PRESIDENTIELLES 2012
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domenico belli
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
bienvenou a écrit:
ca me semble un debat important
il faidra plus le travailler en profondeur
La moitié la plus riche de la population, reverserait 3,5 milliards d’euros à la moitié la plus pauvre.
ca c'est une excellente idée
Là, il est évident que face à cette dérive réactionnaire Marxiste..., la droite va lever son bouclier fiscal et son glaive liberticide... !
Au fait, elles sont ou leurs propositions… ? J’parle pas encore bilan…
domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
domenico belli a écrit:bienvenou a écrit:
ca me semble un debat important
il faidra plus le travailler en profondeur
La moitié la plus riche de la population, reverserait 3,5 milliards d’euros à la moitié la plus pauvre.
ca c'est une excellente idée
Là, il est évident que face à cette dérive réactionnaire Marxiste..., la droite va lever son bouclier fiscal et son glaive liberticide... !
Au fait, elles sont ou leurs propositions… ? J’parle pas encore bilan…
bien sur ou de fausses maneuvres sociales s comme la taxe tobin qui ne sera jamais reellement appliquée
je te prends devant le grand public et je rends apres en coulisse
liliane de bettancourt elle attend que le coursier de sarko woerth lui ramene des valises pleines
à moins qu'elle prefere qu'il les depose sur ses comptes au panama
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Quotient familial : "l'UMP n'a pas le choix de sa campagne" répond le PS
François Hollande a assuré qu'il ne supprimerait pas le quotient familial. Mais devant le tir de barrage qu'il a essuyé, son porte-parole Bernard Cazeneuve a dénoncé "une campagne brutale"
Bernard Cazeneuve : "30% des familles les plus pauvres, n’ont aucun soutien" (Photo
La fiscalité sera - avec l’emploi et l’éducation - LE thème de cette campagne présidentielle. Et l’une des machines à empoignade les plus sanglantes des prochains mois comme l'ont déjà prouvé les polémiques sur la Taxe Tobin ou la TVA sociale.
Une sensibilité dont on a pu encore mesurer tout le potentiel électrique ce mardi lorsque François Hollande a confirmé, qu’en cas de victoire en mai, il reverrait le dispositif du quotient familial.
Une annonce qui a aussitôt fait l’effet d’une bombe à droite. Et ce d’autant plus qu’en début de matinée, il n’était pas question d’une simple remise à plat, mais d’une suppression pure et simple comme l’avait indiqué Manuel Valls. Une version contredite, dans la foulée, par Michel Sapin, le responsable du projet présidentiel du député de Corrèze, qui évoquait, lui, une « piste ».
Si bien que devant le feu nourri de la droite et de Nicolas Sarkozy, pour qui cette suppression du quotient familial « serait une folie », François Hollande a du préciser sa proposition dans la soirée : « Je ne veux pas supprimer le quotient familial, qui est un avantage fiscal pour les Français. Ma proposition est de moduler le quotient familial, pour qu'il puisse être plus juste pour l'ensemble des familles »
Une déclaration qui, quoi qu’il arrive, ne ramènera pas la droite à de meilleurs sentiments.
Ce qui, cependant, ne devrait pas faire trembler d’un pouce François Hollande, comme l’a expliqué à Sudouest.fr, son porte-parole Bernard Cazeneuve : « Aujourd’hui, 30% des familles les plus pauvres, n’ont aucun soutien, alors que 30% des familles les plus riches bénéficient de 60% des prestations familiales. Ce que nous voulons, c’est que la politique familiale bénéficie à tout le monde et notamment aux plus pauvres. »
Mais comment y parvenir ?
« Cela pourrait passer par un ajustement du quotient familial, répond-il. Ce qui implique qu’on prenne le temps de l’expertise concernant les modalités pour y parvenir. »
Et peu importe que la droite décèle-là un nouveau tâtonnement du candidat Hollande : « Cette droite, qui a passé tout le quinquennat à faire des cadeaux fiscaux aux plus riches est-elle en droit de donner des leçons de justice ? », interroge Bernard Cazeneuve.
« L’UMP, poursuit-il, se piège avec les mauvaises idées du président de la République. Et à chaque fois que l’UMP se piège, on a un procès sur des sujets que nous maîtrisons. Tout simplement parce que l’UMP n’a pas le choix de sa campagne. Nous avons eu un quinquennat brutal et nous avons une campagne brutale. Comme Nicolas Sarkozy ne peut pas faire campagne sur son bilan, qu’il ne peut pas non plus faire campagne sur ses propositions, il ne peut faire campagne que sur la diversion, l’agitation, la brutalité et l’outrance. "
Une chance, la politique est une grande... famille.
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Le Point.fr - Publié le 11/01/2012 à 16:59
>http://www.lepoint.fr/politique/election-presidentielle-2012/sondage-ipsos-le-point-sarkozy-meilleur-qu-en-2007-11-01-2012-1417817_324.php<
Sarkozy meilleur qu'en 2007 ?
Sondage Ipsos-Le Point
Seuls 13 % des Français estiment que le chef de l'État s'est amélioré depuis le début de son mandat
Pour Nicolas Sarkozy, ce n'est pas la fête. À 116 jours du premier tour de la présidentielle, l'heure est au débat d'idées mais aussi au bilan. Et les Français jugent la progression de Nicolas Sarkozy plutôt médiocre. Selon notre sondage Ipsos - Le Point du 11 janvier*, seuls 13 % des Français estiment que Nicolas Sarkozy est un "meilleur" président aujourd'hui qu'au début de son mandat. 28 % jugent que le locataire de l'Élysée est "moins bon" qu'au début de son quinquennat. Enfin, 56 % des Français interrogés n'observent aucune évolution entre aujourd'hui et 2007.
Les sympathisants d'Europe Écologie-Les Verts, du PS et du FN sont les plus sévères. 1 % des sympathisants verts estiment que Nicolas Sarkozy est un "meilleur" président aujourd'hui qu'au début du quinquennat. 4 % des sympathisants socialistes estiment que le chef de l'État est "meilleur" qu'en 2007. Parmi les sympathisants FN interrogés, ils sont 8 % à juger positive l'évolution de Nicolas Sarkozy depuis le début du quinquennat. En revanche, les sympathisants MoDem et UMP jugent plus favorablement l'action de Nicolas Sarkozy. 14 % des Français sympathisants de François Bayrou estiment que Nicolas Sarkozy est meilleur aujourd'hui qu'en 2007. 34 % des sympathisants UMP sont aussi de cet avis.
Sarkozy joue le risque
D'ici au mois d'avril, la majorité présidentielle a donc encore du travail pour promouvoir l'image du président de la République et défendre le bilan du quinquennat. De son côté, Nicolas Sarkozy n'est toujours pas officiellement candidat à un deuxième mandat et a bien l'intention de se déclarer le plus tard possible, pas avant la fin février. Le président entend prouver qu'il réformera la France "jusqu'à la dernière minute". En ce début d'année, au fil de ses déplacements et de ses voeux, il s'emploie donc à prendre des risques, à lancer des "propositions chocs" telles que la TVA sociale, la réforme du statut des enseignants ou la taxe sur les transactions financières. Objectif de l'Élysée : cliver, mais aussi créer le contraste avec le projet du candidat PS François Hollande.
* Sondage réalisé les 6 et 7 janvier 2012 auprès de 977 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française, âgée de 18 ans et plus.
///////////////
Et c'est pas en 116 jours qu'il va améliorer sa calamiteuse image de Président de la République Française !
Ou alors il cache son jeu depuis 2007 ...
>http://www.lepoint.fr/politique/election-presidentielle-2012/sondage-ipsos-le-point-sarkozy-meilleur-qu-en-2007-11-01-2012-1417817_324.php<
Sarkozy meilleur qu'en 2007 ?
Sondage Ipsos-Le Point
Seuls 13 % des Français estiment que le chef de l'État s'est amélioré depuis le début de son mandat
Pour Nicolas Sarkozy, ce n'est pas la fête. À 116 jours du premier tour de la présidentielle, l'heure est au débat d'idées mais aussi au bilan. Et les Français jugent la progression de Nicolas Sarkozy plutôt médiocre. Selon notre sondage Ipsos - Le Point du 11 janvier*, seuls 13 % des Français estiment que Nicolas Sarkozy est un "meilleur" président aujourd'hui qu'au début de son mandat. 28 % jugent que le locataire de l'Élysée est "moins bon" qu'au début de son quinquennat. Enfin, 56 % des Français interrogés n'observent aucune évolution entre aujourd'hui et 2007.
Les sympathisants d'Europe Écologie-Les Verts, du PS et du FN sont les plus sévères. 1 % des sympathisants verts estiment que Nicolas Sarkozy est un "meilleur" président aujourd'hui qu'au début du quinquennat. 4 % des sympathisants socialistes estiment que le chef de l'État est "meilleur" qu'en 2007. Parmi les sympathisants FN interrogés, ils sont 8 % à juger positive l'évolution de Nicolas Sarkozy depuis le début du quinquennat. En revanche, les sympathisants MoDem et UMP jugent plus favorablement l'action de Nicolas Sarkozy. 14 % des Français sympathisants de François Bayrou estiment que Nicolas Sarkozy est meilleur aujourd'hui qu'en 2007. 34 % des sympathisants UMP sont aussi de cet avis.
