PRESIDENTIELLES 2012
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domenico belli
aladin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Tommy Allez l'O.M a écrit:Je pense à première vue qu'il faut un changement mais bon..
j'ai pas besoin de te faire un dessin
c'est mon opinion aussi
tu as vu que j'avais cree des actualités indignées
ca se passe d'explications
moi je mettrais tout le systeme plié completement
en sortant l'integralité des elus actuels et en refondant notre constitution
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
tiens tommy pour te faire une idee
ce qu'on trouve sur la toile
sans f vraiment le chercher
ce qu'on trouve sur la toile
sans f vraiment le chercher
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
ENFIN UN PROGRAMME ..IL ETAIT TEMPS
AU BOUT DE 4 ANS ET 9 MOIS
jeudi 5 janvier 2012 17:02
Sarkozy esquisse son programme
de candidat en matière d'éducation
AU BOUT DE 4 ANS ET 9 MOIS
jeudi 5 janvier 2012 17:02
Sarkozy esquisse son programme
de candidat en matière d'éducation
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
STP Baisse tes mains tu ne t'adresses pas à des gosses de maternelle ..................
aladin a écrit:ENFIN UN PROGRAMME ..IL ETAIT TEMPS
AU BOUT DE 4 ANS ET 9 MOIS
jeudi 5 janvier 2012 17:02
Sarkozy esquisse son programme
de candidat en matière d'éducation
aladin- Messages : 115038
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bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Carla Bruni Sarkozy, mise en cause par l'hebdomadaire Marianne, affirme que sa fondation n'a "jamais reçu d'argent public".Publié le samedi 07 janvier 2012 à 08h16
. Carla Bruni-Sarkozy a réfuté sa mise en cause par l'hebdomadaire Marianne, en affirmant, vendredi sur son site internet, que sa fondation philanthropique n'avait "jamais reçu d'argent public".
"Aucun argent public n?a jamais été reçu par la Fondation", écrit l'épouse du président Nicolas Sarkozy, dans un message posté à la une de son site, sous le titre "droit de réponse de Carla Bruni-Sarkozy".
Selon elle, "l?insinuation selon laquelle des fonds auraient été levés auprès de partenaires publics est entièrement infondée".
Dans un article intitulé "Enquête sur la philanthrope Carla Bruni-Sarkozy", l'hebdomadaire daté du 7 au 13 janvier affirme notamment que, "au mépris des procédures normales", le Fonds mondial contre le Sida a versé 3,5 millions de dollars (2,7 millions d'euros) "en faveur des activités philanthropiques de Carla Bruni-Sarkozy et de plusieurs agences appartenant à l'un de ses amis proches".
"Contrairement aux affirmations avancées par le journaliste" auteur de l'article, "la Fondation a bel et bien une comptabilité propre, consolidée in fine à la Fondation de France, comme près de 700 fondations en France dont la probité et la légitimité ne sont pas remises en question".
"Elle occupe des bureaux dont elle est locataire. Son Comité Exécutif, constitué d?administrateurs qualifiés, se réunit deux fois par an. Il examine les comptes de la Fondation de façon bi-annuelle et décide de son budget, de sa stratégie d?intervention, des affectations des donations ainsi que de la bonne mise en oeuvre des projets", poursuit-elle.
Mme Bruni-Sarkozy précise que les actions de sa fondation "sont effectivement menées dans leur quasi-totalité par les partenaires opérationnels de la Fondation, mais ceci n?est en rien un symptôme d?inaction puisque c?est le propre d?une fondation de redistribution".
"L?engagement financier du ministère de la Culture auprès de la Fondation via le CNL lors de ma visite au Salon du livre n?a jamais existé. C?est en réalité la Fondation qui ce jour-là a apporté une contribution sous forme de livres pour soutenir la prévention de l?illettrisme auprès des jeunes enfants", précise-t-elle.
Mme Bruni-Sarkozy affirme également que "les actions de la Fondation n?ont pas été menées dans 900 lycées" comme il est écrit dans l'article, "mais auprès de 900 lycéens qui ont pu bénéficier d?un programme de tutorat. 170 bourses d?études supérieures ont à ce jour été accordées à des élèves participant à ce programme".
"En matière de lutte contre l?illettrisme, il est vrai que d?autres fondations ont un bilan plus impressionnant que le nôtre. Mais nous ne pouvons prétendre avoir les mêmes résultats et avoir abattu la même quantité de travail en deux ans que ce que d?autres ont fait en dix ou vingt ans".
Elle indique en outre que sa fondation accompagne "800 familles" et a, "dans les dix-huit derniers mois, déboursé environ 800.000 euros d?aide aux associations de lutte contre l?illettrisme".
De son côté, le Fonds mondial contre le Sida a également jugé vendredi "inexact et trompeur" l'article de Marianne.
. Carla Bruni-Sarkozy a réfuté sa mise en cause par l'hebdomadaire Marianne, en affirmant, vendredi sur son site internet, que sa fondation philanthropique n'avait "jamais reçu d'argent public".
"Aucun argent public n?a jamais été reçu par la Fondation", écrit l'épouse du président Nicolas Sarkozy, dans un message posté à la une de son site, sous le titre "droit de réponse de Carla Bruni-Sarkozy".
Selon elle, "l?insinuation selon laquelle des fonds auraient été levés auprès de partenaires publics est entièrement infondée".
Dans un article intitulé "Enquête sur la philanthrope Carla Bruni-Sarkozy", l'hebdomadaire daté du 7 au 13 janvier affirme notamment que, "au mépris des procédures normales", le Fonds mondial contre le Sida a versé 3,5 millions de dollars (2,7 millions d'euros) "en faveur des activités philanthropiques de Carla Bruni-Sarkozy et de plusieurs agences appartenant à l'un de ses amis proches".
"Contrairement aux affirmations avancées par le journaliste" auteur de l'article, "la Fondation a bel et bien une comptabilité propre, consolidée in fine à la Fondation de France, comme près de 700 fondations en France dont la probité et la légitimité ne sont pas remises en question".
"Elle occupe des bureaux dont elle est locataire. Son Comité Exécutif, constitué d?administrateurs qualifiés, se réunit deux fois par an. Il examine les comptes de la Fondation de façon bi-annuelle et décide de son budget, de sa stratégie d?intervention, des affectations des donations ainsi que de la bonne mise en oeuvre des projets", poursuit-elle.
Mme Bruni-Sarkozy précise que les actions de sa fondation "sont effectivement menées dans leur quasi-totalité par les partenaires opérationnels de la Fondation, mais ceci n?est en rien un symptôme d?inaction puisque c?est le propre d?une fondation de redistribution".
"L?engagement financier du ministère de la Culture auprès de la Fondation via le CNL lors de ma visite au Salon du livre n?a jamais existé. C?est en réalité la Fondation qui ce jour-là a apporté une contribution sous forme de livres pour soutenir la prévention de l?illettrisme auprès des jeunes enfants", précise-t-elle.
Mme Bruni-Sarkozy affirme également que "les actions de la Fondation n?ont pas été menées dans 900 lycées" comme il est écrit dans l'article, "mais auprès de 900 lycéens qui ont pu bénéficier d?un programme de tutorat. 170 bourses d?études supérieures ont à ce jour été accordées à des élèves participant à ce programme".
"En matière de lutte contre l?illettrisme, il est vrai que d?autres fondations ont un bilan plus impressionnant que le nôtre. Mais nous ne pouvons prétendre avoir les mêmes résultats et avoir abattu la même quantité de travail en deux ans que ce que d?autres ont fait en dix ou vingt ans".
Elle indique en outre que sa fondation accompagne "800 familles" et a, "dans les dix-huit derniers mois, déboursé environ 800.000 euros d?aide aux associations de lutte contre l?illettrisme".
De son côté, le Fonds mondial contre le Sida a également jugé vendredi "inexact et trompeur" l'article de Marianne.
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
F Hollande Qui va mieux en France?", s'est-il interrogé....PAS MOI EN TOUT CAS
"Le quinquennat de Nicos Sarkoz devait être le quinquennat de la rupture, c'est le quinquennat de la dette!", a lancé M. Hollande, ironisant sur "le candidat sortant pris d'une sorte de frénésie, d'une fuite en avant" ces derniers jours.
"Notre devoir aujourd'hui n'est pas simplement de tourner la page
d'un quinquennat qui a épuisé la France, qui l'a abîmée, qui l'a abaissée,
notre responsabilité, la mienne, est d'écrire une nouvelle page", a-t-il conclu
"Le quinquennat de Nicos Sarkoz devait être le quinquennat de la rupture, c'est le quinquennat de la dette!", a lancé M. Hollande, ironisant sur "le candidat sortant pris d'une sorte de frénésie, d'une fuite en avant" ces derniers jours.
