ENERGIES ECOLOGIQUES ET POURQUOI PAS ???

MOBILISATION
Une journée "carton
rouge au nucléaire

À l’appel d’organisations japonaises,
les militants antinucléaires
manifestaient, hier, sur
tous les points du globe, trois
mois après l’accident de
Fukushima. À Marseille, c’est
en ordre dispersé que les opposants
se sont faiblement mobilisés.
En tee-shirt jaune, le Collectif
antinucléaire 13 organisait le
matin, en haut de la Canebière,
une distribution de tracts et
une lecture de messages de Japonais.
L’après-midi, le Réseau
Sortir du nucléaire, Europe Écologie
Les Verts, le NPA se rassemblaient
devant la mairie.
Tous appellent à sortir du nucléaire
mais selon des rythmes
différents. Face à "une probabilité
d’accident majeur" en Europe,
le Collectif considère qu’il
n’y a pas de temps à perdre.
"Les écologistes mentent en disant
qu’on peut sortir du nucléaire
grâce à la sobriété et aux
énergies renouvelables, considère
Isabelle Taitt, mais on ne
pourra pas remplacer une énergie
de base par une énergie de
pointe comme l’éolien. Si on
substitue toutes les centrales nucléaires
fonctionnant dans le
monde par des centrales thermiques
classiques au fuel, au gaz,
au charbon, on aura 0,06% de
gaz à effet de serre en plus. Personnellement,
je n’ai aucun état
d’âme".
Europe Écologie Les Verts,
membre du Réseau Sortir du
nucléaire, suggère un délai de
vingt ans pour substituer une
production d’énergie renouvelable
à celle des 58 réacteurs
français en activité. "Nous sommes
réalistes, indique Christophe
Reynaud, nous ne voulons
pas éteindre la lumière demain
matin. Une période transitoire
pouvant aller jusqu’à vingt ans,
permettrait l’arrêt des futurs projets
et la fermeture des centrales
arrivant en fin de vie. Dans le
même temps il y a des énergies à
mettre en place et ce sont les
énergies du futur". EELV se félicite
de voir Martine Aubry, potentielle
candidate à la présidentielle,
"faire un pas vers la
sortie du nucléaire".
Les militants estiment que
l’opinion publique peut basculer
en faveur de la sortie du nucléaire.
"L’eau n’était pas frémissante.
Depuis Fukushima, ça
commence", se réjouit Jerémie
Dessertine, militant du Collectif
antinucléaire 13. Devant la
mairie, une jeune femme relaie
le message que lui a adressé, la
veille, son amie Rieko, depuis
Tokyo. "Elle m’a dit combien les
jeunes Japonais regrettent de ne
pas avoir réfléchi au nucléaire
avant. Cette mère d’une petite
fille de six ans m’a confié combien
le réveil est terrible. Le message
qu’elle veut nous faire passer,
c’est que nous sommes tous
concernés". D’ici quelques
mois, les antinucléaires promettent
d’organiser une chaîne humaine
de Lyon à Avignon qui
nécessitera la présence de
250000 manifestants

Une poignée de militants ont répondu à l’appel d’organisations
japonaises pour une mobilisation planétaire

Eric Besson quitte une émission de M6 en plein enregistrement
Le ministre de l'Industrie Eric Besson a quitté mercredi le plateau de l'émission Capital de M6 en plein enregistrement, en déclarant "Je me casse. Fait chier", a indiqué à l'AFP une personne présente dans le studio.

Le ministre était invité pour parler du nucléaire avec le journaliste Guy Lagache pour l'émission de dimanche qui a pour thème: "Vivre et consommer écolo: ruée sur les nouvelles solutions vertes".

Mais M. Besson a quitté le plateau au bout d'une dizaine de minutes, au moment où était diffusé le témoignage d'un ancien sous-traitant chargé de la sûreté dans les centrales nucléaires.

