L"AUTRE LOLO .. POLO-AUVERGNAT-BRETON : LAURENT KOSCIELNY

PSG: Blanc reste évasif sur le tirage

Venu en conférence de presse pour évoquer le match du lendemain à Lorient, Laurent Blanc n'a pas échappé à des questions sur le tirage au sort à venir de la Ligue des champions, programmé vendredi en milieu de journée. "C'est important pour nous de savoir. Les joueurs, le staff veulent savoir, surtout après les matches d'hier", a confié l'entraîneur du Paris Saint-Germain. "Mais on a un match de championnat à préparer où il faut prendre les trois points. La difficulté est là. Si c'en est une." Une échéance qui occupait visiblement l'esprit de l'ancien sélectionneur de l'équipe de France, au point de faire court sur les adversaires potentiels du PSG en quarts de finale de la Ligue des champions. "On aura le temps d'entrer dans le détail quand on connaîtra notre adversaire. Le Real ? C'est une des meilleures équipes du moment. Elle est en forme. Mais ce n'est pas la seule. Le Bayern, vous ne trouvez pas que c'est bon ?"

PSG: Blanc n’a pas de préférence

A 24 heures du tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions, Laurent Blanc a évoqué le sujet ce jeudi dans une interview vidéo pour Yahoo Sport, alors que le club parisien sait qu’il devra écarter un costaud (le Bayern, le Borussia Dortmund, le Barça, le Real ou l’Atletico, Chelsea ou bien encore Manchester United) pour voir le dernier carré de la prestigieuse compétition. "J’ai hâte de savoir mais je n’ai pas de préférence, déclare le «Président». Quand tu arrives en quarts de finale, il te faut être ambitieux, être certain ou au moins avoir la certitude que tu peux battre les équipes en face de toi." L’entraîneur des champions de France a également glissé un mot sur Zlatan Ibrahimovic: "C’est un garçon qui, contrairement à ce qu’on peut penser, est très ouvert, sur tous les sujets. Il aime vraiment le foot. Alors que c’est vrai qu’il doit avoir ses mauvais moments, comme toi et moi."

Koscielny suivi par Paris
19/04 10h05 - Football, Transferts
Le PSG s’intéresse à Laurent Koscielny. C’est en tout cas ce que croit savoir le Mirror, qui précise que l’international tricolore a promis à Arsenal de se décider sur son avenir avant la Coupe du monde. Les Gunners souhaitent quant à eux prolonger le joueur, actuellement sous contrat jusqu’en 2017. Laurent Koscielny serait également dans le viseur du Bayern.

Premier League. Arsenal : Koscielny prolonge
Angleterre - 09 Mai
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• Laurent Koscielny. | Reuters
  

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Le contrat du défenseur international français s'achevait en 2017.

Le défenseur international français Laurent Koscielny a prolongé son contrat avec Arsenal, qui arrivait à expiration en 2017, a annoncé vendredi le club anglais, sans dévoiler la durée du nouvel engagement.
« Je suis très fier d'être parvenu à cet accord. J'ai apprécié mes quatre premières saisons ici et j'ai hâte de pouvoir continuer à aider l'équipe dans les années à venir », s'est félicité l'ancien Lorientais sur le site Internet d'Arsenal.
Sélectionné à quinze reprises avec les Bleus, Koscielny a de grandes chances d'être appelé pour disputer le Mondial 2014 au Brésil.
Titulaire indiscutable cette saison, il a inscrit deux buts en 31 rencontres de championnat.

