INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
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aladin
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Stéphane Hessel, auteur du livre "Indignez-vous !", en dédicaces demain à Utopia2 contributions Publié le vendredi 08 juillet 2011 à 15H30
A 93 ans, la néo-star Stéphane Hessel, qui vient de vendre 1 million d'exemplaires de son opuscule "Indignez-vous!", sera au cinéma Utopia ce samedi à Avignon. Il dédicacera son nouvel ouvrage, "Engagez-vous !" publié par la maison d'édition vauclusienne les Editions de l'Aube (basée à la Tour d'Aigues).
L'auteur rencontrera ses lecteurs demain, à 12h30, à l'issue de la projection du documentaire "Walter, retour en résistance", dans lequel il apparaît.
Il participera, en outre, à un débat programmé samedi à 16h30 à la maison Jean Vilar
A 93 ans, la néo-star Stéphane Hessel, qui vient de vendre 1 million d'exemplaires de son opuscule "Indignez-vous!", sera au cinéma Utopia ce samedi à Avignon. Il dédicacera son nouvel ouvrage, "Engagez-vous !" publié par la maison d'édition vauclusienne les Editions de l'Aube (basée à la Tour d'Aigues).
L'auteur rencontrera ses lecteurs demain, à 12h30, à l'issue de la projection du documentaire "Walter, retour en résistance", dans lequel il apparaît.
Il participera, en outre, à un débat programmé samedi à 16h30 à la maison Jean Vilar
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
sylvie84
08/07/2011 à 17h30
Je pense qu'il y aura du monde demain a l'issue de la projection et je n'aime pas trop les bains de foule...
On verra....car je respecte beaucoup cet homme et ses pairs et j'aimerais tant croiser son regard de sage qui reflète une vie d'engagement et le désir (Utopique ????) d'égalité et d'amour entre les peuples.....
Merci Monsieur Hessel....
sylvie84
08/07/2011 à 17h15
"CREER, C'EST RESISTER.
RESISTER, C'EST CREER."
08/07/2011 à 17h30
Je pense qu'il y aura du monde demain a l'issue de la projection et je n'aime pas trop les bains de foule...
On verra....car je respecte beaucoup cet homme et ses pairs et j'aimerais tant croiser son regard de sage qui reflète une vie d'engagement et le désir (Utopique ????) d'égalité et d'amour entre les peuples.....
Merci Monsieur Hessel....
sylvie84
08/07/2011 à 17h15
"CREER, C'EST RESISTER.
RESISTER, C'EST CREER."
bienvenou- Admin
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
LeParlementautorise la
poursuitedes frappesenLibye
Le "oui" l'a emporté avec une très large majorité à l’Assemblée et au Sénat
Selon le Premier ministre, l'objectif des 4400 hommes et femmes engagés dans l'opération
Harmattan, n'est pas d'éliminer le dirigeant libyen
Le gouvernement a aisément
obtenu, hier, le feu
vert du Parlement pour
poursuivre l'intervention de
l'armée française en Libye afin
de faire plier le régime de
Mouammar Kadhafi.
L'intervention de la coalition,
où Paris joue un rôle en pointe
avec le Royaume-Uni, n'ayant
pas permis de faire tomber le régime
au bout de quatre mois, le
gouvernement avait l'obligation
de solliciter l'autorisation
de l'Assemblée et du Sénat
pour une durée qui n'est pas limitée
dans le temps. Le "oui"
l'a emporté avec une très large
majorité de 482 voix contre
27. Le Sénat a ensuite donné
son feu vert par 311 voix contre
24. Les socialistes ont soutenu
l'intervention, tout en demandant
au gouvernement de revenir
devant la représentation nationale
en septembre si l'opération
n'était pas terminée à cette
date. Les élus communistes s'y
sont opposés et les écologistes
se sont divisés.
Malgré les critiques qui dénoncent
un enlisement de l'intervention,
le Premier ministre
a appelé à la constance et à la
détermination, affirmant que la
Libye ne "devait pas être l'hiver
du printemps arabe". Pour François
Fillon, cette "cause est juste"
et c'est pourquoi "le gouvernement
et le Parlement ne tremblent
pas devant leurs responsabilités.
Je metourne vers la majorité
et l'opposition avec la certitude
qu’il existe sur tous les
bancs la même volonté de faire
plier le régime libyen".
Le chef du gouvernement a affirmé
que les soutiens du régime
ne cessaient de s'effriter et
que ses capacités militaires
avaient été sérieusement dégradées.
"Kadhafi est acculé. Il se
dit lui-même 'dos au mur'",
a-t-il dit.
Kadhafi prêt à partir ?
Selon le ministre des Affaires
étrangères, Alain Juppé, la communauté
internationale a des
contacts avec des émissaires libyens
(ce dont doutent les
USA) qui affirment que Mouammar
Kadhafi est prêt à partir.
François Fillon a quant à lui
égrené les pertes infligées aux
forces du colonel, avec, selon
lui, 2500 objectifs touchés, parmi
lesquels 850 sites logistiques,
160 centres de commandement,
450 chars, 220 véhicules
et 140 pièces d'artillerie. Il a
assuré que depuis le début des
opérations, en mars, l'objectif
des 4 400 hommes et femmes
engagés dans l'opération Harmattan,
dont 800 en métropole
sur certaines bases aériennes,
n'était pas d'éliminer le dirigeant
libyen. "La France, depuis
le début de l'intervention, s'en
tient au mandat défini par le
Conseil de sécurité des Nations
unies", a-t-il précisé, avant
d’ajouter qu’"une solution politique
en Libye est plus que jamais
indispensable et (qu’)elle
commence à prendre forme". Il
a cité les conditions de la suspension
des opérations :un cessez-
le-feu authentique et vérifiable
qui suppose un retour
des forces de Kadhafi dans
leurs casernes; la fin des exactions
contre les populations civiles
et le libre accès de l'aide
humanitaire ; le retrait, enfin,
du colonel Kadhafi du pouvoir.
Gaudin : "Symbole
d’espoir"
"Voter pour l’autorisation de
prolongation de l’intervention
en Libye est nécessaire pour le
rôle de la France sur la scène internationale",
a expliqué lors de
son intervention au Sénat,
Jean-Claude Gaudin, le patron
du groupe UMP à la Haute-Assemblée.
"Ce n’est ni plus ni
moins que crédibiliser la diplomatie
française", a poursuivi le
maire de Marseille estimant
que "prolonger les frappes,
c’est faire preuve de cohérence"
et qu’un vote favorable du
Sénat est "un symbole d’espoir
pour le peuple libyen".
poursuitedes frappesenLibye
Le "oui" l'a emporté avec une très large majorité à l’Assemblée et au Sénat
Selon le Premier ministre, l'objectif des 4400 hommes et femmes engagés dans l'opération
Harmattan, n'est pas d'éliminer le dirigeant libyen
Le gouvernement a aisément
obtenu, hier, le feu
vert du Parlement pour
poursuivre l'intervention de
l'armée française en Libye afin
de faire plier le régime de
Mouammar Kadhafi.
L'intervention de la coalition,
où Paris joue un rôle en pointe
avec le Royaume-Uni, n'ayant
pas permis de faire tomber le régime
au bout de quatre mois, le
gouvernement avait l'obligation
de solliciter l'autorisation
de l'Assemblée et du Sénat
pour une durée qui n'est pas limitée
dans le temps. Le "oui"
l'a emporté avec une très large
majorité de 482 voix contre
27. Le Sénat a ensuite donné
son feu vert par 311 voix contre
24. Les socialistes ont soutenu
l'intervention, tout en demandant
au gouvernement de revenir
devant la représentation nationale
en septembre si l'opération
n'était pas terminée à cette
date. Les élus communistes s'y
sont opposés et les écologistes
se sont divisés.
Malgré les critiques qui dénoncent
un enlisement de l'intervention,
le Premier ministre
a appelé à la constance et à la
détermination, affirmant que la
Libye ne "devait pas être l'hiver
du printemps arabe". Pour François
Fillon, cette "cause est juste"
et c'est pourquoi "le gouvernement
et le Parlement ne tremblent
pas devant leurs responsabilités.
Je metourne vers la majorité
et l'opposition avec la certitude
qu’il existe sur tous les
bancs la même volonté de faire
plier le régime libyen".
Le chef du gouvernement a affirmé
que les soutiens du régime
ne cessaient de s'effriter et
que ses capacités militaires
avaient été sérieusement dégradées.
"Kadhafi est acculé. Il se
dit lui-même 'dos au mur'",
a-t-il dit.
Kadhafi prêt à partir ?
Selon le ministre des Affaires
étrangères, Alain Juppé, la communauté
internationale a des
contacts avec des émissaires libyens
(ce dont doutent les
USA) qui affirment que Mouammar
Kadhafi est prêt à partir.
