SCHEMA TACTIC !!!!!

Deschamps : "Battre Dortmund ne signifie pas battre Brest"6
vendredi 30 septembre 2011 à 16H33


A 48 heures de la rencontre contre Brest, pour la 9e journée de la Ligue 1, Didier Deschamps estime que le succès en Ligue des champions n'autorise rien : "Battre le champion d'Allemagne ne veut pas dire que nous l'emporterons contre Brest. Il y a toujours le risque d'une décompression après un match européen. Cette équipe a fait un bon match au Parc et méritait mieux. Elle n'a pas eu de compétition cette semaine, a plus de repos que nous. Dans les autres grands sports collectifs, les petits ne battent pas les grands. Pas en football."

la pensée de venus resumée à la marseillaise

methical
02/10/2011 à 22h00
L'argent ne fait pas tout dans le foot, aujourdhui onse fait bouffer par des martin, des belhanda, des nene..etc tout ces joueurs "techniques" on aurait pu les avoir mais DD n'en veux pas !!
DD n'est pas le genre de coach pour faire du beau Jeu..du coup on se retrouve avec une equipe coupé en deux ...des brutes derrieres et une fleche devant entre les deux rien...


Nikepsg2
02/10/2011 à 21h54 mais c'est bien de moyen qu'il sagit l'equipe manque de technique car c'est elle qui fait le jeu et la technique ca vaut cher et on en a pas les moyens je pense que y a pas a chercher ailleur

L'OM trop souvent mené au score
lundi 03 octobre 2011 à 08H02


Trop ! C'est la 5e fois cette saison en championnat, six si on cumule avec le Trophée des champions. Car l'OM était déjà en retard à Tanger, où Lille a ouvert le score par Balmont. Il a été mené contre Sochaux, après le 2 e but sochalien. Cela a encore été le cas à Lille après le premier but de Sow, puis contre Rennes au Vélodrome, enfin à Lyon et hier soir.

Quand une équipe a besoin de se rassurer, ce n'est pas en courant après le score qu'elle se met dans les meilleurs dispositions pour y arriver. A priori, l'OM n'arrive pas à se régler à ce niveau-là.

DD ON VEUT DES RESULTATS .............

16/10/2011 08:19 | TFC-OM: un vieux 0-0 des familles

Le grand étienne a compris
Pas de but et encore moins d'envolées, hier soir au Stadium, où le TFC et l'OM se sont regardés en chiens de faïence, jusqu'au 0-0 final qui leur convient si bien.

Pour la cinquième saison consécutive, le TFC n'a pas battu l'OM au Stadium en Ligue 1. Le 0-0 d'hier soir, le troisième en cinq ans, n'a donc rien d'étonnant, si ce n'est qu'il est assorti d'une avalanche de cartons jaunes (neuf en tout), avalanche qui a ramené Kaboré et Capoue un peu plus vite que leurs coéquipiers respectifs vers le vestiaire.

On marque les journées nationales de l'arbitrage comme on veut, et M. Gautier a choisi d'être particulièrement généreux, en ne laissant rien passer dans une rencontre ultra-fermée, qui a accouché de 41 fautes sanctionnées. Mais son arbitrage ne laisse pas à désirer, puisqu'il a très bien jugé deux situations de penalties, qui auraient éventuellement pu ouvrir la soirée.

Il n'en a rien été, et les deux équipes se contentent d'un point supplémentaire, après avoir si peu produit et rien transformé. C'est en première période que l'essentiel s'est produit, avec un coup franc de Cheyrou dévié de la tête sur la barre par le bouillant Abdennour, exemplaire dans ses interventions (17), et un caviar de Capoue vers Tabanou plein axe, qui déclenche une frappe dévissée au sortir d'une situation idéale (29). C'est presque tout, même si quelques ballons chauds de l'OM méritaient probablement mieux. Mais, avec aucun tir cadré sur dix côté toulousain et quatre sur douze seulement côté marseillais, on ne pouvait pas s'attendre à un feu d'artifice.

Ce n'était visiblement pas l'ambition de ces deux équipes, obnubilées à recouvrer quelques couleurs, à ne surtout pas se découvrir. L'OM a plus ou moins réussi son opération rédemption, en ne prenant pas de but et en délivrant un match costaud dans le collectif, et les Toulousains ont gommé une partie de leur non-match de Sochaux, où ils ont tutoyé le pathétique, parfois le ridicule. Dans le contexte, avec, deux fois de suite, un adversaire qui déclenche la mobilisation générale, ce n'est pas trop mal, même si ce n'est pas satisfaisant.

