EDF A LA TELE !!!!!!!!!!!!

TÉLÉVISION
Une défaite et un carton ! Le revers de la France face à la
Suède n’a pas affecté l’audience
réalisée par M6, diffuseur de cette
rencontre, mardi soir. La chaîne a
rassemblé 12,2 millions de téléspectateurs
pour une part
d’audience de 44,5%, soit le
deuxième meilleur score de son
histoire !
Mieux, ils étaient 13,4 millions
pour assister à la qualification à la
Pyrrhus des Bleus pour les quarts
de finale en toute fin de rencontre.
De quoi se frotter les mains.
Samedi, Espagne-France sera retransmis
sur TF1. Pour un nouveau
record ?

bienvenou a écrit:TÉLÉVISION
Une défaite et un carton ! Le revers de la France face à la
Suède n’a pas affecté l’audience
réalisée par M6, diffuseur de cette
rencontre, mardi soir. La chaîne a
rassemblé 12,2 millions de téléspectateurs
pour une part
d’audience de 44,5%, soit le
deuxième meilleur score de son
histoire !
Mieux, ils étaient 13,4 millions
pour assister à la qualification à la
Pyrrhus des Bleus pour les quarts
de finale en toute fin de rencontre.
De quoi se frotter les mains.
Samedi, Espagne-France sera retransmis
sur TF1. Pour un nouveau
record ?

De buts, et d'audiance !

domenico belli a écrit:

bienvenou a écrit:TÉLÉVISION
Une défaite et un carton ! Le revers de la France face à la
Suède n’a pas affecté l’audience
réalisée par M6, diffuseur de cette
rencontre, mardi soir. La chaîne a
rassemblé 12,2 millions de téléspectateurs
pour une part
d’audience de 44,5%, soit le
deuxième meilleur score de son
histoire !
Mieux, ils étaient 13,4 millions
pour assister à la qualification à la
Pyrrhus des Bleus pour les quarts
de finale en toute fin de rencontre.
De quoi se frotter les mains.
Samedi, Espagne-France sera retransmis
sur TF1. Pour un nouveau
record ?

De buts, et d'audiance !

de buts pour qui pour nous les francais

bienvenou a écrit:

domenico belli a écrit:

bienvenou a écrit:TÉLÉVISION
Une défaite et un carton ! Le revers de la France face à la
Suède n’a pas affecté l’audience
réalisée par M6, diffuseur de cette
rencontre, mardi soir. La chaîne a
rassemblé 12,2 millions de téléspectateurs
pour une part
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histoire !
Mieux, ils étaient 13,4 millions
pour assister à la qualification à la
Pyrrhus des Bleus pour les quarts
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Samedi, Espagne-France sera retransmis
sur TF1. Pour un nouveau
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De buts, et d'audiance !

de buts pour qui pour nous les francais

17 t au but à 16 pour nos Coqs ! Et pis c'est tout ! 20 millions de téléspectateurs à 01h00 du matin...

domenico belli a écrit:

bienvenou a écrit:

domenico belli a écrit:

bienvenou a écrit:TÉLÉVISION
Une défaite et un carton ! Le revers de la France face à la
Suède n’a pas affecté l’audience
réalisée par M6, diffuseur de cette
rencontre, mardi soir. La chaîne a
rassemblé 12,2 millions de téléspectateurs
pour une part
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histoire !
Mieux, ils étaient 13,4 millions
pour assister à la qualification à la
Pyrrhus des Bleus pour les quarts
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De quoi se frotter les mains.
Samedi, Espagne-France sera retransmis
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17 t au but à 16 pour nos Coqs ! Et pis c'est tout ! 20 millions de téléspectateurs à 01h00 du matin...

OULA
MON CHER
je te decouvre des liens de parenté avec BOUYGUES ET SARKO
je savais qu'on fond de toi se cacheait un capitaliste effrené ré