Des doublures bleues à la hauteur
29/05/2014 05:32
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Malgré la concurrence de Sakho, Koscielny reste un atout crédible de Didier Deschamps en défense centrale. - (AFP)

Deschamps s'en satisfait

La probante victoire de l'équipe de France contre la Norvège a mis en lumière un véritable élan collectif dont ont été partie prenante Ruffier, Koscielny, Griezmann et Giroud, quatre doublures sur lesquels Didier Deschamps pourra compter. Et lorsque l'on sait l'importance de la richesse du banc de touche dans ce type de compétition au plus haut niveau, bien des espoirs sont permis…
Giroud fait le plein de confiance. Impliqué, pugnace dans les duels malgré une première période quelque peu en dedans, l'attaquant d'Arsenal a surtout fini par être réaliste, avec deux buts inscrits en moins de vingt minutes en seconde période, alors que les Norvégiens levaient le pied. Au final, sur les trois occasions franches qu'il a eues, il en a converties deux. L'entente avec Valbuena s'est avérée pleine de promesse. Compte tenu de la saison brillante de Benzema, le Madrilène champion d'Europe reste le titulaire au poste d'avant-centre. Mais s'il persévère dans cette voie, Giroud peut avoir une carte à jouer.
Griezmann sait accélérer. Pour sa deuxième sélection, Antoine Griezmann a délivré une performance encourageante, un ton au-dessus de sa première face aux Pays-Bas en mars, même si sa copie ne fut pas parfaite. Incisif sur les côtés, l'attaquant de la Real Sociedad s'est appliqué à jouer simple, à bien remiser, souvent à une touche de balle, dans un souci d'accélérer le jeu. Dans ce registre, il s'est montré d'autant plus juste qu'il a eu peu de déchet. Sa palette intéressante sort du lot et peut en faire un attaquant imprévisible pour peu qu'il se sente en pleine confiance. Au fond, il n'a manqué qu'un but pour certainement le libérer entièrement.
Tranquille comme Ruffier. A force de voir l'histoire se répéter (incursion non prévue dans les vingt-trois comme en 2010, deuxième match contre la Norvège en deux sélections), Stéphane Ruffier devait dans un coin de sa tête se demander si le scénario du match ne serait pas similaire à la défaite d'il y a quatre ans (2-1) à Oslo. Au final, il a vécu quatre-vingt-dix minutes plutôt tranquilles durant lesquelles il a été décisif quand il le fallait, surtout en repoussant d'une main ferme et à bout portant un tir de Högli peu avant la pause. Par la suite, hormis une glissade qui n'a pas eu de conséquence, il s'est efforcé de se montrer le plus rassurant possible, afin de justifier qu'il méritait ce nouveau statut de gardien n° 2.
Koscielny, plus qu'une doublure. Depuis son exclusion en barrage aller en Ukraine, Laurent Koscielny a vu Mamadou Sakho le doubler dans la hiérarchie des défenseurs centraux. Pas facile dans ces conditions de se relancer. Pourtant, le stoppeur d'Arsenal, dernièrement décisif avec son club pour la victoire en Coupe d'Angleterre, a été impeccable. Sa présence physique a été dissuasive, sa lecture du jeu clairvoyante, sa motivation entière. Selon l'état de forme de Raphaël Varane, Deschamps sait qu'il a sous la main un Koscielny solide dont il faudra toutefois canaliser les émotions dans des matchs ou des moments cruciaux, son talon d'Achille.

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Koscielny-vise-la-finale/472681

Interrogé sur un possible sacre des Bleus au Brésil, Laurent Koscielny a rappelé que l’objectif était d’abord «de passer la phase de groupe». Et si possible de terminer premier. «Ce serait très bien, a souligné le défenseur d’Arsenal. Le groupe est plutôt abordable, mais les matches, il faut les jouer et les gagner, c’est le plus difficile. Après, si on y arrive, tout est possible. On veut tout mettre en œuvre pour aller jusqu’à la finale.»

Koscielny : «Un super accueil»

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Laurent Koscielny a rendu hommage au «super accueil» que les supporters brésiliens avaient réservé au Bleus à leur arrivée à Ribeirao Preto. «Aussi bien à l’aéroport qu’à notre camp de base. Ils ont voulu nous faire voir qu’ils avaient le sens de l’hospitalité et qu’ils étaient contents de nous accueillir sur leur terre.»

