SCHEMA TACTIC !!!!!

P o u r d é b u t e r ,
l’entraîneur olympien
avait reconduit le
schéma en 4-2-3-1
prôné à Arsenal (0-0),
qui s’est vite mué en
4-4-2. Mais les deux
options se sont avérées
inutiles. Il avait
également décidé de
remanier les couloirs de sa défense
en incorporant Kaboré et Traoré à la
place d’Azpilicueta et Morel. Les deux
suppléants ont pris l’eau.

bienvenou a écrit:P o u r d é b u t e r ,
l’entraîneur olympien
avait reconduit le
schéma en 4-2-3-1
prôné à Arsenal (0-0),
qui s’est vite mué en
4-4-2. Mais les deux
options se sont avérées
inutiles. Il avait
également décidé de
remanier les couloirs de sa défense
en incorporant Kaboré et Traoré à la
place d’Azpilicueta et Morel. Les deux
suppléants ont pris l’eau.

DESCHAMP nous prend pour des cons c'est tout .

venus a écrit:

bienvenou a écrit:P o u r d é b u t e r ,
l’entraîneur olympien
avait reconduit le
schéma en 4-2-3-1
prôné à Arsenal (0-0),
qui s’est vite mué en
4-4-2. Mais les deux
options se sont avérées
inutiles. Il avait
également décidé de
remanier les couloirs de sa défense
en incorporant Kaboré et Traoré à la
place d’Azpilicueta et Morel. Les deux
suppléants ont pris l’eau.

DESCHAMP nous prend pour des cons c'est tout .

kaboré n'etait meme pas au marquage du grec seul qui marque le but

kaboré ou azpi a droite c'est archinul

w TACTIQUE, SYSTÈME
ET PHYSIQUE
Avec les blessures diverses, l’effectif
n’a jamais été homogène depuis le début
de la saison. Il y a ceux qui manquent de
compétition, comme Gignac et maintenant
Mbia. Et ceux qui commencent à tirer
la langue, à force de tirer sur la corde,
comme Rémy ou André Ayew. Difficile
de faire tourner. On a cru, un moment,
que le passage au 4-4-2 avait été le déclic.
L’OM a effectivement commencé à
gagner dans ce système, avec deux pointes.
Mais c’est plus l’état d’esprit conquérant,
les mises à l’écart ou en concurrence,
de Lucho (déjà ailleurs) et Diarra
(bien revenu), qui ont fait de l’effet. Preuve
par défaut: c’est en 4-2-3-1 que l’OM
a flambé à Arsenal et a démarré mercredi
soir, pour passer en 4-4-2 au bout de
vingt-cinq minutes, mais sans succès.
Si le système n’est pas la panacée, quid
de la tactique ? Viser le 0-0 parce qu’il
suffisait ? Didier Deschamps s’en défend
; et Guy Stephan, hier sur OMtv
ajoutaitmême qu’en cours de match, Arsenal
menant au score, il n’a jamais été
demandé aux joueurs de préserver le nul
qui qualifiait l’OM ; pour éviter justement
d’avoir les regrets que l’on nourrit
aujourd’hui. Mais alors pourquoi les
joueurs ont-ils reculé

Ca commence à faire beaucoup de clash dis donc...

Entre Cheyrou qui déteste DD...Bonnart qui déclare indirectement dans la presse que DD n'est pas très blanc...Ben Arfa qui part au conflit...Niang qui dit que DD ment...Dassier, Diouf...Mr Blanc à l'époque de la Juve...A présent Gignac...Sans oublier la petite piqûre qu'avait lancé Kaboré en disant que la concurrence n'était pas saine...Et bien evidemment Anigo.

Je veux bien que certains aiment DD, mais à un certain moment il faut arrêter....C'est tout simplement le dénominateur commun de chacun de ces conflits cités ci-dessus.

Peu importe que des supporters lui disent "Avec toi on a gagné 5 trophées dont 4 en bois", il sait au fond de lui qu'il n'a rien gagné avec son style de jeu...Et c'est uniquement pour ca qu'il tient absolument à mettre son 4-5........1 à chaque match tout en titularisant ses recrues.
Si quelqu'un me trouve un trophée gagné avec la "méthode DD" c'est un bon...A vrai dire il n'y en a qu'un et c'est notre 2ème coupe de la ligue. C'était une belle victoire comme on les aime avec un vieux match et un vieux but de merde à la 80ème...Du DD touch quoi.

