CORRUPTIONS TRUCAGES ET VIOLENCES DANS LE FOOTBALL ET LE SPORT EN GENERAL

Les truqueurs ont rendez-vous
Le 17/05/2012 | Mis à jour le 17/05/2012 23:48:00

La première audience disciplinaire dans l'affaire des matches truqués, dite "Calcioscommesse" (paris sur le football), aura lieu le 31 mai, a annoncé jeudi la Fédération italienne. Vingt-deux clubs et 61 personnes, dont 54 joueurs, seront entendus par la commission de discipline, et les sanctions pourraient être «exemplaires», affirme-t-on à la FIGC. Les clubs risquent de perdre des points (la saison prochaine) et les joueurs pourraient écoper de lourdes suspensions.

D'autres dirigeants et joueurs pourraient être inquiétés à l'issue de deux autres enquêtes judiciaires en cours dans le pays. Toutes les personnes épinglées sont soupçonnées de s'être arrangées avec des mafias locales et étrangères pour influer sur le résultat de certains matches. Cristiano Doni, ancien capitaine de l'Atalanta, suspendu trois ans à l'été 2011, a commencé à collaborer avec la justice civile et sera un témoin clé devant la commission de discipline

La tierce-partie dans le collimateur
Le 18/05/2012 | Mis à jour le 18/05/2012 21:24:00

L'UEFA songe à interdire ses compétitions aux joueurs appartenant à une tierce-partie - agents de joueurs, sociétés de management et autres fonds de pension. Comme L'Equipe.fr l'a raconté le 19 avril, cette pratique est légale en Espagne, au Portugal, en Italie ou encore en Allemagne, mais interdite en France et en Grande-Bretagne - depuis l'imbroglio Carlos Tévez/MSI.

«A la lumière de l'émergence étendue de ce phénomène dans le football européen et des menaces qui y sont liées, l'UEFA réfléchit à une interdiction d'inscription de ces joueurs dans ses compétitions», explique l'instance dans un communiqué publié après une réunion vendredi de son Conseil stratégique du football professionnel.

Vendre des "parts" de joueurs permet aux clubs en difficulté d'entrer de l'argent frais. L'UEFA voit plusieurs problèmes dans ce système, entre de possibles conflits d'intérêts ou encore des moyens de contourner son "fair-play" financier. De nouvelles discussions sur ce sujet interviendront prochainement, précise l'UEFA.

Italie :
Matches truqués : 19 arrestationsLe parquet de Crémone a fait procéder à 19 nouvelles interpellations dans l'affaire des matches truqués. L'international italien Domenico Criscito a été interrogé. Le domicile d'Antonio Conte a été perquisitionné.En pleine préparation pour l'Euro, Domenico Criscito a été interrogé par la police au camp de base de l'équipe d'Italie.

Dix-neuf personnes ont été interpellées par la police, annonce ce lundi matin l'agence de presse italienne Ansa, dans l'affaire des matches truqués, dite "Calcioscommesse". Selon les enquêteurs de "Last Bet", les joueurs concernés sont soupçonnés d'avoir truqué des matches contre de l'argent. Parmi elles figure Stefano Mauri, le capitaine de la Lazio. Le motif : "association de malfaiteurs à des fins de tricherie et de fraude sportive".

Le parquet de Crémone, qui dirige l'enquête, a également fait procéder à un interrogatoire de Domenico Criscito. L'ancien joueur de la Juve et du Genoa, qui fait partie des pré-sélectionnés pour l'Euro, a été interrogé au camp de base de l'équipe d'Italie. Selon la Gazzetta dello Sport, la police a perquisitionné le domicile d'Antonio Conte. Non pas pour sa "casquette" d'entraîneur de la Juventus (sacrée championne d'Italie cette saison), mais pour son passage d'un an à Sienne, qu'il a ramené en Serie A l'été dernier.

Cette troisième vague d'arrestations, après celles de novembre 2011 et avril 2012, se produit à trois jours de la mise en action de la justice sportive. Jeudi, la commission de discipline de la Fédération italienne de football doit juger 22 clubs et 61 joueurs ou ex-joueurs dans le cadre de l'enquête de Crémone. Les premiers risquent des points de pénalité, les seconds des suspensions.