GROUPE ABRE CRO MEX CAM GROUPE BESP HOL CHL AUS GROUPE CCOL GRE CIV JAP GROUPE DURU CRC ANG ITA GROUPE ESUI EQU FRA HND GROUPE FARG BOS IRN NGA GROUPE GALL POR GHA USA GROUPE HBEL ALG RUS CDS

Le 12/06/2014 à 07:10:00 | Mis à jour le 12/06/2014 à 07:10:05
Foot
Bleus Koscielny : «Pas un boute-en-train»

Titulaire lors de la majeure partie des éliminatoires, Laurent Koscielny pourrait débuter le Mondial sur le banc. Son expulsion face à l'Ukraine au mois de novembre a redistribué les cartes.

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L'expulsion de Koscielny en Ukraine a entamé son crédit. (L'Equipe)





Lui  - plus que l’équipe de France encore - a bien failli ne jamais voir le Brésil. Expulsé pour ne pas avoir su maîtriser ses nerfs lors du barrage aller face à l’Ukraine (0-2), Laurent Koscielny le reconnaît lui-même : il s’attendait «à une sanction plus lourde» que celle qui lui a infligé la commission de discipline de la FIFA (un match de suspension, NDLR). «J’ai eu de la chance..., souffle-t-il. Miraculé ? Je ne sais pas. Je pense avoir quand même fait une bonne saison. Si j’ai été appelé, c’est que je le mérite.»  A en juger par le crédit dont jouit aujourd’hui la charnière Sakho-Varane, le défenseur d’Arsenal pourrait tout de même avoir perdu gros à Kiev. «Peut-être…, élude-t-il. Moi, je ne suis pas là à me demander qui va jouer. J’ai  un état d’esprit collectif, on aura besoin de tout le monde.»



Koscielny admet que sa nature effacée l'a «peut-être desservi» En retrait par rapport au duo Sakho – Yanga-Mbiwa au début de l’ère Deschamps, Koscielny avait profité de circonstances favorables (manque de temps de jeu de Sakho au PSG, transfert de Yanga-Mbiwa à Newcastle, NDLR) pour gagner sa place. Il ne l’a peut-être pas encore tout à fait perdue, mais il n’apparaît plus aussi indéboulonnable qu’avant. Lors de la préparation, l’ancien Tourangeau a bien débuté deux des trois matches amicaux des Bleus, mais il s’agissait des deux seules rencontres où Varane était indisponible. Quand le défenseur du Real Madrid a été opérationnel, Deschamps est revenu à la charnière qu’il avait alignée face aux joueurs de Fomenko au Stade de France (3-0). Moins charismatique que ses deux équipiers, Koscielny admet que sa nature effacée l’a «peut-être desservi». «Mais je suis comme ça. Je ne suis pas un boute-en-train qui rigole à tout bout de champ. J’ai besoin de calme».



«Quand je fais des erreurs, on ne retient que ça»

A-t-il également la sensation d’être moins bien considéré en France qu’en Angleterre où il évolue depuis quatre ans ? «C’est vrai que c’est différent, acquiesce-t-il. Là-bas, les gens savent de quoi je suis capable, ils ont un peu plus de respect…. En France, on me connaît moins parce que je n’ai fait qu’une saison en L1 et que je ne parle pas beaucoup aux journalistes. Je ne dis pas que c’est injuste, mais quand je fais des erreurs, on ne retient que ça. En Ukraine, les gens retiennent le penalty et le carton rouge alors que moi, je retiens autre chose. C’est comme ça…»  Et de conclure : «Je n’ai pas besoin de lire la presse ou d’écouter les gens pour savoir quand j’ai été bon ou pas. Il faut que je me canalise et que je me raisonne sur certaines situations, mais j’ai besoin d’aller au contact, d’anticiper les passes aux attaquants, de leur gratter les talons». A condition de maîtriser ses nerfs.

