EDF A LA TELE !!!!!!!!!!!!

- Bleus - Avec la manière cette fois ?Les Bleus feraient un pas de géant vers l'Euro en cas de victoire en Roumanie.
Quatre jours après leur succès à Tirana, les Bleus peuvent faire un grand pas vers l'Euro en cas de succès en Roumanie, mardi (20h30). Et faire taire certaines critiques.

Certains nous reprocheront sans doute de faire les difficiles. Ils n'auront pas tout à fait tort. Mais pas tout à fait raison non plus. Alors qu'à trois journées de la fin, les Bleus continuent de siéger en tête du groupe D, forts de leur série de douze matches sans défaite, la prestation en demi-teinte livrée vendredi soir en Albanie a fait ressurgir de vieux démons. Bien sûr, l'équipe de France a gagné, et compte tenu de la faible marge dont elle dispose, elle ne fera certainement pas la fine bouche. Mais il serait temps que la somme de ses individualités débouche sur un rendement davantage en adéquation avec leur talent présumé. A Tirana, Benzema, Lloris et M'Vila ont tiré les Bleus à bout de bras, ce qui n'est pas franchement l'idée que l'on se fait d'une équipe. Nos craintes ? Que les ego qui avaient plombé la fin de l'ère Domenech prennent de nouveau le pas sur l'intérêt collectif.

Ces derniers jours, les revendications des uns (Ribéry/Malouda) et l'incapacité des autres (Nasri) à jouer vite et juste pour les autres justement, ont laissé apparaître quelques crispations. Pour la première fois de son mandat, Laurent Blanc a semblé tendu pour ne pas dire vexé par les commentaires qui ont accompagné la dernière sortie tricolore. «Rassurez-moi, on a bien gagné ?», a-t-il même demandé. Conscient que ses joueurs peuvent faire mieux dans le jeu, le sélectionneur ne veut cependant pas que l'on noircisse le tableau. D'accord, la reconstruction ne se fait pas en jour. On espérait simplement qu'à l'heure d'aborder la dernière ligne droite qui doit (ra)mener les Bleus en Ukraine et en Pologne au mois de juin prochain, le chantier aurait davantage avancé. On ne parle même pas ici de la défense qui dispose de circonstances atténuantes du fait de la suspension de Rami en Albanie, et de l'indisponibilité de Mexès, convalescent.

Face à ce constat, Blanc pourrait trancher dans le vif mardi soir contre la Roumanie. L'inauguration de la nouvelle Arena de Bucarest devrait également marquer celle d'un onze inédit marqué par les absences de Samir Nasri et Florent Malouda. S'il avait annoncé dès lundi après-midi que le style de jeu moins physique pratiqué par les joueurs de Piturca le conduirait certainement à réajuster son onze de départ, ces changements ne peuvent pas paraître tout à fait anodins. Toute la semaine, Nasri a été au coeur des polémiques, tandis que Malouda n'a pas caché (avec le sourire) qu'il préférait évoluer à gauche qu'à droite. On attend désormais de voir ce que cette équipe de France new-look a dans le ventre. En cas de succès, les Bleus feraient un pas de géant vers l'Euro 2012. S'ils pouvaient y ajouter la manière... -

Thierry Roland et Jean-Michel Larqué / AFP
Sept ans ! Voici le temps qu'il aura fallu pour que le célèbre duo Thierry Roland / Jean-Michel Larqué se reforme. Mardi, à partir de 20 h 35, les deux journalistes sportifs commenteront la rencontre opposant la Roumanie à la France. Dès 1979, les deux hommes sont associés sur Antenne 2, alors que Jean-Michel Larqué vient de mettre fin à sa carrière de joueur. En 1984, ils sont « transférés » sur TF1. En plus de commenter les matches ensemble, ils présentent également l'émission dominicale Téléfoot. La première chaîne leur permettra de devenir un tandem mythique. Ce mardi, c'est sur M6 que « Thierry et Jean-Mimi » se retrouveront.

une demi heure soporifique 0 tir 0 occase

zéro-zéro allez les bleus

bienvenou a écrit:zéro-zéro allez les bleus

Belle équipe la........................










