Matches truqués en Italie: 19 personnes arrêtées dont le capitaine de la Lazio
Dix-neuf personnes dont le capitaine de la Lazio Rome, Stefano Mauri, ont été arrêtées lundi matin dans l'affaire des matches truqués dite "Calcioscommesse" et l'international Domenico Criscito était entendu par la police au centre d'entraînement de la "squadra azzurra", a annoncé l'agence italienne Ansa.


Ces personnes, dont plusieurs autres joueurs de première division (Serie A), ont été arrêtées pour "association de malfaiteurs à des fins de tricherie et de fraude sportive" dans le cadre de l'enquête du parquet de Crémone (nord) sur des matches arrangés par les officines de paris.

Les enquêteurs, sans donner plus de détails, ont annoncé une conférence de presse à 11h00 à la préfecture de Crémone.

Criscito, défenseur du Zenit Saint-Pétersbourg, qui prépare l'Euro-2012 (8 juin-1er juin) avec la sélection italienne, était encore entendu par la police lundi vers 09h00 locales, au centre d'entraînement de Coverciano, à Florence.

Cette descente policière a eu lieu alors que le sélectionneur italien Cesare Prandelli doit donner à 12h00 lundi sa liste de 23 joueurs pour l'Euro. Au nom du "code éthique" de la sélection italienne, Criscito, premier choix au poste d'arrière-gauche, pourrait donc ne pas être retenu.


Selon les enquêteurs de l'opération policière "Last bet" ("Dernier pari" en anglais), les joueurs concernés sont soupçonnés d'avoir truqué des matches contre de l'argent. Les arrestations effectuées lundi matin par la police ont visé plusieurs villes et plusieurs clubs italiens.

Selon l'Ansa, le domicile de l'entraîneur de la Juventus Turin, Antonio Conte, a également été perquisitionné lundi matin dans ce cadre. Les faits qui intéressent les enquêteurs remontent à la saison dernière, quand Conte entraînait Sienne en deuxième division (Serie B).

Cette troisième vague d'arrestations, après celles de novembre 2011 et d'avril 2012, se produit à trois jours de la mise en action de la justice sportive. Jeudi, la commission de discipline de la Fédération italienne de football (FIGC) doit juger 22 clubs et 61 joueurs ou ex-joueurs dans le cadre de l'enquête de Crémone. Les premiers risquent des points de pénalité, les seconds des suspensions.

L'opération "Last bet" compte trois volets, et l'enquête est conduite par les parquets de Crémone, Bari et Naples. L'ex-international Giuseppe Signori, l'ancien capitaine de l'Atalanta Bergame Cristiano Doni ou l'ancien joueur de Bari Andrea Masiello avaient notamment été arrêtés lors de ces coups de filets.

Au coeur du scandale, des mafias locales et étrangères et des joueurs qui s'arrangeaient pour influer sur le résultat d'un match, afin de parier dessus à coup sûr. Des joueurs, des intermédiaires de toute sorte et peut-être des dirigeants truquaient les rencontres de ligues inférieures et même de Serie A.

Il ne s'agissait pas seulement d'acheter la victoire. Les paris pouvaient en effet prendre différentes formes, comme l'"over", le fait de marquer plus d'un certain nombre de buts dans une rencontre.

L'Italie redoute désormais un séisme comme celui du "Totonero" en 1980, qui avait précipité l'AC Milan en deuxième division et coûté deux ans de suspension à Paolo Rossi, ou du "Calciopoli", le scandale des arbitres qui a privé la Juventus de deux titres (2005 et 2006) et l'a laissée en Serie B à son tour.

Antonio Conte est ciblé par le parquet de Crémone.
L'entraîneur de la Juve nie tout rôle dans les matches truqués. De son côté, Prandelli, le sélectionneur, garde pour l'Euro Bonucci mais pas Criscito, deux joueurs cités dans l'affaire.