Elles est drolement belle notre démocratie
Quand Besson quitte le plateau de "Capital"
Le ministre de l'Industrie semble ne pas supporter la contradiction


BESSON DEMISSION
BESSON DEMISSION

http://video.fr.msn.com/watch/video/eric-besson-quitte-le-plateau-de-capital/13q79wrl2

Eric Besson quitte le plateau de Capital
Par souci de transparence, M6 a choisi de vous montrer l’extrait de l’interview d’Eric Besson par Guy Lagache enregistrée mercredi 15 juin pour l’émission Capital diffusée ce dimanche 22

gaz de schistes non merci

ANNE ATOMIC

AFP, Mise à jour : mercredi 13 juillet 2011 04:53
Anne Lauvergeon, ancienne patronne d'Areva, au conseil de surveillance de Libération
L'ancienne patronne d'Areva Anne Lauvergeon a été choisie par les actionnaires majoritaires de Libération pour présider prochainement son conseil de surveillance, a annoncé mercredi le quotidien.


Selon Libération, Edouard de Rothschild, Jacaranda Caracciolo et Bruno Ledoux ont annoncé mardi "qu'ils voteront favorablement, lors d'un très prochain conseil de surveillance, la cooptation d'Anne Lauvergeon en qualité de membre du conseil de surveillance, afin de la porter à la présidence de celui-ci".

Patronne d'Areva pendant plus de dix ans, Mme Lauvergeon n'a pas été reconduite à la tête du groupe nucléaire public. Surnommée "Atomic Anne", cette ancienne conseillère diplomatique de François Mitterrand a été remplacée début juillet, sur décision du gouvernement, par son ancien numéro deux Luc Oursel.

2 mercredi 20 juillet 2011 16:55
ils essaient de nous faire avaler la pilule de nouvelles augmentations de tarifs previsibles
vous voulez de la sécurité il faudra passer à la caisse ;!!!!!
Nucléaire: deux ans de retard supplémentaires pour l'EPR de Flamanville
Le réacteur EPR de Flamanville (Manche) devrait être mis en service en 2016, avec deux ans de retard supplémentaires sur le calendrier initial, a annoncé mercredi EDF, qui évoque désormais un coût total de 6 milliards d'euros, soit près de double des estimations initiales
Initialement, l'EPR de Flamanville devait démarrer en 2012 et coûter 3,3 milliards d'euros. Dorénavant, EDF évoque dans un communiqué "un projet actualisé de l'ordre de 6 milliards d'euros" et souligne que le groupe "commercialisera les premiers kilowattheures produits par l'EPR de Flamanville en 2016".
"Ce retard est lié à des raisons tant structurelles que conjoncturelles. Flamanville 3 est la première centrale nucléaire construite en France depuis 15 ans. C’est également le premier EPR. En termes de maîtrise industrielle, EDF a dû revoir son appréciation de l’ampleur des travaux à mener, notamment en matière de génie civil", explique l'électricien.
En outre, rappelle le groupe, le chantier a été frappé par deux accidents graves au cours des derniers mois. Deux salariés sont décédés sur le chantier depuis le début de l'année.
EDF évoque enfin pour justifier ce nouveau retard les analyses qui doivent être menées dans le cadre des audits lancés après la catastrophe de Fukushima au Japon. Celles-ci seront soumises à l'Autorité de sûreté nucléaire en septembre, promet le groupe.
Le ministre de l'Energie Eric Besson s'est lui aussi attaché à relativiser l'annonce d'EDF, évoquant dans un communiqué une "mesure technique" pour tenir compte des événements "imprévus" sur le chantier et de la "réévaluation des travaux de génie civil" et assurant que le chantier se poursuivait "dans des conditions optimisées".
"Nous sommes confrontés à des exigences exceptionnelles sur ce grand chantier et nous avons dû reconstituer un tissu industriel adapté nous permettant de mener ce projet ambitieux", expliquent Hervé Machenaud, directeur exécutif groupe en charge de la production et de l’ingénierie d’EDF et Philippe Bonnave, directeur général délégué de Bouygues Construction, qui pilote le génie civil sur le chantier.
"C’est ce qui nous conduit à instaurer dès aujourd’hui une nouvelle organisation du chantier", ajoutent-ils.
De fait, EDF annonce par ailleurs une nouvelle organisation avec ses partenaires, passant notamment par "un nouveau calendrier industriel fiabilisé", "l'instauration de nouvelles pratiques dans le pilotage et la conduite du chantier" ou "le renforcement des exigences en matière de sûreté".
"La réussite de l’EPR Flamanville est un enjeu majeur pour le savoir-faire de l'industrie nucléaire", poursuivent M. Machenaud et Claude Jaouen, directeur des activités réacteurs et services d’Areva, concepteur de l'EPR.
Dans un contexte bouleversé par la catastrophe de Fukushima au Japon, la réussite de l'EPR revêt d'autant plus d'importance pour la filière nucléaire française.
L'échec d'un consortium français portant l'EPR dans un gigantesque appel d'offres à 20 milliards de dollars à Abou Dhabi fin 2009 avait déjà été un coup dur pour ce réacteur de 3e génération.
Cet échec Dhabi avait suscité des questions sur l'EPR, au coeur de la stratégie d'exportation de la filière nucléaire française, notamment sur son coût élevé, justifié par le concepteur Areva par des critères de sûreté très élevés, ou sur sa puissance (1.650 mégawatts), trop importante pour certains clients potentiels.

