AC ARLES AVIGNON //LIGUE 2 / CLUB ET STADE

MTNîmes0-0Arles-Avignon

Avec cette 5ème défaite consécutive en championnat, l'ACA passe 18ème et est donc reléguable.

Que se passe t"il donc

CORSICABREIZH a écrit:Que se passe t"il donc

c'est en interne qu'il y des incohernces surement

ce club est monté trop vite cfa2 l1 et là il le paie
et arles avec avignon ca peut pas aller 2 deaprtement s distincts

6 défaites consécutives , toutes compétitions confondues, sera-t-il celle de trop pour Thierry Laurey? Hier vendredi, Arles-Avignon a encore perdu, du côté de Nîmes, sur un score sans appel (4-1). Désormais, les Provençaux sont relégables alors que Niort et le GFC Ajaccio comptent respectivement un et deux matches de retard.

La Provence ce samedi, cette mauvaise passe pourrait être fatale à l'entraîneur arlésien. Ainsi, c'est Noël Tosi, l'entraîneur-adjoint, qui a pris les commandes de l'entraînement ce matin à 7 heures. Et si, pour l'heure, le président Salerno a refusé de confirmer le départ de coach Laurey, un nouveau staff devrait être présenté dès lundi

Le Havre et Arles-Avignon ont par ailleurs été balayés à domicile par Clermont (3-1) et Laval (3-0).

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Le Havre et Arles humiliés à la maison

Si en remerciant Thierry Laurey, Marcel Salerno escomptait un électrochoc, force est de constater que le dirigeant arlésien s'est, pour l'heure, trompé. Humiliés par Laval (0-3) au Parc des Sports, les hommes de Pierre Mosca, qui n'ont plus signé la moindre victoire depuis sept matches, sont plus que jamais reléguables.

Arles-Avignon: Salerno vers la démission ?
Rien ne va plus à Arles-Avignon où, d'après une source proche du club, Marcel Salerno serait sur le départ. Le président d'Arles-Avignon, qui a récemment écarté l'entraîneur Thierry Laurey pour le remplacer par Pierre Mosca, serait lassé de son quotidien et souhaiterait prendre du recul après trois années de présidence. L'homme d'affaires montpelliérain aurait annoncé la nouvelle à ses joueurs ce mardi matin et même donné le nom de son successeur. Si tel était le cas, il laisserait l'ACA en position de relégable...

Arles-Avignon: Salerno annonce sa démission
Rien ne va plus à Arles-Avignon où, d'après le site de la Provence, Marcel Salerno a confirmé sa démission. Le président d'Arles-Avignon, qui a récemment écarté l'entraîneur Thierry Laurey pour le remplacer par Pierre Mosca, était lassé de son quotidien et souhaiterait désormais prendre du recul après trois années de présidence. "J'étais le dernier fusible, je me suis fait sauter", a dit Marcel Salerno à nos confrères, lors d'un entretien qui sera publié mercredi. L'homme d'affaires montpelliérain a annoncé la nouvelle à ses joueurs ce mardi matin, lors d'un conseil d'administration extraordinaire, et même donné le nom de son successeur: Bernard Chaussegros, président du groupe Euro Media. Salerno laisse ainsi l'ACA en position de relégable, même s'il garde 70% des actions du club provençal.

L'ACA doit devenir le club des Avignonnais et des Vauclusiens" Publié le mardi 13 novembre 2012 à 21H15


Bernard Chaussegros, le nouveau président de l'AC Arles-Avignon depuis cet après-midi veut que le club retrouve une crédibilité pour donner une belle image d'Avignon et du Vaucluse. "Ce club doit devenir celui des Avignonnais et des Vauclusiens. Ensemble nous allons bâtir un projet... pour que l'ACA devienne une entité."

Le président Marcel Salerno a démissionné dans la journée.

LIGUE 2 ARLES-AVIGNON
Marcel Salerno quitte
la présidence de l’ACA

COUPE DE FRANCE 7 EME TOUR EN MEDITERRANEE
Samedi 17 novembre 2012 - 14H30 Roch S.Genest A.C Arles Avignon
ca devrait passer contre une ph

Alain Arlaten
How Chaussegros !!!!
L'AC Arles !!!
Ou si tu préfères en phonétique ça donne ça:
Là c'est Arles !!!!
C'est 100 ans d'existence dont 97 sans Avignon
Alors avant de t'accaparer le club comme étant un club Vauclusien révise ta géographie et essaie de faire en sorte que les Arlésiens se reconnaissent dans ce club sinon tu va faire comme Salerno tu vas couler !!!!!