6’ Clichy-Fabregas, ça se frictionne
Fabregas, à la lutte avec Clichy, s’effondre à
l’intérieur de la surface de réparation
française. L’attaquant de la Roja réclame un
penalty. Nicola Rizzoli ne bronche pas.
19’ Xabi Alonso dans un fauteuil BUT
Iniesta, sur le côté gauche, lance idéalement
Jordi Alba arrivé à grandes enjambées. Le
latéral gauche profite de la glissade de
Debuchy pour adresser un centre au cordeau
vers Xabi Alonso. Complètement esseulé, le
milieu du Real Madrid a tout le temps pour
ajuster Lloris, d’une tête piquée.
32’ Cabaye la voyait dedans
Coup franc pour la France obtenu par
Benzema. À 28mètres, Cabaye décoche une
frappe qui file vers la lucarne droite de
Casillas. Mais le portier espagnol la sort,
d’une claquette somptueuse.
MI-TEMPS: 1-0
51’ Xabi Alonso dans les nuages
L’Espagne fait tourner le ballonmais ne
parvient pas à désarçonner l’arrière-garde
tricolore. Koscielny dégage son camp, mais le
ballon parvient jusqu’à Xabi Alonso qui prend
sa chance d’une trentaine demètres. Dans les
nuages de la Donbass Arena.
60’ Debuchy comme un avant-centre
Festival de Ribéry sur le côté droit. Il se joue
du marquage d’Arbeloa et centre rapidement
vers Debuchy. À l’affût dans la surface, le
Lillois place un coup de boule qui passe de
peu au-dessus.
62’ Lloris vigilant
Xavi voit parfaitement l’appel en profondeur
de Fabregas qui se présente seul devant
Lloris. Le capitaine français se jette
parfaitement dans les pieds du Barcelonais
et, de la main droite, annihile l’occasion
ibérique.
71’ Casillas sent bien le coup
Ribéry s’échappe sur le flanc gauche. Malgré
le retour de deux défenseurs espagnols, il
parvient à centrer. Mais Casillas s’interpose.
90+1’ Xabi Alonso tue le suspense BUT
Pedro casse les reins de Rami. Réveillère fait
une faute stupide sur le Barcelonais et
provoque un penalty. Xabi Alonso ne se pose
pas de question et prend Lloris à contre-pied
pour le but du K.-O.

L’ANALYSE d’Aurélien Montaroup*
"LeBélarus vafaire
douter les Bleus ❚ À quoi l’équipe de France doit-elle s’attendre face au Bélarus ?
C’est une nouvelle équipe avec un sélectionneur en poste depuis un an et
des résultats mitigés. Une jeune génération est en train de prendre le pouvoir,
mais elle a dumal à s’affirmer. Les Biélorusses doutent très rarement
et vont vendre chèrement leur peau.
❚ Quel est le style de cette nation ?
Elle va être patiente, procéder en contres. Elle joue au ballon et va essayer
de le ressortir proprement. Elle est très disciplinée tactiquement. Devant, il
y a Rodionov, un attaquant de poche très adroit qui a le même profil que
Gameiro. Ces joueurs ont l’expérience de ces matches, car ils évoluent soit
en Russie, soit dans l’équipe phare du pays, le BATE Borisov.
❚ Quel est son point fort? Son point faible ?
Devant, Bressan, le Brésilien naturalisé, tape très bien les coups de pied
arrêtés et s’entend parfaitement avec Rodionov. Sa faiblesse se situe derrière,
où les grands gabarits connaissent des erreurs de concentration et
peuvent se faire éliminer comme des bleus. Ils manquent de maturité. Leur
péché mignon, c’est qu’ils essaient de relancer. Un pronostic? 2-1 pour la
France. Je vois le Bélarus faire un peu douter les Bleus.
* Joueur de Caen, il a évolué trois ans au Dynamo Minsk, au Bélarus

FRANCE JAPON 0A 0 MI TEMPS
MATCH tres faible vraiment amical

Au terme d'une première période à sens unique, la France n'a pas réussi à faire sauter le verrou japonais. Les Bleus ont le jeu à leur compte, les occasions, mais ne parviennent pas à faire la différence dans le dernier geste.

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Pas la préparation idéale...
DÉFAITE Battus par le Japon, malgré
une ribambelle d’occasions,
les Bleus peuvent craindre leur voyageàMadrid

Stade de France.
Mi-temps: 0-0.
Arbitre : William Collum (ECO).
Spectateurs: 55000 environ.
But: Konno (88).
Avertissement - Japon: Hasebe (34).
France: Lloris (cap.) - Debuchy (Jallet, 46), Koscielny, Sakho, Clichy - Sissoko,
Capoue (Gonalons, 68), Matuidi (Chantôme, 46, Gomis, 75) - Ménez (Ribéry, 68),
Giroud, Benzema (Valbuena, 46).
Entraîneur : Didier Deschamps.
Japon: Kawashima - H. Sakai (Kurihara, 86), Yoshida, Konno, Nagatomo -
Hasebe (cap.) (Hosogai, 62), Endo - Kiyotake, Kagawa, K. Nakamura (Inui, 62) -
Havenaar (Takahashi, 86).
Entraîneur : Alberto Zaccheroni