Lèvres serrées, l'entraîneur de la Juventus Turin, Antonio Conte, a nié «toute implication» dans l'affaire des matches truqués dite "Calcioscommesse", après avoir été placé sous statut de témoin assisté et subi chez lui une perquisition lundi matin. «Je répète que je nie toute implication dans cette affaire, comme pour mes joueurs». Conte parle des joueurs de Sienne, le club qu'il entraînait lors de la saison 2010-2011, visée par l'enquête. Le procureur de Crémone Roberto Di Martino a précisé qu'il étudiait «sept à huit matches de Sienne». Dix-neuf personnes dont dix joueurs ont été interpellées dans le cadre de cette affaire.


La Juve le soutient
Conte s'est exprimé au centre d'entraînement de la Juve sans que les journalistes ne puissent poser une seule question. Il a regretté que le procureur de Crémone ne lui ai pas parlé avant d'agir, avant de recevoir le soutien du président de la Juve, Andrea Agnelli, qui a assuré qu'«il sera (toujours) l'entraîneur (du club) la saison prochaine». Agnelli est «également au côté (du défenseur de la Juve et de l'Italie) Leonardo Bonucci», qui sera lui aussi entendu dans le cadre d'une autre enquête sur des matches truqués menée celle-là par le parquet de Bari.

Prandelli explique sa décision
L'enquête a fait irruption au coeur de la sélection qui prépare à l'Euro. Le défenseur Domenico Criscito a dû y renoncer après avoir été entendu par la police lundi matin au centre d'entraînement de la Nazionale. «Je ne l'ai pas pris (dans la 2e pré-liste de 25 joueurs) parce qu'il aurait été sous une pression que personne ne peut supporter sans conséquence, a expliqué Cesare Prandelli, le sélectionneur. L'autre raison est qu'il pourrait être convoqué par le procureur à n'importe quel moment, avant un match.» Dans son esprit, le cas de Bonucci, qui ne fait pas l'objet d'une investigation formelle, est différent. «Sil est OK, il sera dans la liste des vingt-trois.»

¨PARCE QUE CELA NE PESE PAS SUR LE FOOT FRANCAIS

UN JOUR CA SORTIRA TOUT CE TLM SAIT DANS LE FOOT FRANCAIS
ITALIE AFFAIRE DES MATCHES TRUQUÉS
Un scandale qui pèse sur le Calcio

Les parquets de Crémone, Bari et Naples conduisent l’affaire des
matches truqués qui éclabousse le Calcio

Argent, corruption, chantage,
arrestations... Nous ne sommes
pas dans un film de Martin
Scorceses ou Brian de Palma,
mais bien au coeur du championnat
italien, gangrené par la
Mafia.
Hier, plusieurs joueurs ont
été arrêtés par la police dans le
nouveau scandale de matches
truqués qui frappe le football
transalpin. La police est venue
réveiller l’international Criscito,
défenseur du Zénith Saint
Petersbourg tôt lundi matin à
Coverciano, le centre d'entraînement
de la sélection italienne
à Florence (nord), pour entendre
sa déposition dans le cadre
d'une vaste enquêtepolicière
baptisée "Last Bet" (dernier
pari), et son domicile de Gênes
a également été perquisitionné.
L’influence desmafias
locales et étrangères
Outre la mise sous enquête
de Criscito, 19 personnes ont
été arrêtées, dont dix joueurs,
avec parmi eux le capitaine de
la Lazio Rome, Stefano Mauri.
Elles sont poursuivies pour association
de malfaiteurs à des
fins de tricherie et de fraude
sportive.
Ils sont tous soupçonnés
d'avoir truqué des matches
contre de l'argent.
Le domicile de l'entraîneur
de la Juventus Turin, Antonio
Conte, a également été perquisitionné.
Les faits qui intéressent
les enquêteurs remontent à la
saison dernière, quand Conte
entraînait Sienne en deuxième
division (Serie B).
Cette troisièmevague d'arrest
a tions , après cel l es de
novembre 2011 et avril 2012,
se produit à trois jours de la mise
en action de la justice sportive.
Jeudi, la commission de discipline
de la Fédération italienne
de football (FIGC) doit juger
22 clubs et 61 joueurs ou
ex-joueursdans le cadre de l'enquête
de Crémone.
Les premiers risquent des
points de pénalité, les seconds
des suspensions. Cette vaste
opération compte trois volets,
conduits par les parquets de
Crémone, Bari et Naples.
L'ex-international Giuseppe
Signori, l'ancien capitaine de
l'Atalanta Cristiano Doni ou
l'ancien joueur de Bari Andrea
Masiello avaient notamment
été arrêtés lors de ces coups de
filets. Au coeur du scandale, des
mafias locales et étrangères et
des joueurs qui s'arrangeaient
pour influer sur le résultat d'un
match, afin de parier dessus à
coup sûr.
Avant même ses débuts à
l’Euro, l’Italie est secoué par cette
énième affaire...

