PRESIDENT DASSIER

DASSIER
IL NOUS MET LA CERVELLE ET LES MUSCLES EN COMPOTE ET PAS D" ACIER

PRESIDENT DASSIER
NOUS ON VEUT DIOUF ET GERETS
SVP ...DEMISSIONNEZ ..
.PUISQU "EN REALITE...VOUS REVENEZ AU POINT DE DEPART EN JUIN 2009

ET FAITES MOI PARTIR CES 2 TORTUES LUCHO ET MORIENTES ....

quand Dassier double les primes




Depuis son arrivée, Jean-Claude Dassier s'évertue à aligner des gaffes comme on enfile des perles. Cela en devient à force attendrissant de le voir s'enfoncer tout seul continuellement. Après celle sur Deschamps et l'Equipe de France la semaine dernière, c'est maintenant autour des primes de match que l'ancien directeur de l'info de TF1 a décidé d'exprimer tout son art.

Ainsi, on apprend qu'euphorique après la qualification en finale de Coupe de la Ligue face à Toulouse, Dassier aurait fait un geste aux joueurs annonçant que la prime serait triplée. Conscient du coût de l'opération (300 000 euros), José Anigo aurait alors alerté Jean-Claude Dassier qui finalement a opté pour un doublement de la prime soit 10 000 euros par joueur au lieu des 5 000 annoncés !

Quel dur métier que footballeur !

Quand le président de l'OM, Jean-Claude Dassier entre dans le vestiaire après la victoire marseillaise à Toulouse (2-1 a.p.), synonyme de qualification en finale de Coupe de la Ligue, il est acclamé par les joueurs. Et pour cause, rapporte Le Parisien, comme à Lorient en décembre dernier, il lève trois doigts en l'air, pour signifier qu'il triple la prime de victoire de ses joueurs. Mais derrière, José Anigo veille au grain, et sur les finances du club. Il rappelle donc un petit détail au président : en cas de victoire à l'extérieur en championnat, la prime prévue est de 2500 euros, contre 5000 pour un voyage au Stade de France. C'est donc une somme globale de 300 000 euros que le président vient de promettre aux 18 joueurs et au staff ! Dassier se ravise donc et prévient alors le groupe que, finalement, la prime sera «seulement» doublée...


commentaires d'un forumeur
souihli le 6 février à 12:59
TETE D "ACIER ....... OU LE MASQUE DE FER

VOIR PLUS HAUT POURQUOI CETTE REPONSE

Vous avez été plus de 700 à envoyer vos questions à Jean-Claude Dassier. Le président de l'Olympique de Marseille a répondu à une partie d’entre elles, abordant tous les sujets qui font l’actualité de l’OM. Extraits.

Chrysanthos - Pensez-vous que l'OM a les capacités pour rattraper le retard accumulé sur Bordeaux en Ligue 1 ?

Les capacités, sûrement. Je pense que rien n’est encore joué dans ce championnat. Il faut impérativement arracher trois points contre Sochaux lors du match en retard et on reviendrait en 3ème position, à six points, même si c’est un peu théorique. Tout est donc jouable, on n’a abdiqué dans aucune compétition.
jaff - Pas de recrue au mercato, est-ce pour mieux recruter pour 2010/2011 ?

Pour ne rien vous cacher, on va commencer à en parler sérieusement cette semaine avec José, Didier et Antoine (Veyrat). Cela ne sert à rien non plus de partir trop tôt. De toute façon, l’équipe s’est considérablement renforcée l’été dernier. Il est encore difficile de prévoir s’il y aura des départs mais le mercato d’été sera très probablement plus calme que celui de l’été dernier. C’est tout ce que je peux dire aujourd’hui car il est encore tôt. Comment sera le marché, comment allons-nous finir la saison ? Il faudra revenir me voir d’ici deux mois et demi.
Christophe Noiset - Pourquoi n'esquissez-vous jamais un sourire et ce même après une victoire ?

