MONTPELLIER HERAULT // LIGUE 1

René Girard, l'entraîneur de Montpellier, a choisi de titulariser El Kaoutari plutôt que Bocaly au poste d'arrière latéral droit.
il voit comme tlm que gary a le niveau ligue 2 c'est tout

L'ancien Marseillais n'est même pas sur la feuille de match.

Au milieu, Belhanda a été préféré à Marveaux.
Les trois recrues estivales du MHSC, Estrada, Kabze et Giroud, sont titulaires
. Aït-Fana est sur le banc des remplaçants.

Le onze de départ de Montpellier
Jourdren -
El Kaoutari, Yanga-Mbiwa, Spahic, Jeunechamp -
Belhanda, Pitau (cap.), Marco Estrada -
Camara, Giroud,

Girard a apprécié
René Girard tire un bilan globalement positif du succès de Montpellier (1-0) en Hongrie contre Györ.
«C'était une reprise, on s'attendait à un match difficile». René Girard n'a pas fait le fanfaron après la petite victoire de Montpellier (1-0) contre les Hongrois de Györ, au troisième tour préliminaire aller de la Ligue Europa. L'entraîneur montpelliérain, qui avait «visionné cette équipe au système de jeu un peu hermétique», a néanmoins vu du positif dans cette entrée en matière corsée : «Pour un premier match, c'est bien, cela nous a fait cravacher, le parfum de compétition a mis les joueurs en transe».

Attila Pinter, l'entraîneur de Györ, s'attendait lui «à jouer contre une équipe difficile et bien organisée. Ce n'est pas un hasard si Montpellier a terminé cinquième du Championnat de France et proche du titre. C'était un bon match, les deux équipes ont eu de bonnes périodes». Pour Girard, les Montpelliérains «ont fait une bonne première mi-temps, mais on a manqué un peu de pétrole en seconde, on a fléchi physiquement».

Les deux entraîneurs se retrouvent également en rappelant que ce n'était que le premier match de leur affrontement. Girard : «Nous ne sommes qu'à la mi-temps de ce duel, il faut rester concentrés et sérieux». Pinter : «Je félicite Montpellier, mais il reste encore le match retour». Ces deux-là se retrouveront dans une semaine (5 août), à Montpellier cette fois

Sahnoun va quitter le club

Nicolas Sahnoun, encore contractuellement lié avec Montpellier pendant un an, nous a confié vouloir résilier son bail avec l'équipe héraultaise très prochainement. Le milieu de terrain (29 ans), qui n'entre pas dans les plans de René Girard, a déclaré qu'un accord amiable devrait être trouvé sous peu. L'ancien joueur des Girondins de Bordeaux, exilé la saison dernière en prêt en Espagne au Racing de Ferrol (Segunda Division B), est à la recherche d'un club. Une formation de Ligue 2 pourrait faire l'affaire, selon lui.

j'ai vu 2 fois montpellier et sahnoun jamais rentré


Nicolas Sahnoun (né le 3 septembre 1980 à Bordeaux en France)
est un joueur professionnel de football.
Il est le fils posthume d'Omar Sahnoun, mort pendant
un entrainement avec les Girondins de Bordeaux, en avril 1980.
Clubs [modifier]
2000 : Girondins de Bordeaux
2000-2001 : Fulham (prêt)
2001 : Girondins de Bordeaux
2002 : Ajaccio !AC Ajaccio (prêt)
2002-2004 : Girondins de Bordeaux
2004-2005 : UD Almería
2005-2007 : Brest !Stade brestois
2007-2008 : Dijon FCO
2008-2009 : Montpellier HSC
2009-2010 : Racing de Ferrol (prêt)

SANS MONTANO ET COSTA
CE SERA DUR DE RENOUVELER
CE PARCOURS EXEMPLAIRE DE 2009/2010
QUI AMENA LA QUALIF EUROPA LIGUE

Privé de télévision pour son premier match européen de la saison en Europa League, Montpellier aura droit à une retransmission en direct pour son match retour face aux hongrois de Gyor. Canal+ Sport diffusera le jeudi 05 Août à 20h45 en direct et en exclusivité le match retour Montpellier / Gyor !
Montpellier a dominé la manche aller (0-1) en Hongrie avec un but de la nouvelle recrue Giroud. A la Mosson, Montpellier aura l'avant du terrain et ce but d'avance marqué à l'extèrieur ! Les hommes du président Lou Lou Nicollin, partiront donc logiquement favoris pour la qualification !
Montpellier / Gyor : jeudi 05 août à 20h45 en direct sur Canal+Sport !




Tombeur de Györ (1-0) grâce à une réalisation d'Olivier Giroud lors du troisième tour aller de la Ligue Europa,
Montpellier doit désormais valider sa qualification pour les barrages de la C3 ce jeudi (21 heures), à la Mosson
, devant les Hongrois.