Il y a hélas deux bémols téfécistes dans la soirée : le carton rouge de Capoue qui lui interdit d'aller à Lorient la semaine prochaine, et la blessure d'Emmanuel Rivière, sorti à la mi-temps et boitant bas, et qui ne sera peut-être pas opérationnel non plus. Dommage, car l'Espoir toulousain n'a pas pu nous faire profiter plus longtemps de ses courses au cœur de la défense marseillaise, et c'est un doute en même temps qu'un regret, car on a l'impression qu'il y avait la place dans l'axe.

Fiche
TFC-OM : 0-0

Stadium municipal. 30082 spectateurs. Arbitrage de M. Gautier assisté de MM. Bénech et Boisdenghien. Temps additionnel: 3' (0+3).

TFC : Ahamada - Ninkov, Congré (cap), Abdennour, M'Bengue - Capoue - Braaten puis Akpa Akpro (80), Devaux, Didot puis Sirieix (81), Tabanou - Rivière puis Bulut au repos. Entr.: Alain Casanova.

Avertissements : Capoue (13, tacle jugé dangereux sur Fanni), M'Bengue (68, charge irrégulière sur A. Ayew), Braaten (accrochage sur Diawara).

Expulsion : Capoue (90, crochepied sur J. Ayew).

OM : Mandanda (cap) - Fanni, Diawara, N'Koulou, Morel - Kaboré, Cheyrou - Amalfitano, Lucho Gonzalez, A. Ayew puis Gignac (82) - Rémy. Entr.: Didier Deschamps.

Avertissements : Cheyrou (32, charge irrégulière sur Devaux), Kaboré (53, tacle en retard sur Didot), A. Ayew (76, tacle irrégulier sur Braaten), Gignac (89, contestation).

Expulsion : Kaboré (58, deuxième carton jaune, crochepied sur Braaten).


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TFC-OM 0-0. Les joueurs.
Les joueurs au crible...

Le chiffre : 0
but > pour la première fois de la saison. Après dix rencontres de championnat, c'est le premier 0-0 des Toulousains. La saison dernière ils en avaient signé 3 (à Monaco, à Lorient et contre Valenciennes). En revanche c'est le second match consécutif au cours duquel le TFC ne trouve pas le chemin des filets après le 3-0 encaissé à Sochaux lors de la journée précédente.


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Ils ont dit…
Alain Casanova : « Ce n'est pas un mauvais point en soi. Je regrette seulement que face à des équipes huppées, mes joueurs ne se lâchent pas. Qu'ils se fixent certaines limites. Qu'ils jouent petits-bras alors qu'ils peuvent, doivent et feront beaucoup mieux… Après, défensivement, nous avons été costauds car quand on voit la feuille de match de l'OM il y a quand même du matériel ! Machado en CFA 2 ? Il avait besoin de jouer. »

Didier DESCHAMPS : « Je mettrais mon anniversaire de côté (43 ans hier, ndlr), en plus j'ai la crève… Je ne vais pas dire que je me contente du nul, mais on le prend ce point - vu les circonstances. Et il faudra surtout le bonifier en s'imposant à la maison devant Ajaccio. L'OM n'a quasiment pas eu d'opportunités, le TFC non plus. On s'est montrés solides, toujours un peu fébriles. »

André Ayew : « On voulait vraiment gagner, je pense qu'on a été conquérants. On n'avance pas ? On fera les comptes à la 38e journée. »

Morgan AMALFITANO : « En première ils sont venus nous chercher, en deuxième on est sortis. Dommage. »

ce soir on a été beaucoup trop lents

bien plus lents qu'arsenal et l'entree du vif gervhino nous a perturbé
il est d'ailleurs en deviation pour le but

Marseille connaît le système
Le 28/10/2011 à 23:30 | Mis à jour le 28/10/2011 à 23:08

Depuis deux matches, l'OM joue en 4-4-2 et l'OM gagne. Serait-ce la solution miracle pour Didier Deschamps ? Réponse contre Dijon samedi (19h00).


