HOMMAGE OLYMPIEN

S.Blimey


09/04/2012 à 00h11 | 1

vous meritez pas d'etre chez nous
ni vous les dirigeants
ni vous les actionnaires
ni vous les "stars"
vous nous degoutez
la deception c ce crever pour pouvoir supporter notre equipe avec peu de moyens et voir que vous ne faite rien pour le club ou pour nous
ma voiture est une 104 pas une ferrari mais j'ai l'amour de l'OM
ce que vous n'avez pas
prenez vos demande de transferts et allez vous perdre ou ça paye
vendez notre OM a ceux qui l'aime
je veux que mes larmes s'arrete de couler

PSG - OM : l'Olympien du match, c'est Azpilicueta lundi 09 avril 2012 à 18H57


César Azpilicueta est actuellement le meilleur Olympien du match PSG - OM selon les votes des Provençaunautes, avec une moyenne de 6,23/10. Le défenseur espagnol a gardé son couloir gauche avec sérieux et bloqué toutes offensives de Jallet.

Avec une note de 5,67/10, Nicolas N'Koulou le talonne de près en deuxième position. Stéphane Mbia complète le podium avec 4,65/10. En revanche, Morgan Amalfitano est pour sa part l'Olympien le moins bien noté avec une moyenne de 2,29/10.

Finale Lyon-OM : Casoni pronostique une victoire 1-0 le mardi 10 avril 2012 à 18H25


Bernard Casoni, ancien joueur de l'OM et ancien entraîneur d'Evian Thonon Gaillard, nous donne son pronostic à 4 jours de la finale de la coupe de la Ligue face à Lyon. "J'aimerais que l'OM se sorte de sa situation. Cela passe par une victoire. A Paris, ils n'ont pas été trop mauvais, ils étaient dans l'esprit, mais je ne sais pas si l'esprit suffira face à Lyon. Il y a de la qualité dans les deux équipes, il ne faudra pas passer à côté de cette finale. Je vois une victoire pour l'OM 1-0."

Källström : «L'OM mérite sa victoire»
Le 15/04/2012 | Mis à jour le 15/04/2012 03:39:59

S'ils avouent avoir réalisé un «non-match» contre Marseille samedi en finale de Coupe de la Ligue (0-1 a.p.), les joueurs lyonnais ont aussi reconnu la supériorité adverse.

Bafétimbi Gomis (attaquant de Lyon) : «Malheureusement, nous sommes vaincus. Nous sommes tombés sur une équipe plus forte, même si l'écart est très mince. C'était une finale fermée où les deux pouvaient l'emporter. On n'a pas fait un non-match, on a eu pas mal de situations qu'on a peut-être mal exploitées. On était timorés en première mi-temps, on aurait pu exploiter des contres, moi le premier, j'ai manqué de lucidité. On les a fait reculer, douter, et Brandao bénéficie d'un contre pour marquer.»

Kim Källström (milieu de Lyon) : «On n'a pas gagné et on est donc déçus. On a une autre finale et des matches importants, il faut se reconcentrer. C'était un match assez serré, il y a eu peu d'occasions et Marseille a été réaliste. On n'a pas été super dans le jeu, mais on a travaillé. C'était un match assez moyen, qui pouvait basculer des deux côtés. Les Marseillais ont des joueurs de grande taille difficiles à jouer. On n'a pas été top dans le jeu, et quand le jeu ne va pas, il faut être là dans les duels, et Marseille est très fort. Marseille mérite sa victoire.»

Vincent Labrune félicite Nicolas Nkoulou sur la pelouse du Stade de France. L’OM respire un peu mieux depuis la victoire de samedi.



Grâce à cette victoire,
l’OMva pouvoir proposer
la scène européenne à tous
les joueurs qu’il courtise

L’OMn’a pas sauvé sa saison,
il a sauvegardé des intérêts
essentiels pour la gestion
du quotidien.