Montpellier, a retrouvé le doux parfum de l'Europe après une étonnante cinquième place en Championnat. Auteur du but de la victoire sur la pelouse de Györ à l'aller, Olivier Giroud, transfuge de Tours, aura une nouvelle occasion de briller pour ses grands débuts à domicile.
Meilleur artificier de Ligue 2 en 2009-2010 avec 21 réalisations, le natif de Chambéry, également élu meilleur joueur du Championnat, est très attendu du côté de la Paillade.

L'avenir lui appartient
Avec le départ de Victor Hugo Montano pour Rennes,
Giroud doit pleinement assumer la succession du Colombien, buteur le plus prolifique de La Paillade (11 réalisations) lors du précédent exercice. pour l'instant, l'avant-centre savoyard (1,92m, 88kg) est tout simplement irréprochable. Unique buteur à l'aller, d'une splendide frappe de 25 mètres en pleine lucarne, l'ancien Tourangeau âgé de 23 ans a toutes les cartes en mains pour devenir l'icône de la Mosson.



faut pas rever il vient de la ligue 2 L'équipe de France se rapprocherait alors très certainement à pas de géants ! -

Les équipes probables :
Montpellier : Jourdren - Collin, Yanga-Mbiwa, Spahic, Jeunechamp - Pitau (cap.), Marveaux, Estrada - Camara, Giroud, Aït-Fana.

Györ : Stevanovic (cap.) - Szabo, Stanisic, Djordjevic, Babic - Pilibaitis - Koltai, Nicorec, Tokody, Ceolin - Aleksidze

Karim Aït-Fana tente de faire la différence face à Valentin Babic.


Montpellier tombe de haut
QUEL DOMMAGE CETTE SAISON CE SERA PLUS DUR





Vainqueur à Györ (1-0) lors du match aller, le MHSC s'est fait rejoindre (0-1) avant de se faire sortir aux tirs au but (3-4), jeudi à La Mosson. Dur à avaler.

La Mosson ne s'attendait pas à ça. Après la victoire (1-0) en Hongrie la semaine précédente grâce à un but exceptionnel de sa nouvelle coqueluche Olivier Giroud, la route semblait toute tracée. Mais pour son premier match européen à domicile depuis onze ans, Montpellier n'a pas su forcer la décision, et s'est au contraire fait rejoindre sur l'ensemble des deux matches avant de s'effondrer dans la séance des tirs au but. Le club héraultais a laissé échapper les barrages de la Ligue Europa, qui se joueront donc sans lui les 19 et 26 août prochains (1-0, 0-1, 3 tab à 4). A trois jours de la réception de Bordeaux, dimanche en ouverture de la saison de L1, voilà l'équipe de René Girard lestée d'une grosse déception qui alourdira encore la fatigue des 120 minutes jouées jeudi soir.

Loin de s'offrir en victimes expiatoires, les Hongrois n'ont pas volé leur qualification. Ils auront pourtant joué toute la deuxième période et la prolongation en infériorité numérique, après l'expulsion de Stanisic à la 45e minute après un deuxième carton jaune. A cet instant, le club Magyar avait déjà comblé son handicap et instillé le doute chez les hommes de René Girard. Sur un coup franc mal défendu par la défense héraultaise, Babic surgissait pour placer une tête sur une adroite remise venue du second poteau qui dépassait Jourdren, peu à l'aise dans ses rares ballons de la soirée (40e). Un avantage pas immérité alors que le favori ne comptabilisait à la pause qu'un seul tir dangereux signé Collin, sorti de sa lucarne par l'immense portier de Györ (15e).

Malgré un meilleur contrôle du ballon à 11 contre 10 en deuxième période, les Héraultais ont buté sur une défense bien organisée et ont manqué de réalisme à l'approche de la zone de vérité. Camara a tiré de peu à côté à la conclusion d'un beau mouvement (72e) et Spahic a frappé de peu au dessus (93e), juste après que Giroud ait dévié de la tête un bon ballon de Collin dans les bras du gardien hongrois, Stephanovic (92e). Ce dernier sera quelques minutes plus tard le cauchemar des tireurs montpelliérains en détournant les tentatives de Camara et d'Estrada

JOURDEN EN EDF JE CROIS QU IL A FAIT UN CAUCHEMAR

Passé au travers lors de l'élimination de Montpellier face à Györ aux tirs au but jeudi soir, le gardien héraultais assume ses responsabilités. Sûr de lui, Geoffrey Jourdren confie que ce match manqué ne le «démoralise pas, bien au contraire».

