LOLO BLANC, ANCIEN ENTRAINEUR DE L'EDF

Créé le 26/11/2013 - 14:40
PSG-Blanc: "Plus de solidarité dans cette équipe"
Laurent Blanc a évoqué son système en 4-3-3 ce mardi en conférence de presse, revenant sur ce qui est unanimement désigné comme la principale réussite de ses premiers mois à la tête du PSG. "Le système est important mais la complémentarité est toute aussi importante. Le fait que les joueurs se connaissent mieux et s’apprécient plus, et c'est quelque chose que je vois tous les jours, fait qu’il y a sans doute plus de solidarité dans cette équipe qu’il y a un ou deux ans, a jugé l'entraîneur parisien. Cela joue dans les moments difficiles. Mais cette compétitivité qu’on a en championnat et en Ligue des champions, il faut qu’on la garde que ce soit le système, la compétition ou les joueurs. Sinon, tu t’enfermes dans un système et ne fais plus jouer des joueurs qui n’y entrent pas ? Non, il faut essayer d’être créatif.Pour moi, il faut être assez flexible. Les 4 de derrière et la sentinelle ne le sont pas mais ailleurs il peut y avoir de la flexibilité à condition de trouver le bon état d’esprit."

Créé le 26/11/2013 - 14:32
PSG-Blanc: "Cavani a fait une très bonne séance"
Laurent Blanc a évoqué ce mardi la condition physique d'Edinson Cavani, rentré tard en fin de semaine de sa sélection avec l'Uruguay. "On l’a récupéré vendredi soir très tard. On n’a pas pris le moindre risque contre Reims (samedi en Ligue 1, 3-0) car on l’a récupéré dans un état de fatigue avancé, a confié l'entraîneur du PSG en conférence de presse. Blanc entend bien compter sur lui mercredi contre l'Olympiakos en Ligue des champions. "On lui a donné du repos dimanche comme les autres et il en a profité. Il a fait une très bonne séance hier physique et technique mais il y a toujours le décalage horaire comme pour les Sud-Américains. Il faut y faire attention car c’est un match important et on compte sur "Edi" comme les autres."

Solides et solidaires»
Le PSG a beau avoir connu des difficultés mercredi face à l'Olympiakos (2-1), il a tout de même fini par s'imposer grâce à ses «valeurs», selon son entraîneur Laurent Blanc.

Adrien Rabiot est entré après l'exclusion de Marco Verratti. (L'Equipe)










79
a+ a- imprimer RSS

Même si les Parisiens ont souffert plus qu’ils ne l’imaginaient pour décrocher leur qualification en huitièmes de finale de la Ligue des champions, mercredi après leur succès étriqué contre l’Olympiakos (2-1), tous étaient «satisfaits» du résultat après la rencontre. Et presque autant de la manière avec laquelle ils ont su faire face aux coups du sort, à savoir l’expulsion de Verratti (46e) et l’égalisation tardive des Grecs (80e), qui les a pourtant pas empêchés de l’emporter. «Après le carton rouge, ça a été plus compliqué mais on a su être solides et solidaires, a témoigné Adrien Rabiot. Toute l’équipe travaille sur le terrain, c’est notre force. Même Ibra est venu défendre. On avait vraiment besoin de tout le monde, ça a été un effort collectif.»


«Cette envie d'aller de l'avant et de ne pas préserver le score nous a permis de gagner.» (Laurent Blanc)
Son entraîneur Laurent Blanc n’était d’ailleurs pas surpris de l’état d’esprit irréprochable affiché par son équipe. «C'est la deuxième fois, après le match à Marseille (2-1), qu'on démontre cette valeur. Cette envie d'aller de l'avant et de ne pas préserver le score nous a permis de gagner, s’est-il félicité. Cela demande une grosse débauche d'énergie mais on sait qu'on peut s'appuyer sur cette valeur. C'est bien. Mais je me serai bien passé de jouer à 10 sur cette deuxième période.» Même quand le scénario ne tourne pas en sa faveur, le PSG parvient à trouver une issue favorable. Elle est peut-être là sa principale force. «En ce moment, on est sur un nuage, a reconnu l’international Espoirs tricolore. Si on continue comme ça, je ne vois pas grand-monde qui pourra nous inquiéter.»

Van der Wiel : «On peut encore faire mieux»

A lire aussi
 
Foot - C1 - PSG Matuidi «ne se sentait pas bien»


 
Foot - FIFA Ballon d'Or «Ibrahimovic le mérite»




Habitué des grands rendez-vous et notamment finaliste de la Coupe du monde 2010 avec les Pays-Bas, Grégory van der Wiel se montre un peu plus mesuré. «Nous jouons vraiment bien cette saison, c’est vrai, a-t-il concédé, mais on peut toujours faire mieux. Et je crois qu’on peut encore fait mieux que la saison passée.» «L’objectif est atteint, s’est contenté de souligner Blanc. On n'avait pas réussi à le faire contre Anderlecht. Ça encore été un peu compliqué, mais on y est arrivé et c'est une grande satisfaction. On a de l’ambition dans cette Ligue des champions, a-t-il ajouté, mais on ne va pas le claironner à tout-va. On veut aller le plus loin possible mais essayons d’abord de procéder par étape. La prochaine, c’est de savoir quelles seront les autres équipes qualifiées et espérer que le tirage nous soit clément.»

