ENCORE UN ROMAIN PHILIPPE MEXES

Ménez et Mexès en Norvège ?

Jérémy Ménez et Philippe Mexès, tous deux pensionnaires de l'AS Rome, ont reçu des pré-convocations pour le match amical de l'équipe de France contre la Norvège, le 11 août, à Oslo.

En ce qui concerne le défenseur central, c'est son entraîneur, Claudio Ranieri, qui a dévoilé qu'il avait reçu une pré-convocation. Philippe Mexès compte 13 sélections, la dernière remontant au 5 juin 2009, à l'occasion d'un match amical contre la Turquie (1-0

- Mexès : «Indescriptible»

Capitaine (d'un soir ?) contre la Norvège, Philippe Mexès n'a pas boudé son plaisir malgré la défaite (1-2) concédée par l'équipe de France. Il veut désormais s'installer chez les Bleus «sur la durée».

La veille, déjà, lorsque Philippe Mexès avait débarqué en conférence de presse aux côtés de Laurent Blanc, on s'en était douté. Nos soupçons ont été confirmés une heure avant le coup d'envoi lorsque la feuille de match de Norvège-France est tombée. Mercredi soir, pour sa quatorzième sélection, le défenseur de l'AS Roma est devenu le premier capitaine de l'ère Laurent Blanc. L'intéressé n'a appris la nouvelle que lors de la réunion d'avant-match dans la matinée. «Il m'a simplement dit : quot;Ce soir, tu vas être capitaine. Ne prends pas la tête, joue comme tu sais le faire. Tu as le brassard. Profite-enquot;.» Des conseils appliqués à la lettre.

Si l'on se fie au discours tenu par le nouveau sélectionneur, le brassard devrait tourner dès le prochain match contre la Biélorussie, le 3 novembre. Ni ce roulement copié sur le modèle Jacquet, ni la défaite concédée contre les Scandinaves n'altèrent «l'émotion et la fierté» ressenties par l'ancien Auxerrois sur la pelouse de l'Ullevaal Stadion. «Indescriptible», souffle-t-il. Deux ans après ses deux sorties manquées contre la Suède (2-3) et l'Autriche (1-3), quelques semaines après avoir suivi les déboires de l'équipe de France en Afrique du Sud devant son téléviseur, Mexès a signé son retour en Bleu une prestation solide aux côtés d'Adil Rami. «Ça s'est bien passé, on n'a pas concédé 10 000 occasions, commente le Lillois. A ses côtés, j'étais en confiance et rassuré. C'est un garçon que j'aime énormément. Footballistiquement, bien sûr, mais surtout humainement. Il y a deux ans, déjà, alors que je savais que je n'allais pas jouer, il me mettait à l'aise. Il sait me parler.»

Lors de l'échauffement qui a précédé le coup d'envoi, Mexès a parlé à ses troupes, «un peu». Sur le terrain, il a été la rampe de lancement des offensives tricolores. «Il nous a fait beaucoup de bien au niveau de sa relance, approuve Nasri. Techniquement, c'est quelqu'un de très à l'aise pour un défenseur central. Je suis très content pour lui. On lui avait prédit une très grande carrière internationale. Ça fait du bien de le revoir en équipe de France pour lui et pour sa confiance.» L'intéressé ne dit pas autre chose. Des quatorze matches qu'il a disputés en sélection, Norvège-France restera celui durant lequel il a pris le plus de plaisir. «Et il n'y a pas photo». Après avoir laissé le train Bleu passer à plusieurs reprises, Mexès pourrait bien être enfin monté dans le bon wagon. «Mais il y a beaucoup de route à faire, tempère-t-il. Je ne vais pas tirer de plans sur la comète. Tout le monde fera tout pour être là au mois de septembre et sur la durée parce que c'est ce qu'il y a de plus dur à faire». Il sait de quoi il parle.

