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SOCIABILISATION



ET COVOITURAGE

DE PRESIDENTIABLE A PRESUME PERVERS IL N" Y QU UN PAS

DE PRISONNIER A PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE UN SEUL AUTRE PAS

LIBYE
Livraison d’armes:
une stratégie risquée? La reconnaissance par la France,
de livraisons d'armes aux insurgés
en lutte contre Mouammar
Kadhafi, illustre la volonté
des pays occidentaux d'obtenir
au plus vite des résultats en Libye
mais risque aussi d'affaiblir
les soutiens diplomatiques à leur
intervention.
Certains gouvernements posent
déjà la question de savoir si
l'initiative française n'enfreint
pas l'embargo sur les livraisons
d'armes imposé en février par
les Nations unies. La Russie en a
dénoncé "une violation grossière".
La France fait valoir qu’une
autre résolution du Conseil de sécurité,
adoptée en mars et autorisant
les raids aériens, permet en
outre de "prendre toutes mesures
nécessaires" pour protéger les civils
en Libye. Des analystes jugent
possible que la révélation
française marque le début d'un
soutien militaire plus ouvert en
faveur des insurgés, stratégie qui
serait toutefois lourde de risques.
L'initiative de la France intervient
au quatrième mois des
bombardements occidentaux
sur la Libye, qui n'ont pas suffi à
déloger Kadhafi, alors que l'Otan
subit l'impact des mouvements
d'opinion au sein de ses pays
membres.
Le président Nicolas Sarkozy
et son homologue américain, Barack
Obama, briguent tous deux
leur réélection l'an prochain faisant
penser à certains spécialistes
de sécurité internationale
que des considérations de politique
intérieure peuvent interférer
dans la gestion du conflit.
Et des signes de tension émergent
ailleurs dans l'Otan. L'Italie
a prôné un cessez-le-feu, la semaine
dernière, et le ministre
néerlandais de la Défense a prédit
un vif débat sur la campagne
de l'Otan si elle n'est pas terminée
fin septembre. Les responsables
militaires britanniques et
français ont aussi noté qu’elle
pourrait se révéler trop coûteuse
à moyen ou long terme.

OUI LES VACANCES SONT TROP..LONGUES

Alpes-Maritimes: une policière met fin à ses jours
Une femme policier du commissariat de Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes) a mis fin à ses jours lundi matin, après avoir laissé une lettre dans laquelle elle mettait en cause ses conditions de travail, a-t-on appris auprès du parquet de Grasse.
La fonctionnaire de 39 ans, en couple depuis une quinzaine d'années et sans enfant, s'est suicidée avec son arme de service dans un véhicule de la police vers 08H30, a précisé à l'AFP le procureur de la République à Grasse, Jean-Michel Cailliau.
"Elle a laissé une lettre un peu amère, dans laquelle elle évoque les réformes en cours, qui compliquent la tâche au quotidien des fonctionnaires de police", a-t-il ajouté, citant notamment la réforme de la garde à vue.
M. Cailliau, qui s'est rendu dans la matinée au commissariat de Cagnes, a appris que la fonctionnaire, "très impliquée dans son travail, très bien considérée dans ses missions", était spécialisée en police technique.
"La nouvelle a surpris tout le monde, a-t-il souligné. Jamais elle ne s'était plainte de quoi que ce soit".
Un tel geste ne peut être imputable aux seules conditions de travail de la fonctionnaire, selon le procureur, pour qui "il y a forcément d'autres causes", même s'il a tenu à exprimer sa solidarité avec les policiers dont le quotidien est parfois "inhumain", a-t-il affirmé.
Une enquête a été confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Grasse, la jeune femme ayant semble-t-il pris la peine de commettre son geste hors zone police, a précisé M. Cailliau.
Les suicides de policiers directement liés à des conditions de travail sont très rares selon les quelques études effectuées à ce sujet.
La dernière en date est celle de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) selon laquelle le risque de suicide dans la police est supérieur de 36% à celui du reste de la population.
Portant sur les années 2005 à 2009, elle confirme qu'il y a chaque année entre 40 et 50 suicides de policiers et que les fonctionnaires passant à l'acte le font majoritairement avec leur arme de service.
Les suicides dans la police sont un problème récurrent et souvent tabou. En 2008, un comité central d'hygiène et de la sécurité de la police (CCHSPN) s'était penché sur cette question sensible après que des syndicats de police se furent inquiétés d'un "pic" observé, selon eux, début 2008.
Il avait été fait état d'une première étude interne sur ce sujet portant sur les années 1999 à 2008 qui évoquait de 39 à 55 suicides par an ayant de "multiples origines", liés à des "circonstances extérieures", le plus souvent d'ordre privé, mais parfois aussi au travail et à son stress.