Pour qualifier sa prestation de jeudi soir face à Györ (0-1, 3-4 t.a.b.), Geoffrey Jourdren n'y va pas par quatre chemins. «J'ai été tout simplement bidon», admet-il sans mal. Pas question de fuir ses responsabilités pour le gardien montpelliérain, fautif sur le but hongrois à La Mosson et fébrile à plusieurs reprises. Jourdren assume, mais reste confiant : «

Cette défaite, c'est de ma faute.





Mais je ne fais pas de souci pour autant, parce qu'à chaque début de saison je suis pourri... C'était pareil face à Paris la saison dernière (1-1, 1ère j. de L1). Pareil en CFA lors des saisons précédentes. On dirait que c'est ça qui lance mes saisons, pourtant là, je m'étais préparé pour ne pas rééditer ce genre de choses... Je ne sais pas pourquoi ça se produit toujours en début de saison. Je me mets peut-être une pression inutile. Je vais me remettre en questions, mais je ne me fais pas de souci. Je suis passé à travers, ça arrive. Ça ne me démoralise pas, bien au contraire.»

«Ça ne plombera pas notre saison, on va vite relever la tête»
La superbe saison 2008-2009 du MHSC quasiment effacé après cette élimination au troisième tour préliminaire de la Ligue Europa, l'heure est déjà à l'inquiétude. «C'est une défaite importante, la première défaite importante de l'équipe depuis plusieurs années», lâche Jourdren. Mais pas question pour autant de penser que Montpellier n'avait pas les épaules pour les féroces joutes européennes. «On était prêt ! On gagne le match aller (1-0), et il fallait simplement valider ce bon résultat. On voulait faire quelque chose de bien dans cette compétition, car la saison dernière on a tout fait pour se qualifier. Ça s'est retourné contre nous, et on en est vraiment désolé. On est déçu de notre prestation, on n'a pas été efficace, on a eu énormément d'occasions, on a joué à onze contre dix pendant une mi-temps plus les prolongations... Mais je ne pense pas que ça plombera notre saison. On va vite relever la tête.»

«Norvège-France, j'y pensais un peu...»
Geoffrey Jourdren compte notamment sur la cohésion du groupe et un rendez-vous déjà capital face à Bordeaux, dimanche (21h00), pour rebondir. «On va en parler sereinement, assure-t-il. Il faut vite oublier et se projeter tout de suite sur Bordeaux. Le Championnat arrive vite, c'est notre pain quotidien. Maintenant, on va se concentrer là-dessus. Bordeaux, c'est beaucoup plus fort que Györ, donc il faudra être au rendez-vous.» Pour le gardien de 24 ans, le rebond est également obligatoire. D'autant plus qu'il se donne des objectifs personnels élevés cette saison. Jourdren ne le cache pas, il a suivi l'annonce de la première liste de Laurent Blanc avec attention. Sans se départir de son sens de l'humour, il explique qu'il ne regrette pas de ne pas avoir été appelé : «J'y pensais un peu, mais il n'a pris que deux gardiens.
Mais finalement, je pense qu'il a bien fait de ne pas me sélectionner
, parce que vu ma prestation d'hier soir, ça aurait encore polémiqué !»

Le MHSC lutte contre l'homophobie
Publié le jeudi 05 août 2010 à 17H01


Le club du Montpellier Hérault Sport Club a annoncé qu'il s'engagera à lutter contre l'homophobie. Le 21 juin dernier, le président du club, Louis Nicollin, a signé une charte qui implique des actions préventives destinées au public. Une annonce et un clip vidéo seront notamment diffusés dans le stade, lors de la 1ère journée de Ligue 1. C'est le cinquième club professionnel à signer cette charte.

Louis Nicollin avait été épinglé la saison dernière par le Paris Foot Gay pour ses propos à caractère homophobe à l'encontre de l'Auxerrois Benoît Pedretti qu'il avait traité de tarlouze

MHSC : on démarre une autre histoire...


Montpellier accueille Bordeaux ce soir pour l’ouverture du championnat (21 h). L’an passé, le promu héraultais avait obtenu une exceptionnelle cinquième place. La révélation est de retour.
Le plus élégant et productif promu de la saison dernière fait son entrée dans le championnat de France. Hasard du calendrier ou clin d’œil du destin, le visiteur du soir s’appelle Bordeaux. Un ancien champion de France, éjecté cette saison de toutes compétitions européennes par la seule volonté de ce Montpellier Hérault sans peur ni reproche et passé maître dans l’art de bousculer la hiérarchie.



Rien ne prédit pour autant un parcours similaire à René Girard et sa bande. Deux raisons à cela… Les chiffres, d’abord, qui expliquent qu’une deuxième saison est souvent plus délicate. «




C’est normal, le phénomène de surprise n’existe plus », assure Cyril Jeunechamp, le défenseur héraultais, mais l’ambition reste de pérenniser le MHSC en Ligue 1 ».

