SPORTING TOULON VAR // DH MEDITERRANEE

l'attaquant de l'Etoile Fréjus Saint-Raphaël Yohan Di Tommaso
vient de s'engager avec le Sporting de Toulon
surement pour pallier aux departs conjugués de Nadji et de Rémy en decembre 2010

Le Sporting de Toulon réclame toujours 150 000 euros pour Squillaci.Publié le dimanche 23 janvier 2011 à 07H06
Le stoppeur originaire de La Seyne avait foulé cet été le pré de Bon-Rencontre avec plaisir pour un match de solidarité.

Si le rendez-vous initial a été reporté, les dirigeants du Sporting Toulon Var (CFA) - Gilles Pascal en tête - ont prévu de rencontrer ceux du FC Séville prochainement. Le but : récupérer l'indemnité de formation concernant Sébastien Squillaci.

Un contact a déjà été noué entre les deux parties, l'entrevue devrait suivre. Les Toulonnais espèrent récupérer 150 000 euros de son transfert de l'Olympique lyonnais vers le club andalou.

En effet, dans le cas présent, le calcul s'effectue sur six ans de formation avant la signature du contrat professionnel - en l'occurrence, lorsque le stoppeur international français était âgé de 12 à 18 ans. Ce qui correspond, pour Sébastien Squillaci, à ses passages à La Seyne, au Sporting et à l'AS Monaco. Ces trois clubs vont donc se partager 5 % l'indemnité totale du transfert, chaque portion étant répartie en fonction du nombre d'années que « Toto » a passé chez eux.

On comprend donc pourquoi les Azur et Or pourraient aussi lorgner sur un futur chèque des Gunners, à la suite de son arrivée à Londres en août.

Signature à l'étranger égale indemnité lucrative

Ce nouveau mécanisme de solidarité est, en effet, surtout très lucratif lorsque le joueur signe à l'étranger. C'est le cas de Squillaci, d'abord au FC Séville (6 Me), puis à Arsenal (5,5 Me). De club français à club français, la somme de transfert est, en revanche, dérisoire.

On comprend donc l'intérêt financier des clubs réputés formateurs. Au vu de l'urgence financière dans laquelle se trouve Toulon ), l'idéal serait que Bafétimbi Gomis (OL) rejoigne le Calcio ou que Josuha Guilavogui (Saint-Etienne) s'expatrie, en Allemagne par exemple. On pourrait alors parler de jackpot pour les Azur et Or.

Ce rappel montre que le Sporting Toulon a toujours existé grâce à sa politique de formation. Une philosophie malheureusement oubliée ces dernières années et qui a aussi précipité la chute du club

CFA - GROUPE C
17ejournée

Demain DIFFICILE DEPLACMENT CONTRE UNMAL CLASSE QUI JOUE SA SURVIE

Aurillac - Toulon .....................................18h

PTS J G N P BP BC G
1. Ajaccio GFCO 45 16 8 5 3 21 14 7
2. Toulon 43 16 7 6 3 21 15 6
3. Monaco 42 16 6 8 2 24 16 8
4. Martigues 41 15 7 5 3 24 14 10
5. Colomiers 41 16 6 7 3 25 16 9
6. Pau 40 16 6 6 4 21 18 3

14. Hyères 33 16 3 8 5 20 26 -6

15. Aurillac 32 16 4 4 8 10 21 -11
16. Marignane 31 16 3 6 7 8 15 -7
17. Uzès 29 16 2 7 7 14 22 -8
18. Tarbes 28 16 3 3 10 11 21 -10

Déficit du Sporting : les anciens témoignent.Publié le mardi 01 février 2011 à 18H17 - 1

Illustres ex-joueurs du club toulonnais, Luigi Alfano, Christian Dalger, Marcel Dib et Bernard Pardo réagissent aux 600 000 euros de perte annoncés du STV
Annoncés le 29 décembre lors de l’assemblée générale du Sporting Toulon Var par son président Pascal Bataillé, les 600000 euros de déficit global du club azur et or au 31 décembre 2009 ont de quoi faire frémir tous les supporters du STV. Et faire réagir d’anciens joueurs emblématiques du club. Si Frédéric Meyrieu a préféré rester silencieux, Luigi Alfano, Christian Dalger, Marcel Dib et Bernard Pardo ont accepté de témoigner.

Frédéric Meyrieu silencieux

Frédéric Meyrieu est le plus Varois des anciens Toulonnais que nous avons sollicité pour réagir sur la situation financière du Sporting. Et même le plus proche de Toulon : il est né à La Seyne, a commencé à taper dans le ballon rond au Revest, a définitivement raccroché ses crampons à La Valette et est revenu aux sources (revestoises) pour sa reconversion dans la politique.
Au long d’une riche carrière professionnelle l’ayant également mené au Havre, à Bordeaux, à Lens, à Sion et à Metz, cet ancien milieu de terrain est passé deux fois par le Sporting (en cours de formation puis pro de 1990 à 1993) comme il est passé deux fois par l’Olympique Marseille, pour finir sa formation avant un doublé championnat - coupe de France en 1989 (1).
Mais le Revestois a préféré ne pas s’exprimer sur le sujet toulonnais : « Je ne connais pas assez bien la situation. » Et de simplement souhaiter au « club azur et or » de « s’en sortir ».

1. Frédéric Meyrieu a également réalisé le doublé championnat - coupe (de Suisse) avec le FC Sion en 1997.

Marcel Dib : " Sortir de l’ombre "

Né à Marseille où il a raccroché les crampons en 1996 après un titre de champion de France de Division 2 en 1995, Marcel Dib a débuté sa carrière pro et découvert la Division 1 au Sporting (1981-85) avant de connaître la consécration à Monaco (champion de France en 1988, vainqueur de la coupe de France en 1991, finaliste de la défunte Coupe des coupes en 1992) et en équipe de France (six sélections entre 1988 et 1990).
L’ancien milieu de terrain est resté proche de Toulon : il était encore dans les tribunes du stade Bon-Rencontre le 15 janvier pour la venue de la réserve de Lyon, avec son ancien coéquipier marseillais Jean-Marc Ferreri. Et Marcel Dib est même prêt à se rapprocher plus encore...
« Je ne suis pas dans le club, je n’ai pas tous les tenants et aboutissants mais il est certain que, 600000 euros de déficit, c’est énorme. Mais il est logique que le trou se creuse s’il y a un peu de déficit chaque année et que le club ne monte pas. Alors que si le Sporting remontait en National, tout rentrerait dans l’ordre : je suis convaincu que cela ramènerait des sponsors et que le club repartirait de plus belle. J’aimerais aider le Sporting : j’y ai signé mon premier contrat pro, j’y ai connu la montée en D1... et j’y reste attaché. Je viens voir les matches, j’ai des contacts avec les dirigeants... et pourquoi ne pas envisager d’entrer dans l’équipe, d’apporter mon expérience? J’ai quelque chose en tête, j’ai l’envie. Mais le club doit déjà sortir de l’ombre, du “traquenard” de CFA. Il faut que le club monte en National! Toulon le mérite et il y a la place à la fois pour le foot et le rugby dans cette ville. »