Dans l’étreinte de Vincent Labruneà
Nicolas Nkoulou, quelques
minutes après le coup de sifflet
final, on saisit l’étendue du soulagement
accueilli au sein de l’institution
olympienne.
Il existe plusieurs lectures dans cette
expression de communion publique,
peu habituelle, convenons-en, chez le
président olympien. Elle n’est pas la satisfaction
d’avoir vu son équipe mettre
un terme à une série de douze rencontres
sans succès. Elle souligne deux
faits majeurs: d’abord, le plaisir de
remporter une compétition, de ramener
un nouveau trophée à Marseille,
d’inscrire une nouvelle ligne sur un
palmarès, le plus fourni du football
français.
Ensuite, ellemet en lumière les nombreuses
conséquences incidentes à cette
troisième victoire d’affilée, dans
l’épreuve la moins noble du football
français. Depuis hier, l’OM a ouvert
des portes qu’une défaite aurait fermées,
nul ne sait pour quelle durée.
La présence du club en Ligue Europe
la saison prochaine, après avoir passé
le tour préliminaire, sauf si Lyon termine
troisième de Ligue1 et remporte
la coupe de France, est en terme de retombées
d’une importance capitale.
Quand bien même, cette compétition
n’a pas le lustre ni la manne financière
de la Ligue des champions, elle
autorise, dansunpremier temps, les dirigeants
à proposer un théâtre européen
à tous les joueurs qu’ils courtisent
dans le cadre du prochain marché
des transferts. Il est convenu que le
club se disputera avec Lyon les
meilleurs joueurs nationaux.
Si l’OL n’atteint pas la Ligue des
champions, l’expositionde l’OM ne sera
pas dépréciée vis-à-vis de son adversaire
de samedi soir.
La victoire aura encore un peu plus
de poids pour retenir des individualités
soucieuses d’envisager leur avenir
sousd’autres cieux. L’OMaun challenge
à relever en Ligue Europe, car, pour
une fois, il est de bon ton de partager
le point de vue de Frédéric Thiriez
quand il réclame un investissement
conséquent des clubs français dans
cette épreuve. L’OM y est contraint un
peu plus aujourd’hui. Il ne serait pas
recevable d’avoir clamé haut et fort
pendant des mois que l’exposition du
club sur la scène européenne est primordiale
et de traiter cette épreuve
avec le mépris trop souvent constaté
ces dernières années par d’autres représentants
hexagonaux.
Quoi d’autre ? Économiquement,
être européen a une connotation majeure
en terme d’image. Cela entretient
le regard des pays étrangers sur
Marseille, le club agrandit sa vitrine et
celle des joueurs au-delà du simple
championnat national.
C’est aussi un bol air économique.
Cela ne compensera peut-être pas les
8 millions d’euros que l’OM s’apprête
àperdre en terme de droits télé s’il termine
aux alentours de la 10e place,
mais l’addition des rencontres à venir
est de nature à apporter un peu de
beurre dans les épinards. Cela est
d’autant plus recevable si les adversaires
sont de notoriété, ce qui est de plus
en plus le cas en Ligue Europe. Auprès
des sponsors, encore, une participation
européenne peut être payante.
Par exemple, elle permettra de lever
l’option passée avec le futur sponsor,
Intersport.
Alors, l’OMa-t-il sauvé sa saison? La
réponse est simple: non, car la conséquence
d’une absence en Ligue des
champions est considérable; oui, car il
n’a pas tout perdu et a, en quelque sorte,
sauvegardé de nombreux intérêts
essentiels pour la gestion du quotidien.

Marseille. Didier Deschamps, fabricant de victoires
coupe de la ligue. Quatre trophées en trois saisons: l'OM a presque réappris à convaincre.


Avec douze victoires en autant de matches de Coupe de la Ligue, DD a tout du magicien. /PQR La Provence
Malmené, critiqué, contesté tout au long de la saison, Didier Deschamps a apporté samedi sa réponse sous la forme d'une troisième Coupe de la Ligue d'affilée.

Lui, qui a gagné en tant que joueur les plus grands trophées qui soient - Coupe du Monde, Euro, Ligue des champions -, sait sans doute qu'il compte un peu large quand il parle de six titres en trois ans depuis qu'il a pris les commandes de l'OM.