Je crois qu’à Monaco ou contre Valenciennes, j’ai du sourire mais les caméras ne sont pas là pour guetter un sourire. En général, nous regardons les matches avec Antoine et José et je crie ma joie, surtout quand ce fut difficile. Je ne sais pas pourquoi on a cette image de moi, je dois sourire intérieurement car je suis plutôt un gai-luron. D’ailleurs en télévision, il faut avoir ce talent de sourire en parlant et je ne l’ai pas. Ca doit être pour cela que je n’ai jamais fait de présentation à la télé alors que j’en ai beaucoup fait à la radio. Alors si je ne souris pas ou je ne rigole pas, on croit que je fais la bobine mais je démens !

Je souhaiterais savoir si l’OM va participer au projet du nouveau stade et dans quelles proportions ? Je voudrais savoir s’il est dans vos intentions d’avoir recours au NAMING, susceptible de financer en partie la réfection ?

La question est prématurée car je n’ai encore même pas vu les dossiers des deux grands professionnels de ce type de bâtiments que sont Bouygues et Vinci. Sur la question précise du Naming (le stade porte le nom d'une marque du type de l'Emirates Stadium d'Arsenal), je pense que M. Gaudin est absolument contre et je ne suis pas sûr qu’il change d’avis. Le Vélodrome, c’est le Vélodrome et ça le restera. Pour le reste, que le club puisse investir dans cette aventure économique, pourquoi pas ? Mais cela ne peut pas se faire sans des conditions différentes de celles que nous avons aujourd’hui, il faudra parler du loyer et autres… Ce sont des investissements lourds avec des négociations complexes dans lesquelles je ne veux pas interférer aujourd’hui. C’est trop tôt.
bisousmomo - Pensez-vous que Madame Louis-Dreyfus vendra à cours terme l'OM ?

A aucun moment, je n’ai eu ce sentiment. Là encore, il y a eu dans un grand journal sportif, un titre extravagant «L’ultimatum de la patronne». Je n’ai toujours pas reçu d’ultimatum et la vente n’est pas à l’ordre du jour.

DASSIER est en passe de devenir une idole aupres des supporters de l'OM et pas seulement chez les ultra's

JUDAS a écrit:DASSIER est en passe de devenir une idole aupres des supporters de l'OM et pas seulement chez les ultra's

SON SURNOM PRESIDENT D "ACIER ...LUI VA COMME UN GANT DU MASQUE DE FER
UNE MAIN DE VELOURS DANS UN GANT D"ACIER

C’est une joie pleine. Je ne vous surprendrai en disant que j’ai un peu écrasé une larme en pensant à Robert Louis Dreyfus car en plus sa femme et ses enfants sont là. Ils étaient fous de joie, ce sont les premiers supporters de l’OM. Robert, cette victoire est pour toi. C’est la victoire des joueurs, celle de Didier Deschamps, de José Anigo et de tout le staff. L’équipe est meilleure qu’en début de saison, elle l’est de mieux en mieux. La victoire de Lyon nous a boostés. Ce soir, on en voulait plus que Bordeaux, on a battu un grand Bordeaux. La satisfaction est totale est complète.
L’appétit venant en mangeant, on va faire la fête légèrement dimanche, enfin à la marseillaise mais le championnat nous intéresse encore plus que jamais. On s’est fait Lyon et Bordeaux dans la même semaine, il n’y a pas de raison des ambitions des grands clubs. Ce soir, on est tous contents mais je veux que l’on fasse la fête à Marseille. On boira peut-être une bouteille de champagne mais nous n’irons pas au Lido ou aux Folies Bergères car nous voulons faire la fête à Marseille car nous voulons dédier ce trophée à Robert tout d’abord et ensuite à tous les Marseillais.
Je ne m’attribue aucun mérite dans cette victoire, je n’ai pas de fluide. Je gère le club, j’aide l’équipe, je fais en sorte que l’OM soit dans de bonnes conditions, que les bonnes décisions soient prises et que tout le monde se sente bien. L’équipe se crée un état d’esprit, petit à petit, les gens apprennent à se connaître. C’est une nouvelle page qui s’ouvre.
On respire mieux après ce trophée. Si on l’avait paumé, tout le monde aurait été mal. Ils ont fait ce qu’il fallait pour ne pas perdre car on dominé au milieu de terrain pendant 90% du temps. C’était une belle finale, on a battu un bon Bordeaux. On a gagné la Coupe de la Ligue et maintenant on est dans le coup en championnat. Cela va nous booster et nous serons plus que jamais dans la course au titre. C’est un poids en moins donc on va courir encore plus vite».