Luigi Alfano : " Navrant "

Luigi Alfano est une figure emblématique du Sporting : cet Italien natif de Palma Campania (près de Naples) y a effectué toute sa carrière ou presque. Arrivé de Saint-Cyr-sur-Mer à Toulon en 1978, cet ancien défenseur a joué sur les bords de la rade jusqu’en 1993 (395 matches pros dont 235 en Division 1) : il a ainsi connu la troisième montée en D1 et la seconde demi-finale de coupe de France du club, respectivement en 1983 et en 1984.
Luigi Alfano a également entraîné le Sporting en 1995-1996, saison à l’issue de laquelle Toulon a été sacré champion de France de National 1 (National de l’époque) et est remonté en Division 2, et en 1998.
Si Luigi Alfano est le coach de l’UA La Valette depuis 2001, il est aussi président de l’association des anciens du Sporting et reste toujours aussi bien placé pour s’exprimer quand il s’agit du club « azur et or ».
« Au long de toutes les années que j’ai passées au Sporting, le club a connu des soucis financiers. Mais, là, c’est vraiment navrant, d’autant que Toulon doit être le club le plus subventionné en CFA... Se retrouver avec un trou comme ça, c’est lamentable. Mes pensées vont avant tout aux supporters. C’est vraiment dommage d’en être arrivé là financièrement. Je ne veux pas accabler les dirigeants et j’espère que cela va s’arranger car je ne souhaite que du bien au Sporting : j’espère que de bonnes nouvelles arriveront d’ici à la fin de la saison, sur le terrain et en dehors. Pour remonter le club, il faudrait un Boudjellal. Mais il n’y en a qu’un à Toulon... »

Christian Dalger : " Désastreux "

Christian Dalger a débuté et achevé sa carrière de joueur au Sporting (1963-71, 1982-85). Entre-temps, cet ancien attaquant a connu la gloire à Monaco (champion de France en 1978, vainqueur de la coupe de France en 1980) et en équipe de France (coupe du Monde 1978 en Argentine). Après avoir notamment participé à la remontée en Division 1 de Toulon en 1983 avant de raccrocher ses crampons, ce natif de Nîmes y a officié en tant qu’entraîneur en 1985-1986. Puis en D2 en 1997-1998. Christian Dalger aurait pu revenir au Sporting en 2009 : il faisait partie du projet de reprise du club par Serge Melniczuk, un dossier non concrétisé qui lui laisse encore plus de regrets maintenant.
« 600000 euros, c’est le déficit global annoncé mais c’est peut-être plus encore... Quoi qu’il en soit, dans la division où il se trouve et avec son budget (1), c’est une anomalie, c’est désastreux. Il y a des clubs en CFA qui fonctionnent avec un budget de 500000 euros, une somme représentant seulement la subvention de la Ville pour le Sporting. On se demande où va l’argent... C’est dommage car, sportivement, le club est dans le coup... et sa situation extra-sportive pourrait l’empêcher de monter en National. Alors que Toulon mérite la Ligue 2, largement...
C’est un constat amer : ça fait mal au cœur pour ceux qui ont connu les belles heures du club. Moi, ça m’emmerde car mon cœur est toujours à Toulon. Pour moi, le Sporting, c’est encore quelque chose de très fort. Avec Serge Melniczuk, on avait un projet de reprise crédible et sain, avec un apport financier conséquent. Mais la mairie a voulu continuer avec l’équipe en place. A chacun ses responsabilités... »

1. Budget total du Sporting : 1,1 million d’euros.



Bernard Pardo : " Aberrant "

De Gardanne, où Bernard Pardo est né en 1960, à Marseille, où il a été champion de France et finaliste de la Ligue des champions en 1991, il n’y a pas si loin. Mais avant d’y arriver, le milieu de terrain a parcouru l’Hexagone du sud au nord (Boulogne-sur-Mer, Lille) et d’est (Saint-Etienne) en ouest (Brest, Bordeaux) en passant par Paris... et Toulon.
L’ancien international (treize sélections entre 1988 et 1991) est même passé deux fois par le Sporting : de 1986 à 1989 (en Division 1) et en 1993-1994 (National 1, National de l’époque) pour sa dernière saison de joueur.
Bernard Pardo a donc connu des hauts et des bas avec le club « azur et or » mais il ne savait pas qu’il allait désormais aussi mal financièrement.
« J’ignorais que la situation financière du Sporting était aussi précaire... Comment un déficit de 600000 euros a-t-il pu être accumulé alors que le club est suivi par la Direction nationale de contrôle de gestion (1)? Et alors que la ville de Toulon est derrière lui! C’est énorme, aberrant... Je ne comprends pas... En tant qu’ancien joueur, si on me sollicitait pour aider le club, je dirais pourquoi pas... en attendant d’en savoir plus sur les tenants et aboutissants de son déficit. Le Sporting a une histoire, de grands joueurs qui sont passés, qui ne sont pas très loin et qui pourraient être de bon conseil... En tout cas, Toulon mérite d’avoir un club pro. En Ligue 1, ce serait peut-être difficile mais pourquoi pas en Ligue 2 ? »

1. DNCG : organisme chargé de surveiller les comptes des clubs de football professionnels en France

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christian on attend ton bel article sur toulon marignane

Un week-end tranchant !


Ce week-end sera placé pour le STV2, les U19, 17 et 15 sous le signe de la coupe, celle du Var en l'occurrence.
Ce sont les U17 qui ouvriront le bal à 16h à Ste Maxime face à l'AS Maximoise. M.Hachfi et B.Boussalem ainsi que leurs joueurs ne veulent pas faire l'impasse sur cette compétition à quitte ou double qu'ils ont failli remporter l'année dernière, battus in-extremis en finale par Fréjus/St Raphael. "Nous alignons la meilleure équipe possible. Cette Coupe du Var s'intercale bien dans le calendrier du championnat donc n'occasionne pas une débauche d'énergie supplémentaire. Le groupe monte en puissance dans la qualité de son jeu, il ne lui manque qu'un peu de constance et d'efficacité devant le but. La Coupe arrive au bon moment." nous a confié M.Hachfi.

Ce sera ensuite le tour des U15 de se confronter à leurs homologues de l'AS St Cyr (17h à Mercheyer). Les Toulonnais qui jouent les premiers rôles en Promo-Ligue auront une bonne carte à jouer à domicile.

Demain à 10h sur le synthétique de Mercheyer, les U19 seront également opposés à l'AS St Cyr.

A 14h30 le STV2 entrera dans la compétition, opposé au Football Club du Puget/argens (PHA).
Le STV2 qui alterne actuellement des résultats en dents de scie, subissant également les contre-coups de la délicate situation du club, s'attend à un match difficile face à un adversaire qui n'aura rien à perdre.
Pour cette rencontre, le groupe de JC.Grasso devrait recevoir l'appoint de plusieurs retombées de CFA.
Publié par Le Blog de l'Association des Socios
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Toulon
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0L'Avenir sportif de Toulon menacé.Publié le mercredi 09 février 2011 à 07H07 Créé pour les jeunes, ce club n'en compte plus que quelques-uns. La faute à un sport de plus en plus coûteux et à des subventions rares.