"Notre devoir aujourd'hui n'est pas simplement de tourner la page
d'un quinquennat qui a épuisé la France, qui l'a abîmée, qui l'a abaissée,
notre responsabilité, la mienne, est d'écrire une nouvelle page", a-t-il conclu
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
>http://www.rue89.com/rue89-presidentielle/2012/01/06/taxe-tobin-quand-sarkozy-fustigeait-une-absurdite-228122<
Taxe Tobin : quand Sarkozy fustigeait « une absurdité »
En 1999, le président du RPR n'était pas du tout pour cette taxe sur les transactions financières. Aujourd'hui Président tout court, il envisage de la mettre en place.
Drôle de sort que celui qu'a connu depuis vingt ans la taxe Tobin, cette taxe sur les transactions financières imaginée par un économiste américain. Aujourd'hui, l'Elysée se déclare prête à l'introduire en France sans attendre les autres pays européens :
« On n'attendra pas les Allemands trop longtemps. On est décidés à y aller seuls s'il faut. »
Il y a treize ans pourtant, en juin 1999, Nicolas Sarkozy, maire de Neuilly et président par intérim du RPR, fustigeait la même taxe Tobin comme le mal absolu. Sur France 2, il traitait Robert Hue, qui défendait la taxe, de « dernier communiste en direct de “Jurassic Park” ». Il déclarait :
« L'affaire de la taxe Tobin est une absurdité [...]. Si nous le faisons en France, on va encore le payer de dizaines de milliers de chômeurs supplémentaires.
Ce que vous ne comprenez pas, c'est que le monde a changé, le monde est devenu un village. A chaque fois que nous pénalisons la création de richesse sur notre territoire, nous favorisons la création de richesse chez les autres [...]. Réveillez-vous, le monde a changé ! »
Juin 1999, Robert Hue et Nicolas Sarkozy bataillent sur la taxe Tobin
Au départ, une mesure « technique »
Le Nobel d'économie James Tobin ne s'attendait pas à ce que son nom connaisse une telle renommée grâce à l'une de ses idées, probablement pas celle à laquelle il tenait le plus.
Il ne se doutait pas non plus que son idée serait tour à tour portée aux nues par l'extrême gauche, la gauche puis la droite sarkozienne.
C'est une idée qu'il avait formulée au début des années 70, juste après l'explosion du système monétaire mondial de Bretton Woods. La spéculation, comparée à celle que l'on connaît aujourd'hui, était encore de la roupie de sansonnet.
La taxe qu'il avait imaginée ne visait ni à frapper au portefeuille les affreux spéculateurs, ni à nourrir le tiers-monde, mais plus simplement à réduire les fluctuations des taux de change. Il s'agissait simplement, disait-il, de « jeter du sable dans les rouages » de la finance au moyen d'une taxe très minime (de l'ordre de 0,1%) sur les échanges à court terme.
Tobin n'était pas un révolutionnaire : ancien conseiller économique de J.F. Kennedy, c'était un keynésien bon teint, favorable à l'économie de marché et au libre échange.
Aussi, le retraité Tobin n'a pas apprécié de voir son idée devenir la mascotte du mouvement altermondialiste à la fin des années 90. Pendant l'été 2001, il avait donné quelques interviews pour s'en plaindre. « Ma taxe n'est nullement dirigée contre la mondialisation », avait-il déclaré en juillet à la radio italienne Radio Popolare. « Mon nom a été détourné », poursuivait-il dans Der Spiegel en septembre :
« Je n'ai absolument rien de commun avec ces rebelles antimondialisation [...], je suis un économiste, et comme tous les économistes, je suis pour le libre-échange. Mieux, je soutiens le FMI, la Banque mondiale et l'OMC ! Ils ont détourné mon nom ! »
Tobin est mort un an plus tard.
Attac attaque, Chirac calque
C'est le mouvement français Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne) qui a remis au goût du jour la taxe Tobin en 1998, un an avant la joute télévisée Hue-Sarkozy. Elle est présentée alors comme une taxe « Robin des bois » : prenons aux riches spéculateurs pour donner aux pays pauvres.
A l'époque, la droite et le centre gauche se pinçaient le nez à l'idée d'une telle taxe. Entre autres critiques, ladite taxe était présentée comme irréaliste car impossible à mettre en œuvre dans un seul pays ou un seul groupe de pays.
En 2001, l'Assemblée nationale française – dont la majorité était à gauche – a voté un amendement pour soutenir l'instauration de la taxe, mais le Sénat l'a bloqué.
Quatre ans plus tard, Jacques Chirac a créé la surprise à Davos en défendant une telle taxe visant à rendre le monde plus solidaire. Mais finalement, il l'a transformée à sa manière, en proposant un prélèvement sur les billets d'avion. Pas grand chose à voir donc.
La crise des subprimes ressuscite le débat
La taxe est revenue sur le devant de la scène à la faveur de la crise financière qui secoue la planète depuis 2008. Ceux qui jugeaient farfelu de vouloir « jeter du sable dans les rouages » de la finance rasent les murs.
Mais d'autres, comme Nicolas Sarkozy et quelques leaders européens ont changé de position. La taxe Tobin n'est plus une « absurdité » puisqu'elle a été inscrite à l'ordre du jour du G20 de Cannes.
Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne y restant très peu favorables, Paris a donc décidé de la faire avancer au sein de la zone euro. Les voisins européens traînant des pieds (à commencer par l'Allemagne), la France jure maintenant de se lancer seule, espérant ouvrir la voie pour les autres.
La girouette en mouvement ...
Taxe Tobin : quand Sarkozy fustigeait « une absurdité »
En 1999, le président du RPR n'était pas du tout pour cette taxe sur les transactions financières. Aujourd'hui Président tout court, il envisage de la mettre en place.
Drôle de sort que celui qu'a connu depuis vingt ans la taxe Tobin, cette taxe sur les transactions financières imaginée par un économiste américain. Aujourd'hui, l'Elysée se déclare prête à l'introduire en France sans attendre les autres pays européens :
« On n'attendra pas les Allemands trop longtemps. On est décidés à y aller seuls s'il faut. »
Il y a treize ans pourtant, en juin 1999, Nicolas Sarkozy, maire de Neuilly et président par intérim du RPR, fustigeait la même taxe Tobin comme le mal absolu. Sur France 2, il traitait Robert Hue, qui défendait la taxe, de « dernier communiste en direct de “Jurassic Park” ». Il déclarait :
« L'affaire de la taxe Tobin est une absurdité [...]. Si nous le faisons en France, on va encore le payer de dizaines de milliers de chômeurs supplémentaires.
Ce que vous ne comprenez pas, c'est que le monde a changé, le monde est devenu un village. A chaque fois que nous pénalisons la création de richesse sur notre territoire, nous favorisons la création de richesse chez les autres [...]. Réveillez-vous, le monde a changé ! »
Juin 1999, Robert Hue et Nicolas Sarkozy bataillent sur la taxe Tobin
Au départ, une mesure « technique »
Le Nobel d'économie James Tobin ne s'attendait pas à ce que son nom connaisse une telle renommée grâce à l'une de ses idées, probablement pas celle à laquelle il tenait le plus.
Il ne se doutait pas non plus que son idée serait tour à tour portée aux nues par l'extrême gauche, la gauche puis la droite sarkozienne.
C'est une idée qu'il avait formulée au début des années 70, juste après l'explosion du système monétaire mondial de Bretton Woods. La spéculation, comparée à celle que l'on connaît aujourd'hui, était encore de la roupie de sansonnet.
La taxe qu'il avait imaginée ne visait ni à frapper au portefeuille les affreux spéculateurs, ni à nourrir le tiers-monde, mais plus simplement à réduire les fluctuations des taux de change. Il s'agissait simplement, disait-il, de « jeter du sable dans les rouages » de la finance au moyen d'une taxe très minime (de l'ordre de 0,1%) sur les échanges à court terme.
Tobin n'était pas un révolutionnaire : ancien conseiller économique de J.F. Kennedy, c'était un keynésien bon teint, favorable à l'économie de marché et au libre échange.
Aussi, le retraité Tobin n'a pas apprécié de voir son idée devenir la mascotte du mouvement altermondialiste à la fin des années 90. Pendant l'été 2001, il avait donné quelques interviews pour s'en plaindre. « Ma taxe n'est nullement dirigée contre la mondialisation », avait-il déclaré en juillet à la radio italienne Radio Popolare. « Mon nom a été détourné », poursuivait-il dans Der Spiegel en septembre :
« Je n'ai absolument rien de commun avec ces rebelles antimondialisation [...], je suis un économiste, et comme tous les économistes, je suis pour le libre-échange. Mieux, je soutiens le FMI, la Banque mondiale et l'OMC ! Ils ont détourné mon nom ! »
Tobin est mort un an plus tard.