Invaincus mais pas invincibles.
L’équipe de France était tellement
donnée battue d’avance face aux
Espagnols que son match nul en devient
presque une déception. Les
Français sont passés tout près de la
victoire. L’Espagne est invaincue,
mais elle n’a pas semblé invincible.
Voilà donc un réel progrès, qui se
traduit par un point et permet de rester
à hauteur de l’Espagne dans ce
groupe I. Pas sûr que les Bleus puissent
gagner en mars au Stade de France,
mais s’ils font 0-0 et sont à égalité
de points, à l’arrivée, ils pourraient finir
premiers.
Hier soir, on a peut-être assisté à la
naissance d’une équipe, dans la mesure
où ce match nul qui vaut une victoire,
n’a pas été obtenu en Finlande,
mais chez la meilleure équipe du
monde. Et dans des conditions délicates.
Il faut souhaiter que le caractère
collectif, l’apport de Valbuena dans le
jeu, qui a libéré Ribéry, soient pérennisés.
On ne saura jamais ce que serait devenue
cette rencontre si l’arbitre allemand,
Félix Brych, bien enfoncé dans
l’erreur par l’un de ses assistants,
Mark Borsch ou Stefan Lupp, n’avait
pas refusé un but égalisateur aux
Français, dix minutes après
l’ouverture du score par les Espagnols.
On a beau dire que c’est difficile,
que l’erreur est humaine, on comprend
mal comment un arbitre de ce
niveau n’a pas pu se rendre compte
que Karim Benzema, à la faveur d’un
coup franc excentré, tiré par Cabaye,
avait remis le ballon très légèrement
en retrait vers le poteau opposé, ce
qui signifie que Menez ne pouvait pas
être hors-jeu.
C’est déjà très difficile contre
l’Espagne, mais si, en plus, une équipe
qui égalise, se voit pénalisée par
une faute d ’ a r b i t r a g e , c ’ e s t
l’Himalaya...
Le mérite des Bleus aura alors été
de ne pas se déconcentrer. Mais c’est
avant tout à Hugo Lloris qu’ils allaient
devoir de ne pas sombrer immédiatement.
Car, en repoussant un penalty
de Fabregas, pour une faute
(bien réelle, pas d’erreur d’arbitrage
là), de Koscielny sur Pedro, puis en
s’opposant coup sur coup à Pedro et
Fabregas, le gardien remplaçant de
Tottenham permettait à la France
d’oser espérer et à la rencontre de ne
pas être finie à la pause.
Ça aurait été vraiment dommage,
car la deuxième période, du point de
vue français, évidemment, a été bien
plus passionnante et extrêmement encourageante.
À courir derrière le score,
les Français ont réussi à se sortir
de la danse hypnotique dans laquelle
les Espagnols les avaient entraînés en
première période.
Sans occase, mais avec un but
d’avance, suite à une double erreur
de placement sur Sergio Ramos.
Loin de s’écrouler, les partenaires
de Lloris ont su se sublimer après les
entrées de Valbuena et Sissoko. Un
coaching importantissime dans cette
rencontre, dès lors que le Toulousain,
qui a raté deux balles de 1-1, sur des
services de Benzema et Ribéry, s’est
retrouvé à l’origine du but égalisateur,
finalement signé Giroud, le dernier
entrant, à l’ultime minute du
temps additionnel.
Oui, vraiment dommage que ce ne
fût pas là le but de la victoire...

BRAVO J "AVAIS LA CHAIR DE POULE A 23 H

Rami sera titulaire contre le Brésil. L’entraînement des Bleus ne débutera qu’à 16h30 (21h30, heure française) mais on y voit déjà plus clair concernant le onze que devrait aligner Didier Deschamps dimanche face au Brésil. Adil Rami sera titulaire en défense centrale. Le joueur de Valence sera associé au Parisien Mamadou Sakho.