[size=30]Koscielny devra maîtriser ses nerfs[/size]
23/06/2014 05:35
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Ménagé à l'entraînement, hier, Laurent Koscielny devrait tout de même débuter face à l'Équateur mercredi. - (AFP)

Deschamps va faire tourner

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Passé, en un match cauchemar à Kiev, de défenseur titulaire de l'équipe de France à remplaçant durant le Mondial, Laurent Koscielny pourrait retrouver le onze de départ contre l'Équateur, mais devra faire preuve de plus de sang-froid qu'à l'ordinaire.
Si pour l'équipe de France dans son ensemble, l'exploit du 19 novembre 2013 a été le déclic libérateur qui a tout changé, pour Koscielny, c'est plutôt le désastre du match aller quatre jours plus tôt qui lui colle aux crampons.
Une soirée épouvantable
Alors inamovible titulaire, associé à Éric Abidal en défense centrale, le natif de Tulle avait vécu une soirée épouvantable. Impliqué sur l'ouverture du score de Zozulya, il avait ensuite provoqué le penalty du 2-0, avant de se faire exclure en toute fin de match pour une claque assenée à Kucher. 
Les Bleus voyaient alors le Brésil sérieusement s'éloigner. Lui pensait véritablement ne jamais le vivre, craignant une suspension sévère de la part de la commission de discipline de la Fifa. Celle-ci a finalement été clémente en ne lui infligeant qu'un match ferme. 
« J'ai eu de la chance », concédait alors le joueur d'Arsenal, qui, en revanche, n'a pu que constater entre-temps l'éclosion au grand jour du duo Varane-Sakho, impérial lors de la victoire homérique contre les Ukrainiens (3-0) et depuis confirmé par Deschamps.
De ce soir maudit de Kiev, il reconnaît y « penser toujours. Mais je suis tourné vers le présent, le futur. L'équipe qui commence ne sera peut-être pas celle qui va terminer la Coupe du monde », tente de convaincre aujourd'hui le joueur de 28 ans dont les évidentes qualités défensives, à la fois dans les duels et dans la relance, ont souvent été trahies par une propension à craquer dans les matchs à fort enjeu. Ainsi, déjà en bleu, en octobre 2012, le stoppeur avait inexplicablement séché l'Espagnol Pedro dans la surface, provoquant un penalty finalement stoppé par Lloris. En toute fin de match, Giroud arracha le match nul (1-1). Sans conséquence fâcheuse cette fois-là, la maladresse de Koscielny fut également remarquée cette saison avec Arsenal dans des rencontres importantes, même s'il a aussi été décisif dans le bon sens. En finale de la dernière Coupe d'Angleterre, il avait égalisé face à Hull City, avant de remporter son premier trophée avec le club d'Arsène Wenger. Réduire l'ex-Lorientais à son manque chronique de maîtrise serait quelque peu injuste pour celui qui n'a reçu que deux cartons jaunes la saison écoulée en Premier League. Mais la Coupe du monde n'est justement pas la Premier League.[/size]

Mondial 2014. Quelle défense pour le match face à l'Equateur ?

Varane juste, Koscielny prêt

Victime dimanche d'une gastro-entérite, qui a nécessité une visite à l'hôpital de Ribeirao Preto, Varane est très incertain. Il est certes réapparu à l'entraînement lundi mais s'est contenté d'un travail individualisé quand ses coéquipiers effectuaient la mise en place tactique. Difficile dans ces conditions d'imaginer Deschamps prendre le risque d'aligner son nouveau patron de l'axe central dans un match de Coupe du monde dont l'intensité sera élevée, le tout par une forte chaleur (30 degrés sont annoncés au Maracana), le but étant d'éviter une nouvelle déshydratation et de le récupérer frais et dispo pour les huitièmes de finale. En conséquence, Laurent Koscielny devrait connaître sa première titularisation dans le tournoi après la petite demi-heure disputée contre la Suisse (5-2), vendredi. Il sera attendu au tournant, lui qui avait perdu ses nerfs et sa place lors du barrage aller en Ukraine (0-2, le 15 novembre), en étant impliqué sur les deux buts avant d'être exclu pour une gifle assénée à un joueur adverse. Sa suspension ayant été minime avec un match ferme, Deschamps ne lui a pas fermé la porte des Bleus. Il a même confirmé ses bonnes dispositions en préparation. A lui de ne pas manquer l'occasion rêvée de se racheter.