Zizou les bons tuyaux

ET SI UN ATTAQUANT T"ENNUIE
LE COUP DE BOULE DIRECT...CA LE CALMERA

L’ex-numéro 10 de l’équipe de France, invité par Laurent Blanc après le fiasco de la Coupe du monde,
est venu parler aux nouveaux Bleus

DALLAS KRYSCHNA ET WILLIAMS GALLAS D C DU PASSE

432. Comme le nombre de jours qui ont séparé les deux dernières apparitions de Philippe Mexès en équipe de France (de France - Turquie : 1-0, le 5 juin 2009, à Norvège - France : 1-2, le 11 août 2010). Aujourd'hui, le défenseur central de l'AS Rome semble faire partie des plans du nouveau sélectionneur des Bleus, Laurent Blanc. Ce vendredi, dans un entretien accordé à France Football, Philippe Mexès évoque son parcours en Bleu. Mais il parle surtout d'avenir, de sa volonté de s'installer enfin en équipe de France. Et de son association avec Adil Rami. Vendredi (21h00) au Stade de France, face à la Biélorussie, pour le compte de la 1ère journée des éliminatoires de l'Euro 2012, la charnière Mexès-Rami devrait être reconduite après avoir fait ses débuts en amical en Norvège (défaite française : 1-2).

«Avec Adil, on a déjà un super rapport humain»
«Auparavant, on n'avait jamais eu l'occasion de se connaître, rappelle Mexès. Mais on a plus ou moins les mêmes caractéristiques. On doit encore gagner en complicité et solidité. On doit vite sortir un match référence tous les deux. Pour faire une bonne charnière, il faut du temps, mais on n'en possède pas beaucoup chez les Bleus. C'est sans doute l'attelage le plus délicat à construire dans une équipe.» Mais le défenseur central de 28 ans, formé à l'AJ Auxerre, a confiance. «On inspire une certaine sérénité, affirme-t-il. Après Adil est plus sur l'homme, plus agressif. Moi, je suis plus en retrait avec une vision plus panoramique du jeu. On se rapproche d'un style à l'ancienne, plus stoppeur et libéro. On doit également progresser dans le placement, connaître davantage les habitudes et les petites manies de l'un et de l'autre. Mais on déjà un super rapport humain...»

, mercredi à Brescia defaite (2-1) lors de la 4e journée du Calcio. la roma a également perdu son défenseur central, Philippe Mexès,
probablement pour quelques matches.
Expulsé, l'international français a perdu ses nerfs et a voulu s'en prendre à l'arbitre assistant, avant d'être retenu par ses coéquipiers (photo Reuters). Cela devrait lui valoir plusieurs rencontres de suspension. A la 63e minute, Mexès a concédé un penalty et reçu un second avertissement.
Il a alors quitté le terrain les larmes aux yeux
, invectivant le quatrième arbitre et
frappant d'un grand coup de pied
les protections d'une caméra.

j'ai un ami romain qui tenait la caméra
et qui a fait la photo

Mexès va discuter : En fin de contrat en juin, Philippe Mexès pourrait prolonger avec l'AS Roma. Selon Le Parisien de jeudi, son agent va être reçu par les dirigeants romains afin de discuter d'un nouveau contrat de quatre ou cinq ans, avec une clause de départ

L’international français de l’AS Rome
Philippe Mexès a été suspendu
pour deux matches pour avoir tenu
des propos désobligeants sur l’arbitrage
à l’issue du match nul (1-1) de
son équipe contre Brescia, mercredi.
Frustrés par la tournure de la rencontre
face à une formation en difficulté,
les Romains, très nerveux, ont
contesté de nombreuses décisions
arbitrales. En quittant la pelouse,
l’ancien auxerrois s’en serait pris au
4e arbitre, qu’il aurait copieusement
insulté.
Mexès ne disputera donc pas dimanche
le match de la Roma sur le terrain
de l’Inter Milan, puis un autre
choc, face à Naples

TRES BON HIER
MAIS LOLO C EST UN SPECIALISTE DE LA DEFENSE
COMME JOUEUR


10/02/2011
Bleus La défense est bien d'attaque

Les cinq victoires consécutives de l'équipe de France, dont la dernière face au Brésil (1-0), reposent avant tout sur une solidité défensive retrouvée. C'était le chantier prioritaire de Laurent Blanc à son arrivée. Il a bien avancé

«On est devenu une équipe très solide.» Veste en velours noire, pull à col roulé noir, pantalon noir, et surtout petit sourire aux lèvres en évoquant ce secteur défensif qui lui est si cher : avant de quitter la zone mixte du Stade de France, Alou Diarra était plutôt content d'en finir avec les journalistes sur ces quelques mots. Sa tenue était d'ailleurs aussi sobre et classe que son match, et celui de tous ses coéquipiers de la défense, pas peu fiers d'avoir battu le Brésil sans encaisser de but (1-0). Avec un petit but pris sur les cinq derniers matches, tous couronnés d'un succès, l'équipe de France retrouve peu à peu ce qui faisait sa force lorsque Laurent Blanc y évoluait à la fin des années 90 : son imperméabilité.

