisation en respectant, du
début à la fin, les plus hauts standards
d’éthique et de morale." De
son côté, la Fifa n’avait "pas de
commentaire" à apporter

Mondial-2022. Le «Qatargate» fait des vagues
football. L'attribution de la Coupe du monde à l'Etat du Golfe remise en question par «France-Football».

Joseph Blatter, président de la Fifa, annonçant, en 2010, l'organisateur du Mondial 2022./ Photo AFP
L'enquête de «France Football», publiée hier, sème le trouble dans les milieux politiques français, mais aussi auprès de Michel Platini, qui apparaît en première ligne.

L'hebdomadaire «France Football», publié hier, évoque en Une de son édition un «Qatargate», mêlant corruption et arrangements, concernant l'attribution par la Fifa du Mondial-2022 à ce petit Etat du Golfe.

En lettres blanches sur fond noir, le journal souligne que cette désignation «dégage une odeur de scandale qui oblige à se poser la seule question qui vaille : ce vote doit-il être annulé ?».

Pour appuyer sa démonstration, «France Football» cite un mail interne à la Fifa dans lequel le secrétaire général de la Fédération internationale de football Jérôme Valcke déclare : «ils ont acheté le Mondial-2022». M. Valcke a par la suite plaidé la méprise et assuré que le ton de son mail était «léger».

«Réunion secrète» à l'Elysée
L'hebdomadaire cite aussi le Suisse Guido Tognoni, exclu de la Fifa en 2003, qui estime qu'il «existe de forts soupçons de compromissions» autour des membres de la Fédération internationale qui ont voté le 2 décembre 2010 pour le Qatar, dont la candidature était portée par un budget de 33,75 M €.

Ainsi, le Qatar se serait appuyé sur de puissants relais, comme le président de la Fédération asiatique Mohammed Bin Hammam, définitivement radié à vie en décembre dernier, le président de la Fédération argentine et vice-président de la Fifa Julio Grondona ou l'ex-président de la Fédération brésilienne (CBF) Ricardo Texeira, qui a démissionné en mars du comité de la Fifa et de la CBF sur fond d'accusations de corruption.

L'hebdomadaire évoque également «une réunion secrète» au Palais de l'Elysée, le 23 novembre 2010, une dizaine de jours avant le vote de la Fifa, entre le président de la République Nicolas Sarkozy, le prince du Qatar, Tamin bin Hamad al-Thani, Michel Platini, président de l'UEFA, et Sébastien Bazin, représentant de Colony Capital, propriétaire du Paris SG, (alors) en proie à de grosses difficultés financières.

«Au cours de cette réunion», écrit le journal, «il a tour à tour été question du rachat du Paris Saint-Germain par les Qataris (ndlr : effectif en juin 2011), d'une montée de leur actionnariat au sein du groupe Lagardère, de la création d'une chaîne de sport (la future BeIn sport) pour concurrencer Canal + - que Sarkozy voulait fragiliser -, le tout en échange d'une promesse : que Platini (président de l'UEFA) ne donne pas sa voix aux Etats-Unis, comme il l'avait envisagé, mais au Qatar». France football conclut son enquête par une interrogation sur les dates de la Coupe du monde 2022, qu'il sera difficile d'organiser aux dates habituelles (juin-juillet) en raison de la chaleur (50°c). Michel Platini pousse pour que le Mondial soit disputé à l'automne (novembre-décembre 2022).

Selon le journal, «les Américains seraient archifavoris pour récupérer le Mondial 2022 dans l'éventualité d'un retrait ou d'une mise à l'écart du Qatar».

Hier encore, le Front National s'est saisi de l'enquête pour dénoncer les liens entre Paris et Doha et dénoncer le poids qu'exerce le Qatar sur les autorités françaises».


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Des mensonges pour Platini…
Le «Qatargate» n'est qu'un tissu de «mensonges» a réagi hier le président de l'UEFA Michel Platini. «Croire que mon choix se serait porté sur Qatar-2022 en échange d'arrangements entre l'Etat Français et le Qatar n'est donc que pure spéculation et n'engage que ceux qui écrivent ces mensonges», a assuré le Français dans un communiqué. «Je ne m'interdis pas d'attaquer en justice toute personne qui mettra en doute mon intégrité dans ce vote».