L'avenir de l'Avenir sportif de Toulon (AST) ne s'annonce pas idéal. Pourtant, en 1984, ce club a été créé en complément de l'association pour l'Insertion par le développement de l'éducation, de l'animation et des loisirs (Idéal).

Avec pour but de « favoriser l'éducation, faire découvrir la citoyenneté, donner une envie d'évolution, une perspective de considération », par le ballon rond. Et pour public privilégié : « Les jeunes issus de la diversité », rappelle Ezzedine Bouachir, directeur d'Idéal, ainsi que président et cofondateur du club avec son frère Nourredine.

L'AST a installé son siège en plein coeur de ville, où « il n'y avait pas de club », mais ne s'adresse pas qu'aux jeunes du centre, bien au contraire : « On n'est pas le club d'un quartier, on est un club de la ville. Notre philosophie est d'aller vers tous les jeunes, de l'est à l'ouest, pour les intégrer dans le développement urbain ».

Et l'Avenir sportif de Toulon y « va » littéralement : « Ce ne sont pas les parents qui nous amènent leurs enfants, ce sont nous qui allons les chercher pour les conduire au stade. »

Le futsal pour « salut » ?

Le club « rouge et blanc » a ainsi grandi, jusqu'à compter quelque deux cents licenciés et voir les seniors de son équipe fanion se hisser en PHB, à la fin des années 1990 !

« La compétition nous permet juste de mobiliser les jeunes pour atteindre un objectif, précise toutefois Ezzedine Bouachir. On n'a pas vocation à concurrencer d'autres clubs. On ne veut pas avoir la dimension du Sporting ou du Las. On n'est qu'un réservoir. »

Un réservoir qui s'est toutefois vidé de ses jeunes : complètement pour les U19, U17 et U15, quasiment pour les U13, U11, U9 et U7...

« Le football coûte de plus en cher et les subventions sont de plus en plus rares : le sport citoyen comme on le fait n'est plus une priorité institutionnelle », explique le président de l'AST. À tel point que, selon lui, le foot amateur en général est « en danger » et l'Avenir sportif de Toulon en particulier est « menacé » et « risque de disparaître ».

L'avenir de l'AST dans le football est donc compromis et semble promis au futsal, un foot mais en salle et surtout « moins coûteux ». Ce serait l'idéal...

Savoir +
Avenir sportif de Toulon, traverse de la Visitation 83000 Toulon. Tél. : 04.94.93.54.51. E-mail : a.s.t@wanadoo.fr

Pau 2 - 0 Toulon

Niang, forte tête
Les Palois ont décroché une victoire méritée face à Toulon grâce à deux têtes de Elhadji Niang. Ils pointent désormais à la sixième place du classement.



Après le départ de l'entraîneur Didier Christophe qui ne sera resté qu'un mois au Pau FC, c'est Robert Buigues qui a pris place sur le banc palois, pour une durée de quatre mois. Mais c'est dans la continuité de ce qu'avaient fait ses prédécesseurs qu'il a composé sa première équipe.

Et il a dû être satisfait de la première période, car les Palois ont montré une envie et une agressivité dans le bon sens du terme qu'il leur a permis de prendre un avantage mérité.



C'est M'Laab qui allumait la première mèche, d'un coup franc des 25 mètres, mais le ballon s'écrasait sur la barre (5e). Toulon tentait de réagir par une ouverture de Firquet qui emmenait bien le ballon mais manquait sa reprise.

Les Palois allaient ensuite connaître une très bonne période, faisant bien circuler le ballon, qui allait pousser Toulon à la faute. Des 22 mètres, légèrement à droite, Bécas trouvait la lucarne mais le gardien toulonnais détournait en corner (22e).

Pas de quoi décourager les Palois qui allaient obtenir trois corners consécutifs. C'est sur le troisième que Niang venait couper la trajectoire du ballon au premier poteau et ouvrait le score de la tête (1 - 0, 27e).

Assoméset énervés, les Toulonais obligeaient M. Chat à sévir. Firquet, peu en réussite, tirait un coup franc intéressant dans le mur palois (35e).

Le Palois Hicham M'Laab s'est ensuite distingué d'une accélération plein champ suivi d'une frappe instantanée à ras de terre que Venail déviait en corner. Sur le coup de pied de coin, le gardien relâcha le ballon. Panique totale devant le but toulonnais dont les Palois ne profitaient pas (43e).

Toulon se réveille
En seconde période, le Palois Niang vendangeait d'entrée de jeu un deux contre deux, mais Toulon, beaucoup plus offensif, allait ensuite montrer un tout autre visage. Leglib bloquait un premier coup franc de Firquet (49e), qui fut le début de la pression toulonaise. Mais Toye, de la tête, sur corner, ratait le cadre (52e). Di Tommaso n'était pas plus heureux et trouvait Leglib, encore lui, sur sa trajectoire (59e).

Mais Toulon laissait de plus en plus d'espaces et les Palois allaient en profiter. Festival de M'Laab, plein champ, qui effaçait deux adversaires dans un mouchoir et plaçait une mine à bout portant que Venail détournait encore. Mais sur le corner, même scénario qu'en première période, avec Bécas qui déposait le ballon sur la tête de Niang au premier poteau (2 - 0, 63e).

La fin de match allait être tendue, les Toulonnais musclaient leur jeu sans se créer de véritables occasions, tandis que les Palois géraient très intelligemment leur avantage. Les joueurs de Pau ont signé une belle victoire qui leur permet de revenir à un petit point de leur adversaire du soir au classement.

source:

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Le Sporting n'en peut plus...


Battu 2-0 à Pau, le STV s'enfonce inexorablement dans une spirale négative.


L'attaquant Palois E.Niang s'est offert un doublé aux dépens de la défense Toulonnaise...

Après une série de matchs non maîtrisés face à des formations en difficulté (Lyon, Marignane, Aurillac), le Sporting Toulon Var avait un déplacement délicat chez un outsider de plus gros calibre, le Pau FC. Le club Béarnais en proie à des résultats en dents de scie, amputé de son meilleur attaquant S.Koné (suspendu) et doté d'un nouveau coach à peine arrivé depuis quelques jours, restait un adversaire difficile à jouer sur sa pelouse bien qu'il n'y ait plus gagné depuis le 24 septembre dernier.

Pour espérer faire un résultat, les hommes de F.Zingaro se devaient d'avoir un engagement de tous les instants et un mental de compétiteurs, celui qui permet à un groupe de se transcender dans l'adversité.
A la fin de la rencontre le constat ne pouvait qu'être amer: les Toulonnais n'ont pas pesé bien lourd face à des Palois revanchards par rapport à l'issu du match aller. Deux buts (un par mi-temps) de la tête d'El Hadji Niang, assez identiques dans leur réalisation ont suffi à faire basculer le sort du match et permettre aux locaux de se relancer en championnat. Les partenaires de M.Zemzemi quant à eux n'ont jamais eu les moyens d'inverser le cours de la partie, à l'image des dernières prestations des azur et or.
"On est pas assez agressifs sur les coups de pied arrêtés, c'est inadmissible" déclarait F.Zingaro, reconnaissant implicitement le manque d'engagement de ses joueurs.