Dassier : "Ce n'est pas terminé"

mercredi 31 mars 2010 à 16H49

Après la coupe de la Ligue, le président de l'OM vise le titre de champion de France en fin de saison


Le président Jean-Claude Dassier, hier après-midi, dans son bureau, au siège de l'OM. "Le club est très solide. L'actionnaire nous soutient dans la durée. Les membres du staff sportif travaillent bien ensemble", se félicite-t-il.


Dans son bureau, la coupe de la Ligue trône déjà sur un meuble. En la montrant, Jean-Claude Dassier lâche, solennel :"Tout le monde en a un bout de cette coupe." Quelques heures plus tôt, le président de l'OM a rendu hommage à l'ensemble des composantes du club lors d'une petite réception destinée à célébrer encore une fois ce trophée.

Mais c'est un JCD "déjà tourné vers dimanche et la réception de Lens" qui a reçu La Provence hier après-midi. L'euphorie de la coupe de la Ligue passée, le championnat reprend ses droits avec peut-être en ligne de mire une consécration de plus au mois de mai. Il y a encore de la place entre la réplique de la coupe de la Ligue des champions et le trophée remporté samedi dernier.

- À quoi pensiez-vous à l'étage du bus à impériale, dimanche, lors de la présentation de la coupe de la Ligue aux milliers de supporters ?
Jean-Claude Dassier : Ce fut une somme de sentiments mélangés. Je découvrais une passion et une joie qu'on ne peut connaître qu'à Marseille. Je me disais que j'avais vraiment de la chance. J'étais un peu abasourdiaussi : je suis là depuis huit mois et je vis ça, alors que d'autres ont attendu des années et des années. Mais je le déclare sans coquetterie: je ne m'attribue pas de mérite particulier dans cette victoire. Ce succès, on le doit aux joueurs, à Didier Deschamps et à tout le staff. Pour résumer, dimanche après-midi, je me disais surtout : "Eh bien, je ne regrette pas d'être venu!" J'ai eu 40 ans de carrière dans les médias entre Europe 1 et TF1. Ce ne sont pas des sociétés où on s'ennuie en règle générale, surtout si on fait de l'antenne comme ce fut mon cas pendant 30 ans. Mais les moments d'adrénaline, de stress et de joie vécus au Stade de France puis à Marseille, il n'y a que le football qui peut les procurer. Rétrospectivement, je me suis dit aussi : 'Nom d'une pipe en bois, si on avait perdu, on aurait encore accentué ce sentiment de frustration, de peine et d'abattement.'

- Cette ville avait un besoin quasiment vital de ce titre. Quelle valeur accorder, justement, à cette coupe de la Ligue ?
J.-C.D. : (Sans hésiter) Ce titre vaut largement d'autres à venir. Ce trophée a une grande valeur parce que notre parcours dans cette coupe de la Ligue fut difficile et nous avons enlevé la finale de haute lutte. Cette compétition en vaut bien d'autres. Honnêtement, je n'ai pas de complexes là-dessus. Quand on y regarde de plus près, ce succès ne tient à rien aussi. À la 86e minute de la demi-finale à Toulouse (1-2), l'OM était mené 1-0.