François Fillon a quant à lui
égrené les pertes infligées aux
forces du colonel, avec, selon
lui, 2500 objectifs touchés, parmi
lesquels 850 sites logistiques,
160 centres de commandement,
450 chars, 220 véhicules
et 140 pièces d'artillerie. Il a
assuré que depuis le début des
opérations, en mars, l'objectif
des 4 400 hommes et femmes
engagés dans l'opération Harmattan,
dont 800 en métropole
sur certaines bases aériennes,
n'était pas d'éliminer le dirigeant
libyen. "La France, depuis
le début de l'intervention, s'en
tient au mandat défini par le
Conseil de sécurité des Nations
unies", a-t-il précisé, avant
d’ajouter qu’"une solution politique
en Libye est plus que jamais
indispensable et (qu’)elle
commence à prendre forme". Il
a cité les conditions de la suspension
des opérations :un cessez-
le-feu authentique et vérifiable
qui suppose un retour
des forces de Kadhafi dans
leurs casernes; la fin des exactions
contre les populations civiles
et le libre accès de l'aide
humanitaire ; le retrait, enfin,
du colonel Kadhafi du pouvoir.
Gaudin : "Symbole
d’espoir"
"Voter pour l’autorisation de
prolongation de l’intervention
en Libye est nécessaire pour le
rôle de la France sur la scène internationale",
a expliqué lors de
son intervention au Sénat,
Jean-Claude Gaudin, le patron
du groupe UMP à la Haute-Assemblée.
"Ce n’est ni plus ni
moins que crédibiliser la diplomatie
française", a poursuivi le
maire de Marseille estimant
que "prolonger les frappes,
c’est faire preuve de cohérence"
et qu’un vote favorable du
Sénat est "un symbole d’espoir
pour le peuple libyen".
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Aéroport : la Commission européenne ouvre une enquête sur les aides d’État Publié le mercredi 13 juillet 2011 à 15H55
La Commission européenne a annoncé avoir ouvert trois enquêtes approfondies relatives à des aides d’État concernant l'aéroport Marseille-Provence. Elle émet des réserves sur la nécessité et le montant d'une subvention pour la construction du terminal low cost mp2 (7,577 millions € entre 2005 et 2007). Et craint que les réductions de redevances consenties aux compagnies aériennes utilisant ce terminal et les remises accordées pour l'ouverture de nouvelles liaisons ne procurent un avantage sélectif aux bénéficiaires, ce qui serait contraire aux règles de l’UE. Toutes les compagnies n'en bénéficient pas de la même façon.
La Commission européenne a annoncé avoir ouvert trois enquêtes approfondies relatives à des aides d’État concernant l'aéroport Marseille-Provence. Elle émet des réserves sur la nécessité et le montant d'une subvention pour la construction du terminal low cost mp2 (7,577 millions € entre 2005 et 2007). Et craint que les réductions de redevances consenties aux compagnies aériennes utilisant ce terminal et les remises accordées pour l'ouverture de nouvelles liaisons ne procurent un avantage sélectif aux bénéficiaires, ce qui serait contraire aux règles de l’UE. Toutes les compagnies n'en bénéficient pas de la même façon.
bienvenou- Admin
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
PAUVRE FRANCE patrie des droits de l'homme
qui est tombée bien bas
Hier, dans un communiqué
de presse, les organisateurs du
Festival de Martigues ont annoncé
que l’ensemble Kalabache
du Togo ne participera pas
à la 23ème édition du festival, qui
se déroule 18 au 26 juillet 2011.
"Les danseurs et musiciens togolais
se sont vu refuser, le mercredi
6 juillet, les visas par l’Ambassade
de France à Lomé, à la
veille même de leur venue en
France, déplorent les organisateurs.
Depuis, les efforts déployés
ces derniers jours par le
Comité d’organisation auprès
des autorités françaises se sont
avérés vains." Une décision "regrettable
et incompréhensible"
pour Marc Peron, le président
du Festival.
Par conséquent, toute la programmation
du Togo est annulée
(stage de danse, le bal sur la
place Mirabeau et leurs représentations
sur le canal Saint-Sébastien).
"Il est impossible de remanier
le travail de toute une année, à
cinq jours de l’ouverture du Festival
de Martigues", ajoute t-on
du côté du Festival
qui est tombée bien bas
Hier, dans un communiqué
de presse, les organisateurs du
Festival de Martigues ont annoncé
que l’ensemble Kalabache
du Togo ne participera pas
à la 23ème édition du festival, qui
se déroule 18 au 26 juillet 2011.
"Les danseurs et musiciens togolais
se sont vu refuser, le mercredi
6 juillet, les visas par l’Ambassade
de France à Lomé, à la
veille même de leur venue en
France, déplorent les organisateurs.
Depuis, les efforts déployés
ces derniers jours par le
Comité d’organisation auprès
des autorités françaises se sont
avérés vains." Une décision "regrettable
et incompréhensible"
pour Marc Peron, le président
du Festival.
Par conséquent, toute la programmation
du Togo est annulée
(stage de danse, le bal sur la
place Mirabeau et leurs représentations
sur le canal Saint-Sébastien).
"Il est impossible de remanier
le travail de toute une année, à
cinq jours de l’ouverture du Festival
de Martigues", ajoute t-on
du côté du Festival
bienvenou- Admin
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
c'est vrai ma femme me dit toujours avant de nous coucher
chéri mange de la viande ca va te doper
on le sait tous que laa viande ca dope
et là ils ont eu le coup de foudre pour le berger
n'importe quoi
chéri mange de la viande ca va te doper
on le sait tous que laa viande ca dope
et là ils ont eu le coup de foudre pour le berger
n'importe quoi
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
L'Italie a adopté définitivement son plan d'austérité
Le Parlement italien a donné vendredi son feu vert définitif à un plan d'austérité renforcé devant mettre le pays à l'abri de la crise de la dette et de l'attaque des marchés qui attendent les résultats des tests de résistance subis par 91 banques européennes.
Après avoir été adopté au pas de charge jeudi par le Sénat, ce plan d'austérité de près de 48 milliards d'euros a été voté de manière définitive dans l'après-midi par la Chambre des députés avec 316 voix pour, 284 contre et deux abstentions, une rapidité inédite dans l'histoire de l'Italie, et faisant évoquer un "miracle" au président de la République Giorgio Napolitano, pourtant ex-communiste.
L'Italie, attaquée par les marchés depuis une semaine, se devait d'accélérer l'adoption de ce plan car une propagation de la crise de la dette au pays pourrait mettre à genoux toute la zone euro dont la Péninsule est la troisième économie.
Le plan d'austérité a cependant soulevé une tempête de protestations à l'intérieur du pays.
"Ce plan est l'énième cochonnerie, il frappe les gens pauvres", a dénoncé vendredi dans une interview au Corriere della Sera Antonio Martino, ancien ministre de la Défense de Silvio Berlusconi.
La présidente de l'organisation patronale Confindustria, Emma Marcegaglia, a pour sa part dénoncé un plan "fondé en substance sur une hausse des impôts".
L'Italie est prise pour cible par les marchés en raison de son énorme dette publique de 1.900 milliards d'euros, représentant environ 120% du PIB, ce qui fait dangereusement grimper le coût de l'emprunt pour ce pays.
Parmi les mesures destinées à réduire le déficit figurent le lancement d'un plan de privatisations en 2013, l'introduction d'un ticket modérateur, le gel des salaires et des embauches des fonctionnaires, une sévère réduction des déductions fiscales et des dotations des collectivités locales, ainsi que des conditions plus sévères pour les retraites.
La Banque d'Italie, qui a relevé légèrement ses prévisions de croissance pour 2011, de 0,9% à 1%, a estimé qu'une poursuite de la crise de la dette aurait un "coût considérable".
"La très grosse dette publique reste le point le plus vulnérable de l'économie italienne, particulièrement dans ce climat de forte incertitude et de crainte des marchés", a souligné dans une interview à La Repubblica le commissaire européen aux Affaires économiques, Olli Rehn.
Evoquant la possibilité d'un sommet extraordinaire des pays de la zone euro dans les prochains jours, M. Rehn a assuré que "d'intenses négociations étaient en cours sur les mesures à prendre en faveur de la Grèce et pour éviter la contagion".
"Il reviendra au président (de l'Union européenne Herman) Van Rompuy de décider de la convocation ou non du sommet extraordinaire", a ajouté M. Rehn, soulignant cependant que "personne n'a de baguette magique et toutes les solutions présentent des avantages et des inconvénients".
L'Allemagne s'est déclarée opposée vendredi à l'organisation à tout prix d'un sommet européen dans les prochains jours, Berlin jugeant que la réunion ne "fait sens" que si un programme d'aide concret pour la Grèce y est adopté.
En parallèle, la réunion entamée jeudi à Rome entre les créanciers privés de la Grèce et des responsables européens pour tenter d'avancer sur la question de la participation du secteur privé au nouveau plan d'aide à Athènes a repris vendredi.
A Bruxelles, la Commission européenne s'est dite prête à accroître le montant de sa contribution au financement de projets d'infrastructures en Grèce afin d'aider à relancer l'économie nationale asphyxiée par la crise de la dette.
Outre les négociations sur la crise grecque, les marchés suivront avec une très grande attention aussi les résultats des tests de résistance subis par 91 banques européennes et qui seront annoncés à Londres à 16H00 GMT par l'Autorité bancaire européenne (EBA).