L’autre raison porte plutôt sur le contexte actuel du club. Éliminé contre toute attente du 3e tour préliminaire de l’Europa League, ce qui a eu pour effet d’agacer sérieusement Louis Nicollin, toujours orphelin de ses cadres, Montaño et Costa, partis voir ailleurs si l’herbe était plus verte (ou plus riche) et confronté à l’attitude étrange de son défenseur bosniaque Emir Spahic (suspendu ce soir), Montpellier s’offre une fin d’été qui ne respire pas vraiment la sérénité. « On ne va pas se taper la tête contre le mur parce qu’on a perdu en Coupe d’Europe, lâche René Girard. C’est décevant, très décevant, car nous avions à cœur d’aller plus loin. Mais là, c’est le championnat, c’est Bordeaux, un très gros morceau et on va se remobiliser. Je préfère d’ailleurs affronter un "top club" plutôt qu’un adversaire moins huppé. Pour la motivation, c’est plus facile… »

L’argument se tient. Même si la plupart des joueurs alignés ce soir auront disputé 120 minutes face à Györ, jeudi… surtout si l’adversaire girondin, même handicapé, est d’une tout autre qualité que le modeste club hongrois. « C’est un gros match pour commencer, admet Jeunechamp. La défaite face à Györ est un rappel à l’ordre. Si nous ne sommes pas à 150 % de nos possibilités, nous sommes plus vulnérables. À nous d’en tirer les conséquences… »

À l’instar de ce que fut le nul arraché l’an passé à la même époque face au PSG (1-1), ce premier sommet de la saison à La Mosson pourrait fort bien donner le ton de la saison montpelliéraine. Solide défensivement, mais toujours en quête d’une plus grande efficacité en attaque, le club héraultais aurait déjà intérêt à ne pas s’installer dans une spirale de la défaite, toujours néfaste. L’an passé, chaque fois que le MHSC était contraint de réagir, il l’a toujours fait avec à propos, rigueur et efficacité. Ce soir, devant 25 000 spectateurs et les caméras de Canal Plus, on ne voit pas pourquoi Romain Pitau et ses équipiers changeraient leurs bonnes habitudes. Une nouvelle histoire démarre. Avec ses doutes et ses incertitudes. Mais aussi ses fabuleuses promesses…

AVEZ VOUS ESSAYE DE PISSER DANS UN VIOLON

MOI UNE SEULE FOIS ...ET J"AI COMPRIS QUE JAMAIS JE NE SAURAIS EN JOUER




lundi 9 août 2010 00:37Girard : «Le vrai Montpellier»

René Girard et Montpellier ont bien débuté la sasion. (EQ)
C'est un entraîneur héraultais remonté (contre la presse notamment) qui a salué la prestation de ses joueurs face aux Girondins de Bordeaux (1-0).

«Réné Girard, quelle analyse faites-vous de cette première victoire à domicile ?C'est un match correct, on a fait avec nos petits moyens, et on a répondu présents ce soir face à une grosse équipe, les Girondins de Bordeaux. On avait ce petit plus de jouer d'entrée contre une grosse cylindrée, encore fallait-t-il trouver les arguments pour aller les titiller. On a essayé de donner du plaisir aux gens, mes joueurs n'ont rien calculé. On a vu le vrai Montpellier ce soir.Après l'émination en Ligue Europa, votre saison est-elle cette fois lancée ?Contrairement à ce que certains peuvent penser, on travaille la semaine vous savez... Et moi, j'ai une grande confiance en mes garçons, en ceux qui composent mon équipe. Alors je me répète, moi j'ai pris beacoup de plaisir ce soir à voir mes garçons se donner à 150 %. Maintenant, il ne faut pas s'enflammer, ça reste qu'une première journée, il y a encore du travail. On a pris trois points, l'an dernier on en avait pris 0 contre Bordeaux. C'est bien. On a donné la réponse qu'il fallait donner, sur le terrain.

On vous sent remonté...Oui et j'ai le droit de l'être. Il n'y a qu'une seule équipe dans la région, et quand je vois comment on la soutient, ça me déçoit. J'ai lu une presse locale qui m'a déçu, il y a une différence quand même entre ceux qui font du VSD ou du Paris Match. J'ai donné des explications à certains et c'est comme si j'avais eu l'impression de pisser dans un violon (sic). Heureusement qu'il y avait les 20 000 (spectateurs) dans les tribunes.Un mot sur vos retrouvailles avec Jean Tigana...Avec Jeannot, on s'est beaucoup apprécié, on a passé presqu'une décennie ensemble, pas tout à fait avec beaucoup de souvenirs. Il fallait ce soir qu'il y ait un malheureux, c'est tombé sur lui. Je lui souhaite malgré tout de réaliser une belle saison car je pense que c'est une bonne chose pour le football français de le voir à nouveau sur un banc.» -