Sarkozy joue le risque
D'ici au mois d'avril, la majorité présidentielle a donc encore du travail pour promouvoir l'image du président de la République et défendre le bilan du quinquennat. De son côté, Nicolas Sarkozy n'est toujours pas officiellement candidat à un deuxième mandat et a bien l'intention de se déclarer le plus tard possible, pas avant la fin février. Le président entend prouver qu'il réformera la France "jusqu'à la dernière minute". En ce début d'année, au fil de ses déplacements et de ses voeux, il s'emploie donc à prendre des risques, à lancer des "propositions chocs" telles que la TVA sociale, la réforme du statut des enseignants ou la taxe sur les transactions financières. Objectif de l'Élysée : cliver, mais aussi créer le contraste avec le projet du candidat PS François Hollande.
* Sondage réalisé les 6 et 7 janvier 2012 auprès de 977 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française, âgée de 18 ans et plus.
///////////////
Et c'est pas en 116 jours qu'il va améliorer sa calamiteuse image de Président de la République Française !
Ou alors il cache son jeu depuis 2007 ...
domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
tous ces sondages moi je les crois pas
comment 8 % de sympathisants FN le jugent de facon positive ca voudrait dire qu'ils voteront pour lui donc pas FN
moi je vous donne pas mon sentiment pour pas vous gagner le repppppppppppppppppppppppppas
comment 8 % de sympathisants FN le jugent de facon positive ca voudrait dire qu'ils voteront pour lui donc pas FN
moi je vous donne pas mon sentiment pour pas vous gagner le repppppppppppppppppppppppppas
domenico belli a écrit: Le Point.fr - Publié le 11/01/2012 à 16:59
>http://www.lepoint.fr/politique/election-presidentielle-2012/sondage-ipsos-le-point-sarkozy-meilleur-qu-en-2007-11-01-2012-1417817_324.php<
Sarkozy meilleur qu'en 2007 ?
Sondage Ipsos-Le Point
Seuls 13 % des Français estiment que le chef de l'État s'est amélioré depuis le début de son mandat
Pour Nicolas Sarkozy, ce n'est pas la fête. À 116 jours du premier tour de la présidentielle, l'heure est au débat d'idées mais aussi au bilan. Et les Français jugent la progression de Nicolas Sarkozy plutôt médiocre. Selon notre sondage Ipsos - Le Point du 11 janvier*, seuls 13 % des Français estiment que Nicolas Sarkozy est un "meilleur" président aujourd'hui qu'au début de son mandat. 28 % jugent que le locataire de l'Élysée est "moins bon" qu'au début de son quinquennat. Enfin, 56 % des Français interrogés n'observent aucune évolution entre aujourd'hui et 2007.
Les sympathisants d'Europe Écologie-Les Verts, du PS et du FN sont les plus sévères. 1 % des sympathisants verts estiment que Nicolas Sarkozy est un "meilleur" président aujourd'hui qu'au début du quinquennat. 4 % des sympathisants socialistes estiment que le chef de l'État est "meilleur" qu'en 2007. Parmi les sympathisants FN interrogés, ils sont 8 % à juger positive l'évolution de Nicolas Sarkozy depuis le début du quinquennat. En revanche, les sympathisants MoDem et UMP jugent plus favorablement l'action de Nicolas Sarkozy. 14 % des Français sympathisants de François Bayrou estiment que Nicolas Sarkozy est meilleur aujourd'hui qu'en 2007. 34 % des sympathisants UMP sont aussi de cet avis.
Sarkozy joue le risque
D'ici au mois d'avril, la majorité présidentielle a donc encore du travail pour promouvoir l'image du président de la République et défendre le bilan du quinquennat. De son côté, Nicolas Sarkozy n'est toujours pas officiellement candidat à un deuxième mandat et a bien l'intention de se déclarer le plus tard possible, pas avant la fin février. Le président entend prouver qu'il réformera la France "jusqu'à la dernière minute". En ce début d'année, au fil de ses déplacements et de ses voeux, il s'emploie donc à prendre des risques, à lancer des "propositions chocs" telles que la TVA sociale, la réforme du statut des enseignants ou la taxe sur les transactions financières. Objectif de l'Élysée : cliver, mais aussi créer le contraste avec le projet du candidat PS François Hollande.
* Sondage réalisé les 6 et 7 janvier 2012 auprès de 977 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française, âgée de 18 ans et plus.
///////////////
Et c'est pas en 116 jours qu'il va améliorer sa calamiteuse image de Président de la République Française !
Ou alors il cache son jeu depuis 2007 ...
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
La "police des polices" parisienne
accusée d'avoir truqué une enquête
TU AS VU QUELQUE CHOSE TOI
mercredi 11 janvier 2012 23:07
La "police des polices" parisienne accusée d'avoir truqué une enquête
Le préfet de police de Paris Michel Gaudin a été entendu par la justice comme témoin assisté dans une enquête sur la police des polices, qui est soupçonnée d'avoir truqué une procédure impliquant quatre fonctionnaires, dont un proche de la gauche, avant la présidentielle de 2007.
Le parquet de Paris s'est refusé à tout commentaire sur ces informations révélées par Le Monde et confirmées à l'AFP par le haut fonctionnaire Yannick Blanc, aujourd'hui directeur de cabinet adjoint du président PS de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon.
Selon Le Monde, quatre juges d'instruction mènent six enquêtes à la suite de plaintes déposées par les fonctionnaires faussement mis en cause, dont une pour "faux en écritures publiques".
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a évoqué à l'Assemblée nationale des "informations tronquées" et des "pièces de justice partielles".
Le sénateur-maire PS de Dijon François Rebsamen, proche du candidat socialiste à la présidentielle François Hollande, a jugé que si les faits étaient avérés, ils dénoteraient "l'utilisation par un clan, le clan des amis du +patron+, des services de police à des fins partisanes".
Dans un communiqué, la préfecture de police (PP) a estimé que "le fonctionnement et l’impartialité" de ses services, "ainsi que le préfet de police", ont été mis en cause par des "allégations infondées", brandissant la menace de "suites judiciaires".
L'avocat de M. Gaudin, Me Bertrand Domenach, a confirmé que le préfet avait été entendu le 15 décembre mais assuré qu'il ne risquait pas de mise en examen.
Selon Le Monde, l'Inspection générale des services (IGS, police des polices parisienne) est soupçonnée d'avoir truqué une enquête portant sur un trafic de titres de séjour. Alors directeur de la police générale de la PP, Yannick Blanc, avait été placé en garde à vue.
Préfet de police "intoxiqué"
Dans le livre "Sarko m'a tuer" des deux journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Yannick Blanc, qui se pensait la cible de l'inimitié de Nicolas Sarkozy, explique avoir été "placé sur écoute" en mars et avril 2007, alors qu'il conseillait Ségolène Royal sur l'immigration.
Il ne sera jamais mis en examen à l'inverse de quatre autres fonctionnaires, dont trois de ses collaborateurs à la préfecture et Christian Massard, un policier affecté à la sécurité de l'ex-ministre socialiste de l'Intérieur, Daniel Vaillant.
Les quatre fonctionnaires qui avaient été suspendus et mis en examen ont été innocentés par la cour d'appel de Paris en janvier 2011.
M. Blanc a dit mercredi à l'AFP n'avoir "aucune preuve qu'il s'agisse d'un coup monté politique".
"Je pense plutôt à un dérapage de l'IGS motivé par une vision politique des choses (...) Je pense que le préfet de police a été lui-même intoxiqué", a-t-il expliqué.
Pour Me David Lepidi, avocat de M. Blanc et des trois autres fonctionnaires, "c'est l'affaire d'Outreau de la préfecture de police", révélatrice de "la totale impunité de l'IGS en cas de dysfonctionnements".
Un deuxième préfet, ancien patron des renseignements généraux, Pascal Mailhos, actuellement en poste en Bourgogne, a également été placé sous statut de témoin assisté, selon Le Monde. Ils avaient tous deux signé les arrêtés de suspension des fonctionnaires. La justice se demande s'ils n'ont pas eu connaissance d'éléments judiciaires secrets.
Les fonctionnaires ont également saisi le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) sur le cas de la juge ayant décidé des mises en examen.
L'enquête a mis au jour de nombreuses irrégularités, selon Le Monde, procès-verbaux truqués, retranscriptions d'écoutes téléphoniques caviardées, déclarations déformées et pressions sur les témoins.
Indirectement visé par l'enquête truquée, Daniel Vaillant, avait écrit, en mars 2011 à l'ex-procureur général près la cour de Cassation, Jean-Louis Nadal, pour dénoncer "un montage policier destiné à complaire au pouvoir politique dans le contexte de l'élection présidentielle" de 2007.
Il a jugé mercredi que l'enquête était une "manipulation" dont il a été "une des victimes
accusée d'avoir truqué une enquête
TU AS VU QUELQUE CHOSE TOI
mercredi 11 janvier 2012 23:07
La "police des polices" parisienne accusée d'avoir truqué une enquête
Le préfet de police de Paris Michel Gaudin a été entendu par la justice comme témoin assisté dans une enquête sur la police des polices, qui est soupçonnée d'avoir truqué une procédure impliquant quatre fonctionnaires, dont un proche de la gauche, avant la présidentielle de 2007.
Le parquet de Paris s'est refusé à tout commentaire sur ces informations révélées par Le Monde et confirmées à l'AFP par le haut fonctionnaire Yannick Blanc, aujourd'hui directeur de cabinet adjoint du président PS de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon.
Selon Le Monde, quatre juges d'instruction mènent six enquêtes à la suite de plaintes déposées par les fonctionnaires faussement mis en cause, dont une pour "faux en écritures publiques".
Le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a évoqué à l'Assemblée nationale des "informations tronquées" et des "pièces de justice partielles".