[size=36]Koscielny connaît désormais la musique…[/size]

Publié le 28/06/2014 à 07:03

Titularisation. Le défenseur central d'Arsenal pourrait remplacer Sakho, lundi, face au Nigeria

Laurent Koscielny n'a pas l'intention de se laisser aller à un mauvais geste, comme en Ukraine, en novembre 2013./ Photo AFP

L'incertitude plane toujours sur l'état de la cuisse gauche de Mamadou Sakho. Le défenseur de Liverpool, qui a passé des examens rassurants hier à Ribeirao Preto, n'est tout de même pas sûr de tenir sa place face au Nigeria. On peut même penser que Didier Deschamps ne prendra pas le risque de devoir le remplacer en cours de rencontre, comme lors des deux derniers matches, face à la Suisse et à l'Équateur. Si la mauvaise nouvelle devait se confirmer, le Bayonnais n'aurait d'autre solution que d'aligner la paire Koscielny – Varane. Celle qui a disputé les trente dernières minutes face aux Sud-Américains, mercredi.
Pour Laurent Koscielny, appelé au départ pour jouer les doublures, la satisfaction était déjà grande d'être titularisé pour le dernier match de la phase de groupe. S'il est dans le onze de départ lundi, ce sera pour lui un début de consécration, mais les supporters des Bleus qui ont été échaudés par le carton rouge récolté dans le match aller des barrages face à l'Ukraine, l'attendent au tournant. Et c'est vrai qu'avec lui, on n'est jamais à l'abri d'une bavure, du geste malheureux qui peut coûter très cher à l'équipe. Les fans des Gunners en savent quelque chose, pour l'avoir vu souvent «dégoupiller» e n Premier League. Mais ces mêmes supporters savent aussi qu'il peut être le joueur clé de la défense londonienne dans les rencontres les plus importantes, en Angleterre où sur la scène européenne. Sans parler des buts décisifs qu'il a marqués à la suite de coups de pied arrêtés.
Quoi qu'on en dise, le joueur a mûri depuis son arrivée sous les ordres d'Arsène Wenger, en 2010. Bacary Sagna, son coéquipier à Arsenal et chez les Bleus, considère même qu'il «fait partie des meilleurs défenseurs au monde» en ayant la particularité «d'avoir les deux pieds, ce qui lui permet de jouer axe droit ou axe gauche».
Et puis, si le joueur inspire le respect, l'homme a pris aussi une nouvelle envergure à l'approche de la trentaine. Très attaché à Tulle, ne l'a-t-on pas vu s'investir (et investir) cet hiver dans une manufacture locale d'accordéons menacée de faillite.
Alors, si en plus il connaît la musique…

Équipe de France : Sakho-Koscielny, concurrents et différents
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Publié le 29/06/2014 à 04h32 , modifié le 29/06/2014 à 09h46 par 
Frédéric Laharie, envoyé spécial


Portraits croisés de Mamadou Sakho et Laurent Koscielny concurrents au poste de défenseur central. Le premier, blessé à la cuisse gauche, pourrait laisser sa place à l'autre lundi
Mamadou Sakho (à gauche) et Laurent Koscielny (à droite), concurrents au poste de défenseur central© PHOTO 
AFP FRANCK FIFE








L
'un est aussi musculeux et fort en gueule que l'autre est émacié et discret. Difficile de trouver deux joueurs aux profils aussi différents queMamadou Sakho (24 ans, 1,87m, 83 kg) et Laurent Koscielny (28 ans, 1,85m, 75 kg), en concurrence pour la deuxième place de défenseur central aux côtés de Raphaël Varane.