Nasser al-Khelaïfi : «Blanc mérite un long contrat»







57
a+ a- imprimer RSS

Le président du Paris-SG, Nasser al-Khelaïfi, n’a pas voulu confirmer après la victoire de son équipe, mercredi en Ligue des champions face à l’Olympiakos (2-1), s’il avait bien proposé une prolongation de contrat à Laurent Blanc, actuellement sous contrat jusqu'en 2015. «Laurent Blanc est un grand entraîneur et mérite un long contrat, a néanmoins estimé le patron du club parisien. Je suis très content de son travail. C’est une discussion entre le PSG et son coach, pas avec les médias.

Olympiakos-Karembeu: "Heureusement que nos amis qatariens sont là..."

Déçu par la défaite de l'Olympiakos mercredi à Paris (1-2, 5e journée du groupe C de Ligue des champions), Christian Karembeu, conseiller du président du club grec en charge de la prospection des joueurs et des relations internationales, sait que le PSG est au-dessus. "Laurent Blanc n'a que des mitraillettes offensivement ! On ne peut pas dire que ce soit facile d'être entraîneur du PSG, mais on ne peut pas dire non plus que ce soit difficile... Un grand club comme Paris se doit d'avoir beaucoup de talents et un grand coach. Et Laurent Blanc est un grand coach." Karembeu reconnaît que le projet est entraînant: "C’est largement bien pour le football français. Heureusement que nos amis qatariens sont là…" Chacun y comprendra ce qu'il voudra.

Paris SG : Blanc a réussi son examen de passage
L’entraîneur du PSG, leader de L1 et qualifié en Ligue des champions, pourrait prolonger son bail à Paris.


La prolongation du contrat de Laurent Blanc, ici avec Nasser Al-Khelaïfi, est au cœur des discussions. (photo afp)

Partager








 
[url=javascript:void(0);]Envoyer à un ami[/url]
 
Imprimer

La qualification du Paris SG mercredi soir pour les 8e de finale de la Ligue des champions apparaît comme un premier aboutissement pour son entraîneur Laurent Blanc, arrivé cet été escorté par le doute mais qui a pleinement réussi ses débuts.
À la fin du mois d’août avant le match face à Guingamp (2-0, 4e journée), son nom avait encore été sifflé par une partie du Parc des Princes, et l’histoire qui s’écrivait alors n’était pas celle d’un grand amour. Le public parisien cultivait encore la nostalgie de Carlo Ancelotti, parti au Real Madrid avec l’aura du technicien qui avait su ramener le titre dans la capitale, 19 après le précédent.


Trois mois plus tard, la donne a changé. Le PSG est en tête de la Ligue 1 avec déjà quatre points d’avance sur son premier poursuivant, Lille, il s’est qualifié dès la cinquième journée pour les 8e de finale de la Ligue des champions et surtout son jeu est plus séduisant.
Mercredi soir après le succès sur l’Olympiakos (2-1), le président parisien Nasser Al-Khelaïfi soulignait à nouveau que le jeu de son équipe était « de meilleure qualité que l’an dernier ». Ça ne s’est pas forcément vu tant que ça mercredi au Parc, mais effectivement, le PSG version Blanc est la plupart du temps plus attrayant que celui d’Ancelotti, minimaliste et largement basé sur le contre.
Plus de maturité
Dès sa présentation officielle début juillet, l’ancien sélectionneur des Bleus annonçait d’ailleurs la couleur dans ce domaine. « Le jeu, on peut en parler des heures, le mettre en pratique sur un terrain c’est plus difficile. J’ai déjà une belle équipe. J’espère et je pense qu’elle va être améliorée. Je pense aussi qu’il faudra être audacieux dans le jeu tout en étant efficace », avait-il dit.
Ce choix de jeu audacieux, c’est celui de faire du PSG une équipe bâtie sur la possession de balle. Cette saison en Ligue des champions, Paris est ainsi l’équipe qui a tenté et réussi le plus de passes (3 340 sur 3 915), devant Barcelone et le Bayern Munich, les deux seuls clubs à le devancer en pourcentage de possession (64 %).
« Il mérite un long bail »
Cette volonté de contrôler le jeu, Blanc l’avait déjà affirmée avec l’équipe de France. Mais sans doute un peu par frilosité et un peu par manque de confiance en son effectif, il y avait renoncé lors du quart de finale de l’Euro perdu face à l’Espagne en alignant, en vain, deux arrières droits. « Je pense que l’expérience que j’ai vécue en équipe de France, notamment à l’Euro, m’a ouvert l’esprit en terme de management. Ça m’a amené une expérience nouvelle, ça m’a permis d’avoir plus de recul sur certaines situations chaudes », a-t-il expliqué au mois d’octobre.
« C’est aussi peut-être l’expérience qui s’affirme. Je n’ai pas beaucoup d’expérience en tant qu’entraîneur, trois ans à Bordeaux, deux ans chez les Bleus… Donc là aussi je prends de la maturité », avait-il ajouté.
En tout cas, cinq mois après une première conférence de presse parisienne où il reconnaissait lui-même ne « pas être le premier sur la liste », Blanc est aujourd’hui en position de force.
« Laurent Blanc est un grand entraîneur et il mérite un long contrat. Je n’en discute pas avec la presse mais avec lui », a ainsi lâché Al-Khelaïfi mercredi soir.