L'EBA dira alors combien de banques seraient incapables de traverser une récession économique de deux ans et chacune d'elles devra indiquer dans la foulée les mesures qu'elle compte prendre pour consolider sa position.
Le Parlement italien a donné vendredi son feu vert définitif à un plan d'austérité renforcé devant mettre le pays à l'abri de la crise de la dette et de l'attaque des marchés qui attendent les résultats des tests de résistance subis par 91 banques européennes.
Après avoir été adopté au pas de charge jeudi par le Sénat, ce plan d'austérité de près de 48 milliards d'euros a été voté de manière définitive dans l'après-midi par la Chambre des députés avec 316 voix pour, 284 contre et deux abstentions, une rapidité inédite dans l'histoire de l'Italie, et faisant évoquer un "miracle" au président de la République Giorgio Napolitano, pourtant ex-communiste.
L'Italie, attaquée par les marchés depuis une semaine, se devait d'accélérer l'adoption de ce plan car une propagation de la crise de la dette au pays pourrait mettre à genoux toute la zone euro dont la Péninsule est la troisième économie.
Le plan d'austérité a cependant soulevé une tempête de protestations à l'intérieur du pays.
"Ce plan est l'énième cochonnerie, il frappe les gens pauvres", a dénoncé vendredi dans une interview au Corriere della Sera Antonio Martino, ancien ministre de la Défense de Silvio Berlusconi.
La présidente de l'organisation patronale Confindustria, Emma Marcegaglia, a pour sa part dénoncé un plan "fondé en substance sur une hausse des impôts".
L'Italie est prise pour cible par les marchés en raison de son énorme dette publique de 1.900 milliards d'euros, représentant environ 120% du PIB, ce qui fait dangereusement grimper le coût de l'emprunt pour ce pays.
Parmi les mesures destinées à réduire le déficit figurent le lancement d'un plan de privatisations en 2013, l'introduction d'un ticket modérateur, le gel des salaires et des embauches des fonctionnaires, une sévère réduction des déductions fiscales et des dotations des collectivités locales, ainsi que des conditions plus sévères pour les retraites.
La Banque d'Italie, qui a relevé légèrement ses prévisions de croissance pour 2011, de 0,9% à 1%, a estimé qu'une poursuite de la crise de la dette aurait un "coût considérable".
"La très grosse dette publique reste le point le plus vulnérable de l'économie italienne, particulièrement dans ce climat de forte incertitude et de crainte des marchés", a souligné dans une interview à La Repubblica le commissaire européen aux Affaires économiques, Olli Rehn.
Evoquant la possibilité d'un sommet extraordinaire des pays de la zone euro dans les prochains jours, M. Rehn a assuré que "d'intenses négociations étaient en cours sur les mesures à prendre en faveur de la Grèce et pour éviter la contagion".
"Il reviendra au président (de l'Union européenne Herman) Van Rompuy de décider de la convocation ou non du sommet extraordinaire", a ajouté M. Rehn, soulignant cependant que "personne n'a de baguette magique et toutes les solutions présentent des avantages et des inconvénients".
L'Allemagne s'est déclarée opposée vendredi à l'organisation à tout prix d'un sommet européen dans les prochains jours, Berlin jugeant que la réunion ne "fait sens" que si un programme d'aide concret pour la Grèce y est adopté.
En parallèle, la réunion entamée jeudi à Rome entre les créanciers privés de la Grèce et des responsables européens pour tenter d'avancer sur la question de la participation du secteur privé au nouveau plan d'aide à Athènes a repris vendredi.
A Bruxelles, la Commission européenne s'est dite prête à accroître le montant de sa contribution au financement de projets d'infrastructures en Grèce afin d'aider à relancer l'économie nationale asphyxiée par la crise de la dette.
Outre les négociations sur la crise grecque, les marchés suivront avec une très grande attention aussi les résultats des tests de résistance subis par 91 banques européennes et qui seront annoncés à Londres à 16H00 GMT par l'Autorité bancaire européenne (EBA).
L'EBA dira alors combien de banques seraient incapables de traverser une récession économique de deux ans et chacune d'elles devra indiquer dans la foulée les mesures qu'elle compte prendre pour consolider sa position.
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
ALLIANCE MESALLIANCES DESALLIANCES
Borloo, "surpris" par la défaite d'Hulot, s'élève contre tout "monopole" sur l'écologie
Le président du Parti radical Jean-Louis Borloo, candidat potentiel à la présidentielle, s'est dit "surpris" par la défaite de Nicolas Hulot à la primaire d'EELV et a dénoncé ceux qui ont la prétention d'avoir un "monopole" sur l'écologie.
"Je suis évidemment surpris", a réagi sur Europe 1 l'ancien ministre de l'Ecologie après la défaite de Nicolas Hulot largement devancé par Eva Joly à la primaire d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV).
"Je suis surpris parce que c'est l'homme du Pacte écologique, avec 850.000 signatures, un vrai document avec de vraies propositions. Cela a donné lieu au Grenelle de l'Environnement qui est, quand même, la plus grande mobilisation de tout un peuple...et, c'est un peu grâce à Nicolas Hulot", a-t-il fait valoir.
Va-t-il maintenant tendre la main à l'écologiste vedette? "Cela ne se passe pas comme cela", a-t-il dit. "Il doit être peiné, respectons son temps de repos. Je respecte Nicolas Hulot, c'est à lui de prendre ses décisions et pas à moi", a-t-il ajouté, sans fermer la porte à un éventuel rapprochement.
Nicolas Hulot avait jeté un froid durant la primaire en racontant au congrès d'EELV à la Rochelle avoir envisagé "un court temps" un partenariat avec M. Borloo pour 2012. Le président du Parti radical avait confirmé avoir de "vraies convergences" avec l'homme du pacte écologique, se disant persuadé que "d'une manière ou d'une autre" ils retravailleraient "ensemble".
Après sa défaite, Nicolas Hulot a répété n'avoir "qu'une parole" et assuré qu'il ne ferait "rien qui contrarie la dynamique" de la campagne d'Eva Joly.
Sur le fond du débat, M. Borloo, candidat potentiel des centristes de la majorité à la présidentielle, a souligné que "personne n'a le monopole de l'écologie, dans aucun pays, aucun parti".
"La transition (écologique, ndlr) se fera de manière transversale, avec les agriculteurs, les industriels, les citoyens, les villes de droite et de gauche... Je me méfie lorsqu'il y a un groupe qui prétend avoir le monopole d'un sujet aussi vaste, aussi engageant et aussi complexe", a-t-il fait valoir
"EELV considère que l'écologie politique, c'est d'abord, quoi qu'il arrive, l'écologie au service de la victoire de la gauche. Moi, je pense que l'écologie est au service de la planète et des hommes", a-t-il expliqué.
Borloo, "surpris" par la défaite d'Hulot, s'élève contre tout "monopole" sur l'écologie
Le président du Parti radical Jean-Louis Borloo, candidat potentiel à la présidentielle, s'est dit "surpris" par la défaite de Nicolas Hulot à la primaire d'EELV et a dénoncé ceux qui ont la prétention d'avoir un "monopole" sur l'écologie.
"Je suis évidemment surpris", a réagi sur Europe 1 l'ancien ministre de l'Ecologie après la défaite de Nicolas Hulot largement devancé par Eva Joly à la primaire d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV).
"Je suis surpris parce que c'est l'homme du Pacte écologique, avec 850.000 signatures, un vrai document avec de vraies propositions. Cela a donné lieu au Grenelle de l'Environnement qui est, quand même, la plus grande mobilisation de tout un peuple...et, c'est un peu grâce à Nicolas Hulot", a-t-il fait valoir.
Va-t-il maintenant tendre la main à l'écologiste vedette? "Cela ne se passe pas comme cela", a-t-il dit. "Il doit être peiné, respectons son temps de repos. Je respecte Nicolas Hulot, c'est à lui de prendre ses décisions et pas à moi", a-t-il ajouté, sans fermer la porte à un éventuel rapprochement.
Nicolas Hulot avait jeté un froid durant la primaire en racontant au congrès d'EELV à la Rochelle avoir envisagé "un court temps" un partenariat avec M. Borloo pour 2012. Le président du Parti radical avait confirmé avoir de "vraies convergences" avec l'homme du pacte écologique, se disant persuadé que "d'une manière ou d'une autre" ils retravailleraient "ensemble".
Après sa défaite, Nicolas Hulot a répété n'avoir "qu'une parole" et assuré qu'il ne ferait "rien qui contrarie la dynamique" de la campagne d'Eva Joly.
Sur le fond du débat, M. Borloo, candidat potentiel des centristes de la majorité à la présidentielle, a souligné que "personne n'a le monopole de l'écologie, dans aucun pays, aucun parti".
"La transition (écologique, ndlr) se fera de manière transversale, avec les agriculteurs, les industriels, les citoyens, les villes de droite et de gauche... Je me méfie lorsqu'il y a un groupe qui prétend avoir le monopole d'un sujet aussi vaste, aussi engageant et aussi complexe", a-t-il fait valoir
"EELV considère que l'écologie politique, c'est d'abord, quoi qu'il arrive, l'écologie au service de la victoire de la gauche. Moi, je pense que l'écologie est au service de la planète et des hommes", a-t-il expliqué.