Comment une équipe qui a pour ambition affichée de jouer le titre et la quasi-obligation d'y parvenir compte-tenu de la situation dramatique des ses finances, peut-elle se priver d'une indispensable grinta, première condition sine qua non d'un hypothétique succès ?
Après l'absence de jeu et d'engagement lors de la première période du précédent match face à Marignane, on pouvait penser (ou espérer) que les pendules seraient remises à l'heure. Cependant ce quatrième -mauvais- résultat depuis le début de l'année résonne comme un constat criant de l'échec qui se profile inéluctablement en fin de saison si le club azur et or ne se ressaisit pas et tire les indispensables conclusions de sa non-compétitivité qui dure depuis une grande partie de la saison.

Mais n'est-il pas déjà trop tard... ?



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Toulon 0 - 0 Uzes

toulon coince encore

aladin a écrit:Toulon 0 - 0 Uzes

toulon coince encore

ET LAISSE ECHAPPER LES 2 PREMIERS
Pl Equipe Pts
1 Ajaccio G.F.C.O 59
2 Martigues 57
......................................
3 Toulon 50
4 Monaco B 49
4 Pau 49

6 Colomiers 48
7 Le Pontet 46

hilario ne joue pas

Uzès-Pont continue sur sa lancéeFOOTBALL CFA l 20 e journée


TOULON 0 UZÈS-PONT 0 Stade Bon Rencontre. Arbitre : M. Naas.

Avertissements : Boumilat (51e, 79e), Firquet (64e), Esparza (68e), Tlemtani (79e), Esbaï (87e) pour Toulon ; Dervaux (19e), Bonne (30e), Ballouq (36e) pour Uzès-Pont.

TOULON : Venail ; Tlemtani, Esbaï, Michelletti, Poye (Boumilat 34e), Esparza, Boronad (cap.), Étienne (Gomis 72e), Balde, Firquet, Bouchoux (Mercheyer 72e).

UZÈS-PONT : Duchèsne (cap.) ; Ballouq, Bonne, El Yazghi (Diego 61e puis Mathieu 80e), Coulibaly, Dervaux, Grousset (Goba 55e), Hekeeng, Guiber, Taboubi, Ferreira.



Belle performance d'Uzès-Pont qui a ramené le nul, hier soir, du stade Bon Rencontre. Face à des Toulonnais dans l'obligation de l'emporter, les Uzétiens n'ont pas fermé le jeu et

se sont même créé les meilleures occasions. La rencontre débute sans round d'observation et les Gardois placent la première banderille. Ferreira récupère un ballon mal dégagé par la défense et se présente seul face à Venail, mais sa frappe manque de puissance (7e). Toulon réagit par Bouchoux mais sa tentative des 20 m passe au-dessus des buts de Duchèsne. Il faut attendre la demi-heure de jeu pour voir les locaux se montrer dangereux. Baldé, parti dans le dos de la défense, voit sa tentative repoussée par celle-ci. Le ballon revient dans les pieds de Esparza qui manque le cadre. Dans la foulée, les Gardois ont une nouvelle occasion de doubler la marque. Guiber élimine son vis-à-vis côté droit et rentre dans la surface. Mais il choisit de frapper au but au lieu de servir Ferreira, seul au second poteau.

En seconde période, les Toulonnais se montrent plus pressants mais se heurtent au bloc gardois. La fin du match est électrique. Frustrés, les Toulonnais voient rouge et, suite à l'expulsion de Boumilat, explosent, laissant Uzès-Pont repartir avec les deux précieux points qu'il était venu chercher.

Les Gardois ramènent un précieux nul pour le maintien

Avant Béziers-STV...
F.Zingaro: "On est dans le doute complet..."


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Le coach montre la voie, les azur et or sauront-ils la trouver à Béziers...?

source

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merci christian raynaud

*

Le coach du STV a bien voulu répondre à quelques questions concernant les difficultés que rencontre son équipe depuis le début de l'année 2011.

A l'interrogation de savoir si les résultats décevants qu'enregistrait le Sporting étaient dûs à un problème d'état d'esprit, Franck Zingaro a précisé: "Face à Lyon l'état d'esprit on l'avait. On a réalisé un bon match face à une belle équipe mais on prend un but sur une erreur de concentration à la 82ème minute. Les joueurs se sont dit qu'ils avaient fait un bon truc mais qu'ils n'avaient pas réussi à gagner.
Le mental on l'avait également durant la première mi-temps à Aurillac. Les deux buts gags qu'on a pris nous ont tué moralement, on s'est écroulé sur des erreurs d'inattention. Le problème ne vient pas qu'on ait perdu l'état d'esprit mais qu'on soit dans le doute complet.
On ose plus se libérer. Il faut faire comprendre aux joueurs qu'on a la capacité de faire face mais on est à un point où ce sont eux qui ont la solution: Ou ils se libèrent, ils se lâchent ou cela va être très dur..."

Concernant le prochain adversaire, l'AS Béziers et la façon d'aborder la rencontre le coach nous a confié: "Béziers manque de repères et nous sommes dans la même situation qu'eux, on ne peut pas en tenir compte. Mieux vaut se préoccuper de notre jeu.
On a un problème d'animation offensive, on est pas assez en mouvement lorsqu'on récupère le ballon et il y a beaucoup de déchets techniques individuels: Si les joueurs donnent le ballon mais ne le redemandent pas derrière, s'ils ne prennent pas les espaces et s'ils ne sont pas en mouvement vous pouvez mettre quatre attaquants axials cela ne servira à rien.
C'est un problème d'initiative liée à la période de doute qui explique pourquoi on ne déborde pas, pourquoi on ne tire jamais au but, pourquoi on ne prend pas le risque de dribbler à un contre un dans la surface. On a peur de perdre le ballon, on est en plein doute."

Interrogé à titre personnel sur la façon dont il ressentait le mécontentement ambiant au stade, Franck Zingaro a répondu: "C'est sûr que cela ne fait pas plaisir mais cela fait partie du métier: Je considère que le public est en droit de critiquer, il paye sa place.
Dans ma carrière de footballeur je crois que j'ai accumulé assez d'expérience en étant onze ans professionnel et dix ans en CFA, j'ai été adulé, j'ai été critiqué. Entraîneur c'est la même chose: Il faut accepter les louanges, il faut accepter les critiques, tant que cela ne touche pas l'homme.
Pour l'instant c'est normal que les supporters crient leur mécontentement et j'assume pleinement, on assume pleinement.
On ne peut pas se justifier envers tout le public, avec Amar [Boumilat] on sait qu'on est à fond derrière cette équipe, derrière ce club, on se donne à 10000%. Quoiqu'il arrive on pourra se regarder dans une glace, on aura donné le maximum. On a jamais dit qu'on avait la science infuse sur tout, qu'on allait tout exploser.
Après les gens peuvent penser qu'on est trop novice, c'est leur droit mais le plus important c'est qu'ils ne nous reprochent pas de nous donner à 10000% avec nos qualités et nos défauts. On est pas des tricheurs, on est des mecs qui bossons.
J'accepte tout à fait les critiques, si ce n'était pas le cas je pense que j'arrêterais ce métier et je resterais chez moi, là je serais sûr de ne pas me faire critiquer..."

