MAMADOU SAKHO

Oui mais bon ils auraient pu le garder, il a été formé, né à Paris tout ça...

Tommy Allez l'O.M a écrit:Oui mais bon ils auraient pu le garder, il a été formé, né à Paris tout ça...

CA c'est des théories
les qataris
ils s'en battent les cacahuetes de ca !!!

C'est dommage lol il représentait l'identité de Paris et ses banlieues..

bofff les banlieues pour ce que  ca represente

Ca peut représenter l'espoir pour les jeunes de s'en sortir à travers le foot s'ils ont des talents..

Tommy Allez l'O.M a écrit:Ca peut représenter l'espoir pour les jeunes de s'en sortir à travers le foot s'ils ont des talents..

ils le savent ca

s'ils sont bons au foot les recruteurs les regardent enormement de club de cfa ou cfa2en region parisienne

Les supporters remercient Sakho








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Dans une lettre ouverte, publiée sur le site Pariskop.fr, les supporters parisiens ont tenu à remercier Mamadou Sakho pour ses onze années passées au Paris Saint-Germain (2002-2007 au centre de formation puis professionnel de 2007 à 2013). En instance de départ à Liverpool, ils ont salué l'«enfant» qui quitte «le cocon familial» avant de lui souhaiter «bonne chance Outre-Manche». Au final, le défenseur de 23 ans quitte le club de la capitale au terme de 201 matches officiels disputés pour sept buts, 22 cartons jaunes et 4 cartons rouges.

Sakho a «atteint tous ses objectifs» avec Paris








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Au lendemain de l'officalisation de son transfert à Liverpool, Mamadou Sakho a tenu à remercier mardi les supporters parisiens pour leurs nombreux messages de sympathie. Sur son site officiel, le défenseur formé au PSG, nommé capitaine à l'âge de seulement 17 ans, a aussi justifié son choix de carrière. «J’ai atteint tous les objectifs que je m’étais fixés avec mon club de coeur et je suis très fier d’avoir partagé tous ces bons moments avec vous, a-t-il indiqué. C’est une nouvelle aventure qui s’offre à moi (...). Quoi qu'il arrive, le sang de Paris coulera toujours dans mes veines...»

PSG: Gameiro ne comprend pas
Lors du mercato estival, le PSG a prêté pour un an Clément Chantôme à Toulouse et transféré Mamadou Sakho à Liverpool contre la somme de 19 millions d’euros. Et cela, Kevin Gameiro, lui aussi vendu cet été par le Paris Saint-Germain, à Séville, ne le comprend pas. "Ce sont deux joueurs formés au club avec des grosses qualités, ce sont des choix des dirigeants qui je trouve bizarres. Même pour les supporters, cela doit être bizarre, ils doivent être déçus. "Mamad", c'était quelqu'un d'important qui montrait la voie aux jeunes du centre de formation. C'était un vrai modèle", s'est exprimé le nouvel attaquant des Sevillistas mercredi sur France Bleu 107.1.

Sakho titulaire




Transféré en provenance du Paris-SG pour 19 millions d’euros le 1er septembre dernier, Mamadou Sakho va effectuer ses grands débuts sous le maillot de Liverpool.  Le défenseur international français a été titularisé par Brendan Rodgers pour le déplacement des Reds à Swansea (21h00). Il sera associé à Skrtel en charnière centrale.

Swansea freine Liverpool
4E JOURNÉE

Auteur jusque-là d'un sans-faute, Liverpool a perdu ses premiers points de la saison sur la pelouse de Swansea (2-2), lundi. Les Reds gardent toutefois seuls la tête, une longueur devant Arsenal et Tottenham

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Créé le 20/09/2013 - 16:50
Sakho revient faire ses adieux au Parc

