PRESIDENTIELLES 2012
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
France
Lamour demande que la ville de Paris ne finance plus le sport professionnel
Football jeudi 22 décembre 2011 Le responsable UMP parisien et ancien ministre des Sports Jean-François Lamour a demandé jeudi à la ville de Paris de ne plus financer les équipements sportifs professionnels, s'attirant une accusation de «démagogie» de la part de la mairie puisqu'il vote chaque année les subventions au PSG notamment.
Lors d'un entretien avec l'AFP jeudi, l'ancien ministre des Sports Jean-François Lamour a jugé que «la vraie» question n'est pas tant le salaire de l'éventuel futur joueur du PSG David Beckham que le financement par la Ville des équipements sportifs professionnels.
«Une collectivité qui augmente ses taxes ne doit plus participer au financement des équipements sportifs professionnels», a dit jeudi à l'AFP le député UMP, double champion olympique, citant «les 200 millions d'euros de la Ville destinés au stade Jean-Bouin qui accueillera du rugby professionnel et 10 matches par an».
Dans un communiqué publié jeudi soir, Jean Vuillermoz, adjoint PCF chargé des Sports, lui a répondu: «comme c'est le cas dans toutes les grandes villes de France, la Ville de Paris soutient ses clubs sportifs professionnels, dans l'ensemble des disciplines, tels que le Paris Saint-Germain, le Paris Handball, le Paris Volley ou le Stade Français Rugby». «Ce dispositif d'aides est prévu par la loi du 16 juillet 1984 relative à l'organisation et à la promotion des activités physiques et sportives», a ajouté l'adjoint de Bertrand Delanoë.
Alors que M. Lamour a jugé «anecdotique» la baisse décidée par Bertrand Delanoë de la subvention 2011 et 2012 au PSG, M. Vuillermoz lui a rappelé sa position «opportuniste»: «le groupe UMP a toujours voté la subvention au club, y compris pour la subvention 2011 qui a été adoptée par le Conseil de Paris, le 13 décembre dernier». «Il (M. Lamour) ne peut donc pas ignorer que le montant de la subvention a baissé spectaculairement depuis 2001» car «le PSG percevait 6,6 millions d'euros par an avant 2001», année de l'élection de M. Delanoë. «Compte tenu de la crise économique», la subvention «a encore été diminuée de 250.000 euros en 2011 pour être portée à 1,25 M EUR. En 2012, le montant de la subvention connaîtra une nouvelle baisse» rappelle l'élu, et ne dépassera pas le million d'euros. «Le propos tenu aujourd'hui (jeudi) par Jean-François Lamour relève donc d'une démagogie politicienne, voire d'une forme de manipulation de la vérité, absolument consternante de la part d'un responsable public, ancien ministre des sports», a encore déploré l'adjoint.
Lamour demande que la ville de Paris ne finance plus le sport professionnel
Football jeudi 22 décembre 2011 Le responsable UMP parisien et ancien ministre des Sports Jean-François Lamour a demandé jeudi à la ville de Paris de ne plus financer les équipements sportifs professionnels, s'attirant une accusation de «démagogie» de la part de la mairie puisqu'il vote chaque année les subventions au PSG notamment.
Lors d'un entretien avec l'AFP jeudi, l'ancien ministre des Sports Jean-François Lamour a jugé que «la vraie» question n'est pas tant le salaire de l'éventuel futur joueur du PSG David Beckham que le financement par la Ville des équipements sportifs professionnels.
«Une collectivité qui augmente ses taxes ne doit plus participer au financement des équipements sportifs professionnels», a dit jeudi à l'AFP le député UMP, double champion olympique, citant «les 200 millions d'euros de la Ville destinés au stade Jean-Bouin qui accueillera du rugby professionnel et 10 matches par an».
Dans un communiqué publié jeudi soir, Jean Vuillermoz, adjoint PCF chargé des Sports, lui a répondu: «comme c'est le cas dans toutes les grandes villes de France, la Ville de Paris soutient ses clubs sportifs professionnels, dans l'ensemble des disciplines, tels que le Paris Saint-Germain, le Paris Handball, le Paris Volley ou le Stade Français Rugby». «Ce dispositif d'aides est prévu par la loi du 16 juillet 1984 relative à l'organisation et à la promotion des activités physiques et sportives», a ajouté l'adjoint de Bertrand Delanoë.
Alors que M. Lamour a jugé «anecdotique» la baisse décidée par Bertrand Delanoë de la subvention 2011 et 2012 au PSG, M. Vuillermoz lui a rappelé sa position «opportuniste»: «le groupe UMP a toujours voté la subvention au club, y compris pour la subvention 2011 qui a été adoptée par le Conseil de Paris, le 13 décembre dernier». «Il (M. Lamour) ne peut donc pas ignorer que le montant de la subvention a baissé spectaculairement depuis 2001» car «le PSG percevait 6,6 millions d'euros par an avant 2001», année de l'élection de M. Delanoë. «Compte tenu de la crise économique», la subvention «a encore été diminuée de 250.000 euros en 2011 pour être portée à 1,25 M EUR. En 2012, le montant de la subvention connaîtra une nouvelle baisse» rappelle l'élu, et ne dépassera pas le million d'euros. «Le propos tenu aujourd'hui (jeudi) par Jean-François Lamour relève donc d'une démagogie politicienne, voire d'une forme de manipulation de la vérité, absolument consternante de la part d'un responsable public, ancien ministre des sports», a encore déploré l'adjoint.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
30/12/2011 à 09:29
Guéant dans le 92: " la démocratie mérite mieux" que des "parachutages" estime Bayrou
Le candidat MoDem à la présidentielle, François Bayrou, a estimé vendredi que "la démocratie méritait mieux" que la pratique des "parachutages" après l'annonce de la candidature à la députation dans les Hauts-de-Seine de Claude Guéant, le ministre de l'Intérieur.
"Je suis opposé aux parachutages. La stratégie de ces partis dominants ou provisoirement dominants qui profitent de leur puissance pour envoyer des candidats n'ayant aucun lien avec le territoire, ce n'est pas ce qu'il faut faire, la démocratie mérite mieux", a déclaré M. Bayrou sur RTL.
M. Guéant, qui n'a jamais eu de mandat électoral, a annoncé jeudi à l'AFP qu'il comptait briguer en juin un siège de député dans les Hauts-de-Seine, l'ancien fief électoral de Nicolas Sarkozy dont il a été pendant une décennie un des plus proches collaborateurs.
Il entend solliciter l'investiture de l'UMP dans la circonscription de l'actuel député-maire de Boulogne-Billancourt, Pierre-Christophe Baguet (UMP), qui ne se représente pas et lui a proposé de briguer sa succession.
A la veille des traditionnels voeux du président de la République aux Français, M. Bayrou a estimé qu'il fallait "souhaiter une année de volonté".
"Le mot sacrifice (employé par le gouvernement, ndlr) est très, très mal choisi, c'est le mot de ceux qui ne veulent rien faire", a estimé le candidat centriste pour qui "il y a une certitude dominante, aveuglante: ça ne peut pas durer comme ça".