Le sénateur-maire PS de Dijon François Rebsamen, proche du candidat socialiste à la présidentielle François Hollande, a jugé que si les faits étaient avérés, ils dénoteraient "l'utilisation par un clan, le clan des amis du +patron+, des services de police à des fins partisanes".
Dans un communiqué, la préfecture de police (PP) a estimé que "le fonctionnement et l’impartialité" de ses services, "ainsi que le préfet de police", ont été mis en cause par des "allégations infondées", brandissant la menace de "suites judiciaires".
L'avocat de M. Gaudin, Me Bertrand Domenach, a confirmé que le préfet avait été entendu le 15 décembre mais assuré qu'il ne risquait pas de mise en examen.
Selon Le Monde, l'Inspection générale des services (IGS, police des polices parisienne) est soupçonnée d'avoir truqué une enquête portant sur un trafic de titres de séjour. Alors directeur de la police générale de la PP, Yannick Blanc, avait été placé en garde à vue.
Préfet de police "intoxiqué"
Dans le livre "Sarko m'a tuer" des deux journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Yannick Blanc, qui se pensait la cible de l'inimitié de Nicolas Sarkozy, explique avoir été "placé sur écoute" en mars et avril 2007, alors qu'il conseillait Ségolène Royal sur l'immigration.
Il ne sera jamais mis en examen à l'inverse de quatre autres fonctionnaires, dont trois de ses collaborateurs à la préfecture et Christian Massard, un policier affecté à la sécurité de l'ex-ministre socialiste de l'Intérieur, Daniel Vaillant.
Les quatre fonctionnaires qui avaient été suspendus et mis en examen ont été innocentés par la cour d'appel de Paris en janvier 2011.
M. Blanc a dit mercredi à l'AFP n'avoir "aucune preuve qu'il s'agisse d'un coup monté politique".
"Je pense plutôt à un dérapage de l'IGS motivé par une vision politique des choses (...) Je pense que le préfet de police a été lui-même intoxiqué", a-t-il expliqué.
Pour Me David Lepidi, avocat de M. Blanc et des trois autres fonctionnaires, "c'est l'affaire d'Outreau de la préfecture de police", révélatrice de "la totale impunité de l'IGS en cas de dysfonctionnements".
Un deuxième préfet, ancien patron des renseignements généraux, Pascal Mailhos, actuellement en poste en Bourgogne, a également été placé sous statut de témoin assisté, selon Le Monde. Ils avaient tous deux signé les arrêtés de suspension des fonctionnaires. La justice se demande s'ils n'ont pas eu connaissance d'éléments judiciaires secrets.
Les fonctionnaires ont également saisi le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) sur le cas de la juge ayant décidé des mises en examen.
L'enquête a mis au jour de nombreuses irrégularités, selon Le Monde, procès-verbaux truqués, retranscriptions d'écoutes téléphoniques caviardées, déclarations déformées et pressions sur les témoins.
Indirectement visé par l'enquête truquée, Daniel Vaillant, avait écrit, en mars 2011 à l'ex-procureur général près la cour de Cassation, Jean-Louis Nadal, pour dénoncer "un montage policier destiné à complaire au pouvoir politique dans le contexte de l'élection présidentielle" de 2007.
Il a jugé mercredi que l'enquête était une "manipulation" dont il a été "une des victimes
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
le président de l'Assemblée a laissé entendre que rater le rendez-vous de 2012 aurait des «conséquences comparables à celles provoquées par une guerre.»
Que Bernard Accoyer plutot que de faire peur aux gens commence à s'interroger sur la façon dont les équipent au pouvoir "gèrent" la France :
- gaspillage, hors coût de la crise évidemment, 500 milliards €, avec accroissement de la dette et des déficits
- baisse du pouvoir d'achat, au moins ressentie (gaz : +65% en 5 ans après une privatisation qui devait favoriser la concurrence et faire baisser les prix) ;
- non lutte contre la fraude et l'évasion fiscales, environ 75 milliards € par an ;
- destruction des services publics, à commencer par l'éducation et la santé ;
- non lutte contre le chômage de masse ;
- stupidité avérée des lois TEPA et LOPSSI ;
- fichiers passés de 37 en 2007, à 80 en 2011 (surveiller pour punir);
- échecs en terme d'immigration et de sécurité ;
- marchés truqués au profit de Bouygues, Vinci et Eiffage ;
- main basse sur la plupart des media ;
- destruction volontaire de la cohésion nationale ;
- multiplication d'antagonismes débiles : vieux/jeunes ; ruraux/urbains ; police/justice ; de souche/pas de souche ; privé/public ; etc...
- soutien de la répression en Libye par la vente d'armes technologiques ;
- désignation hebdomadaire d'un bouc-émissaire national ;
- une pléiade de tenants du pouvoir défilant chez les juges (dans une proportion jamais vue dans toute la Vème république) ;
- création de la "Droite Populaire de l'UMP" pour aller ratisser sur les terres du FN ;
- mépris des "institutions" : Parlement, Cour des Comptes, Conseil d'État, Conseil Constitutionnel, INSEE, OFCE, etc... ;
- communication toujours, action presque jamais ;
- accroissement de la pauvreté ;
- mise au banc de malades, de prostitués, d'homosexuels, de sans-papiers dans le plus total irrespect des dispositifs légaux en vigueur ;
- création du "devoir de haine" ;
- etc...
Alors même que cette liste n'est pas exhaustive, constatons qu'il y a déjà en France une guerre sociale - revoyez 1847-1848 en relisant "Les Mystères de Paris d'Eugène Sue - je ne vois pas comment on peut affirmer que si la gauche accédait au pouvoir, ce serait la guerre. C'est DÉJÀ la guerre, et c'est l'UMP qu l'a délibérément planifiée et organisée !
Liste extraite d'un forum de Libération.fr
Que Bernard Accoyer plutot que de faire peur aux gens commence à s'interroger sur la façon dont les équipent au pouvoir "gèrent" la France :
- gaspillage, hors coût de la crise évidemment, 500 milliards €, avec accroissement de la dette et des déficits
- baisse du pouvoir d'achat, au moins ressentie (gaz : +65% en 5 ans après une privatisation qui devait favoriser la concurrence et faire baisser les prix) ;
- non lutte contre la fraude et l'évasion fiscales, environ 75 milliards € par an ;
- destruction des services publics, à commencer par l'éducation et la santé ;
- non lutte contre le chômage de masse ;
- stupidité avérée des lois TEPA et LOPSSI ;
- fichiers passés de 37 en 2007, à 80 en 2011 (surveiller pour punir);
- échecs en terme d'immigration et de sécurité ;
- marchés truqués au profit de Bouygues, Vinci et Eiffage ;
- main basse sur la plupart des media ;
- destruction volontaire de la cohésion nationale ;
- multiplication d'antagonismes débiles : vieux/jeunes ; ruraux/urbains ; police/justice ; de souche/pas de souche ; privé/public ; etc...
- soutien de la répression en Libye par la vente d'armes technologiques ;
- désignation hebdomadaire d'un bouc-émissaire national ;
- une pléiade de tenants du pouvoir défilant chez les juges (dans une proportion jamais vue dans toute la Vème république) ;
- création de la "Droite Populaire de l'UMP" pour aller ratisser sur les terres du FN ;
- mépris des "institutions" : Parlement, Cour des Comptes, Conseil d'État, Conseil Constitutionnel, INSEE, OFCE, etc... ;
- communication toujours, action presque jamais ;
- accroissement de la pauvreté ;
- mise au banc de malades, de prostitués, d'homosexuels, de sans-papiers dans le plus total irrespect des dispositifs légaux en vigueur ;
- création du "devoir de haine" ;
- etc...
Alors même que cette liste n'est pas exhaustive, constatons qu'il y a déjà en France une guerre sociale - revoyez 1847-1848 en relisant "Les Mystères de Paris d'Eugène Sue - je ne vois pas comment on peut affirmer que si la gauche accédait au pouvoir, ce serait la guerre. C'est DÉJÀ la guerre, et c'est l'UMP qu l'a délibérément planifiée et organisée !
Liste extraite d'un forum de Libération.fr
domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
LE BOUT DE GRAS EST TELLEMENT JUTEUX
QU ils vont pas le laisser partir comme ca tous les artifices sont bons à prendre
VILLEPIN A DIT qu'il y aurait des SURPRISES
ESPERONS QUE TOUTES CES BAUDRUCHES POURRIES EXPLOSENT EN VOL
POUR NETTOYER LE CIEL DE FRANCE
domenico belli a écrit:le président de l'Assemblée a laissé entendre que rater le rendez-vous de 2012 aurait des «conséquences comparables à celles provoquées par une guerre.»
Que Bernard Accoyer plutot que de faire peur aux gens commence à s'interroger sur la façon dont les équipent au pouvoir "gèrent" la France :
- gaspillage, hors coût de la crise évidemment, 500 milliards €, avec accroissement de la dette et des déficits
- baisse du pouvoir d'achat, au moins ressentie (gaz : +65% en 5 ans après une privatisation qui devait favoriser la concurrence et faire baisser les prix) ;
- non lutte contre la fraude et l'évasion fiscales, environ 75 milliards € par an ;
- destruction des services publics, à commencer par l'éducation et la santé ;
- non lutte contre le chômage de masse ;
- stupidité avérée des lois TEPA et LOPSSI ;
- fichiers passés de 37 en 2007, à 80 en 2011 (surveiller pour punir);
- échecs en terme d'immigration et de sécurité ;
- marchés truqués au profit de Bouygues, Vinci et Eiffage ;
- main basse sur la plupart des media ;
- destruction volontaire de la cohésion nationale ;
- multiplication d'antagonismes débiles : vieux/jeunes ; ruraux/urbains ; police/justice ; de souche/pas de souche ; privé/public ; etc...