[*]
Créé le 29/11/2013 - 12:48
PSG: Blanc veut un renfort au milieu

A un mois de l’ouverture du mercato hivernal, Laurent Blanc a expliqué vendredi qu’il ne serait pas opposé à l’arrivée d’un renfort dans l’entrejeu au mois de janvier. "S’il y a une retouche au milieu de terrain, je ne serais pas contre", a-t-il déclaré en conférence de presse. L’entraîneur parisien s’est dit "content" de son effectif et espère le conserver jusqu’à la fin de la saison. Cela vaut aussi pour Jérémy Ménez, qui sera en fin de contrat en juin 2014, même si le "Président" est conscient que les dirigeants du club de la capitale n’ont plus la main dans ce dossier-là: "Jérémy est en position de force, il est en fin de contrat. Le club pourrait lui proposer une prolongation mais s’il veut partir…"

Blanc et sa tactique payanteLe large succès du PSG, dimanche face à Lyon (4-0), est aussi celui de Laurent Blanc. Son réajustement tactique après une demi-heure de jeu a été très bénéfique à son équipe.Laurent Blanc reste prudent après la large victoire face à Lyon. (L'Equipe)
28a+
a-
imprimer
RSS Si, une nouvelle fois, Zlatan Ibrahimovic et Edinson Cavani ont été les hommes les plus en vue, il ne faudrait pas oublier, contre Lyon (4-0), l'importance de Laurent Blanc, lequel a su remettre son équipe sur les bons rails après une entame compliquée. La lumière est d'abord venue du banc. En faisant évoluer le système tactique, le coach parisien a aider à faire basculer la rencontre en faveur du PSG. « On a été surpris par le système de Lyon, qui nous a un peu perturbés, a reconnu le technicien. Lyon a bien sorti le ballon même s'ils ne se sont pas créé vraiment d'occasions. Ensuite, un petit réajustement tactique nous a permis de resserrer les lignes et de bien réagir, même si on aurait pu gagner en restant dans notre système habituel.»
A lire aussi
Foot - L1 - 15e j. Paris a mangé Lyon En passant du 4-3-3 au 4-4-2, Paris a pu exploiter les côtés, avec Pastore et Lucas. Une tactique vite payante. Blanc s'explique : « C'était juste pour avoir au milieu toute la largeur et priver un peu d'espace des Lyonnais qui avaient un dispositif très dense au milieu, mais qui nous perturbaient aussi avec leurs latéraux. Les nôtres ne pouvaient pas sortir. En refaisant deux lignes de quatre, on a pu couper ces espaces et jouer un peu plus haut.»
Avec cette nouvelle démonstration, Paris donne l'impression de survoler le Championnat. «Je ne dirais pas qu'on survole, a réagi Blanc. Là, on a eu en face une équipe qui a tenté un schéma qui nous a perturbés. On était alors très bas. On aurait pu sauter les lignes mais ce n'est pas notre philosophie.» Paris est resté fidèle à lui-même et à ses principes. Avec ambition. «Après, avec le score on peut penser à une rencontre facile, mais il faut les gagner. Il faut avoir envie de marquer encore des buts. Mon équipe sait gérer les matches mais tout en ayant envie de continuer à marquer.» C'est aussi ce qui fait sa réussite.

PSG: Blanc ne réclame rien

Interrogé dimanche dans le Canal Football Club à la sortie de la large victoire du Paris Saint-Germain contre l'Olympique Lyonnais (4-0), Laurent Blanc a évoqué le mercato hivernal du club parisien, pas forcément décidé à sortir le chéquier. "Tout dépendra des mouvements, a confié l'entraîneur parisien. S’il y a des joueurs qui désirent partir du PSG, ils seront remplacés. Si tout le monde veut rester j’en serai très heureux." En mal de temps de jeu, Jérémy Ménez, en fin de contrat en juin, pourrait plier bagages. Javier Pastore, s'il a le soutien de son entraîneur, lequel l'a de nouveau titularisé pour permettre à Blaise Matuidi de souffler, est également susceptible d'aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte... Yohan Cabaye serait dans le viseur du PSG.