Roumanie

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:zéro-zéro allez les bleus

Belle équipe la........................
Roumanie

classique 9 derriere en jaune derreire qui font deux ecrans de fumées
ils sont comme d'ab nuls

mais non on a tricoté devant sur la ligne mediane avec des passes transversales et vers l'arriere

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:zéro-zéro allez les bleus

Belle équipe la........................
Roumanie

classique 9 derriere en jaune derreire qui font deux ecrans de fumées
ils sont comme d'ab nuls

mais non on a tricoté devant sur la ligne mediane avec des passes transversales et vers l'arriere

Quand vous voulez vous sortez la boite a gifle Je voudrais etre une mouche pour voir comment ca se passe dans ce groupe A mon avis ce doit être pas loin de la guerre de territoire des...........cités

pas pire que dans notre société
l'edf est à l'image

bienvenou a écrit:pas pire que dans notre société
l'edf est à l'image

Oui sans doutes Mais bon hein !!!!

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:pas pire que dans notre société
l'edf est à l'image

Oui sans doutes Mais bon hein !!!!

et vous avez pas ce phenomene en corse

bienvenou a écrit:

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:pas pire que dans notre société
l'edf est à l'image

Oui sans doutes Mais bon hein !!!!

et vous avez pas ce phenomene en corse

Actuellement chez nous non Et quand il y an a eu par le passé.... ça c'est vite réglé Le turchinu c'est donner de l''amour mais aussi des gifles quand le besoin s'en fait sentir

la defense de la patrie par tous les moyens

Vers un 4-4-2 ?
Le 05/10/2011 à 19:16

Alors que le forfait d'Eric Abidal pour le match face à l'Albanie vendredi se précise,
les Bleus pourraient évoluer en 4-4-2 au Stade de France.


Loïc Rémy (au centre) et Bafé Gomis (à droite)
ont été alignés ce mercredi en pointe de l'attaque lors de l'entraînement.
A deux jours de la réception de l'Albanie, l'hypothèse d'un forfait d'Eric Abidal a pris de l'épaisseur. Comme la veille, le défenseur de Barcelone n'a pas participé à l'entraînement collectif des Bleus, mercredi, en fin d'après-midi. Il s'est contenté d'un footing d'une demi-heure en compagnie d'un kiné, avant quelques étirements au bord du terrain Pierre-Pibarot. Manquaient également à l'appel Laurent Koscielny et Kevin Gameiro (qui a d'ores et déjà déclaré forfait pour vendredi). Les deux joueurs sont restés aux soins. Au cours de cette séance d'une heure et demie, quelques indices ont filtré sur les intentions de Laurent Blanc. Alors qu'il avait affirmé lundi que le 4-4-2 était un système « qui n'existait plus au haut niveau », le sélectionneur pourrait finalement se laisser tenter par ce schéma à en juger l'exercice devant le but effectué en première partie d'entraînement, puis l'opposition qui a suivi. Chasubles jaunes sur le dos, le duo Gomis-Rémy évoluait en pointe, épaulé sur les côtés par Nasri (à droite) et Malouda (à gauche). Les principales interrogations du jour concernent le secteur défensif. En l'absence de plus en plus probable d'Abidal, la charnière Rami-Kaboul devrait avoir les faveurs du sélectionneur. Si Evra part favori pour occuper le couloir gauche, un doute subsiste sur l'identité du joueur qui évoluera à droite. En balance avec Anthony Réveillère, Mathieu Debuchy, aucune sélection au compteur, a travaillé avec les trois autres titulaires probables, avant d'évoluer aux côtés de Rami pendant l'opposition. Au milieu, Yann M'Vila devrait débuter. Cabaye, positionné dans un rôle d'électron libre, et Alou Diarra sont en concurrence pour l'épauler.

Euro2012: l'Albanie, 1er obstacle des Bleus avant la Bosnie

Publié le vendredi 07 octobre 2011 à 08H05
PARIS - L'équipe de France de football, affaiblie par une hécatombe de forfaits et de blessures, tentera ce vendredi face à l'Albanie de franchir un premier obstacle, obligatoire mais pas ultime, sur la route du Championnat d'Europe des nations.