«Par rapport à la Norvège, ça va mieux, non ?»
Le sélectionneur, dont c'était la priorité des priorités en août dernier, n'est plus très loin de gagner son pari. Son choix d'associer d'entrée Adil Rami et Philippe Mexès, amis dans la vie et oubliés par Raymond Domenech, a d'abord surpris. Puis intrigué, après les défaites en Norvège (1-2) et surtout face au Bélarus (0-1), au Stade de France. Il n'est plus très loin de convaincre. Là où Domenech n'a eu de cesse de tergiverser, Laurent Blanc, lui, a tranché. Et n'a pas dévié de sa ligne de conduite, en maintenant sa confiance et en faisant travailler sa défense type. «Par rapport à la Norvège, ça va mieux, non ?», plaisantait Rami après la partie. Beaucoup mieux, même si le début de match face au Brésil n'a pas été tonitruant. «C'est vrai, on était un peu crispés pendant le premier quart d'heure», a admis Mexès, sans doute auteur de son meilleur match avec le maillot bleu face à la Seleçao. Pour le Romain, intraitable dans les duels et dans le placement ce mercredi soir, l'état d'esprit et la confiance de Blanc ne sont pas étrangers à cette réussite. «On a la confiance et le soutien du coach. En défense, tout le monde se parle, il n'y a pas de chef. Ou plutôt il y en a quatre. On s'aide mutuellement», a-t-il expliqué.

«Avant de penser à gagner, il faut penser à bien défendre»
La solidarité, l'envie de se battre les uns pour les autres, de se parler : des valeurs de base quand on joue au football, mais que l'équipe de France avait perdu au fil des désillusions, notamment à la fin de l'ère Domenech. «On se parle beaucoup plus. La communication est meilleure», assure quant à lui Bacary Sagna, Hugo Lloris soulignant de son côté «le meilleur travail collectif des onze joueurs, de Karim Benzema aux défenseurs». Si Sagna estime que le bloc défensif «reste encore perfectible», les progrès effectués plaisent visiblement déjà beaucoup à Laurent Blanc. «J'ai aimé la prestation de tout le bloc défensif, qui a été solide, a lâché le sélectionneur. Les joueurs commencent à se connaître et à être performants ensemble. C'est important parce que c'est sur une base défensive que repose souvent la reconstruction d'une équipe». Son capitaine Alou Diarra n'en pense pas moins : «Avant de penser à gagner, il faut penser à bien défendre.» Depuis cinq mois, les Bleus ont visiblement retrouvé la bonne formule : ils défendent bien. Et ils gagnent.

Mise a jour : 18 février 2011
Mexès, direction Milan ?
En fin de contrat avec la Roma le 30 juin, le Français aurait trouvé un accord avec l'AC Milan depuis la mi-janvier, assure L'Equipe.


En fin de contrat avec la Roma le 30 juin prochain, Philippe Mexès aurait trouvé un accord avec l'AC Milan depuis la mi-janvier, selon L'Equipe.

Les jours de Philippe Mexès à Rome sont-ils comptés ? Présent depuis sept ans dans les rangs de l'AS Rome, le défenseur central se serait mis d'accord avec l'AC Milan mi-janvier, annonce L'Equipe vendredi, afin de rejoindre le leader de Serie A au terme de son bail, le 30 juin prochain.