Attac attaque, Chirac calque
C'est le mouvement français Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne) qui a remis au goût du jour la taxe Tobin en 1998, un an avant la joute télévisée Hue-Sarkozy. Elle est présentée alors comme une taxe « Robin des bois » : prenons aux riches spéculateurs pour donner aux pays pauvres.
A l'époque, la droite et le centre gauche se pinçaient le nez à l'idée d'une telle taxe. Entre autres critiques, ladite taxe était présentée comme irréaliste car impossible à mettre en œuvre dans un seul pays ou un seul groupe de pays.
En 2001, l'Assemblée nationale française – dont la majorité était à gauche – a voté un amendement pour soutenir l'instauration de la taxe, mais le Sénat l'a bloqué.
Quatre ans plus tard, Jacques Chirac a créé la surprise à Davos en défendant une telle taxe visant à rendre le monde plus solidaire. Mais finalement, il l'a transformée à sa manière, en proposant un prélèvement sur les billets d'avion. Pas grand chose à voir donc.
La crise des subprimes ressuscite le débat
La taxe est revenue sur le devant de la scène à la faveur de la crise financière qui secoue la planète depuis 2008. Ceux qui jugeaient farfelu de vouloir « jeter du sable dans les rouages » de la finance rasent les murs.
Mais d'autres, comme Nicolas Sarkozy et quelques leaders européens ont changé de position. La taxe Tobin n'est plus une « absurdité » puisqu'elle a été inscrite à l'ordre du jour du G20 de Cannes.
Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne y restant très peu favorables, Paris a donc décidé de la faire avancer au sein de la zone euro. Les voisins européens traînant des pieds (à commencer par l'Allemagne), la France jure maintenant de se lancer seule, espérant ouvrir la voie pour les autres.
La girouette en mouvement ...
domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
domenico belli a écrit:>http://www.rue89.com/rue89-presidentielle/2012/01/06/taxe-tobin-quand-sarkozy-fustigeait-une-absurdite-228122<
Taxe Tobin : quand Sarkozy fustigeait « une absurdité »
En 1999, le président du RPR n'était pas du tout pour cette taxe sur les transactions financières. Aujourd'hui Président tout court, il envisage de la mettre en place.
Drôle de sort que celui qu'a connu depuis vingt ans la taxe Tobin, cette taxe sur les transactions financières imaginée par un économiste américain. Aujourd'hui, l'Elysée se déclare prête à l'introduire en France sans attendre les autres pays européens :
« On n'attendra pas les Allemands trop longtemps. On est décidés à y aller seuls s'il faut. »
Il y a treize ans pourtant, en juin 1999, Nicolas Sarkozy, maire de Neuilly et président par intérim du RPR, fustigeait la même taxe Tobin comme le mal absolu. Sur France 2, il traitait Robert Hue, qui défendait la taxe, de « dernier communiste en direct de “Jurassic Park” ». Il déclarait :
« L'affaire de la taxe Tobin est une absurdité [...]. Si nous le faisons en France, on va encore le payer de dizaines de milliers de chômeurs supplémentaires.
Ce que vous ne comprenez pas, c'est que le monde a changé, le monde est devenu un village. A chaque fois que nous pénalisons la création de richesse sur notre territoire, nous favorisons la création de richesse chez les autres [...]. Réveillez-vous, le monde a changé ! »
Juin 1999, Robert Hue et Nicolas Sarkozy bataillent sur la taxe Tobin
Au départ, une mesure « technique »
Le Nobel d'économie James Tobin ne s'attendait pas à ce que son nom connaisse une telle renommée grâce à l'une de ses idées, probablement pas celle à laquelle il tenait le plus.
Il ne se doutait pas non plus que son idée serait tour à tour portée aux nues par l'extrême gauche, la gauche puis la droite sarkozienne.
C'est une idée qu'il avait formulée au début des années 70, juste après l'explosion du système monétaire mondial de Bretton Woods. La spéculation, comparée à celle que l'on connaît aujourd'hui, était encore de la roupie de sansonnet.
La taxe qu'il avait imaginée ne visait ni à frapper au portefeuille les affreux spéculateurs, ni à nourrir le tiers-monde, mais plus simplement à réduire les fluctuations des taux de change. Il s'agissait simplement, disait-il, de « jeter du sable dans les rouages » de la finance au moyen d'une taxe très minime (de l'ordre de 0,1%) sur les échanges à court terme.
Tobin n'était pas un révolutionnaire : ancien conseiller économique de J.F. Kennedy, c'était un keynésien bon teint, favorable à l'économie de marché et au libre échange.
Aussi, le retraité Tobin n'a pas apprécié de voir son idée devenir la mascotte du mouvement altermondialiste à la fin des années 90. Pendant l'été 2001, il avait donné quelques interviews pour s'en plaindre. « Ma taxe n'est nullement dirigée contre la mondialisation », avait-il déclaré en juillet à la radio italienne Radio Popolare. « Mon nom a été détourné », poursuivait-il dans Der Spiegel en septembre :
« Je n'ai absolument rien de commun avec ces rebelles antimondialisation [...], je suis un économiste, et comme tous les économistes, je suis pour le libre-échange. Mieux, je soutiens le FMI, la Banque mondiale et l'OMC ! Ils ont détourné mon nom ! »
Tobin est mort un an plus tard.
Attac attaque, Chirac calque
C'est le mouvement français Attac (Association pour la taxation des transactions financières et pour l'action citoyenne) qui a remis au goût du jour la taxe Tobin en 1998, un an avant la joute télévisée Hue-Sarkozy. Elle est présentée alors comme une taxe « Robin des bois » : prenons aux riches spéculateurs pour donner aux pays pauvres.
A l'époque, la droite et le centre gauche se pinçaient le nez à l'idée d'une telle taxe. Entre autres critiques, ladite taxe était présentée comme irréaliste car impossible à mettre en œuvre dans un seul pays ou un seul groupe de pays.
En 2001, l'Assemblée nationale française – dont la majorité était à gauche – a voté un amendement pour soutenir l'instauration de la taxe, mais le Sénat l'a bloqué.
Quatre ans plus tard, Jacques Chirac a créé la surprise à Davos en défendant une telle taxe visant à rendre le monde plus solidaire. Mais finalement, il l'a transformée à sa manière, en proposant un prélèvement sur les billets d'avion. Pas grand chose à voir donc.
La crise des subprimes ressuscite le débat
La taxe est revenue sur le devant de la scène à la faveur de la crise financière qui secoue la planète depuis 2008. Ceux qui jugeaient farfelu de vouloir « jeter du sable dans les rouages » de la finance rasent les murs.
Mais d'autres, comme Nicolas Sarkozy et quelques leaders européens ont changé de position. La taxe Tobin n'est plus une « absurdité » puisqu'elle a été inscrite à l'ordre du jour du G20 de Cannes.
Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne y restant très peu favorables, Paris a donc décidé de la faire avancer au sein de la zone euro. Les voisins européens traînant des pieds (à commencer par l'Allemagne), la France jure maintenant de se lancer seule, espérant ouvrir la voie pour les autres.
La girouette en mouvement ...
IL NOUS FATIGUE
MAIS IL EST A L 'IMAGE DE SES CON...CITOYENS FRANCAIS QUI LE FONT REMONTER DANS LES SONDAGES
LA FRANCE LE PAYS DES GIROUETTES
PAS BESOIN DE CENTRALES NUCLEAIRES
TOUTES CES GIROUETTES AVEC LEUR PET EN MOUVEMENT
POURRAIENT PRODUIRE TELLEMENT D" ELECTRICITE...............
que ca nous eviterait de manger du BON poisson de l'atlantique qui a trainé la dedans
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
FRANCE 2
Lacourseàl’Elysée est lancée La présidentielle est définitivement
lancée sur France 2.
Alors que la minute du Chat de
Philippe Geluck, sur les écrans
depuis septembre, peinait à
convaincre les téléspectateurs,
la chaîne inaugure un nouveau
programme court avant le journal
de David Pujadas.
Les élections revisitées
Des images en noir et blanc,
un Julian Bugier incrusté dans
ces archives et des documents
rafraîchissants : voilà pour lecadre.
"On avait envie de revisiter
notre patrimoine", explique
Thierry Thuillier, le directeur
de l’information de France Télévisions.