Les deux Trophées des champions de 2010 et 2011 ne pèsent en effet pas du même poids que le championnat 2010 et les trois Coupes de la Ligue décrochées en 2010, 2011 et donc 2012 avec un succès sur Lyon (1-0 a.p.).

« Même mes pires ennemis »
Et quand on lui a demandé, samedi après la rencontre, quelle valeur avait pour lui son record de quatre victoires comme entraîneur dans cette épreuve souvent décriée, l'ancien capitaine des Bleus a été très clair : « Le succès, je le prends. Cela fait quatre titres et je travaille pour ça. Quand on fait un bilan, ça reste écrit, c'est indélébile », a-t-il expliqué.

« Tous les titres sont beaux. C'est dur de gagner des titres. C'est le 6e en trois ans, ce n'est pas rien. Pour un club qui n'en avait pas gagné depuis 17 ans, il y a de quoi être fier », a-t-il répété samedi.

Avant son arrivée en remplacement d'Eric Gerets à l'été 2009, le dernier trophée remporté par l'OM n'était autre que la Ligue des champions 1993. Et c'était Deschamps, déjà, qui avait soulevé la Coupe.

Entre ces deux dates, 17 ans, donc, et 24 entraîneurs ou duos d'entraîneurs qui se sont cassé les dents sur ce défi apparemment impossible de faire gagner l'OM.

Alors samedi, « DD » n'a pas oublié non plus d'envoyer quelques piques à peine déguisées à ceux qui ne seraient pas emballés par son bilan ou par ses façons de faire.

« Ces titres, personne ne pourra nous et me les enlever, même mes pires ennemis. Ca c'est la réalité.

[…] Je dis mes pires ennemis, parce que si je le mets au singulier, vous allez penser à une seule personne et ce n'est pas le but », a-t-il dit, en référence au directeur sportif du club, José Anigo, avec qui il est en conflit, ouvert depuis octobre, larvé depuis beaucoup plus longtemps. Mais, aujourd'hui, il ne reste plus grand-chose de son OM de 2010, champion et vainqueur de sa première coupe de la Ligue en surclassant le Bordeaux de Laurent Blanc et Gourcuff, sûr de sa supériorité physique et de son impact offensif. Plus grand-chose sauf sans doute cette science de « la gagne » inculquée par Deschamps.
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repères
« Ces titres, personne ne pourra nous et me les enlever, même mes pires ennemis».

Didier Deschamps, vainqueur.


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Contrel’incivisme, étudiants et
écoliers font crampons communs

Les enfants de deux quartiers difficiles ont troqué le football contre le rugby et sont allés s’affronter
sur les plages du Prado dans ce tournoi citoyen




Àl’occasion du "Tournoi
des petits crampons", les
jeunes Marseillais ont
consenti à troquer leur ballon
rond pour un ballon ovale. Une
centaine d’enfants des écoles
primaires d’Air Bel (11e) et de
Pont-de-Vivaux Saccoman (10e)
a en effet participé à un tournoi
de beach-rugby sur les plages
du Prado, à l’initiative des étudiants
de l’Association Rugby
d’Euromed Management
(Arem). Cet événement était
l’aboutissement d’une année
de travail des éducateurs avec
ces jeunes âgés de 8 à 11 ans, à
raison de 2 séances d’initiation
au rugby par semaine dans
leurs écoles et d’entraînements
le mercredi au Club de Marseille
Huveaune, grâce au dispositif
Rugby Mobilité.
Créée par l’Arem et soutenu
par la Ville, Marseille Rugby Mobilité
propose des navettes gratuites
du domicile des enfants
au stade de rugby permettant
ainsi à ces jeunes pour qui il est
souvent difficile de sortir de
leur quartier de participer à une
activité extrascolaire dans un
autre environnement. "Je soutiens
ce projet des étudiants
d’Euromed car il permet de désenclaver
les enfants et leur enseigne
la pratique d’un sport avec
ses règles, ses valeurs, tout en favorisant
la mixité sociale. La Ville
est partenaire des opérations,
comme celle-ci, qui vise à renforcer
le lien social", a expliqué Caroline
Pozmentier, adjointe
UMP au maire chargée de la sécurité
et prévention de la délinquance,
venue remettre trophées
et diplômes aux vainqueurs.
Elles était accompagnée
du parrain de l’événement
David Gérard, 2e ligne international
français. Dans une ville
où le foot est idéalisé et souvent
prôné comme une solution
pour la jeunesse défavorisée, les
étudiants d’Euromed ont redoublé
de détermination et de passion
pour mener à bien ce projet
d’insertion sociale et transmettre
les valeurs du rugby. "La
solidarité, le respect des règles,
l’agression positive, le dépassement
individuel au service du
collectif, l’égalité... Dans une
équipe de rugby, tous les joueurs
sont importants. Le star-system
est moins présent que dans le
foot", rappelle Antoine Laulan,
président de l’Arem. Malgré
quelques bobos, les enfants
sont repartis fatigués mais ravis.
Hier, c’était au tour des étudiants
et entrepreneurs de
s’affronter dans un tournoi,
avec toujours la solidarité et la
générosité à l’honneur. C.M.