Faisant l'inventaire d'un "chômage qui a augmenté de 30% depuis trois ans" et "galope chez les jeunes", d'un "pouvoir d'achat qui s'effrondre", de "fins de mois de plus en plus difficiles", d'une dette et d'un déficit qui "menacent de nous étouffer", M. Bayrou a estimé que "tout cela décrit un paysage inacceptable" et, selon lui, "on sait pourquoi, la raison en est qu'on ne produit plus en France".
"Le bilan de l'UMP, c'est dix ans de pouvoir et la situation que nous avons sous les yeux", a-t-il déclaré, rappelant que sous les gouvernements socialistes précédents "ces mécanismes avaient été enclenchés: ce que nous avons sous les yeux, c'est le bilan des deux majorités successives", a affirmé M. Bayrou.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
photo d'hier sans trucage
un faux air à star trek
2012 odyssee de l'espace certes mais sans lui
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2012 odyssee de l'espace certes mais sans lui
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
EN 2011 IL NOUS SERINAIT
QUE LA FRANCE ETAIT
EN 1 ERE DIVISION DES PUISSANCES ECONOMIQUES
IL DIT QUOI EN 2012
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EN 1 ERE DIVISION DES PUISSANCES ECONOMIQUES
IL DIT QUOI EN 2012
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
2012 BONNE ANNEE
Affaire Karachi : Sarkozy de nouveau mis en cause
Nicolas Sarkozy, le 1er janvier 2012
L'année 2012 débute de la même manière que 2011 s'est terminée pour Nicolas Sarkozy : par l'affaire Karachi. Une nouvelle fois, le chef de l'Etat est cité par un ex-haut fonctionnaire du ministère de la Défense. Gérard-Philippe Menayas, qui a également été directeur administratif et financier de la DCNI, branche internationale de la Direction des constructions navales qui a vendu en 1994 au Pakistan des sous-marins Agosta, a confirmé au juge chargé de l'enquête que Nicolas Sarkozy, ministre du Budget de 1993 à 1995, avait validé la création d'une société luxembourgeoise servant à payer des intermédiaires dans des contrats d'armements avec le Pakistan et l'Arabie Saoudite.
Le quotidien sort, ce lundi, un procès-verbal du 2 décembre dans lequel Gérard-Philippe Menayas déclare au juge Van Ruymbeke qu'il "est clair que le ministère du Budget a nécessairement donné son accord pour la création de Heine", une société offshore basée au Luxembourg, utilisée par la DCNI pour verser des commissions (légales jusqu'en 2000) à des intermédiaires dans des contrats d'armement. "Vu l'importance du sujet, cette décision ne pouvait être prise qu'au niveau du cabinet du ministre", a-t-il également mentionné dans le PV.
Un rapport de la police luxembourgeoise de janvier 2010 a déjà mis au jour le fait que le président de la République avait donné son accord à la création de Heine. Un document chronologique, non daté ni signé, saisi à la DCN, évoque les circonstances de la création de Heine. Il mentionne notamment l'aval de Nicolas Bazire, directeur du cabinet du Premier ministre, Edouard Balladur, et du ministre du Budget Nicolas Sarkozy.
Des rétrocommissions pour financer la campagne d'Edouard Balladur
Dans le volet financier de l'affaire Karachi, les juges tentent de déterminer si des rétrocommissions, alimentées grâce à l'intervention d'intermédiaires dans les contrats Agosta et Sawari II (avec l'Arabie Saoudite), ont financé la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995. En septembre dernier, l'Elysée avait affirmé que le chef de l'Etat n'avait "jamais exercé la moindre responsabilité dans le financement de cette campagne", dont il était le porte-parole, et son nom "n'apparaît dans aucun des éléments du dossier".
M. Sarkozy est "totalement étranger" à cette affaire, "d'autant plus qu'à l'époque où il était ministre du Budget, il avait manifesté son hostilité à ce contrat comme cela apparaît dans les pièces de la procédure", avait précisé la présidence.
Un attentat perpétré à Karachi le 8 mai 2002 a fait 15 morts, dont 11 Français employés de la DCN
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
cet entretien franco-allemand, .intervient alors que les deux pays sont menacés de perdre leur note triple A. Le verdict des agences de notation Standard and Poor's et Moody's est attendu "début janvier" par l'exécutif français.
La troisième agence, Fitch, a abaissé dès le mois dernier à "négative" la perspective de la note de la France, sans toutefois la priver du triple A, synonyme d'emprunt au meilleur taux sur les marchés.
Standard and Poor's a pour sa part placé sous surveillance négative 15 des 17 pays européens de la zone euro, ciblant particulièrement la France qu'elle a menacé de dégrader de deux crans contre un seul pour les cinq autres pays européens crédités du fameux AAA. Quant à l'agence Moody's, elle a annoncé qu'elle reverrait début 2012 les notes attribuées aux dettes des pays de la zone euro et de l'ensemble de l'Union européenne (UE).
Ces agences ont jugé insuffisantes le plan de sauvetage de l'euro adopté les 8 et 9 décembre par 26 des 27 pays de l'UE, à l'exception de la Grande-Bretagne, qui prévoit notamment un renforcement draconien de la discipline budgétaire de ses membres.
A quatre mois du premier tour
de l'élection présidentielle,
Nicos Sarkoz ,
donné largement battu par son rival socialiste François Hollande, semble s'être résolu à la perte du triple A, qu'il avait pourtant érigé en priorité absolue de la fin de son mandat. "Ce serait une difficulté de plus, mais pas insurmontable", a-t-il jugé le mois dernier.
La troisième agence, Fitch, a abaissé dès le mois dernier à "négative" la perspective de la note de la France, sans toutefois la priver du triple A, synonyme d'emprunt au meilleur taux sur les marchés.
Standard and Poor's a pour sa part placé sous surveillance négative 15 des 17 pays européens de la zone euro, ciblant particulièrement la France qu'elle a menacé de dégrader de deux crans contre un seul pour les cinq autres pays européens crédités du fameux AAA. Quant à l'agence Moody's, elle a annoncé qu'elle reverrait début 2012 les notes attribuées aux dettes des pays de la zone euro et de l'ensemble de l'Union européenne (UE).
Ces agences ont jugé insuffisantes le plan de sauvetage de l'euro adopté les 8 et 9 décembre par 26 des 27 pays de l'UE, à l'exception de la Grande-Bretagne, qui prévoit notamment un renforcement draconien de la discipline budgétaire de ses membres.
A quatre mois du premier tour
de l'élection présidentielle,
Nicos Sarkoz ,
donné largement battu par son rival socialiste François Hollande, semble s'être résolu à la perte du triple A, qu'il avait pourtant érigé en priorité absolue de la fin de son mandat. "Ce serait une difficulté de plus, mais pas insurmontable", a-t-il jugé le mois dernier.
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
VILLEPIN NOUS A ANNONCE DE GRANDES SURPRISES
CA DOIT ETRE CA
BOUTIN UNE BOMBE ATOMIQUE POUR SARKO
LE CANDIDAT SARKOS VA ETRE OBLIGE DE RESTER DS LES STARTINGS BLOCK
LES SABOTS PRIS DANS LES ETRIERS DES AFFAIRES
LA DROITE VA ETRE OBLIGE DE DEPECHER UN AUTRE POULAIN .........