Transféré dans les derniers jours du mercato à Liverpool sans avoir pu faire ses adieux au public du Parc des Princes, dont le défenseur international était devenu tout au long de ses dix ans de fidélité aux couleurs du PSG l'un des chouchous en même temps que l'un des joueurs emblématiques du club de la capitale, Mamadou Sakho, qui intégra le centre de formation parisien à l'âge de 12 ans, a tenu à faire ses adieux à ses anciens supporters, rapporte Le Parisien/Aujourd'hui en France. Un souci suffisamment rare pour être souligné dans un football moderne, où l'identification d'un joueur à ses couleurs devient l'exception. Dimanche, à l'heure où ses ex-coéquipiers s'apprêteront à accueillir le leader monégasque, Sakho, qui se qualifie lui-même comme "un enfant de Paris et du PSG", viendra fouler une dernière fois la pelouse du Parc pour à quelques minutes du coup d'envoi dire au revoir à une enceinte qu'il a si longtemps fréquenté. Une démarche à laquelle les dirigeants parisiens ont souscrit sans réserve. Sakho pourrait d'ailleurs, toujours selon le quotidien, adresser quelques mots au public avec le micro du speaker.

PSG-Sakho: "Je pourrais dire pas mal de choses..."

Parti du Paris Saint-Germain pour le Liverpool FC durant le dernier mercato estival, Mamadou Sakho est heureux sur les bords de la Mersey, où son temps de jeu est plus conséquent que du côté du Parc des Princes. Le défenseur international tricolore, de retour en équipe de France au moment de défier l'Australie puis la Finlande, est revenu dans Le Parisien sur son départ du club de la capitale. "Je ne veux casser du sucre sur le dos de personne. Sur Paris, je pourrais dire pas mal de choses sur certains dirigeants mais cela ne servirait à rien, indique l'intéressé, visiblement déçu par certaines attitudes. J’ai mis cela derrière moi et j’ai refermé la porte. Le jour où j’ai décidé de quitter le PSG, j’ai foncé tête baissée."

Sakho :«Pas de traumatisme»Mamadou Sakho, parti à Liverpool, assure avoir tourné la page du PSG. Le défenseur avoue qu'il n'a jamais douté sur ses qualités.5a+

Quitter Paris et le PSG n’a vraisemblablement pas été un traumatisme pour Mamadou Sakho, lui le Parisien pur souche. « Un traumatisme ? Non, je n’irais pas jusque-là, a-t-il avoué ce mercredi à Clairefontaine. A partir du moment où mon travail n’était pas récompensé, je me suis dit qu’il fallait partir. J’ai voulu aller prouver ailleurs que mes qualités étaient toujours là. Le plus important, c’est d'assumer (ses) choix. »


En dépit de ses déboires avec le PSG, le défenseur international affirme avoir toujours « assumé d’être le titi parisien » de l’effectif de Paris. Sauf qu’il lui a fallu enlever cette étiquette parisienne qui lui collait à la peau. « On utilise des joueurs pour leur image ou ce qu’ils représentent dans un club. J’ai voulu casser ce truc-là.» Malgré les choix de Carlo Ancelotti puis de Laurent Blanc de ne pas lui confier une place de titulaire, le défenseur n’a « pas douté ». « J’ai toujours été sûr de moi. Personne ne peut me faire douter. »

Liverpool-Sakho: "Jouer à ma manière"

Deux mois après son arrivée à Liverpool, Mamadou Sakho s'est exprimé sur le site officiel des Reds. L'international français en a profité pour revenir sur son adaptation dans sa nouvelle équipe, et il semble s'éclater dans le Merseyside. "Je suis très heureux et fier de découvrir la Premier League, et tout particulièrement de jouer avec le maillot de Liverpool. Je joue avec une grande fierté d'être là", a confié le joueur formé au Paris Saint-Germain. Titularisé à cinq reprises en championnat par Brendan Rodgers, le défenseur central commence à s'acclimater aux spécificités du football anglais. "C’est un style de football assez physique, il y a beaucoup d’impact et beaucoup de contact lors des tacles. Cela ne me dérange pas. C’est quelque chose que j’appréciais avant de venir et j’y suis désormais habitué. Je pense que je peux continuer de jouer à ma manière afin d’aider Liverpool à gagner", a-t-il déclaré. Liverpool est troisième du championnat à deux points du leader, Arsenal.