Cette fois, le PSG s’est projeté
dans une nouvelle dimension.
Celle d’un football devenu, sur
fond de bonnes intentions, simple
support d’une recherche absolue
de marketing, destinée à
développer une marque, à soigner
une image, à créer
l’événement plutôt qu’à enchaîner
les bonnes performances.
Ici, plus question réellement
de football et encore moins de Ligue
1. Entre Paris et Doha, on raisonne
marché, on réfléchit stratégie
commerciale, on pense communication.
Et on fait de l’arrivée
d’un Beckham, à la mèche digne
d’un George Michaël des grands
jours, un effet de style et un
grand moment de générosité.
Les people sont ravis. Eux qui ne
connaissent rien aux affres du
ballon rond, mais frétillent de
joie à l’idée d’apercevoir dans les
salons d’honneur du Parc, Victoria,
la "spice-fashion", épouse
d’un David au grand coeur.
Les écuries de L1, "championnat
de province" étranglé par la
crise, observent, pour leur part,
ce cirque médiatique, mêlé de
strass, paillettes et nobles sentiments,
comme un spectacle qui
ne leur appartient plus...

Un réseau soupçonné d'avoir truqué 380 matches de football démantelé

Un ballon de football Philipp Guelland
Un réseau criminel soupçonné d'avoir truqué 380 matches de football a été démantelé dans le cadre de la "plus grande enquête de tous les temps sur des matches truqués présumés", a annoncé l'Office européen de police Europol ce lundi.

"Il nous semble clair qu'il s'agit de la plus grande enquête de tous les temps sur des matches truqués présumés", a expliqué Rob Wainwright, le directeur d'Europol, lors d'une conférence de presse à La Haye. Le but du trucage était de gagner d'importantes sommes d'argent grâce à des paris sportifs. Pas moins de 425 arbitres, dirigeants de clubs et joueurs, notamment, sont soupçonnés d'avoir pris part au trucage des matches.

La plupart des matches truqués ont été joués dans les championnats turc, allemand et suisse, a précisé Europol, mais d'autres matches à travers le monde sont également concernés. Ainsi deux matches de Ligue des Champions européenne et des matches de qualification pour la Coupe du Monde ont été mis en cause. Europol a notamment mis en avant, lors de la conférence de presse, une rencontre internationale entre l'Argentine et la Bolivie lors de laquelle l'arbitre hongrois a accordé un penalty plus que litigieux à l'Albiceleste.

Dopage: Le président de la Ligue espagnole nie toute implication
Jose Luis Astiazaran dément tout problème de dopage à l’époque de sa présidence de la Real Sociedad entre 2001 et 2005, ce qu’affirme lundi, dans le quotidien As, Inaki Badiola, à la tête du club basque en 2008. "La Real Sociedad a toujours, a fortiori pendant ma présidence, collaboré avec les autorités en charge de la lutte contre le dopage et il n'y a jamais eu aucun problème", a déclaré le président de la Ligue espagnole de football (LFP). Selon Badiola, des poches de sang saisies au cours d'une perquisition chez le Dr Eufemiano Fuentes, principal prévenu du procès Puerto, portaient la mention "RSOC", les initiales de la Real Sociedad. Il affirme que deux médecins de l'équipe ont reçu de l'argent pour acheter des produits interdits au moins au cours des six années qui ont précédé son arrivée à la tête du club.

il parait qu'en france il n" y a ni match arrangé ni truqués !!lol
ces bonimenteurs essaient de nous faire avaler une grosse couleuvre nous qui connaissons ce fleau des les equipes de poussins !!!