Gignac - Ayew, le binôme de pointe de l'OM.
C'était un système qui, selon Laurent Blanc, n'avait « plus d'avenir au niveau international » . Pour son compère Didier Deschamps, le 4-4-2 a encore un intérêt ... national. Depuis deux matches en effet, l'OM a repris sa marche en avant avec deux pointes devant. De là à y voir la solution à tous les maux, il n'y a qu'un pas que l'entraîneur de l'OM ne franchit ... pas. Pour lui, cette solution s'adapte avant tout à l'adversaire : « Avec tout le respect que j'ai à la fois pour Ajaccio et Lens, je m'attendais à rencontrer des équipes qui défendent beaucoup. C'est important dans ces matches-là d'avoir une présence offensive plus importante.» Contre Ajaccio le week-end dernier (2-0), pour la première fois de la saison, Jordan Ayew et Loïc Rémy cohabitaient au front de l'attaque olympienne, devant un milieu de terrain où manquaient Alou Diarra et Lucho Gonzalez. Mardi soir, même système, avec Gignac en pointe pour laisser souffler Rémy, et Lucho qui retrouvait son siège. Bilan des deux soirées : six buts marqués, zéro encaissé, et deux fois plus d'occasions que d'habitude devant le but adverse. Forcément, cela suscite quelques questions : « Tout le monde va dire que c'est dû au nouveau système », glosait, jeudi, Rod Fanni. « C'est intéressant, ça permet une présence offensive plus importante », soulignait pour sa part Didier Deschamps après la victoire contre Lens. Dans les camps olympiens, pour l'instant, on s'en félicite : « Il y a un système qui a été mis en place et ça porte ses fruits, se félicite Stéphane Mbia, toujours absent ce week-end, au micro d' OM TV . Les personnes qui profitent de ce système ce sont les joueurs et je pense que le coach y est pour beaucoup aussi car c'est lui qui a changé cette donne. »

«Il y a un système qui a été mis en place et ça porte ses fruits.» Stéphane Mbia
Il y a aussi, dans l'histoire, ceux qui n'en profitent pas. Mises en valeur dans un 4-5-1 avec entrejeu renforcé, les sentinelles du milieu de terrain, telles Diarra, ont plus de mal à trouver leur place dans ce schéma, même si Deschamps ne les jugent pas du tout « incompatibles ». Quant à Lucho, ce 4-4-2 l'oblige forcément à jouer plus reculé, comme on a pu le voir mardi contre Lens : « Ce n'est pas la première fois qu'il joue là. Il l'a fait cette saison et l'avait également fait l'an passé à Moscou lors d'un match décisif de Ligue des champions (victoire 1-3 en Russie, ndlr) (...) C'est un registre différent dans ce système. Les deux joueurs au milieu doivent avoir une grande complémentarité et Lucho aura moins de faculté à aller dans la zone offensive ». Face à Dijon, samedi, équipe plutôt joueuse, quel choix fera donc l'entraîneur phocéen ? « Rien n'est immuable, l'important c'est de gagner

http://www.laprovence.com/video/Arsenal-OM%2B%253A%2BDeschamps%2Bveut%2B%2527%2527limiter%2Bl%2527influence%2Bde%2BVan%2BPersie%2527%2527/iLyROoaf2PX8/laprovence/sport

Arsenal-OM : Deschamps veut ''limiter l'influence de Van Persie'' 31/10/2011 à 21:26:30

Didier Deschamps le reconnaît : Robin Van Persie "fait partie des meilleurs attaquants européens". Il sait aussi que l'avant-centre d'Arsenal est particulièrement en forme, avec notamment un triplé à son actif ce week-end lors de la victoire des Gunners à Chelsea (3-5). Si l'entraîneur olympien sait qu'il sera difficile de bloquer l'attaquant néerlandais, il estime qu'un bon résultat des siens passera nécessairement par une tactique particulière autour de Van Persie...

A Marseille, Deschamps redistribue les cartes
le 08/11/2011 à 04h07 -- Mis à jour le 08/11/2011 à 11h32

Deschamps ne distribue plus machinalement les dossards aux titulaires.
FOOTBALL - Avec le nouveau schéma de jeu de Deschamps, la hiérarchie dans le groupe a changé...
Les supporters de l'OM se divisent en deux catégories : ceux qui pensent que Didier Deschamps a changé de système sous la pression populaire et ceux qui sont persuadés qu'il a fait le dos rond en attendant de retrouver ses éléments en forme. Toujours est-il que désormais, l'OM joue avec deux attaquants, et que les intouchables ne sont plus les mêmes. « Il y a une nouvelle concurrence. J'ai pas mal d'internationaux, à un moment donné, ils peuvent tous être touchés. Mais s'il faut faire des choix, je les ferai », prévient Deschamps, qui a néanmoins son équipe en tête.

En défense. La charnière N'Koulou-Diawara n'est pas faite pour être cassée de si tôt selon Deschamps: «C'est bien d'avoir cette solidité derrière parce que ça permet de bien voyager.» Sur les côtés, Morel et Azpilicueta font l'affaire dans ce schéma où il faut apporter sans cesse offensivement.