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Enquête Banon-DSK accusations de tentative de viol
Un temps directrice de collection au Cherche midi éditeur, avec lequel elle est actuellement en procès,Tristane Banon collabore également avec le site Internet Atlantico[1].
Le capital du site est détenu à 51 % par les cofondateurs que sont Jean-Sébastien Ferjou (ex-LCI), Pierre Guyot, Loïc Rouvin (ex-DG de Societe.com) et Igor Daguier. Le reste appartiennent à la holding d'investisseurs Free Minds, parmi lesquels figurent Charles Beigbeder, Marc Simoncini (fondateur de Meetic), Xavier Niel (fondateur de Free et actionnaire minoritaire du Monde) et Arnaud Dassier (fondateur de l'agence de communication L'Enchanteur des médias, qui a animé la campagne de Nicolas Sarkozy sur le Web en 2007).
Le conseil de surveillance du site compte six personnes, dont Hugues Dangy (à l'origine de l'agence en ligne Newsweb, revendue à Lagardère Active), Christian de Villeneuve (ancien directeur de la rédaction du Parisien, du Journal du dimanche — propriété de Lagardère Active — et de France-Soir), Mathieu Laine (avocat et essayiste).
Gabriel Banon est un économiste franco-marocain,Il est père de trois enfants légitimes et d'une enfant née hors mariage : ; Tristane Banon, fille d'Anne Mansouret, qu'il a reconnue à sa naissance
Un temps directrice de collection au Cherche midi éditeur, avec lequel elle est actuellement en procès,Tristane Banon collabore également avec le site Internet Atlantico[1].
Le capital du site est détenu à 51 % par les cofondateurs que sont Jean-Sébastien Ferjou (ex-LCI), Pierre Guyot, Loïc Rouvin (ex-DG de Societe.com) et Igor Daguier. Le reste appartiennent à la holding d'investisseurs Free Minds, parmi lesquels figurent Charles Beigbeder, Marc Simoncini (fondateur de Meetic), Xavier Niel (fondateur de Free et actionnaire minoritaire du Monde) et Arnaud Dassier (fondateur de l'agence de communication L'Enchanteur des médias, qui a animé la campagne de Nicolas Sarkozy sur le Web en 2007).
Le conseil de surveillance du site compte six personnes, dont Hugues Dangy (à l'origine de l'agence en ligne Newsweb, revendue à Lagardère Active), Christian de Villeneuve (ancien directeur de la rédaction du Parisien, du Journal du dimanche — propriété de Lagardère Active — et de France-Soir), Mathieu Laine (avocat et essayiste).
Gabriel Banon est un économiste franco-marocain,Il est père de trois enfants légitimes et d'une enfant née hors mariage : ; Tristane Banon, fille d'Anne Mansouret, qu'il a reconnue à sa naissance
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
CIRCULEZ ..IL EST INTERDIT D "ETRE PAUVRE
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Au Gabon, Fillon vante le nouveau dispositif militaire français en Afrique
François Fillon a rendu visite dimanche aux forces françaises basées au Gabon qui vont constituer le nouveau dispositif "avancé et projetable" en Afrique de l'Ouest dans le cadre des accords de défense que Paris est en train de négocier avec ses ex-colonies.
Le Premier ministre, qui achève dimanche une mini-tournée en Afrique de l'Ouest, s'est rendu au Camp de Gaulle à Libreville où sont basés quelque 900 militaires français, a constaté un journaliste de l'AFP.
"La présence militaire de la France sur ce continent a souvent été, par le passé, la cible de suspicions qui ont pesé sur notre image", a admis M. Fillon. Pour couper court à ces insinuations, "le président de la République a souhaité remettre à plat l'ensemble de nos accords en les plaçant sous le signe de la transparence", a-t-il déclaré aux militaires français basés au Gabon.
Paris a ainsi débuté la renégociation des accords de défense qui les liaient à ses anciennes colonies en Afrique qui dataient souvent de plusieurs décennies.
Avec ces nouveaux partenariats de défense, le rôle de la base française au Gabon "va encore se renforcer", selon M. Fillon, pour constituer la "part essentielle" de la présence militaire française sur la façade Atlantique. Cette base formera ainsi "le coeur de notre nouveau dispositif avancé et projetable", a précisé le chef du gouvernement.
Outre un rôle de formation de forces militaires africaines, les militaires français basés au Gabon continueront de "protéger avec vigueur les intérêts que la France partage avec ses partenaires africains", a assuré M. Fillon.
Ce rôle a été récemment illustré par l'envoi, dans le cadre d'une mission de l'ONU, en Côte d'Ivoire du 6e bataillon d'infanterie de marine basé au Gabon lors de la crise post-électorale qui a finalement débouché sur la chute de Laurent Gbagbo.
François Fillon a rendu visite dimanche aux forces françaises basées au Gabon qui vont constituer le nouveau dispositif "avancé et projetable" en Afrique de l'Ouest dans le cadre des accords de défense que Paris est en train de négocier avec ses ex-colonies.
Le Premier ministre, qui achève dimanche une mini-tournée en Afrique de l'Ouest, s'est rendu au Camp de Gaulle à Libreville où sont basés quelque 900 militaires français, a constaté un journaliste de l'AFP.
"La présence militaire de la France sur ce continent a souvent été, par le passé, la cible de suspicions qui ont pesé sur notre image", a admis M. Fillon. Pour couper court à ces insinuations, "le président de la République a souhaité remettre à plat l'ensemble de nos accords en les plaçant sous le signe de la transparence", a-t-il déclaré aux militaires français basés au Gabon.
Paris a ainsi débuté la renégociation des accords de défense qui les liaient à ses anciennes colonies en Afrique qui dataient souvent de plusieurs décennies.
Avec ces nouveaux partenariats de défense, le rôle de la base française au Gabon "va encore se renforcer", selon M. Fillon, pour constituer la "part essentielle" de la présence militaire française sur la façade Atlantique. Cette base formera ainsi "le coeur de notre nouveau dispositif avancé et projetable", a précisé le chef du gouvernement.
Outre un rôle de formation de forces militaires africaines, les militaires français basés au Gabon continueront de "protéger avec vigueur les intérêts que la France partage avec ses partenaires africains", a assuré M. Fillon.
Ce rôle a été récemment illustré par l'envoi, dans le cadre d'une mission de l'ONU, en Côte d'Ivoire du 6e bataillon d'infanterie de marine basé au Gabon lors de la crise post-électorale qui a finalement débouché sur la chute de Laurent Gbagbo.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
ANCIENSCOMBATTANTS● Nouvelle
augmentation de la retraite du combattant et des
pensions d’invalidité.Un arrêté du 19 avril 2011 a
porté à 13,85 ¤ la valeur du point d’indice servant
au calcul du montant des pensions militaires
d’invalidité, de la retraite du combattant et
du plafond majorable des rentes mutualistes anciens
combattants. Cette augmentation a pris
effet le 1er octobre 2010 dernier et tous les intéressés
toucheront un rappel lors de leur prochaine
échéance. De ce fait, la retraite du combattant
s’élève donc à 595,55¤ par an, soit 297,
755¤ à l’échéance semestrielle de règlement.
Pour percevoir cette somme, il faut avoir plus de
65 ans, être possesseur de la carte du combattant
et avoir fait demande de cette retraite. Cette
carte du combattant, comme le Titre de reconnaissance
de la Nation, permettent également
de se constituer une rente mutualiste ancien
combattant subventionnée par l’État (12,50 à
60%) dont les versements sont déductibles du
revenu imposable, capital -selon les options- reversé
intégralement sans droit de succession au
bénéficiaire désigné, lors du décès du rentier
mutualiste.
Pour demander la carte du combattant, le Titre
de reconnaissance de la nation, se renseigner
sur la rente mutualiste ancien combattant, les
garanties mutualistes de santé, les allocations
frais d’obsèques,etc., s’adresser à lamutuelle de
l’Arac ou à l’Arac, au 2, pl. du Méridien, 94807
Villejuif cedex, 0142111100, fax0146777909,
mutarac@mutuarac.com—www.mutuellearac.
com
augmentation de la retraite du combattant et des
pensions d’invalidité.Un arrêté du 19 avril 2011 a
porté à 13,85 ¤ la valeur du point d’indice servant
au calcul du montant des pensions militaires
d’invalidité, de la retraite du combattant et
du plafond majorable des rentes mutualistes anciens
combattants. Cette augmentation a pris
effet le 1er octobre 2010 dernier et tous les intéressés
toucheront un rappel lors de leur prochaine
échéance. De ce fait, la retraite du combattant
s’élève donc à 595,55¤ par an, soit 297,
755¤ à l’échéance semestrielle de règlement.