ARTICLE DE LUNDI

Reportée samedi à cause des fortes pluies tombées
sur la Principauté, la rencontre entre Monaco
et Montpellier se déroulera finalement ce soir. Et
ce sera sans Vincent Muratori ni Cyril Jeunechamp.
Les deux latéraux gauches, sous le coup d’un sursis
après une expulsion en fin de saison dernière, ont
en effet écopé d’un match de suspension après
avoir reçu un avertissement lors de la première
journée, sanction qui a pris son effet... hier !
Côté monégasque, Guy Lacombe fera confiance à
sa jeune classe et à la charnière Puygrenier-Hansson.
En cas de succès par trois buts d’écarts, les Montpelliérains
pourraient prendre la tête de la Ligue 1 ! ON PEUT TOUJOURS REVER ...A HAUTE VOIX

LES ÉQUIPES PROBABLES
Stade Louis-II. Arbitre : Philippe Kalt.
Monaco: Ruffier (cap) - Mongongu, Hansson, Puygrenier, Traoré - Mendy, Mangani - Aubameyang, Niculae, Bulot - Park.
Remplaçants: Chabbert (g), Lolo, Nkoulou, Gosso, Coutadeur, Sagbo, Gakpé. Entraîneur: Guy Lacombe.
Montpellier : Jourdren - Bocaly, Stambouli, Spahic, Yanga-Mbiwa - Pitau (cap), Estrada, Marveaux - Camara, Giroud,
Kabze. Remplaçants: Pionnier (g), Collin, Saihi, Belhanda, Lacombe, Dernis, Armand. Entraîneur : René Girard.

1Montpellier à Monaco : Il y a toujours un coup à jouer


Plein soleil et 24 degrés au coup d’envoi. Les prévisions météo sont sans équivoque. Cette fois, rien ne semble devoir mettre en péril le bon déroulement de la rencontre en retard de la 2e journée de championnat entre l’AS Monaco et Montpellier.
Après la grippe d’automne et les orages d’été, le doute est en principe ôté sur un éventuel report et c’est donc bien ce soir que les deux équipes se retrouveront sur une pelouse totalement refaite à neuf dans l’optique de la super Coupe d’Europe entre l’Inter Milan et l’Atletico Madrid, la semaine prochaine.

Revenus samedi soir sans avoir foulé le gazon monégasque, les joueurs du MHSC ont eu droit dimanche à une séance d’entraînement intensive afin de rester dans le rythme de la préparation au match.

« Il a fallu réadapter le travail. Comme ils n’avaient rien fait samedi et pour cause, les gars ont eu droit à une bonne petite séance dimanche, explique René Girard, pas vraiment désabusé par ce report. Franchement, je préfère jouer demain (aujourd’hui, NDLR) que dimanche. Ç’aurait été plus compliqué, car les gars tournaient un peu en rond samedi, et pour avoir été joueur, je vous confirme que cela n’est jamais évident de ne pas savoir. »

A l’évidence, cet aller-retour en Principauté n’a pas bouleversé la vie du MHSC. Sauf celle de Cyril Jeunechamp. Suspendu en principe pour la rencontre de dimanche, face au surprenant leader caennais, le défenseur héraultais purgera finalement sa punition ce soir à Monaco. Mais sera ainsi autorisé à jouer face au promu.

« Ce devrait être l’unique changement, car pour le reste, il m’est difficile de dire qu’un joueur ou un autre n’a pas été bon, sourit Girard. On va voir. J’ai deux solutions possibles… soit j’intègre Xavier Collin sur le poste de CC (Jeunechamp), soit je fais glisser Mapoue (Yanga-M’Biwa) à gauche et je garde Benjamin (Stambouli) dans l’axe. Plusieurs paramètres entrent en ligne de compte. La vitesse des attaquants monégasques, la taille des joueurs, on va réfléchir. » En lisant un peu entre les lignes du coach, on peut supposer que Collin débutera la rencontre…

Toujours placé dans la première moitié du classement malgré ce rendez-vous manqué, Montpellier aura ce soir l’opportunité d’intégrer le trio de tête en cas d’exploit à Louis II. « Nous avons déjà un point supplémentaire que l’an passé après deux rencontres. Cela va nous permettre d’aller là-bas sans pression, d’autant que je considère Monaco comme une grosse cylindrée du championnat. Ce sont de bons joueurs, mais nous sommes capables d’obtenir un bon résultat. »
Et doucher les Monégasques pour la deuxième fois consécutive en trois jours…

Édition du mardi 17 août 2010
FootballLe MHSC ramène un bon point de Monaco



Finalement, ça valait le coup de revenir. Parce qu’il faisait beau, tout d’abord, mais aussi et surtout parce que la prestation du Montpellier-Hérault, hier soir à Monaco, est de celle qui éveille les papilles pour la suite de la saison.