Del Bosque condamne le Calcioscommese
Le 29/05/2012 | Mis à jour le 29/05/2012 23:15:02

Le Calcioscommesse est «très mauvais pour le football» a estimé le sélectionneur de l'équipe d'Espagne Vicente Del Bosque. Cette affaire de matches truqués sur lesquels enquête actuellement le parquet de Crémone et qui ont provoqué des interpellations de divers joueurs et entraîneurs transalpins avait fait réagir ce mardi jusqu'au chef d'Etat italien, Mario Monti. Elle a également traversé les frontières puisque l'ancien coach du Real a soutenu: «je n'aime pas du tout ce qui se passe actuellement. C'est un moment extrêmement mauvais pour le football, mais il y a une industrie parallèle dans ce sport qu'il est difficile de contrôler»

Matches truqués: Monti veut une pause
Le 29/05/2012 | Mis à jour le 29/05/2012 16:29:48

Le scandale des matches truqués dit "Calcioscommesse" qui secoue actuellement l'Italie fait parler jusqu'au sommet de l'Etat. Le président du conseil italien, Mario Monti, a ainsi estimé ce mardi qu'il faudrait suspendre «pendant deux ou trois ans» le football. «Je ne suis pas en train de faire une proposition gouvernementale, mais (d'évoquer) un désir que, moi qui suis un passionné de foot depuis longtemps, je sens au fond de moi, a-t-il argumenté. C'est vraiment triste quand un monde qui devrait exprimer de grandes valeurs comme le sport se montre comme un concentré d'aspects les plus réprouvables comme la traîtrise, l'illégalité et la tricherie.»

Se retirer face au scandale ?
Le 01/06/2012 | Mis à jour le 01/06/2012 20:55:17


Cesare Prandelli : «Si pour le bien du football...»
En réaction au scandale des matches truqués qui touche par ricochet la Nazionale, Cesare Prandelli envisage la possibilité d'un retrait de l'Euro. La fédération a vite démenti.

A quelques heures d'un amical contre la Russie ce vendredi à Zürich (20h45), le sélectionneur italien Cesare Prandelli a envisagé que son équipe puisse se retirer de l'Euro, au moment où l'image du football transalpin est mise à mal par le scandale des matches truqués. «Si pour le bien du football la Nazionale devait ne pas aller à l'Euro, ce ne serait pas un problème», a-t-il dit à la chaîne Rai Sport. «Il y a des choses plus importantes», a-t-il ajouté en référence à la nouvelle vague d'arrestations, lundi dernier, qui a notamment conduit le défenseur Domenico Criscito à être écarté de l'Euro car il a été cité comme témoin assisté dans l'enquête.

Les propos du sélectionneur ont été tempérés par le vice-président de la Fédération italienne , Demetrio Albertini. «C'était une blague de Prandelli, un coup de colère, juste une idée, a dit l'ancien milieu de terrain à la radio. Concrètement il n'y a aucun risque que l'Italie n'aille pas à l'Euro.»



