LA CAVERNE DE BIENVENOU/FOOT MEDITERRANEEN
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HUMOUR CORSE..

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Message  JUDAS Lun 23 Avr - 12:06

aladin a écrit:
JUDAS a écrit:
aladin a écrit:etre aussi maltraité par une republique et voter pour elle
paradoxal

NS 31 %
FH 26%
LP23 %

Tu pense comme ca parce que n'es pas corse et comme bcp de continentaux tu as zappé ce qui c'est fait chez nous de 1986 a 1995 Laughing

Sarko plus ou moins nous fout la paix ,les soso nous on toujours enculer jusqu’à la moelle et pour Marine ce score met en avant un avertissement pour le moment sans frais a qui pour cause l'immigration de votre racaille sur notre ile Twisted Evil

Ne te plains pas le score minable d'Hollande est très certainement du a quelques non corses et a vos copains nouvellement installés ...au sinon 0 pointé pour les combinards de Solferino cheers cheers


non mais j'aurais cru a un refus de cettre france coloniale et federale incarné par les sortants
avec 40 % d'absention
si j'etais corse c'est comme ca que j'aurai fait
Ouais bien évidement Very Happy Tu aurais voter pour Flamby avec son programme en bois et son imigration a donf et surtout pour remercier ses prédécesseurs qui ont mis la Corse a feu et a sang entre 86 et 95 cheers cheers


JUDAS

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Message  aladin Lun 23 Avr - 14:43

la Corse a feu et a sang entre 86 et 95

je reconnais n'avoir pas vraiment suivi cette periode sur la corse silent
aladin
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Message  aladin Lun 23 Avr - 14:45

Je te le réécris pour pas que tu l'oublie :
Si Flamby est élu la semaine prochaine, dans moins de deux ans les Français retournent aux urnes pour derouler le tapis rouge a la petite Marine ".

c'est enregistré 23 avril 2012
nous verrons d'ici le 22 avril 2014
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Message  JUDAS Lun 23 Avr - 14:47

aladin a écrit:
Je te le réécris pour pas que tu l'oublie :
Si Flamby est élu la semaine prochaine, dans moins de deux ans les Français retournent aux urnes pour derouler le tapis rouge a la petite Marine ".

c'est enregistré 23 avril 2012
nous verrons d'ici le 22 avril 2014
Mais le en post it ,ça m’évitera de le rechercher Laughing

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Message  aladin Lun 23 Avr - 14:56

Very Happy OK
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Message  JUDAS Lun 23 Avr - 15:19

aladin a écrit:
la Corse a feu et a sang entre 86 et 95

je reconnais n'avoir pas vraiment suivi cette periode sur la corse silent
Bein !! Erignac,Colonna,les paillotes,les arrestations arbitraires,les assassinats et la pseudo guerre entre natio tout ca piloté directement de Matignon par cette ordure de Jospin silent

Une peccadille quoi Crying or Very sad

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Message  aladin Lun 23 Avr - 15:41

JUDAS a écrit:
aladin a écrit:
la Corse a feu et a sang entre 86 et 95

je reconnais n'avoir pas vraiment suivi cette periode sur la corse silent
Bein !! Erignac,Colonna,les paillotes,les arrestations arbitraires,les assassinats et la pseudo guerre entre natio tout ca piloté directement de Matignon par cette ordure de Jospin silent

Une peccadille quoi Crying or Very sad

tout ca en 5 ans .......
.HUMOUR CORSE.. - Page 4 Lionel_Jospin_2008

Origine et enfance[modifier]Né dans une famille protestante[1],[2] et militante de gauche, Lionel Jospin est issu du second mariage de Robert Jospin, enseignant pacifiste membre du parti socialiste SFIO, et de Mireille Dandieu, sage-femme. De son premier mariage, Robert Jospin a eu deux enfants : un fils, Maurice (1924-2003), futur journaliste et jazzman, ami de Claude Luter, et une fille, Hélène. De l'union de Robert et Mireille Jospin naissent quatre enfants : Agnès, Lionel, Olivier et Noëlle, qui épouse le philosophe François Châtelet et devient romancière. De Meudon, où elle occupe un appartement, puis une villa avec jardin, la famille vient en 1948 s’installer à Paris, dans le quartier de la Bastille, boulevard Richard-Lenoir. Deux ans plus tard, Robert Jospin prend la direction d’un centre d’enfants difficiles, à La Ferté-sous-Jouarre, en Seine-et-Marne.