• Blessés tous les deux
  

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Pour le 8e de finale de lundi (18 heures françaises) contre le Nigéria à Brasilia, c'est le moins souffrant qui sera aligné par Didier Deschamps : touché à la cuisse gauche, Sakho devrait déclarer forfait. Si c'est le cas,Koscielny en profitera malgré une tendinite aux tendons d'Achille qui le poursuit depuis « deux ou trois mois », comme il l'a révélé samedi. « Je dois me gérer, je ne suis pas capable de suivre tous les entraînements, je fais du vélo les deux jours suivant les matchs pour me reposer et être prêt à jouer à J-2 ». Un 8e de finale de Coupe du Monde vaut bien qu'on serre les dents.
En tout cas, habitué à jouer axe gauche de la défense centrale avec Arsenal, l'ancien Lorientais ne sera pas dépaysé. L'équipe de France, elle, devra s'adapter à un profil de défenseur différent. « Mamadou est très physique, fort à l'impact dans les duels alors que je suis plus dans la lecture du jeu et l'anticipation », résume Koscielny même si, fait remarquer Yohan Cabaye, « Sakho cherche de plus en plus la passe dans les intervalles à la relance pour trouver les attaquants ».

Mamadou Sakho© PHOTO AFP FRANCK FIFE

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• Deux personnalités très éloignées
  

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Le milieu de terrain du Paris Saint-Germain confirme que leurs deux personnalités sont très éloignées : « Sakho est un leader par la parole qui nous encourage beaucoup dans le vestiaire avant le match, un leader comme Evra ou Landreau ».
Alors que Koscielny préfère rester dans l'ombre, quitte à paraître effacé et, pour celui qui a été nommé parmi les trois meilleurs défenseurs centraux du championnat anglais, à être relativement méconnu du public français. « Je suisquelqu'un de posé, on ne me voit pas beaucoup dans les journaux parce que je n'ai pas envie de parler de ma vie ».

Laurent Koscielny (à droite)© PHOTO AFP FRANCK FIFE

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• Nerveux sur le terrain
  

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Mais attention aux apparences. Derrière cette façade quiète, le Corrézien cache mal un tempérament de feu sur le terrain qui lui a valu expulsions et penaltys à son palmarès, parfois les deux comme lors du barrage aller de qualification à la Coupe du Monde, le 15 avril en Ukraine. « Je sais que je dois canaliser ce trop plein d'énergie qui est en moi. Mais quand j'entre sur le terrain, je ne pense pas au penalty que je ne dois pas provoquer ».
Un point commun avec Sakho parfois nerveux lui aussi et qui aurait pu être expulsé contre l'Equateur pour un coup de coude. Les contraires se rejoignent, parfois.
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[size=33]Équipe de France. Mathieu remplace Koscielny[/size]
France - 31 Août
écouter

• Jeremy Mathieu. | Photo : AFP
  

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Blessé cet après-midi, Laurent Koscielny ne rejoindra pas les Bleus. Didier Deschamps a appelé Jérémy Mathieu pour le remplacer.

Laurent Koscielny a laissé ses partenaires dès la 26e minute après un choc à la tête. Il est par ailleurs fautif sur le but encaissé juste avant sa sortie. Sur l'action fatale, son partenaire, encore très haut dans son couloir, ne l'a pas vraiment aidé.En raison de cette blessure, l'ancien lorientais ne pourra pas rejoindre les Bleus la semaine prochaine. 

Équipe de France de football : Koscielny forfait, Yanga Mbiwa en renfort
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Publié le 09/10/2014 à 15h34 , modifié le 09/10/2014 à 16h09 par
SudOuest.fr, avec AFP

Le défenseur d'Arsenal souffre d'une "tendinite chronique des deux tendons d'Achille", explique la Fédération française de football

Laurent Koscielny ne jouera pas contre le Portugal et l'Arménie © Photo
AFP FRANCK FIFE









A
près Stéphane Ruffier, c'est au tour de Laurent Koscielny de déclarer forfait pour les matches de l'Equipe de France contre le Portugal et l'Arménie. Selon la Fédération française de football, le défenseur central souffre d'une "tendinite chronique des deux tendons d'Achille depuis plusieurs mois".