05/02/2013 à 23:41
Paris suspects: six matches ferme pour Karabatic et les six autres joueurs
Nikola Karabatic et les six autres joueurs impliqués dans l'affaire des paris sportifs dans le handball ont tous écopé d'une suspension de six matches ferme, la sanction sportive maximale prévue mais sans incidence sur la procédure pénale en cours à Montpellier.
"La commission de discipline a décidé de reconnaître Messieurs Mladen Bojinovic, Dragan Gajic, Samuel Honrubia, Nikola Karabatic, Luka Karabatic, Primoz Prost et Issam Tej coupables d'avoir participé directement ou par personne interposée à des prises de paris sur le résultat du match" Montpellier-Cesson le 12 mai dernier", a annoncé la Ligue nationale de handball (LNH) mardi soir dans un communiqué.

Estimant que "des éléments objectifs, précis et concordants emportaient son intime conviction", elle a donc décidé "d'infliger à chacun des joueurs concernés la sanction de 6 dates de suspension fermes".

Cette sanction s'applique donc à tous les joueurs placés sous contrôle judiciaire dans cette affaire, qu'ils aient avoué ou non avoir parié sur ce fameux match du 12 mai dernier.

Convoqué mardi dernier à Paris, Nikola Karabatic, la star du handball français qui a toujours nié, n'a donc pas convaincu les cinq membres de la commission devant lesquelles il s'était montré très peu bavard.

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Comme aux autres, la commission lui a infligé la sanction maximale, "compte tenu de la gravité des faits reprochés, constituant un comportement non conforme aux principes et aux règles déontologiques applicables à la pratique du handball et portant ainsi une atteinte manifeste aux valeurs défendues par la Ligue Nationale de Handball".

Bhakti Ong, l'agent de Nikola Karabatic a d'ores et déjà affirmé à l'AFP que le joueur allait faire appel de cette décision devant le jury d'appel de la Fédération française de handball.

"On est surpris de cette décision qui ne respecte pas le droit. Le rapport d'instruction dit qu'il n'y a aucune preuve que Nikola Karabatic ait parié directement ou indirectement. Mais là, la commission dit que si. Ce n'est pas sérieux. Evidemment qu'on va faire appel", a déclaré l'agent.

L'appel étant suspensif, Nikola Karabatic pourra donc continuer à jouer dans l'immédiat pour son nouveau club d'Aix.

Des sept joueurs concernés, appartenant tous au club de Montpellier à l'époque des faits, cinq ont quitté le club depuis. Bojinovic, dernier joueur auditionné par la commission mardi, et Honrubia, champion olympique comme Karabatic, sont partis au PSG cet été avant l'éclatement de l'affaire.

Primoz Prost et Luka Karabatic, qui ont eux avoué avoir parié, ont été licenciés, le deuxième trouvant refuge dans le club d'Aix où il vient tout juste d'être rejoint par son frère Nikola.

Seuls Tej et Gajic, qui nient comme Nikola Karabatic avoir parié sur le match entre Cesson et Montpellier, jouent encore chez le champion en titre.

Si les sanctions sont ainsi tombées sur le plan disciplinaire, le fait de parier n'est cependant pas répréhensible sur le plan pénal.

La procédure est toujours en cours à Montpellier où la justice soupçonne que le match du 12 mai ait été truqué par certains joueurs héraultais qui avaient misé de fortes sommes sur le score à la mi-temps.

Dans le volet judiciaire de cette affaire, treize personnes ont été mises en examen pour escroquerie et/ou complicité d'escroquerie présumée au préjudice de la Française des Jeux. Les paris s'étaient élevés à 88.000 euros.

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les dernières réactions à l'article
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0 commentaire Vous avez dit corrompu ?
Je crois malheureusement,qu'il n'y a pas que le foot de corrompu.
De doudou25 : Orange Actu - Le mercredi 06 février 2013 à 7H49
0 commentaire ah bon
on nous avez pourtant bien dit que la FRANCE n'était pas concernée je n'y crois pas....................même nous !
De azur : Orange Actu - Le mercredi 06 février 2013 à 7H40
0 commentaire et au bout de 6 suspensions ils ont un avertissement ,au bout de 6 avertissements ils......
ont un blame , au bout de 6 blames on les gronde , vive la France et ses match truqués .
De henri_des_pyrenees : Orange Actu - Le mercredi 06 février 2013 à 6H50
0 commentaire Peu
Vous avez oublié le "peu" lourdement sanctionnés.
De Viince : Orange Actu - Le mercredi 06 février 2013 à 6H50
0 commentaire le fric toujours le fric......
Il n y en aura jamais assez et il faut meme renier son engagement sportif pour gagner quelques billets de plus , comme si cela ne suffisait pas d etre le joueur le mieux payer en france et peut etre en europe , il faut encore se salir les mains .