Les arrivées au pouvoir
des présidents de la Ve République,
l’exercice des serrages de
main avec l’inoubliable gifle de
Bayrou en 2002, les premières
images de De Gaulle à la télévision,
les dribbles de Jospin au
Parc des Princes, les skis de
VGE et la planche à voile de
Jean-Marie Le Pen : Élysée
moi revient sur des moments
marquants et parfois oubliés de
la politique française. "60% de
ces images, je ne les connaissais
pas, avoue le jeune -30 ans- joker
de Pujadas. J’ai revunotamment
la campagne de 95 de
Chirac avec les pommes. C’est
quand même très baroque".
Avec une écriture légère et des
thèmes variés, le programme
-d’une duréede deux minutes–
se veut instructif. "On espère
que c’est un bon moyen pour intéresser
les téléspectateurs à la
politique. C’est un pari"», reconnaît
Thierry Thuillier.
Un nouveau programme
en avril
Dès le lancement de la campagne
officielle le 9 avril, Élysée
moi cédera sa place à un nouveau
programme court qui
aura pour mission de booster
l’audience d’un journal télévisé
qui souffre -à son lancement à
19h58- depuis l’arrêt d’Un gars
une fille. "S’il y avait de nouveau
un tel programme, on
aurait plus de téléspectateurs
au démarrage du JT", avoue David
Pujadas. "On s’en tire très
bien, mais on n’a pas un super-
environnement", avoue
ThierryThuillier qui n’est guère
favorable au retour de la minute
du Chat, "pas exclue" pourtant
par la direction. "Le 19/20
de France 3 progresse grâce aux
jeux et Plus belle la vie. C’est le
cas également de M6 et Canal +,
a j o u t e l e d i r e c t e u r d e
l’information de France Télévisions.
Il doit y avoir, sur France
2, une refonte de l’access avec
un programme de 5 à 7 minutes."
Romain Schué
(Agence de presse GHM)
Élisez-moi, du lundi au vendredi à 19h55
sur France 2
Lacourseàl’Elysée est lancée La présidentielle est définitivement
lancée sur France 2.
Alors que la minute du Chat de
Philippe Geluck, sur les écrans
depuis septembre, peinait à
convaincre les téléspectateurs,
la chaîne inaugure un nouveau
programme court avant le journal
de David Pujadas.
Les élections revisitées
Des images en noir et blanc,
un Julian Bugier incrusté dans
ces archives et des documents
rafraîchissants : voilà pour lecadre.
"On avait envie de revisiter
notre patrimoine", explique
Thierry Thuillier, le directeur
de l’information de France Télévisions.
Les arrivées au pouvoir
des présidents de la Ve République,
l’exercice des serrages de
main avec l’inoubliable gifle de
Bayrou en 2002, les premières
images de De Gaulle à la télévision,
les dribbles de Jospin au
Parc des Princes, les skis de
VGE et la planche à voile de
Jean-Marie Le Pen : Élysée
moi revient sur des moments
marquants et parfois oubliés de
la politique française. "60% de
ces images, je ne les connaissais
pas, avoue le jeune -30 ans- joker
de Pujadas. J’ai revunotamment
la campagne de 95 de
Chirac avec les pommes. C’est
quand même très baroque".
Avec une écriture légère et des
thèmes variés, le programme
-d’une duréede deux minutes–
se veut instructif. "On espère
que c’est un bon moyen pour intéresser
les téléspectateurs à la
politique. C’est un pari"», reconnaît
Thierry Thuillier.
Un nouveau programme
en avril
Dès le lancement de la campagne
officielle le 9 avril, Élysée
moi cédera sa place à un nouveau
programme court qui
aura pour mission de booster
l’audience d’un journal télévisé
qui souffre -à son lancement à
19h58- depuis l’arrêt d’Un gars
une fille. "S’il y avait de nouveau
un tel programme, on
aurait plus de téléspectateurs
au démarrage du JT", avoue David
Pujadas. "On s’en tire très
bien, mais on n’a pas un super-
environnement", avoue
ThierryThuillier qui n’est guère
favorable au retour de la minute
du Chat, "pas exclue" pourtant
par la direction. "Le 19/20
de France 3 progresse grâce aux
jeux et Plus belle la vie. C’est le
cas également de M6 et Canal +,
a j o u t e l e d i r e c t e u r d e
l’information de France Télévisions.
Il doit y avoir, sur France
2, une refonte de l’access avec
un programme de 5 à 7 minutes."
Romain Schué
(Agence de presse GHM)
Élisez-moi, du lundi au vendredi à 19h55
sur France 2
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
"Cette familleducentre qui s'était
séparéeest en train de se regrouper
et ceci est inéluctable (...)" François Bayrou saluant le ralliement à sa candidature
de Philippe Douste-Blazy, co-fondateur de l’UMP
séparéeest en train de se regrouper
et ceci est inéluctable (...)" François Bayrou saluant le ralliement à sa candidature
de Philippe Douste-Blazy, co-fondateur de l’UMP
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
ANGELA ET MOI C'est la rupture
Nicos Sarkoz arrive le 9 janvier 2012 à Berlin pour rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel
Crise : Sarkozy et Merkel affichent leur entente sauf sur la taxe Tobin
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont efforcés d'afficher leur entente lundi dans la crise financière, en particulier sur le maintien de la Grèce dans l'euro, malgré des désaccords persistants sur les modalités d'introduction d'une taxe sur les transactions financières.
Celle-ci a poliment jugé que l'annonce française était "une bonne initiative", mais a répété que "côté allemand, le but (était) d'avoir une déclaration d'intention des ministres des Finances (de l'Union européenne) d'ici début mars".
L'objectif est plus qu'optimiste, en raison de l'opposition farouche de la Grande-Bretagne qui souhaite préserver les intérêts de la place financière de Londres.
Mme Merkel a ajouté que "personnellement", elle pouvait "imaginer une telle taxe au niveau de la zone euro" seule, tout en précisant que cette option n'était pas soutenue par l'ensemble de son gouvernement.
Le parti conservateur CDU d'Angela Merkel est associé pour gouverner à la petite formation bavaroise CSU et au parti libéral en pleine débâcle FDP, qui tous deux craignent une désertion de la place financière de Francfort au profit de la City de Londres.
Pour le reste, le couple "Merkozy" a affiché son accord sur la marche à suivre pour tenter d'endiguer une crise de la zone euro toujours plus aigüe, malgré une divergence de ton lorsqu'il s'agit de hiérarchiser efforts de discipline et efforts de croissance.
Relancer l'emploi et la croissance est "la priorité" selon M. Sarkozy, tandis que Mme Merkel préfère parler plus prudemment de "deuxième pilier", au côté de la discipline budgétaire chère à son pays.
Les deux dirigeants ont évoqué en termes vagues des initiatives pour l'emploi, inspirées de réformes menées dans certains pays et qui seront déterminées à l'issue d'une "étude" comparative.
La France et l'Allemagne souhaitent que l'accord européen renforçant la discipline budgétaire, sur lequel 26 des 27 pays de l'UE se sont engagés début décembre, soit signé "pour le 1er mars" a déclaré le président français.
"L'urgence réside moins dans la nécessité de se doter de nouvelles règles, que dans la volonté de convaincre les marchés de l'unité et de la conviction" des Européens, a analysé Christian Schulz, économiste de la Berenberg Bank.
Les deux dirigeants sont par ailleurs d'accord pour réfléchir aux moyens "d'accélérer le versement du capital" du futur mécanisme de secours européen (MES), qui doit être opérationnel dès cette année, face à une situation qualifiée par le président français de "très tendue".
La zone euro est écartelée, avec d'un côté les pays "périphériques", déjà sous perfusion comme la Grèce ou objet de toutes les inquiétudes comme l'Italie, et de l'autre les pays réputés stables et vertueux comme l'Allemagne.
Berlin a pour la première fois de son histoire émis lundi un emprunt à taux négatif: les investisseurs sont prêts à perdre de l'argent pourvu qu'ils puissent le placer dans les coffres allemands jugés plus sûrs.
Mme Merkel et M. Sarkozy ont aussi réitéré leur volonté de maintenir la Grèce dans la zone euro, à condition que le pays mette en oeuvre les réformes promises.
La chancelière a jugé "nécessaire" une restructuration de la dette grecque, qui doit lui permettre d'effacer 50% de son ardoise auprès des créanciers privés, mais a tenu à rassurer les marchés en affirmant que cette procédure resterait "une exception".
Selon la presse allemande, le Fonds monétaire international, l'un des bailleurs du pays, doute de plus en plus de la capacité d'Athènes à redresser la situation malgré cette restructuration et l'aide internationale qui afflue depuis mai 2010.