Car s’il existe des "0-0 des familles", sans occasion ni saveur, celui ramené hier soir de Louis II n’a rien de comparable avec un match de "bourriques". Sans le talent du portier monégasque, Ruffier, sans une pointe de maladresse devant le but qu’il faudra bien finir par corriger, le MHSC serait aujourd’hui co leader du championnat avec le promu caennais, qu’il accueille justement dimanche.
Mais bon, leader après deux journées, franchement, on s’en tamponne un peu. Par contre, on apprécie la manière avec laquelle les joueurs de René Girard ont mené leur affaire. Sérieux derrière, appliqués au milieu, joueurs devant. Et au risque de se répéter, si Olivier Giroud avait eu la bonne idée de claquer sa première occasion, dès la 3e minute de jeu, sur un centre de Kabze, c’est probablement un succès que Montpellier serait allé cueillir en Principauté. Au vu du potentiel technique et physique de l’ancien Tourangeau, on ne va pas s’inquiéter immédiatement… L’avenir nous le dira, mais peu d’équipes prendront des points cette année à Monaco, sur une pelouse aussi impraticable sous la pluie que râpée et inégale sous le soleil.

Encore en rodage, la formation entraînée par Guy Lacombe a toutefois montré hier de sérieux arguments et devrait en faire souffrir plus d’un. D’ailleurs, les Montpelliérains n’ont pas toujours été à la fête. Après une entame parfaite, où il ne manqua que les buts, le MHSC connut un premier trou d’air à la demi-heure de jeu. Mais Jourdren se chargea de maintenir le cap.

Après la pause, si le jeu se stabilisa un peu, les deux équipes se créèrent quand même de nouvelles occasions. Et si Philippe Kalt ne passera pas les prochaines vacances chez Guy Lacombe, lequel lui reproche de ne pas avoir sifflé une faute de Stambouli sur Park. Le retourné acrobatique de Giroud dans la surface a bien failli devenir le but de l’été. Surtout si Ruffier n’avait pas réussi… l’arrêt de l’été. Voila donc Montpellier toujours invaincu après deux rencontres de Ligue 1. Avec en prime, ce privilège rare de ne pas avoir encaissé le moindre but. Comme Monaco, du reste…

Dimanche, face à la meilleure attaque de ce début de saison, l’affiche vaudra incontestablement le déplacement. En cas de succès, la bande à Girard validerait son excellente entame et oublierait définitivement ses déboires européens. Non franchement, ça valait le coup de revenir…

CET APREM 17 H .
Stade de La Mosson. Arbitre : Stéphane Lannoy.
Montpellier : Jourdren - Bocaly, Yanga-Mbiwa, Spahic, Jeunechamp-
J. Marveaux, Pitau (cap.), Estrada - So. Camara, Giroud, Kabze.
Remplaçants: Pionnier, Lacombe, Dernis, El Kaoutari, Stambouli,
Saihi, Collin, Belhanda. Entraîneur : René Girard.
Caen: Thébaux - Inez, Sorbon, Heurtaux, Tafforeau - Hamouma,
Marcq, Seube (cap.), Mollo - El-Arabi - K. Traoré.
Remplaçants: Perquis, N'Diaye, Raineau, Nabab, Yatabaré.
Entraîneur: Franck Dumas.

Montpellier doit régler la mire


Les Héraultais se déplaceront à Valenciennes, samedi (19 h) pour la 4e journée. Il y avait de l’inachevé, dimanche, à La Mosson, dans le 0-0 pas si nul que ça entre Montpellier et Caen. Comme une symphonie sans point d’orgue. Une musique agréable à l’oreille, mais à laquelle ne vient pas se mêler la douce caresse du ballon au fond des filets. 223 minutes sans but : le mutisme est suffisamment long pour interpeller. D’autant que si l’on ajoute les deux derniers matches de préparation et les deux rencontres d’Europa League, l’équipe de René Girard n’a trouvé que deux fois le chemin des filets en sept rencontres.

Pas de quoi s’affoler. Juste s’impatienter un peu. Le nouveau standing des Héraultais se mesure à l’aune de cette attente car la qualité de leur jeu et l’étanchéité de leur défense fait désormais d’eux des outsiders confirmés sur les antennes où l’on cause de Ligue 1.

1. Même temps de passage qu’il y a un an
On peut avoir le sentiment douloureux qu’ils en ont perdu deux contre Caen, mais les Montpelliérains comptaient rigoureusement le même nombre de points l’an passé après trois journées. Deux nuls contre Paris et Lorient avaient été suivis par une victoire sur Sochaux. Les hommes de Girard avaient juste encaissé trois buts (contre 0) et en avaient inscrit cinq (contre un seul cette année).