Pour percevoir cette somme, il faut avoir plus de
65 ans, être possesseur de la carte du combattant
et avoir fait demande de cette retraite. Cette
carte du combattant, comme le Titre de reconnaissance
de la Nation, permettent également
de se constituer une rente mutualiste ancien
combattant subventionnée par l’État (12,50 à
60%) dont les versements sont déductibles du
revenu imposable, capital -selon les options- reversé
intégralement sans droit de succession au
bénéficiaire désigné, lors du décès du rentier
mutualiste.
Pour demander la carte du combattant, le Titre
de reconnaissance de la nation, se renseigner
sur la rente mutualiste ancien combattant, les
garanties mutualistes de santé, les allocations
frais d’obsèques,etc., s’adresser à lamutuelle de
l’Arac ou à l’Arac, au 2, pl. du Méridien, 94807
Villejuif cedex, 0142111100, fax0146777909,
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
SARKO TF1 EN PLEIN NAUFRAGE
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Un redécoupage des syndicats intercommunaux, des regroupements pédagogiques intercommunaux (RPI) et des Etablissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) est en train de se préparer au sein des préfectures.
Concrètement dans le Tarn, le projet préfectoral préconise de ramener de 25 à 16 le nombre d'intercommunalités
. Il prévoit aussi de supprimer 80 syndicats mixtes (eau, ordures, électricité, voirie, etc.) sur les 142 existants et de donner aux RPI une seule commune pilote privant ainsi les autres de tous pouvoirs décisionnels.
Ce redécoupage a des conséquences politiques très importantes : c’est le premier pas vers une refonte de la décentralisation telle que nous la connaissons aujourd’hui qui, à terme, conduira vers la disparition des communes de petites et moyennes tailles et à la fusion de nombreux cantons.
Vous l’aurez compris, l’UMP est en train de réorganiser le découpage territorial en sa faveur pour 2014 !
Il faut se mobiliser contre cette proposition préfectorale.
A aucun moment les citoyens ne seront appelés à se prononcer sur une réforme qui, à terme, modifiera profondément leur administration.
Concrètement dans le Tarn, le projet préfectoral préconise de ramener de 25 à 16 le nombre d'intercommunalités
. Il prévoit aussi de supprimer 80 syndicats mixtes (eau, ordures, électricité, voirie, etc.) sur les 142 existants et de donner aux RPI une seule commune pilote privant ainsi les autres de tous pouvoirs décisionnels.
Ce redécoupage a des conséquences politiques très importantes : c’est le premier pas vers une refonte de la décentralisation telle que nous la connaissons aujourd’hui qui, à terme, conduira vers la disparition des communes de petites et moyennes tailles et à la fusion de nombreux cantons.
Vous l’aurez compris, l’UMP est en train de réorganiser le découpage territorial en sa faveur pour 2014 !
Il faut se mobiliser contre cette proposition préfectorale.
A aucun moment les citoyens ne seront appelés à se prononcer sur une réforme qui, à terme, modifiera profondément leur administration.
aladin- Messages : 115038
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Suicides à l'ONF: le gouvernement promet de "mieux accompagner" les agents
Le gouvernement a demandé jeudi que les agents de l'Office national des forêts, dont quatre se sont donné la mort en un mois, soient "mieux accompagnés", en soulignant "leurs conditions de travail particulières, souvent dans la "solitude".
Vingt-quatre suicides ont été recensés à l'ONF depuis 2005 et quatre depuis le 20 juin, le dernier en date étant survenu mardi dans l'Allier où un agent de 59 ans a mis fin à ses jours.
Les deux ministres de tutelle Bruno le Maire (Agriculture) et Nathalie Kosciusko-Morizet (Environnement) ont assuré jeudi "porter la plus grande attention" à la situation sociale des 9.500 agents de l'ONF, alors que le PS a jugé l'attitude du gouvernement "scandaleuse" et mis en cause les réductions d'effectifs.
Mme Kosciusko-Morizet a observé que les agents patrimoniaux (ex-gardes forestiers) travaillaient "dans des conditions particulières, qui sont des conditions d'une forme de solitude".
Elle a affirmé que "le suivi social de ces personnes avait été bien amélioré ces dernières années". "On sait bien que la question du suicide est une question humaine compliquée. Je n'ai pas de solution idéale, là tout de suite", a-t-elle toutefois admis.
De son côté, Bruno Le Maire, qui a reçu jeudi le directeur général de l'ONF Pascal Viné, a demandé un renforcement de "l'accompagnement personnel, afin de mieux prendre en compte les difficultés de chacun, éviter les situations d’isolement et soutenir les agents les plus fragiles".
Rendant hommage au "travail remarquable que (les agents de l'ONF) accomplissent chaque année pour entretenir et valoriser nos forêts", il a demandé à Pascal Viné "une évaluation de la situation sociale" et indiqué qu'il ferait un nouveau point en septembre avec lui sur "le climat social".
L'annonce de ce quatrième suicide est intervenue mercredi, jour où le Conseil d'administration de l'ONF examinait le Contrat d'objectifs 2012-2016 qui prévoit plus de 600 nouvelles suppressions de postes.
Mais Nathalie Kosciusko-Morizet a assuré que la nouvelle convention ONF-Etat donnait justement de la "visibilité sur cinq ans" à cet établissement public avec des "moyens pérennisés".
L'ONF, qui compte aujourd'hui 9.500 salariés, a perdu plus du tiers de ses effectifs en 25 ans.
Pour le PS, le gouvernement "ignore volontairement les effets déterminants de la RGPP (Révision générale des politiques publiques, ndlr) tels que la suppression d'un emploi sur cinq depuis 10 ans, la dégradation sans précédent des conditions de travail ou bien encore l'annonce de la suppression de 700 postes d'ici 2016". C'est "tout bonnement scandaleux", a déclaré le secrétaire national du PS chargé des services publics, Razzy Hammadi.
Le gouvernement a demandé jeudi que les agents de l'Office national des forêts, dont quatre se sont donné la mort en un mois, soient "mieux accompagnés", en soulignant "leurs conditions de travail particulières, souvent dans la "solitude".
Vingt-quatre suicides ont été recensés à l'ONF depuis 2005 et quatre depuis le 20 juin, le dernier en date étant survenu mardi dans l'Allier où un agent de 59 ans a mis fin à ses jours.
Les deux ministres de tutelle Bruno le Maire (Agriculture) et Nathalie Kosciusko-Morizet (Environnement) ont assuré jeudi "porter la plus grande attention" à la situation sociale des 9.500 agents de l'ONF, alors que le PS a jugé l'attitude du gouvernement "scandaleuse" et mis en cause les réductions d'effectifs.
Mme Kosciusko-Morizet a observé que les agents patrimoniaux (ex-gardes forestiers) travaillaient "dans des conditions particulières, qui sont des conditions d'une forme de solitude".
Elle a affirmé que "le suivi social de ces personnes avait été bien amélioré ces dernières années". "On sait bien que la question du suicide est une question humaine compliquée. Je n'ai pas de solution idéale, là tout de suite", a-t-elle toutefois admis.
De son côté, Bruno Le Maire, qui a reçu jeudi le directeur général de l'ONF Pascal Viné, a demandé un renforcement de "l'accompagnement personnel, afin de mieux prendre en compte les difficultés de chacun, éviter les situations d’isolement et soutenir les agents les plus fragiles".
Rendant hommage au "travail remarquable que (les agents de l'ONF) accomplissent chaque année pour entretenir et valoriser nos forêts", il a demandé à Pascal Viné "une évaluation de la situation sociale" et indiqué qu'il ferait un nouveau point en septembre avec lui sur "le climat social".
L'annonce de ce quatrième suicide est intervenue mercredi, jour où le Conseil d'administration de l'ONF examinait le Contrat d'objectifs 2012-2016 qui prévoit plus de 600 nouvelles suppressions de postes.
Mais Nathalie Kosciusko-Morizet a assuré que la nouvelle convention ONF-Etat donnait justement de la "visibilité sur cinq ans" à cet établissement public avec des "moyens pérennisés".
L'ONF, qui compte aujourd'hui 9.500 salariés, a perdu plus du tiers de ses effectifs en 25 ans.
Pour le PS, le gouvernement "ignore volontairement les effets déterminants de la RGPP (Révision générale des politiques publiques, ndlr) tels que la suppression d'un emploi sur cinq depuis 10 ans, la dégradation sans précédent des conditions de travail ou bien encore l'annonce de la suppression de 700 postes d'ici 2016". C'est "tout bonnement scandaleux", a déclaré le secrétaire national du PS chargé des services publics, Razzy Hammadi.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Echelon est un nom de code utilisé pendant de nombreuses années par les services de renseignements des États-Unis pour désigner une base d'interception des satellites commerciaux. Le Réseau Echelon désigne le système mondial d'interception des communications privées et publiques (SIGINT), élaboré par les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande dans le cadre du traité UKUSA.
Echelon est un réseau capable de surveiller toutes les télécommunications mondiales (appels téléphoniques, télécopies, e-mails...).
Le réseau Echelon peut intercepter les télécopies, les communications téléphoniques, les mails et, grâce à un puissant réseau d'ordinateurs, est également capable de trier en fonction de certains termes les communications écrites ou encore, à partir de l'intonation de la voix, les communications orales.