Lucho et Kaboré les grands perdants

Au milieu de terrain. Dans ce système où il faut avant tout colmater les brèches, deux éléments se détachent : Diarra et Cheyrou. Contre Nice, le premier a montré que sa montée en régime n'était pas feinte. Quant au second, l'équipe ne peut pas se passer de sa vision du jeu : il est à l'origine des deux buts. A gauche, André Ayew est indiscutable, à droite Amalfitano est devancé par Valbuena. Kaboré et Lucho apparaissent comme les grands perdants de cette redisposition tactique. Deschamps ne le cache pas, l'Argentin « vit mal la situation. Mais il se comporte en professionnel », poursuit DD, qui assure l'avoir fait rentrer milieu droit dimanche. Un poste triplé donc, alors que Sabo aspire à doubler le poste de la mobylette ghanéenne.

En attaque. «Gignac est en manque de temps de jeu, en manque de confiance, pose le coach, qui explique sa dernière titularisation. Mais à un moment donné, il faut faire un résultat.» D'où l'entrée en jeu de Jordan Ayew, nouveau titulaire aux côtés de Rémy. Gignac, en retard sur le plan athlétique, doit patienter. Jusqu'au mercato ?

Stephan : "Le 4-4-2 a rallumé la flamme"18 contributions Publié le mercredi 09 novembre 2011 à 12H24


Guy Stephan, l'entraîneur adjoint de l'OM, a expliqué ce matin, lors d'une conférence de presse donnée au centre d'entraînement Robert-Louis Dreyfus, les raisons du passage de l'équipe en 4-4-2 : "Didier y pensait depuis longtemps, affirme Guy Stephan. Pour mettre en place ce système, il faut réunir tous les ingrédients. Nous avions besoin de deux attaquants centraux en pleine possession de leurs moyens. Ce n'était pas le cas précédemment avec Gignac, non rétabli, Jordan n'était pas au top."

"Nous avions observé encore que l'équipe ronronnait, ne faisait pas mal à l'adversaire, manquait de cohérence. Quand nous avons changé de système, le bon moment était venu. Cela a été effectué contre des équipes de la deuxième moitié du championnat. Une flamme s'est rallumée. Mais le 4-4-2 n'est pas la panacée. Si c'était le cas, si cela permettait de gagner tous les matches. toutes les équipes évolueraient ainsi

DU CÔTÉ DE L’OM
Deschamps a
l’embarras du choix

4-4-2 ou 4-2-3-1 : il n’y a que peu de différence entre les deux
systèmes, mais le schéma que privilégiera Didier Deschamps ce
soir dépend avant tout des hommes qu’il désignera dans son onze
de départ. La fracture de Fanni, la semaine perturbée de Traoré, le
rendement de la paire Diawara - Nkoulou ne laisse aucun doute
sur la défense.
Un cran plus haut, l’entraîneur olympien devrait attendre avant
de titulariser Mbia, même si la puissance physique du Camerounais,
son impact dans les duels, ne seraient pas de trop pour rivaliser
avec l’engagement montpelliérain. N’étant plus en odeur de
sainteté et ses relations avec Deschamps s’étant progressivement
ternies, Lucho restera sur le banc, du moins au coup d’envoi.
Ensuite, toutes les interprétations sont possibles. Si Deschamps
privilégie deux pointes, il placera Valbuena et André Ayew sur les
côtés. S’il opte pour un trident en soutien d’une pointe, il replacera
Valbuena dans l’axe, ce qui pourrait dès lors profiter, sur le couloir
droit, à Amalfitano toujours très intéressant dans les rencontres
où l’engagement est inscrit au rendez-vous

Vidéo - Mandanda : "OM-Olympiakos, un match capital"
mercredi 23 novembre 2011 à 08H51

http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/video-mandanda-om-olympiakos-un-match-capital

Présent en point presse à la veille d'affronter Olympiakos, Steve Mandanda est revenu sur l'importance de cette rencontre.

"Le groupe a digéré cette défaite à Montpellier. On est passé au rendez-vous capital qui nous attend ce soir contre l'Olympiakos, assure le capitaine de l'OM. En gagnant, on pourrait se qualifier pour les 8es de finale. C'est un match déterminant, on est vraiment concentrés sur cette rencontre et on ne pense pas au PSG. C'est un match de coupe d'Europe donc il faudra élever notre niveau dans tous les domaines. Le plus important est de ne pas perdre".

C’est pas
gagné...


La défaite des Olympiens (1-0), hier, face à Olympiakos, les oblige
à battre Dortmund, le 6 décembre, pour être sûrs d’accéder aux
8ede finale de la Ligue des champions