CA DOIT ETRE CA
BOUTIN UNE BOMBE ATOMIQUE POUR SARKO
LE CANDIDAT SARKOS VA ETRE OBLIGE DE RESTER DS LES STARTINGS BLOCK
LES SABOTS PRIS DANS LES ETRIERS DES AFFAIRES
LA DROITE VA ETRE OBLIGE DE DEPECHER UN AUTRE POULAIN .........
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Le gouvernement veut faire passer la TVA sociale "avant la présidentielle"
Fin du suspense: trois jours après les voeux de Nicolas Sarkozy, le gouvernement a annoncé mardi son intention de porter sur les fonts baptismaux, avant même l'élection présidentielle, la TVA sociale, voulue par le patronat mais fustigée par l'opposition et les syndicats.
"La TVA sociale pour créer de l'emploi en France et pour éviter que des produits importés ne soient vendus chez nous à bas coûts, nous allons la faire et nous allons la faire avant l'élection présidentielle", a affirmé Valérie Pécresse.
La ministre du Budget et porte-parole du gouvernement a confirmé qu'elle serait "proposée aux syndicats lors du sommet social" programmé le 18 janvier à l'Elysée.
Dans son principe, la TVA sociale consiste à alléger le poids, particulièrement lourd en France, des cotisations sociales --salariales et patronales--, pour le transférer sur la TVA qui pourrait être majorée de plusieurs points.
Le gouvernement entend instaurer cette TVA sociale "dans l'intérêt général", afin "de baisser les charges sur le travail", a souligné de son côté le ministre du Travail, Xavier Bertrand.
Il y a "trop de charges sur le travail en France", a-t-il fait valoir, affirmant que, pour 100 euros de salaire brut, les charges étaient de 39 euros en Allemagne et de 50 euros en France.
Dans son message aux Français pour la Saint-Sylvestre, M. Sarkozy avait évoqué samedi, sans la nommer, la TVA sociale comme l'un des trois sujets "dominants" du moment avec le chômage et les "dérèglements de la finance".
Le chef de l'Etat souhaitait "faire contribuer financièrement les importations qui font concurrence à nos produits avec de la main-d'oeuvre à bon marché" à l'allègement du coût du travail en France.
Calendrier serré
Au gouvernement comme à l'UMP, beaucoup ont dû manger leur chapeau car ils étaient résolument hostiles à cette idée qui avait envoyé au tapis plusieurs dizaines de candidats du parti présidentiel aux législatives de 2007.
François Fillon, Xavier Bertrand et Laurent Wauquiez ne voulaient pas en entendre parler. En revanche, Valérie Pécresse y était favorable tout comme Jean-François Copé, le secrétaire général de l'UMP dont le projet pour 2012 évoque une "fiscalité anti-délocalisation".
Pour parvenir à ses fins, le gouvernement devra composer avec un calendrier serré: la session parlementaire s'achève en principe fin février et le Sénat, passé à gauche, tentera vraisemblablement de lui mettre des bâtons dans les roues.
Rien ne dit non plus que la TVA sociale, même votée avant la présidentielle, serait applicable avant le scrutin. Et tout laisse croire qu'elle serait rayée de la carte par une victoire de la gauche.
"L'augmentation de la TVA, cela ne peut pas être social", a souligné Pierre Moscovici, le directeur de campagne de François Hollande qui accuse le gouvernement de vouloir faire payer l'allègement des charges des entreprises aux consommateurs, "mesure inefficace (et) injuste" selon lui.
Nathalie Arthaud, candidate de Lutte ouvrière à l'Elysée, a fustigé "une fumisterie" consistant à "prendre aux travailleurs pour arroser le patronat". Louis Aliot, vice-président du Front national, y a vu "une grande injustice".
"Ce n'est pas avec un ou deux points de TVA qu'on va concurrencer les produits chinois", a critiqué le secrétaire général de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly. La TVA sociale "fragiliserait" la protection sociale et "porterait atteinte au pouvoir d'achat des Français", a réagi la CGT.
A contrario, la présidente du Medef Laurence Parisot y voit un moyen d'assurer "une augmentation du pouvoir d'achat net" des salariés.
Fin du suspense: trois jours après les voeux de Nicolas Sarkozy, le gouvernement a annoncé mardi son intention de porter sur les fonts baptismaux, avant même l'élection présidentielle, la TVA sociale, voulue par le patronat mais fustigée par l'opposition et les syndicats.
"La TVA sociale pour créer de l'emploi en France et pour éviter que des produits importés ne soient vendus chez nous à bas coûts, nous allons la faire et nous allons la faire avant l'élection présidentielle", a affirmé Valérie Pécresse.
La ministre du Budget et porte-parole du gouvernement a confirmé qu'elle serait "proposée aux syndicats lors du sommet social" programmé le 18 janvier à l'Elysée.
Dans son principe, la TVA sociale consiste à alléger le poids, particulièrement lourd en France, des cotisations sociales --salariales et patronales--, pour le transférer sur la TVA qui pourrait être majorée de plusieurs points.
Le gouvernement entend instaurer cette TVA sociale "dans l'intérêt général", afin "de baisser les charges sur le travail", a souligné de son côté le ministre du Travail, Xavier Bertrand.
Il y a "trop de charges sur le travail en France", a-t-il fait valoir, affirmant que, pour 100 euros de salaire brut, les charges étaient de 39 euros en Allemagne et de 50 euros en France.
Dans son message aux Français pour la Saint-Sylvestre, M. Sarkozy avait évoqué samedi, sans la nommer, la TVA sociale comme l'un des trois sujets "dominants" du moment avec le chômage et les "dérèglements de la finance".
Le chef de l'Etat souhaitait "faire contribuer financièrement les importations qui font concurrence à nos produits avec de la main-d'oeuvre à bon marché" à l'allègement du coût du travail en France.
Calendrier serré
Au gouvernement comme à l'UMP, beaucoup ont dû manger leur chapeau car ils étaient résolument hostiles à cette idée qui avait envoyé au tapis plusieurs dizaines de candidats du parti présidentiel aux législatives de 2007.
François Fillon, Xavier Bertrand et Laurent Wauquiez ne voulaient pas en entendre parler. En revanche, Valérie Pécresse y était favorable tout comme Jean-François Copé, le secrétaire général de l'UMP dont le projet pour 2012 évoque une "fiscalité anti-délocalisation".
Pour parvenir à ses fins, le gouvernement devra composer avec un calendrier serré: la session parlementaire s'achève en principe fin février et le Sénat, passé à gauche, tentera vraisemblablement de lui mettre des bâtons dans les roues.
Rien ne dit non plus que la TVA sociale, même votée avant la présidentielle, serait applicable avant le scrutin. Et tout laisse croire qu'elle serait rayée de la carte par une victoire de la gauche.
"L'augmentation de la TVA, cela ne peut pas être social", a souligné Pierre Moscovici, le directeur de campagne de François Hollande qui accuse le gouvernement de vouloir faire payer l'allègement des charges des entreprises aux consommateurs, "mesure inefficace (et) injuste" selon lui.