- Avec le recul, pensez-vous qu'une élimination, ce soir-là, aurait plongé le club dans une situation critique ?
J.-C.D. : (Catégorique) Non. Ce week-end, j'ai rendu un hommage appuyé aux joueurs et à Didier Deschamps. Notre coach a bâti cette équipe et il l'a fait progresser. Il a lui-même changé son regard sur certains de ses joueurs (Valbuena, Ben Arfa), c'est normal, c'est la vie. La belle période que nous vivons, c'est d'abord son résultat et celui de toute l'équipe. L'été dernier, nombreux prétendaient que ça ne pouvait pas marcher. Un président débutant, un ancien du club comme entraîneur, un nouvel adjoint, un fort contingent de recrues: tout ça faisait un cocktail improbable, disait-on. Beaucoup pensaient que je n'allais pas finir le premier trimestre...

Or, aujourd'hui, le club est très solide. L'actionnaire (Margarita Louis-Dreyfus) est là; elle nous soutient dans la durée. Mes relations avec elle et avec le Conseil de surveillance sont des rapports de confiance. On se parle; on va dans le même sens. Sportivement, beaucoup pariaient sur l'incompatibilité d'humeur entre les uns et les autres. Or, entre José Anigo et Didier Deschamps, ça se passe bien. Le staff sportif travaille bien ensemble. Le climat qui règne dans ce club est excellent. On a appris à se connaître, c'est vrai. Moi, au début, je ne me suis demandé comment j'allais faire. Mais chacun a travaillé pour faire en sorte que, petit à petit, les choses progressent. On a été récompensés samedi dernier. Mais on peut espérer d'autres consécrations. Ce n'est pas terminé.

- Vous faites évidemment allusion à un éventuel titre de champion à l'issue de cette saison ?
J.-C.D. : Une victoire tant attendue comme celle obtenue en coupe de la Ligue peut aider à forger un esprit de combattant au sein de notre équipe. Les gars sont remontés comme jamais. Regardez Valbuena par exemple. Sa prestation au Stade de France est un symbole fort et il y en a d'autres dans notre effectif. Maintenant, il reste dix matches de championnat. Il y a encore six équipes dans un mouchoir de poche. Mais, honnêtement, on a toutes nos chances. On en a autant que tous les autres. En tout cas, je dirais que le minimum pour nous, c'est une qualification en Ligue des champions.

- Ne pas disputer la C1 la saison prochaine serait si problématique ?
J.-C.D. : Ce ne serait pas un drame financier, mais il faudrait quand même faire des économies en diminuant la masse salariale. Il faudrait ainsi gérer avec plus de vigilance encore puisqu'il manquerait un certain nombre de millions (15M€). Mais c'est le cas pour tous les clubs. Idem pour Lyon et Bordeaux entre autres. Financièrement, la Ligue des champions est essentielle dans le budget des clubs. Cela étant, je ne suis pas inquiet; je pense qu'on va y arriver. Il faut qu'on y arrive.

- L'actuel exercice est loin d'avoir livré son verdict, mais avez-vous déjà défini les grands axes de travail pour la saison prochaine ?
J.-C.D. : On a quelques idées sur la question avec Didier (Deschamps), José (Anigo) et Antoine (Veyrat). Il serait ainsi probablement dangereux de bouleverser une nouvelle fois l'effectif. Le groupe, on l'a. Il donne des résultats excellents. Sans grande crainte de me tromper, je pense que le mercato d'été sera relativement calme à l'OM. Je ne dis pas qu'il n'y aura pas quelques ajustements. On ne peut pas non plus prévoir les demandes qui nous seront faites. Mais le groupe est en train de se constituer et ce n'est pas le moment de tout resecouer et de faire n'importe quoi. Cela m'étonnerait, en tout cas, que le mercato chez nous soit aussi riche que l'été dernier, y compris dans les autres clubs français et dans toute l'Europe. Il y a une crise. [...]