Bon, il aura tout de même légèrement baissé son froc lorsque les supporters ont officiellement demandé sa demission...Mais il est reparti de plus belle avec sa superbe compo à la con contre L'Olympiakos.

Cet homme est le symbole de la noirceur de L'OM...

L’état d’esprit n’est pas seulement
une coquetterie à sortir
quand on reçoit Paris. L’état
d’esprit est une raison d’être, un art
pour avancer, une culture à respecter.
Aucune alternative n’est recevable
quand on a l’honneur, nous disons
bien l’honneur, de porter le
maillot olympien, le vrai, le blanc.
C’est une richesse capable de décupler
les forces, d’aller au-delà de
s e s l i m i t e s , quel que s o i t
l’adversaire.
Quand on est Olympien, avoir
faim est un credo, une foi, une règle
d’or, une attitude sur laquelle on ne
transige pas.
Être Olympien, c’est donner du
bonheur, marcher sur des prétendues
équipes plus fortes. C’est Morel
qui va au contact, tête contre tête,
et, malgré le choc, demeure debout
pendant que Jallet reste au
sol. Être Olympien, c’est passionner
les débats, montrer que la capitale
du foot porte un nom: Marseille.
C’est être contestataire, rebelle
pour refuser l’ordre établi et affirmer
les valeurs de la plus vieille ville
de France, une dame respectable
tant son histoire sera à jamais inégalée.
Être Olympien, encore, c’est
quand un gamin de 19ans, Jordan
Ayew, tient tête à trois Parisiens
sans se démonter.
Être Olympien c’est une raison
sociale, une arrogance, une loyauté.
C’est être un homme. Être Olympien,
c’est appartenir à un peuple,
uni et solidaire à la vie à la mort.
Une fois ce principe de vie assimilé,
respecté, tout est pardonné, même
les égarements techniques. Lucho
sortant sous une ovation, Lucho
scandé n’est pas un hasard, mais
un remerciement.
L’OM a construit son succès sur
sa fougue, une valeur noble dans
nos contrées ensoleillées. Tout est
excusable quand l’essentiel est accompli.
Nous le disions dans ces colonnes
hier : l’argent des autres, les
millions sortis à coups de chéquiers
sans fin ne nous intéressent
pas. L’OM, c’est ignorer l’arrogance
des stars présentées en face pour
rappeler qu’à l’OM, la star c’est le
club.
Car l’OM n’a pas les pétro-dollars
; il a le coeur, les tripes, l’amour.
L’OM, c’est six joueurs dans le
camp adverse quand celui-ci relance.
C’est Mbia pressant Lugano aux
abords de sa surface pour le faire déjouer.
L’OM, c’est aussi une technique
défensive, les tacles de Diawara
sur Nene, ceux d’Azpilicueta sur
Ménez. L’OM, c’est un danger dès
qu’il se trouve dans la surface adverse.
L’OM, c’est trois buts contre celui
qui est présenté comme le futur
champion de France. L’OM, c’est la
solidarité envers ses partenaires. Le
stade pardonne tout quand les fondamentaux
culturels sont respectés,
même une passe en retrait de
50mètres de Diarra si elle sert les intérêts
collectifs.
Voilà les messages que nous
nous évertuons à transmettre depuis
des semaines, retrouvés hier
avec un certain enchantement.
Être Olympien, c’est servir le peuple.
OM- PSG a certainement été
techniquement assez limité.
L’engagement a été la clé de la rencontre.
Marseille s’y est retrouvé.
La ville a aimé. Voilà pourquoi le
peuple s’est réveillé. Qu’il ne se rendorme
plus….

Un milieu retrouvé
28-11-2011

L’OM a su imposer son rythme à un PSG qui aura fait illusion une mi-temps.