Nathalie Arthaud, candidate de Lutte ouvrière à l'Elysée, a fustigé "une fumisterie" consistant à "prendre aux travailleurs pour arroser le patronat". Louis Aliot, vice-président du Front national, y a vu "une grande injustice".
"Ce n'est pas avec un ou deux points de TVA qu'on va concurrencer les produits chinois", a critiqué le secrétaire général de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly. La TVA sociale "fragiliserait" la protection sociale et "porterait atteinte au pouvoir d'achat des Français", a réagi la CGT.
A contrario, la présidente du Medef Laurence Parisot y voit un moyen d'assurer "une augmentation du pouvoir d'achat net" des salariés.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Sarkozy "sale mec" : l'équipe Hollande accuse l'UMP de "manipulation"
Créé le 04-01-2012 à 14h03 - Mis à jour à 15h38 18 réactions
Par Le Nouvel Observateur avec AFP
Les journalistes présents au déjeuner démentent eux-aussi une injure directe.
Réagir
"Le Parisien" a affirmé que François Hollande avait traité lors d'un déjeuner avec des journalistes le président de la République de "sale mec", alors que le candidat PS à l'Elysée parodiait Nicolas Sarkozy. (REVELLI-BEAUMONT/SIPA )
Mots-clés : Hollande, PS, "sale mec", Sarkozy, "cass'toi pov'con", Politique
Sur le même sujet
» Sarkozy "sale mec", Hollande provoque la fureur de l'UMP
» Moscovici : les 5 ans de Sarkozy ? Une "expérience traumatisante"
Deux porte-parole du candidat PS François Hollande ont renvoyé Nicolas Sarkozy à son "casse toi pauvre con" en 2008, en démentant mercredi 4 janvier que le candidat PS eut injurié le chef de l'Etat dans des propos dont ils contestent l'interprétation par une UMP accusée de "manipulation".
François Hollande a déclenché mercredi une rafale de déclarations outragées de l'UMP après que "Le Parisien" a affirmé qu'il avait traité lors d'un déjeuner lundi avec des journalistes le président de la République de "sale mec", alors que le candidat PS à l'Elysée parodiait Nicolas Sarkozy.
"Cette histoire est fausse. François Hollande n'a pas pour habitude de pratiquer l'invective", a déclaré le député-maire PS de Cherbourg Bernard Cazeneuve sur France Inter."Très honnêtement, si François Hollande avait dit à Nicolas Sarkozy ‘Casse-toi pauvre con’, il aurait eu légitimement les raisons de s'en plaindre, parce que ce type de propos sont assez inconvenants et tout à fait incorrects et malséants. Mais ce n'est pas ce que François Hollande dit et François Hollande ne sera pas le président du ‘Casse toi pauvre con !", a ajouté Bernard Cazeneuve.
Il imitait Nicolas Sarkozy"
Une allusion à l'invective lancée par le chef de l'Etat à un visiteur qui refusait de lui serrer la main au Salon de l'agriculture de Paris en 2008, et qui avait énormément "buzzé" sur internet.
"Au-delà de ce qu'il aurait pu dire ou ne pas dire, je voudrais dire à l'UMP que cette manipulation grossière est particulièrement malvenue de la part d'un parti dont le président s'est caractérisé ces dernières années par une véritable vulgarité. On se souvient du ‘casse-toi pauvre con’ par exemple et des dégâts considérables pour l'image de la fonction présidentielle", a commenté pour sa part une autre porte-parole de François Hollande, Najat Vallaud-Belkacem.
"Il apparaît que ces propos n'ont pas été tenus comme cela, pas dans ce sens-là dans ce déjeuner : il imitait Nicolas Sarkozy", a déclaré la jeune élue socialiste sur BFMTV-RMC, à propos du "sale mec" prêté au député de Corrèze.
Les journalistes démentent
Matthieu Croissandeau, chef du service politique du Parisien, a reconnu que François Hollande s'était "glissé dans la peau de son rival" et n'avait "pas officiellement traité le chef d'Etat de 'sale mec'", mais explique pourquoi il a décidé de publier cette expression.
Sur le site internet du "Parisien", Matthieu Croissandeau explique: "mardi midi, François Hollande déjeune avec quelques journalistes - dont nous faisions partie - (ainsi que l'AFP, ndlr) au restaurant 'Chez Françoise' à Paris". "Dans la discussion, le candidat socialiste développe longuement ses propositions, détaille sa campagne et imagine la future tactique de Nicolas Sarkozy. Pour appuyer sa démonstration, il n’hésite pas à se glisser dans la peau de son rival: Il va se présenter devant les Français et leur dire: 'Je suis un président en échec depuis cinq ans, je suis un sale mec, mais réélisez-moi parce que, dans cette période difficile, je suis le seul capable.'"
"Le candidat socialiste n’a donc pas officiellement traité le chef de l’Etat de 'sale mec'", admet Matthieu Croissandeau.
"Mais le choix de ce qualificatif pour appuyer son raisonnement en dit long sur l’estime qu’il porte à son adversaire. Raison pour laquelle nous avons décidé, ce matin, de le publier", explique-t-il.
Créé le 04-01-2012 à 14h03 - Mis à jour à 15h38 18 réactions
Par Le Nouvel Observateur avec AFP
Les journalistes présents au déjeuner démentent eux-aussi une injure directe.
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"Le Parisien" a affirmé que François Hollande avait traité lors d'un déjeuner avec des journalistes le président de la République de "sale mec", alors que le candidat PS à l'Elysée parodiait Nicolas Sarkozy. (REVELLI-BEAUMONT/SIPA )
Mots-clés : Hollande, PS, "sale mec", Sarkozy, "cass'toi pov'con", Politique
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François Hollande a déclenché mercredi une rafale de déclarations outragées de l'UMP après que "Le Parisien" a affirmé qu'il avait traité lors d'un déjeuner lundi avec des journalistes le président de la République de "sale mec", alors que le candidat PS à l'Elysée parodiait Nicolas Sarkozy.
"Cette histoire est fausse. François Hollande n'a pas pour habitude de pratiquer l'invective", a déclaré le député-maire PS de Cherbourg Bernard Cazeneuve sur France Inter."Très honnêtement, si François Hollande avait dit à Nicolas Sarkozy ‘Casse-toi pauvre con’, il aurait eu légitimement les raisons de s'en plaindre, parce que ce type de propos sont assez inconvenants et tout à fait incorrects et malséants. Mais ce n'est pas ce que François Hollande dit et François Hollande ne sera pas le président du ‘Casse toi pauvre con !", a ajouté Bernard Cazeneuve.
Il imitait Nicolas Sarkozy"
Une allusion à l'invective lancée par le chef de l'Etat à un visiteur qui refusait de lui serrer la main au Salon de l'agriculture de Paris en 2008, et qui avait énormément "buzzé" sur internet.
"Au-delà de ce qu'il aurait pu dire ou ne pas dire, je voudrais dire à l'UMP que cette manipulation grossière est particulièrement malvenue de la part d'un parti dont le président s'est caractérisé ces dernières années par une véritable vulgarité. On se souvient du ‘casse-toi pauvre con’ par exemple et des dégâts considérables pour l'image de la fonction présidentielle", a commenté pour sa part une autre porte-parole de François Hollande, Najat Vallaud-Belkacem.