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Suivre l'AS Béziers à travers ses résultats en championnat c'est un peu comme monter dans un grand 8: il y a des hauts et des bas !
Deux défaites consécutives à domicile pour commencer, le club Héraultais a dû attendre la 6ème journée pour connaître son premier succès. Toutefois, après un changement de coach (départ de Rémola, arrivée de Crucet), les Biterrois vont réaliser une série de onze matchs sans accrocs ponctuée par cinq victoires et notamment un retentissant 5 à 1 infligé aux Corses d'Ajaccio, l'actuel leader !
Début décembre l'ASB tombe à Marignane et enchaîne six défaites en sept rencontres dont deux à domicile avec un cinglant 0-4 devant le Pontet, il y a 15 jours.

Stéphane Crucet, l'entraîneur Biterrois est assez fataliste: "Le groupe souffre de nos dernières défaites. Il nous faudrait un résultat positif pour retrouver ce qui faisait notre force il y a quelques matchs. Le problème, c’est que l’on a toujours des suspendus ou des blessés. On espère rapidement retrouver un groupe complet, c’est difficile de composer avec tout ça."
Une bonne nouvelle pour les rouges et bleus: L'expérimenté milieu de terrain G.Plessis revient de suspension et sera opérationnel face au STV mais toujours pas N.Priet sous le coup d'une sanction de cinq matchs.
"Je me focalise déjà sur ce prochain match à la maison face à Toulon. On voit que Martigues et Ajaccio s’envolent, on va pouvoir bénéficier des retours de tout le monde dans l’équipe" se félicite toutefois l'entraîneur Héraultais.

Le joueur à surveiller: Hans Eric Ekounga.
Cet attaquant Camerounais à connu une carrière internationale, évoluant dans plusieurs pays (Cameroun, Russie, Belgique, France), ayant même l'opportunité de disputer un tour de C3 (UEFA).
Rapide malgré ses 30 ans, puissant et vif, Ekounga a inscrit cinq buts cette saison pour l'AS Béziers dont un doublé à Francis Turcan face à Martigues lors de la 11ème journée

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Etonnant parcours de EKOUNGA !

olympien13 a écrit:Etonnant parcours de EKOUNGA !

avec 3 nationalites (Cameroun, Russie, Belgique, France), non je deconnes
4 pays d'accueil mais ca devient courant

La belle opération des Toulonnais.Publié le dimanche 27 février 2011 à 07H18
Les Toulonnais ont réalisé une fort belle opération, hier dès 15 heures, en s'imposant à Béziers (1 à 3) face à des Biterrois qui ne pouvaient pourtant pas se permettre de perdre des points à domicile. Car si Toulon se relance, les Héraultais, en revanche, enregistrent une quatrième défaite de rang et voient désormais le spectre de la relégation se faire de plus en plus pressant.

Si au final, ils ont mordu la poussière face aux joueurs de Franck Zingaro et d'Amar Boumilat, ce sont pourtant eux qui avaient bien

ouvert les débats face aux Varois.

Ils accéléraient d'entrée de jeu et se montraient alors dangereux. Leur fougue surprenait les Toulonnais qui éprouvaient, visiblement, des difficultés à imposer leur régime de croisière.

Bien organisés défensivement, les Varois trouvaient finalement la bonne carburation au quart d'heure de jeu. Ils donnaient plusieurs fois de grosses sueurs froides à Bothorel, le gardien de l'ASB. Très rapide et toujours dans les bons coups, le Toulonnais Gbadamassi profitait d'une passe en retrait biterroise, aussi mal ajustée que peu puissante, pour s'infiltrer dans la défense biterroise et ouvrir le score (25e).

Doublé de Firquet

Dans la foulée, le Biterrois Lalaoui, sur une passe de son coéquipier

Magno-Tenorio, égalisait (29e). Mais sur un centre de Baldé, Firquet redonnait très vite l'avantage à Toulon (33e, 1 à 2).

Les Varois portaient le coup de grâce en début de deuxième mi-temps. Firquet doublait la mise après avoir mis à mal une défense héraultaise trop peu efficace (49e). L'ASB tentait bien ensuite de jeter son va-tout dans la bataille. Les Toulonnais faisaient bloc défensivement et, bien que réduits à neuf après l'expulsion de Tlemcani, ils contenaient les assauts répétés de Languedociens qui n'ont jamais réellement su peser sur le match face à une équipe de Toulon beaucoup plus efficace.

Prochain match pour les Toulonnais, afin de confirmer cette belle opération : la réception à Bon-Rencontre de Colomiers le samedi 5 mars (18 heures).L. F.

béziers - toulon : 1-3

Au stade de Sauclières, le Sporting Toulon Var bat Béziers 3 à 1. Mi-temps : 1 à 2.

Temps : frais.

Terrain : bon état.

Arbitrage : M. Vigues, assisté de MM. Kherradji et Parès.

But pour Béziers : Lalaoui (29e).

Buts pour Toulon : Gbadamassi (25e), Firquet (33e, 49e).

Avertissements à Béziers : Bessamba 44e, Astier 64e, Scaffa 64e ; à Toulon : Baldé 67e.

Expulsion à Toulon : Tlemcani (80e).

Toulon : Venail, Tlemcani, Sbai, Micheletti, Toye, Esparza, Boronad, Cousyn, Gbadamassi, Firquet, Baldé.

Football: Toulon s'impose à Béziers (3-1).Publié le samedi 26 février 2011 à 19H39
Le Sporting Toulon s'est imposé à Béziers 3 à 1

Pour la 21e journée de CFA, le Sporting Toulon Var vient de réaliser une belle opération, cet après-midi à Béziers, en s'imposant 3 à 1.

D'entrée de jeu, ce sont pourtant les Héraultais qui se montraient les plus dangereux. Mais bien organisés défensivement, les Toulonnais ont ouvert la marque par Gbadamassi, profitant d’une mauvaise passe en retrait biterroise (25e). Dans la foulée, Lalaoui égalisait (29e). Mais sur un centre de Baldé, Firquet redonnait vite l’avantage à Toulon (33e, 1 à 2). Et doublait la mise après avoir mis à mal une défense héraultaise trop peu efficace (49e).

aladin a écrit:La belle opération des Toulonnais.Publié le dimanche 27 février 2011 à 07H18
Les Toulonnais ont réalisé une fort belle opération, hier dès 15 heures, en s'imposant à Béziers (1 à 3) face à des Biterrois qui ne pouvaient pourtant pas se permettre de perdre des points à domicile. Car si Toulon se relance, les Héraultais, en revanche, enregistrent une quatrième défaite de rang et voient désormais le spectre de la relégation se faire de plus en plus pressant.