Association Rugby Euromed
Management006 07 61 30 00
http://arem.clubeo.com

NON Marius Trésor, descendu avec l’OM en 1980
"Jeneles sens pas démobilisés"

Au début de la saison 1979-80,
l’OM faisait partie des favoris
pour le titre. Mais il n’a occupé
les premiers rangs qu’au soir de
la première journée.
La suite fut une longue descente
aux enfers, avec les départs de
Linderoth et Temime, la prise
de pouvoir de Christian Carlini,
les blessures de Jean Fernandez
et Marius Trésor, le renvoi de Jules
Zvunka, la désaffection du
public, des finances exsangues
qui allaient aboutir au dépôt de
bilan en avril 1981.
Même avec un OM relégable,
p e r s o n n e n e c r o y a i t à
l’inéluctable, parce qu’il y avait
de nombreux internationaux
dont deux allaient jouer une demi-
finale de coupe du monde
deux ans plus tard (Didier Six et
Trésor). Mais en mai 1980, l’OM
plongeait pour quatre ans.
Marius Trésor a vécu ça.
1Marius, 1980-2012, les situations
sont-elles comparables?
Non. Parce qu’en 1980, au printemps,
nous étions déjà relégables
depuis longtemps. La situation
était presque désespérée.
Aujourd’hui, l’OM a 41 points et les
premiers relégables en ont 33, à
cinq journées de la fin. Il faudrait
un concours de circonstances incroyable
pour que l’OM descende
en Ligue 2.
2Ce qui rapproche les deux générations
n’est-il pas qu’au
vu de l’effectif, on attendait
autre chose?
Tout à fait. Avec ces joueurs, on est
étonné de voir l’OM à cette place
au classement. Mais l’OM a des circonstances
atténuantes. Le départ
de Lucho, dont la clairvoyance
était la qualité première, a laissé
Mathieu Valbuena tout seul pour
organiser le jeu.
En fait, l’OM a joué par périodes.
Un démarrage difficile, puis une reprise
en mains efficace, une belle
série qui l’a mené en quarts de finale
de la Ligue des champions et lui
a permis de gagner la coupe de la
Ligue. Ce n’est pas rien: ces résultats
sont bons. Mais à côté de ça, il
y a eu un terrible passage à vide
inexplicable.
3Vous avez assisté à Bordeaux-
OM. Quel sentiment cela
vous laisse-t-il ?
Je pense que les joueurs sont
conscients de la situation et, à Bordeaux,
ils ont tout fait pour ne pas
perdre. Je ne les sens pas du tout
démobilisés. En deuxième
mi-temps, j’ai vu une équipe volontaire,
qui est allée chercher un résultat,
même si elle n’est pas parvenue
à l’obtenir. Les garçons sont
encore présents et je suis persuadé
qu’ils vont encore faire le maximum
à Lorient.