"Il apparaît que ces propos n'ont pas été tenus comme cela, pas dans ce sens-là dans ce déjeuner : il imitait Nicolas Sarkozy", a déclaré la jeune élue socialiste sur BFMTV-RMC, à propos du "sale mec" prêté au député de Corrèze.
Les journalistes démentent
Matthieu Croissandeau, chef du service politique du Parisien, a reconnu que François Hollande s'était "glissé dans la peau de son rival" et n'avait "pas officiellement traité le chef d'Etat de 'sale mec'", mais explique pourquoi il a décidé de publier cette expression.
Sur le site internet du "Parisien", Matthieu Croissandeau explique: "mardi midi, François Hollande déjeune avec quelques journalistes - dont nous faisions partie - (ainsi que l'AFP, ndlr) au restaurant 'Chez Françoise' à Paris". "Dans la discussion, le candidat socialiste développe longuement ses propositions, détaille sa campagne et imagine la future tactique de Nicolas Sarkozy. Pour appuyer sa démonstration, il n’hésite pas à se glisser dans la peau de son rival: Il va se présenter devant les Français et leur dire: 'Je suis un président en échec depuis cinq ans, je suis un sale mec, mais réélisez-moi parce que, dans cette période difficile, je suis le seul capable.'"
"Le candidat socialiste n’a donc pas officiellement traité le chef de l’Etat de 'sale mec'", admet Matthieu Croissandeau.
"Mais le choix de ce qualificatif pour appuyer son raisonnement en dit long sur l’estime qu’il porte à son adversaire. Raison pour laquelle nous avons décidé, ce matin, de le publier", explique-t-il.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
C’est une expression qui fait beaucoup réagir ! Mardi midi, François Hollande déjeune avec quelques journalistes - dont nous faisions partie- au restaurant «Chez Françoise» à Paris.
Il ne s’agit pas d’une conférence de presse. La conversation est libre, comme souvent lorsque les politiques se mettent à table mais les reporters présents ont sorti leurs carnets et prennent des notes. Dans la discussion, le candidat socialiste développe longuement ses propositions, détaille sa campagne et imagine la future tactique de Nicolas Sarkozy. Pour appuyer sa démonstration, il n’hésite pas à se glisser dans la peau de son rival : «Il va se présenter devant les Français et leur dire : Je suis un président en échec depuis cinq ans, je suis un sale mec, mais réélisez-moi parce que, dans cette période difficile, je suis le seul capable.» Le candidat socialiste n’a donc pas officiellement traité le chef de l’Etat de «sale mec». Mais le choix de ce qualificatif pour appuyer son raisonnement en dit long sur l’estime qu’il porte à son adversaire. Raison pour laquelle nous avons décidé, ce matin, de le publier.
Il ne s’agit pas d’une conférence de presse. La conversation est libre, comme souvent lorsque les politiques se mettent à table mais les reporters présents ont sorti leurs carnets et prennent des notes. Dans la discussion, le candidat socialiste développe longuement ses propositions, détaille sa campagne et imagine la future tactique de Nicolas Sarkozy. Pour appuyer sa démonstration, il n’hésite pas à se glisser dans la peau de son rival : «Il va se présenter devant les Français et leur dire : Je suis un président en échec depuis cinq ans, je suis un sale mec, mais réélisez-moi parce que, dans cette période difficile, je suis le seul capable.» Le candidat socialiste n’a donc pas officiellement traité le chef de l’Etat de «sale mec». Mais le choix de ce qualificatif pour appuyer son raisonnement en dit long sur l’estime qu’il porte à son adversaire. Raison pour laquelle nous avons décidé, ce matin, de le publier.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Présidentielle 2012 / Hollande : « Retrouver le rêve français »
Partager 11 contributions Publié le mercredi 04 janvier 2012 à 08H39 - Vu 33 fois
Hollande accélère sa campagne et sonne l'offensive contre Sarkozy.
Àun peu plus de 100 jours du premier tour, le candidat PS à la présidentielle François Hollande donne un coup d'accélérateur à sa campagne et sonne l'offensive contre le bilan de Nicolas Sarkozy, suscitant sarcasmes de l'UMP et doutes chez les écologistes.
Dans une « lettre aux Français » qui occupait hier la une de « Libération » et ses deux premières pages intérieures, le candidat affirme que le quinquennat de M. Sarkozy aura été « la présidence de la parole, et lui, le président des privilèges ». « Voilà la page que je veux tourner », ajoute-t-il, lançant le slogan : « Le changement, c'est maintenant. »
Il critique « un président sortant incapable de trouver une issue à la crise de la zone euro », « impuissant face à la montée du chômage » ou encore « indifférent au creusement des inégalités ».
Selon M. Hollande, Nicolas Sarkozy, « au sommet de l'Etat depuis cinq ans », porte « la responsabilité personnelle » de la situation de la France, « abaissée, affaiblie, abîmée et "dégradée" ».
Et de lancer à trois mois et demi du premier tour de la présidentielle : « Comme en 1981, comme en 1958, ce qui est en jeu dans cette élection […] : c'est l'indispensable redressement de la Nation. »
Pour cela, il se fixe quatre principes : « La vérité », « la volonté », « la justice » et « l'espérance », car « je veux retrouver le rêve français ».
Les propos du candidat, par ailleurs invité hier soir du 20 heures de France 2, ont été salués, dans son camp, comme un passage à l'offensive. Il « donne le ton, le "la" de l'année », a affirmé son directeur de campagne, Pierre Moscovici.
Beaucoup moins enthousiaste, la responsable écologiste Cécile Duflot a vu dans la lettre de M. Hollande « beaucoup de formules » qui la « frustrent un peu ».
Le candidat du MoDem, François Bayrou, a dénoncé « une opération de com'» et « du techno-politico-bla-bla ».
L'UMP et le gouvernement ont focalisé leurs critiques sur l'absence de propositions du candidat, qui n'a pas encore dévoilé son programme. Jean-François Copé a ainsi estimé que M. Hollande incarnait « la couardise en politique » en refusant « d'abattre ses cartes ». Mais pour Bruno Le Roux, porte-parole de M. Hollande, « la vigueur des critiques montrent que François Hollande a fait quelque chose qui place sa campagne sur une dimension de président de la République ».
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
>http://fressoz.blog.lemonde.fr/2012/01/04/le-syndrome-giscard/<
Le syndrome Giscard
Appelons le "Philippe" pour ne pas le gêner. "Philippe" est un bénévole UMP qui connait la maison comme sa poche. Il a côtoyé le "grand Jacques" et le "petit Nicolas". Il en est à sa septième campagne présidentielle et ce qu'il sent dans ses déplacements en province ne lui dit rien qui vaille. "Que voulez -vous Madame, ils n'en veulent plus !" s'exclame-t- il quand on l'interroge sur les raisons de son pessimisme.
Le rejet personnel dont souffre Nicolas Sarkozy, sa cote de popularité historiquement basse pour un président sortant – 38 % en décembre 2011, selon une étude de l'institut CSA pour Les Echos –, est un sujet complètement tabou à droite. Il a en revanche été parfaitement intégré par les adversaires du président sortant. A commencer par François Hollande qui, depuis deux ans, ne cesse de comparer la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy à celle du septennat de Valéry Giscard d'Estaing.