Sa directrice générale Christine Lagarde est attendue mardi à Berlin.
Nicos Sarkoz arrive le 9 janvier 2012 à Berlin pour rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel
Crise : Sarkozy et Merkel affichent leur entente sauf sur la taxe Tobin
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont efforcés d'afficher leur entente lundi dans la crise financière, en particulier sur le maintien de la Grèce dans l'euro, malgré des désaccords persistants sur les modalités d'introduction d'une taxe sur les transactions financières.
Celle-ci a poliment jugé que l'annonce française était "une bonne initiative", mais a répété que "côté allemand, le but (était) d'avoir une déclaration d'intention des ministres des Finances (de l'Union européenne) d'ici début mars".
L'objectif est plus qu'optimiste, en raison de l'opposition farouche de la Grande-Bretagne qui souhaite préserver les intérêts de la place financière de Londres.
Mme Merkel a ajouté que "personnellement", elle pouvait "imaginer une telle taxe au niveau de la zone euro" seule, tout en précisant que cette option n'était pas soutenue par l'ensemble de son gouvernement.
Le parti conservateur CDU d'Angela Merkel est associé pour gouverner à la petite formation bavaroise CSU et au parti libéral en pleine débâcle FDP, qui tous deux craignent une désertion de la place financière de Francfort au profit de la City de Londres.
Pour le reste, le couple "Merkozy" a affiché son accord sur la marche à suivre pour tenter d'endiguer une crise de la zone euro toujours plus aigüe, malgré une divergence de ton lorsqu'il s'agit de hiérarchiser efforts de discipline et efforts de croissance.
Relancer l'emploi et la croissance est "la priorité" selon M. Sarkozy, tandis que Mme Merkel préfère parler plus prudemment de "deuxième pilier", au côté de la discipline budgétaire chère à son pays.
Les deux dirigeants ont évoqué en termes vagues des initiatives pour l'emploi, inspirées de réformes menées dans certains pays et qui seront déterminées à l'issue d'une "étude" comparative.
La France et l'Allemagne souhaitent que l'accord européen renforçant la discipline budgétaire, sur lequel 26 des 27 pays de l'UE se sont engagés début décembre, soit signé "pour le 1er mars" a déclaré le président français.
"L'urgence réside moins dans la nécessité de se doter de nouvelles règles, que dans la volonté de convaincre les marchés de l'unité et de la conviction" des Européens, a analysé Christian Schulz, économiste de la Berenberg Bank.
Les deux dirigeants sont par ailleurs d'accord pour réfléchir aux moyens "d'accélérer le versement du capital" du futur mécanisme de secours européen (MES), qui doit être opérationnel dès cette année, face à une situation qualifiée par le président français de "très tendue".
La zone euro est écartelée, avec d'un côté les pays "périphériques", déjà sous perfusion comme la Grèce ou objet de toutes les inquiétudes comme l'Italie, et de l'autre les pays réputés stables et vertueux comme l'Allemagne.
Berlin a pour la première fois de son histoire émis lundi un emprunt à taux négatif: les investisseurs sont prêts à perdre de l'argent pourvu qu'ils puissent le placer dans les coffres allemands jugés plus sûrs.
Mme Merkel et M. Sarkozy ont aussi réitéré leur volonté de maintenir la Grèce dans la zone euro, à condition que le pays mette en oeuvre les réformes promises.
La chancelière a jugé "nécessaire" une restructuration de la dette grecque, qui doit lui permettre d'effacer 50% de son ardoise auprès des créanciers privés, mais a tenu à rassurer les marchés en affirmant que cette procédure resterait "une exception".
Selon la presse allemande, le Fonds monétaire international, l'un des bailleurs du pays, doute de plus en plus de la capacité d'Athènes à redresser la situation malgré cette restructuration et l'aide internationale qui afflue depuis mai 2010.
Sa directrice générale Christine Lagarde est attendue mardi à Berlin.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
aladin a écrit:ANGELA ET MOI C'est la rupture
Nicos Sarkoz arrive le 9 janvier 2012 à Berlin pour rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel
Crise : Sarkozy et Merkel affichent leur entente sauf sur la taxe Tobin
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel
Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont efforcés d'afficher leur entente lundi dans la crise financière, en particulier sur le maintien de la Grèce dans l'euro, malgré des désaccords persistants sur les modalités d'introduction d'une taxe sur les transactions financières.
Celle-ci a poliment jugé que l'annonce française était "une bonne initiative", mais a répété que "côté allemand, le but (était) d'avoir une déclaration d'intention des ministres des Finances (de l'Union européenne) d'ici début mars".
L'objectif est plus qu'optimiste, en raison de l'opposition farouche de la Grande-Bretagne qui souhaite préserver les intérêts de la place financière de Londres.
Mme Merkel a ajouté que "personnellement", elle pouvait "imaginer une telle taxe au niveau de la zone euro" seule, tout en précisant que cette option n'était pas soutenue par l'ensemble de son gouvernement.
Le parti conservateur CDU d'Angela Merkel est associé pour gouverner à la petite formation bavaroise CSU et au parti libéral en pleine débâcle FDP, qui tous deux craignent une désertion de la place financière de Francfort au profit de la City de Londres.
Pour le reste, le couple "Merkozy" a affiché son accord sur la marche à suivre pour tenter d'endiguer une crise de la zone euro toujours plus aigüe, malgré une divergence de ton lorsqu'il s'agit de hiérarchiser efforts de discipline et efforts de croissance.
Relancer l'emploi et la croissance est "la priorité" selon M. Sarkozy, tandis que Mme Merkel préfère parler plus prudemment de "deuxième pilier", au côté de la discipline budgétaire chère à son pays.
Les deux dirigeants ont évoqué en termes vagues des initiatives pour l'emploi, inspirées de réformes menées dans certains pays et qui seront déterminées à l'issue d'une "étude" comparative.
La France et l'Allemagne souhaitent que l'accord européen renforçant la discipline budgétaire, sur lequel 26 des 27 pays de l'UE se sont engagés début décembre, soit signé "pour le 1er mars" a déclaré le président français.
"L'urgence réside moins dans la nécessité de se doter de nouvelles règles, que dans la volonté de convaincre les marchés de l'unité et de la conviction" des Européens, a analysé Christian Schulz, économiste de la Berenberg Bank.
Les deux dirigeants sont par ailleurs d'accord pour réfléchir aux moyens "d'accélérer le versement du capital" du futur mécanisme de secours européen (MES), qui doit être opérationnel dès cette année, face à une situation qualifiée par le président français de "très tendue".
La zone euro est écartelée, avec d'un côté les pays "périphériques", déjà sous perfusion comme la Grèce ou objet de toutes les inquiétudes comme l'Italie, et de l'autre les pays réputés stables et vertueux comme l'Allemagne.
Berlin a pour la première fois de son histoire émis lundi un emprunt à taux négatif: les investisseurs sont prêts à perdre de l'argent pourvu qu'ils puissent le placer dans les coffres allemands jugés plus sûrs.
Mme Merkel et M. Sarkozy ont aussi réitéré leur volonté de maintenir la Grèce dans la zone euro, à condition que le pays mette en oeuvre les réformes promises.
La chancelière a jugé "nécessaire" une restructuration de la dette grecque, qui doit lui permettre d'effacer 50% de son ardoise auprès des créanciers privés, mais a tenu à rassurer les marchés en affirmant que cette procédure resterait "une exception".
Selon la presse allemande, le Fonds monétaire international, l'un des bailleurs du pays, doute de plus en plus de la capacité d'Athènes à redresser la situation malgré cette restructuration et l'aide internationale qui afflue depuis mai 2010.
Sa directrice générale Christine Lagarde est attendue mardi à Berlin.
Sako-Merkel-Lagarde... Moi à la place des Grecs je me méfierais de ce trio infernal ...
Vont arriver à leur demander d'extraire de l'huile avec les noyaux d'olives ...
La devise de nos trois mousquetaires mondialistes : Un pour tous, tout pour nous ...
domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
aladin a écrit:
ANGELA ET MOI C'est la rupture
Oulà il est en pleine méditation notre Petit Vizir !
Et à le voir en si triste divination, il doit voir son avenir en noir...
Il fixe quoi au juste... ?
M'paraît presque hors/ligne ...
Dommage, car làbas y a de la bonne ligne à s'faire en Deutschland... au choix.:
La ligne svelte à Angela ...
La ligne à Siegfried, ( pour y étendre son linge...)