Adolescent, Lionel Jospin a intégré sous le nom de « Langue agile » les Éclaireurs unionistes de France (protestants) dans la troupe de Paris-Luxembourg, et à quinze ans, lors d’un camp dans le Jura, a eu pour chef de patrouille Michel Rocard, alias « Hamster érudit ». En 1954, il obtient son baccalauréat au lycée Janson-de-Sailly.

De 1956 à 1959, il est étudiant à l’Institut d’études politiques de Paris et résident à la cité universitaire Jean-Zay à Antony. Il réussit le concours de l’École nationale d’administration (ENA) en novembre 1961. De 1961 à 1963, il effectue son service militaire comme élève-officier à l’école de cavalerie de Saumur (comme Jacques Chirac avant lui), puis comme officier de chars, chef de peloton d’instruction à Trêves (Allemagne). Il y retrouve le soldat Guy Roux, entraîneur de l’AJ Auxerre[3], et le soldat Jean-Loup Dabadie, futur scénariste et parolier à succès, ainsi que ses copains d’alors : Josselin de Rohan, Jean-Bernard Mérimée et Jean Vidal.

Issu d’une famille de gauche, mais rebuté par le stalinisme et la politique coloniale de la SFIO, il s’engage à la fin des années 1950 à l’UGS avant d’adhérer, à la suite de son organisation, au PSU en 1960. S’éloignant de l’activité politique lors de son service militaire puis de sa formation à l’ENA, il rejoint le mouvement trotskiste au début de 1965 sous l’influence d’une rencontre avec Boris Fraenkel[4].

Il milite d’ailleurs à l’UNEF contre la guerre d’Algérie. Sous l’influence d’un ami éducateur, Michel Lautrec (1937-2000), il fait partie du groupe Lambert, l’Organisation communiste internationaliste (OCI), où avec l’historien Benjamin Stora il milite sous le pseudonyme de Michel, en hommage à son initiateur.

De son premier mariage avec Élisabeth Dannenmuller, il a eu deux enfants (en 1973 et 1975). Divorcé, il épouse en 1994 la philosophe Sylviane Agacinski[5].

Ascension politique[modifier]
Lionel Jospin en 1983De 1963 à 1965, il est élève de l'ENA, dans la promotion Stendhal, dans laquelle se trouvent entre autres : Yves Cannac, Ernest-Antoine Seillière, Jean-Pierre Chevènement, Josselin de Rohan, Alain Gomez, Jacques Toubon, Jean Vidal, Jean-Bernard Mérimée, Tristan d'Albis et Christian Aubin. Il effectue son stage à la préfecture de Bourges et son stage « ouvrier » dans les houillères du Nord.

À sa sortie de l'ENA, en 1965, il entre au Quai d'Orsay comme secrétaire des Affaires étrangères où il est affecté à la direction de la coopération économique et où il travaille avec Ernest-Antoine Seillière.

En 1970, il abandonne sa carrière de diplomate pour devenir professeur d'économie à l'IUT de Sceaux de l'Université de Paris. Après le congrès d'Épinay, il rejoint le Parti socialiste en 1971, à la demande de l'OCI, dont il rencontre régulièrement les responsables, en particulier Pierre Lambert. Lionel Jospin n'en mène pas moins une carrière rapide au PS, devenant un protégé de François Mitterrand[N 2].

D'abord membre d'un groupe d'experts chargé des relations internationales où il s'occupe des relations Est-Ouest[4], il entre en 1973 au Bureau exécutif et devient Secrétaire national à la formation. En 1975, il est chargé de rédiger le rapport qui sera adopté à l'occasion de la Convention nationale sur les relations avec le PC[6] et devient secrétaire national au tiers-monde.