Il faut rendre ainsi la formation plus opiniâtre et plus professionnelle afin que l'on soit en mesure de "sortir" davantage de joueurs. C'est la réalité des choses, dans le financement des clubs, la vente de joueurs est importante car elle aide à boucler le budget quand on s'appuie sur une gestion sportive rigoureuse avec des joueurs qui partent, d'autres qui arrivent ou qui viennent du centre de formation et qui peuvent intéresser les clubs étrangers.

- En dehors d'éventuels mouvements de joueurs, le mercato olympien sera donc calme. En sera-t-il de même à la tête de l'effectif ? Didier Deschamps envisage-t-il de rester aux commandes ?
J.-C.D. : C'est à lui de répondre. Avec lui, ce n'est même pas une affaire de contrat. Ce qui compte, c'est la confiance des hommesentre eux. (Il hausse le ton) Mais on ne sait jamais avec les histoires de l'équipe de France qui viennent mettre de la confusion dans la vie des clubs ! C'est une situation aberrante! J'ai confiance cependant. Je ferai TOUT ce qu'il faut pour que Didier reste avec nous.

ON N" OUBLIERA PAS PAPE DIOUF ...QUI A FAIT VENIR DD
QUI A FAIT CE BEAU RECRUTEMENT

A 1 MOIS JOUR POUR JOUR 15 Avril 15 Mai
DU TERMINAL GLORIEUX
IL POURRAIT AVOIR UN BILAN FLATTEUR POUR SA 1 ERE SAISON COMME PRESIDENT


Avril 2010
Sam 17 , 19:00 J33 Boulogne - OM Boulogne Foot+
Dim 25 , 21:00 J34 OM - St Etienne Marseille C+

Mai 2010
Dim 02 , 19:00 J35 Auxerre - OM Auxerre
Mer 05 , 19:00 J36 OM - Rennes Marseille
Sam 08 , 21:00 J37 Lille - OM Lille
Sam 15 , 21:00 J38 OM - Grenoble Marseille

DES NERFS DASSIER IL A DU CARACTERE ..

L’OM n’est pas là par hasard"
ENTRETIEN Passionné de foot, patron de Saint-Étienne ethommed’affaires, Bernard Caïazzo parle de l’OM et des Verts