 Sakho : «C'est derrière nous» VIDEO http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Sakho-c-est-derriere-nous/417810

A l'instar de Didier Deschamps, Mamadou Sakho n'a pas souhaité s'étendre sur la défaite concédée vendredi soir en Ukraine (0-2). Déjà tourné vers le match retour, le défenseur exhorte ses équipiers à aborder cette deuxième rencontre «le couteau entre les dents».










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En temps normal, Mamadou Sakho «n’aime pas trop [s]’exprimer». Après une défaite en barrage aller face à l’Ukraine (2-0), c’est encore pire. Mâchoire serrée, le défenseur de Liverpool n’a pas voulu revenir sur ce revers qui obligera les Bleus à un exploit au Stade de France. «C’est derrière nous, s’est-il justifié. On a tiré les conclusions de cette rencontre. On ne va pas en parler cent ans. Pour nous qualifier, c’est mardi à 20h45. On ne peut pas revenir en arrière.»

«Ce qui m'importe, c'est l'équipe de France. Il faudra tout donner, on n'a pas le choix» Du banc, a-t-il été malgré tout surpris par l’engagement déployé par les Ukrainiens ? «C’est vrai qu’on a vu plus de positif de leur côté, a-t-il souligné. C’est une bonne équipe, combative, mais je n’ai pas envie de parler de l’Ukraine. Ce qui m’importe, c’est l’équipe de France. Il faudra tout donner, on n’a pas le choix». Sakho est resté dans le même registre lorsqu’il a été questionné sur la difficulté à laquelle seront confrontés les Bleus mardi soir : attaquer pour remonter leur handicap de deux buts, sans pour autant «partir à l’abordage» (Deschamps). Un seul but ukrainien et la France devra marquer quatre fois pour se qualifier. «Il faudra être intelligent, a-t-il insisté. Et penser à notre qualification, pas à leur jeu».


Remplaçant vendredi soir, comme souvent ces derniers mois, Sakho «espère être aligné au retour». L’absence de Koscielny, suspendu, aurait pu lui ouvrir la porte, mais Raphaël Varane devrait finalement être opérationnel. Après la nouvelle prestation inquiétante d’Abidal à Kiev, il n’est toutefois pas dit que Didier Deschamps ne réfléchisse pas à donner sa chance à Sakho. «Quel que soit le onze, il faudra avoir le couteau entre les dents et montrer qu’on en a, a-t-il évacué. Ces situations, si tu peux les éviter avant, c’est mieux, mais renverser une situation comme celle-là, il n’y aurait rien de plus beau». Et de conclure : «Il ne faut pas que ce ne soit que des paroles...»

Sakho: "Montrer à tout le monde qu'on en a"

Même si Raphaël Varane a des chances de jouer mardi contre l'Ukraine (barrages retour des qualifications pour le Mondial 2014, zone Europe), Mamadou Sakho se tient évidemment prêt: "Que je sois aligné ou pas, ce que j'espère bien sûr - c'est mon but, mon objectif, j'ai envie de jouer et de tout donner pour ce maillot - n'importe quel 11 titulaire au Stade de France devra avoir le couteau entre les dents. Il faut avoir conscience de la situation, j'espère que les 11 titulaires seront vraiment déterminés." Le Parisien a affiché un ton aussi résolu que celui d'Olivier Giroud, qui s'était présenté un peu avant lui face aux journalistes: "On a tiré les conclusions de cette rencontre, on ne va pas en parler pendant 100 ans. L'objectif est le Brésil pour tout le monde, il reste un match et 90 minutes à jouer. On doit être déterminés et croire en nos qualités. Il faut penser à NOTRE qualification, pas à leur jeu. On sait ce qu'on a à faire." Sakho essaie de prendre les choses du bon côté en imaginant un exploit: "Ce qui est en beau en football, c'est ce type de situation. Si on peut les éviter, il faut le faire. Mais là, c'est comme ça, et renverser la tendance est ce qu'il y a de plus beau. Ce n'est pas seulement par la parole qu'il faut agir. Je n'aime pas juste m'exprimer, mais parler sur le terrain. Il faut montrer à tout le monde qu'on en a." Varane demeurant tout de même incertain, le défenseur de Liverpool est plus concerné que jamais.