«Il n'y a aucun accord entre nous et Philippe Mexès, a répondu Adriano Galliani, le vice-président du club milanais, interrogé par notre quotidien sur la venue du Français. Le Milan n'entend pas déranger le joueur ni la Roma, un club ami. Si le joueur décidait de ne pas prolonger à la Roma, le Milan, comme beaucoup d'autres clubs, pourrait évidemment être intéressé par lui

si ca se confirme
il aura fait une belle carriere italienne
peu reconnu en france avant ces 6 derniers mois


2 mars 2011
«Mexès est à Milan»
Selon la presse italienne, Philippe Mexès aurait refusé une offre du Real Madrid et se serait mis d'accord pour un contrat de quatre ans à l'AC Milan
La Une du Corriere dello Sport de mercredi.

Philippe Mexès a fait son choix. Selon la presse italienne et comme nous l'annoncions il y a deux semaines, l'international français se serait mis d'accord avec l'AC Milan. En fin de contrat en juin avec la Roma, le défenseur va s'engager pour quatre ans. Il touchera près de 4,5 millions d'euros par an. D'après les deux grands quotidiens sportifs italiens mercredi matin, l'affaire serait déjà réglée. «Mexès est à Milan», lance le Corriere dello Sport. Et pour la Gazzetta dello Sport, l'international français de 28 ans aurait même repoussé une approche du Real Madrid.

27 mars 2011
Mexès «un pilier pour le futur»
Buteur contre le Luxembourg (2-0), Philippe Mexès «donne enfin la pleine mesure de son potentiel» en sélection, se réjouit Laurent Blanc.




Philippe Mexès a pris du galon avec Laurent Blanc. (EQ)
Buteur contre le Luxembourg (2-0), Philippe Mexès «donne enfin la pleine mesure de son potentiel» en sélection, se réjouit Laurent Blanc. L'intéressé savoure. Sans tirer de plans sur la comète.

Laurent Blanc n'a pas attendu qu'on le lui demande pour saluer la performance réalisée par Philippe Mexès contre le Luxembourg (2-0). De lui-même, le sélectionneur a évoqué «le gros match» du joueur de la Roma dès vendredi soir. Pour sa 21e sélection, Mexès a inscrit son premier but en Bleu à la réception d'un coup franc de Samir Nasri. La dernière fois qu'il avait trouvé le chemin des filets, c'était en Serie A contre le Genoa, le 20 février dernier. Son premier et unique but de la saison en Championnat. «C'est vrai que je ne marque pas beaucoup, sourit l'intéressé. Ça me fait plaisir, mais je n'étais pas non plus là à l'attendre». Depuis que les Bleus ont quitté le stade Josy-Barthel, Mexès n'a revu son but ni en cassette, ni «dans sa tête».

A 29 ans -il les aura le 30 mars prochain-, Mexès se destine à devenir à court et moyen terme le patron de la défense tricolore. Laurent Blanc le considère comme «un pilier pour le futur». Le défenseur apprécie, mais estime qu'il s'agit là «d'un bien grand mot». Longtemps présenté comme le successeur de Laurent Blanc, l'ancien Auxerrois a rencontré trop de difficultés tout au long de sa carrière internationale pour se projeter au-delà du «moment présent». «Mais c'est vrai que je fais partie des plus vieux, de ceux qui ont le plus d'expérience». Sa première sélection remonte au 16 octobre 2002 alors qu'il n'était âgé que de 20 ans. Des «circonstances -un match raté, le fait de ne pas se sentir à l'aise, un peu de pression-» l'ont longtemps empêché de répondre aux attentes placées en lui. «Le problème jusqu'à présent, c'est qu'on ne l'avait jamais vu à son niveau en équipe de France», résume Laurent Blanc.

Pour expliquer l'origine de sa métamorphose, Mexès avance «la confiance» que lui accorde le sélectionneur. Chez les Bleus, le défenseur central se sent «comme dans son club». Sous-entendu : «libre, sans couteau sous la gorge» comme cela a parfois été le cas par le passé. Si ses relations avec Raymond Domenech n'ont jamais été au beau fixe, l'ancien Auxerrois se présente toutefois comme l'unique responsable. «On m'a donné ma chance, je n'ai pas su la saisir... », dit-il, sans regrets. «Si je n'avais pas connu ce que j'ai connu, je ne serais peut-être pas là devant vous aujourd'hui». Au sein d'un groupe «sans prise de tête, qui vit très bien», Mexès a l'impression de «redécouvrir ce qu'il avait vécu» du temps des «champions du monde et champions d'Europe» lorsqu'il avait intégré les Bleus. «C'est un nouveau livre qui s'ouvre». Cette fois, il semble bien parti pour en être l'un des principaux personnages.