- soutien de la répression en Libye par la vente d'armes technologiques ;
- désignation hebdomadaire d'un bouc-émissaire national ;
- une pléiade de tenants du pouvoir défilant chez les juges (dans une proportion jamais vue dans toute la Vème république) ;
- création de la "Droite Populaire de l'UMP" pour aller ratisser sur les terres du FN ;
- mépris des "institutions" : Parlement, Cour des Comptes, Conseil d'État, Conseil Constitutionnel, INSEE, OFCE, etc... ;
- communication toujours, action presque jamais ;
- accroissement de la pauvreté ;
- mise au banc de malades, de prostitués, d'homosexuels, de sans-papiers dans le plus total irrespect des dispositifs légaux en vigueur ;
- création du "devoir de haine" ;
- etc...
Alors même que cette liste n'est pas exhaustive, constatons qu'il y a déjà en France une guerre sociale - revoyez 1847-1848 en relisant "Les Mystères de Paris d'Eugène Sue - je ne vois pas comment on peut affirmer que si la gauche accédait au pouvoir, ce serait la guerre. C'est DÉJÀ la guerre, et c'est l'UMP qu l'a délibérément planifiée et organisée !
Liste extraite d'un forum de Libération.fr
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
IL A LA PECHE
IL VA FROLER LES 1 % DS LES SONDAGES
...SANS SE PRESENTER
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
A 21,5 % d'intentions de vote, Marine Le Pen talonne Nicolas Sarkozy selon l'IFOP
LEMONDE.FR avec AFP | 12.01.12 | 20h49 • Mis à jour le 12.01.12 | 21h03
Dans un type de sondage inédit pour la présidentielle mis en place par l'IFOP-Fiducial pour Europe 1 et Paris-Match et publié jeudi 12 janvier, Marine Le Pen fait une percée à 21,5 % d'intentions de vote au 1er tour de la présidentielle. Elle talonne Nicolas Sarkozy (23,5 %), François Hollande restant en tête (27 %).
Il s'agit d'"une enquête en continu : quotidiennement [depuis le] 9 janvier, 300 à 350 électeurs sont interrogés en ligne. La vague du jour est cumulée avec celle des deux jours précédents", précise l'Ifop dans une "note méthodologique". Cette première enquête, d'un type jamais pratiqué jusqu'ici pour une élection présidentielle, porte au total sur 943 personnes inscrites sur les listes électorales, extraites d'un échantillon de 998 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Au second tour, François Hollande battrait Nicolas Sarkozy par 57 % contre 43 %.
ENQUÊTE "EN TEMPS RÉEL"
Selon ce sondage, au 1er tour François Bayrou (MoDem) recueillerait 13 % des intentions de vote, le candidat du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon 6,5 %, celle d'Europe Ecologie-Les Verts Eva Joly 3,5 %. Viennent ensuite Dominique de Villepin (2 %) et le président du Nouveau centre Hervé Morin (1 %).
Sont crédités de 0,5 % des suffrages Nathalie Arthaud (LO), Philippe Poutou (NPA), Jean-Pierre Chevènement (MRC) et Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République). Corinne Lepage (Cap21) et Christine Boutin sont en dessous de 0,5 %. Selon cette enquête "en temps réel", 45 % des personnes interrogées déclarent pouvoir encore changer d'avis, 55 % étant sûres de leur choix.
D'autre part, 43 % des Français souhaitent plutôt la victoire de François Hollande, 31 % souhaitant plutôt celle de Nicolas Sarkozy, et 7 % celle de "ni l'un ni l'autre". 19 % ne savent pas. 30 % pronostiquent une victoire de François Hollande, 22 % celle de Nicolas Sarkozy, 13 celle de ni l'un ni l'autre, tandis que 35 % sont sans opinion
/////////////////////////
Même pas certain que NicolaÏ de Nagy Bocsa soit présent au second tour !
domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
domenico belli a écrit:
A 21,5 % d'intentions de vote, Marine Le Pen talonne Nicolas Sarkozy selon l'IFOP
LEMONDE.FR avec AFP | 12.01.12 | 20h49 • Mis à jour le 12.01.12 | 21h03
Dans un type de sondage inédit pour la présidentielle mis en place par l'IFOP-Fiducial pour Europe 1 et Paris-Match et publié jeudi 12 janvier, Marine Le Pen fait une percée à 21,5 % d'intentions de vote au 1er tour de la présidentielle. Elle talonne Nicolas Sarkozy (23,5 %), François Hollande restant en tête (27 %).
Il s'agit d'"une enquête en continu : quotidiennement [depuis le] 9 janvier, 300 à 350 électeurs sont interrogés en ligne. La vague du jour est cumulée avec celle des deux jours précédents", précise l'Ifop dans une "note méthodologique". Cette première enquête, d'un type jamais pratiqué jusqu'ici pour une élection présidentielle, porte au total sur 943 personnes inscrites sur les listes électorales, extraites d'un échantillon de 998 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Au second tour, François Hollande battrait Nicolas Sarkozy par 57 % contre 43 %.
ENQUÊTE "EN TEMPS RÉEL"
Selon ce sondage, au 1er tour François Bayrou (MoDem) recueillerait 13 % des intentions de vote, le candidat du Front de gauche Jean-Luc Mélenchon 6,5 %, celle d'Europe Ecologie-Les Verts Eva Joly 3,5 %. Viennent ensuite Dominique de Villepin (2 %) et le président du Nouveau centre Hervé Morin (1 %).
Sont crédités de 0,5 % des suffrages Nathalie Arthaud (LO), Philippe Poutou (NPA), Jean-Pierre Chevènement (MRC) et Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République). Corinne Lepage (Cap21) et Christine Boutin sont en dessous de 0,5 %. Selon cette enquête "en temps réel", 45 % des personnes interrogées déclarent pouvoir encore changer d'avis, 55 % étant sûres de leur choix.
D'autre part, 43 % des Français souhaitent plutôt la victoire de François Hollande, 31 % souhaitant plutôt celle de Nicolas Sarkozy, et 7 % celle de "ni l'un ni l'autre". 19 % ne savent pas. 30 % pronostiquent une victoire de François Hollande, 22 % celle de Nicolas Sarkozy, 13 celle de ni l'un ni l'autre, tandis que 35 % sont sans opinion
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Même pas certain que NicolaÏ de Nagy Bocsa soit présent au second tour !
tu as l'air de le regretter seraits tu un traitre à la gauche
la campagne tourne au vinaigre
nous allons nous massacrer ici comme en france
ARTICLE A SUIVRE
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
vendredi 13 janvier 2012 00:29
La campagne tourne au vinaigre à cent jours du scrutin présidentiel
A cent jours du premier tour de l'élection présidentielle, la campagne a pris un tour polémique et violent entre l'UMP et le PS: la première tente d'affaiblir François Hollande d'ici l'entrée en lice de Nicolas Sarkozy, le second rend coup pour coup.
Rarement l'issue d'un scrutin présidentiel (22 avril et 6 mai) aura été aussi imprévisible, soulignent les politologues: la démoralisation des Français, accentuée par une crise financière et économique sans précédent, peut produire "un jeu de massacre" du type 21 avril 2002, lorsque Lionel Jospin avait été éliminé au premier tour, laissant le président sortant Jacques Chirac face à Jean-Marie Le Pen.
Le baromètre de l'économie de l'institut BVA publié jeudi relate "un pessimisme record, le pire début d'année en termes de moral en une décennie".
Dans ce contexte déprimé, les deux favoris, Nicolas Sarkozy et François Hollande, sont dans une forme moyenne, ce qui nourrit des spéculations sur un second tour inédit.
Attaqué sans relâche à droite sur "le vide" et "le flou" de ses propositions, le candidat socialiste est désormais bien au-dessous des cimes irréelles (jusqu'à 39%) des sondages de l'automne.
Du coup, l'écart avec Nicolas Sarkozy se resserre dans les intentions de vote (de 2 à 4 points d'écart). Mais, si Hollande a baissé pour se stabiliser autour de 27-28%, Sarkozy (entre 24 et 26%) ne perce pas et demeure très impopulaire (64% d'opinions négatives).
Parti de 7% et désormais crédité de 11 à 15% des suffrages, François Bayrou (MoDem) est celui qui profite de la situation.
Marine Le Pen (FN) est ancrée à la troisième place avec 16 à 20%. Son potentiel paraît supérieur: 31% des Français se disent d'accord avec les idées du Front national, un record selon TNS-Sofres.
A l'opposé de l'échiquier politique, Jean-Luc Mélenchon (Front de Gauche) suit son bonhomme de chemin, mais loin derrière (6-7% environ), tandis que l'écologiste Eva Joly (3 à 5%) et Dominique de Villepin (2 à 4%) restent dans de basses eaux.
Après une brève trêve des confiseurs, la campagne est repartie sur les chapeaux de roue: tirs à boulets rouges de l'UMP après des propos prêtés abusivement à M. Hollande sur le chef de l'Etat ("sale mec"), sarcasmes à droite après le cafouillage dans les rangs socialistes sur la réforme du quotient familial.
Dramatisation, aussi, le président de l'Assemblée Bernard Accoyer comparant les conséquences d'une alternance politique en 2012 "à celles provoquées par une guerre".
Pour Pascal Perrineau, directeur du Centre d'études de la vie politique (Cevipof), le ton de la campagne, loin des préoccupations des Français, "risque de décevoir les électeurs". "Je crains qu'à servir ce spectacle, on renforce le vote protestataire, ou l'abstention", prévient-il.