PSG-Blanc: "Une bonne soirée"

Paris a remporté le choc de la 15e journée de Ligue 1 contre Lyon, samedi soir au Parc des Princes (4-0). "C'était une bonne soirée pour nous, a réagi Laurent Blanc après la rencontre. Il y a eu des buts, du spectacle. L'ampleur du score peut laisser penser que c'était un match facile mais ce n'était pas le cas. On a eu quelques difficultés, notamment en début de match. On a été surpris par le changement tactique lyonnais dû à l'absence d'un joueur important. Il y a eu un réajustement tactique qui nous a permis de couper les espaces et nous a remis dans le match."

PSG-Blanc: "On n’a pas créé beaucoup de choses"

Laurent Blanc est revenu mercredi soir en conférence de presse sur la défaite du PSG sur la pelouse d’Evian-Thonon lors de la 16e journée de Ligue 1 (2-0). "Des occasions, on a su s'en procurer, notamment en première mi-temps, des occasions assez franches. En deuxième mi-temps, à part une occasion franche de Javier (Pastore), on n'a pas créé beaucoup de choses", a reconnu l’entraîneur parisien. "On peut avoir des regrets sur la défaite puisque je pense que, en première mi-temps, on aurait pu ouvrir le score, ce qui nous aurait permis, à mon avis, d'avoir un résultat final autre", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse. "Mais après, on a été trop moyen en deuxième mi-temps. Avant le match, on avait une marge 'énorme', j'ai entendu parler d'extraterrestre, a-t-il également souligné. Et puis après cette défaite-là, on va dire que la marge est très mince. Il faut prendre un peu de recul par rapport à tous ces commentaires."

PSG: Leonardo salue le travail de Blanc

Longuement interrogé par beINSport, Leonardo est notamment revenu sur l’arrivée de Laurent Blanc à la tête du PSG. Si l’ancien sélectionneur des Bleus n’était pas le premier choix, Blanc a notamment été choisi par Leonardo, qui vivait ses dernières heures de directeur sportif du club de la capitale. "Bien sûr que j’ai été actif dans son recrutement J’étais encore là. Si je suis là et que je ne suis pas actif, c’est que je ne fais pas mon boulot (rires). Il a donné beaucoup. Il était très intelligent de garder les choses que Carlo (Ancelotti) avait mises en place. Après, c’est normal qu’il donne un peu de son identité de jeu. Il a donné une chose importante : le français. Il y avait beaucoup d’étrangers. Une personne qui vient de France et qui connaît la réalité, la culture, c’est important.“ a notamment expliqué le Brésilien.

PSG-Blanc: "Pas une équipe de figuration"
Au vu du groupe emmené au Portugal, Laurent Blanc a avoué qu'il n'était pas si "difficile de deviner l'équipe qui va débuter" mardi contre Benfica à l'occasion de la sixième et dernière journée de la phase de poules de la Ligue des champions. Sans Zlatan Ibrahimovic, Thiago Silva, Marco Verratti, Alex et Gregory van der Wiel, "certains joueurs en mal de temps vont en retrouver" a annoncé l'entraîneur du Paris Saint-Germain. Parmi eux, des jeunes qui apprennent dans l'ombre des stars. "Pour eux, c'est extraordinaire, c'est un match fabuleux à jouer. Jouer un match de Champions League dans un stade magnifique, un lieu marqué d’histoire sans aucune pression de résultat, c'est la meilleure manière de débuter pour certains", a expliqué l'ancien sélectionneur de l'équipe de France, avant de faire cette précision à l'adresse de la presse portugaise. "On ne va pas jouer qu’avec des jeunes. On dirait qu’on est venu qu’avec l' équipe des 16 ans ou des 18 ans. Mais il y aura des internationaux en puissance, ça ne sera pas une équipe de figuration." Et Blanc de rappeler l'objectif de cette rencontre contre Benfica même si le PSG est déjà assuré de terminer à la première place de son groupe: "J’espère que le niveau technique et collectif de cette équipe sera le même. C’est le but de ce match-là. Et puis, aucune équipe française n'a jamais gagné ici, c’est un beau challenge pour cette équipe. Ce serait bien que ce soit le PSG mais ça sera difficile."

Blanc : «On a manqué d'ambition»
Laurent Blanc a mis en avant la mauvaise deuxième période de son équipe pour expliquer la défaite concédée mardi soir sur la pelouse de Benfica (1-2). A ses yeux, les absences de Thiago Silva et Ibrahimovic ne sont pas une excuse.

«On est déçu, mais il faut passer à autre chose». Laurent Blanc après la défaite du PSG sur la pelouse de Benfica, mardi soir. (L'Equipe)










85
a+ a- imprimer RSS

Une période à l’endroit, une autre à l’envers. Tel est le constat dressé par Laurent Blanc après la défaite du PSG sur la pelouse de Benfica (1-2), mardi soir. «En première période, on a fait ce qu’il fallait, a souligné le technicien au micro de beIN Sport. Mais en seconde, on a manqué d’ambition et on s’est fait bouger par Benfica. On est déçu, mais il faut passer à autre chose».