Avec cinq points, le MHSC reste bien calé dans le haut du tableau (6e). Il devance surtout toutes les grosses cylindrées qui ont eu un départ poussif. Et le calendrier du mois à venir offre la perspective d’une belle moisson potentielle : déplacements à Valenciennes et Saint-Etienne, réceptions de Nancy et Arles-Avignon. Montpellier n’est plus descendu sous la 7e place depuis le 22 novembre 2009.

2. Des recrues en phase d’intégration
Le secteur offensif a été le plus retouché à l’intersaison. Avant de pleurer sur le punch de Montaño, qui fait terriblement défaut, il faut laisser du temps aux recrues comme Giroud (lire ci-dessous) pour s’intégrer. Au milieu, Estrada a déjà conquis le public de La Mosson par sa vista et son abattage. Il lui reste à concrétiser dans la surface de vérité et trouver des automatismes avec les autres sur les coups francs.

Hassan Kabze séduit par sa technique, ses appels, son jeu de mouvement sanctionné par un tir sur la barre contre Caen. « On a de bonnes positions mais, on manque de réussite, constate le Turc. J’essaye de faire de mon mieux, je pense bien trouver ma place. J’apprends aussi le Français, ça facilitera les choses. »

3. Manque d’agressivité et de folie en attaque
Romain Pitau ne s’inquiète pas de la panne offensive de son équipe, sûr que « les automatismes sont plus faciles à améliorer sur un contenu aussi encourageant ».

Montpellier a un jeu parfaitement léché. Presque trop propre à l’abord de la surface où il manque un peu de folie et de méchanceté dans le bon sens ; comme dans ces moments où il faut se jeter sur les ballons qui traînent. Comme on n’échappe pas au jeu des comparaisons, l’an passé, à la même époque Costa (deux fois) et Aït-Fana avaient déjà marqué. Ce dernier avait débloqué, contre Sochaux, une attaque déjà empruntée. Peu utilisé cette saison, il reste un joker de choix dans la manche de Girard.

MHSC : Romain Pitau prend de l’espace


Le milieu défensif héraultais réussit un nouveau début de saison de qualité. Scoop ! On a croisé Romain Pitau en Turquie, cet été. Contacts ? Tractations ? Visite des équipements de l’un des plus grands clubs du pays ? Non rien de tout ça… « Nous sommes partis en vacances avec les enfants afin de recharger les accus et reprendre la saison en pleine forme. Partir de Montpellier ? Non, franchement, je n’y ai jamais songé. Et puis, cela a dû se savoir car je n’ai reçu aucune proposition… (sourire). »

Ouf ! En voila au moins un auquel le fabuleux parcours du promu héraultais, ajouté à des prestations individuelles souvent exceptionnelles, l’an passé en Ligue 1 (cinquième), n’a pas tourné la tête. De toute évidence, il en faudrait bien plus. Dans la vie, Romain Pitau est comme sur le terrain, discret, mais terriblement efficace. Jamais un mot plus haut que l’autre, jamais de déclarations tapageuses… Les petits ponts, les "cafés-crème" et les rateaux à répétition, ce n'est pas vraiment son truc. « La vie est une éternelle remise en question, assure t-il. Il ne faut jamais croire que les choses sont arrivées. Ce que nous avons réussi l’an passé est génial, mais nous avons pu constater à plusieurs reprises que lorsque nous n’étions pas à 100 %, cela nous retombait dessus. »

Et l’anticipation est l’une des autres qualités de l’ancien Sochalien et Niçois, véritable rampe de lancement du milieu de terrain et ratisseur infatigable. Jamais pris au dépourvu, il n’a même pas douté lorsque deux des cadres de l’équipe, Costa et Montaño, ont choisi l’exil. « C’est dommage, mais c’est le lot des clubs comme le nôtre. Les joueurs les plus en vue sont sollicités. Certains partent, d’autres restent. A mon retour de vacances, je ne me suis jamais inquiété de ces départs. Le groupe est suffisamment de qualité et les jeunes progressent. En plus, je savais que le club allait recruter… »

Le meilleur buteur de Ligue 2, un international chilien et un Turc méconnu en France, le casting a rapidement séduit le patron du milieu. « Olivier Giroud a un énorme potentiel, il va éclore rapidement. Marco (Estrada) joue plus bas que Tino (Costa), mais c’est un excellent joueur et au fil du temps, les automatismes vont s’améliorer. Quant à Kabze, il confirme son statut d’excellent attaquant. »
Pas de doute, Montpellier est habillé pour l’hiver. Et Romain Pitau ne redoute pas une seconde les fameux effets indésirables de la deuxième saison. « Tout le monde est conscient qu’il faut être vigilant. Mais il ne faut pas être, non plus, trop modeste. Le premier objectif est de pérenniser le club en Ligue 1, ensuite, il n’est pas interdit de se prendre au jeu et d’aller le plus haut possible. Tant que l’ambiance sera la même, on peut vraiment tout espérer de l’avenir. » Tant que Romain Pitau sera là, surtout, Montpellier n’a pas vraiment grand-chose à redouter.