Ces réseaux peuvent être utilisés pour des actions militaires ou politiques.
Toutes les informations récoltées par le réseau Echelon sont analysées au quartier général de la NSA à Fort George G. Meade (Maryland, États-Unis).
Le réseau Echelon est géré conjointement par les services de renseignements des États membres du UKUSA, à savoir :
- la NSA (National Security Agency) pour les États-Unis qui en est le principal contributeur et utilisateur
- le GCHQ (Government Communications Headquarters) pour le Royaume-Uni
- le CST (Centre de sécurité des télécommunications) pour le Canada
- la DSD (Defence Signals Directorate) pour l'Australie
- le GCSB (Government Communications Security Bureau) pour la Nouvelle-Zélande
Située en Angleterre, la base de Menwith Hill, dans les environs de Leeds, n'existe officiellement pas sur les cartes de la région.
C'est au milieu des prés, délimités par des murs de pierres sèches, que s'est établie la plus grande base d'espionnage du monde.
Ce qui frappe le plus les visiteurs, ce sont les immenses boules blanches disséminées un peu partout sur la base. Les " balles de golf ", comme elles sont surnommées, mesurent une vingtaine de mètres de diamètre. Il s'agit de structures creuses qui abritent des paraboles de réception satellitaire.
Les 28 globes blancs protègent les paraboles contre les effets du vent, de la pluie et de la neige, mais aussi contre les regards indiscrets. Il est impossible de voir dans quelle direction sont pointées ces antennes-satellite. Impossible également de deviner ce qui se passe à l'intérieur du bâtiment où se trouvent les postes de commande et de contrôle de la base
Frenchelon (ou French Echelon) est le petit nom donné au supposé système français d'espionnage des télécommunications.
Son existence n'a jamais été officiellement reconnue par les autorités françaises, même si de nombreux journalistes et spécialistes l'ont évoqué lors de différentes enquêtes.
Le système serait géré par la DRM (Direction des Renseignements Militaires) et la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure). La plus importante des stations d'écoute est supposée se situer à Domme, près de Sarlat, dans le Périgord.
Il en existerait d'autres, réparties entre la métropole (Fort du Mont-Valérien, Cap d'Agde...) et les Dom-Tom (avec le centre d'écoute militaire de Bandamiers notamment).
Frenchelon est, en tous les cas, considéré comme très performant par les différents services d'espionnage français. Comme le prouve cette déclaration d'un espion français « Nous n'avons rien à envier aux Américains»
ce serait un membre de la fratrie le chef
Echelon est un réseau capable de surveiller toutes les télécommunications mondiales (appels téléphoniques, télécopies, e-mails...).
Le réseau Echelon peut intercepter les télécopies, les communications téléphoniques, les mails et, grâce à un puissant réseau d'ordinateurs, est également capable de trier en fonction de certains termes les communications écrites ou encore, à partir de l'intonation de la voix, les communications orales.
Ces réseaux peuvent être utilisés pour des actions militaires ou politiques.
Toutes les informations récoltées par le réseau Echelon sont analysées au quartier général de la NSA à Fort George G. Meade (Maryland, États-Unis).
Le réseau Echelon est géré conjointement par les services de renseignements des États membres du UKUSA, à savoir :
- la NSA (National Security Agency) pour les États-Unis qui en est le principal contributeur et utilisateur
- le GCHQ (Government Communications Headquarters) pour le Royaume-Uni
- le CST (Centre de sécurité des télécommunications) pour le Canada
- la DSD (Defence Signals Directorate) pour l'Australie
- le GCSB (Government Communications Security Bureau) pour la Nouvelle-Zélande
Située en Angleterre, la base de Menwith Hill, dans les environs de Leeds, n'existe officiellement pas sur les cartes de la région.
C'est au milieu des prés, délimités par des murs de pierres sèches, que s'est établie la plus grande base d'espionnage du monde.
Ce qui frappe le plus les visiteurs, ce sont les immenses boules blanches disséminées un peu partout sur la base. Les " balles de golf ", comme elles sont surnommées, mesurent une vingtaine de mètres de diamètre. Il s'agit de structures creuses qui abritent des paraboles de réception satellitaire.
Les 28 globes blancs protègent les paraboles contre les effets du vent, de la pluie et de la neige, mais aussi contre les regards indiscrets. Il est impossible de voir dans quelle direction sont pointées ces antennes-satellite. Impossible également de deviner ce qui se passe à l'intérieur du bâtiment où se trouvent les postes de commande et de contrôle de la base
Frenchelon (ou French Echelon) est le petit nom donné au supposé système français d'espionnage des télécommunications.
Son existence n'a jamais été officiellement reconnue par les autorités françaises, même si de nombreux journalistes et spécialistes l'ont évoqué lors de différentes enquêtes.
Le système serait géré par la DRM (Direction des Renseignements Militaires) et la DGSE (Direction Générale de la Sécurité Extérieure). La plus importante des stations d'écoute est supposée se situer à Domme, près de Sarlat, dans le Périgord.
Il en existerait d'autres, réparties entre la métropole (Fort du Mont-Valérien, Cap d'Agde...) et les Dom-Tom (avec le centre d'écoute militaire de Bandamiers notamment).
Frenchelon est, en tous les cas, considéré comme très performant par les différents services d'espionnage français. Comme le prouve cette déclaration d'un espion français « Nous n'avons rien à envier aux Américains»
ce serait un membre de la fratrie le chef
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Paris, le 22 juillet 2011
COMMUNIQUE D'ARNAUD MONTEBOURG
Député et Président du Conseil général de Saône-et-Loire
Candidat aux Primaires socialistes
Plan de sauvetage de la Grèce : l’austérité n’est pas la solution
Le plan de sauvetage de la Grèce conclu le 21 juillet 2011 à Bruxelles par les Etats de l’Eurozone permettra sans doute de relâcher la pression et de gagner encore du temps mais il nous éloigne en fait des solutions efficaces et justes que ni Nicolas Sarkozy, ni Angela Merkel, ni Jean-Claude Trichet ne veulent encore entendre. Leur nouveau plan de sauvetage négocié avec le secteur bancaire souffre en effet de quatre défauts rédhibitoires :
1- Il ne peut enrayer le risque de contagion systémique aux pays fragiles compte tenu de la surface financière du Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) et de ses missions trop restrictives. Seule une véritable « européanisation » des dettes souveraines est à même de dominer la spéculation. La création d’une agence européenne de la dette est possible et souhaitable. Elle serait en charge de racheter une partie de la dette des Etats et d’émettre des obligations européennes (euro bonds) garanties de manière solidaire. Un tel dispositif allégerait le coût de l’endettement et consoliderait le rôle de l’euro comme monnaie de réserve. La France et l’Allemagne pourraient en initier le mouvement, sur une base bilatérale, avant d’en élargir la proposition à d’autres Etats de la zone.
2- Il charge les contribuables européens et épargne le secteur bancaire. La participation franche et massive du secteur bancaire au désendettement de la Grèce est une évidence assez indiscutable sur le plan économique. L’idée que la croissance sortira seule la Grèce de la crise d’endettement est contredite par les expériences du passé. Or, la participation du secteur bancaire à la résolution de la crise est en trompe l'oeil : aucun engagement ferme tant en termes de volume que de délai n'a été pris par les banques malgré les déclarations ; elles auront en sus la possibilité de se défaire de leurs dettes douteuses auprès des contribuables européens via le FESF et ainsi nettoyer leur bilan à bon compte. Une décote obligatoire et générale de 30 % des obligations d’Etats grecques, proposées depuis plus d’un an, serait pourtant facilement absorbable par les banques.
3- Il propose des contributions d’urgence des Etats et néglige les financements pérennes par les opérateurs financiers privés. Il est temps de mettre en œuvre une taxe sur les transactions financières qui viendrait abonder l’agence européenne de la dette et financer les investissements d’avenir partout en Europe.
4- Enfin, il perpétue à tort l’obsession de l’austérité et le retour en force des critères de Maastricht de 1992. Le respect d’un déficit de 3 % en 2013, en France, signifierait une levée d’impôts de 30 milliards d’euros dans la loi de finance à l’automne 2012. A la fois intenable socialement, elle serait de surcroît contre productive car de l’avis de beaucoup d’économistes, il convient de soutenir et non d’étouffer la reprise de la croissance et des recettes fiscales associées.
COMMUNIQUE D'ARNAUD MONTEBOURG
Député et Président du Conseil général de Saône-et-Loire
Candidat aux Primaires socialistes
Plan de sauvetage de la Grèce : l’austérité n’est pas la solution
Le plan de sauvetage de la Grèce conclu le 21 juillet 2011 à Bruxelles par les Etats de l’Eurozone permettra sans doute de relâcher la pression et de gagner encore du temps mais il nous éloigne en fait des solutions efficaces et justes que ni Nicolas Sarkozy, ni Angela Merkel, ni Jean-Claude Trichet ne veulent encore entendre. Leur nouveau plan de sauvetage négocié avec le secteur bancaire souffre en effet de quatre défauts rédhibitoires :
1- Il ne peut enrayer le risque de contagion systémique aux pays fragiles compte tenu de la surface financière du Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) et de ses missions trop restrictives. Seule une véritable « européanisation » des dettes souveraines est à même de dominer la spéculation. La création d’une agence européenne de la dette est possible et souhaitable. Elle serait en charge de racheter une partie de la dette des Etats et d’émettre des obligations européennes (euro bonds) garanties de manière solidaire. Un tel dispositif allégerait le coût de l’endettement et consoliderait le rôle de l’euro comme monnaie de réserve. La France et l’Allemagne pourraient en initier le mouvement, sur une base bilatérale, avant d’en élargir la proposition à d’autres Etats de la zone.