C 'est bien la preuve que l argent pourri le sport et qu'il est grand temps de revenir a l amateurisme sporti...

Matches truqués
Les langues se délient

Marco Antonio Sandy, l'ex-sélectionneur de l'équipe des moins de 20 ans de la Bolivie, a évoqué mardi des suspicions de rencontres arrangées, au lendemain de la révélation par Europol d'un vaste scandale de trafic de matches de football truqués.

Le 17 décembre 2010 à Cordoba (Argentine), l'arbitre hongrois Lengyel Kolos avait laissé 12 minutes d'arrêts de jeu, sifflant la fin du match juste après avoir attribué un penalty donnant le gain du match à l'Argentine (1-0) aux dépens de la sélection bolivienne, en moins de 20 ans. Cette rencontre fait partie des 380 matches recensés comme arrangés par l'agence européenne.

«Chacun a trouvé extrêmement curieux de voir un temps additionnel aussi important pour un match de football. Il y a eu une réclamation officielle, on leur a dit que c'était une honte, a déclaré Sandy au journal la Razon. Le lendemain (de la rencontre), des journalistes argentins m'ont appelé, en m'expliquant qu'il y avait de sérieuses possibilités que le match ait été arrangé.»

Une autre rencontre pointée du doigt

Sandy évoque également un autre match prétendument arrangé. En novembre 2010, un tournoi des moins de 20 ans organisé en Bolivie oppose l'Argentine, le Paraguay, la Colombie, l'Uruguay et la Bolivie. Lors de la demi-finale Paraguay-Bolivie, l'arbitre avait refusé trois buts aux Paraguayens et avait accordé un penalty extrêmement litigieux aux Boliviens, qui l'avaient ainsi emporté 2-1. «J'ai eu honte, on ne peut pas gagner ainsi un match de football», a déclaré Sandy dans la presse de son pays

Matches truqués
«De grands internationaux sont impliqués»

Le sélectionneur du Burkina Faso Paul Put, qui avait été «menacé par la mafia» pour truquer des matches en Belgique, estime ce genre de fraude plus étendu et «pire que ce que le monde du foot imagine». (Photo Presse-Sports)
«Etes-vous surpris des révélations d'Europol lundi sur l'existence de centaines de matches truqués à travers le monde, vous qui avez été impliqué dans une affaire de matches truqués ?
Je ne suis pas surpris, ça a toujours existé dans le football, on a vu ça aussi dans le cyclisme avec Lance Armstrong. Moi, je n'ai pas truqué de matches, pas du tout, mais c'est comme ça que c'est apparu dans la presse.

Vous avez pourtant été interdit d'exercer en Belgique...
Je n'ai pas été suspendu par la Fifa, j'ai une lettre de la Fifa (qui l'atteste, ndlr). J'ai été suspendu en 2008 pour trois ans en Belgique, mais sans raison. Je l'ai acceptée, parce que la Fifa a dit que je pouvais continuer à travailler ailleurs qu'en Belgique.

Il va y avoir un procès en Belgique...
Il va y avoir un procès, avec 40 personnes impliquées. C'est en cours, mais cette affaire remonte à huit ans !

Que s'était-il passé ?
Tout le foot belge était malade à l'époque. J'ai été menacé par la mafia, par armes à feu, mes enfants n'étaient pas en sécurité. Ce n'est pas agréable de parler de cela mais c'est la réalité. On m'a forcé, mais truquer est un bien grand mot, parce que l'équipe était dans une très mauvaise situation. Il n'y avait pas d'argent, pas d'espoir, rien. On a monté tout une histoire autour des matches truqués mais d'autres équipes ont fait la même chose, pas seulement Lierse. Ce n'était pas notre volonté. Je ne suis pas un manager, seulement un entraîneur, et je devais obéir à des gens au-dessus de moi, et les joueurs aussi.