«Même si j'ai laissé des joueurs cadres à Paris, l'équipe de départ avait fière allure». Si cette défaite ne change pas grand-chose (le PSG était déjà qualifié et assuré de terminer premier avant cette rencontre), elle soulève la question de la compétitivité du club de la capitale dès lors que Laurent Blanc fait tourner son effectif. En Championnat, à Evian, cela avait déjà été le cas. «Même si j’ai laissé des joueurs cadres à Paris (Ibrahimovic et Thiago Silva), l’équipe de départ avait fière allure, a évacué le technicien. Il n’y a qu’à regarder le nombre d’internationaux sur le terrain».
 
Le PSG va désormais se tourner sur le déplacement à Rennes, samedi. Il ne retrouvera la C1 que mi-février pour les huitièmes de finale. Avec l’ambition de revenir au stade de la Luz où se tiendra la finale ? «Pour espérer revenir, il va falloir faire des grands matches, a prévenu Blanc. La Ligue des champions, tous les grands clubs veulent la gagner, mais à la fin, il n’y en a qu’un qui y arrive…»

Blanc : «Ranieri est rusé»







52
a+a-imprimerRSS

A la lutte avec le Paris-SG dans la course au titre de champion de France, Monaco, par la voix de son entraîneur Claudo Ranieri, s'est amusé à flatter les joueurs parisiens, en les qualifiant «d’extraterrestres». « Le PSG ce sont des extra-terrestres et c’est bon pour nous d’être deuxièmes.» Sauf que Laurent Blanc n'est pas dupe : «Ranieri, je le connais très bien. Il est rusé, c’est un Italien. Et les Italiens sont très rusés», a lâché l'entraîneur parisien, qui a eu le technicien comme entraîneur quand il a évolué à Naples (1991-1992).

Ranieri a même été plus loin dans sa démonstration, estimant que ce PSG était quasiment injouable, même si le gardien était Ibrahimovic... «Je respecte beaucoup le Paris-SG car il y a beaucoup de champions, sur le banc. Blanc a le choix, il peut choisir que le gardien ce sera Ibrahimovic. Et il va gagner.» «Mais qu’il se rassure, on ne mettra pas Ibra dans les buts...», a rétorqué avec humour Blanc sur le sujet.

Blanc : «Être conquérants»http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Blanc-etre-conquerants/425117

Laurent Blanc était très satisfait de la prestation de ses troupes à Rennes (1-3). «Les joueurs ont retrouvé cet état d'esprit qui fait qu'on est difficiles à battre», a souligné l'entraîneur parisien, qui n'avait pas apprécié les défaites face à Evian et Benfica.

Laurent Blanc, Avez-vous eu un peu peur de concéder le nul à 2-1 en votre faveur ?
Non. Je ne dis pas que rien ne pouvait nous arriver, mais de mon côté, je n'avais de doutes. On a fait un très bon match dans l'utilisation du ballon, les appels. Quand on a perdu le ballon tout le monde s'est battu pour le récupérer le plus vite possible. Si je regarde les stats que j'ai dans les poches, c'est très bon match de notre part. Marquer trois buts à l'extérieur, il faut le faire. Après un prend un but sur coup de pied arrêté, mais l'équipe n'a pas paniqué, a continuer à jouer son jeu.

«Si on veut devenir une très grande équipe il faut avoir la mentalité qui va avec. On n'avait pas cette mentalité à Evian et Benfica» Etes-vous d'autant plus satisfait qu'il fallait réagir à l'extérieur après deux défaites à Evian puis au Benfica Lisbonne ?
Oui on a raté deux matches à l'extérieur car je pense qu'on n'a pas mis suffisamment les ingrédients que nécessite un match de haut de niveau. Si on n'en a pas pris conscience après ces deux matches, c'est qu'on n'a rien compris. Mais ce soir (samedi), outre la victoire, le contenu m'a beaucoup plu. Les joueurs ont retrouvé cet état d'esprit qui fait qu'on est difficiles à battre quand on met ces ingrédients. C'est ça le plus haut niveau: il faut être conquérants, quand on n'a pas le ballon que tout le monde soit concerné. Tous les grands joueurs, toutes les grandes équipes le font, si on veut devenir une très grande équipe il faut avoir la mentalité qui va avec. On n'avait pas cette mentalité à Evian et Benfica.


A lire aussi

 
Foot - L1 - 18e j. Paris en toute sérénité




On a parfois l'impression que votre équipe joue à l'économie, gère...
Ah bon ? Les gens me disent souvent que ça paraît facile vu des tribunes... Je veux bien... Qu'on donne cette impression est une bonne chose, mais croyez-moi il faut jouer les matches, se proposer, ne pas paniquer, défendre et attaquer. Donner cette impression demande beaucoup d'efforts. C'est peut-être une impression agréable, mais la réalité est plus difficile.»