2- Il charge les contribuables européens et épargne le secteur bancaire. La participation franche et massive du secteur bancaire au désendettement de la Grèce est une évidence assez indiscutable sur le plan économique. L’idée que la croissance sortira seule la Grèce de la crise d’endettement est contredite par les expériences du passé. Or, la participation du secteur bancaire à la résolution de la crise est en trompe l'oeil : aucun engagement ferme tant en termes de volume que de délai n'a été pris par les banques malgré les déclarations ; elles auront en sus la possibilité de se défaire de leurs dettes douteuses auprès des contribuables européens via le FESF et ainsi nettoyer leur bilan à bon compte. Une décote obligatoire et générale de 30 % des obligations d’Etats grecques, proposées depuis plus d’un an, serait pourtant facilement absorbable par les banques.
3- Il propose des contributions d’urgence des Etats et néglige les financements pérennes par les opérateurs financiers privés. Il est temps de mettre en œuvre une taxe sur les transactions financières qui viendrait abonder l’agence européenne de la dette et financer les investissements d’avenir partout en Europe.
4- Enfin, il perpétue à tort l’obsession de l’austérité et le retour en force des critères de Maastricht de 1992. Le respect d’un déficit de 3 % en 2013, en France, signifierait une levée d’impôts de 30 milliards d’euros dans la loi de finance à l’automne 2012. A la fois intenable socialement, elle serait de surcroît contre productive car de l’avis de beaucoup d’économistes, il convient de soutenir et non d’étouffer la reprise de la croissance et des recettes fiscales associées.
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
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Re: INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!
Ces vrais sujets qui préoccupent les Français
Publié le 25/07/2011 à 00:00
Témoignages. Nous avons parcouru une rue de Lyon pour tâter le pouls des Français au cœur de l’été face à une actualité aussi troublée que troublante
L’affaire DSK-Banon, les polémiques vaines sur le défilé du 14-Juillet, le futur bébé de l’Elysée, les bisbilles autour des sénatoriales, les duels de personnalités chez les écologistes et les socialistes... Nombre d’événements politiques de ces dernières semaines ont dérivé dans les rubriques faits divers, people ou anecdotes. Les petites phrases et quelques vaines querelles ont éclipsé les grands enjeux qui, eux, restent. Et préoccupent les Français.
DSK, ça sidére, ça fait parler. Mais le chômage, ça donne à réfléchir. La dégradation du pouvoir d’achat et les risques pour l’épargne, ça complique la vie. L’insécurité, ça pollue le quotidien. Le sauvetage de l’euro et de l’Europe, c’est primordial pour l’épargne, pour la gestion des flux migratoires, pour les négociations internationales. Voici ce dont on parle au quotidien dans les déjeuners entre amis, les épiceries et les cafés.
Au cœur de Lyon, la longue rue Chevreul semble se jeter dans le Rhône après un dernier passage entre deux rangées de mûriers envahis de moineaux piailleurs. Devant l’hôpital aux parois de verre qui marque la fin de la rue en se mirant dans le fleuve, un chauffeur-livreur klaxonne un cycliste insouciant avant de le dépasser avec le sourire. L’épicier rigole avec le serveur du café d’en face qui éponge les tables de la terrasse. Les commerçants s’appellent par le prénom et accueillent les clients par leur nom.
Des étudiants joyeux déchargent des coffres de voiture pour vider ou remplir les studios nombreux dans ce quartier proche des facultés. Devant sa boutique exotique, Yvette, la patronne africaine, s’étonne : « Les gens s’intéressent à leur rue mais aussi à l’Afrique, à la famine qu’il y a là-bas, à notre artisanat, notre nourriture. Pas à ces histoires compliquées de politique ». « La rue Chevreul, c’est comme un village en pleine ville notre quartier. Tout le monde se connaît, s’apprécie, discute de tout », raconte Alexis sur le perron du café du Square en pleine rénovation. Comme dans un village, on parle donc de l’actualité de la rue et des événements du monde, des ennuis du voisin et des soucis du pays.
Cette rue, Joseph la traverse depuis cinquante ans, Le Progrès sous le bras qu’il lit « de la première à la dernière ligne » : « Tout m’intéresse, surtout le sport et le PMU, mais tout ne me préoccupe pas de la même façon. J’essaie de suivre la crise de l’Europe, très compliquée, et je m’interroge sur les difficultés que rencontreront nos enfants. DSK ? C’est un feuilleton, pas de l’information ».
« On essaie d’éviter la politique parce que ça tape sur le système », précise aussitôt Alexis flanqué de Patrice et Dédé, artisans en grande forme ce matin. Ils s’énervent quand ils entendent parler des « chefs d’entreprises du CAC 40 » : « Eux des patrons ? Appelez-les cadres, privilégiés, si vous voulez. Ils ignorent ce que c’est le boulot de chef d’entreprise qui, dans la même journée, fait la compta, la manutention, répond au téléphone, passe les commandes. Ils ne se salissent pas dans le cambouis ».
Patrice se passera de congés cet été : « On a du boulot donc on ne va pas se plaindre ni laisser passer. On verra s’il y a un creux plus tard. Mais on voit bien que les gens font attention à la nourriture, aux devis pour les travaux même s’ils aiment bien investir dans leur logement. Demander un rabais, ça fait désormais partie du jeu ». La coiffeuse à côté ne compte plus les coups de ciseaux qu’on lui réclame sur le prix des brushings : « Parfois, c’est un peu le bureau des pleurs ». Elle vient acheter un carnet de timbres avec 7 euros dans le bureau de tabac voisin. « Depuis trois jours, c’est passé à 7,20 », précise la buraliste. La coiffeuse commente : « Voyez. Et qui s’en préoccupe du prix du timbre ? ».
En face, au café des Oliviers, derrière son comptoir, Henri « raconte de plus en plus de conneries pour remonter le moral des clients globalement désabusés ». Quand on parle de l’affaire DSK, c’est sur un ton stupéfait ou badin, rarement politique : « Ici, ce sont des fonctionnaires, des salariés, des étudiants. Ces histoires dans le grand monde, ce n’est pas leur univers quotidien ».
Il connaît par cœur les refrains qui tournent en boucle de l’autre côté du comptoir : « Sarkozy s’est appliqué son « gagner plus » à lui-même, la gauche se déchire, les autres ne proposent rien de réaliste… Pourtant, les gens sont en attente de solutions ».
Dans sa boulangerie, Nathalie s’agace de voir de plus en plus de SDF traîner dans le coin, squatter les abribus la nuit. « La mairie, l’État ne peuvent paraît-il rien faire. Ce n’est bon pour personne de voir ça, ni pour eux, ni pour la population, ni pour la société en général ».
Sami l’épicier acquiesce : « Vous trouvez normal que des endroits deviennent infréquentables ? Je viens d’aider un ami à quitter son quartier de l’Arsenal à Saint-Fons parce que c’est la zone. Il n’a pas supporté la dégradation. Mais c’est tout qui se dégrade. Les étudiants comptent les sous. Heureusement, il reste l’ambiance et l’envie de bien s’entendre localement ». Melissa avoue qu’elle passe moins souvent chez Sami malgré la qualité de ses légumes. Elle va dans le magasin discount 200 mètres plus loin : « C’est que je n’ai pas le choix. Ce mois-ci, je vais toucher à peine 1 000 euros avec un loyer de 400 euros. Quand je vois que certains prennent des jets privés pour se payer un week-end au Maroc dans un hôtel à 2 000 euros la nuit. Le pognon qu’Alliot-Marie, DSK ou les autres nous étalent sous le nez c’est à pleurer. Alors oui, je joue au Loto mais je ne gagne pas. Alors les vacances, ce sera trois jours de camping autour du 15 août avec des copains et copines. Ce sera bien. On partagera les frais ».
En coloc depuis un an, Thierry et Eric, 22 ans, connaissent les règles et les vertus de ces dépenses partagées : « On économise 200 euros par mois et on évite les pannes de moral. Quand un est moins bien, l’autre compense », expliquent ces deux étudiants en rendant leurs bouquins à la bibliothèque de Lyon III, havre de silence dans cette rue joyeuse. Leurs vacances studieuses sont terminées : « On prépare un master 2 en économie mais on travaille l’été à livrer des plats cuisinés et on va garder ces jobs pendant l’année parce qu’on ne peut pas quand même taper les parents éternellement. Le problème, c’est qu’on a des copains qui prenaient ces petits boulots pour du provisoire, pour du job étudiant et qui cinq ans après sont toujours. Payés au Smic. ».