Qui seral’Olympiendel’année?
ÉLECTION Cette saison contrastée, qui finitmal, a vuémergerquelques individualités



Comparer l’effectif à un
troupeau de chèvres, c’est tout
simplement de l’aveuglement

L’affaire devrait se jouer
entre Azpilicueta, et surtout
Valbuena et Nkoulou


C’est toujours facile, trop facile de jeter
le bébé avec l’eau du bain. Treize matches
sans victoire, pas de Ligue des
champions la saison prochaine: l’exercice
2011-2012 laisse un goût amer, en dépit
d’une troisième coupe de la Ligue et d’une
qualification pour les quarts de finale de la
Ligue des champions.
Mais en dépit des échecs, des rencontres
insipides, à dormir debout, des soirées de
déprime, du désamour qui a conduit à la
grève des supporters, on a vécu aussi de
grands et beaux moments et on a vu quelques
belles performances collectives, mais
surtout individuelles, fussent-elles parfois
isolées dans un océan de médiocrité. La finale
de la coupe de la Ligue, avec la performance
quasi parfaite de Nicolas Nkoulou,
en est l’exemple le plus frappant.
Au moment d’élire l’Olympien de la saison,
il est évident que l’on a surtout envie
d’éliminer par le bas, comme dans un col
où celui qui passe en tête, c’est celui qui ne
s’est pas écroulé.
N’oublions tout de même pas qu’André
Ayew a été élu meilleur joueur africain de
l’année 2011 en décembre (donc cette saison...),
que Morgan Amalfitano est devenu
international au mois de février, dans un
match, gagné par la France en Allemagne,
où Steve Mandanda, Alou Diarra et Mathieu
Valbuena étaient eux-mêmes sélectionnés,
Loïc Rémy ne l’étant pas, uniquement
à cause d’une blessure. À cela, il faut
ajouter les sélections régulières de Souleymane
Diawara, Stéphane Mbia, Nicolas
Nkoulou, André et Jordan Ayew, Charles Kaboré.
Bref, en dépit d’une série cauchemardesque,
comparer l’effectif olympien àun troupeau
de chèvres, c’est tout simplement de
l’aveuglement.
Qui a donc été le meilleur ?
Il est probable que les trois joueurs sacrés
précédemment (Benoît Cheyrou, Lucho
Gonzalez et André Ayew) ne connaîtront
pas un second sacre. Le Ghanéen a été
brillant en 2011, il est l’homme du Trophée
des champions, des victoires sur Dortmund,
mais il a souffert de la CAN en 2012,
dont il est revenu blessé physiquement
(luxation d’une épaule) et moralement,
après la désillusion du Ghana. Son seul
éclair a été le but de la victoire sur l’Inter.
Si la saison s’était arrêtée fin janvier ou si
elle s’était poursuivie dans la même veine,
Loïc Rémy aurait été un prétendant très sérieux.
Pour la deuxième année consécutive,
il va finir meilleur buteur, même si, pour
l’heure, il n’a pas encore égalé son total de
la saison dernière en L1 (15 avec l’OM). Sa
blessure à la cuisse contre Bourg-Péronnas
a été un sérieux coup d’arrêt.
Même cas de figure pour Souleymane
Diawara qui a connu, à quelques jours
d’écart, son apogée et sa chute. Une performance
énorme à San Siro, dans la lignée
d’une saison très sérieuse, et une blessure
au genou à Nice, onze jours plus tard, qui
l’oblige à s’arrêter pour plusieurs mois à
cause d’une rupture des ligaments croisés.
Steve Mandanda a évidemment encore
été un capitaine digne, dont les absences face
à Quevilly et à l’aller au Bayern, ont été
extrêmement préjudiciables. Il a contre lui
toutes les défaites, où il a forcément encaissé
au moins un but, ne fût-il pas souvent de
sa faute...
CesarAzpilicueta a été l’une des excellentes
surprises de la saison. Elleamal démarré
pour lui; après sa grave blessure au genou,
ilamis beaucoup de temps à retrouver
son meilleur niveau. Mais depuis octobre, il
figure régulièrement parmi les meilleurs à
chaque match. Sa cote a singulièrement
grimpé. Au vrai, il nous semble que l’affaire
devrait se jouer entre l’Espagnol et surtout
Mathieu Valbuena et Nicolas Nkoulou.
Ce derniera été plus régulier et il a époustouflé
tout le monde par sa capacité à très
vite se hisser au plus haut niveau. La pression?
La Ligue des champions? Rien ne l’a
freiné, sauf quelques suspensions. C’est
l’immense joueur de demain. Et le grand
d’aujourd’hui.
Mathieu Valbuena a connu quelques bas.
Mais surtout beaucoup de hauts. Placé côté
droit, puis essentiellement dans l’axe depuis
plusieurs mois, il est devenu prépondérant.
Cinq buts en championnat et douze
passes décisives. Agrémentés de buts et de
passes dans les trois autres compétitions.
Le troisième but marquéàDortmund restera
le chef-d’oeuvre de l’année; techniquement
et émotionnellement.