 C'est beau, fort, extraordinaire...» http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Sakho-on-fete-ca-tous-ensemble/418336

FOOT EQUIPE DE FRANCE

Remplaçant lors du match aller à Kiev (2-0), titulaire et double buteur mardi au Stade de France (3-0) pour aider les Bleus à se qualifier à la Coupe du monde 2014, Mamadou Sakho fait part de sa joie : «On a marqué l'histoire», dit le défenseur. «J’espère qu’on a réussi à conquérir le cœur de beaucoup de Français». Sakho : «On a marqué l'histoire»
Auteur d'un doublé mardi soir face à l'Ukraine (3-0), en barrage retour, Mamadou Sakho n'a pas voulu tirer la couverture à lui après ce succès qui permet au Bleus d'aller à la Coupe du monde 2014. «Le héros, c'est l'équipe», a-t-il souligné.










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«Mamadou Sakho, comment se sent-on après un tel exploit ?
Ce n’est que du bonheur. Ce (mardi) soir, on a réussi à marquer l’histoire. L’équipe de France a démontré beaucoup de vertus. C’est beau, c’est fort, c’est extraordinaire. Quand on a ce maillot-là, il ne faut pas oublier que ça représente beaucoup. Ce soir, on a vu un stade derrière son équipe et une équipe tout donner pour ce maillot. J’espère que c’est le début de quelque chose.

Vous étiez quatrième dans la hiérarchie des défenseurs et vous voilà le héros de la soirée.
Quatrième, c’est vous qui le dites. Moi, je suis à la disposition de l’équipe de France. La saison dernière, j’avais fait tous les matches… Après, je ne me sens pas comme un héros. Le héros, c’est l’équipe.

«Le deuxième but, il est pour moi»
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Les Bleus l'ont fait !




Au passage, vous nous confirmez que c’est bien vous qui avez inscrit le deuxième but ?
Oui, il est pour moi. Je la prends du genou donc oui.

C’est la première fois que vous inscrivez un doublé…
Pour un défenseur, ça arrive très rarement.  Je me souviens juste du doublé de Lilian Thuram sous le maillot bleu (face à la Croatie lors du Mondial 98). Je suis content pour toute l’équipe. Après la défaite à Kiev, on s’est remis en question. J’avais dit qu’il faudrait rentrer sur le terrain le couteau entre les dents et montrer qu’on en avait. On l’a démontré.

«On a senti dès l'échauffement que le peuple était derrière nous. De la première à la dernière minute, on a pratiqué un beau football.» Et quelle communion avec les supporters au coup de sifflet final…
C’était fabuleux. On a senti dès l’échauffement que le peuple était derrière nous. De la première à la dernière minute, on a pratiqué un beau football. On a joué notre jeu, on était sûr de nous. On a montré qu’on était costaud.

Quels ont été les mots de Didier Deschamps dans le vestiaire ?
Ce qui se passe dans le vestiaire, je le garde pour nous, mais c’était quelque chose de beau. Je veux vraiment dédier cette victoire à ma petite fille, à ma femme que j’aime, à ma famille et à mes proches. Merci également aux Français de nous avoir soutenus. Avant le match, il y a des gens qui ne croyaient pas en nous. J’espère qu’on a réussi à conquérir le cœur de beaucoup de Français.»

Matuidi : «Sakho ? un soldat»







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Dans la foulée de la qualification des Bleus pour le Mondial, Blaise Matuidi a rendu hommage à son ex-équipier au Paris-SG, Mamadou Sakho, auteur d’un doublé face à l’Ukraine (3-0), mardi soir. «Mamadou, c’est un soldat, un mec qui ne lâche jamais rien, a souligné le milieu de terrain. Ce soir, je suis fier pour lui parce que ça n’a pas été toujours facile. Il m’avait dit qu’il allait répondre présent. Il a donné le maximum».