Laurent Blanc : «Beaucoup de respect» pour Leverkusen
Si Adrien Rabiot reconnaît que le PSG a bénéficié d'un «bon tirage» en héritant du Bayer Leverkusen, Laurent Blanc a tenu à tempérer l'enthousiasme général. «Ne croyez pas que ce match ne sera pas pris sérieusement», a-t-il prévenu.

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Blanc-beaucoup-de-respect/425585

Laurent Blanc (coach du PSG) en conférence de presse, suite au tirage au sort des 8e de finales de C1 : «Leverkusen, on s'y était préparé. Il ne faut pas oublier qu'ils se sont qualifiés dans un groupe très difficile. Ce n'est ni un bon, ni un mauvais tirage, mais ça aurait pu être pire. Nous avons beaucoup de respect pour cette équipe. Tous les matches sont difficiles en 8e de finale de Ligue des champions. Il y a des très grosses affiches : quand on voit le premier match qui est sorti (Manchester City - FC Barcelone)...

Ne croyez pas que ce match ne sera pas pris sérieusement. On va le préparer comme il faut et étudier cet adversaire. On va peut-être regarder un peu plus le championnat allemand que d'habitude, mais s'ils sont deuxièmes derrière le Bayern, c'est que c'est une équipe de qualité. Je connais bien l'entraîneur, Sami Hyypiä (...) La plupart de mes joueurs étaient encore sur le terrain au moment du tirage. Ils terminaient leur séance d'entraînement.»

Adrien Rabiot (PSG) au micro de BeIN Sport : «Leverkusen, c'est un bon tirage, ça aurait pu être plus compliqué. On sait que toutes les équipes arrivées à ce niveau-là veulent aller en quart, mais ça aurait vraiment pu être plus difficile. Ils vont essayer de jouer leur va-tout. On ne va pas se plaindre, on va jouer comme on sait le faire, comme on l'a fait en phase de poules. Si on veut aller plus loin, c'est favorable de tirer Leverkusen. Notre objectif, c'est de faire mieux que l'an passé, et cela passe par une victoire en 8e.»

Völler : «On sera outsiders»
Rudi Völler (directeur technique du Bayer Leverkusen) au micro de Sky : «On n'a encore jamais affronté Paris, ce qui rend ce match encore plus intéressant. C'est évidemment une équipe dotée de joueurs de classe mondiale. Il faudra faire meilleure figure chez nous que face à Manchester United (0-5), mais je suis persuadé qu'on en sera capables. Il ne s'agit pas seulement de stopper Ibrahimovic. Ils ont d'autres super joueurs comme Cavani et Lavezzi, pour n'en nommer que deux. On essaiera de faire bonne impression. On sera outsiders mais il y a souvent des surprises en compétition européenne. On respecte Paris mais on se présentera très confiants».

PSG-Blanc: "J’ai dit à Zlatan ce que je pensais"
Dans un entretien accordé au Figaro, Laurent Blanc dresse un premier bilan de son action au PSG depuis son arrivée sur le banc l’été dernier. L’ancien sélectionneur de l’équipe de France évoque notamment sa gestion des ego et du cas Zlatan Ibrahimovic, dont il a rapidement obtenu la confiance. "On a beaucoup échangé lors de la reprise l'été dernier. Je lui ai dit ce que je pensais. Je voulais savoir s’il adhérait au projet. C’est un joueur essentiel. On va disputer une soixantaine de rencontres cette année, je l’espère, et il ne va pas toutes les jouer. Il a 32 ans. Or les joueurs comme lui, ils veulent disputer tous les matches. Ce sont des compétiteurs. Mais de temps en temps, il faut qu’il souffle, et je dois lui expliquer pourquoi il ne joue pas", a expliqué Blanc. Le coach du PSG est également revenu sur les performances en demi-teinte de joueurs comme Javier Pastore et Jérémy Ménez. Et il avoue ressentir un sentiment d’échec. "Je n’ai pas de problème avec eux, mais je n’arrive pas à tirer le maximum de ce qu’ils peuvent faire. C’est un petit échec. Mais, au final, j’ai onze noms à choisir pour le match. L’entraîneur, ce n’est pas le gentil GO qui met l’ambiance en donnant sa confiance à tout le monde", a-t-il ajouté. Avant de préciser d’élargir la remarque à propos d’Ezequiel Lavezzi et Lucas: "On en a utilisés pas mal à ce poste-là (celui de troisième attaquant, ndlr), que ce soit Lavezzi, Ménez, Lucas ou Pastore. Ils doivent faire beaucoup mieux."

Blanc : «Il y a tout eu dans son match»
Laurent Blanc a rendu hommage à Edinson Cavani, auteur d'un doublé, après la qualification du PSG face à Saint-Etienne en 8e de finale de la Coupe de la Ligue. «Il a fait un grand match», a insisté le technicien qui se serait, en revanche, bien passé de la prolongation.