LES PRESIDENTS DES VERTS PARLE DE LOM

Président du conseil de
surveillancedes Verts,
Bernard Caïazzo siège
également à la Ligue. Ce fou de
foot, qui a découvert le monde
pro en 1983 en "important" le
système des loges - découvert à
Anderlecht - dans les stades
français, aime Marseille. Passé
par le lycée Thiers après avoir
grandi dans le Haut-Var,
Caïazzo félicitera demain soir
Didier Deschamps en route
vers le titre. "L’OM n’est pas là
par hasard. Son plus grand
succès est de se qualifier pour
une quatrième fois d’affilée en Ligue
des champions", juge l’homme
d’affaires, en pleine négociation
avec un fond de pension
américain dans le but
d’augmenter le capital du club
stéphanois. Pour La Provence
Des Sports, il commente huit
personnages qui font ou ont
fait l’actu de l’OM et des Verts.
◗ BERNARD TAPIE
"Il a fait des erreurs mais il
faut reconnaître ce qu’il a fait de
bien. Il a eu un rôle important
dans les victoires de l’OM, mais
peut-être pas autant que
Jean-Pierre Bernès. Et ce n’est
pas un hasard si ce dernier est
conseiller de Deschamps et
Blanc. Le premier va sans doute
être champion, le second l’a été
l’an passé. Bernès connaît très
bien le foot, il est droit ; et s’il a
peut-être fait des erreurs, il a
payé e t beaucoup s u b i .
Goethals a eu aussi son rôle.
Dans le foot, le ’je’ n’existe
pas. Dès qu’on arrête de parler
de collectif, c’est le début de
l’échec. Le succès se partage."
◗ ROBERT LOUIS-DREYFUS
"J’avais une grande admiration
pour cet homme fortuné
mais d’une grande simplicité ;
c’est quand même celui qui a le
plus investi dans l’histoire du
foot français ! Cette humilité, à
un moment donné, ça lui a porté
tort à Marseille ; il s’est fait un
peu promener sous prétexte
qu’il n’avait pas de fort ego,
qu’il ne tapait pas du poing sur
la table. C’est pourtant l’un des
grands artisans de la réussite actuelle
de l’OM.
Je me rappelle l’avoir croisé
un jour, par hasard, dans un avion
au retour de Buenos Aires :
il était là-bas pour ses affaires
dans le soja et moi j’étais allé suivre
des joueurs argentins. Il
avait une grande vision du sport
et du foot international, des relations
étroites avec le Bayern Munich,
l’UEFA, la Fifa et un réel
amour pour le maillot de l’OM."
◗ VINCENT LABRUNE
"Je ne le connais pas personnellement
mais on ne l’entend
pas. Et j’ai toujours du respect
pour les gens qui ne se mettent
pas en avant. Il est très peu interventionniste.
En tant que président
du conseil de surveillance,
comme moi, son problème,
c’est l’équilibre financier plus
que les résultats. Nice, PSG, Monaco
et Auxerre fonctionnent
de la même manière."
◗ PAPE DIOUF
"L’oublier serait une grosse erreur
! S’il est très discret
aujourd’hui, c’est quand même
lui qui est allé chercher Deschamps!
Pape est un homme de
parole, d’une grande noblesse ;
il siégeait à côté de moi à la Ligue
où nous luttions contre le
mouvement élitiste emmené
par Lyon et le PSG, afin de ne
pas écraser les petits clubs.
Je me rappelle de ces accrochages
avec Aulas ; dès que ce
dernier tentait de dire que l’OL
était le plus grand club français,
il ne se passait pas cinq minutes