La charge de Lucho, finalement titularisé au poste de meneur de jeu, sur Mohamed Sissokho était censé donner le ton de ce premier "clasico" de la saison. Les compositions des deux équipes donnaient quelques pistes sur les volontés des deux entraîneurs.
En optant pour des éléments athlétiques à la récupération, à savoir Alou Diarra et Stéphane Mbia côté olympien, Mohamed Sissokho et Blaise Matuidi côté parisien, il était clair que c’est sur le terrain du défi que les débats devaient être amenés.
L’OM ne laissait pas le temps aux hommes d’Antoine Kombouaré de tisser leur toile. Le premier débordement, signé Azpi, aboutissait à un centre impeccable que Loïc Rémy, au terme d’une course qui avait mis hors de position ses gardes du corps, claquait de la tête au fond du but de Sirigu. Le PSG ne s’attendait pas à une telle douche froide. D’autant que durant les cinq premières minutes, ils avaient privé les Marseillais de ballons. Le "clasico" partait donc sur des bases élevées.
La réaction parisienne misait beaucoup sur Javier Pastore. Mais, outre sa petite forme, il avait sur le râble Alou Diarra, qui ne lui laissait que très peu de marge de manœuvre. Privée de sa principale arme, l’équipe parisienne tentait vainement de sortir la tête du sac. Chose que le pressing constant d’un collectif provençal transcendé ne permettait pas. Même si Mohamed Sissokho s’offrait un ballon d’égalisation, l’OM gardait la main dans un match qu’il avait su, enfin, prendre par le bon bout.
Si le PSG avait des espoirs de combler son handicap, ceux-ci furent rapidement anéantis. La seconde période olympienne allait être d'un niveau supérieur. Avec un milieu de terrain qui prenait définitivement le pouvoir.
Résignés, les Parisiens terminaient la tête dans le sac. Deux nouveaux buts, ponctuant des actions collectives bien léchées, venaient récompenser cette mainmise phocéenne sur un "Clasico" qui pourrait être, on le souhaite, le déclenchement d’une reconquête.


M.G.

Le retour du roi lion
Mandanda (5) : Bien protégé par sa défense, le portier olympien n'aura été que très peu sollicité hier soir. Et quand la défense a cédé, son poteau l'a sauvé.
Azpilicueta (6,5) : Passeur décisif sur l'ouverture du score, l'Espagnol a livré une partition offensive de premier plan. Tout ce qu'on attend d'un latéral y était. La partie défensive souffre encore de quelques reproches, mais l'ensemble est convaincant.
Diawara (6) : Solide, il a parfaitement muselé Gameiro. Deux tacles pleins d'autorité donnaient très vite le ton. La défense ne devait pas céder.
Nkoulou (5,5) : Appliqué, l'ancien Monégasque a tenu son poste avec sérieux. Ses relances sont toujours aussi justes.
Morel (5) : Son application dans ses centres et surtout sa belle débauche d'énergie pour combiner avec André Ayew servent son apport offensif. La partie défensive est en revanche très discutable.
Diarra (6,5) : Il a éteint un Pastore qui dormait debout. Le mérite en est relatif, mais le tricolore a bien tenu l'entrejeu. Son entente avec Mbia est pleine de promesses pour l'OM.
Mbia ( : Un lion ! Il a ratissé, taclé, s'est battu sur tous ballons et a même porté le danger en attaque. L'OM a retrouvé un vrai milieu défensif. Remplacé à la 72e par Kaboré.
Amalfitano (7,5) : Un joueur à deux visages. Timide en première période, l'ancien Merlu est revenu déchaîné sur la pelouse en seconde période. Une mi-temps qui l'a vu inscrire un but plein de lucidité et de justesse technique, puis délivrer une passe décisive à André Ayew.
Lucho (6,5). Une fois n'est pas coutume, Lucho est sorti sous les applaudissements du Vélodrome. Le public marseillais a salué une prestation plutôt convaincante, quoique manquant un peu de consistance. Remplacé par Cheyrou (64e).
A. Ayew ( : S'il s'est bien battu, le Ghanéen s'est aussi trop dispersé dans de nombreuses altercations et provocations inutiles...avant d'inscrire le troisième but olympien.
Rémy (9) : Drôle de soirée pour le buteur marseillais. Il marque très vite le 100e but olympien inscrit contre le PSG, se bat comme un diable sur tous les ballons, mais cède sur un duel apparemment sans danger : entorse de la cheville. Il doit céder sa place à Jordan Ayew (7,5) à la demi heure de jeu. En dedans face à l'Olympiakos, le cadet Ayew était métamorphosé hier. Ses deux actions en début de seconde mi-temps, d'abord côté gauche puis côté droit, en étaient les plus parfaites illustrations.