Mamadou Sakho : «Je dis merci aux Français»

Publié le 21/11/2013 à 03:53, Mis à jour le 21/11/2013 à 07:36



Il avait joué les huit premiers matches avec Deschamps. /photo AFP



Mamadou Sakho, qui a inscrit un doublé contre l’Ukraine en barrage retour qualificatif pour le Mondial, voulait dire «merci aux Français» après avoir vu «un stade qui était derrière son équipe».
Quel est votre sentiment après cette soirée historique ?
«C’est que du bonheur. On a marqué l’histoire, on a réussi à renverser la tendance. La France a démontré beaucoup de vertus. C’est quelque chose de beau, de fort et c’est pour tout un peuple. Ce maillot représente beaucoup. On a vu un stade qui était derrière son équipe et une équipe qui s’est donnée à fond pour son maillot. Avec le public c’était fabuleux. On l’a senti tout de suite à l’échauffement. Du coup on n’a rien lâché, on n’a pas douté de nos qualités. La France voulait se qualifier, c’est fait.»
Vous êtes le quatrième défenseur central du groupe et vous marquez deux buts. Vous avez vécu une soirée incroyable...
«Quatrième défenseur, c’est vous qui le dites. Je suis à la disposition de l’équipe de France. La saison dernière j’ai joué tous les matches. Je ne me sens pas comme un héros, c’est toute l’équipe le héros. Et sur le troisième, oui, je crois que je la prends du genou. Un doublé pour un défenseur ça n’arrive pas souvent. En Bleu, il y a Thuram contre la Croatie.»
Comment s’est passé le retour aux vestiaires ?
«Ce qui s’est passé après dans le vestiaire, on le garde pour nous. Mais c’était quelque chose de beau. Je le dédie à ma fille, à ma femme que j’aime et à ma famille. Et je dis merci aux Français. J’espère qu’on a su reconquérir leurs cœurs.»

 http://www.lindependant.fr/2013/11/20/france-ukraine-c-est-bien-sakho-qui-a-marque-le-troisieme-but-video,1814688.php

 
France - Ukraine : c'est bien Sakho qui a marqué le troisième but (vidéo)
Le 20 novembre à 21h06 | Mis à jour le 20 novembre

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  La joie du double buteur hier soir(Photo par AFP FRANCK FIFE)
  
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  Sur les images en direct, il n'était pas évident que le défenseur de Liverpool et de l'équipe de France soit l'auteur du troisième but.(Photo par AFP KENZO TRIBOUILLARD)
  
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Au lendemain de la qualification des Bleus (3-0 contre l'Ukraine) pour le mondial du Brésil l'an prochain, un petit plus est venu s'ajouter à la satisfaction. En effet, la FIFA qui, un temps, avait donné le troisième but des tricolores à un défenseur ukrainien contre son camp, l'a finalement attribué à Mamadou Sakho.
Le voilà qui rejoint Lilian Thuram dans la légende des Bleus. Avant ce match (comme Thuram contre la Croatie en 1998), il n'avait jamais marqué en bleu et il a réalisé un doublé.

La preuve en image. 
France - Ukraine : c'est bien Sakho qui a marqué le troisième but (vidéo)
Le 20 novembre à 21h06 | Mis à jour le 20 novembre

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  La joie du double buteur hier soir(Photo par AFP FRANCK FIFE)
  
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Au lendemain de la qualification des Bleus (3-0 contre l'Ukraine) pour le mondial du Brésil l'an prochain, un petit plus est venu s'ajouter à la satisfaction. En effet, la FIFA qui, un temps, avait donné le troisième but des tricolores à un défenseur ukrainien contre son camp, l'a finalement attribué à Mamadou Sakho.
Le voilà qui rejoint Lilian Thuram dans la légende des Bleus. Avant ce match (comme Thuram contre la Croatie en 1998), il n'avait jamais marqué en bleu et il a réalisé un doublé.

La preuve en image.