Lucie arrive et les embrasse : « Moi aussi je bosse. Un stage gratifié de 500 euros. Pour me payer des vacances en septembre avec des amis ». Décidément, les vacances en bandes de copains sont à la mode rue Chevreul. Sur le perron de l’agence immobilière Immofast, Guillaume et Djamila restent après la fermeture pour évoquer l’escapade à Agadir, en septembre aussi : « Notre secteur se porte plutôt bien. Les locations tournent, les biens sont rares et se vendent. Chaque année, on part à plusieurs collègues pour décompresser et revenir mieux au boulot. Plage, dépaysement, rigolade… »
Guillaume en est persuadé : « Les gens ont besoin de retrouver du moral, de l’enthousiasme. Alors si le beau temps revenait, ce serait ça de pris. Dans l’idéal, tout le monde devrait pouvoir s’évader un peu, travailler sereinement et avoir des coupures de bon temps ».
Dit comme ça, cela paraît simple. Melissa opine : « Hélas, pour beaucoup de Français comme moi, cela devient compliqué ».
Pascal Jalabert
Publié le 25/07/2011 à 00:00
Témoignages. Nous avons parcouru une rue de Lyon pour tâter le pouls des Français au cœur de l’été face à une actualité aussi troublée que troublante
L’affaire DSK-Banon, les polémiques vaines sur le défilé du 14-Juillet, le futur bébé de l’Elysée, les bisbilles autour des sénatoriales, les duels de personnalités chez les écologistes et les socialistes... Nombre d’événements politiques de ces dernières semaines ont dérivé dans les rubriques faits divers, people ou anecdotes. Les petites phrases et quelques vaines querelles ont éclipsé les grands enjeux qui, eux, restent. Et préoccupent les Français.
DSK, ça sidére, ça fait parler. Mais le chômage, ça donne à réfléchir. La dégradation du pouvoir d’achat et les risques pour l’épargne, ça complique la vie. L’insécurité, ça pollue le quotidien. Le sauvetage de l’euro et de l’Europe, c’est primordial pour l’épargne, pour la gestion des flux migratoires, pour les négociations internationales. Voici ce dont on parle au quotidien dans les déjeuners entre amis, les épiceries et les cafés.
Au cœur de Lyon, la longue rue Chevreul semble se jeter dans le Rhône après un dernier passage entre deux rangées de mûriers envahis de moineaux piailleurs. Devant l’hôpital aux parois de verre qui marque la fin de la rue en se mirant dans le fleuve, un chauffeur-livreur klaxonne un cycliste insouciant avant de le dépasser avec le sourire. L’épicier rigole avec le serveur du café d’en face qui éponge les tables de la terrasse. Les commerçants s’appellent par le prénom et accueillent les clients par leur nom.
Des étudiants joyeux déchargent des coffres de voiture pour vider ou remplir les studios nombreux dans ce quartier proche des facultés. Devant sa boutique exotique, Yvette, la patronne africaine, s’étonne : « Les gens s’intéressent à leur rue mais aussi à l’Afrique, à la famine qu’il y a là-bas, à notre artisanat, notre nourriture. Pas à ces histoires compliquées de politique ». « La rue Chevreul, c’est comme un village en pleine ville notre quartier. Tout le monde se connaît, s’apprécie, discute de tout », raconte Alexis sur le perron du café du Square en pleine rénovation. Comme dans un village, on parle donc de l’actualité de la rue et des événements du monde, des ennuis du voisin et des soucis du pays.
Cette rue, Joseph la traverse depuis cinquante ans, Le Progrès sous le bras qu’il lit « de la première à la dernière ligne » : « Tout m’intéresse, surtout le sport et le PMU, mais tout ne me préoccupe pas de la même façon. J’essaie de suivre la crise de l’Europe, très compliquée, et je m’interroge sur les difficultés que rencontreront nos enfants. DSK ? C’est un feuilleton, pas de l’information ».
« On essaie d’éviter la politique parce que ça tape sur le système », précise aussitôt Alexis flanqué de Patrice et Dédé, artisans en grande forme ce matin. Ils s’énervent quand ils entendent parler des « chefs d’entreprises du CAC 40 » : « Eux des patrons ? Appelez-les cadres, privilégiés, si vous voulez. Ils ignorent ce que c’est le boulot de chef d’entreprise qui, dans la même journée, fait la compta, la manutention, répond au téléphone, passe les commandes. Ils ne se salissent pas dans le cambouis ».
Patrice se passera de congés cet été : « On a du boulot donc on ne va pas se plaindre ni laisser passer. On verra s’il y a un creux plus tard. Mais on voit bien que les gens font attention à la nourriture, aux devis pour les travaux même s’ils aiment bien investir dans leur logement. Demander un rabais, ça fait désormais partie du jeu ». La coiffeuse à côté ne compte plus les coups de ciseaux qu’on lui réclame sur le prix des brushings : « Parfois, c’est un peu le bureau des pleurs ». Elle vient acheter un carnet de timbres avec 7 euros dans le bureau de tabac voisin. « Depuis trois jours, c’est passé à 7,20 », précise la buraliste. La coiffeuse commente : « Voyez. Et qui s’en préoccupe du prix du timbre ? ».
En face, au café des Oliviers, derrière son comptoir, Henri « raconte de plus en plus de conneries pour remonter le moral des clients globalement désabusés ». Quand on parle de l’affaire DSK, c’est sur un ton stupéfait ou badin, rarement politique : « Ici, ce sont des fonctionnaires, des salariés, des étudiants. Ces histoires dans le grand monde, ce n’est pas leur univers quotidien ».
Il connaît par cœur les refrains qui tournent en boucle de l’autre côté du comptoir : « Sarkozy s’est appliqué son « gagner plus » à lui-même, la gauche se déchire, les autres ne proposent rien de réaliste… Pourtant, les gens sont en attente de solutions ».
Dans sa boulangerie, Nathalie s’agace de voir de plus en plus de SDF traîner dans le coin, squatter les abribus la nuit. « La mairie, l’État ne peuvent paraît-il rien faire. Ce n’est bon pour personne de voir ça, ni pour eux, ni pour la population, ni pour la société en général ».
Sami l’épicier acquiesce : « Vous trouvez normal que des endroits deviennent infréquentables ? Je viens d’aider un ami à quitter son quartier de l’Arsenal à Saint-Fons parce que c’est la zone. Il n’a pas supporté la dégradation. Mais c’est tout qui se dégrade. Les étudiants comptent les sous. Heureusement, il reste l’ambiance et l’envie de bien s’entendre localement ». Melissa avoue qu’elle passe moins souvent chez Sami malgré la qualité de ses légumes. Elle va dans le magasin discount 200 mètres plus loin : « C’est que je n’ai pas le choix. Ce mois-ci, je vais toucher à peine 1 000 euros avec un loyer de 400 euros. Quand je vois que certains prennent des jets privés pour se payer un week-end au Maroc dans un hôtel à 2 000 euros la nuit. Le pognon qu’Alliot-Marie, DSK ou les autres nous étalent sous le nez c’est à pleurer. Alors oui, je joue au Loto mais je ne gagne pas. Alors les vacances, ce sera trois jours de camping autour du 15 août avec des copains et copines. Ce sera bien. On partagera les frais ».
En coloc depuis un an, Thierry et Eric, 22 ans, connaissent les règles et les vertus de ces dépenses partagées : « On économise 200 euros par mois et on évite les pannes de moral. Quand un est moins bien, l’autre compense », expliquent ces deux étudiants en rendant leurs bouquins à la bibliothèque de Lyon III, havre de silence dans cette rue joyeuse. Leurs vacances studieuses sont terminées : « On prépare un master 2 en économie mais on travaille l’été à livrer des plats cuisinés et on va garder ces jobs pendant l’année parce qu’on ne peut pas quand même taper les parents éternellement. Le problème, c’est qu’on a des copains qui prenaient ces petits boulots pour du provisoire, pour du job étudiant et qui cinq ans après sont toujours. Payés au Smic. ».
Lucie arrive et les embrasse : « Moi aussi je bosse. Un stage gratifié de 500 euros. Pour me payer des vacances en septembre avec des amis ». Décidément, les vacances en bandes de copains sont à la mode rue Chevreul. Sur le perron de l’agence immobilière Immofast, Guillaume et Djamila restent après la fermeture pour évoquer l’escapade à Agadir, en septembre aussi : « Notre secteur se porte plutôt bien. Les locations tournent, les biens sont rares et se vendent. Chaque année, on part à plusieurs collègues pour décompresser et revenir mieux au boulot. Plage, dépaysement, rigolade… »
Guillaume en est persuadé : « Les gens ont besoin de retrouver du moral, de l’enthousiasme. Alors si le beau temps revenait, ce serait ça de pris. Dans l’idéal, tout le monde devrait pouvoir s’évader un peu, travailler sereinement et avoir des coupures de bon temps ».
Dit comme ça, cela paraît simple. Melissa opine : « Hélas, pour beaucoup de Français comme moi, cela devient compliqué ».
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