s'adapter à ce CAEN

42 31
PUIS 42 4

EN FIN RENVERSANT

COMMENT LE LAISSER SUR LE BANC 3 MOIS
LUI LE MEILLEUR PASSEUR DE LIGUE 1 !!!2010/2011

LE SYSTÈME DE JEU À DEUX RÉCUPÉRATEURS
"Çame permet de jouer avec mes qualités

Après avoir officié comme "sentinelle" devant
l’axe défensif, Alou Diarra est associé, depuis
quelques matches, à un second élément (Mbia,
puis Cheyrou) dans l’entrejeu, pour son travail de
récupération.
"Personnellement, je m’adapte toujours par
rapport au schéma, explique le double champion
de France (2007 avec Lyon, 2009 avec Bordeaux).
Si j’ai été positionné seul devant la défense au
cours des quatre dernières années chez les Girondins
de Bordeaux, j’avais néanmoins déjà évolué
dans un système similaire avec Lens (entre 2004
et 2006) où j’étais associé à Seydou Keita au milieu
de terrain."
Il lui a donc fallu retrouver ses repères. "J’ai dû
simplement assimilerà nouveau certains automatismes,
indique-t-il. Ça me convient d’autant plus
que ce dispositif me permet de jouer avec mon
propre tempérament, de monter sur le porteur du
ballon, de faire du pressing haut et d’être un peu
plus proche dans les trente derniers mètres. De
toute façon, le fait, déjà, de jouer régulièrement
est une grande satisfaction

La vie sans "Dédé" Ayew
CHOIX Sa suspension oblige Didier Deschamps à rebattre les cartes de l’OM pour la venue de Lorient, samedi (19h)


Absent du centre d’entraînement Robert
Louis-Dreyfus pour raison personnelle,
mardi, SteveMandanda était bien sur les
terrains de La Commanderie hier matin



. Après
avoir pris part à la session spécifique aux côtés
de Gennaro Bracigliano et Elinton Andrade,
sous les ordres de NicolasDehon, le gardien international
a disputé l’opposition qui ponctuait
la séance matinale. Il en fut de même
pour Jérémy Morel.
Écarté des terrains depuis la réception du
PSG et une torsion du genou, le 27 novembre
dernier, le latéral gauche olympien a enfin retrouvé
le collectif marseillais. Avec envie et
sans gêne apparente. La "Bûche" est donc à la
dispositiondeDidierDeschamps pour la réceptiondeLorient,
samedi (19h), au stade Vélodrome.
Une rencontre qu’André Ayew observera depuis
les loges du Vel’. Suspendu face aux Merlus
après une succession de trois cartons jaunes
en moins de dix parties (et clairement
émoussé par l’enchaînement des matches),
l’international ghanéen laisse l’OM orphelin
sur le flanc gauche de son attaque.
Cette situation s’est déjà présentée à quatre
reprises cette saison. Et "DD" a été contraint de
rebattre les cartes de son onze de départ avec
plus ou moins de succès (deux défaites pour
deux victoires). Que fera cette fois le coachmarseillais
face aux protégés de Christian Gourcuff?
Telle est la question...
◗ L’OPTION JORDAN AYEW
En Ligue1, le 10 septembre dernier contre
Rennes, les Olympiens avaient baissé pavillon
sur un coup de canon de Kembo (0-1). À cette
époque, Jordan Ayew avait été positionné sur
le côté gauche, dans un système en 4-2-3-1,
pour pallier l’absence sur blessure (cuisse) de
son frangin.
Actif et disponible, il avait manqué de soutien
et de ballons pour s’exprimer pleinement.
Pas sûr qu’il soit reconduit à ce poste. Et puis,
quoi qu’il en soit, il demeure bien plus à l’aise
dans un rôle plus axial.
◗ L’ALTERNATIVE MOREL
Trois jours plus tard, face à un Olympiakos
(1-0) à court de rythme, Diawara et sa bande
signaient une victoire salvatrice en coupe
d’Europe pour mettre fin à la gabegie d’un début
de saison raté. Si Djimi Traoré occupait
alors l’un des deux couloirs de la défense, c’est
bien Jérémy Morel qui avait dû animer les offensives
olympiennes.
Et avec un certain mordant, il faut le reconnaître.
Il a même eu l’occasion de rééditer sa
performance à Lyon dans la foulée, le 18 septembre
(2-0), mais il fut remplacé à la pause
par Amalfitano et "Dédé" Ayew retrouva son
couloir .
Déjà vu à Lorient dans ce registre offensif, le
Réunionnais a donc les qualités physiques
pour arpenter le terrain et donner du fil à retordre
à ses anciens partenaires.
◗ LA PISTE VALBUENA
Plus d’un mois après, en coupe de la Ligue
face au RC Lens (4-0), rebelote. Cette fois,
Jean-PhilippeSabo s’était illustré dans unschéma
en 4-4-2 pendant que le fils d’Abedi Pelé
était ménagé. Manquant de précision dans le
dernier geste, il avait été remplacé par Mathieu
Valbuena, auteur d’une passe décisive. Le
week-end passé, le "Petit" a également terminé
la rencontre face à Bordeaux dans cette position.
Il s’est là aussi procuré l’une des rares occasions
d’un match sans relief.
Toujours muet sur sa situation, il pourrait
jouer les trouble-fête dans cette configuration,
laissant le couloir droit à Amalfitano et
l’attaque au duo Jordan Ayew-Loïc Rémy.
Pour préserver un élément offensif, le retour
de Lucho dans le onze de départ ne doit pas
non plus être exclu. Il semble toutefois peu probable
de voir le fantôme du joueur qu’il a été
fouler la pelousede l’enceinte du boulevard Michelet.
Deschamps doit maintenant trancher dans
le vif, mais sans "Dédé" Ayew. Plus dure la vie...