L'ACA doit devenir le club des Avignonnais et des Vauclusiens"
www.laprovence.com
Bernard Chaussegros, le nouveau président de l'AC Arles-Avignon depuis cet après-midi veut que le club retrouve une crédibilité pour donner une belle image d'Avignon et du Vaucluse. "Ce club doit devenir celui des Avignonnais et des Vauclusiens. Ensemble nous allons bâtir un projet... pour que l'ACA...

Mi-temps Roche st genest 0 - 0 Arles-Avignon

Roch S.Genest (PH ) A.C Arles Avignon (L2) 0 A 1
difficile mais ca passe

8ème tour de la coupe de france EN MEDITERRANEE
match pendant le week end du vendredi 7 decembre ,samedi 8 et dimanche 9 decembre 2012

Limonest FC (DH) - Arles-Avignon AC (L2)

Le fiasco Salerno
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ECHEC. 30 mois à la tête du club ont eu raison de la ténacité d’un président déçu qui prefère se retirer.
Malgré son amour du football et son portefeuille généreux, le président Salerno n’a jamais été en mesure de réussir sa greffe montpelliéraine dans la Cité des Papes. Les sept revers d’affilée et une nouvelle position de relégable ont eu raison du “papy” de 75 ans qui a décidé de ne plus faire de résistance.


“Si le responsable des mauvais résultats, c’est moi, je suis prêt à remettre les clés à mon éventuel successeur.” Cette phrase prononcée par Marcel Salerno au lendemain de l’échec face à Caen (0-2, le 2 novembre dernier), a pris toute sa résonnance depuis que le trousseau vient d’être confié à l’un des actionnaires influents du club provençal..

De fait, après trente mois à la tête de l’ACA, faute de cap avoué et de lignes directrices précises, entouré de conseilleurs plus ou moins inspirés, trahi par les résultats sportifs et s’en remettant à la bonne méthode de l’éviction d’entraîneurs (Estevan, Hadzibegic puis récemment Laurey) , l’actionnaire (toujours) principal du club jette l’éponge. Il a décidé, lors d’un conseil d’administration ordinaire, ce mardi 13 novembre, de passer le relais à Bernard Chaussegros, 48 ans, Pertuisien d’origine et président du groupe Euro Media France, leader sur le marché des prestations audiovisuelles.

“Jamais je ne retravaillerai avec un président comme lui”
Le futur ex-président de l’ACA qui se voulait une âme de constructeur- il a fait ériger un siège flambant neuf à côté du Parc des Sports qu’il a financé sur ses propres deniers, à hauteur d’un million d’euros, ndlr- a vécu un nouveau mariage contrarié dans le milieu footballistique.

Cela, 15 ans après une première expérience -déjà- malheureuse à Cannes qui inspira, un jour, à Bernard Casoni, l’un des entraîneurs cannois de l’époque, cette réflexion acerbe : “Jamais, je ne retravaillerai avec un président comme lui”.

“En affaire, on maîtrise mais pas en football”
Homme d’affaires avisé et omniprésent dans le monde de la restauration et, jadis de la nuit, dans la région de Montpellier -il dirigea le plus important night-club d’Europe à la Grande-Motte dans les années 90-, celui qui se flatte d’être l’ami de Nicollin, Courbis ou de Frèche a dépensé des millions d’euros... Sans que le ballon ne tourne rond. Dernière exemple en date : l’ACA où il aura injecté plus de trois millions. En pure perte.

Preuve que ce dur à cuire en affaires n’a jamais réussi à tanner le cuir és-football. Ni réellement compris les subtilités d’un sport qu’il aime sincèrement. Avouant, encore récemment, comme un aveu d’impuissance : “En affaire, on maîtrise mais pas en football où je ne peux rien faire des tribunes.”

Alors, faute d’un retour sur investissement, il a décidé d’écourter le temps additionnel. Histoire d’éviter la prolongation. Reste, à son successeur, Bernard Chaussegros de gagner dans le money-time. Il en va de l’avenir du football professionnel dans la cité des Papes.

LE BILAN SALERNO
Arrivé à la tête du club provençal le 1 er juin 2010, Marcel Salerno, en deux saisons et demi, présente un bilan sportif catastrophique. Emaillé d’un parcours cauchemardesque en L1, d’un maintien in extremis, l’an passé, en L2 et d’une position de relégable, au 13 novembre, 2012, à l’heure où il se retire de la présidence.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. 98 matchs officiels (toutes compétitions confondues) : 19 victoires ; 32 nuls et 47 défaites. Soit un succès tous les 5 matchs et une défaite toutes les deux rencontres.