avant que Diouf réagisse ! Il défendait
l’OM comme si on touchait
à son enfant. L’homme
éduqué qu’il est se transformait
en personnage féroce mais intelligent.
Avec lui, mais aussi Nicollin
et Martel, on s’amusait à s’interroger
sur les archives des
joueurs, des clubs..."
◗ JEAN-CLAUDE DASSIER
"Je fais ce métier depuis
sept ans, pour d’autres ça fait
vingt. La première année, il faut
accepter de faire des erreurs
commedans n’importe quel métier.
Ça arrive même à l’homme
le plus intelligent du monde! Regardez
Tapie, il y a eu un avant
et un après 1990.
Dassier fait son apprentissage
et il a au moins une qualité :
il aime bosser. Dans l’affaire
des supporters sur PSG-OM, face
à son ami Robin Leproux, il a
été très bon. Quand le président
n’intervient pas dans le domaine
sportif, ça marche. Au fil du
temps, ça se passera de mieux
en mieux. Il laisse travailler Deschamps
tranquillement et
peut-être que ça ne se passerait
pas aussi bien s’il était omniprésent.
Veyrat ne fait pas de bruit,
mais il bosse."
◗ DIDIER DESCHAMPS
"Comment l’équipe de France
a-t-elle pu se passer d’un tel
entraîneur ? C’est à croire que
chez nous on ne veut pas les
meilleurs... C’est comme si l’Argentine
jouait sans Messi ou le
Portugal sans Cristiano Ronaldo.
Quand il arrêtera sa carrière,
je suis sûr qu’il aura le plus
grand palmarès de l’histoire
comme joueur puis entraîneur !
Si l’OM doit regagner la Ligue
des champions, ce sera avec lui !
En août, je lui avais dit qu’il serait
champion! Il ne réussit jamais
les premiers mois mais
dans la durée car c’est un gros
t r a v a i l l e u r . L a p a i r e
Mbia-Diawara me fait penser à
Boli-Desailly. Le rôle de Cissé,
Lucho...
Deschamps joueur, c’était la
tête pensante de l’équipe : ni il
frappait, ni il dribblait, ni il percutait
et pourtant il a fait une
carrière incroyable. Est-ce que
ce n’est pas aussi grand d’avoir
réussi un tel parcours sans le talent
flamboyant d’un Zidane ou
d’un Henry? Il a cette force intérieure
qu’il insuffle aux autres.
Il rappelle que le foot est
d’abord un sport collectif."
◗ CHRISTOPHE GALTIER
"C’est un petit Deschamps,
même s’il n’a pas son expérience
et son niveau! D’ailleurs, ils
sont très amis et Christophe revient
souvent dans sa ville natale.
De toute façon, à Marseille,
quand les gens sont bons grâce
à leur vivacité, ils deviennent
très bons grâce au travail. Indiscutablement,
il sera l’entraîneur
de l’ASSE la saison prochaine.
Nous sommes un club sain
qui redevient stable."
◗ ROLAND ROMEYER
"Il a le coeur vert, c’est un président-
supporter honnête. Il y a
deux ans, j’étais en contact avec
Deschamps mais il faisait un
peu peur aux Stéphanois; or, je
pousse à l’ambition pour ce
club pour être le 5e ou 6e en France.
Roland est plus réaliste mais
sans ambition, l’ASSE restera à
sa place comme la 13e ville de
France ! Avec 220 sections de
groupes de supporters, on doit
aller chercher au-delà du tissu
économique local.
Quand Lyon gagne à Madrid,
le lendemain ils arrivent à midi
à l’aéroport et il y a une vingtaine
de personnes qui les attendent...
Si on est à Marseille ou à
Saint-Étienne, il y en a plus d’un
millier dès minuit !"