tristement réel
Samia Ghali dépose plainte contre Henri Jibrayel Publié le lundi 04 juillet 2011 à 19H47


Le sénateur maire PS des 15e et 16e arrondissements Samia Ghali a déposé plainte contre le député PS Henri Jibrayel à la suite d'une altercation survenue samedi après-midi en marge de la Gay pride. Le député des quartiers Nord aurait dit vouloir "mettre la main dessus" la sénatrice "quand il le voulait". Ce qu'il a totalement démenti. Depuis des mois, la tension entre les deux parlementaires n'a jamais été aussi vive.

natifs d'apres 1955 tristesse vous est prevue

Saint-Tropez
Le "Provenço ketchup" est né.Publié le vendredi 01 juillet 2011 à 08H04 -
Marie Franqueza et Michel Dallari présentent leur dernier né : le Provenço ketchup.


. A Cogolin, la conserverie Le Bec fin s’attaque à un monument mondial en matière de condiment, le ketchup. Une démarche gustative originale

Marie Franqueza, propriétaire et directrice de la conserverie « le Bec fin », à Cogolin, et son époux, Michel Dallari (par ailleurs chef cuisinier de l’établissement), ont décidé de rendre à la Provence ce qui appartient à l’Amérique. Ils viennent en effet de créer le « Provenço ketchup ». Tel le combat de David contre Goliath, « le Bec fin » s’attaque, depuis le fond du golfe de Saint-Tropez, à une institution centenaire d’outre Atlantique. Un monument culinaire qui a su devenir incontournable dans quasiment toutes les assiettes de la planète. Tomato ketchup contre Provenço ketchup. Bigre ! Le match risque d’être inégal. Quoi que...

Recette secrète
Car, évidemment, la recette cogolinoise est secrète. Mais, on sait quand même qu’elle se mitonne à base de tomates, forcément, d’oignons, d’ail, d’huile d’olive, d’un peu de sucre et d’un tas de bonnes choses dont on ne nous donne pas la liste, qui en font un produit nouveau. Un coulis de tomate comme celui de nos grands-mères avec des variantes qui en font toute l’originalité. Au final, du ketchup, sans être du ketchup tout en en étant quand même. Bref, un condiment à part, vendu depuis peu par la conserverie.

Ce ketchup provençal a la couleur de son aîné, se présente dans un flacon oblong, mais ses inventeurs précisent bien qu’il ne copie pas l’original. Il est en tout cas savoureux et rehausse agréablement les plats de viande, à l’instar de son glorieux challenger. C’est le célèbre cuisinier Gui Gedda qui avait, à l’origine, initié la préparation de cette sauce épaisse dans un livre écrit avec Marie-Pierre Moine, Petites leçons de cuisine en Provence.
Comme cela se produit souvent, une recette est reprise par d’autres, qui la modifient, et en font un produit qui leur est propre.

À la boutique et chez les revendeurs
Dernier né des préparations du Bec fin, qui vogue depuis vingt ans de succès commerciaux en succès commerciaux, le ketchup provençal est à présent distribué par la conserverie chez tous ses revendeurs.
On le trouve aussi sur les rayons de la boutique de vente directe, qui jouxte les ateliers cogolinois. Arrivera-t-il à détrôner localement le produit américain? Le slogan maison clame « La Provence à la conquête de l’Amérique ! » Pourquoi pas?