"Comme VGE, Nicolas Sarkozy a été élu sur une espérance réformatrice mais s'est crispé sur des mesures d'austérité et une politique conservatrice", observait l'ancien premier secrétaire du PS en janvier 2010. "Sarkozy est dans la situation de Giscard avant 1981", répétait encore le candidat socialiste en novembre, en invoquant "la crise dans laquelle s'enfonce la France et les affaires qui discréditent le pouvoir en place".
"Je parle aux Français, je suis convaincant mais ils ne m'entendent plus", avait déploré Valéry Giscard d'Estaing au début de l'année 1981, avant de se lancer dans la bataille électorale. Le même syndrome guette Nicolas Sarkozy dont l'activisme cet automne se paie de peu résultats. Le président sortant souffre d'avoir trop promis et beaucoup bousculé, y compris son propre camp. On lui reproche son style autant que son bilan. La gauche veut le pousser dehors, une partie de la droite s'en méfie. Le désamour qu'il subit, conjugué aux difficultés économiques, pousse ses adversaires à mener une campagne très particulière, une campagne à l'économie où il s'agit moins d'avancer des propositions concrètes que d'affirmer un style et des valeurs.
François Hollande invoque "la vérité, la volonté, la justice, l'espérance" ; François Bayrou veut incarner "la politique honnête" et "la fierté nationale". Tant qu'ils pourront tenir sur cette ligne, ils tiendront car ils sont conscients l'un et l'autre qu'il n'y a rien à promettre. Face à cette stratégie du vide, Nicolas Sarkozy joue le contraste, l'action jusqu'au bout avec son projet de TVA sociale, qu'il a ressorti du chapeau lors de ses vœux aux Français et qu'il veut faire adopter au forceps avant son élection. C'est son ultime prise de risque, conforme au personnage.
Le syndrome Giscard
Appelons le "Philippe" pour ne pas le gêner. "Philippe" est un bénévole UMP qui connait la maison comme sa poche. Il a côtoyé le "grand Jacques" et le "petit Nicolas". Il en est à sa septième campagne présidentielle et ce qu'il sent dans ses déplacements en province ne lui dit rien qui vaille. "Que voulez -vous Madame, ils n'en veulent plus !" s'exclame-t- il quand on l'interroge sur les raisons de son pessimisme.
Le rejet personnel dont souffre Nicolas Sarkozy, sa cote de popularité historiquement basse pour un président sortant – 38 % en décembre 2011, selon une étude de l'institut CSA pour Les Echos –, est un sujet complètement tabou à droite. Il a en revanche été parfaitement intégré par les adversaires du président sortant. A commencer par François Hollande qui, depuis deux ans, ne cesse de comparer la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy à celle du septennat de Valéry Giscard d'Estaing.
"Comme VGE, Nicolas Sarkozy a été élu sur une espérance réformatrice mais s'est crispé sur des mesures d'austérité et une politique conservatrice", observait l'ancien premier secrétaire du PS en janvier 2010. "Sarkozy est dans la situation de Giscard avant 1981", répétait encore le candidat socialiste en novembre, en invoquant "la crise dans laquelle s'enfonce la France et les affaires qui discréditent le pouvoir en place".
"Je parle aux Français, je suis convaincant mais ils ne m'entendent plus", avait déploré Valéry Giscard d'Estaing au début de l'année 1981, avant de se lancer dans la bataille électorale. Le même syndrome guette Nicolas Sarkozy dont l'activisme cet automne se paie de peu résultats. Le président sortant souffre d'avoir trop promis et beaucoup bousculé, y compris son propre camp. On lui reproche son style autant que son bilan. La gauche veut le pousser dehors, une partie de la droite s'en méfie. Le désamour qu'il subit, conjugué aux difficultés économiques, pousse ses adversaires à mener une campagne très particulière, une campagne à l'économie où il s'agit moins d'avancer des propositions concrètes que d'affirmer un style et des valeurs.
François Hollande invoque "la vérité, la volonté, la justice, l'espérance" ; François Bayrou veut incarner "la politique honnête" et "la fierté nationale". Tant qu'ils pourront tenir sur cette ligne, ils tiendront car ils sont conscients l'un et l'autre qu'il n'y a rien à promettre. Face à cette stratégie du vide, Nicolas Sarkozy joue le contraste, l'action jusqu'au bout avec son projet de TVA sociale, qu'il a ressorti du chapeau lors de ses vœux aux Français et qu'il veut faire adopter au forceps avant son élection. C'est son ultime prise de risque, conforme au personnage.
domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
je plains ce militant philippe qui est desesperé
je le supplie de ne paaaaaas se suicider et de voter à gauche
alors philippe elle est pas belle la vie
je le supplie de ne paaaaaas se suicider et de voter à gauche
alors philippe elle est pas belle la vie
domenico belli a écrit:>http://fressoz.blog.lemonde.fr/2012/01/04/le-syndrome-giscard/<
Le syndrome Giscard
Appelons le "Philippe" pour ne pas le gêner. "Philippe" est un bénévole UMP qui connait la maison comme sa poche. Il a côtoyé le "grand Jacques" et le "petit Nicolas". Il en est à sa septième campagne présidentielle et ce qu'il sent dans ses déplacements en province ne lui dit rien qui vaille. "Que voulez -vous Madame, ils n'en veulent plus !" s'exclame-t- il quand on l'interroge sur les raisons de son pessimisme.
Le rejet personnel dont souffre Nicolas Sarkozy, sa cote de popularité historiquement basse pour un président sortant – 38 % en décembre 2011, selon une étude de l'institut CSA pour Les Echos –, est un sujet complètement tabou à droite. Il a en revanche été parfaitement intégré par les adversaires du président sortant. A commencer par François Hollande qui, depuis deux ans, ne cesse de comparer la fin du quinquennat de Nicolas Sarkozy à celle du septennat de Valéry Giscard d'Estaing.
"Comme VGE, Nicolas Sarkozy a été élu sur une espérance réformatrice mais s'est crispé sur des mesures d'austérité et une politique conservatrice", observait l'ancien premier secrétaire du PS en janvier 2010. "Sarkozy est dans la situation de Giscard avant 1981", répétait encore le candidat socialiste en novembre, en invoquant "la crise dans laquelle s'enfonce la France et les affaires qui discréditent le pouvoir en place".
"Je parle aux Français, je suis convaincant mais ils ne m'entendent plus", avait déploré Valéry Giscard d'Estaing au début de l'année 1981, avant de se lancer dans la bataille électorale. Le même syndrome guette Nicolas Sarkozy dont l'activisme cet automne se paie de peu résultats. Le président sortant souffre d'avoir trop promis et beaucoup bousculé, y compris son propre camp. On lui reproche son style autant que son bilan. La gauche veut le pousser dehors, une partie de la droite s'en méfie. Le désamour qu'il subit, conjugué aux difficultés économiques, pousse ses adversaires à mener une campagne très particulière, une campagne à l'économie où il s'agit moins d'avancer des propositions concrètes que d'affirmer un style et des valeurs.