Comment avez-vous vécu votre affaire ?
Cela a été une période très dure pour moi, ma famille et mes amis. C'est toujours dur quand on est le seul accusé. Je me suis battu, j'ai travaillé jour et nuit. Après, j'ai eu des satisfactions: en Gambie d'abord, avec de bons résultats, j'ai gagné le respect. Et aujourd'hui (avec le Burkina Faso, ndlr). Maintenant, tout le monde m'appelle de Belgique pour une émission de télévision ou une interview radio, et pourtant, je suis le même Paul Put qu'avant.

«Un bouc émissaire, comme Lance Armstrong»

Avez vous l'impression d'être un bouc émissaire ?
Oui, comme Lance Arsmtrong. Il fallait faire un exemple pour tout le monde. Mais dans le football, beaucoup de grands internationaux sont impliqués dans des matches truqués.

Est-ce un plus grand problème dans le football ?
Malheureusement, il y a des matches truqués dans tous les sports, c'est la réalité. Mais pour dire la vérité, le problème est pire que ce qu'en pense le monde du football. Si vous voyez ça en Ligue des champions, imaginez un peu dans les championnats... Il s'est produit tellement de choses dans le football et je pense dans tous les sports, depuis vingt ou trente ans... La Fifa travaille dur là-dessus, ce sera difficile mais je pense qu'on peut s'en débarrasser. Les contrôles dans le cyclisme sont de plus en plus efficaces donc je pense qu'il est possible de mettre fin aux matches truqués.

Souhaitez-vous retourner en Belgique ?
Mon ambition est d'avoir une grande équipe, ou un grand pays, pour que je puisse faire mes preuves à nouveau. J'ai déjà fait mes preuves en Belgique, j'ai joué l'Europa League, des finales de coupe, j'ai fait monter deux équipes en première division. La Gambie était un grand défi, j'ai fait mes preuves là-bas et à nouveau avec le Burkina, et peut-être qu'à l'avenir j'aurai une grande sélection.

Quand votre contrat expire-t-il ?
Il peut se terminer n'importe quand (rires)! Aujourd'hui vous êtes Dieu, demain vous êtes une "merde" (rires) !»

CORRUPTION● Sepp Blatter se montre fataliste. Interrogé sur
vaste réseaude trucage de matches démantelé récemment par
Europol lors de son déplacementàNouakchott, en Mauritanie,
le président de la FIFA, Sepp Blatter, ne s’est pas montré très optimiste.
"Le football est un jeu et il y a toujours des tricheurs dans
un jeu. Les tricheurs n’arrêteront jamais de tricher. C’est un grave
danger. Si les matches sont truqués, il n’a plus aucun intérêt à regarder
du football", a-t-il déclaré

Cameroun: Eto'o s'estime menacé de mort Publié le 11 février 2013 à 08h12
Alors que Samuel Eto'o, l'attaquant de l'Anzhi Makachkala, n'a jamais caché une extrême défiance à l'égard des dirigeants de la Fédération camerounaise de football, ses propos lors d'un chat accordé pour Je Wanda Magazine ne manqueront pas d'interpeller ce dimanche. L'ancien sociétaire de l'Inter Milan ou du FC Barcelone explique ainsi être victime de menaces de mort de la part de ces hommes. "Ils me menacent et ils veulent me tuer. Je vis aujourd'hui avec un groupe de policiers. L'un dort même devant ma porte. Ce n'est pas par snobisme, c'est pour ma sécurité", affirme-t-il alors que l'avant-centre avait fait son retour en sélection à l'occasion du 2e tour des éliminatoires à la CAN 2013. En vain puisque les Lions indomptables avaient été éliminés par le Cap-Vert de Ryan Mendes.