Toulon, plus de mille habitations vacantes sont "mobilisables".Publié le lundi 04 juillet 2011 à 08H06 - 3
En 2007, d'après les chiffres de l'Insee, Toulon présentait 8 460 logements vacants dont 1 847 depuis plus de trois ans. Cette année, il en existe 1 195 « mobilisables », sur lesquels la commune se penche pour inciter leurs propriétaires à les remettre sur le marché locatif.

. En ces temps de crise du logement et de précarité, il n'est pas rare de se poser la question en cheminant dans la ville, le nez en l'air. Pourquoi ces pâtés de maisons sont-ils vides ? Ces appartements, les volets clos ? Alors que tant de gens cherchent un toit. Après enquête, la définition même du logement vacant apparaît complexe. Autant que le nombre de mal logés est difficile à estimer.

Vides depuis au moins trois ans

Selon la dernière étude de l'Agence d'urbanisme de l'aire toulonnaise (Audat), au 1er janvier 2009, Toulon comptait 9 439 logements vacants, dont 1 195 « mobilisables ». L'Audat a ainsi écarté 8 244 logements des 9 439 habitats vacants recensés. À savoir, les logements vacants depuis moins de trois ans, les locaux non affectés à l'habitation (dépendances, caves, résidences secondaires déclarées en logement vacant...), ceux appartenants à des collectivités, des administrations et les logements en attente d'interventions lourdes dans le cadre d'opérations de rénovation, comme dans le centre ancien.

Il reste ainsi 1 195 logements vides depuis plus de trois ans qui, selon l'étude, sont pour la plupart de petits logements d'une à deux pièces, très anciens (plus de la moitié de ce parc de logements date d'avant 1949), et de faible niveau de confort, voire insalubres.

L'étude en conclut qu'il « peut s'agir de logements obsolètes ne trouvant pas preneur en raison de leur inconfort ou de leur environnement (quartier stigmatisé, proximité des grands axes de circulation...) De logements en situation d'attente car conservés à titre sentimental ou patrimonial, en attente de projet, de succession ou en indivision. La remise en état d'un certain nombre de ces logements peut nécessiter de lourds investissements, ce qui peut dissuader un certain nombre de propriétaires ».

Taxe d'habitation sur les logements vacants

Restent les propriétaires introuvables et les récalcitrants qui craignent les loyers impayés, qui ne sont pas aussi nombreux qu'on pourrait le croire. À ceux-là, la commune de Toulon applique depuis 2006 la taxe d'habitation sur les logements vacants (THLV) pour inciter les propriétaires à remettre leur bien sûr le marché. Mais le résultat est moindre selon Hélène Audibert, adjointe au maire chargée du logement. « De 2009 à 2011, cette taxe a porté sur 348 logements, mais le montant de la taxe reste constant. Ce qui montre que ce n'est pas très incitatif pour les propriétaires qui ont décidé de ne pas louer », conclut-elle.

Enfin, la municipalité et l'agglomération TPM assurent multiplier les dispositifs pour inciter les propriétaires à remettre leur logement sur le marché de la location. Par des « compléments » aux subventions de l'Anah (1) sur les montants des loyers par exemple.

Est-ce assez ? D'autres solutions existent que préconisent les associations.

Les 35 heures pourraient-elles être supprimées ?
L'UMP revient à la charge sur les 35 heures et propose
d'en finir en 3 ans avec la durée légale du travail par
la négociation d'entreprise, au risque d'embarrasser
l'Élysée à 10 mois de l'élection présidentielle. Dans un
document présenté mardi à une convention sur "l'avenir
de la démocratie sociale", le parti présidentiel suggère
parallèlement de transférer sur la contribution
sociale généralisée (CSG) ou la TVA 12 milliards
d'euros d'allègements de cotisations sociales,
aujourd'hui à la charge de l'État. Le secrétaire général
de l'UMP, Jean-François Copé, et l'aile libérale du parti
majoritaire avaient déjà tenté en janvier de relancer
le débat sur la semaine de travail de 35 heures, instaurée,
à la fin des années 1990, par le gouvernement de
gauche de Lionel Jospin. Cette tentative s'était heurtée
à une fin de non recevoir de Nicolas Sarkozy, qui
juge avoir vidé de leur substance les 35 heures, notamment
en défiscalisant les heures supplémentaires.

logement social

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