Leader de la CFDT, François Chérèque regrette que la campagne électorale "tarde à aborder les sujets de fond" pour s'emparer par exemple de "la célébration de Jeanne d'Arc", et en appelle au retour à "l'essentiel : l'Europe, l'avenir de l'industrie, la compétitivité, la réduction des inégalités".
Le président de la République, lui, veut se concentrer sur le fond et apparaître jusqu'au bout comme un homme d'action et un réformateur, par contraste avec "l'indécision" prêtée à M. Hollande: projets de taxe sur les transactions financières, de baisse des cotisations patronales compensée par une hausse de la TVA pour développer l'emploi, "pactes de compétitivité-emploi" favorisant la flexibilité.
En attendant, l'une des préoccupations des candidats est de réunir les 500 parrainages nécessaires pour pouvoir se présenter au premier tour. Si cela ne pose pas problème à la plupart des candidats les plus
La campagne tourne au vinaigre à cent jours du scrutin présidentiel
A cent jours du premier tour de l'élection présidentielle, la campagne a pris un tour polémique et violent entre l'UMP et le PS: la première tente d'affaiblir François Hollande d'ici l'entrée en lice de Nicolas Sarkozy, le second rend coup pour coup.
Rarement l'issue d'un scrutin présidentiel (22 avril et 6 mai) aura été aussi imprévisible, soulignent les politologues: la démoralisation des Français, accentuée par une crise financière et économique sans précédent, peut produire "un jeu de massacre" du type 21 avril 2002, lorsque Lionel Jospin avait été éliminé au premier tour, laissant le président sortant Jacques Chirac face à Jean-Marie Le Pen.
Le baromètre de l'économie de l'institut BVA publié jeudi relate "un pessimisme record, le pire début d'année en termes de moral en une décennie".
Dans ce contexte déprimé, les deux favoris, Nicolas Sarkozy et François Hollande, sont dans une forme moyenne, ce qui nourrit des spéculations sur un second tour inédit.
Attaqué sans relâche à droite sur "le vide" et "le flou" de ses propositions, le candidat socialiste est désormais bien au-dessous des cimes irréelles (jusqu'à 39%) des sondages de l'automne.
Du coup, l'écart avec Nicolas Sarkozy se resserre dans les intentions de vote (de 2 à 4 points d'écart). Mais, si Hollande a baissé pour se stabiliser autour de 27-28%, Sarkozy (entre 24 et 26%) ne perce pas et demeure très impopulaire (64% d'opinions négatives).
Parti de 7% et désormais crédité de 11 à 15% des suffrages, François Bayrou (MoDem) est celui qui profite de la situation.
Marine Le Pen (FN) est ancrée à la troisième place avec 16 à 20%. Son potentiel paraît supérieur: 31% des Français se disent d'accord avec les idées du Front national, un record selon TNS-Sofres.
A l'opposé de l'échiquier politique, Jean-Luc Mélenchon (Front de Gauche) suit son bonhomme de chemin, mais loin derrière (6-7% environ), tandis que l'écologiste Eva Joly (3 à 5%) et Dominique de Villepin (2 à 4%) restent dans de basses eaux.
Après une brève trêve des confiseurs, la campagne est repartie sur les chapeaux de roue: tirs à boulets rouges de l'UMP après des propos prêtés abusivement à M. Hollande sur le chef de l'Etat ("sale mec"), sarcasmes à droite après le cafouillage dans les rangs socialistes sur la réforme du quotient familial.
Dramatisation, aussi, le président de l'Assemblée Bernard Accoyer comparant les conséquences d'une alternance politique en 2012 "à celles provoquées par une guerre".
Pour Pascal Perrineau, directeur du Centre d'études de la vie politique (Cevipof), le ton de la campagne, loin des préoccupations des Français, "risque de décevoir les électeurs". "Je crains qu'à servir ce spectacle, on renforce le vote protestataire, ou l'abstention", prévient-il.
Leader de la CFDT, François Chérèque regrette que la campagne électorale "tarde à aborder les sujets de fond" pour s'emparer par exemple de "la célébration de Jeanne d'Arc", et en appelle au retour à "l'essentiel : l'Europe, l'avenir de l'industrie, la compétitivité, la réduction des inégalités".
Le président de la République, lui, veut se concentrer sur le fond et apparaître jusqu'au bout comme un homme d'action et un réformateur, par contraste avec "l'indécision" prêtée à M. Hollande: projets de taxe sur les transactions financières, de baisse des cotisations patronales compensée par une hausse de la TVA pour développer l'emploi, "pactes de compétitivité-emploi" favorisant la flexibilité.
En attendant, l'une des préoccupations des candidats est de réunir les 500 parrainages nécessaires pour pouvoir se présenter au premier tour. Si cela ne pose pas problème à la plupart des candidats les plus
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
C'est grave docteur ?
Pour
Nadine Morano ou la dégradation...
Bilibilip… Bilibilip… Bilibilip
- "Allo ?...
- Nadine ?...
- Ooooohhh… Président… Attendez je m’assoie, à chaque fois que vous m’appelez ça me fait trembler les jambes…
- (chuchotis)… [Et au niveau du cerveau ?]
- Hein ?
- Non, non… Rien…
- ...
- Nadine, je vous appelle, car on vient d’être dégradé…
- Dégradé ??? C’est un grade "Président" ? Je savais pas...
- Mais non !!! Dégradé par les agences de notation !!!
- Qui ?...
- (chuchotis) [Oh putain c'est pas gagné...] Nadine... Les agences de notation nous ont enlevé notre triple A... Cet après midi...
- Ah... Et ils nous le remettent quand ?
- MAIS ILS NE NOUS LE REMETTENT PAS, TRIPLE BUSE !!!
- Oh là là... Triple A... Triple buse... Vous m'embrouillez, Président... Mais j'y vois là un coup des socialiss...
- (chuchotis) [Mais quelle tâche...] Mais nooon... les agences de notation sont avec nous, normalement...
- Ah bon ??? Ben pourquoi ils vous ont détraqué alors ?
- Dégradé...
- D'accord, j'ai compris...
- (chuchotis) [Je crois pas non...] Ils nous ont dégradé parce qu'on n'est pas allés assez vite dans le laminage des lois sociales de notre pays... Enfin bref... Je voudrais, pour ne pas ajouter à la confusion que vous vous absteniez...
- Jamais Président... Jamais je m'asbiendrai, abstinerai, enfin le truc que vous dites... J'irai voter pour vous...
- QUE VOUS VOUS ABSTENIEZ... De dire des conner... des blagounettes ces prochains jours...
- Ah ben c'est trop tard pour aujourd'hui Président...
- Pardon ???
- Ben oui, j'étais sur FR3 Picardie tout à l'heure et j'en ai sorti une bonne... Les journalistes étaient pliés... Ils sont tous sortis en courant avec leurs portables...
- D'aaaaaccooooord... Et vous avez dit quoi, par curiosité intellectuelle ?
- J'ai dit que si François Hollande voulait marier les pédés, c'était pas la peine qu'il vienne se plaindre après de la baisse de natalité en Corrèze...
- Noooooon...
- Si... C'est drôle hein ?... Chuis un sniper, Président ?
- Oui... Vous êtes un sniper, Nadine... Vous êtes même une spécialiste dans votre genre... Spécialiste des "tirs amis"...
- Merci Président... Je peux continuer alors ?
- Je m'en fous Nadine... Je m'en fous...
- Vous êtes triste parce que vous êtes débarqué ?
- Dégradé, Nadine... Dégradé... Débarqué c'est dans 4 mois..."
( Source: forum Libé.fr!)
Sinon et notre Petit Vizir à talonnettes, il en pense quoi?
Va nous expliquer que c'est pas grave, et que l'avenir s'annonce rose ....
Hein ? Ah non, surtout pas rose !
Mais pour la Sarkozie, surement morose ...
Pour
Nadine Morano ou la dégradation...
Bilibilip… Bilibilip… Bilibilip
- "Allo ?...
- Nadine ?...
- Ooooohhh… Président… Attendez je m’assoie, à chaque fois que vous m’appelez ça me fait trembler les jambes…
- (chuchotis)… [Et au niveau du cerveau ?]
- Hein ?
- Non, non… Rien…
- ...
- Nadine, je vous appelle, car on vient d’être dégradé…
- Dégradé ??? C’est un grade "Président" ? Je savais pas...
- Mais non !!! Dégradé par les agences de notation !!!
- Qui ?...
- (chuchotis) [Oh putain c'est pas gagné...] Nadine... Les agences de notation nous ont enlevé notre triple A... Cet après midi...
- Ah... Et ils nous le remettent quand ?
- MAIS ILS NE NOUS LE REMETTENT PAS, TRIPLE BUSE !!!
- Oh là là... Triple A... Triple buse... Vous m'embrouillez, Président... Mais j'y vois là un coup des socialiss...
- (chuchotis) [Mais quelle tâche...] Mais nooon... les agences de notation sont avec nous, normalement...
- Ah bon ??? Ben pourquoi ils vous ont détraqué alors ?
- Dégradé...
- D'accord, j'ai compris...
- (chuchotis) [Je crois pas non...] Ils nous ont dégradé parce qu'on n'est pas allés assez vite dans le laminage des lois sociales de notre pays... Enfin bref... Je voudrais, pour ne pas ajouter à la confusion que vous vous absteniez...
- Jamais Président... Jamais je m'asbiendrai, abstinerai, enfin le truc que vous dites... J'irai voter pour vous...
- QUE VOUS VOUS ABSTENIEZ... De dire des conner... des blagounettes ces prochains jours...