TROMPERIE
File moi le match! Arles-Avignon - Cassis-Carnoux:
lematch de toutes les dérives,
paraît-il. Préparé, truqué,
dévoyé. N’en jetez plus. L’affaire
n’en finit pas d’alimenter les
audiences. Ah vivement que le
dossier soit clos pour que le football
retrouve son glorieux quotidien,
ces centaines de matches
amateurs. Pas de corruption, jamais
d’argent. Un match propre,
une pizza au coup de sifflet
final et à dimanche prochain.
C’est ainsi en début de championnat,
en septembre. C’est ainsi
en décembre. C’est ainsi en février.
Puis survient la dernière ligne
droite en mars, la période
où les équipes jouent le match
de leur vie. L’accession pour les
uns, le maintien pour les autres :
une bonne raison de trembler.
Une bonne raison d’appeler
l’adversaire du week-end suivant
pour lui demander, ô sacrilège,
de lever le pied. "Salut Maurice,
c’est Marcel! Mon équipe
des moins de 17 ans joue la montée
en DHR dimanche. File-moi
le match, toi tu joues rien." Quel
intérêt pour le président Maurice?
Aucun... sauf que son équipe,
dans la catégorie inférieure
des moins de 15 ans, joue le
maintien et elle rencontre justement
les moins de 15 ans de Marcel.
Qui ne jouent rien. "OK, Marcel!
À toi la victoire mais pense à
mes moins de 15 ans. Ils jouent
leur survie." Et voilà comment
on rejoue Arles Avignon - Cassis
Carnoux, version mineurs. Au
grand désarroi des autorités qui
ne peuvent pas tout maîtriser.
On sauve les uns, pour être sauvés
ensuite. Mais lecynisme va
parfois plus loin. On renforce
son équipe pour battre l’équipe
de la commune voisine parce
que cette commune est en train
de bâtir un grand club. Qui pourrait
faire de l’ombre à l’autre.
Alors, un seul mot d’ordre : il
faut l’abattre. Le football amateur
n’est parfois qu’une partie
de chasse, une question
d’hégémonie qu’il ne faut surtout
pas perdre. Alors oui, la glorieuse
incertitude du sport existe.
À la PlayStation.

L'Inter condamnée pour chants racistes
La Ligue italienne de football a condamné l'Inter à 15 000 euros pour "des slogans et des expressions de discrimination raciale visant directement un joueur d'une autre équipe." Mario Balotelli, le footballeur visé dimanche dernier lors du match qui opposait les Nerazzurri au Chievo Vérone, a porté le maillot lombard de 2007 à 2010. Après son passage à Manchester City, l’international italien a été transféré cet hiver à l’AC Milan.

Créé le 13/02/2013 - 10:52
Un Bleu cité dans une affaire de prostitution ?
Vers un nouveau scandale autour de l'équipe de France ? RTL rapporte mercredi que le Parquet de Paris aurait ouvert une enquête préliminaire dans une affaire de prostitution de mineure, et dans laquelle un international français serait cité. Selon LCI, ce joueur pourrait être Yann M'Vila, qui aurait rencontré la jeune fille de 16 ans en boîte de nuit.
Créé le 13/02/2013 - 09:20
Huit supporters parisiens arrêtés à Valence
Huit supporters du Paris Saint-Germain ont été interpellés mardi soir à Valence, en Espagne, en marge du huitième de finale aller de la Ligue des champions remporté (2-1) par le club français, a-t-on appris de source policière. Ces arrestations ont eu lieu après une série de dégradations et de voies de fait. Les huit individus ont été placés en garde à vue. Près de 400 supporters parisiens ont effectué le déplacement depuis la France pour venir assister au premier match à élimination directe du PSG en C1 depuis 18 ans.

PSG: L'UEFA étudiera le cas Ibrahimovic le 27 février
La commission de discipline de l’UEFA va étudier le cas Zlatan Ibrahimovic le 27 février prochain. Une décision sera alors prise suite à l’expulsion du Parisien face à Valence, mardi, lors du huitième de finale aller de la Ligue des champions (1-2).

Beckham logera au BristolDavid Beckham logera à l’hôtel Bristol, dans le 8e arrondissement, durant les cinq mois qu’il passera à Paris, selon les informations de RTL. L’Anglais aurait réservé jusqu’à fin juin "la suite impériale", d’une superficie de 320m2. Celle-ci peut être facturée jusqu’à… 17 000 euros la nuit

Suspicion sur l'attribution au Qatar de la Coupe du monde de football 2022 par la FIFA

L'hebdomadaire sportif France Football met en doute l'intégrité de la FIFA (Fédération internationale de football) au sujet de l'attribution au Qatar de la Coupe du monde de football 2022.