20partages Tweeter Partager Partager

20partages Tweeter Partager Partager

87
a+ a- imprimer RSS


Félicité par Laurent Blanc, Edinson Cavani a inscrit un doublé contre Saint-Eienne, mercredi. (L'Equipe)



Laurent Blanc (entraîneur du Paris SG) : «On peut penser que le fait d'avoir gagné fera récupérer un peu plus vite, même s'il y a eu une débauche d'énergie importante. Saint-Etienne a été coriace, comme d'habitude, mais on a fini par battre cette équipe qui nous donne du fil à retordre. Cavani a fait un grand match. Il y a tout eu dans son match. Il a combattu comme toujours. Techniquement, je crois qu'il a fait un très, très bon match. Et comme pour tout buteur, il faut que ça se finalise par des buts, et là il en met deux. C'est un grand match de sa part mais globalement on a fait un bon match. On aurait aimé finir dans le temps réglementaire mais Saint-Etienne y a cru et a été récompensé par son but. De Cavani je retiens ses deux buts. Je veux bien qu'il défende, ça fait plaisir à l'équipe et au public, mais c'est les deux buts que je retiens. On ne peut pas lui dire d'en faire moins, c'est dans sa nature. Si ça peut amener toute l'équipe à être aussi disciplinée, motivée et concernée par le replacement défensif, je suis preneur.

«Il y avait des crampes, un qui avait mal à la cuisse, mais qu'est-ce qu'on peut faire ? Au moins on a gagné.» Bien sûr, on aurait aimé ne pas faire la prolongation, mais voilà. Il y avait des crampes, un qui avait mal à la cuisse, mais qu'est-ce qu'on peut faire ? Au moins on a gagné. On essaie de faire tourner, surtout au milieu. On a quelques petits problèmes comme tous les clubs. Mais on est le PSG et on veut gagner tous les matches. Ce match n'était pas évident. Je pense que les joueurs étaient vraiment concernés. Il y avait beaucoup de joie dans les vestiaires. Ils voulaient vraiment battre cette équipe. La Coupe de la Ligue est un objectif, peut-être pas le premier mais c'est un objectif. Moi je n'avais pas de sentiment de revanche. Il n'y a pas que le PSG qui a du mal contre eux. C'est une des bonnes équipes du Championnat, dure à jouer et qui peut marquer à n'importe quel moment. Ils sont durs à battre mais on les a battus. Christophe Galtier fait du bon travail, très bon.»

[*]
Créé le 20/12/2013 - 15:08
Blanc: "Un bonheur d'entraîner ce groupe..."

Alors que la première partie de saison touche à sa fin, Laurent Blanc, qui n'aura connu la défaite qu'à deux reprises depuis qu'il a pris les commandes du PSG en juin (contre Evian TG et Benfica), a dressé une forme de mini-bilan de cette expérience: "Il n’y a pas eu vraiment de surprise mais plus des confirmations, car je connaissais déjà très bien les joueurs pour les avoir vu jouer. Après, je dois dire que les jeunes répondent présent: Adrien Rabiot confirme toutes les qualités pour prétendre jouer au PSG, Ongenda commence, mais c’est pas mal non plus. Et je n’ai pas attendu de les entraîner pour savoir que Ibra et Cavani étaient de grands buteurs. Après, la surprise vient peut-être de leur professionnalisme. C’est un bonheur d’entraîner ce groupe."

Blanc : «J'ai pris du plaisir»Malgré le nul concédé à domicile contre Lille (2-2), Laurent Blanc a vécu une belle soirée au Parc des Princes. «C'était intense, avec du jeu, des buts», a-t-il confié.

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Blanc-j-ai-pris-du-plaisir/427284

Laurent Blanc, quel est votre sentiment à l'issue de ce match ?
Il y a un peu de tout, des regrets pour le résultat mais la satisfaction d'être revenus au score. Le plus gros regret, c'est de ne pas rentrer à la pause avec un avantage. Je n'ai pas grand-chose à reprocher à l'équipe sur cette première période. On fait juste une erreur. J'ai pris du plaisir à voir ce match. C'était intense, avec du jeu, des buts. Je suis déçu du résultat mais Lille a joué son match. Eux et Monaco, au Parc, sont les équipes qui ont fait de belles performances. Mais j'ai les stats et Paris ne méritait pas de perdre ce match. Ce qui me fait plaisir aussi c'est que fatigue ou pas, on a été au bout de nous-même. Ils sont durs à jouer, ces Lillois, très agressifs. Mais on les a fait beaucoup courir. Techniquement on est restés très bien, on a été meilleurs. Et physiquement on a tenu la comparaison.
«On a 44 points, sur une phase aller c'est pas mal» Le bilan de vos six premiers mois vous semble-t-il positif ?
Le bilan on aura le temps de le faire. J'ai une semaine tranquille pour le faire. Mais on peut déjà dire que c'est positif. On a 44 points, sur une phase aller c'est pas mal. Là où je suis très satisfait, c'est sur le jeu. On a beaucoup d'occasions, on peut marquer beaucoup. On prend des buts, parce qu'on prend des risques. Mais je pense que les gens prennent du plaisir en nous regardant jouer.
«Je pense que je m'améliore» Est-ce l'équipe que vous avez le plus de plaisir à entraîner depuis vos débuts ?
Oui. Sans aucune hésitation. Parce qu'il y des joueurs qui comprennent ce que vous voulez mettre en place et qui sont capables de le faire. Et ils sont travailleurs. Alors le travail est bien fait avec des joueurs de très haut niveau. Mes trois ans à Bordeaux m'ont amené de l'expérience et les deux ans de sélection beaucoup d'expérience, notamment en ce qui concerne les relations humaines. Donc je pense que je m'améliore.»