En cas de succès au Stade de France, les joueurs de Laurent Blanc aborderaient en position de force leur dernier match de qualification contre la Bosnie, pour une "finale" du groupe D.

Dans l'hypothèse d'une victoire probable à domicile de la Bosnie vendredi face au Luxembourg, la France se présenterait une nouvelle fois sur la pelouse dionysienne avec un point d'avance sur son rival, qui serait alors dans l'obligation de gagner pour éviter les barrages.

Mais les Bleus n'abordent pas ces deux rencontres dans les meilleures conditions en raison des défections, inédites par leur ampleur, qui ont émaillé sa préparation.

Déjà privé de longue date du défenseur central Philippe Mexès et du milieu de terrain Yoann Gourcuff, le sélectionneur a assisté impuissant en début de semaine à une avalanche de forfaits, concernant notamment certains joueurs clés de son groupe.

Tour à tour, Bacary Sagna (Arsenal), Karim Benzema (Real Madrid), Franck Ribéry (Bayern Munich) et Blaise Matuidi (PSG), tous blessés dans leurs championnats respectifs, ont quitté prématurément le stage de préparation et regagné leurs pénates.

Kevin Gameiro, un autre Parisien, est resté au centre d'entraînement de Clairefontaine, mais ne sera pas disponible vendredi en raison d'une inflammation à un genou.

Touché à la cuisse droite, le défenseur de Barcelone Eric Abidal, un des piliers de l'équipe, était très incertain pour le match contre l'Albanie et Laurent Blanc a annoncé jeudi son forfait.

"C'est trop juste pour Abidal. On s'y attendait. Notre staff essaye de faire des miracles", a expliqué lors d'une conférence de presse le sélectionneur des Bleus, qui espère le récupérer contre la Bosnie.

Un autre défenseur central, Laurent Koscielny (Arsenal), soigne une entorse à la cheville droite.

RETOUR AU 4-4-2 ?

La séance d'entraînement de mercredi, qui a donné lieu à un petit match à huit contre huit, a fourni quelques indices quant au système que compte mettre en place Laurent Blanc et quant aux hommes qui y contribueront.

En l'absence de Karim Benzema, principale arme offensive des Bleus et qui a la plupart du temps évolué seul en pointe, le sélectionneur pourrait opter pour un 4-4-2 avec le Marseillais Loïc Rémy et le Lyonnais Bafétimbi Gomis devant.

Laurent Blanc avait laissé entendre en début de semaine qu'il n'excluait pas ce schéma, qu'il a déjà adopté à trois reprises avec un succès mitigé (deux défaites, une victoire).

Dans la mise en place de mercredi, Samir Nasri était placé couloir droit et Florent Malouda côté gauche. Yann M'Vila et Yohan Cabaye occupaient les postes de milieux défensifs.

En défense, Adil Rami et Younès Kaboul devraient être alignés dans l'axe avec Patrice Evra à gauche, tandis que Mathieu Debuchy et Anthony Réveillère sont en concurrence à droite, Hugo Lloris étant indiscutable dans les buts.

Pour Samir Nasri, les multiples absences pourraient constituer un mal pour un bien. "C'est dans l'adversité qu'on se construit. Il ne faut pas douter. Aux joueurs appelés de saisir leur chance", juge l'attaquant de Manchester City.

La France peut se consoler de savoir que son adversaire du jour n'est pas non plus très bien loti. L'Albanie, d'ores et déjà éliminée, a été humiliée début septembre au Luxembourg (1-2) où elle a terminé le match à neuf après l'expulsion d'Ansi Agolli et d'Erjon Bogdani, qui ne pourront jouer vendredi.

L'équipe sera aussi privée de son meneur de jeu, Altin Lala, et de Debatik Curri, un milieu défensif.

Ménez préféré à Valbuena
11/10/2011 à 20:15

Alors qu'il avait brouillé les pistes, lundi soir, Laurent Blanc a bien opté pour un système en 4-3-3 contre la Bosnie. Jérémy Ménez est titulaire. Pas Valbuena.