Il évoque notamment "une réunion secrète" au Palais de l'Elysée, le 23 novembre 2010, une dizaine de jours avant le vote de la FIFA, entre le président de la RépubliqueNicolas Sarkozy, le prince du Qatar, Tamin bin Hamad al-Thani, Michel Platini, président de l'UEFA, et Sébastien Bazin, représentant de Colony Capital, à l'époque propriétaire du PSG.

"Au cours de cette réunion, écrit le journal, il a tour à tour été question du rachat du PSG par les Qataris (devenu effectif en juin 2011), d'une montée de leur actionnariat au sein du groupe Lagardère, de la création d'une chaîne de sport (la future BeIn sport) pour concurrencer Canal +, que Sarkozy voulait fragiliser, le tout en échange d'une promesse : que Platini (président de l'UEFA) ne donne pas sa voix aux Etats-Unis, comme il l'avait envisagé, mais au Qatar".

PSG-Blanc: "L'UEFA parle beaucoup"
Jean-Claude Blanc est encore monté au créneau pour défendre le contrat liant le PSG à l'Autorité du tourisme du Qatar. "Il me semble que l’UEFA, qui parle beaucoup sur ce sujet - et peut-être trop - se rangera derrière l’avis d’un panel indépendant qui jugera des éléments de contrat des grands clubs en Europe, a affirmé le directeur général du club de la capitale, dans des propos relayés samedi par Le Parisien. Laissons travailler ce panel indépendant, sans essayer d’influencer sa position. S’ils nous posent des questions, nous y répondrons. Je trouve étonnant que Karl-Heinz Rummenigge fasse des procès d’intention à l’encontre du PSG, surtout avec l’expérience qu’il a." Les doutes émis proviennent essentiellement du fait que l'Etat qatarien, notamment par ce biais, est directement lié au club parisien. Blanc a répété qu'il n'y aurait aucun problème avec le fair-play financier: "Le PSG respecte les autres, donc on demande à être respectés. Il n’y a pas de contournement des règles."

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Rummenigge-attaque-le-psg/350742

Rummenigge attaque le PSGTrès critique à l'égard du Paris Saint-Germain version qatari, Karl-Heinz Rummenigge, l'ancien international allemand et actuel patron du Bayern de Munich, a demandé au club parisien de ne pas tricher lors du passage au fair-play financier. 0289Envoyer à un ami
Karl-Heinze Rummenigge, le patron du Bayern Munich et de l’Association des clubs européens, est remonté contre le PSG et son contrat de quatre ans signé avec QTA (Qatar Tourism Authority), l’autorité publique chargée du développement touristique du Qatar et de son image à l’international. Alors que le fair-play financier va entrer en vigueur, ce contrat va garantir des revenus confortables au Paris-SG : entre 150 et 200 millions d’euros par saison.
«Si certains commencent à bidonner, ça ne va pas aller»«Un club qui reçoit 150 millions d’euros par an d’un sponsor ne répond pas au prix du marché. Dans ce cas, l’UEFA est invitée à faire en sorte que tout se déroule dans des conditions régulières. Si certains commencent à bidonner, ça ne va pas aller», a estimé Rummenigge dans une interview au Parisien samedi. Selon l’ancien international allemand, «l’image du Qatar souffre de manière dramatique à cause de son engagement dans le Paris-Saint-Germain

Marc Madiot : «Moi je ne vois rien venir…»
interview : Marc Madiot, président de la Ligue professionnelle
Professionnel de 1980 à 1994, vainqueur de deux Paris-Roubaix, Marc Madiot, 53 ans, est à la tête de la FDJ depuis sa création et il est président de la Ligne nationale de cyclisme.