CHAUVIN: " je ne regrette rien "
Le président
de l’association AC Arles-Avignon évoque avec son franc-parler
les derniers rebondissements vécus par la SASP

Le départ de Marcel Sa- lerno et son remplace- ment par Bernard Chaus-
segros à la présidence de la sec- tion professionnelle de l’ACA, la promotion de Pierre Mosca, en charge du centre de forma- tion à Arles, sur le banc de l’équipe de Ligue 2 à Avignon après le limogeage de Thierry Laurey... Patrick Chauvin, pré- sident de l’association, livre son sentiment sur les soubre- sauts qui ont encore agité le club ces dernières semaines. Sans langue de bois ni la crain- te d’en froisser certains.
❚ Quel regard portez-vous sur la mise en retrait de Marcel Sa- lerno ?
Pour faire face aux difficultés de la gestion du club au quoti- dien, M. Salerno souhaitait qu’un investisseur le rejoigne pour entrer a minima à sa hau- teur dans l’actionnariat. Il vou- lait ainsi pouvoir vivre sa pas- sion sans avoir à assumer un rô- le qui le stressait. Cette démar- che, il l’avait même envisagée dès l’intersaison. Personnelle- ment, je vois plutôt d’un bon œil l’arrivée de M. Chausse- gros : c’est quelqu’un qui a en- vie, qui y met les moyens et qui veut redorer l’image du club.
Ça n’enlève pas les mérites que nous devons reconnaître à Mar- cel Salerno, qui a toujours été exemplaire envers l’association.
❚ Marcel Salerno a été beau- coup critiqué. Faites-vous par- tie de ses défenseurs ?
Quand on était dans la merde, on m’a envoyé le chercher. Il m’a fallu le convaincre pour qu’il vienne nous sauver. Il a toujours tenu ses engage- ments. Ses deux années de pré- sidence, ce sont 280 000 et 340 000 ¤ d’aide financière à l’association. Vous en connais- sez beaucoup qui auraient fait ça ? Comment pourrais-je être contre lui ? Les Arlésiens de- vraient avoir envie de l’embrasser ! Alors, qu’il ne sa- che pas gérer la tenue du club, c’est vrai. Et je lui ai toujours dit. On était clairs là-dessus tous les deux. S’il m’a demandé de trouver un nouvel investis- seur, c’est qu’il voyait bien que c’était trop compliqué pour lui. M. Salerno, c’est un passionné, qui a des moyens, qui marche à l’affectif et dont beaucoup es- saient de profiter par ce biais.
❚ N’a-t-il pas trop concentré le pouvoir, en oubliant de déléguer ?
D’abord, il défend son investis- sement personnel en argent ! Et puis le football professionnel est un milieu où il est difficile de faire confiance. C’est d’ailleurs pour ça que je n’ai pas voulu y aller moi-même. Je n’admets pas qu’on ne com- prenne pas que M. Salerno a fait beaucoup de bien à l’association. Avec les pros, c’est vrai, il a manqué de cohé- rence. En changeant autant de fois d’entraîneur, il n’avait pas raison. Sur tout le reste, il est inattaquable. Malgré les ami- tiés que j’ai pu perdre depuis qu’il est au club, j’ai toujours re- gardé l’intérêt général de l’association en travaillant avec lui. Et je ne regrette rien. Sauf peut-être le pataquès des dernières semaines...
❚ Pour vous, M. Chaussegros est-il l’homme de la situation ? Je ne le connais pas encore as- sez pour porter un jugement. En tout cas, c’est un homme très accessible. Je n’ai qu’à me féliciter des relations que j’entretiens avec lui jusqu’ici. Moi j’ai un raisonnement tout simple, je me dis : «ce monsieur, il ne veut pas connaître l’échec, il a mis son argent et il ne veut pas le per-dre. » Comme, en plus, il est performant en affaires, je pen- se qu’on est monté dans le bon wagon.
❚ Ne regrettez-vous pas que Pierre Mosca ait dû prendre ses distances avec le centre de for- mation pour entraîner les pros ? J’ai donné mon accord. Et Pier- re Mosca reste le directeur tech- nique de l’association. Il conti- nue de venir à Arles superviser les équipes et présider les réu- nions avec les éducateurs. De toute façon, au club actuelle- ment, il était le seul apte à assu- rer cet intérim. C’est un vrai passionné avec de vraies va- leurs.
❚ Ces valeurs, justement, pen- sez-vous qu’il va pouvoir s’appuyer dessus avec les pros ? J’espère qu’il ne va pas se dé- courager