>https://www.youtube.com/watch?v=n-FOBu8gsdM<
ou encore, celle en couleur La ligne bleue de Vosges
Ligne à Alsace, et à Lorraine sa cousine...
Allez Nicolaï !
domenico belli- Messages : 2494
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Localisation : NORMANDIE
Re: PRESIDENTIELLES 2012
domenico belli a écrit:Sako-Merkel-Lagarde... Moi à la place des Grecs je me méfierais de ce trio infernal ...
Vont arriver à leur demander d'extraire de l'huile avec les noyaux d'olives ...
La devise de nos trois mousquetaires mondialistes : Un pour tous, tout pour nous ...
tu crois que c'est un sexe gang bang trio
a voir leurs mines deconfites ils ont l'air plutot rabougris
je cerne pas trop le geste d'angela ""elle a l'air de dire qu'ils sont pas si gros que ça""
et sarkoz est septique aussi ....
auraient ils vu mon etude sur la taille des penis européeens avec le leadership francais
les allemands doutent toujours de nous un relent de la guerre 39 /40
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
PLUS ON EST DE FOUS
PLUS ON RIT APRES SARKOZ UBU ROI CANTO UBU DECHAINE
: mardi 10 janvier 2012 00:50
Présidentielle: Cantona cherche 500 signatures pour faire parler du logement
L'ex-star du football Eric Cantona a écrit aux maires de France afin d'obtenir les 500 signatures nécessaires à une candidature à l'élection présidentielle, sans vouloir se présenter mais pour faire parler du logement, indique le quotidien Libération.
Selon le quotidien, qui l'affirme à la Une de son édition de mardi, Cantona a décidé de s’engager auprès de la Fondation Abbé-Pierre "pour faire du logement la priorité de la présidentielle".
Dans un courrier daté du 4 janvier, adressé aux maires de France et reproduit par Libération, l'ex-footballeur désormais acteur souligne qu'il est "un citoyen attentif à notre époque, aux chances qu'elle offre aux plus jeunes -trop limitées - aux injustices qu'elle génère - trop nombreuses, trop violentes, trop systématiques".
"Cet engagement m’impose aujourd’hui de prendre la parole, plus gravement qu’à l’accoutumée, mais aussi avec un sens aigu de ma responsabilité, à l’heure où notre pays est au devant de choix difficiles et déterminants pour son avenir", poursuit Cantona.
"Mon objectif, vous l’aurez compris, est de recueillir 500 signatures au moins (...) Elles me permettront de porter un message simple mais clair ; un message de vérité mais de respect", ajoute-t-il, sans mentionner explicitement une éventuelle candidature à la présidentielle.
Dans un éditorial, Libération souligne qu'avec "l’une des feintes dont il avait le secret balle au pied", Cantona "fait cette fois mine de vouloir se présenter à la présidentielle pour mieux ajuster sa cible : l’urgence sociale du mal-logement".
Connu pour son franc-parler, imprévisible, l'ex-star du football avait créé un "buzz" inattendu fin 2010 en lançant sans prévenir un appel à retirer l'argent des banques, qui .
Interrogé par téléphone par le quotidien, Cantona explique sa volonté de se faire entendre durant la campagne présidentielle sur le thème du logement.
"On peut s’engager pour de nombreuses causes, toutes importantes, mais on ne peut pas tout faire. Si j’ai choisi celle du logement, c’est qu’elle me semble essentielle et qu’elle concerne 10 millions de personnes", explique-t-il.
"Il faut agir au moment où l’on a des chances d’être écoutés et entendus", poursuit-il. "Le 1er février, Porte de Versailles à Paris, la Fondation Abbé-Pierre présentera comme chaque année son rapport. Les candidats seront invités et, j’espère, présents. Ce sera l’occasion d’obtenir d’eux de véritables engagements politiques", ajoute-t-il.
Considéré comme l'un des plus grands joueurs de l'histoire de Manchester United où il a joué de 1992 à 1997, remportant quatre fois le Championnat d'Angleterre, "King" Eric a pris sa retraite de footballeur en 1997.
Désormais comédien, il est actuellement en tournée avec la pièce de théâtre "Ubu enchaîné" mise en scène par le Britannique Dan Jemmett d'après l'oeuvre d'Alfred Jarry
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Éric Cantona s’invite
dans la campagne
Éric Cantona s’est invité hier soir dans la campagne pour la
présidentielle. À lamanière d’un Coluche en 1981, il semble
vouloir peser à sa façon dans le débat
C’est ce qu’on pourrait appeler
une surprise. Après le foot, le
cinéma et l’art, "Canto" s’est
semble-t-il lancé, en toute discrétion,
dans la course à laprésidentielle.
Tout est parti d’une lettre,
envoyée aux maires de France
et reproduite hier soir sur le
site Libération.fr, dans laquelle
l’ancien footballeur explique requérir
500 signatures "dans le cadre
du débat politique dans lequel
le pays s’engage". "Canto" y
souligne que ces paraphes lui
permettront "de porter un message
simple mais clair", "un message
attendu par notre pays et ces
millions de familles dont on
oublie les souffrances quotidiennes
et desquelles la puissance publique
s’est éloignée".
Éric Cantona prévient déjà :
"Si vous m’accordez votre paraphe,
je saurai porter cette idée forte,
avec bien d’autres aussi déterminés
que moi, et je le ferai également
en votre nom." Ladite lettre
renvoie également vers un site
internet, www.ericantona .fr,
où est simplement posté un message
laconique. "Éric Cantona,
citoyen engagé. Ce site est en
construction. Rendez-vous très
bientôt avec Éric Cantona et ses
engagements."
On s’en souvient, en 2010, le
"King" avait été à l’origine d’une
démarche appelant les Français
à retirer tout leur argent des banques.
Cette fois, plus qu’un discours,
cette lettre en forme de
profession de foi semble engager
l’ex-star de Manchester United
dans le débat politique français.
De quoi pimenter un peu
plus la présidentielle qui se jouera
dans un peu plus de 100jours.
Olivier LAFONT
www.ericantona.fr
dans la campagne
Éric Cantona s’est invité hier soir dans la campagne pour la
présidentielle. À lamanière d’un Coluche en 1981, il semble
vouloir peser à sa façon dans le débat
C’est ce qu’on pourrait appeler
une surprise. Après le foot, le
cinéma et l’art, "Canto" s’est
semble-t-il lancé, en toute discrétion,
dans la course à laprésidentielle.
Tout est parti d’une lettre,
envoyée aux maires de France
et reproduite hier soir sur le
site Libération.fr, dans laquelle
l’ancien footballeur explique requérir
500 signatures "dans le cadre
du débat politique dans lequel
le pays s’engage". "Canto" y
souligne que ces paraphes lui
permettront "de porter un message
simple mais clair", "un message
attendu par notre pays et ces
millions de familles dont on
oublie les souffrances quotidiennes
et desquelles la puissance publique
s’est éloignée".
Éric Cantona prévient déjà :
"Si vous m’accordez votre paraphe,
je saurai porter cette idée forte,
avec bien d’autres aussi déterminés
que moi, et je le ferai également
en votre nom." Ladite lettre
renvoie également vers un site
internet, www.ericantona .fr,
où est simplement posté un message
laconique. "Éric Cantona,
citoyen engagé. Ce site est en
construction. Rendez-vous très
bientôt avec Éric Cantona et ses
engagements."
On s’en souvient, en 2010, le
"King" avait été à l’origine d’une
démarche appelant les Français
à retirer tout leur argent des banques.
Cette fois, plus qu’un discours,
cette lettre en forme de
profession de foi semble engager
l’ex-star de Manchester United
dans le débat politique français.
De quoi pimenter un peu
plus la présidentielle qui se jouera
dans un peu plus de 100jours.
Olivier LAFONT
www.ericantona.fr
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Mal-logement : approuvez-vous la démarche d'Eric Cantona ?
Vous êtes le premier votant, les résultats seront disponible prochainement. Voir les résultats
Oui 56 % Oui
38 138 votesNon 31 % Non
20 847 votesSans opinion 13 % Sans opinion
8 541 votesVoir les résultatsRetour aux votesRéponses: 67 526
Sondage à valeur non scientifique, mis à jour chaque minute.
CANTONA PRESIDENT de toute façon dans le domaine des derangés il ne sera pas seul avec SARKOZ
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CANTONA PRESIDENT de toute façon dans le domaine des derangés il ne sera pas seul avec SARKOZ
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Mise à jour : mardi 10 janvier 2012 22:19
Gandrange: la stèle aux "promesses non tenues" de Sarkozy volée
Une stèle érigée en 2009 par la CFDT à l'entrée de l'usine ArcelorMittal de Gandrange (Moselle) rappelant les promesses "non tenues" de Nicolas Sarkozy, selon le syndicat, a été descellée et volée, a-t-on appris mardi de sources policières.