"L’OM n’est pas là par hasard"

EN PARLANT DE JEAN MICHEL AULAS

LE CHIEN ABOIT LA CARAVANE PASSE
CHANTE BEAU MERLE IL SE MET A SIFFLER


Désigné pour arbitrer la rencontre entre Auxerre et Marseille (35e j.) ce vendredi, Hervé Piccirillo, né à Martigues, se trouve au centre du débat. Si cette nomination fait enfler la polémique autour d'un «arbitrage favorable» pour l'OM, Jean-Claude Dassier le président olympien, préfère prendre cette controverse avec humour. «Je m'étonne et m'amuse de cette tentative de déstabilisation dont nous ne connaissons pas les auteurs ,"" EN PARLANT DE JEAN MICHEL AULAS ""
confie le dirigeant phocéen sur le site officiel du club. J'ai confiance en l'intégrité du corps arbitral et suis convaincu qu'ils né céderont pas à ce genre de pression. L'équipe reste, dans tous les cas, concentrée sur son match et sur ses objectifs.»

LE STAFF ADMINISTRATIF EST TENDU
Antoine Veyrat, José Anigo, Jean-Claude Dassier et Vincent Labrune
ont assisté au match depuis les tribunes du stade Abbé-Deschamps.

ALORS PRESIDENT

VOUS EN PENSEZ QUOI DES MERCREDI ...5

OU SAMEDI 8 A LILLE A 23h00

UN DOUBLE POUR UNE 1 ERE ANNEE

.DIX LEADERS DÉCHUS.............
Ils ont été 1ers à trois journées de la fin
mais ils ont perdu le titre.
◗ 1933-34 (14 clubs)
23e journée
1. OM .............................31 pts
2. Lille .............................30 pts
3. Sète.............................30 pts
26e journée
1. Sète.............................34 pts
2. Fives............................33 pts
3. OM .............................33 pts
◗ 1945-46 (18 clubs)
31e journée
1. Saint-Étienne ...........................41 pts
2. Lille ..........................................40 pts
34e journée
1. Lille ..........................................45 pts
2. Saint-Étienne ..........................44 pts
◗ 1950-51 (18 clubs)
31e journée
1. Nîmes........................................39 pts
2. Nice...........................................37 pts
34e journée
1. Nice ...........................................41 pts
2. Nîmes .......................................41 pts
◗ 1953-54 (18 clubs)
31e journée
1. Reims........................................43 pts
2. Bordeaux..................................43 pts
3. Lille ..........................................43 pts
34e journée
1. Lille ..........................................47 pts
2. Reims .......................................46 pts
◗ 1960-61 (20 clubs)
35e journée
1. Racing Paris ..............................53 pts
2. Monaco.....................................52 pts
38e journée
1. Monaco ....................................57 pts
2. Racing Paris ............................56 pts
◗ 1961-62 (20 clubs)
35e journée
1. Reims........................................44 pts
2. Nîmes ......................................43 pts
3. Racing Paris ............................42 pts
38e journée
1. Racing Paris..............................48 pts
2. Reims .......................................48 pts
◗ 1983-84 (20 clubs)
35e journée
1. Monaco ....................................49 pts
2. Bordeaux..................................48 pts
38e journée
1. Bordeaux .......................54 pts (+ 39)
2. Monaco ..........................54 pts (+ 29)
◗ 1998-99 (18 clubs)
31e journée
1. OM ............................................65 pts
2. Bordeaux..................................63 pts
34e journée
1. Bordeaux ..................................72 pts
2. OM ............................................71 pts
◗ 2001-2002 (18 clubs)
31e journée :
1. Lens ..........................................61 pts
2. Lyon..........................................59 pts
34e journée :
1. Lyon .........................................66 pts
2. Lens .........................................64 pts
◗ 2008-2009 (20 clubs)
35e journée :
1. OM...................................71 pts (+ 29)
2. Bordeaux.........................71 pts (+ 27)
38e journée :
1. Bordeaux ................................80 pts
2. OM ...........................................77 pts

OM - Dassier : «Un symbole fort»

Jean-Claude Dassier l'a dit et répété : «l'homme de l'OM, ce soir, ce n'est pas moi, mais Didier Deschamps». Le président de l'OM a rendu un hommage appuyé à son entraîneur à l'issue de la conquête d'un neuvième titre de champion de France, dix-huit ans après le dernier.

«C'est lui et son staff qui ont bâti l'équipe, qui l'ont fait progresser en dépit des difficultés, nous a-t-il expliqué. Ça confirme tout son talent et son pragmatisme. Il ne faut pas oublié qu'il a travaillé avec un bout de l'équipe Gerets et que c'est Pape Diouf qui est venu le chercher. Pour moi, c'est un symbole fort de la continuité. Il faut continuer et inscrire l'OM dans la durée».

Outre la défense de son titre de champion, Dassier se projette déjà sur la prochaine Ligue des champions avec l'objectif de «de faire un meilleur parcours» que celui de cette année (phase de poules, NDLR). «Et pour ça, il faut se renforcer», a-t-il insisté. Avec quels moyens ? «En comptant sur nos propres fonds parce que le Père Noël ne passera pas cet été». Sous-entendu : «Je ne pense pas que Margarita, aussi heureuse soit-elle, et ses enfants aussi, nous feront un chèque de 50 millions d'euros».

Jean-Claude Dassier a également eu une pensée pour Robert Louis-Dreyfus, qui, «là où il est, doit être heureux». «Je pense aussi à Margarita et à ses enfants.

Même s'ils n'étaient pas au stade ce soir, je sais qu'ils sont ravis. Ils représentent l'avenir du club. C'est une nouvelle page qui se tourne». Elle se fera avec Didier Deschamps en chef d'orchestre. Dassier a l'intention de rencontrer très prochainement le technicien pour lui proposer de prolonger. «Mais même si on n'avait pas été champion, je l'aurais fait...». Le problème ne s'est pas posé.