Yann M'Vila @YannMVila90
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Merci a mon fréro @mamadousakho3 pour ce cadeau et se merveilleux moment. #AmitiéSolide

Sakho, un beau moment d'émotion

Invité exceptionnel de l'émission Le Club sur beIN Sport, Mamadou Sakho, double buteur face à l'Ukraine, a livré ses impressions sur l'équipe de France (lire ici). Lucide, l'ancien Parisien s'est ensuite livré comme rarement, revenant sur des épisodes très personnels de sa jeunesse. "Un jour, mon père qui était malade vient me voir et me dit "je vais partir, c'est mon heure. Je te laisse la responsabilité de la famille." A l'époque j'ai 12, 13 ans, et dès ce moment-là, je grandis. J'ai toujours vu plus loin que mes copains de l'époque, parce que pour moi, réussir, c'était une obligation." Son père, la raison aussi de ses larmes lors de ses adieux au Parc des Princes, le 22 septembre dernier. "Quand j'ai entendu le public du Parc chanter "Merci Sakho", j'ai pensé à lui, car pour moi, Sakho, c'est mon père. C'est pour cela que j'ai pleuré." Les larmes, présentes sur le visage du défenseur international durant l'interview, témoignent enfin d'une grande émotion lorsqu'un reportage est fait sur un éducateur qui avait pris le petit Mamadou sous son aile. "Quand j'étais petit, ces gens-là sont venus voir mon père pour lui dire de ne pas s'inquiéter, qu'ils s'occuperaient bien de moi. C'est grâce à eux que je suis devenu l'homme que je suis aujourd'hui."

BALLOND’OR
MamadouSakhovoit
CristianoRonaldo
Le défenseur de Liverpool, héros
de la qualification des Bleus
pour la coupe du monde 2014, a
révélé hier sur l’antenne de
beIN Sport que, selon lui, le Portugais
méritait de remporter le
Ballon d’Or. "Moi, je voterais
Cristiano Ronaldo, a-t-il expliqué.
Je suis sportif de haut niveau,
joueur de football, et ses statistiques
sont impressionnantes.
Après, mon vote de coeur, il est
pour Ribéry.

Mamadou Sakho fond en larmes en évoquant son enfance difficile

Publié le 25/11/2013 à 11:52, Mis à jour le 25/11/2013 à 12:02 | 23



Mamadou Sakho sur le plateau de BeIN Sport



VIDÉO -- Après avoir signé un doublé contre l’Ukraine mardi dernier et avoir ainsi largement contribué à la qualification de l’équipe de France pour la prochaine Coupe du monde au Brésil, le footballeur Mamadou Sakho a révélé une part de son histoire sur le plateau de BeIN Sport. Très ému, le défenseur des Bleus a fondu en larmes en évoquant son père, décédé quand il avait 13 ans.
Une vive émotion régnait dimanche soir sur le plateau de BeIN Sport. Interrogé par le journaliste Alexandre Ruiz, Sakho a évoqué son enfance difficile à Paris et remercié les éducateurs qui l’ont aidé à grandir. Obligé de déménager régulièrement, l’ancien capitaine du PSG a déclaré avoir été « un nomade de Paris ».
« Je remercie du fond du coeur tous les gens qui m'ont aidé à grandir comme Larsen, tous les éducateurs que j'ai eu au Paris FC, au PSG... Ce sont des gens qui m'ont aidé à me construire en tant qu'homme. C'est vraiment une deuxième éducation que j'ai eu à côté de celle de ma famille. (...) Sans ces personnes-là, je n'aurais pas été l'homme que je suis aujourd'hui. Tout simplement » a-t-il déclaré, avant d’évoquer son père, emporté par la maladie quand Sakho était adolescent.
« C'est pour ça que quand les gens criaient 'Sakho' lors de mes adieux au Parc, les larmes me sont venues. Je me disais : 'ils sont en train d'acclamer mon père, en fait'. Quand on dit 'Sakho', c'est mon père. Je pense à mon papa. J’idolâtrais mon père. J'ai connu tellement de galères avec lui, dont je ne parlerai jamais, mais je sais qu'il serait fier de me voir là. Je reviens de très très loin. Quand je dis nomade, je sais ce que ça veut dire. Il y a des choix à faire et personne n’achète mon plaisir de jouer au football. J’ai appris à donner beaucoup de bonheur. Et c’est le football qui a sorti ma famille de la galère » a-t-il confié, en larmes.