Mexès : distorsion du genou

Sorti sur blessure lors de la défaite de l'AS Roma face à la Juventus Turin (0-2), dimanche soir lors de la 31e journée de Serie A, Philippe Mexès souffre d'une distorsion au genou gauche, a informé son club. Le défenseur international français passera lundi des examens médicaux pour déterminer la gravité de sa blessure et l'indisponibilité envisagée.Mexès s'est fait mal à la fin de la première période, sur un mauvais appui. Evacué sur civière, il est revenu sur le terrain pour la reprise du match, mais n'a pas pu continuer à jouer.

Terrible nouvelle pour Philippe Mexès, blessé dimanche soir face à la Juventus (2-0 pour les Bianconeri) en se réceptionnant mal sur un corner. Après des examens passés lundi matin à Rome, le défenseur français de la Roma est fixé : il souffre d'une rupture des ligaments croisés antérieurs du genou gauche et voit donc sa saison stoppée net deux mois avant son terme. Il sera opéré dans les prochains jours et sera logiquement éloigné des terrains durant quatre à six mois.

Au Milan quand même cet été ?

Auteur d'une saison remarquable, Mexès (29 ans) avait été touché en première période face à la Juve mais avait tout de même débuté la seconde période. Titulaire au côté de Juan, il avait finalement dû quitter ses partenaires pour de bon à la 51e minute. Mexès, qui s'est imposé en défense centrale de l'équipe de France au côté d'Adil Rami, subit la plus grosse blessure de sa carrière. Libre en juin, rejoindra-t-il finalement l'AC Milan cet été alors que la presse italienne faisait état d'un accord avec le club rossonero pour les quatre prochaines saisons ?

Nouvelle charnière pour Laurent Blanc

Devenu titulaire indiscutable en équipe de France sous les ordres de Laurent Blanc, Mexès a débuté les neuf matches disputés depuis le 11 août dernier en Norvège (1-2). Le sélectionneur des Bleus va donc devoir constituer une nouvelle charnière centrale pour les rencontres prévues contre la Biélorussie (3 juin en éliminatoires de l'Euro 2012), l'Ukraine (6 juin, amical) et la Pologne (9 juin amical). Et également sûrement pour affronter le Chili en amical le 11 août

● Mexès opéré avec succès. Le
défenseur de l’AS Rome a été
opéré, hier, d’une rupture du
ligament croisé antérieur gauche
survenue dimanche contre
la Juventus Turin. L’intervention
s’est bien passée. Son indisponibilité
est évaluée à quatre
mois.

Foot - Bleus
Mexès ne sait pas s'il sera prêt
Victime d'une rupture des ligaments du genou droit en avril dernier et transféré depuis à l'AC Milan, Philipe Mexès n'est pas certain d'être rétabli pour les matches de qualification à l'Euro des Bleus en octobre. «Non, je ne sais pas si je serai revenu en octobre, je vais essayer de rentrer le plus vite possible, mais je ne donne pas de date. Et il ne faut pas se précipiter, parce que le genou, c'est risqué», a expliqué l'ancien Auxerrois en marge de la présentation officielle de la nouvelle saison des Rossoneri. En concurrence avec Alessandro Nesta pour évoluer aux côtés de Thiago Silva en charnière centrale, Mexès regrette également de manquer le début de saison avec les Milanais. «Ca m'ennuie de manquer le début, c'est sûr, mais je n'ai pas le choix. Je vais travailler et donner encore plus», a-t-il expliqué

15/08/2011 Philippe Mexès voit le bout
italie. AC Milan. Il a été blessé début avril.

Le défenseur central de l'AC Milan Philippe Mexès pense pouvoir jouer à nouveau « d'ici deux à trois semaines », a-t-il annoncé sur la chaîne télé du club lombard, alors que le Toulousain se remet d'une grave blessure au genou droit. « Quand la douleur va partir, je serai prêt à jouer. J'espère que cela va arriver le plus vite possible et je pense que d'ici deux à trois semaines, je verrai le bout du tunnel », a-t-il déclaré.