«Moment lourd pour Buffon»
Une polémique s'est enclenchée en Italie car un autre international, Leonardo Bonucci, doit être entendu par la police. Mais le cas de Criscito est avéré, alors que Bonucci devrait être entendu ultérieurement, dans le cadre d'une enquête menée par un autre parquet (Bari, et non Crémone comme pour Criscito). «Nous continuons à dire que ceux qui sont impliqués n'iront pas à l'Euro, a tonné Prandelli. Après, si on veut faire des croisades, alors faisons-les !»

Le sélectionneur est également revenu sur le cas de son gardien et capitaine, Gianluigi Buffon, au centre d'une polémique pour avoir versé 1,585 millions d'euros en 14 chèques à un centre de paris à Parme entre janvier et septembre 2010. La police n'a rien retenu d'illégal mais l'image de "Gigi" s'en trouve brouillée. Commentaire de Prandelli : «Il est fort, il a beaucoup de personnalité, mais même pour lui un moment comme celui-là est lourd».

Italie: la fuite faceauscandale? Alors que le Calcio est pris dans
la tempête du scandale des matches truqués, la Squadra Azzura
n’exclut pas la possibilité de se retirer de l’Euro. À la télévision italienne,
Rai Sport en l’occurrence, le sélectionneur Cesare Prandellia
déclaré : "Si, pour le biendu football, la Nazionale devait ne pas
aller à l'Euro, ce ne serait pas un problème."

ITALIE● La Nazionale ne se
retirera pas de l’Euro. Le sélectionneur
Cesare Prandelli a évoqué
un retrait de l’Italie de
l’Euro 2012 pour laver l’affront
du football transalpin à cause
du scandale des matches truqués,
dit "Calcioscommesse".
Mais la Fédération a expliqué
qu’il ne s’agissait que "d’un
coup de colère". "Concrètement,
il n’ya aucun risque que l’Italie
n’aille pas à l’Euro", a affirmé le
président de la FIGC, Demetrio
Albertini.

à mon grand etonnement cette saison 20112012
en national cfa cfa 2
un certain nombre de matchs se sont joués sans arrangement provoquant les descentes etonnantes de certains participants

à l'inverse de la saison precedente ou 100 % des matchs qui pouvaient etre corrompus l'ont été
là je le situerais à 65 %
1/3 matchs sains 2/3 malsains

quelles raisons
la crise peu d'argent à mettre sous la table, un nouveau mouvement de morale, la crainte de represailles ou d'actions en justice

je n'en sais rien surment un mixt des 3

Matches truqués: 3e procès jeudi
Le 06/06/2012 | Mis à jour le 06/06/2012 21:55:00

Le troisième procès sportif du Calcioscommesse va débuter jeudi à Rome. Des internationaux comme Simone Pepe et l'adjoint de l'entraîneur de la Juventus Turin, Cristian Stellini, seront notamment entendus. Ce procès sportif concerne en tout 37 licenciés, qui risquent des suspensions et des amendes. Il intervient une semaine après celui basé sur l'enquête du parquet de Crémone.

07/06/2012 - 12:00
UEFA Platini et la "tolérance zéro"
Michel Platini, président de l’UEFA, a réaffirmé son souhait que les joueurs qui seraient "pris" par la justice pour avoir truqué des matches, ne soient plus jamais présents sur un terrain de football. "Pour tous ceux qui sont pris, c’est tolérance zéro, ils ne rejoueront plus dans le foot. Parole du président de l’UEFA et j’espère que l’instance disciplinaire me suivra", a expliqué Platini, interrogé sur le Calcioscommese, véritable scandale des matches truqués qui secoue l’Italie. Conscient que les petites équipes sont les plus vulnérables, l’ancien numéro 10 de l’équipe de France en appelle à la responsabilité des joueurs : "C’est aux joueurs de résoudre ce problème, ce sont eux le cœur du foot. La crise a rendu de petites équipes, dans les petites divisions, vulnérables, il est facile d’aller les voir pour truquer un match en échange d’argent", propos relayés par Ouest-France.