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Le sélectionneur Didier Deschamps a appelé Mapou Yanga Mbiwa (3 sélections) pour compenser ce forfait. Le défenseur de l'AS Rome devrait arriver à Clairefontaine dans la soirée de ce jeudi.

Mapou Yanga Mbiwa devrait arriver à Clairefontaine ce jeudi, dans la soirée© Photo AFP

Koscielny, joueur d'Arsenal, était ménagé depuis son arrivée à Clairefontaine ce lundi. "Faute d'avoir noté la moindre évolution favorable depuis trois jours, et après en avoir débattu avec le joueur et Franck Le Gall, médecin de l'équipe de France, Didier Deschamps a décidé de remettre ce jeudi après-midi Laurent Koscielny à la disposition de son club", explique la FFF. 

Vers une charnière Varane-Mangala

En son absence, la charnière centrale des Bleus devrait désormais être composée de Raphaël Varane et Eliaquim Mangala. Deschamps n'avait déjà pas pu appeler le défenseur central Mamadou Sakho (Liverpool) blessé. 
La France reçoit le Portugal samedi au Stade de France puis se déplace mardi prochain, en amical également, à Erevan pour y affronter l'Arménie.
La liste des 23 joueurs appelés

Gardiens: Hugo Lloris (Tottenham/ENG), Benoît Costil (Rennes), Steve Mandanda (Marseille)
Défenseurs: Mapou Yanga Mbiwa (AS Rome/ITA), Christophe Jallet (Lyon), Lucas Digne (Paris SG), Patrice Evra (Juventus Turin/ITA), Eliaquim Mangala (Manchester City/ENG), Bacary Sagna (Manchester City/ENG), Jérémy Mathieu (FC Barcelone/ESP), Raphaël Varane (Real Madrid/ESP) 
Milieux de terrain: Yohan Cabaye (Paris SG), Blaise Matuidi (Paris SG), Paul Pogba (Juventus Turin/ITA), Moussa Sissoko (Newcastle/ENG), Morgan Schneiderlin (Southampton/ENG) 
Attaquants: Mathieu Valbuena (Dynamo Moscou/RUS), Rémy Cabella (Newcastle/ENG), Karim Benzema (Real Madrid/ESP), Antoine Griezmann (Atletico Madrid/ESP), Loïc Rémy (Chelsea/ENG), Dimitri Payet (Marseille), André-Pierre Gignac (Marseille)

Koscielny forfait

Le défenseur central Laurent Koscielny, qui souffre d'une « tendinite chronique des deux tendons d'Achille depuis plusieurs mois », a déclaré forfait hier. Deschamps a appelé Mapou Yanga Mbiwa (trois sélections), le défenseur de l'AS Rome, pour le remplacer.

[size=36]Arsenal: Du lourd pour concurrencer Koscielny ?[/size]





Grandement courtisé par Manchester United depuis un an, Mats Hummels s'engagera-t-il finalement à Arsenal ? Les Gunners seraient très intéressés par le défenseur central du Borussia Dortmund et de l'Allemagne championne du monde 2014, indique The Express. Le club londonien préparerait une offre de 40 millions d'euros pour s'attacher les services de l'une des références à son poste, à seulement 25 ans. Son coéquipier en sélection Per Mertesacker ainsi que l'international français Laurent Koscielny seraient alors mis en concurrence. Selon The Telegraph néanmoins, Arsène Wenger n'aurait "que" 25 millions d'euros à dépenser durant la prochaine fenêtre des transferts, après en avoir dépensé 70 durant l'été avec Alexis Sanchez, Calum Chambers, Mathieu Debuchy, David Ospina et Danny Welbeck. Arsenal a néanmoins besoin d'un défenseur central pour la suite de la saison