« Je retrouve ma forme doucement. J'ai essayé de taper dans le ballon, mais il faut que j'y aille calmement », a indiqué le néo-Milanais, victime d'une rupture des ligaments du genou droit le 4 avril contre la Juventus Turin, alors qu'il évoluait avec l'AS Rome. « Je sais que je ne dois pas précipiter les choses pour éviter une rechute mais je travaille avec le staff médical de Milan pour revenir le plus vite possible. »

Devenu le chef de la défense française depuis l'arrivée de Laurent Blanc, Mexès espère être de retour pour les derniers matches de qualifications à l'Euro-2012 contre l'Albanie (7 octobre) et la Bosnie-Herzégovine (11 octobre).

Mexès «prêt à 100%»
Le 05/10/2011 à 23:34

Philippe Mexès a déclaré, sur son compte Twitter , qu'il se sentait «prêt à 100% pour Palerme», l'équipe que l'AC Milan affronte le samedi 15 octobre. «Ce serait un honneur pour moi de remplacer un des plus grands défenseurs du monde, Sandro Nesta», a poursuivi le défenseur international français, remis de sa rupture ligamentaire du genou droit.

Le grand jour de Mexès
Le 19/10/2011 à 00:00 | Mis à jour le 19/10/2011 à 00:22

Gravement blessé au genou le 3 avril dernier, Philippe Mexès retrouve les terrains mercredi soir contre Borisov. Pour la première fois, le Français va porter le légendaire maillot du Milan en match officiel.


Mexès, ici à gauche, a repris l'entraînement avec Abate ou Taïwo et va débuter sous le maillot du Milan.
Philippe Mexès n'aurait jamais pensé devoir attendre le 19 octobre 2011 pour revêtir le légendaire maillot de l'AC Milan. En contacts avec le club lombard depuis le mois de février dernier, annoncé par toute la presse italienne début mars, le défenseur international français (22 capes) avait alors refusé une offre du Real Madrid pour signer quatre ans chez le futur champion d'Italie. Et puis, patatras ! Le 3 avril, son genou gauche lâche contre la Juventus lors d'un match avec la Roma. Son dernier sous les couleurs giallorossi ... Car le Milan est un grand club et n'a qu'une parole. Malgré la blessure, l'équipe appartenant à Silvio Berlusconi ne rompt pas l'accord de principe qui avait été trouvé. « Si je vais au Milan ? On en parle beaucoup, j'irai probablement là, oui. (...) Après sept ans, je peux dire que j'ai fait ma vie à Rome, mais je dois faire des choix de vie et penser à moi », lâche-t-il, soulagé, le lendemain de sa blessure dans la Gazzetta dello Sport .

Le Milan a récupéré un Mexès blessé mais il était gratuit et c'est l'un des défenseurs les plus admirés d'Italie.
En fin de contrat avec la Louve, il ne coûte rien en transfert mais touche le pactole niveau salaire. Le Milan récupère ainsi l'un des défenseurs le plus admirés d'Italie mais croise les doigts pour qu'il soit vite opérationnel. Âgé de 29 ans, le Toulousain est un joueur expérimenté qui sait qu'avec ce genre de choses, il vaut mieux prendre son temps... « Je vais essayer de rentrer le plus vite possible, mais je ne donne pas de date. Et il ne faut pas se précipiter, parce que le genou, c'est risqué. Ça m'ennuie de manquer le début de saison, c'est sûr, mais je n'ai pas le choix. Je vais travailler et donner encore plus », expliquait-il mi-juillet avant de reprendre l'entraînement collectif deux mois plus tard.

Mexès est pressé d'étrenner son numéro 5
Le 28 septembre, il a joué avec la réserve face au Chievo pour son plus grand bonheur : « Je suis content d'être revenu, il ne me manquait qu'un match à 11 contre 11. C'est un grand jour pour moi. Le genou va bien, je sens encore quelques petites douleurs qui me tirent derrière, mais je vais bien .» Titulaire lors d'un amical face aux jeunes Milanais il y a dix jours, se sentant « à 100% », le n°5 rossonero attend avec impatience de fouler la pelouse de San Siro mercredi face à Borisov (20h45), lui qui n'est resté qu'en tribunes samedi lors de la victoire des siens face à Palerme (3-0