Obodo enlevé au Nigeria
Le 09/06/2012 | Mis à jour le 09/06/2012 20:12:00

Le milieu international nigérian de Lecce (2e division italienne) Christian Obodo a été enlevé par des hommes armés samedi au Nigeria. Il était seul à bord de sa voiture quand il a été attaqué par des hommes armés, à Warri, sa ville natale, dans le sud-est pétrolier du Nigeria où les enlèvements ne sont pas rares mais visent surtout des collaborateurs des compagnies pétrolières. «Christian va bien. nous sommes en contact avec ses ravisseurs, ils veulent de l'argent. Nous ne pouvons pas leur donner plus de 100.000 euros. Malheureusement, ces choses-là arrivent dans notre pays», a déclaré le frère de Christian Obodo, Kenneth, footballeur à Pise.

Caminero poursuivi pour blanchiment
Le 14/06/2012 | Mis à jour le 14/06/2012 20:28:00

Un juge espagnol a ouvert jeudi des poursuites contre le directeur sportif de l'Atletico Madrid, José Luis Pérez Caminero, et 19 autres personnes soupçonnées d'avoir blanchi de l'argent de la drogue. Dans son arrêt, le juge Gregorio Maria Callejo affirme disposer d'«indices tangibles» établissant qu'«une organisation colombienne et une autre mexicaine se consacrant au narcotrafic blanchissaient de l'argent» dans une bijouterie de Madrid. Selon le magistrat, Caminero faisait partie de ce réseau et en 2008-2009, avec l'aide de deux personnes, il a «transporté de l'argent de Madrid à Valladolid, où un groupe de personnes les aidaient à changer l'argent en entité bancaire». «L'organisation pourrait avoir blanchi environ 60 millions d'euros», estime le magistrat en se fondant sur les éléments saisis à l'époque. Le magistrat demande dans son arrêt le transfert du dossier au parquet qui décidera ou non de prolonger la procédure

JUSTICE
Gomis etMakelele
dans le collimateur L’attaquant international de
l’Olympique Lyonnais Bafétimbi
Gomis et son ami Yohan
Benalouane, qui évolue à Cesena,
visés par une enquête pour
viol en réunion, devraient être
présentés aujourd’hui devant
le parquet de Lyon, leur garde à
vue ayant été prolongée jeudi
soir. "La garde à vue a été prolongée
en vue d’une présentation
vendredi (demain) dans la
journée devant le parquet", a indiqué
à une source proche de
l’enquête.
La plaignante, une femme de
38 ans travaillant à Lyon dans
l’événementiel selon cette source,
et les deux hommes, ont été
confrontésdans la journée, chacun
campant sur sa position. La
femme, quiaportéplainte mercredi,
affirme que la relation
sexuelle était non consentie.
Cette relation sexuelle aurait
été filmée avec un téléphone
portable mais aurait été effacée,
selon le site Lyon Capitale.
Hier, outre les auditions, la police
a procédé à une perquisition
de l’appartement, qui appartient
à un ami de Gomis. Mais
aucun élément probant n’y a
été découvert.
En outre, des analysesphysiologiques
et toxicologiques ont
été pratiquées sur la trentenaire,
mais n’ont rien donné de déterminant.
Dès mercredi, l’international
tricolore, qui n’a pas été retenu
par Laurent Blanc pour l’Euro,
a formellement démenti tout
viol sur sa page Facebook. De
son côté, l’Olympique Lyonnais
a pris "acte de l’existence d’une
enquête", affirmant suivre "en
parfaite synergie son évolution".
Cinqmois avec sursis
pour ClaudeMakelele
De son côté, l’actuel entraîneur
adjoint du PSG Claude Makelele
a écopé de cinq mois de
prison avec sursis , le parquet
de Versailles soutenant qu’il a
frappé son ex-petiteamie Thandi
Ojeer en 2010.
L’ancien milieu défensif international
est également dans
l’obligation d’indemniser la jeune
femme.