Marc, on a le sentiment que le cyclisme, enfin, a entamé son grand virage…

Pour l'instant, j'attends et je regarde…

Vous n'avez pas l'air convaincu…

Dis moi ce qui a vraiment changé depuis la fin de la saison dernière, les affaires sortent, et puis plus rien, on en reste là et ça fait des années et des années que ça dure ! On nous parle de fermeté, de mesures, on multiplie les colloques, les réunions, on attend six mois, et puis rien…Rien ! McQuaid et les autres, je les mets dans le même sac. Ils sont tous partis à Louisville pour soi disant évoquer les problèmes et prendre des décisions. Qu'est ce qu'ils sont allés faire là-bas ? Qu'est ce qu'il en est sorti ? Rien. Toujours rien. Le sport se trouve dans le merdier le plus monstrueux qu'il ait jamais traversé, depuis quinze ans le cyclisme constate les dégâts et les dirigeants qu'est-ce qu'ils font ? Il y en a marre des concertations. À la fin de l'année dernière, j'y suis allé là-bas à Genève et depuis, j'attends des actions qui ne viennent pas. Quand est-ce qu'on va faire le ménage ?

Vous semblez très pessimiste…

Non, réaliste. Je suis réaliste. Qu'est ce qu'on va dire à Moncoutié ? Qu'est ce qu'on va dire à Casar qu'on a pris pour un con dans la presse et ailleurs parce qu'il était si souvent deuxième.

Sanchez l'a battu, il serait dans l'affaire Puerto, et on attend. On attend quoi ? Rien, comme d'habitude. Ils ne décident rien, ils en sont incapables. On apprend des trucs, Vinokourov et Kolobnev ont magouillé à Liège, mais le palmarès reste le même et il n'y a aucune sanction. Des dossiers comme celui-là, il y en a un tas !

Bruyneel va avoir du mal à se relever du cataclysme Armstrong, mais Riis, par exemple, n'est pas menacé…

Et voilà ! Et tout continue comme avant…

On a pourtant le sentiment qu'une bonne partie du peloton a reçu le message…

Oui, en même temps on peut se dire que ça va mieux mais ce qui me met hors de moi, c'est cette immobilité au plus haut niveau.

Vous seriez quand même surpris d'apprendre qu'un de nos Français de premier plan est impliqué dans une affaire…

Je m'occupe des miens et c'est déjà pas mal. Chez nous, ils connaissent la sanction en cas de problème…

RASSUREZ VOUS CITOYENS CA N'ARRIVE PAS EN FRANCE
Shangai Shenhua sanctionné
La Fédération chinoise de football a annoncé lundi de lourdes sanctions à l'encontre de personnes et de clubs impliqués dans le plus grand scandale de matches truqués qui a éclaté dans le pays en 2009. Pour avoir arrangé plusieurs matches en 2003, le Tianjin Teda et le Shanghai Shenhua écopent chacun d'une amende de 120.000 euros environ et débuteront la prochaine saison avec des points de handicap. L'ancienne formation de Nicolas Anelka et Didier Drogba se voit également retirer son titre de champion de Chine obtenu en 2003. Par ailleurs, trente-trois personnes ont été banni à vie, dont les anciens présidents de la Fédération Nan Yong et Xie Yalong, déjà en prison pour avoir touché des pots-de-vin.

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RSS Le 21/02/2013 à 19:32:00
Foot - Ligue 1 - LOSC :
Elana dénonce le racisme
Interrogé ce jeudi en conférence de presse sur le racisme dans les stades français, Steeve Elana a vidé son sac. Le gardien du LOSC a confié avoir été souvent victime d'insultes racistes, notamment en Corse, où son club se déplace samedi pour défier Ajaccio.

«Je ne veux pas stigmatiser un public plus qu'un autre, a-t-il précisé. Là, on parle de la Corse mais je pourrais très bien le faire n'importe où en France. Je passerais mon temps dans les commissariats à aller porter plainte contre X... Il y a des choses que je ne cautionne pas, que je ne comprends pas, que je vis, mais depuis le début de ma carrière, c'est comme ça. Depuis que je joue au foot, depuis que j'ai 15 ans. C'est malheureux mais ça en devient banal. Je ne vais pas dire qu'on apprend à vivre avec, mais je dédramatise assez vite. Sur le terrain c'est quelque chose que j'oublie.»