Montpellier, Giroud, ont assuré face à Valenciennes (1-0).



Valenciennes-Montpellier : 0-1
Le but : Olivier Giroud (29e) pour Montpellier

Très intéressant dans son jeu depuis le début de la saison, Olivier Giroud a enfin réussi à trouver le chemin des filets. Ce samedi, face à Valenciennes, c'est lui, la nouvelle recrue offensive des Montpelliérains, qui est parvenu à marquer face aux Nordistes. C'est lui qui permet aux Héraultais de prendre trois points et de poursuivre la série de matches sans défaite. Pour l'instant, le MHSC est toujours invaincu en Ligue 1...

GIROUD SE LÂCHE
Meilleur goleador de Ligue 2 la saison
passée, l’ancien Tourangeau
Olivier Giroud a inscrit hier soir
son premier but en Ligue 1 avec
Montpellier d’une tête plongeante
qui a permis aux Héraultais de s’imposer
à Nungesser face à Valenciennes
(1-0). L’ex-Istréen avait déjà
marqué lors du tour préliminaire
de la Ligue Europe face à Gyor.

TRAM TRAM MONTPELLIER
LA DEFENSE C DU SOLIDE 4 MATCHS ZERO BUT ENCAISSE
LES SEULS INVAINCUS EN DEFENSE


Les joueurs de Montpellier porteront samedi face à Nancy un maillot sans sponsor, a annoncé vendredi le club dans un communiqué. Jusque-là cette saison, le MHSC arborait le nom de NetBet, une société de paris en ligne. Mais le président héraultais Louis Nicollin a été informé par l'Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel) que l'entreprise Itechsoft Game, propriétaire de NetBet et de son agrément, rencontrait des difficultés à valider son activité. «Respectueux évidemment des dispositions légales, Montpellier a donc, dans un premier temps, suspendu l'application du contrat jusqu'à ce que son co-contractant justifie qu'il n'existe aucun risque juridique dans l'application du contrat», a indiqué immédiatement le club montpelliérain


Alors qu'il souffrait d'une inflammation de la hanche, Jamel Saihi a été retenu par René Girard dans le groupe qui jouera contre Nancy samedi (19h), à l'occasion de la 5e journée de Ligue 1. Garry Bocaly, qui a écopé de deux matches de suspension jeudi soir, est également là, puisque sa sanction sera effective à partir de lundi. L'entraîneur montpelliérain dispose d'un effectif presque complet, puisque seul Dzodic manque à l'appel (reprise).

Le groupe montpelliérain : Jourdren, Pionnier - Bocaly, Collin, El-Kaoutari, Jeunechamp, Saihi, Spahic, Stambouli, Yangambiwa - Aït-Fana, Belhanda, Dernis, Estrada, Lacombe, Jo. Martin, Marveaux, Pitau - So. Camara, Giroud, Kabze.

MHSC - Girard : «Pas grand-chose à dire»

Au-delà des deux premiers buts encaissés par Montpellier cette saison, face à Nancy (0-2), c'est surtout la défaite que René Girard, son entraîneur, regrettait après la partie.

René Girard (entraîneur de Montpellier): «On est passés à côté de notre première période. Il y a longtemps que nous n'avions pas joué une mi-temps comme cela. On peut marquer rapidement. A l'inverse, Nancy se procure deux occasions et les met deux fois au fond des filets. Il n'y pas grand chose à dire après ce jour sans. On est tombés sur une équipe qui était venue pour défendre. Après son premier but, inscrit très tôt, elle a été confortée dans sa stratégie. Comme nous avons été fébriles et approximatifs dans le jeu, on ne pouvait pas espérer mieux, même si nous avons poussé en seconde période. C'est un petit rappel à l'ordre. Quand on est à 80%, on ne peut pas s'en sortir.

Par moments, il faut le toucher du doigt pour se rendre compte des choses. J'ai demandé à monsieur l'arbitre de regarder l'heure. Il m'a répondu que j'avait dit la même chose à M. Lannoy (arbitre de Montpellier-Caen NDLR). Il m'a dit d'arrêter de les emmerder. Ces gens-là ont besoin de se regarder en face.
Co mme ils communiquent entre eux, j'espère qu'il n'y a pas un contrat sur ma tête

. Mon cas n'est pas très important. La défaite et la blessure d'Emir sont plus inquiétants».