Bravo «témoin» d'un match arrangé le 19/06/2012 14:54:03

L'ancien international Daniel Bravo (49 ans, 13 sélections, 1 but) a révélé lundi avoir été témoin d'un match arrangé en Championnat d'Italie, pendant son passage à Parme lors de la saison 1996-1997. «Je n'ai jamais arrangé de match, je ne peux pas le raconter, mais je l'ai subi en fait. Le dernier match important pour Parme, on pouvait jouer le titre, mais en fait, on ne pouvait pas gagner. Alors, on a opté pour le match nul à la mi-temps. D'un commun accord», a expliqué l'actuel consultant de Canal+ lors d'un entretien diffusé sur le site Yahoo! Sport.

«On ne comprenait pas. On disait : "Vous êtes fous, on peut gagner." Et les autres : "On est en Italie ici, laissez faire."». Parme avait fini 2e, deux points derrière la Juventus Turin, dont Daniel Bravo ne prononce pas le nom. Les deux équipes s'étaient rencontrées lors de la 32e journée et avaient fait... match nul (1-1). Parme avait ensuite remporté ses deux derniers matches de la saison.

moi on me dit elie c'est le foot ca
on me met la main sur l'epaule affectueusement
match arrangé de cfa groupe sud saison 2006/2007

LIGUEEUROPE ● Le Sigma
Olomouc exclu par l’UEFA.
Vainqueur de sa Coupe nationale
la saison passée, le club tchèque
a été interdit de Ligue Europe par
l’UEFA, en raison de son implication
dans une affaire d’un match
truqué remontant à 2009, a annoncé
hier la Fédération tchèque
(FACR) à Prague. "Cette décision
est définitive", a-t-elle précisé
dans un communiqué

27/06/2012 - 15:18
AC Milan: Berlusconi ne sera pas jugé dans l'affaire Mediaset
Accusé d'avoir gonflé le prix payé pour l'acquisition de droits télévisuels via des sociétés offshore pour ensuite détourner une partie des sommes et créer une caisse noire dans le cadre de son entreprise, Mediaset, Silvio Berlusconi encourait une peine de trois ans et huit mois de prison mais ne sera finalement pas jugé. Ce mercredi, un tribunal de Rome a annoncé sa décision, soulignant qu'il n'y avait pas assez d'éléments pour juger l'ancien Président du Conseil et actuellement à la tête de l'AC Milan.

ILS ACHETENT DES JOUEURS POUR LES PRETER

UN VRAI MARCHE A BESTIAUX
s'ils sont pas assez bons pour jouer en L1 et bien ne les prenez pas ce systeme devrait etre honni
laissez les se faire transferer dans un club du bon niveau
non ils font un contrat pour avoir une plus value financiere au cas de revente
on demande que le ministere de la probité dans le football soit cree URGENT

Rennes prête Carrasso à Metz 27/06/2012 14:19:58
Johann Carrasso ne sera pas revenu longtemps à Rennes. Prêté l'an passé par le club breton à Monaco, le gardien va faire l'objet d'un nouveau prêt la saison prochaine, cette fois à Metz (National) selon Francefootball.fr. Le joueur de 24 ans est sous contrat jusqu'en 2014 avec Rennes.

Ziad Fakhri : "L'avenir reste à écrire..."


Vous semblez avoir pris un peu de recul cette saison. Cela était-il nécessaire pour dépassionner tous les événements qui se sont déroulés ?
Ziad Fakhri : " Je ne pense pas que l’on puisse dépassionner car la passion pour le football peut être comparée à l’amour, ce sont des choses irrationnelles. Je dirai plutôt que les événements que l’on a vécu nous amène à voir notre passion différemment. On se rend compte que c’est un milieu particulier avec certaines pratiques qui luis sont propres.
Et je ne fais pas seulement allusion aux événements de l’été dernier,
mais également à ce qui s’était passé dans la lutte pour la montée avec Arles lors de notre arrivée.
Après notre rétrogradation, j’ai eu besoin d’analyser les choses en profondeur, j’ai donc en quelque sorte pris du recul. Attention, cela ne veut pas dire que je m’intéressais moins au club, mais cela m’a permis face à l’adversité à laquelle on était confronté de me poser les bonnes questions. J’apprends à vivre ma passion différemment, en tenant compte de tous ces paramètres extérieurs spécifiques au milieu et à être plus patient. Je me suis ressourcé pour repartir sur un nouveau cycle en CFA qui a débuté par une saison forcément compliquée car nous ne pouvions pas ressortir indemnes de ce que nous avions vécu. Il fallait que je sache avec mes proches dont mon père et Mr Nielsen si on était prêt à repartir tous ensemble de l’avant. Aucun ne devait subir la décision, nous sommes arrivés ensemble et je tenais à ce que nous soyons tous encore convaincus de notre volonté de réussir ce projet. Leur réponse ne m’a pas étonné, j’ai même le sentiment que cette épreuve nous a renforcé dans notre détermination