Ménez évoluera ce mardi aux côtés de Nasri.
Il s'agissait bien d'un coup de bluff. Contrairement à ce que laissait suggérer la dernière séance d'entraînement à huis clos, lundi soir, les Bleus évolueront bien en 4-3-3 contre la Bosnie (21h00). Sans surprise, Eric Abidal réintègre le onze de départ, après avoir été contraint de déclarer forfait contre l'Albanie, en raison d'une blessure aux ischio-jambiers. Le Barcelonais, qui a pris part aux deux derniers entraînements collectifs sans gêne apparente, sera associé à Adil Rami en charnière centrale. Autres bonnes nouvelles pour Laurent Blanc : Patrice Evra et Yohan Cabaye, touchés contre Cana et ses équipiers, seront également en mesure de tenir leur place. La seule surprise concoctée par le sélectionneur concerne le poste d'ailier droit. Alors que l'on attendait Mathieu Valbuena, le technicien a finalement décidé de titulariser Jérémy Ménez, dont il louait, en début de rassemblement, les talents de dribbleur. Le Parisien aura pour mission de soutenir Loïc Rémy, positionné seul en pointe, tandis que Florent Malouda évoluera, lui, côté gauche. Après avoir joué en position excentrée contre les Albanais, Samir Nasri retrouve de son côté un poste axial aux côtés de Cabaye, mais aussi de M'Vila. Comme l'avait annoncé Laurent Blanc, lundi, Hugo Lloris portera pour la quatrième fois de sa carrière le brassard de capitaine. - E. T., au Stade de France

France : Lloris (cap.), Réveillère, Rami, Abidal, Evra, M'Vila, Cabaye, Nasri, Ménez, Malouda, Rémy. Bosnie-Herzégovine : Hasagic, Mujdza, Spahic (cap.), Pandza, Papac, Pjanic, Rahimic, Misimovic, Medunjanin, Lulic, Dzeko.

LESMATCHESAMICAUX
●● Demain:
France - Belgique ......................


- Féminines:
France - Uruguay
.........................à Pointe-à-Pitre

Sports : Football, Auto-Moto, Tennis, Rugby...
Foot - Bleus
Avec Martin et Rémy 14/11/2011 à 21:35

Contre la Belgique, mardi, Laurent Blanc devrait procéder à 6 changements par rapport à l'équipe alignée face aux USA. Yann M'Vila est incertain.

Marvin Martin et Loïc Rémy à Clairefontaine. Laurent Blanc les fera débuter tous les deux face à la Belgique. (EQ)
Les intentions de Laurent Blanc étaient connues. Elles ont été confirmées par la dernière séance d'entraînement des Bleus au Stade de France. Comme on pouvait s'y attendre, l'équipe de France se présentera contre la Belgique avec un onze de départ largement remanié par rapport à celui qui était aligné vendredi soir contre les Etats-Unis ( 1-0 ). Si l'on se fie à la mise en place tactique et l'opposition dix contre dix livrées lundi soir, le sélectionneur devrait procéder à au moins six changements. La seule incertitude concerne la présence ou non de Yann M'vila. Après quelques tours de terrain en compagnie de ses équipiers, le milieu de terrain rennais s'est entraîné en marge du groupe.

Deuxième test pour Sakho
Les changements apportés par le technicien devraient toucher toutes les lignes tricolores à l'exception du poste de gardien où Lloris fait figure de titulaire indiscutable. En défense, exit Mathieu Debuchy, Jérémy Mathieu et Laurent Koscielny. Les trois joueurs devraient respectivement laisser leur place à Anthony Réveillère, Eric Abidal et Mamadou Sakho. Au sujet du défenseur parisien qui sera associé à Adil Rami en charnière centrale, Blanc avait affirmé un peu plus tôt qu'il « montait en puissance » après un début de saison plombé par une blessure à une cuisse. « Il est en train de redevenir le Mamadou qu'on connaissait la saison dernière. » Sous-entendu : pas celui qui s'était manqué lors de sa première titularisation en Biélorussie au mois de juin ? « Il faut analyser pourquoi il a eu un peu de mal , a souligné le technicien. C'est un joueur qui avait fait une saison quasi complète avec le Paris-SG. Ce n'était pas la meilleure période pour affirmer ses intentions en sélection. Et puis, notre entame de match et notre collectif ne l'a pas aidé... »