INTER FAVORI
BIEN JOUE...DD

ILS TIRENT SANS MARQUER VENUS FAIT QUELQUECHOSE

Centres, tirs et corners : l'OM a beaucoup tenté lors de ces 19 premières journées


le mardi 27 décembre 2011 à 16H32


Les chiffres montrent que les Olympiens ont été actifs sur le terrain lors de cette première partie de championnat. Au nombre de ballons joués les hommes de Didier Deschamps se classent à la 3e place de Ligue 1, précédés du Losc (1er) et de Lorient (2e).

Ils sont également troisième au nombre de corners obtenus et aux centres adressés. D'autre part, ils dominent le classement des tirs avec 302 frappes dont 119 cadrés, devant le PSG et le Losc, respectivement 275 et 271 tirs.

Ce qui démontre leur activité offensive mais aussi leur relative inefficacité devant le but puisque l'OM n'est seulement que la 7e attaque de Ligue 1

http://www.fff.fr/mediatheque/cfra/540371_haddad-magnifique-pour-le-red-star

ALLEZ L"OM
RESPECTEZ LES AVEC UN 5 A 0

32èmes de finale
Haddad : "Magnifique pour le Red Star"
Début janvier 2012 en 32èmes de finale de la Coupe de France, les Franciliens du Red Star FC 93 accueilleront l'Olympique de Marseille (L1). Présent au tirage au sort à Amiens (Picardie) lundi soir, Patrice Haddad, le Président du club du National, nous a livré sa première réaction.

Face au Red Star, DD devrait privilégier un 4-3-3, avec Valbuena sur le côté droit à la place d'Amalfitano. Une incertitude demeure au poste d'avant-centre entre Jordan Ayew et Rémy. En défense, Morel, ménagé ces derniers jours à cause d'un genou douloureux, devrait être préservé, alors que Fanni pourrait retrouver du temps de jeu. Bracigliano finalement forfait (lumbago), Mandanda gardera les buts, Andrade n'ayant repris l'entraînement seulement hier. Enfin, à noter la présence du jeune Najib Ammari, qui effectue sa première apparition dans le groupe pro

Comme il l’avait travaillé lors
du stage à Peralada, Didier
Deschamps a opté pour un
4-3-3, lequel s’appuyait grandement
sur ses joueurs en partance
pour la Coupe d’Afrique des Nations.
Si Diarra, Nkoulou ou Rémy
ont pu s’économiser, ce match a
confirmé l’importance grandissante
des frères Ayew dans l’effectif olympien.
André, on le savait. Jordan, on
s’endoutait. Hier soir, les Ghanéens
ont pesé de tout leur poids pour faire
craquer le Red Star, bien épaulés
par Cheyrou, Azpilicueta et Valbuena.
Mais leur départ va laisser un vide
considérabl e , alor s que
s’approchent des échéances importantes...