HOUUUUUUUUUUUU LE PDQSG

Deux Olympiens nominés aux trophées UNFP
lundi 14 mai 2012 à 14H30


Les trophées UNFP récompensent meilleurs joueurs et entraîneurs de Ligue 1 et de Ligue 2. Ce soir, sur Canal +, Steve Mandanda et Nicolas Nkoulou vont savoir si ils sont respectivement meilleur gardien et meilleur espoir de Ligue 1.

Chez les gardiens, l'Olympien est en compétition avec Benoît Costil (Rennes), Hugo Lloris (Lyon) et Salvatore Sirigu (PSG). Le défenseur est en concurrence avec Younès Belhanda (Montpellier), Rémy Cabella (Montpellier), Alexandre Lacazette (Lyon).

Pour le titre de meilleur joueur de Ligue 1, aucun Marseillais n'est nominé. Younès Belhanda (Montpellier), Olivier Giroud (Montpellier), Eden Hazard (Lille), Nenê (PSG) se disputeront le titre.

Gianni a attendu le printemps
pour fleurir. Depuis trois jours, ses
3,350 kg sont le bonheur supplémentaire
de Saloua, sa maman, et
Hervé Chalchitis, le le directeur
adjoint de la sécurité de l’OM. Tout
le monde se porte comme un charme.
"La Provence" présente ses
plus chaleureuses félicitations et
souhaite une longe vie à Gianni

HommageàCélestin Oliver.
Deux rencontres amicales sont
programmées demain, à partir
de 17h, au stade LeCesne, pour
rendre hommage à l’ancien
joueur et entraîneur Célestin
Oliver, disparu en juin 2011. Elles
mettront aux prises l’équipe
des amis de Célestin aux vétérans
de l’OM ainsi que la
meilleure promotionde
sports-études La Grande-Bastide
à l’OM Star Club

FOOTBALL
La mémoire de
Célestin Oliver honorée

Marcel Dib, Daniel Xuereb,
Cyril Revillet, Jean-PhilippeDurand,
Joël Cantona ou encore
Patrick Blondeau, Christophe
Pignol et Jérémy Gavanon : de
nombreux anciens footballeurs
professionnels, pour la plupart
passés par l’OM, se retrouveront
ce soir (17h) au stade Le
Cesne pour honorer la mémoire
de Célestin Oliver, disparu
en juin 2011, en disputant deux
matches amicaux.
Ancien joueur et éducateur,
ce dernier fut à l’origine de la
créationdupremier sports-études
football, à la Grande-Bastide.
Bon nombre de ses anciens
élèves seront présents ce soir,
pour répondre à l’appel lancé
par Robert Melillo, à l’initiative
de cette journée hommage.
"Tous ceux que j’ai contactés et
qui étaient disponibles n’ont
pas hésité à venir, explique-t-il.
Et personne ne m’a dit quelque
chose de négatif à son sujet.
"Tico" faisait l’unanimité. Beaucoup
de gens aussi, qui ne
jouent plus au football, m’ont
appelé pour pouvoir assister à
ces matches dont deux de ses
meilleurs amis Guy Meano et Gérard Moresco."

À partir de 17h, au stade Le Cesne.