Laurent Blanc attend beaucoup de Marvin Martin «sur 90 minutes»
Au milieu, Yohan Cabaye, rétabli de sa blessure à l'aine, sera lui aussi aligné d'entrée de jeu au même titre que Marvin Martin, dont Laurent Blanc attend beaucoup « sur 90 minutes ». Reste à savoir qui évoluera à leurs côtés à la récupération : M'vila ou Alou Diarra ? Moins d'interrogations en attaque où Franck Ribéry devrait conserver la confiance du sélectionneur sur l'aile gauche en soutien de Karim Benzema. Alors qu'il s'entraîne normalement depuis samedi après avoir été handicapé par grosse béquille à une cuisse, Florent Malouda devrait lui débuter sur le banc au profit de Loïc Rémy. Le Marseillais, buteur contre les USA, a marqué des points auprès du sélectionneur. A confirmer dès mardi soir. - E. T., au Stade de France

Le onze probable
Lloris - Réveillère, Rami, Sakho, Abidal - Cabaye, M'Vila (ou Diarra), Martin - Rémy, Benzema, Ribéry

16/11/2011 à 04:03

Quatre jours après avoir battu les Etats-Unis (1-0), les Bleus ont été tenus en échec par la Belgique (0-0) au terme d'un match pas très emballant.


Marvin Martin tente en vain de déborder Moussa Dembele.
A peine mieux d'un point du vue du jeu. Pire si l'on ne tient compte que du résultat... Quatre jours après une prestation bien terne contre les Etats-Unis (1-0) , les Bleus n'ont pas montré beaucoup plus de choses contre la Belgique ( 0-0 ), mardi soir au Stade de France. Bien sûr, leur série d'invincibilité s'étire désormais à dix-sept matches, ce qui dénote d'une certaine compétitivité. Mais à sept mois de l'Euro, le projet de jeu de Laurent Blanc n'a toujours pas connu d'avancées significatives. Ses troupes ont même eu besoin de deux arrêts coup sur coup d'Hugo Lloris devant Mirallas (74e) pour ne pas subitement régresser.



Le débat sur le jeu des Bleus a toujours existé et existera toujours, paraît-il. On ne pourra pas accuser les joueurs de Laurent Blanc de ne pas l'alimenter. Quel que soit le système ou les joueurs utilisés, l'équipe de France apparaît toujours comme une équipe relativement solide, mais encore incapable de traduire ses intentions offensives. A l'exception d'une frappe lointaine de Cabaye (20e) et d'une percée de Ribéry conclue par une frappe repoussée par Courtois (28e), les Bleus ne nous ont pas donné beaucoup l'occasion de sortir les mains de nos poches en première période. Le fait le plus marquant ? La sortie sur civière de Yann M'Vila touché aux cervicales après être mal retombé dans un duel aérien avec Hazard (38e). Face au pressing exercé par les protégés de Georges Leekens et leur engagement parfois à l'excès, les Bleus ont une nouvelle fois buté contre un mur.

Rémy et Martin n'ont pas brillé
Ces difficultés récurrentes ont donné un sens aux paroles prononcées la veille par le sélectionneur. Décisifs dès leur entrée en jeu contre les USA, Loïc Rémy et Marvin devaient prouver qu'ils pouvaient également peser en étant alignés d'entrée. De ce point de vue, les promesses n'ont pas été tenues ni compensées par un Franck Ribéry bien plus en jambes que vendredi dernier, malgré tout. Même s'il y a eu un très léger sursaut en début de seconde période en témoignent les trois opportunités que se sont procurées Gonalons (48e), Cabaye (58e) et Benzema (71e), le chantier tricolore est toujours à l'arrêt. D'ici la liste des 23, il ne reste déjà plus qu'un test - et quel test : face à l'Allemagne le 29 février - pour se jauger. Et se bonifier...