En 1977, Lionel Jospin est élu au Conseil de Paris, dans le XVIIIe arrondissement. Dans le cadre de ses fonctions de secrétaire national au tiers-monde, il représente François Mitterrand, au Liban, à l'occasion des funérailles de Kamal Joumblatt. C'est l'occasion pour lui de rencontrer discrètement Yasser Arafat alors pleinement impliqué dans la guerre civile libanaise[4].

En 1979, au congrès de Metz du Parti socialiste, il déclare « l'objectif du PS n'est pas de moderniser ou de tempérer le capitalisme mais de le remplacer par le socialisme ». Il devient secrétaire national aux relations internationales, chargé de la coordination au Parti socialiste.

En 1980, à l'occasion des 60 ans du Congrès de Tours, il se confronte à Georges Marchais sur le plateau de l'émission Les Dossiers de l'écran. On retiendra de ce face à face, préparé avec une équipe comprenant Philippe Robrieux, sa réplique au leader communiste : « Vous n'avez pas mis les pieds dans une usine depuis 30 ans et moi, ce matin, je donnais mes cours »[4].

En janvier 1981, à l'occasion du Congrès de Créteil qui désigne François Mitterrand comme candidat à l'élection présidentielle, Lionel Jospin est élu Premier secrétaire du parti conformément au souhait de son prédécesseur qui lui avait proposé le poste en novembre 1980 en cas de victoire[4]. Selon certains, il quitte l'OCI durant cette période, rompant ses contacts avec le lambertisme autour de 1981. L'intéressé lui-même, sans démentir, donne une vision différente de ses relations avec les lambertistes : « À partir du moment où, en 1973, j'accepte des responsabilités nationales au Parti socialiste, j'agis en socialiste. Je garde avec des dirigeants trotskistes des liens, qui sont des liens personnels, qui sont des liens d'échange, mais qui relèvent d'une forme de fidélité maintenu à un passé, d'une sorte de quant-à-soi, presque d'un jardin secret, politique celui-là, et non d'une discipline militante[4]. »

Présidence de François Mitterrand[modifier]En 1981, François Mitterrand est élu président de la République. Lionel Jospin assume dès lors, et durant tout le premier septennat, le rôle de premier secrétaire du Parti socialiste.

En juin 1981, il est élu député de la 27e circonscription de Paris (quartiers de la Chapelle - Goutte-d’Or), avec Daniel Vaillant comme suppléant. Alors que Pierre Mauroy discute avec Georges Marchais du nombre et des attributions des futurs ministres communistes, Lionel Jospin prend lui en charge les négociations de l’accord de gouvernement.

Lionel Jospin participe durant la première législature de François Mitterrand aux « petits déjeuners du mardi », une réunion non officielle qui réunit chaque semaine autour du président, le Premier ministre, le premier secrétaire du Parti socialiste, le secrétaire général de l’Élysée et plus tard le conseiller spécial du président, pour aborder les questions politiques en cours[4].

Lionel Jospin connait son « baptême du feu » au congrès de Valence, en octobre 1981. Si sur le fond le congrès adopte une position modérée prônant le changement graduel, dans la forme, les excès verbaux, à l’exemple d’un Paul Quilès déclarant que des « têtes doivent tomber », laisseront le sentiment d’un processus mal maîtrisé par le nouveau secrétaire du Parti socialiste[4].

À l’occasion du tournant de la rigueur, Lionel Jospin cherche à renouveler la thématique de la « pause » employée par les socialiste à l’occasion du Front populaire, en utilisant, en mars 1983, la notion de « parenthèse ».

Aux élections législatives de 1986 (ces élections sont à la proportionnelle départementale), il est à la tête d'une liste PS-MRG sur Paris. Il est élu, avec sept autres députés socialistes, soit autant que le RPR. Mais son élection est annulée par le Conseil constitutionnel. Sollicité par la fédération PS de Haute-Garonne lors d’une élection législative partielle, il se présente et est élu député en septembre 1986.

Entretemps, il prend Jean-Marie Cambacérès comme directeur de cabinet.

Il est élu député de la 7e circonscription de la Haute-Garonne en 1988, siège qu’il abandonne pour entrer au gouvernement. Il est battu en 1993, après le raz-de-marée du RPR et de l’UDF, puis retrouve son mandat en 1997, en tant que chef de l’opposition. Suite à la réélection de François Mitterrand, il devient ministre de l’Éducation nationale. En entrant au gouvernement, il quitte le poste de premier secrétaire du PS, mais reste membre du bureau national et du conseil national du PS jusqu’en 1997.