L'accumulation de retards et de surcoûts sur les deux premiers chantiers EPR, à Flamanville et à Olkiluoto en Finlande --un chantier mené par Areva--, suscite également des inquiétudes, même si EDF et Areva s'attachent à rappeler fréquemment la difficulté à construire pour la première fois un tel réacteur.

Une manifestation contre le nucléaire
dimanche 24 juillet 2011 à 11H03


Le réseau national "Sortir du nucléaire" (composé de 903 associations et groupements en France) est relayé à Avignon par l'association A.V.E.N.I.R (site : avenir84.org). Les membres de ce collectif vous invitent aujourd'hui à 15 heures sur la place de l'Horloge, en plein coeur du Festival, pour un rassemblement anti-nucléaire suivi d'une chaîne humaine.

Le lendemain, ce même Réseau recevra de 12 heures à 15 heures sur son stand dressé sur la plage de l'Horloge, l'Alter Tour de France 2011 parti le 2 juillet de Genève pour arriver le 6 août à Montredon au Larzac. L'Alter Tour est le Tour de France des alternatives pour une Planète sans dopage, pour une sobriété énergétique. Il a été créé par l'association Alter Campagne en 2008 et semble remporter selon ses responsables un vif succès (www.altertour.net)

La rencontre a aussi été l'occasion pour Paris de défendre le projet franco-japonais dans le cadre de l'appel d'offres, désormais clos, pour la construction d'une centrale nucléaire en Jordanie.
Le roi Abdallah II doit ensuite rencontrer le Premier ministre François Fillon.



UN NOUVEAU COMMERCIAL EN NUCLEAIRE

Le président français Nicolas Sarkozy a partagé sa "consternation" avec le roi Abdallah II de Jordanie "devant le nombre de victimes et la poursuite de la répression" en Syrie, lors d'un déjeuner de travail mercredi à Paris, a indiqué la présidence française.

Depuis le 15 mars, la répression du mouvement de contestation en Syrie a fait plus de 1.400 morts civils, entraîné l'arrestation de plus de 12.000 personnes et l'exode de milliers d'autres au Liban ou en Turquie, selon des organisations de défense des droits de l'Homme. Le nombre de personnes dont on est sans nouvelles est de l'ordre de plusieurs milliers.

ESSAIS NUCLEAIRES FRANCAIS

VOUS VOYEZ QD ON VOUS LE DIT ... LE NUCLEAIRE ...POUAHHHHHHHHHHHHH

Ils disent non à la prolifération du nucléaire Publié le mercredi 10 août 2011 à 11H11


Ils étaient plus d'une vingtaine à assister à la commémoration des bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki organisée par l'association Mouvement pour la paix, hier soir à 18 heures, cours Estienne d'Orves à Marseille. Un discours effectué par Michel Dolot, secrétaire départemental de l'association dans les Bouches-du-Rhône, axé sur le désarmement des armes nucléaires dans le monde et la réduction des dépenses de la Défense.

Il demande ainsi "la création d'une campagne mondiale spécifique sur le désarmement" et une mobilisation en faveur de la campagne Global Zero. "Dans un pays en pleine crise économique c'est 40 milliards d'euros de budget qui ont été attribués à la Défense en 2010 dont 20 milliards pour les armes seulement", dénonce Michel Dolot