- Ah ben c'est trop tard pour aujourd'hui Président...
- Pardon ???
- Ben oui, j'étais sur FR3 Picardie tout à l'heure et j'en ai sorti une bonne... Les journalistes étaient pliés... Ils sont tous sortis en courant avec leurs portables...
- D'aaaaaccooooord... Et vous avez dit quoi, par curiosité intellectuelle ?
- J'ai dit que si François Hollande voulait marier les pédés, c'était pas la peine qu'il vienne se plaindre après de la baisse de natalité en Corrèze...
- Noooooon...
- Si... C'est drôle hein ?... Chuis un sniper, Président ?
- Oui... Vous êtes un sniper, Nadine... Vous êtes même une spécialiste dans votre genre... Spécialiste des "tirs amis"...
- Merci Président... Je peux continuer alors ?
- Je m'en fous Nadine... Je m'en fous...
- Vous êtes triste parce que vous êtes débarqué ?
- Dégradé, Nadine... Dégradé... Débarqué c'est dans 4 mois..."
( Source: forum Libé.fr!)
Sinon et notre Petit Vizir à talonnettes, il en pense quoi?
Va nous expliquer que c'est pas grave, et que l'avenir s'annonce rose ....
Hein ? Ah non, surtout pas rose !
Mais pour la Sarkozie, surement morose ...
domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
MES CHERS CON ET CITOYENS
NE VOUS INQUIETEZ PAS JE SUIS ENCORE LA
AUJOURD "HUI VENDREDI 13 JANVIER 2011
LA FRANCE EST ET RESTERA EN 1 ERE DIVISON DES PUISSANCES ECONOMIQUES
ALLONS CHANTONS TOUS ENSEMBLES LA MARSEILLAISE ..........
vendredi 13 janvier 2012 20:05
Zone euro: la France va perdre son AAA, la Grèce en suspens
La France va perdre vendredi son précieux "AAA" auprès de Standard & Poor's, qui s'apprête à dégrader aussi d'autres pays de la zone euro mais pas l'Allemagne, ravivant la crise au moment où des négociations vitales sur la Grèce sont en passe d'échouer.
Ce coup de tonnerre, attendu depuis début décembre, va consacrer un décrochage entre les deux premières économies de la zone euro. Paris et Berlin bénéficiaient tous deux jusqu'ici de la meilleure notation financière possible, qui permet d'emprunter à moindre coût sur le marché de la dette.
"La France perd son triple A", a déclaré à l'AFP une source gouvernementale européenne, précisant que d'autres pays allaient sans doute subir le même sort.
La note de la dette à long terme de Paris passerait ainsi à AA+, perdant un cran, ont précisé à l'AFP deux sources européennes. La France était le plus important Etat de la zone euro menacé par Standard & Poor's (S&P) d'une dégradation de deux crans.
Les deux autres grandes agences internationales, Moody's et Fitch, attribuent toujours, pour l'instant, un "triple A" à la France.
S&P a informé vendredi les gouvernements concernés par sa décision, selon la source gouvernementale, signe qu'elle sera annoncée vraisemblablement dans la soirée en Europe, après la clôture des marchés.
Outre l'Allemagne, les Pays-Bas et le Luxembourg vont conserver leur "AAA", a ajouté la source gouvernementale. La Belgique est aussi épargnée mais elle est déjà notée "AA", soit deux crans en dessous du meilleur niveau, a-t-elle précisé.
Deux autres pays de la zone euro, l'Autriche et la Finlande, bénéficient jusqu'ici aussi de la meilleure note possible. L'un des deux va la perdre, a dit à l'AFP une source européenne, sans pouvoir préciser lequel.
S&P s'est refusée à tout commentaire. L'agence d'évaluation financière menace depuis le 5 décembre d'abaisser la note de 15 Etats de la zone euro, dont les six notés "triple A".
La dégradation de la note française va intervenir au pire moment pour le président Nicolas Sarkozy, qui a longtemps fait du maintien du "triple A" une priorité nationale, à cent jours de l'élection présidentielle à laquelle il sera candidat selon toute vraisemblance.
"Aujourd'hui, la France est une valeur sûre, elle peut rembourser sa dette et les nouvelles concernant notre déficit sont meilleures que prévu", a réagi la ministre du Budget Valérie Pécresse, tout en refusant de confirmer ou de démentir les informations sur la note de son pays.
L'abaissement de la note de la France, deuxième contributeur derrière l'Allemagne des fonds de soutien aux Etats de la zone euro en difficulté financière, risque surtout d'ébranler ces mécanismes qui peinent déjà à endiguer la propagation de la crise.
Ces informations ont fait tomber dans le rouge les places financières en Europe, qui étaient en hausse jusqu'en début d'après-midi dans la foulée de nouvelles émissions obligataires réussies en Italie, signal initialement perçu comme un début d'accalmie après des mois de turbulences.
Mais les marchés obligataires et les Bourses, qui avaient déjà largement intégré le risque d'une dégradation plus ou moins collective des notes, ont résisté tant bien que mal, Paris perdant seulement 0,11% et Francfort 0,58%.
De son côté, l'euro dégringolait par rapport au dollar, tombant à son plus bas niveau depuis août 2010, à un peu plus de 1,26 dollar.
"Vu que Berlin ne sera pas concernée par cette dégradation, on pense que la note de la France ne sera dégradée que d'un seul cran, ce qui n'est pas si mal", a commenté Cyril Regnat, un analyste parisien.
"Depuis le début de l'année, les investisseurs se focalisent moins sur les commentaires d'agences de notation, mais davantage sur la capacité des Etats sous pression à se refinancer", a expliqué Renaud Murail, gérant d'actions chez Barclays Bourse.
Or l'Espagne et l'Italie, les pays les plus exposés, ont réussi leurs premières émissions de dette de l'année jeudi et vendredi.
En revanche, une autre mauvaise nouvelle est arrivée vendredi d'Athènes, épicentre de la crise de la dette depuis début 2010.
Les banques ont annoncé qu'elles suspendaient leurs négociations avec la Grèce sur les modalités de la restructuration de sa dette publique. Elles ont laissé entendre qu'elles pourraient revenir sur leur engagement à en effacer volontairement une grande partie.
L'Institut de la finance internationale (IIF), lobby mondial des banques, affirme qu'"en dépit des efforts des dirigeants grecs", la proposition des banques d'abandonner 50% de la dette de l'Etat grec en leur possession "n'a pas abouti à une réponse ferme et constructive de la part de toutes les parties".
"Dans ces conditions, les discussions avec la Grèce [...] sont suspendues pour permettre une réflexion sur les bénéfices d'une approche volontaire", a ajouté l'IIF dans un communiqué.
Les créanciers privés de la Grèce s'étaient engagés le 27 octobre auprès des dirigeants de la zone euro à renoncer d'eux-mêmes à recouvrer environ 100 milliards d'euros sur leurs créances afin d'éviter une faillite incontrôlée du pays.
Quelques minutes après l'annonce des banques, une source proche des négociations a dit à l'AFP à Athènes que celles-ci traversaient un état de tension "extrême", et que les parties impliquées devaient "prendre conscience de la très grave situation" pour "éviter le pire
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Courbe de notre dette, oh combien himalayenne ...
>http://www.syti.net/Endettement.html<
Surtout accentuée dans les 5 dernières années, par la grandeur d'esprit et d'entreprise de notre petit visionnaire de Nagy Bocsa et de son sherpa Fillon!
Bon, maintenant attendons nous à une taxation de la bettrave à sucre ...
>http://www.syti.net/Endettement.html<
Surtout accentuée dans les 5 dernières années, par la grandeur d'esprit et d'entreprise de notre petit visionnaire de Nagy Bocsa et de son sherpa Fillon!
Bon, maintenant attendons nous à une taxation de la bettrave à sucre ...
domenico belli- Messages : 2494
Date d'inscription : 27/06/2009
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Localisation : NORMANDIE
Re: PRESIDENTIELLES 2012
domenico belli a écrit:Courbe de notre dette, oh combien himalayenne ...
>http://www.syti.net/Endettement.html<
Surtout accentuée dans les 5 dernières années, par la grandeur d'esprit et d'entreprise de notre petit visionnaire de Nagy Bocsa et de son sherpa Fillon!
Bon, maintenant attendons nous à une taxation de la bettrave à sucre ...
mon cher domenico si nous devions faire un gouvernement sur que tu pourrais briguer le poste de ministre de l'economie
beau schema et explications tres claires
en y regardant en detail
2 hommes ont reussi à faire courber l'echine de la HAUSSE DE LA DETTE
JOSPIN ET VILLEPIN les autres sont sur des exponentielles himala''hyenes ''
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
aladin a écrit:
MES CHERS CON ET CITOYENS
NE VOUS INQUIETEZ PAS JE SUIS ENCORE LA
AUJOURD "HUI VENDREDI 13 JANVIER 2011
LA FRANCE EST ET RESTERA EN 1 ERE DIVISON DES PUISSANCES ECONOMIQUES
ALLONS CHANTONS TOUS ENSEMBLES LA MARSEILLAISE ..........
Nous ne sommes pas seuls sur le radeau !