Autres changements apporté par le sélectionneur en défense : J.Mathieu et M.Debuchy remplaceraient Trémoulinas et Sagna sur les ailes par rapport à l'équipe alignée en Uruguay (0-1). L’équipe de France pourrait évoluer avec un milieu à trois avec Cabaye et Matuidi. Le Stéphanois Guilavogui tiendrait la corde pour évoluer au poste de sentinelle devant la défense. La dernière séance d’entraînement devrait permettre d’y voir plus clair

La France craque face au Brésil

Dimanche soir, l'équipe de France s'est inclinée en amical, 3 buts à 0, à Porto Alegre face au Brésil. Les buts brésiliens ont été inscrits par Oscar (54), Hernanes (84) et Lucas (90+3sp). Titulaire, Mathieu Valbuena a été remplacé à la 70ème minute par Lacazette et Steve Mandanda n'est pas entré en jeu

La France bat l'Australie 6 à 0 en match amical
Le 11 octobre à 22h37 | Mis à jour il y a 8 heures
Karim Benzema. PHOTO/AFP LIONEL BONAVENTURE
L'équipe de France a connu une soirée parfaite, ce vendredi au Parc des Princes, avec une qualification pour les barrages du Mondial-2014 et un large succès en amical contre l'Australie (6-0) grâce notamment à un doublé d'Olivier Giroud et une démonstration de Franck Ribéry. La sentence est officiellement tombée 25 minutes après le coup d'envoi dans l'enceinte parisienne après la victoire de la République Tchèque à Malte 4 à 1: les Bleus sont désormais mathématiquement assurés de terminer parmi les 8 meilleurs 2e de la zone Europe et de participer à la séance de rattrapage prévue les 15 et 19 novembre.
Orgie offensive



Mais pour que la fête soit encore plus belle, les troupes de Didier Deschamps se sont offerts une orgie offensive en écrasant des Socceroos déjà qualifiés pour la phase finale de la Coupe du monde au Brésil. Un penalty très généreux transformé par Ribéry (8e), deux buts de Giroud (17e, 27e), une réalisation de Yohan Cabaye (29e), une reprise en demi-volée de Mathieu Debuchy (47e) et un but de Karim Benzema (50e, son premier depuis le 5 juin 2012) ont eu raison d'un adversaire d'un niveau très faible et plus doué pour le rugby que le football. Malgré les carences évidentes de l'Australie, cette victoire, la première par 6 buts d'écart depuis le déplacement aux Féroé le 14 octobre 2007, est toujours bon à prendre pour une équipe de France à la recherche de certitudes et va sûrement regonfler un moral au plus bas il y a tout juste un mois.
Après la grosse frayeur vécue par les Bleus au Belarus (succès 4-2 après avoir été menés deux fois au score, le 10 septembre en qualifications du Mondial-2014), le retour au Parc des Princes s'est déroulé sans accroc même si la qualité de l'adversaire oblige à relativiser la portée du résultat.
Benzema libéré
La France se frottera assurément à des nations bien plus huppées en novembre mais difficile pour elle de bouder son plaisir après les avanies connues en cette année 2013 (2 victoires, 2 nuls, 4 défaites avant la réception de l'Australie). En proie à de grosses difficultés offensives, les Bleus viennent de marquer 10 buts en 2 rencontres, ce qui devrait déjà suffire à contenter le sélectionneur avant un dernier rendez-vous pré-barrages, mardi contre la Finlande au Stade de France en clôture du groupe I des qualifications du Mondial-2014. Celui qui doit également avoir un grand sourire se nomme Giroud.
Avec ses deux buts, qui portent son total à 5 réalisations en 23 sélections, le joueur d'Arsenal, encore une fois préféré à Karim Benzema dans le onze de départ, a été le grand gagnant de la rencontre. Déjà titulaire au Belarus aux dépens du Madrilène, le Gunner n'a pas raté l'occasion de marquer les esprits. Mais le match restera aussi comme celui de la libération pour Benzema, qui a suppléé Giroud à la pause. Le joueur du Real Madrid, conspué à son entrée en jeu, a mis fin à une disette de 1222 minutes en sélection et a du coup regagné les faveurs du public, qui a scandé en choeur "Il a marqué" avant de lui réserver une belle ovation.
La France a aussi bénéficié de l'apport d'un grand Ribéry. Outre son 15e but en 77 capes, le Bavarois a montré pourquoi il était un candidat plus que naturel pour le Ballon d'Or avec 3 passes décisives et une maîtrise technique au-dessus du lot. Si on ajoute au tableau la belle prestation de Samir Nasri, titularisé pour la première fois depuis son Euro-2012 mouvementé, c'est un sans-faute qu'ont réalisé les Bleus avant de passer bientôt aux choses sérieuses.
Buts France: Ribéry (8 sur pen.), Giroud (16, 27), Cabaye (29), Debuchy (47), Benzema (51).