la technique peut en mettant un nom de jouueur sur le talon du cheque alors que le benficiaire du cheque est une autre personne qui est dans la confidence

TRETS
Soupçon d’escroquerie
dans desclubs sportifs

L’US Trets avait signé en deux ans plusieurs contrats uniques
d’insertion (CUI), réservés exclusivement aux jeunes.



Quelque
100000euros
auraient été détournés
en vingt-quatremois.

Cinq Marseillais, âgés d’une
trentaine d’années, viennent
d’être mis en examen par un juge
aixois pour des faits de "détournement
de fonds publics" et
"d’escroquerie". Soupçonnés
d’avoir encaissé l’argent versé
par l’État dans le cadre d’un dispositif
visant à favoriser
l’emploi des jeunes, ils ont été
placés sous contrôle judiciaire.
La brigade financière de la
police judiciaire de Marseille
avait été amenée à s’intéresser
de près au fonctionnement de
deux associations sportives de
Trets, une petite commune située
au Nord d’Aix-en-Provence.
En deux ans, une vingtaine
d e c o n t r a t s u n i q u e s
d’insertion (CUI), réservés exclusivement
aux jeunes et leur
permettant un emploi pour
une durée de six mois, avaient
été signés par l’US Trets et
L’AMSCT. En échange, les deux
structures avaient perçu les
subventions promises par le
dispositif : soit quelque
100 000 euros en vingt-quatre
mois. "Le problème, souligne
une s o u r c e p r o c h e d e
l’enquête, c’est qu’il s’agissait
de contrats bidons ! 90 %du salaire
était bien versé par l’État
aux associations mais l’argent
n’était pas redistribué comme il
aurait dû l’être !"
L’enquête de la brigade financière
va, maintenant, tenter de
déterminer si ces fonds ont été
réinjectés dans les associations
ou s’ils ont serviàenrichir le patrimoine
personnel des dirigeants
et à rémunérer les intermédiaires
ayant favorisé cette
escroquerie. "Ce qui est certain,
souligne un enquêteur, c’est
que les jeunes censés être employés
ne l’ont jamais été !"
Avec la multiplication des dispositifs
visant à lutter contre le
chômage, la police est de plus
en plus confrontée à ce type de
fraude. "Et donc, nous sommes
de plus en plus vigilants", assure-
t-on à la police judiciaire de
Marseille.

Des officiels croates inculpés
Le 06/07/2012 | Mis à jour le 06/07/2012 13:02:47

Nommé hier président de la Fédération croate de football, Davor Suker trouve une instance en pleine tempête. En effet, l'ancien vice-président de la fédération, Zeljko Siric, ainsi qu'un membre de la Commission des arbitres, Stjepan Djedovic et un haut responsable du club d?Hajduk Split (1ere division), ont été inculpés pour des faits de corruption.
Le dirigeant d' Hajduk Split aurait versé des pots-de-vin se montant à 30 000 euros, en décembre 201, afin de s'assurer un « arbitrage correct » pour son équipe, en transmettant à ses interlocuteurs une liste d'arbitres choisi par le club.
Cette décision fait suite à une affaire de corruption pour laquelle, en décembre dernier, quinze joueurs et arbitres locaux avaient été condamnés à des peines allant jusqu'à dix mois de prison pour avoir truqué des matchs de première division.