Voici les nouvelles notes attribuées à la dette de long terme des 17 Etats membres de la zone euro par l'agence d'évaluation financière Standard and Poor's, qui en a abaissé neuf vendredi soir:
ALLEMAGNE: AAA confirmé, perspective stable
AUTRICHE: note abaissée d'un cran, de AAA à AA+, perspective négative
BELGIQUE: AA confirmé, perspective négative
CHYPRE: note abaissée de deux crans, de BBB à BB+ dans la catégorie des investissements spéculatifs, perspectives négative
ESPAGNE: note abaissée de deux crans, de AA- à A, perspective négative
ESTONIE: note confirmée AA-, perspective négative
FINLANDE: AAA confirmé, perspective négative
FRANCE: note abaissée d'un cran, de AAA à AA+, perspective négative
GRECE: CC, perspective négative (le pays n'était pas concerné par les décisions de vendredi)
IRLANDE: BBB+ confirmé, perspective négative
ITALIE: note abaissée de deux crans, de A à BBB+, perspective négative
LUXEMBOURG: AAA confirmé, perspective négative
MALTE: note abaissée d'un cran, de A à A-, perspective négative
PAYS-BAS: AAA confirmé, perspective négative
PORTUGAL: note abaissée de deux crans, de BBB- à BB, dans la catégorie des investissements spéculatifs, perspective négative
SLOVAQUIE: note abaissée d'un cran, de A+ à A, perspective stable
SLOVENIE: note abaissée d'un cran, de AA- à A+, perspective négative.
Notre Omnipotent Tsarkozy de Nagy Bocsa, va t'il continuer sa fuite en avant, et menacera t’il encore logtemps les banques, avec sa taxe Tobin ?
Ils vont finir par le débarquer comme l'Papat'es ou..., et l'Berlusquequette !
domenico belli- Messages : 2494
Date d'inscription : 27/06/2009
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
mon cher domenico
mon futur ministre de l'economie de mon gouvernement des indignés
comme j'ai pas mal d'articles de sport a venir
pourraits tu classer les 17 nations europeennes que tu as mises dans l'ordre decroissant de leurs notes
merci POUR LA FRANCE là elles sont par ordre alphabetique ce qui nuit a notre comprehension economique
ALLEMAGNE: AAA confirmé, perspective stable
AUTRICHE: note abaissée d'un cran, de AAA à AA+, perspective négative
BELGIQUE: AA confirmé, perspective négative
CHYPRE: note abaissée de deux crans, de BBB à BB+ dans la catégorie des investissements spéculatifs, perspectives négative
ESPAGNE: note abaissée de deux crans, de AA- à A, perspective négative
ESTONIE: note confirmée AA-, perspective négative
FINLANDE: AAA confirmé, perspective négative
FRANCE: note abaissée d'un cran, de AAA à AA+, perspective négative
GRECE: CC, perspective négative (le pays n'était pas concerné par les décisions de vendredi)
IRLANDE: BBB+ confirmé, perspective négative
ITALIE: note abaissée de deux crans, de A à BBB+, perspective négative
LUXEMBOURG: AAA confirmé, perspective négative
MALTE: note abaissée d'un cran, de A à A-, perspective négative
PAYS-BAS: AAA confirmé, perspective négative
PORTUGAL: note abaissée de deux crans, de BBB- à BB, dans la catégorie des investissements spéculatifs, perspective négative
SLOVAQUIE: note abaissée d'un cran, de A+ à A, perspective stable
SLOVENIE
domenico belli a écrit:aladin a écrit:
MES CHERS CON ET CITOYENS
NE VOUS INQUIETEZ PAS JE SUIS ENCORE LA
AUJOURD "HUI VENDREDI 13 JANVIER 2011
LA FRANCE EST ET RESTERA EN 1 ERE DIVISON DES PUISSANCES ECONOMIQUES
ALLONS CHANTONS TOUS ENSEMBLES LA MARSEILLAISE ..........
Nous ne sommes pas seuls sur le radeau !
Voici les nouvelles notes attribuées à la dette de long terme des 17 Etats membres de la zone euro par l'agence d'évaluation financière Standard and Poor's, qui en a abaissé neuf vendredi soir:
ALLEMAGNE: AAA confirmé, perspective stable
AUTRICHE: note abaissée d'un cran, de AAA à AA+, perspective négative
BELGIQUE: AA confirmé, perspective négative
CHYPRE: note abaissée de deux crans, de BBB à BB+ dans la catégorie des investissements spéculatifs, perspectives négative
ESPAGNE: note abaissée de deux crans, de AA- à A, perspective négative
ESTONIE: note confirmée AA-, perspective négative
FINLANDE: AAA confirmé, perspective négative
FRANCE: note abaissée d'un cran, de AAA à AA+, perspective négative
GRECE: CC, perspective négative (le pays n'était pas concerné par les décisions de vendredi)
IRLANDE: BBB+ confirmé, perspective négative
ITALIE: note abaissée de deux crans, de A à BBB+, perspective négative
LUXEMBOURG: AAA confirmé, perspective négative
MALTE: note abaissée d'un cran, de A à A-, perspective négative
PAYS-BAS: AAA confirmé, perspective négative
PORTUGAL: note abaissée de deux crans, de BBB- à BB, dans la catégorie des investissements spéculatifs, perspective négative
SLOVAQUIE: note abaissée d'un cran, de A+ à A, perspective stable
SLOVENIE: note abaissée d'un cran, de AA- à A+, perspective négative.
Notre Omnipotent Tsarkozy de Nagy Bocsa, va t'il continuer sa fuite en avant, et menacera t’il encore logtemps les banques, avec sa taxe Tobin ?
Ils vont finir par le débarquer comme l'Papat'es ou..., et l'Berlusquequette !
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
"Si je votais en France, je pourrais être
tenté par le vote utile pour François
Hollande pour battre Nicolas Sarkozy."
Daniel Cohn-Bendit, figure d’Europe-Écologie-Les Verts, s’interroge sur
la pertinence de la candidature d’Eva Joly face à lamontée du FN
tenté par le vote utile pour François
Hollande pour battre Nicolas Sarkozy."
Daniel Cohn-Bendit, figure d’Europe-Écologie-Les Verts, s’interroge sur
la pertinence de la candidature d’Eva Joly face à lamontée du FN
aladin- Messages : 115038
Date d'inscription : 23/06/2009
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
aladin a écrit:"Si je votais en France, je pourrais être
tenté par le vote utile pour François
Hollande pour battre Nicolas Sarkozy."
Daniel Cohn-Bendit, figure d’Europe-Écologie-Les Verts, s’interroge sur
la pertinence de la candidature d’Eva Joly
face à lamontée du FN
C'est une façon de voir les choses
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
aladin a écrit:
mon cher domenico
mon futur ministre de l'economie de mon gouvernement des indignés
comme j'ai pas mal d'articles de sport a venir
pourraits tu classer les 17 nations europeennes que tu as mises dans l'ordre decroissant de leurs notes
merci POUR LA FRANCE là elles sont par ordre alphabetique ce qui nuit a notre comprehension economique
La voilou !
ALLEMAGNE: AAA confirmé, perspective stable
FINLANDE: AAA confirmé, perspective négative
LUXEMBOURG: AAA confirmé, perspective négative
PAYS-BAS: AAA confirmé, perspective négative
AUTRICHE: note abaissée d'un cran, de AAA à AA+, perspective négative
FRANCE: note abaissée d'un cran, de AAA à AA+, perspective négative
BELGIQUE: AA confirmé, perspective négative
ESTONIE: note confirmée AA-, perspective négative
SLOVENIE: note abaissée d'un cran, de AA- à A+, perspective négative
SLOVAQUIE: note abaissée d'un cran, de A+ à A, perspective stable
ESPAGNE: note abaissée de deux crans, de AA- à A, perspective négative
MALTE: note abaissée d'un cran, de A à A-, perspective négative
IRLANDE: BBB+ confirmé, perspective négative
ITALIE: note abaissée de deux crans, de A à BBB+, perspective négative
CHYPRE: note abaissée de deux crans, de BBB à BB+ dans la catégorie des investissements spéculatifs, perspectives négative
PORTUGAL: note abaissée de deux crans, de BBB- à BB, dans la catégorie des investissements spéculatifs, perspective négative
GRECE: CC, perspective négative (le pays n'était pas concerné par les décisions de vendredi)
Réactions diverses z'et variées....
François Hollande, qui a jugé que «c’est une politique qui a été dégradée, pas la France», «Nicolas Sarkozy avait fait de la conservation du triple A un objectif de sa politique et même une obligation pour son gouvernement. C’est ainsi qu’avaient été justifiés pas moins de deux plans de rigueur en quatre mois. Cette bataille, et je le regrette, a été perdue», a-t-il ajouté.
«C’est la crédibilité de la stratégie conduite depuis 2007 qui est mise en cause», a-t-il estimé. Il a affirmé que son programme pour 2012 permettra de «mettre la France sur le chemin du redressement dans la justice et par la croissance».
M. Bayrou «ne met pas tout le monde sur le même plan» et juge que «naturellement, il y a une responsabilité récente des gouvernements de Nicolas Sarkozy», la situation actuelle a, selon lui, «pris naissance au milieu ou à la fin des années 90» et «engage donc la responsabilité des deux forces qu’on présente comme principales, l’UMP et le PS».
Le Front de Gauche, dont le candidat Jean-Luc Mélenchon a lancé un appel à «résister» à «la guerre de la finance contre la France», organise samedi et dimanche en fin de journée des rassemblements devant le siège parisien de Standard & Poor’s.
Marine Le Pen, avait déclaré que la dégradation de la note sonnait la «fin du mythe du président protecteur»,
Eva Joly, elle traduit «l’échec de la politique de Nicolas Sarkozy, de ses cadeaux fiscaux».
Et notre chef de gouvernement de répondre:
M. Fillon a jugé que cette dégradation de la note était «à contre-temps au regard des efforts engagés par la zone euro, des efforts que les investisseurs d’ailleurs commencent à reconnaître». Elle «constitue une alerte qui ne doit pas être dramatisée, pas plus qu’elle ne doit être sous-estimée».