Il se présente alors aux élections régionales françaises de 1992 en vue de briguer la présidence de la région Midi-Pyrénées mais il est battu par la liste menée par Marc Censi, le président sortant.

Comme ministre, il redessine la carte universitaire, notamment par le plan « Universités 2000 » et fait adopter la loi Jospin qui, entre autres mesures, réforme la formation des enseignants. Mais la contestation lycéenne l’affaiblit en 1990.

Son éternelle rivalité avec Laurent Fabius, exacerbée lors du congrès de Rennes en 1990, déchire le Parti socialiste. Lionel Jospin s’éloigne de François Mitterrand et doit quitter le gouvernement démissionnaire d’Édith Cresson en 1992. Après sa défaite aux législatives en 1993, n’ayant plus pour seul mandat que celui de conseiller général de Cintegabelle, il quitte ses fonctions au PS et songe à se retirer de la vie politique, notamment en demandant un poste d’ambassadeur, ce à quoi s'opposera Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères de l’époque.

Campagne présidentielle de 1995[modifier]Après le désistement de Jacques Delors, favori des sondages, il est désigné, face au premier secrétaire Henri Emmanuelli, candidat du Parti socialiste à l’élection présidentielle lors d’une primaire, le 5 février 1995. Après s’être montré critique sur le passé de François Mitterrand (il déclare en septembre 1994 « rêver d’un itinéraire plus simple et plus clair pour celui qui fut le leader de la gauche »), il réclame un « droit d’inventaire » sur le bilan de Mitterrand[7].

Donné perdant dès le début de l’élection, il crée la surprise en arrivant en tête au premier tour, avec 23,30 %, devant les rivaux RPR Jacques Chirac (20,84 %) et Édouard Balladur (18,58 %). Lors du second tour, il obtient 47,36 % des suffrages face à Jacques Chirac.

[afficher]Déclaration de Lionel Jospin le 7 mai 1995, depuis la Maison de la Chimie à Paris, après sa défaite à la présidentielle.« Les citoyens se sont exprimés ce dimanche 7 mai pour élire le président de la République. La décision était grave et sans doute difficile à prendre pour beaucoup de Françaises et de Français en un temps où nombre d’entre vous doivent affronter de sérieux problèmes et s’interrogent sur l’avenir de notre pays.
Une majorité a voté pour Jacques Chirac, je le félicite pour son élection à la présidence de la République et je lui souhaite bonne chance.
Je salue François Mitterrand au moment où s’achève son second septennat.
Je remercie chaleureusement les quinze millions de Françaises et de Français qui m’ont apporté leurs suffrages. Dans ce grand moment de confrontation démocratique qu’est une campagne présidentielle, j’ai senti se créer autour de ma candidature et de mes propositions un profond mouvement de renouveau. Il n’a pas permis aujourd’hui la victoire, mais il ne s’arrêtera pas car il est porteur d’espérance.
J’invite toutes celles et tous ceux qui croient aux valeurs de justice et de progrès à se rassembler pour prolonger cette espérance et préparer les succès de demain ».

[afficher][masquer]
Lionel Jospin redevient premier secrétaire du PS le 14 octobre 1995 et dirige l’opposition. Il préside ainsi la commission de rénovation du Parti socialiste de juin à octobre 1995. Il fait alliance avec le Parti communiste, les Verts, le Parti radical-socialiste et le Mouvement des Citoyens, pour créer la gauche plurielle qui remporte les élections législatives de 1997, à la suite de la dissolution décidée par Jacques Chirac le 21 avril 1997.