Caen-OM : "On a bien maîtrisé" (Deschamps) le mardi 10 janvier 2012 à 23H00


Didier Deschamps est revenu sur la victoire de ses joueurs contre Caen (0-3) : "On s'est qualifié dans les deux coupes, c'était notre objectif. Sur ce match, on a bien maîtrisé, c'est bien. On va maintenant avoir un gros match dimanche contre Lille."

alagachon11/01/2012 à 07h17
Si nous étions sur un champ de course et l'O.M un cheval, j'ecrirai que l'O.M a mené de bout en bout et s'est juste dessuni dans la ligne droite d'arrivée, mais son adversaire trop loin pour esperer quoi que ce soit !!

Marseille repense son attaque
Le 15/01/2012 à 09:00 | Mis à jour le 15/01/2012 à 09:56

Avec l'arrivée de Brandao, Didier Deschamps peut songer à recomposer son secteur offensif. Cela ouvre en grand le champ des possibilités face à Lille au Vélodrome (21h00).


Deschamps est bien content de retrouver Brandao dans son groupe.


Avec un seul attaquant axial, l'OM a, pourtant, marqué huit buts sur les deux matches de reprise en 2012. Pour être plus exact, Didier Deschamps disposait encore des frères Ayew en Coupe de France, lesquels ont marqué trois buts à eux deux avant de s'envoler pour la CAN. Mais globalement, le jeu offert contre Caen ( 3-0 le 10 janvier en Coupe de la Ligue ) a livré quelques enseignements. « On a fait preuve de maîtrise, de mobilité, de justesse technique, de simplicité , explique Deschamps. J'ai beaucoup apprécié que nous ayons enfin retrouvé en situation de match ce que je nous voyais faire à l'entraînement .» Avec le départ des quatre "Africains", tout est à reconstruire, notamment dans le secteur offensif. Et c'est cette équation à résoudre qui a amené les dirigeants de l'OM à rappeler Brandao, faisant fi de toute considération extrasportive. « Je ne suis pas préoccupé par le secteur offensif en particulier mais je n'avais qu'un seul attaquant de pointe avec Rémy. Ça peut être compliqué avec l'enchaînement des matches très rapprochés début février. Avec Brandao, c'est une solution supplémentaire .»

Brandao devrait vite avoir beaucoup de temps de jeu
Le Brésilien peut évoluer dans l'axe ou sur le côté gauche, comme il l'avait fait dans sa période ukrainienne, mais Deschamps est déterminé sur ce point : « C'est avant tout un attaquant axial ». Brandao doit prendre place sur le banc contre Lille mais dès que son physique sera au point, il devrait retrouver un poste à la pointe de l'attaque marseillaise pour « user la défense centrale adverse » par son travail de sape. Et ainsi libérer des espaces pour des attaquants rapides comme Loïc Rémy, à la manière de ce qui se faisait avec Mamadou Niang. Sauf blessure, ces deux-là semblent incontournables. Dans un 4-4-2 ? La formule peut séduire, à l'occasion. Deschamps confirme : « Je l'ai fait sans lui, je peux le faire avec lui, j'ai plusieurs possibilités ». Aujourd'hui, l'OM peut aussi compter sur des joueurs offensifs en forme comme l'efficace Valbuena et un Amalfitano enfin à son meilleur niveau. L'un des deux pourrait se sacrifier côté gauche pour apporter le "plus" créatif attendu. Avec Morel plus haut, Lucho ou Diarra dans l'entrejeu et Mbia ou Fanni dans l'axe, Deschamps retrouve le plaisir de faire des choix. Et l'OM peut songer à redevenir compétitif lors de prochaines échéances (Rennes le 29 janvier, Lyon le 5 février) de niveau plus "européen" que celles de la semaine dernière