François Hollande invoque "la vérité, la volonté, la justice, l'espérance" ; François Bayrou veut incarner "la politique honnête" et "la fierté nationale". Tant qu'ils pourront tenir sur cette ligne, ils tiendront car ils sont conscients l'un et l'autre qu'il n'y a rien à promettre. Face à cette stratégie du vide, Nicolas Sarkozy joue le contraste, l'action jusqu'au bout avec son projet de TVA sociale, qu'il a ressorti du chapeau lors de ses vœux aux Français et qu'il veut faire adopter au forceps avant son élection. C'est son ultime prise de risque, conforme au personnage.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
COMME IL EST BEAU FRANCOIS II
TOUT MINCE ON CROIRAIT UN JEUNE PREMIER ''PRESIDENT''
jeudi 5 janvier 2012 07:38
Hollande, en meeting à Mérignac, appelle "au combat" et dénonce les "polémiques organisées"
François Hollande a entamé mercredi son marathon de candidat à l'Elysée appelant lors ses troupes "au combat" lors de son premier meeting présidentiel à Mérignac, en pleine polémique suscitée par des propos qu'il a tenus sur Nicolas Sarkozy.
"Je viens ce soir vous appeler au combat, au combat qui nous dépasse, qui nous élève, pour le redressement" "pour la justice" et "pour l'espérance", a déclaré M. Hollande devant une salle comble de 1.400 personnes, alors qu'à l'extérieur de très nombreux supporters n'avaient pas pu entrer et suivaient son discours sur des écrans.
Il a appelé ses supporters à participer à "cette bataille engagée ici à Mérignac", affirmant être candidat pour poursuivre "le récit républicain, le rêve français".
Ripostant aux attaques de l'UMP sur son expresssion "sale mec" qu'il avait utilisée la veille dans une parodie du chef de l'Etat, il dénoncé de la part de la droite "des polémiques sciemment entretenues, des caricatures sciemment organisées, des manipulations chaque jour". "Toujours la droite a tenté de disqualifier les chefs de la gauche", mais "a-t-elle montré des marques de réussite qui justifiaient cette prétention ?", a demandé M. Hollande.
Il a rendu hommage à François Mitterrand, "seul président de la Ve République socialiste et je ne voudrais pas qu'il reste trop longtemps le seul", a-t-il plaisanté. "Lui aussi dans la campagne de 1981, qu'avait-on dit sur lui, qu'il avait été onze fois ministre, moi je ne l'ai pas été une seule fois, je suis garanti. On disait qu'il était trop vieux j'ai presque son âge!", a-t-il aussi lancé.
Le député de Corrèze a accusé Nicolas Sarkozy de "miser sur la peur" et de vouloir "que la France tombe dans un tel effroi qu'elle se résigne à voter pour lui".
Auparavant dans l'après-midi, le candidat avait visité au pas de charge, suivi de la nuée des journalistes des grands jours, deux entreprises innovantes : ASTF à Mérignac, spécialisée dans la sous-traitance aéronautique, et la société de conseil et services en électronique Serma technologies à Pessac. Occasion pour lui de plaider à nouveau pour la "réindustrialisation par l'innovation"
Par ailleurs, soucieux de reconquérir l'électorat ouvrier, --et donc très vigilant sur la situation des entreprises en crise--, il a dit "comprendre" que les salariés de SeaFrance aient refusé les propositions de Nicolas Sarkozy pour financer leur projet de coopérative ouvrière. "Une nouvelle fois, cet effet d'annonce n'aura été traduit par aucun acte", a-t-il aussi lancé.
M. Hollande a également fait part de "craintes très sérieuses pour une fermeture au moins temporaire du site" de Petroplus à Petit-Couronne (Seine-Maritime). Il a évoqué une prochaine rencontre avec des salariés de la raffinerie pour "rechercher avec eux des solutions crédibles". La rencontre pourrait avoir lieu jeudi, où le candidat est en déplacement à Caen.
Concernant le procès du syndicaliste de l'entreprise Conti à Amiens, Xavier Mathieu, il a affirmé: "je suis du côté de ceux qui sont à un moment mis en cause, en l'occurrence le syndicaliste de Conti".
Après Bordeaux, M. Hollande sera jeudi à Caen, samedi à Tulle (Corrèze), dimanche à Jarnac (Charente) pour l'anniversaire de la mort de François Mitterrand.
Prochain grand rendez-vous, le 22 janvier au Bourget pour le premier de ses sept grands meetings d'avant le 1er tour.
TOUT MINCE ON CROIRAIT UN JEUNE PREMIER ''PRESIDENT''
jeudi 5 janvier 2012 07:38
Hollande, en meeting à Mérignac, appelle "au combat" et dénonce les "polémiques organisées"
François Hollande a entamé mercredi son marathon de candidat à l'Elysée appelant lors ses troupes "au combat" lors de son premier meeting présidentiel à Mérignac, en pleine polémique suscitée par des propos qu'il a tenus sur Nicolas Sarkozy.
"Je viens ce soir vous appeler au combat, au combat qui nous dépasse, qui nous élève, pour le redressement" "pour la justice" et "pour l'espérance", a déclaré M. Hollande devant une salle comble de 1.400 personnes, alors qu'à l'extérieur de très nombreux supporters n'avaient pas pu entrer et suivaient son discours sur des écrans.
Il a appelé ses supporters à participer à "cette bataille engagée ici à Mérignac", affirmant être candidat pour poursuivre "le récit républicain, le rêve français".
Ripostant aux attaques de l'UMP sur son expresssion "sale mec" qu'il avait utilisée la veille dans une parodie du chef de l'Etat, il dénoncé de la part de la droite "des polémiques sciemment entretenues, des caricatures sciemment organisées, des manipulations chaque jour". "Toujours la droite a tenté de disqualifier les chefs de la gauche", mais "a-t-elle montré des marques de réussite qui justifiaient cette prétention ?", a demandé M. Hollande.
Il a rendu hommage à François Mitterrand, "seul président de la Ve République socialiste et je ne voudrais pas qu'il reste trop longtemps le seul", a-t-il plaisanté. "Lui aussi dans la campagne de 1981, qu'avait-on dit sur lui, qu'il avait été onze fois ministre, moi je ne l'ai pas été une seule fois, je suis garanti. On disait qu'il était trop vieux j'ai presque son âge!", a-t-il aussi lancé.
Le député de Corrèze a accusé Nicolas Sarkozy de "miser sur la peur" et de vouloir "que la France tombe dans un tel effroi qu'elle se résigne à voter pour lui".
Auparavant dans l'après-midi, le candidat avait visité au pas de charge, suivi de la nuée des journalistes des grands jours, deux entreprises innovantes : ASTF à Mérignac, spécialisée dans la sous-traitance aéronautique, et la société de conseil et services en électronique Serma technologies à Pessac. Occasion pour lui de plaider à nouveau pour la "réindustrialisation par l'innovation"
Par ailleurs, soucieux de reconquérir l'électorat ouvrier, --et donc très vigilant sur la situation des entreprises en crise--, il a dit "comprendre" que les salariés de SeaFrance aient refusé les propositions de Nicolas Sarkozy pour financer leur projet de coopérative ouvrière. "Une nouvelle fois, cet effet d'annonce n'aura été traduit par aucun acte", a-t-il aussi lancé.