Premier ministre[modifier]Article détaillé : Gouvernement Lionel Jospin.
Lionel Jospin aux côtés de Vladimir Poutine, en 2000.Le 2 juin 1997 le président le nomme Premier ministre : c'est le début de la troisième cohabitation. Il forme un gouvernement d'union centré sur quelques proches : Dominique Strauss-Kahn, Claude Allègre et Martine Aubry. Cette dernière met en place la principale promesse de campagne : les 35 heures. Assez populaire, il doit cependant se séparer du noyau dur de son gouvernement : contesté par les syndicats enseignants, Claude Allègre abandonne l'Éducation nationale, tandis que Dominique Strauss-Kahn, mis en examen, choisit de démissionner. Lors du vaste remaniement ministériel de 2000, il fait alors entrer les « éléphants » du PS, dont Jack Lang, rue de Grenelle, et son rival historique au sein du PS, Laurent Fabius, à Bercy.

Sur le plan économique, jusqu'en 2001, Lionel Jospin bénéficie d'une période d'embellie liée à une forte croissance mondiale, avec notamment l'envol des nouvelles technologies[8]. Sa part de responsabilité dans cette situation est source de débat, mais la croissance du PIB français est durant cette période constamment supérieure de 1 % à la moyenne de la croissance dans l'Union européenne. Il met en œuvre une politique ciblée sur l'emploi (emplois-jeunes, prime pour l'emploi, baisse de la TVA, soutien à la consommation, allègements de charges, réforme sur l'annualisation du temps de travail en contrepartie des 35 h) ; entre 1997 et 2001, le chômage passe du taux record de 12,2 % à un plancher de 8,6 %, mais il repasse la barre des 9 % en 2002. Les lois Aubry auraient permis de créer environ 350 000 emplois[9], mais l'impact de la réforme reste toutefois contesté. C'est pourtant la période où la France a connu le plus grand nombre de créations d'emplois de tout le vingtième siècle[réf. nécessaire], et une baisse sans précédent du chômage malgré l'augmentation de la population active (vérifiée jusqu'en 2005, date du début du départ à la retraite des premiers enfants du baby-boom). En 2001, la conjoncture mondiale se retourne brutalement à la suite des attentats du World Trade Center, puis à l'explosion de la bulle Internet.

Sur le plan social, il met en place la Couverture maladie universelle et l'Allocation personnalisée d'autonomie pour les personnes âgées, et fait adopter la loi Kouchner sur les droits des malades (mars 2002). Il instaure également le PACS (pacte civil, qui permet l'union des couples sans passer par le mariage, qu'ils soient hétérosexuels ou homosexuels), qui voit l'opposition frontale de l'Église et de la droite catholique. Il fait également adopter la loi Besson sur les gens du voyage.

Sur le plan de la sécurité, il met en place la police de proximité, chargée d'« humaniser les jeunes aux yeux de la police et d'humaniser la police aux yeux des jeunes »[citation nécessaire], crée la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS), et fait voter la loi Guigou sur la présomption d'innocence. Toutefois, après le 11 septembre 2001, il s'engage pour la loi sur la sécurité quotidienne (LSQ), qui oblige notamment les FAI à conserver les données de connexion de leurs clients, réprime l'occupation des cages d'escaliers ainsi que les rave-parties non autorisées.

Au niveau institutionnel, et avec le président Jacques Chirac, il organise un référendum sur la réduction du mandat présidentiel à cinq ans : le « oui » recueille 73,21 % des suffrages, mais l'abstention s'élève à 69,81 %.

Sur le plan sanitaire, il est confronté à la crise de la vache folle, lors de laquelle son gouvernement est accusé de prendre un certain retard dans la prise de décision en comparaison de la législation britannique. Le 7 novembre 2000, Jacques Chirac réclame l'interdiction immédiate des farines animales, position que rejoint le Premier ministre quelques jours plus tard[10].

De 1997 à 2001, malgré une « déclaration commune » PS-PC du 29 avril 1997 qui promettait « pour France Telecom, Thomson et Air-France, l’arrêt des privatisations »[11], Lionel Jospin entreprend, une fois Premier ministre, une série de privatisations ou d'ouverture aux capitaux privés : France Telecom, Thomson Multimédia, le GAN, le CIC, les AGF, Société marseillaise de crédit, RMC, Air France, Crédit lyonnais, Eramet, Aérospatiale-Matra, EADS Banque Hervet[12]. Il déçoit également de nombreux sympathisants de la gauche à propos de l'usine Renault de Vilvorde en Belgique : bien que s'étant engagé lors de la campagne des législatives de 1997 à remettre en cause la décision de fermeture, il ne peut arrêter le processus[13].