La stèle en granit gris de 70 cm par 50 cm avait été installée après la fermeture de l'aciérie du site qui avait mis au chômage quelque 600 métallurgistes.
La CFDT y avait fait graver en lettres d'or la phrase
"Ici reposent les promesses de Nicolas Sarkozy faites le 4 février 2008 à Gandrange:
+Avec ou sans Mittal, l'Etat investira dans Gandrange +".
En 2008, au lendemain de son mariage avec Carla Bruni et à l'issue d'une visite très médiatisée de 45 minutes de l'aciérie mosellane, le président de la République s'était engagé devant quelque 400 sidérurgistes à faire prendre en charge par l'Etat "tout ou partie des investissements nécessaires" pour maintenir l'aciérie en activité. "Nous sommes prêts à faire le nécessaire quel que soit le propriétaire" de l'usine, avait alors déclaré M. Sarkozy.
"Cette plaque, c'était le caillou dans la chaussure de Sarkozy", a estimé Edouard Martin, membre CFDT du comité central d'entreprise d'ArcelorMittal.
"Si elle a été volée, elle l'a probablement été par des gens à qui ce symbole posait des problèmes de conscience, a-t-il ajouté. A l'époque, elle nous avait coûté 700-800 euros. Nous la ferons refaire à l'identique".
Aurélie Filippetti, députée de la Moselle et membre de l'équipe de campagne du candidat du PS à la présidentielle François Hollande, s'est dite "choquée par le vol de la stèle de Gandrange (...). Il semble que ce symbole de granit gris dérange".
"Les ouvriers de Moselle et de France n'ont pas la mémoire courte. Ils sauront se souvenir du manque d'ambition en matière de politique industrielle et des mensonges du président", a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Selon des sources à la fédération de Moselle du Parti socialiste (PS), François Hollande devait se faire photographier devant la stèle lors de son déplacement en Lorraine le 17 janvier. Ce point du programme n'a cependant pas été confirmé.
Gandrange: la stèle aux "promesses non tenues" de Sarkozy volée
Une stèle érigée en 2009 par la CFDT à l'entrée de l'usine ArcelorMittal de Gandrange (Moselle) rappelant les promesses "non tenues" de Nicolas Sarkozy, selon le syndicat, a été descellée et volée, a-t-on appris mardi de sources policières.
La stèle en granit gris de 70 cm par 50 cm avait été installée après la fermeture de l'aciérie du site qui avait mis au chômage quelque 600 métallurgistes.
La CFDT y avait fait graver en lettres d'or la phrase
"Ici reposent les promesses de Nicolas Sarkozy faites le 4 février 2008 à Gandrange:
+Avec ou sans Mittal, l'Etat investira dans Gandrange +".
En 2008, au lendemain de son mariage avec Carla Bruni et à l'issue d'une visite très médiatisée de 45 minutes de l'aciérie mosellane, le président de la République s'était engagé devant quelque 400 sidérurgistes à faire prendre en charge par l'Etat "tout ou partie des investissements nécessaires" pour maintenir l'aciérie en activité. "Nous sommes prêts à faire le nécessaire quel que soit le propriétaire" de l'usine, avait alors déclaré M. Sarkozy.
"Cette plaque, c'était le caillou dans la chaussure de Sarkozy", a estimé Edouard Martin, membre CFDT du comité central d'entreprise d'ArcelorMittal.
"Si elle a été volée, elle l'a probablement été par des gens à qui ce symbole posait des problèmes de conscience, a-t-il ajouté. A l'époque, elle nous avait coûté 700-800 euros. Nous la ferons refaire à l'identique".
Aurélie Filippetti, députée de la Moselle et membre de l'équipe de campagne du candidat du PS à la présidentielle François Hollande, s'est dite "choquée par le vol de la stèle de Gandrange (...). Il semble que ce symbole de granit gris dérange".
"Les ouvriers de Moselle et de France n'ont pas la mémoire courte. Ils sauront se souvenir du manque d'ambition en matière de politique industrielle et des mensonges du président", a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Selon des sources à la fédération de Moselle du Parti socialiste (PS), François Hollande devait se faire photographier devant la stèle lors de son déplacement en Lorraine le 17 janvier. Ce point du programme n'a cependant pas été confirmé.
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
j'ecoutais une emission de france inter hier que l'inventeur de la publicité ou propagande en 1917 etait le double neveu de sigmun freud
il a mis en pratique les techniques de la psychanalise et la manipulation des cerveaux humains par des biais detournés
PROPAGANDE INSTRUCT c'etait son livre
lorsque vous regardez ce triste sarkoz il fait exactement pareil
ses mains ses yeux ses expressions de manipulateur narcissique font pareil NE LECOUTEZ PLUS .
son jeu est tres facile à LIRE il passe son temps A MENTIR
il a mis en pratique les techniques de la psychanalise et la manipulation des cerveaux humains par des biais detournés
PROPAGANDE INSTRUCT c'etait son livre
lorsque vous regardez ce triste sarkoz il fait exactement pareil
ses mains ses yeux ses expressions de manipulateur narcissique font pareil NE LECOUTEZ PLUS .
son jeu est tres facile à LIRE il passe son temps A MENTIR
bienvenou a écrit:Mise à jour : mardi 10 janvier 2012 22:19
Gandrange: la stèle aux "promesses non tenues" de Sarkozy volée
Une stèle érigée en 2009 par la CFDT à l'entrée de l'usine ArcelorMittal de Gandrange (Moselle) rappelant les promesses "non tenues" de Nicolas Sarkozy, selon le syndicat, a été descellée et volée, a-t-on appris mardi de sources policières.
La stèle en granit gris de 70 cm par 50 cm avait été installée après la fermeture de l'aciérie du site qui avait mis au chômage quelque 600 métallurgistes.
La CFDT y avait fait graver en lettres d'or la phrase
"Ici reposent les promesses de Nicolas Sarkozy faites le 4 février 2008 à Gandrange:
+Avec ou sans Mittal, l'Etat investira dans Gandrange +".
En 2008, au lendemain de son mariage avec Carla Bruni et à l'issue d'une visite très médiatisée de 45 minutes de l'aciérie mosellane, le président de la République s'était engagé devant quelque 400 sidérurgistes à faire prendre en charge par l'Etat "tout ou partie des investissements nécessaires" pour maintenir l'aciérie en activité. "Nous sommes prêts à faire le nécessaire quel que soit le propriétaire" de l'usine, avait alors déclaré M. Sarkozy.
"Cette plaque, c'était le caillou dans la chaussure de Sarkozy", a estimé Edouard Martin, membre CFDT du comité central d'entreprise d'ArcelorMittal.
"Si elle a été volée, elle l'a probablement été par des gens à qui ce symbole posait des problèmes de conscience, a-t-il ajouté. A l'époque, elle nous avait coûté 700-800 euros. Nous la ferons refaire à l'identique".
Aurélie Filippetti, députée de la Moselle et membre de l'équipe de campagne du candidat du PS à la présidentielle François Hollande, s'est dite "choquée par le vol de la stèle de Gandrange (...). Il semble que ce symbole de granit gris dérange".
"Les ouvriers de Moselle et de France n'ont pas la mémoire courte. Ils sauront se souvenir du manque d'ambition en matière de politique industrielle et des mensonges du président", a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Selon des sources à la fédération de Moselle du Parti socialiste (PS), François Hollande devait se faire photographier devant la stèle lors de son déplacement en Lorraine le 17 janvier. Ce point du programme n'a cependant pas été confirmé.
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Sarkozy perd ses nerfs sur le quotient familial
Mardi, il est parti à Mulhouse donner ses voeux « à la France solidaire ». Quelques heures avant, en coulisses comme toujours, il avait fustigé une proposition socialiste de remplacer le quotient familial. Et ses proches se sont déchaînés comme jamais: « assassine », « anéantissement », « folie », « coup de massue »... La Sarkofrance du Fouquet's n'hésita pas dans la surenchère et la vulgarité. Seule Nadine Morano, peut-être épuisée par sa suractivité
Quant aux voeux de Nicolas Sarkozy « à la France solidaire », on les oublia.
Suite....> http://sarkofrance.blogspot.com/<
Mardi, il est parti à Mulhouse donner ses voeux « à la France solidaire ». Quelques heures avant, en coulisses comme toujours, il avait fustigé une proposition socialiste de remplacer le quotient familial. Et ses proches se sont déchaînés comme jamais: « assassine », « anéantissement », « folie », « coup de massue »... La Sarkofrance du Fouquet's n'hésita pas dans la surenchère et la vulgarité. Seule Nadine Morano, peut-être épuisée par sa suractivité
Quant aux voeux de Nicolas Sarkozy « à la France solidaire », on les oublia.