Si au final, ils ont mordu la poussière face aux joueurs de Franck Zingaro et d'Amar Boumilat, ce sont pourtant eux qui avaient bien

ouvert les débats face aux Varois.

Ils accéléraient d'entrée de jeu et se montraient alors dangereux. Leur fougue surprenait les Toulonnais qui éprouvaient, visiblement, des difficultés à imposer leur régime de croisière.

Bien organisés défensivement, les Varois trouvaient finalement la bonne carburation au quart d'heure de jeu. Ils donnaient plusieurs fois de grosses sueurs froides à Bothorel, le gardien de l'ASB. Très rapide et toujours dans les bons coups, le Toulonnais Gbadamassi profitait d'une passe en retrait biterroise, aussi mal ajustée que peu puissante, pour s'infiltrer dans la défense biterroise et ouvrir le score (25e).

Doublé de Firquet

Dans la foulée, le Biterrois Lalaoui, sur une passe de son coéquipier

Magno-Tenorio, égalisait (29e). Mais sur un centre de Baldé, Firquet redonnait très vite l'avantage à Toulon (33e, 1 à 2).

Les Varois portaient le coup de grâce en début de deuxième mi-temps. Firquet doublait la mise après avoir mis à mal une défense héraultaise trop peu efficace (49e). L'ASB tentait bien ensuite de jeter son va-tout dans la bataille. Les Toulonnais faisaient bloc défensivement et, bien que réduits à neuf après l'expulsion de Tlemcani, ils contenaient les assauts répétés de Languedociens qui n'ont jamais réellement su peser sur le match face à une équipe de Toulon beaucoup plus efficace.

Prochain match pour les Toulonnais, afin de confirmer cette belle opération : la réception à Bon-Rencontre de Colomiers le samedi 5 mars (18 heures).L. F.

béziers - toulon : 1-3

Au stade de Sauclières, le Sporting Toulon Var bat Béziers 3 à 1. Mi-temps : 1 à 2.

Temps : frais.

Terrain : bon état.

Arbitrage : M. Vigues, assisté de MM. Kherradji et Parès.

But pour Béziers : Lalaoui (29e).

Buts pour Toulon : Gbadamassi (25e), Firquet (33e, 49e).

Avertissements à Béziers : Bessamba 44e, Astier 64e, Scaffa 64e ; à Toulon : Baldé 67e.

Expulsion à Toulon : Tlemcani (80e).

Toulon : Venail, Tlemcani, Sbai, Micheletti, Toye, Esparza, Boronad, Cousyn, Gbadamassi, Firquet, Baldé.

dimanche 27 février 2011 Béziers n'y arrive toujours pas
BÉZIERS 1 TOULON 3 Au stade de Sauclières. Mi-temps : 1 à 2.

Arbitre : M. Vigues.
But pour Béziers : Lalaoui (29e).
Buts pour Toulon : Gbadamassi (25e), Firquet (33e, 49e).

Avertissements à Béziers : Bessamba 44e, Astier 64e, Scaffa 64e ; à Toulon : Balde 67e.
Expulsion à Toulon : Tlemcani (80e).
Les Biterrois n'y arrivent plus. Face à Toulon, ils ont enregistré une 4e défaite de rang et voient le spectre de la relégation se faire de plus en plus pressant. Ils avaient pourtant bien ouvert les débats face aux Varois.

Ils accéléraient d'entrée de jeu et se montraient dangereux face à des adversaires surpris par autant de fougue
et éprouvant des difficultés à accélérer.

Bien organisés défensivement, les Toulonnais trouvaient la bonne carburation au quart d'heure de jeu et donnaient de grosses sueurs froides à Bothorel, le gardien de l'ASB. Très rapide et toujours dans le bon coup, le Toulonnais Gbadamassi, profitait d'une passe en retrait biterroise, aussi mal ajustée que peu puissante, pour s'infiltrer dans la défense biterroise et ouvrir le score (25e). Dans la foulée, Lalaoui, sur une passe de son coéquipier Magno Tenorio égalisait (29e), mais sur un centre de Balde, Firquet redonnait l'avantage à Toulon (33e, 1 à 2).

Les Varois portaient le coup de grâce en début de deuxième mi-temps, Firquet doublant la mise après avoir mis à mal une défense héraultaise trop peu efficace (49e). L'ASB tentait bien ensuite de jeter son va-tout dans la bataille mais ne parvenait pas à peser réellement sur le match

Football
Sporting Toulon: les raisons d’y croire.Publié le jeudi 03 mars 2011 à 08H47
Comme Stéphane Ettien, Toulon devra lutter pour tenter, au pire, de finir meilleur second.



La victoire obtenue à Béziers (3-1), associée au match nul de Martigues à Lyon (1-1), a redonné des couleurs au Sporting. Néanmoins, comme dans le même temps le GFCO Ajaccio est allé gagner à Marignane (1-0), il faut être lucide. À moins d’un cataclysme, les Insulaires finiront en tête. La réussite est de leur côté entre des buts marqués dans les dernières minutes (Marignane, Aurillac, Anglet) ou des faits de jeu en leur faveur (penalty raté de Dob le Hyèrois à 1-1).

Viser la deuxième place
Toutefois les espoirs d’accession restent réels pour le Sporting. Pourquoi? Tout simplement dans l’optique de finir meilleur second. Une place qui tend les bras à des Toulonnais qui doivent faire preuve de mémoire. En clair, ne pas commettre la même erreur qu’il y a deux ans. A force de se focaliser sur le leader hyérois qui n’a pas craqué, les Azur et Or ont négligé Fréjus qui les a coiffés sur le poteau.
Aujourd’hui ces mêmes Étoilistes brillent en National, les joueurs de la cité des Palmiers sont redescendus en CFA. En effet, et paradoxalement, les coéquipiers de Boronad ont perdu un nombre incalculable de points face aux petites écuries de la poule (Uzès, Marignane, Anglet, Tarbes, Aurillac).

Destin en mains
Des contre-performances qui n’entreraient pas en ligne de compte au moment de déterminer le meilleur second des quatre poules de CFA. Seules les confrontations directes entre les six premiers du classement seraient prises en compte. C’est là que le Sporting a une longueur d’avance. Et surtout son destin en mains.
Les Toulonnais ont déjà battu Colomiers et Martigues à l’extérieur puis Le Pontet et Pau à Bon-Rencontre. Le nul à Monaco est satisfaisant. Un bilan reluisant à peine terni par les revers concédés contre le GFCO Ajaccio et à Pau (2-0).

C’est aussi et surtout pour cela que la prochaine réception de Colomiers (samedi à 18 heures) est capitale. Un match à huit points. Tout comme la future venue des Martégaux ou des Monégasques, ces derniers étant actuellement dans les six premiers. Le Sporting ne doit pas se tromper d’objectif. Sans positiver à outrance, il a toujours les cartes en mains pour rallier le National en fin d’exercice. Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse. Demandez à Fréjus/Saint-Raphaël...