Dans son discours du 5 novembre 1998 à Craonne où il a inauguré la sculpture de Haïm Kern, à l'occasion du 80e anniversaire de l'armistice de 1918, le Premier ministre Lionel Jospin a souhaité que les soldats « fusillés pour l’exemple », « épuisés par des attaques condamnées à l’avance, glissant dans une boue trempée de sang, plongés dans un désespoir sans fond », qui « refusèrent d’être des sacrifiés », victimes « d’une discipline dont la rigueur n’avait d’égale que la dureté des combats, réintègrent aujourd’hui, pleinement, notre mémoire collective nationale ». Dans le contexte de cohabitation, cette initiative est critiquée par le président de la République Jacques Chirac, qui la juge « inopportune »[14]. En 2000, il s'avoue impuissant à empêcher des licenciements dans l'usine Michelin, déclarant « l'État ne peut pas tout »[15]. Cette phrase est souvent analysée comme lui ayant coûté cher sur le plan politique, notamment au moment de l'élection présidentielle de 2002[16].

En 2001, son militantisme passé à l'Organisation communiste internationaliste (trotskiste) est révélé dans des articles de presse (Le Monde, L'Express, Le Nouvel Observateur), puis dans deux biographies. Le Premier ministre reconnaît la véracité de ces informations, bien qu'ayant jusque-là toujours démenti la rumeur, affirmant avoir été confondu avec son frère Olivier Jospin, lui-même militant avoué de l'organisation trotskiste.

Lionel Jospin déclare, quelques années après la fin de la cohabitation, que sa relation avec le président Jacques Chirac fut « correcte voire plutôt cordiale », mais qu'il lui a « toujours été difficile de [lui] faire confiance, même sur les questions touchant aux intérêts essentiels de la France »[17].

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Message  aladin Dim 27 Mai - 8:59

Camping Paradis" : une journée dans la peau d'un figurant Publié le samedi 26 mai 2012 à 21H10


Ils sont des dizaines d'anonymes à se retrouver, chaque jour de tournage de la série, à se retrouver sur le site du camping municipal de l'Arquet. Venus de toute la région, ces figurants assurent, quelles que soient les conditions météo, l'arrière-plan visuel si précieux. Nous avons passé une journée avec eux, pour vivre de l'intérieur l'ambiance d'un tournage, ses contraintes et ses joies.

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Message  JUDAS Dim 27 Mai - 9:30

aladin a écrit:Camping Paradis" : une journée dans la peau d'un figurant Publié le samedi 26 mai 2012 à 21H10


Ils sont des dizaines d'anonymes à se retrouver, chaque jour de tournage de la série, à se retrouver sur le site du camping municipal de l'Arquet. Venus de toute la région, ces figurants assurent, quelles que soient les conditions météo, l'arrière-plan visuel si précieux. Nous avons passé une journée avec eux, pour vivre de l'intérieur l'ambiance d'un tournage, ses contraintes et ses joies.

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Message  aladin Dim 27 Mai - 10:17

JUDAS a écrit:
aladin a écrit:Camping Paradis" : une journée dans la peau d'un figurant Publié le samedi 26 mai 2012 à 21H10


Ils sont des dizaines d'anonymes à se retrouver, chaque jour de tournage de la série, à se retrouver sur le site du camping municipal de l'Arquet. Venus de toute la région, ces figurants assurent, quelles que soient les conditions météo, l'arrière-plan visuel si précieux. Nous avons passé une journée avec eux, pour vivre de l'intérieur l'ambiance d'un tournage, ses contraintes et ses joies.

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pourquoi pas Twisted Evil
j'ai du matériel de 1ere categorie moi aussi
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Message  bienvenou Dim 15 Juil - 15:57

« Ce qui me plaît dans le peuple Corse c’est cette force intacte à s’indigner, se révolter face à l’injustice. Là ou d’autres sont résignés, lui affiche son insoumission. Une médaille dont le revers est une susceptibilité exacerbée, parfois source de violence incontrôlée ».F.H.
"Noialtri li spatrïati , À lu paèse natìu , Li simu sèmpre fidati , D'amòre sincéru e pìu."
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