PSG-Blanc: ""

Si Laurent Blanc était plutôt satisfait de la prestation de ses joueurs lors du match nul contre Lille (2-2), comptant pour la 19e journée de Ligue 1, le technicien parisien n'a pas caché sa frustration face au partage des points : "C’était un beau match, dans l’intensité d’abord, avec deux équipes qui ont produit du jeu, avec des intentions, a-t-il apprécié devant les caméras de Canal +. Vu la tournure des événements, on a poussé, Lille a été dangereux en contre, je trouve qu’on a fait un gros match. Je suis satisfait de ce match, mais pas du résultat" Un match nul du selon lui à la grande performance défensive des Nordistes, et du gardien lillois Enyeama, mais aussi au manque d'efficacité de son équipe, privée pour cette rencontre de Cavani, rentré en Uruguay : "Je ne pense que Lille a une débauche d’énergie impressionnante, ils défendent beaucoup, ils arrivent bien à se projeter devant, quand vous êtes menés par Lille, c’est difficile de leur marquer des buts, même si on en a marqués deux. On ne pouvait pas compter sur Cavani sur ce match, j’aurais aimé que ses remplaçants marquent des buts, mais c’est la chose la plus difficile, on a en marqué deux, on aurait pu en marquer plus, mais leur gardien a encore fait un grand match".

Blanc emmène ses jeunes au Qatar

49partages Tweeter Partager Partager

49partages Tweeter Partager Partager

107
a+ a- imprimer RSS


Laurent Blanc, l’entraîneur du PSG, a décidé d’emmener un groupe élargi au Qatar pour le stage de préparation qui débutera dimanche et se terminera par un match amical face au Real Madrid le 2 janvier. Il a convoqué vingt-six joueurs dont de nombreux jeunes : les gardiens Mory Diaw et Mike Maignan, les défenseurs Alvin Arrondel et Sébastien Atlan, ainsi que le milieu Kingsley Coman. Le reste du groupe est classique, avec Zlatan Ibrahimovic, Edinson Cavani, Thiago Silva et consorts. Après une semaine de vacances, les joueurs du Paris Saint-Germain s'envolent dimanche pour leur Qatar Winter Tour.

Le groupe parisien :
M. Diaw, Douchez, Maignan, Sirigu - Alex, Arrondel, Atlan, Z. Camara, Digne, Jallet, Marquinhos, Maxwell, Thiago Silva, Van der Wiel - Coman, Lucas, Matuidi, Ménez, Motta, Pastore, Rabiot, Verratti - Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi, Ongenda.

Blanc, du jeu et des résultats
A l'occasion de la trêve hivernale, nous dressons en vidéo le bilan de la première partie de saison du champion de France en titre, le PSG.Sacré champion sans développer un jeu flamboyant sous l'égide de Carlo Ancelotti, le PSG s'est transformé avec l'arrivée de Laurent Blanc. L'ancien sélectionneur de l'équipe de France a obtenu le sacre honorifique de champion d'automne tout en alignant une équipe joueuse qui ravit les fans de foot.

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Blanc-du-jeu-et-des-resultats/428393

PSG-Blanc: "Encaisser un peu moins de buts"
A deux jours du premier match de l'année 2014 du PSG, une rencontre amicale face au Real Madrid à Doha, Laurent Blanc a évoqué sur le site du club les objectifs de la deuxième partie de la saison: "Maintenir nos qualités offensives et essayer d'encaisser un peu moins de but, mais cela ne concerne pas uniquement les défenseurs mais toute l'animation défensive de l'équipe." Et le coach parisien d'ajouter, à propos de la première partie de la saison: "Nous avons réalisé une très belle première partie de saison et je pense que la pression exercée par Monaco et Lille en championnat est positive pour tout le monde. Ils nous incitent à ne pas relâcher nos efforts. Nous sommes ambitieux et sereins. Cela vient certainement de nos bons résultats et j'espère qu'ils seront aussi bons en 2014 qu'en 2013."