04/03/2011 09:41
Colomiers. Peu de changements dans les effectifs



Mérad et Miatto seront face à Lourdes./ Photo
L'équipe fanion relancée par sa victoire face à Saint-Etienne se rend à Toulon. Frédéric Pons devra faire avec le même groupe. Il est peu probable qu'il puisse compter sur l'un des blessés : Fiippa, Maurel, Bouchada, Donné ou encore Abgrall.

L'effectif des U19 qui reçoivent le TFC dimanche à 15 heures sera aussi préservé.

La réserve joue samedi
C'est donc avec les moyens du bord que Philippe Magnoler, entraîneur de la réserve, recevra Lourdes (DH) en Coupe du Midi. « Compte tenu des vacances, des suspensions (Ségura), des blessés (Darengosse), c'est une équipe très remaniée qui jouera samedi. J'alignerai des joueurs qui ne jouent pas souvent avec moi. Je ferai confiance à un jeune pour le poste de latéral gauche. » précise le coach. La rencontre aura lieu samedi à 17 heures à Bertrand-Andrieux.

Colomiers qui est un peu la surprise cette saison...

olympien13 a écrit:Colomiers qui est un peu la surprise cette saison...

la surprise pour la mediterranée et les clubs du sud est mais pas pour eux
ils ont l(objectif du national des cette saison 2010 :2011

j'avais mis cet article en janvier

aladin a écrit:

06/01/2011 15:18
CFA. Frédéric Pons : l'envie de transmettre
Rencontre avec l'entraîneur de l'US Colomiers.



Colomiers peut s'appuyer sur Frédéric Pons.

Frédéric Pons entraîne Colomiers depuis 2006. Il a conduit le club de la DH au CFA. Aujourd'hui, l'USC frappe à la porte du National, même si « Fredo » ne s'enflamme pas.

Arrivé à Colomiers au cours de l'été 2006, Frédéric Pons, 48 ans, a fait monter le club en CFA au bout deux ans. Pour sa troisième saison à ce niveau, l'USC est, après quinze matchs, troisième, à un point des deux leaders, Ajaccio et Toulon. Entretien avec un entraîneur passionné, adepte d'un football pétillant.

Frédéric, quels sont les faits marquants de votre carrière de joueur ?

Mon départ de Hyères pour le FC Valence en 1984. J'avais le feu sacré et j'ai démissionné de mon poste d'employé municipal sans savoir si j'avais vraiment le potentiel pour réussir. Ensuite, je retiens la victoire en Coupe de France aux tirs au but avec Metz face à Sochaux en 1988.

Et votre passage au TFC ?

J'ai vécu deux saisons (1990-1991 et 1991-1992) relativement compliquées au niveau sportif car nous jouions le maintien. Mais j'y ai trouvé une formidable bande copains dont Jean-Phi Delpech avec qui je suis très lié. C'est d'ailleurs lui qui m'a recommandé aux dirigeants columérins alors que Valence avait déposé le bilan et que je me retrouvais au chômage.

Êtes-vous devenu entraîneur par vocation ou par hasard ?

Je me pose encore la question. J'ignore si c'était vraiment une vocation, mais j'avais envie de transmettre. J'ai connu des coachs qui tenaient la route : Husson, Courbis, Mosca, Notheaux. Je ne voulais pas garder pour moi ce qu'ils m'avaient appris, mais le partager en ajoutant ma propre sensibilité. J'ai commencé avec des jeunes à Valence. Je crois que je n'aurai pas pu faire autre chose que du football.

Rêvez-vous d'entraîner un jour en L1 ou en L2 ?

Pour l'instant, cela reste un rêve. Comme quand on est petit, on rêve de devenir « pro ». Mais il ne faut pas être présomptueux.

Vous êtes adepte du beau jeu, de l'offensive. Que vous inspire la frilosité de bon nombre d'entraîneurs ?

Je suis perplexe. Je le comprends mieux chez les « pros » où, compte tenu des enjeux, beaucoup ont peur d'aller à la catastrophe en se découvrant trop. Mais nous sommes un pays de création, d'imagination. Ça ne se retrouve pas dans le foot actuel.

Jusqu'où peut aller Colomiers ? En National, dès cette saison ?

Le président l'a annoncé. Bien sûr, il vaut mieux être ambitieux. Mais, pour moi, ce n'est pas encore l'objectif. Il reste dix-neuf matchs. C'est long. Si nous parlons trop de montée, la pression peut s'installer et une ou deux défaites peuvent générer de la tension. J'ai un groupe sain composé de gars qui ne s'enflamment pas. Le National est un objectif, mais à moyen terme, d'autant que nous n'avons pas encore l'outil (1). En attendant, je souhaite simplement faire mieux que lors de notre précédent parcours, ce qui est le cas depuis trois ans et notre accession en CFA.

1. Il fait allusion au stade Satgé en cours d'aménagement.


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Le chiffre : 6
clubs > Pour sa carrière de joueur. Durant sa carrière de footballeur (10 ans « pro »), Frédéric Pons a connu six clubs : Hyères, le FC Valence, Metz, Toulon, Toulouse et l'ASOA Valence. Comme entraîneur, il a débuté dans ce dernier club en s'occupant des 18 ans entre 2002 et 2005 avant d'arriver à Colomiers à l'orée de la saison 2006-2007 pour faire monter l'USC en CFA2 au terme de l'exercice puis en CFA un an plus tard.


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Le carnet de son père
Frédéric Pons est né en Algérie le 14 mai 1962. Moins de deux mois plus tard, l'indépendance était proclamée et la famille devait s'installer à Hyères : « Ce fut un traumatisme pour elle. Bien sûr, je n'ai pas connu l'Algérie, mais j'en ai souvent entendu parler en grandissant. Mes parents ressentaient une douleur profonde. La cicatrice ne s'est jamais vraiment refermée. »

Chez les pieds-noirs, le football était une deuxième religion. Le père, aujourd'hui disparu, y jouait et le fils ne pouvait y échapper. « Lorsque j'étais poussin, mon père tenait un carnet sur lequel il collait des articles de presse me concernant. Je jouais alors milieu offensif et marquais beaucoup de buts. Un jour, nous avons gagné 5-0 et j'ai inscrit les cinq buts. Ce carnet, je l'ai toujours, quarante ans plus tard. En cadets, mon entraîneur, Vito Perlungo - je le revois encore, il a plus de 80 ans -, me faisait reculer en défense pour tenir le résultat lorsque nous menions. Ma carrière de défenseur a débuté comme ça. Je n'avais sans doute pas le potentiel pour continuer à jouer devant. »


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«Courbis, un avant-gardiste»
Fan du Barça, de Johan Cruyff, de « Pep » Guardiola et de « tous ceux qui pensent à jouer, animés par l'esprit offensif tout en sachant garder un équilibre », Frédéric Pons avoue avoir été marqué par son passage sous les ordres de Rolland Courbis qui fut son entraîneur à Toulon : « C'était un avant-gardiste. Il m'a fait jouer en zone dès 1988 alors que l'individuelle était à la mode. Il avait une grande connaissance du football, le souci du détail, ne laissant rien au hasard à l'opposé de l'image qu'il pouvait donner. Il savait gérer les hommes. Il est resté simple et c'est quelqu'un de fidèle en amitié . Mais les grandes gueules dérangent toujours. »

La Fédération Française de Football a désigné Alexandre Perreau Niel pour arbitrer la rencontre STV-US Colomiers.
Ce professeur d'EPS âgé de 28 ans et issu de la Ligue de Bourgogne est un arbitre de niveau Fédéral 3 depuis juillet 2009.