"Unmatchsympa, sans plus"
LIGUE2 La parole auxsupporters des clubs d’Istres et Arles-Avignon, qui s’affrontent ce soir

La différence entre les belles saisons et les
années exceptionnelles viennent surtout
de ces sommes de détails qui changent
tout: les blessures, la réussite.
Et de ce côté-là, les Istréens ont déjà montré
qu’ils savaient ce qu’arracher un résultat voulait
dire... Ils l’ont démontré face à Niort (Tardieu,
89) ou plus récemment lors de la dernière
journée face au Mans à l’image du duo Fettouhi,
Yahia-Chrif décisif (86) après son entrée
en jeu. Des points qui compteront àcondition
de maintenir la cadence. Et quoi de
mieux qu’une équipe de l’ACA en grandes difficultés
(6 défaites consécutives en championnat)
pour asseoir un peu plus sa place dans le
haut de tableau ? La perspective est alléchante,
mais coach Pasqualetti se montre prudent.
"Nous allons essayer de gagner face à une équipe
qui n’est peut-être pas au mieux, mais qui
reste une belle équipe de football. Il n’y a qu’à
voir les noms qui la composent. Il ne faut pas
oublier également leur bon début de saison. Il
ne faut pas penser que c’est une équipe résignée
qui va arriver, nous allons surtout essayer de
ne pas la réveiller..."
Une rencontre face au Mans qu fut également
marquée par le coup de colère de
l’entraîneur istréen après les sifflets entendus
en tribunes. De quoi attendre un soutien plus
marqué ce soir face l’ACA ? "Je n’attends rien.
Je fais juste part d’un ressenti. Comme je leur ai
dit, il n’y a peut-être pas 20 spectateurs, mais
150 supporters qui sont là, qui méritent le respect.
Mais je leur demande également que
lorsqu’ils entendent des sifflets, j’aimerais que
nos supporters houspillent ces gens-là, leur fassent
comprendre que nous ne sommes pas le FC
Barcelone ou le Real Madrid. Nous essayons
modestement, avec nos qualités et nos moyens,
de pratiquer un football qui n’est pas inintéressant
car nous sommes reconnus aujourd’hui
dans la France entière, sauf ici. C’est ce que je
regrette. Après, si le public a envie d’être derrière
nous, il viendra. Mais jusqu’à présent, nous
n’avons pas attendu après lui. Mais ce serait
évidemment une bonne surprise."
"Un autre match de coupe de France"
Après avoir glissé sans problème de l’axe au
couloir droit face au Mans, Joris Sainati se
montre ambitieux face au voisin acéiste :
"Nous allons aborder un second match de coupe
de France comme nous le disait le coach. A
nous de faire très attention. Il faut que nous
confirmons cette victoire face au Mans. Il ne
faut pas s’arrêter là. Il y a de bons matches qui
arrivent, seulement après, nous pourrons tirer
un bilan. Maintenant, nous savons qu’il y a ce
podium, voire cette première place qui peut
nous tendre les bras. Tout cela, ce n’est que du
bonus. Nous verrons après le match." Et ce
n’est pas ce manque de passion qui entoure ce
rendez-vous qui influe la donne: "Cela reste
un match particulier. Après, qu’est-ce qui fait
qu’un derby a de la saveur? Ce sont les ingrédients
que l’on va mettre, note Pasqualetti.
C’est quoi ? Tout d’abord que ce ne soit pas un
match de voyous, et de ce côté-là, j’en ai la certitude.
Ensuite ? C’est tout ce qu’il peut y avoir
autour, l’ambiance, le côté festif. Après c’est certain
que lorsque l’on joue devant 40 000 personnes
ce n’est pas comme si on jouait devant
2000. Mais cela reste un derby. Et si les 2000,
2500 voire 3000 supporters, ce qui nous ferait
plaisir, arrivent avec cette envie de mettre de
l’animation et d’encourager cette petite équipe
d’Istres, nous en serons les premiers ravis."
Cette équipe le mérite assurément !

ASSEMBLÉEGÉNÉRALE
● L’association ACA dresse le
bilan. L’assemblée générale de
l’association AC Arles-Avignon
aura lieu le vendredi 7 décembre
à 18h30, au siège du club,
avenue Ferdinand-de-Lesseps,
à Arles. À l’ordre du jour : bilans
sportif, moral et financier,
renouvellement d’un quart des
membres du conseil
d’administration ainsi que les
questions diverses.
➔ Renseignements004 90 96 11 85.