Visant les socialistes, il a lancé: «ceux qui dramatisent la situation doivent y réfléchir à deux fois: ce sont en effet les mêmes qui ont refusé de voter les réformes destinées à renforcer notre compétitivité ou à réduire les déficits, que ce soit la réduction des effectifs dans la fonction publique ou la réforme des retraites», ou encore la règle d’or.
Les mesures budgétaires que nous avons prises sont suffisantes à ce stade» mais «lorsque nous aurons une meilleure visibilité sur notre croissance nous pourrons procéder à des ajustements», a-t-il indiqué. «Je ne crois pas que cette décision changera quoi que ce soit à la relation entre la France et l’Allemagne», a-t-il aussi assuré.
A suivre....
domenico belli- Messages : 2494
Date d'inscription : 27/06/2009
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
ok super donc nous sommes 6 eme en europe
appele angela qu'elle se trouve unautre sbire pour faire ses shows televisés le notre n'est plus credible
par exemple un hollande-ais qui a encore son AAA
sur fr3 pecresse est venue toute penaude parler dedramartiser
la journaliste lui a demandé pourquoi le chef envoie ses sousfifres pour annoncer les mauvaises nouvelles alors que d'hab on le voit sans arret là il se cache
domenico belli a écrit:aladin a écrit:
mon cher domenico
mon futur ministre de l'economie de mon gouvernement des indignés
comme j'ai pas mal d'articles de sport a venir
pourraits tu classer les 17 nations europeennes que tu as mises dans l'ordre decroissant de leurs notes
merci POUR LA FRANCE là elles sont par ordre alphabetique ce qui nuit a notre comprehension economique
La voilou !
ALLEMAGNE: AAA confirmé, perspective stable
FINLANDE: AAA confirmé, perspective négative
LUXEMBOURG: AAA confirmé, perspective négative
PAYS-BAS: AAA confirmé, perspective négative
AUTRICHE: note abaissée d'un cran, de AAA à AA+, perspective négative
FRANCE: note abaissée d'un cran, de AAA à AA+, perspective négative
BELGIQUE: AA confirmé, perspective négative
ESTONIE: note confirmée AA-, perspective négative
SLOVENIE: note abaissée d'un cran, de AA- à A+, perspective négative
SLOVAQUIE: note abaissée d'un cran, de A+ à A, perspective stable
ESPAGNE: note abaissée de deux crans, de AA- à A, perspective négative
MALTE: note abaissée d'un cran, de A à A-, perspective négative
IRLANDE: BBB+ confirmé, perspective négative
ITALIE: note abaissée de deux crans, de A à BBB+, perspective négative
CHYPRE: note abaissée de deux crans, de BBB à BB+ dans la catégorie des investissements spéculatifs, perspectives négative
PORTUGAL: note abaissée de deux crans, de BBB- à BB, dans la catégorie des investissements spéculatifs, perspective négative
GRECE: CC, perspective négative (le pays n'était pas concerné par les décisions de vendredi)
Réactions diverses z'et variées....
François Hollande, qui a jugé que «c’est une politique qui a été dégradée, pas la France», «Nicolas Sarkozy avait fait de la conservation du triple A un objectif de sa politique et même une obligation pour son gouvernement. C’est ainsi qu’avaient été justifiés pas moins de deux plans de rigueur en quatre mois. Cette bataille, et je le regrette, a été perdue», a-t-il ajouté.
«C’est la crédibilité de la stratégie conduite depuis 2007 qui est mise en cause», a-t-il estimé. Il a affirmé que son programme pour 2012 permettra de «mettre la France sur le chemin du redressement dans la justice et par la croissance».
M. Bayrou «ne met pas tout le monde sur le même plan» et juge que «naturellement, il y a une responsabilité récente des gouvernements de Nicolas Sarkozy», la situation actuelle a, selon lui, «pris naissance au milieu ou à la fin des années 90» et «engage donc la responsabilité des deux forces qu’on présente comme principales, l’UMP et le PS».
Le Front de Gauche, dont le candidat Jean-Luc Mélenchon a lancé un appel à «résister» à «la guerre de la finance contre la France», organise samedi et dimanche en fin de journée des rassemblements devant le siège parisien de Standard & Poor’s.
Marine Le Pen, avait déclaré que la dégradation de la note sonnait la «fin du mythe du président protecteur»,
Eva Joly, elle traduit «l’échec de la politique de Nicolas Sarkozy, de ses cadeaux fiscaux».
Et notre chef de gouvernement de répondre:
M. Fillon a jugé que cette dégradation de la note était «à contre-temps au regard des efforts engagés par la zone euro, des efforts que les investisseurs d’ailleurs commencent à reconnaître». Elle «constitue une alerte qui ne doit pas être dramatisée, pas plus qu’elle ne doit être sous-estimée».
Visant les socialistes, il a lancé: «ceux qui dramatisent la situation doivent y réfléchir à deux fois: ce sont en effet les mêmes qui ont refusé de voter les réformes destinées à renforcer notre compétitivité ou à réduire les déficits, que ce soit la réduction des effectifs dans la fonction publique ou la réforme des retraites», ou encore la règle d’or.
Les mesures budgétaires que nous avons prises sont suffisantes à ce stade» mais «lorsque nous aurons une meilleure visibilité sur notre croissance nous pourrons procéder à des ajustements», a-t-il indiqué. «Je ne crois pas que cette décision changera quoi que ce soit à la relation entre la France et l’Allemagne», a-t-il aussi assuré.
A suivre....
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Elles sont un peu comme celui qui "regarde jouer"
depuis les tribunes et lance: "je n'aurais pas fait comme cela,
j'aurais passé à l'arrière, au gardien, mais si j'avais passé au gardien peut-être
que celui-ci n'aurait pas rattrapé la balle".
samedi 14 janvier 2012 17:52
La France sur la corde raide entre rigueur et croissance
Au lendemain de la perte de son triple A, la France se refuse à changer de cap, préférant des "réformes structurelles" à une austérité redoublée qui casserait une croissance atone, un choix controversé.
Commentant samedi la dégradation de la note de la France par Standard & Poor's, le Premier ministre François Fillon a maintenu le cap, excluant "des décisions massives de réduction des dépenses" qui feraient "prendre un risque majeur" à la croissance.
Le chef du gouvernement table plutôt sur des "réformes structurelles pour améliorer la compétitivité de l'économie française", telle que la réforme des retraites. De nouvelles "mesures fortes" doivent être annoncées lors du sommet social qui sera réuni à l'Elysée mercredi.
François Fillon a évoqué sans la nommer la TVA sociale qui vise à "abaisser le coût du travail", la "formation des demandeurs d'emploi" ou "des accords de compétitivité dans les entreprises".
Mais sera-ce suffisant pour redresser la barre et éviter une nouvelle dégradation du "AA+" dont est désormais affublée la France ?
Soulignant que la priorité était de réduire la dette publique, Philippe Dessertine, directeur de l'Institut de Haute Finance, en doute. Il rappelle les deux plans de rigueur décidés depuis l'été mais s'interroge sur leur ampleur, une vingtaine de milliards d'euros alors que la dette publique approche 1.700 milliards.
"On voit que nos voisins ont eu des plans de rigueur beaucoup plus forts", a-t-il observé samedi sur France Info, estimant que "les réponses de la France ont été peut-être un peu légères par rapport à la problématique posée".
Les mots "austérité" et "rigueur" sont bannis du vocabulaire gouvernemental et sans doute "impopulaires auprès de l'électorat" mais il faut "regarder les choses en face" même en cette période pré-électorale, estime-t-il.
"La France a fait le pari de réduire très progressivement son déficit (...) Cette stratégie contraste violemment avec celle de l'Allemagne", résume pour l'AFP l'économiste Elie Cohen, directeur de recherches au CNRS.
En campagne pour la présidentielle, Dominique de Villepin a appelé sur Europe 1 à "un plan de rigueur sérieux et crédible", regrettant "des petits plans qui n'étaient pas à la mesure des enjeux" et auxquels "personne n'a cru, ni les Français, ni les agences de notation, ni les Etats étrangers".
De la même manière, Jacques Attali, l'ancien conseiller spécial de François Mitterrand, a appelé à un nouveau plan de rigueur "qui permette de réduire le déficit maintenant, car en mai, juin ou août, ce sera trop tard".
Standard & Poor's a assorti sa décision sur la France d'une série d'avertissements. L'agence de notation américaine pointe les risques que feraient courir des réformes "basées sur le seul pilier de l'austérité budgétaire".
Mais elle avertit paradoxalement qu'une nouvelle dégradation de la note de la France est envisageable dans les deux ans dans la mesure où les plans de rigueur adoptés jusqu'à présent "pourraient s'avérer insuffisants pour atteindre les objectifs de réduction des déficits" en 2012 ou 2013, années où la croissance économique pourrait, de surcroît, ne pas être au rendez-vous.
En d'autres termes, S&P cartographie les écueils sans trancher le débat entre tenants de l'austérité et de la relance.
Filant la métaphore footbalistique, l'ancien président socialiste de la la Commission européenne Jacques Delors a dit "tout le bien" qu'il pensait des agences de notation, sur BFMTV.
Elles sont un peu comme celui qui "regarde jouer" depuis les tribunes et lance: "je n'aurais pas fait comme cela, j'aurais passé à l'arrière, au gardien, mais si j'avais passé au gardien peut-être que celui-ci n'aurait pas rattrapé la balle".
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
UN VRAI BIDON
aladin- Messages : 115038
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