Si à notre connaissance A.Perreau Niel n'a jamais arbitré le STV, cette saison il a officié deux fois en CFA hors du groupe C. Eu égard à sa classification, il a dirigé treize matchs de National mais aussi trois de Ligue 1 (Nancy/Sochaux, PSG/Caen et Sochaux/Arles-Avignon) ainsi que deux rencontres en Coupe de la Ligue.
C'est donc un arbitre expérimenté qui sera aux commandes du match, demain à Bon Rencontre et il sera supervisé par un observateur de la Direction Nationale de l'Arbitrage (DNA), C.Tosi qui sera chargé d'évaluer sa performance (en principe les arbitres de niveau F3 sont observés 8 fois par saison).

Demain, l'arbitre central et ses deux assesseurs seront aidés par le délégué principal A.Lisolo qui les assistera de leur arrivée au stade jusqu'à leur départ en se chargeant entre autre de contrôler toute la partie administrative du match mais aussi de veiller aux conditions de leur sécurité.
Il aura aussi un rôle déterminant sur le banc de touche central: Faire respecter la Zone Neutre (autour du terrain) et la Zone Technique (devant chaque banc de touche). Pour l'occasion, la FFF mettra en place un dispositif complet puisque Mr Lisolo sera assisté d'un délégué accompagnateur, JP

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Colomiers et Toulon au coude à coude


Cette saison, la trajectoire de l'US Colomiers et celle du Sporting Toulon Var sont assez similaires même si les azur et or se sont imposés 3 à 2 en Haute-Garonne en septembre dernier.
A la trêve les Toulonnais étaient sur le podium du championnat et les Columérins juste à côté, à une encablure seulement. Du côté de la banlieue de Toulouse de nouvelles ambitions s'avouaient à demi-mots, même si le coach Frédéric Pons restait très prudent: "Bien sûr, il vaut mieux être ambitieux. Mais, pour moi, le National n'est pas encore l'objectif. Si nous parlons trop de montée, la pression peut s'installer et une ou deux défaites peuvent générer de la tension. J'ai un groupe sain composé de gars qui ne s'enflamment pas.
Le National est un objectif, mais à moyen terme. En attendant, je souhaite simplement faire mieux que lors de notre précédent parcours, ce qui est le cas depuis trois ans et notre accession en CFA." (ladepeche.fr)

Mais depuis le début de l'année les choses ont bien évolué pour les deux formations même si elles sont toujours restées au contact l'une de l'autre: De prétendants à la première place avec Ajaccio et Martigues, les équipes siamoises ont changé de statut au gré de matchs nuls ou de défaites pour devenir de simples outsiders relégués à bonne distance des leaders (13pts pris depuis le 1er janvier pour l'USC et le STV, 22pts pour le gazélec).

Samedi ce sera encore au coude à coude qu'elles vont s'affronter: Toulon (5ème, 54pts) recevra à Bon Rencontre Colomiers (6ème, 53 pts). Pourront-elles se départager ?
Le Sporting ragaillardi par sa victoire aux dépens des Biterrois sera à la recherche d'un succès à domicile qui le fuit depuis trois mois et les Haut-Garonnais s'appuieront sur leur solidité loin de leurs bases (3ème au classement "à l'extérieur" avec 4 victoires) même s'ils restent sur deux précédents échecs à Anglet et au Pontet.

Le Joueur Columérin à surveiller: Rémi Lacroix
Jeune mais déjà expérimenté, R.Lacroix a été une des principales recrues de Colomiers à l'inter saison. Formé au TFC avec lequel il a remporté la Gambardella en U19, ce solide milieu de terrain polyvalent (1,80m/74kg) a connu durant deux années le championnat de National avec Bayonne.
Arrivé à l'USC cette saison, il a inscrit deux buts et espère monter en puissance avec son équipe lors de cette fin de championnat: "Durant la première partie de saison, on a fait un très bon parcours à l'extérieur. On prend moins de points en ce moment ce qui est contradictoire avec les matchs aller. Il est difficile de dire à quoi cela tient. On ouvre deux fois le score, on se fait rejoindre, alors que le contenu de nos matchs reste intéressant. On manque de réussite actuellement.
Face à Toulon il y aura un gros enjeu. On sort d'une mauvaise série que l'on doit stopper immédiatement. On va jouer une équipe du haut de tableau, mais joueuse. J'espère que cela fera un bon match et que l'on en profitera pour montrer nos qualités" explique t-il, lui qui croit encore à la montée: "On a dix points de retard mais le championnat est encore long. On doit recoller petit à petit en profitant éventuellement des confrontations directes. Cela passe par un parcours costaud à domicile. On a un groupe fort même si on manque de maturité par rapport au passé de nos adversaires. On a largement le niveau pour rivaliser. On va faire abstraction du classement en étant plus concentrés pour ne pas prendre de buts évitables. On verra si on peut revenir. Il ne faut en aucun cas gâcher notre bon parcours en restant dans le ventre mou en n'ayant plus rien à jouer. On doit regarder vers le haut pour finir le mieux possible." (ladepeche.fr)

Franck Zingaro: "A Béziers on a retrouvé nos vertus"

Côté Toulonnais, si les quatre points glanés à Béziers ont fait du bien comptablement, la prestation dans le jeu des azur et or a contenté le coach F.Zingaro: "On a pris le match par le bon bout, on a répondu au défi physique de Béziers.
L’objectif de la soirée était donc de marquer le premier car l’autre allait s’enfoncer ensuite. C’était le jour et la nuit par rapport au match d’Uzès où on n’était pas présents dans les duels ni dans le jeu. C’était complètement différent en étant concentrés jusqu’à la fin. En étant solidaires, cela faisait longtemps qu’on n’avait pas eu ça depuis l’hiver. On a retrouvé nos vertus. Pas spécialement plus d’occasions mais avec plus d’envie automatiquement, plus de détermination devant les buts. Avec un résultat positif à la fin." (lagaseta-football.com)
H.Sbai et A.Tlemcani suspendus, JM.Kipré incertain, J.Le Goff devrait être dans le groupe pour ce match attendu par les deux adversaires.

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cete nouvelle defaite de toulon a domicile sonne le glas des espoirs de 1ere place et meme de seconde place
Toulon - Colomiers ................................1 - 3

PTS J G N P BP BC G
1. GFCO Ajaccio 67 22 13 6 3 30 18 12
2. Martigues 63 22 11 8 3 35 19 16

3. Colomiers 57 22 9 8 5 36 25 11

4. Toulon 55 22 8 9 5 29 25 4