M. Hollande a également fait part de "craintes très sérieuses pour une fermeture au moins temporaire du site" de Petroplus à Petit-Couronne (Seine-Maritime). Il a évoqué une prochaine rencontre avec des salariés de la raffinerie pour "rechercher avec eux des solutions crédibles". La rencontre pourrait avoir lieu jeudi, où le candidat est en déplacement à Caen.
Concernant le procès du syndicaliste de l'entreprise Conti à Amiens, Xavier Mathieu, il a affirmé: "je suis du côté de ceux qui sont à un moment mis en cause, en l'occurrence le syndicaliste de Conti".
Après Bordeaux, M. Hollande sera jeudi à Caen, samedi à Tulle (Corrèze), dimanche à Jarnac (Charente) pour l'anniversaire de la mort de François Mitterrand.
Prochain grand rendez-vous, le 22 janvier au Bourget pour le premier de ses sept grands meetings d'avant le 1er tour.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
DÉCHETS
Encombrants
Prise en charge gratuite des encombrants
devant le domicile par
les services de MPM sur rendez-
vous. Tel: 810 813 813. Prix
d'un appel local à partir d'un poste
fixe
Encombrants
Prise en charge gratuite des encombrants
devant le domicile par
les services de MPM sur rendez-
vous. Tel: 810 813 813. Prix
d'un appel local à partir d'un poste
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Jean-Luc Mélenchon, candidat
du Front de gauche à la présidentielle,
a appelé, hier, lors de ses
voeux, à un"grand chamboule-
tout" en 2012, s'en prenant à
la fois à Nicolas Sarkozy et à
François Hollande. "Je me présente
devant vous non pas comme
un homme seul catapulté
dans l'ambition d'un premier rôle,
mais comme le porte-drapeau
d'une équipe" et d'un "message"
: "oui à l'Europe sociale, non
à l'Europe libérale", a-t-il lancé,
dans son local de campagne des
Lilas (Seine-Saint-Denis), dans
une ancienne usine à chaussures.
Le mois de janvier constitue
pour le Front de gauche un épisode
"très important" avec notamment
une émission sur France2
le 12 janvier dont Jean-Luc Mélenchon
sera l'invité. Suivront deux
meetings nationaux à Nantes le
14 janvier puis un autreà Metz le
18.
De son côté, le candidat centriste
Hervé Morin, crédité de 0 à
1% dans les sondages, s’est posé,
hier, comme le seul porteur
d'un discours de "vérité et de responsabilité"
face à ses concurrents,
accusés de démagogie.
"Nous allons démultiplier la parole
(...), une élection présidentielle
ne se résume pas à un seul
homme", a expliqué Hervé Morin
lors de la présentation à la presse
de son équipe de campagne,
une trentaine de personnes avec
une direction politique regroupant
cinq parlementaires :
Jean-Marie Cavada, Charles de
Courson, Jean Dionis du Séjour,
Hervé Maurey et Catherine Morin
Desailly.
du Front de gauche à la présidentielle,
a appelé, hier, lors de ses
voeux, à un"grand chamboule-
tout" en 2012, s'en prenant à
la fois à Nicolas Sarkozy et à
François Hollande. "Je me présente
devant vous non pas comme
un homme seul catapulté
dans l'ambition d'un premier rôle,
mais comme le porte-drapeau
d'une équipe" et d'un "message"
: "oui à l'Europe sociale, non
à l'Europe libérale", a-t-il lancé,
dans son local de campagne des
Lilas (Seine-Saint-Denis), dans
une ancienne usine à chaussures.
Le mois de janvier constitue
pour le Front de gauche un épisode
"très important" avec notamment
une émission sur France2
le 12 janvier dont Jean-Luc Mélenchon
sera l'invité. Suivront deux
meetings nationaux à Nantes le
14 janvier puis un autreà Metz le
18.
De son côté, le candidat centriste
Hervé Morin, crédité de 0 à
1% dans les sondages, s’est posé,
hier, comme le seul porteur
d'un discours de "vérité et de responsabilité"
face à ses concurrents,
accusés de démagogie.
"Nous allons démultiplier la parole
(...), une élection présidentielle
ne se résume pas à un seul
homme", a expliqué Hervé Morin
lors de la présentation à la presse
de son équipe de campagne,
une trentaine de personnes avec
une direction politique regroupant
cinq parlementaires :
Jean-Marie Cavada, Charles de
Courson, Jean Dionis du Séjour,
Hervé Maurey et Catherine Morin
Desailly.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Crise
Quand Sarkozy vantait les subprimes !
>https://www.youtube.com/watch?v=LDyfW0Rzs8c<
-"Un moment donné, les responsables devront s'expliquer ! "
Je la garde celle-là !
Bien dit ! M.le Président ... Faudra vous expliquer
Quand Sarkozy vantait les subprimes !
>https://www.youtube.com/watch?v=LDyfW0Rzs8c<
-"Un moment donné, les responsables devront s'expliquer ! "
Je la garde celle-là !
Bien dit ! M.le Président ... Faudra vous expliquer
domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
domenico belli a écrit:Crise
Quand Sarkozy vantait les subprimes !
>https://www.youtube.com/watch?v=LDyfW0Rzs8c<
-"Un moment donné, les responsables devront s'expliquer ! "
Je la garde celle-là !
Bien dit ! M.le Président ... Faudra vous expliquer
IL NOUS PREND POUR DES CLOWNS ET DES DEMI MONGOLIENS
QUELLE IMPOSTURE ..................
bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
bienvenou a écrit:domenico belli a écrit:Crise
Quand Sarkozy vantait les subprimes !
>https://www.youtube.com/watch?v=LDyfW0Rzs8c<
-"Un moment donné, les responsables devront s'expliquer ! "
Je la garde celle-là !
Bien dit ! M.le Président ... Faudra vous expliquer
IL NOUS PREND POUR DES CLOWNS ET DES DEMI MONGOLIENS
QUELLE IMPOSTURE ..................
CONVENTION POUR LA FRANCE D'APRES
OUI D"APRES CES FANTAISISTES
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Ca y est je suis inscrit sur les listes je pourrais voter en 2012
Tommy Allez l'O.M- Messages : 6179
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Tommy Allez l'O.M a écrit:Ca y est je suis inscrit sur les listes je pourrais voter en 2012
super tu pourras te renseigner ici
on donne de bons conseils
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Oui tout est bon à prendre niveau infos
Je suis encore trop naïf je m'en doute lol
Je suis encore trop naïf je m'en doute lol
Tommy Allez l'O.M- Messages : 6179
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Tommy Allez l'O.M a écrit:Oui tout est bon à prendre niveau infos
Je suis encore trop naïf je m'en doute lol
ben oui
ecoute dans la rue les gens parler
tes parents
le forum
et d'ici 4 mois tu te seras fait une idée
si ce qui est actuellement est bon ou si le changement s'impose
ensuite quel type de changement
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Je pense à première vue qu'il faut un changement mais bon..
Tommy Allez l'O.M- Messages : 6179
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