6 millions devant les Bleus
Franck Ribéry et les Bleus ont régalé les téléspectateurs contre l'Australie (L'Equipe)










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Les Bleus ont fait le plein de buts vendredi contre l'Australie (6-0), mais aussi le plein de téléspectateurs. Effectivement, si l'on considère la moyenne d'audience des matchs amicaux de l'équipe de France depuis mi-août 2012 (5,4 millions), le score d'hier sur TF1, 6 millions de téléspectateurs pour 25% de part d'audience, fait figure de bonne performance. On attend maintenant la rencontre contre la Finlande, qualificative cette fois, puis les redoutés barrages en novembre.

Les Bleus tiennent leur cap avec une victoire sur la Finlande
Publié le 16/10/2013 à 03:51, Mis à jour le 16/10/2013 à 07:58 | 1
mondial-2014. Eliminatoires, zone Europe. On connaît les qualifiés et les barragistes.

Deux buts en deux matchs, on n'arrête plus Benzema et les Bleus qui en sont à 13 buts en deux matchs et demi. / AFP


Vingt-sixième minute à Albacete, le tandem Xavi-Iniesta est à l’œuvre, pour un but d’Alvaro Negredo qui lève l’infinitésimale part d’incertitude dans le groupe I. Même en menant 1-0 d’entrée, sur un bijou de lucarne de Ribéry (, la France n’ira au Brésil qu’en passant par le barrage du mois de novembre.

Sur les autres terrains du Vieux continent, les résultats éloignent progressivement les Bleus d’un hypothétique statut de tête de série. Portugais et Grecs ont fait le boulot, rien n’a changé dans leur groupe, hormis la qualification historique de la Bosnie-Herzégovine: avec la Croatie, ils sont déjà trois barragistes à devancer la France au classement Fifa. Et comme la Suède, privée d’Ibrahimovic et Elmander, mène au repos devant l’Allemagne, ce sera du lourd pour la troupe de Deschamps.

On s’en doutait un peu.

La France a essayé de se mettre le public du Stade de France dans la poche, avec ce mouvement majestueux de Ribéry d’entrée. Mais, pourtant généreuse et bien dans l’esprit, elle s’est compliquée la tâche pendant un gros quart d’heure, ce dont ont profité les Finlandais pour mettre Lloris à l’ouvrage sur deux contres et rappeler qu’ils étaient allés chercher le nul en Espagne l’automne dernier.

Giroud soulage les Bleus
La fin de la première période est un peu plus séduisante, plus au crédit de Bleus qui ont beaucoup tenté et joué haut, ce qui a ouvert la porte aux contres nordiques. Au retour des vestiaires, le match demeure ouvert. Les Finlandais font mieux que résister. Les Bleus ne se mettent pas à l’abri.

Il faut attendre le dernier quart d’heure, un centre de Debuchy et une tête de Giroud qui prend peut-être le chemin du but, mais que Toivio accompagne dans les filets de son gardien d’une reprise dévissée (76), pour que les Bleus se mettent enfin à l’abri.

Dans la minute suivante, sur un autre centre de Debuchy, Rémy trouve le poteau de la tête (77). Et sur une montée rageuse d’Evra, Cabaye manque l’immanquable (83). Les Finlandais lâchent le match. Et ils encaissent. Benzema trouve les filets sur un caviar de Ribéry (87), pour inscrire le treizième but des Bleus en deux matches et demi!

Après la misère, l’abondance. Une équipe plus impliquée, un jeu en mouvement, un coaching décisif d’un Deschamps qui fêtait hier ses 45 ans, des joueurs importants de retour. L’horizon des Français s’est éclairci, les nuages se lèvent. Mais une tempête est annoncée les 15 et 19 novembre prochains.

FRANCE 3 FINLANDE 0

MT 1-0. Stade de France. 68000 spectateurs.

Arbitre: Michael Koukoulakis (Grèce) assisté de MM. Saraidaris et Karsiotis.

Temps additionnel: 5‘ (2+3).

Pour la France: Ribéry (, Toivio csc (76), Benzema (87).

FRANCE: Lloris (cap) - Debuchy, Koscielny,Abidal, Evra - Pogba, Matuidi puis Cabaye (70) - Nasri puis Rémy (70), Valbuena, Ribéry - Giroud puis Benzema (81). Sél.: Didier Deschamps.

Avertissements: Debuchy (46, charge en retard sur Hetemaj), Evra (60, charge irrégulière sur Eremenko).

FINLANDE: Mäenpää - Arkivuo, Pasanen, Halsti, Lampi - R. Eremenko - Hämälainen puis Riski (79), Ring, Tainio puis Toivio (64), (cap), Hetemaj - Pukki puis Furuholm (86). Sél.: Mixu Paatalainen.

Avertissement: Ring (72, tacle irrégulier sur Ribéry).

P. B. |
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