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domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
ledauphine.com : >http://www.ledauphine.com/societe/2012/01/09/suppression-du-quotient-familial-le-ps-lance-le-debat<
IMPOTS Suppression du quotient familial :
le PS lance le débat
La majorité lui reproche son manque de propositions concrètes… Pourtant, François Hollande va sans doute s’attaquer à un pilier de la politique fiscale d’après-guerre. Le candidat socialiste devrait en effet proposer dans son programme la suppression du “quotient familial”.
Pourquoi ce système profite aux plus riches
“Aujourd’hui, un enfant de riche apporte une baisse d’impôt beaucoup plus importante qu’un enfant de pauvre. Est-ce normal ? Non !”, a fait valoir dans “Les Echos” Michel Sapin, responsable du programme de Hollande.
De fait, le quotient familial offre des réductions d’impôt : plus la famille est nombreuse et plus les revenus du foyer sont élevés, plus ces réductions sont importantes. En clair, précise M. Sapin, “plus vous êtes riches plus vous êtes avantagés”.
Ainsi, note le quotidien, pour une famille dont les deux parents touchent chacun le Smic, un enfant “rapporte” 269 euros par an. Dans une famille où les parents touchent l’équivalent de 15 Smic, chaque enfant “rapporte” 2 200 euros par an. Quant aux ménages trop modestes pour payer des impôts, ils ne bénéficient d’aucun avantage.
Ce que préconiserait François Hollande
S’il est élu, François Hollande souhaite donc, au nom de la justice sociale, le remplacer par un crédit d’impôt. Concrètement, l’État verserait directement un chèque à toutes les familles ayant un enfant, y compris aux non-imposables. Les familles recevraient ainsi environ 607 euros par enfant.
Les gagnants et les perdants
Preuve que le sujet inquiète et intéresse tout à la fois, relève “Les Échos”, la direction du Trésor, rattachée à Matignon, s’est elle-même penchée sur la question. Et reconnaît que, parmi plusieurs scénarios, c’est celui du Parti socialiste qui réduit le plus les inégalités. La suppression du quotient familial permettrait en effet, selon Bercy, une redistribution massive des aides. La moitié la plus riche de la population, reverserait 3,5 milliards d’euros à la moitié la plus pauvre.
Dans le détail, “elle ferait près de 5 millions de gagnants (à hauteur de 829 euros par an en moyenne) et un peu moins de 4,5 millions de perdants (à hauteur de 931 euros en moyenne). Et pour près de deux tiers des ménages, la réforme serait neutre
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Pourquoi ce système profite aux plus riches
“Aujourd’hui, un enfant de riche apporte une baisse d’impôt beaucoup plus importante qu’un enfant de pauvre. Est-ce normal ? Non !”, a fait valoir dans “Les Echos” Michel Sapin, responsable du programme de Hollande.
De fait, le quotient familial offre des réductions d’impôt : plus la famille est nombreuse et plus les revenus du foyer sont élevés, plus ces réductions sont importantes. En clair, précise M. Sapin, “plus vous êtes riches plus vous êtes avantagés”.
Ainsi, note le quotidien, pour une famille dont les deux parents touchent chacun le Smic, un enfant “rapporte” 269 euros par an. Dans une famille où les parents touchent l’équivalent de 15 Smic, chaque enfant “rapporte” 2 200 euros par an. Quant aux ménages trop modestes pour payer des impôts, ils ne bénéficient d’aucun avantage.
Ce que préconiserait François Hollande
S’il est élu, François Hollande souhaite donc, au nom de la justice sociale, le remplacer par un crédit d’impôt. Concrètement, l’État verserait directement un chèque à toutes les familles ayant un enfant, y compris aux non-imposables. Les familles recevraient ainsi environ 607 euros par enfant.
Les gagnants et les perdants
Preuve que le sujet inquiète et intéresse tout à la fois, relève “Les Échos”, la direction du Trésor, rattachée à Matignon, s’est elle-même penchée sur la question. Et reconnaît que, parmi plusieurs scénarios, c’est celui du Parti socialiste qui réduit le plus les inégalités. La suppression du quotient familial permettrait en effet, selon Bercy, une redistribution massive des aides. La moitié la plus riche de la population, reverserait 3,5 milliards d’euros à la moitié la plus pauvre.
Dans le détail, “elle ferait près de 5 millions de gagnants (à hauteur de 829 euros par an en moyenne) et un peu moins de 4,5 millions de perdants (à hauteur de 931 euros en moyenne). Et pour près de deux tiers des ménages, la réforme serait neutre
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domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
domenico belli a écrit:Sarkozy perd ses nerfs sur le quotient familial
Mardi, il est parti à Mulhouse donner ses voeux « à la France solidaire ». Quelques heures avant, en coulisses comme toujours, il avait fustigé une proposition socialiste de remplacer le quotient familial. Et ses proches se sont déchaînés comme jamais: « assassine », « anéantissement », « folie », « coup de massue »... La Sarkofrance du Fouquet's n'hésita pas dans la surenchère et la vulgarité. Seule Nadine Morano, peut-être épuisée par sa suractivité
Quant aux voeux de Nicolas Sarkozy « à la France solidaire », on les oublia.
Suite....> http://sarkofrance.blogspot.com/<
vous les nantis
france solidaire ,union du mouvement populaire ,tva sociale ,
vous en avez pas marre d'utiliser des mots du peuple qui souffre de l'austerité
et qui a du mal a terminer son mois (voir par ailleur)
DEHORS ..ON VEUT DE VRAIS GOUVERNANTS AVEC DE LA DIGNITE ET DE LA MORALE
PAS DES PROPAGANDISTES MANIPULATEURS
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
ca me semble un debat important
il faidra plus le travailler en profondeur
La moitié la plus riche de la population, reverserait 3,5 milliards d’euros à la moitié la plus pauvre.
ca c'est une excellente idée
domenico belli a écrit:ledauphine.com : >http://www.ledauphine.com/societe/2012/01/09/suppression-du-quotient-familial-le-ps-lance-le-debat<
IMPOTS Suppression du quotient familial :
le PS lance le débat
La majorité lui reproche son manque de propositions concrètes… Pourtant, François Hollande va sans doute s’attaquer à un pilier de la politique fiscale d’après-guerre. Le candidat socialiste devrait en effet proposer dans son programme la suppression du “quotient familial”.
Pourquoi ce système profite aux plus riches
“Aujourd’hui, un enfant de riche apporte une baisse d’impôt beaucoup plus importante qu’un enfant de pauvre. Est-ce normal ? Non !”, a fait valoir dans “Les Echos” Michel Sapin, responsable du programme de Hollande.
De fait, le quotient familial offre des réductions d’impôt : plus la famille est nombreuse et plus les revenus du foyer sont élevés, plus ces réductions sont importantes. En clair, précise M. Sapin, “plus vous êtes riches plus vous êtes avantagés”.
Ainsi, note le quotidien, pour une famille dont les deux parents touchent chacun le Smic, un enfant “rapporte” 269 euros par an. Dans une famille où les parents touchent l’équivalent de 15 Smic, chaque enfant “rapporte” 2 200 euros par an. Quant aux ménages trop modestes pour payer des impôts, ils ne bénéficient d’aucun avantage.
Ce que préconiserait François Hollande
S’il est élu, François Hollande souhaite donc, au nom de la justice sociale, le remplacer par un crédit d’impôt. Concrètement, l’État verserait directement un chèque à toutes les familles ayant un enfant, y compris aux non-imposables. Les familles recevraient ainsi environ 607 euros par enfant.
Les gagnants et les perdants
Preuve que le sujet inquiète et intéresse tout à la fois, relève “Les Échos”, la direction du Trésor, rattachée à Matignon, s’est elle-même penchée sur la question. Et reconnaît que, parmi plusieurs scénarios, c’est celui du Parti socialiste qui réduit le plus les inégalités. La suppression du quotient familial permettrait en effet, selon Bercy, une redistribution massive des aides. La moitié la plus riche de la population, reverserait 3,5 milliards d’euros à la moitié la plus pauvre.
Dans le détail, “elle ferait près de 5 millions de gagnants (à hauteur de 829 euros par an en moyenne) et un peu moins de 4,5 millions de perdants (à hauteur de 931 euros en moyenne). Et pour près de deux tiers des ménages, la réforme serait neutre
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