SPARTACUS JEREMY MENEZ

QUEL TALENT CE ROMAIN ...
ET PAS EN BLEU


A l'occasion de la victoire de l'AS Rome devant les Qataris d'Al Saad (2-1), ce mardi en amical, l'attaquant français Jérémy Ménez en a profité pour inscrire le premier but de la rencontre. C'est ensuite Stefano Okaka qui s'est chargé de doubler la mise pour les Romains. Le club de la Louve retrouvera le PSG, Porto et Bordeaux, lors du Tournoi de Paris, le week-end prochain.

Ménez et Mexès en Norvège ?

Jérémy Ménez et Philippe Mexès, tous deux pensionnaires de l'AS Rome, ont reçu des pré-convocations pour le match amical de l'équipe de France contre la Norvège, le 11 août, à Oslo. Venu disputer le Tournoi de Paris ce week-end, l'ancien attaquant de Sochaux a confirmé l'information : «Ca fait plaisir. Je suis dans un grand club, je joue régulièrement, j'ai la confiance de l'entraîneur, je suis libéré».

«C'est une nouvelle chance, on part sur de nouvelles bases. Il y a un nouvel entraîneur, j'espère faire partie de l'aventure», a-t-il ajouté en référence à la succession de Raymond Domenech par Laurent Blanc comme sélectionneur des Bleus, après le Mondial 2010.

Préconvoqué par Laurent Blanc pour le match amical que doit jouer l'équipe de France contre la Norvège le 11 août, Jérémy Ménez s'est blessé lors de la rencontre entre la Roma et le PSG dimanche. Le milieu offensif français est sorti en cours de match, touché au genou gauche. La gravité de sa blessure n'est pas encore connue mais il est incertain pour la rencontre des Bleus

il m'a déçu contre le bélarus
à dribbler ds le sens de la largeur
et justement BLANC n e l'a pas fait rentrer contre la bosnie
ca a du lui donner une claque

ÉQUIPE DE FRANCE.
Ménez : « Anelka a payé pour tout le monde »
Indiscutable avec son club de l’AS Rome, Jérémy Ménez n’est plus réapparu en sélection depuis septembre. Si la France s’est remise à gagner sans lui, il croit en sa capacité à retrouver les Bleus. 1 réaction | RéagirPROPOS RECUEILLIS PAR FARID ZOUAOUI | 25.12.2010, 07h00 Mardi après-midi, à Vitry- sur -Se ine (Va l -de - Marne), la ville où il a grandi, le joueur de l’AS Rome a joué au Père Noël, distribuant cadeaux et maillots à des gamins émerveillés. Appartenant à la nouvelle génération des Bleus, le jeune international (2 sélec- tions) décline ses ambitions.

Il revient aussi sur le triste épisode sud-africain et se fait l’avocat de Nicolas Anelka.

Etes-vous en train de franchir un cap avec l’AS Rome ?
Jérémy Ménez. Oui. J’ai joué tous les matchs et j’ai réussi pas mal de passes décisives. Maintenant, il faut que je marque plus (NDLR : 1 but en 15 matchs de championnat). A mon arrivée, j’avais besoin de sentir la confiance pour m’éclater. Au- jourd’hui, c’est le cas et je peux donc m’exprimer beaucoup mieux.

Quels sont vos rapports avec Philippe Mexès ?
On est voisins. On rigole bien en- semble, car on a lesmêmes délires.

S’est-il enfin imposé ?
Mais ça fait sept ans qu’il s’est im- posé ! C’est l’un des meilleurs défenseurs au monde. S’il partait au mercato d’hiver, ce serait une perte énorme, mais cela m’étonnerait.

Le Calcio est-il vraiment autre chose que la Ligue 1 ?
C’est très tactique. Un joueur qui s’impose en Italie peut réussir partout.

Un retour en France est-il envisageable ?
Cela paraît difficile. Je veux aller le plus haut possible et pour l’instant je suis bien à Rome. En juin, il me restera encore un an de contrat, on verra bien.

Et le PSG ?
C’est mon club de coeur, mais y jouer n’est pas d’actualité.

Peut-il être champion ?
C’est possible, mais il ne faudra pas perdre de points bêtement au Parc. Si Lille, Lyon et Marseille marchent bien, ce sera compliqué. Une qualification pour la Ligue des champions, ce sera déjà très bien.

Vous n’avez plus été rappelé en équipe de France depuis la Biélorussie (défaite 1-0). Avez-vous raté le bonwagon ?
J’ai un peu payé cette défaite, mais ce sont les choix du coach. Je n’avais pas été bon.

En avez-vous discuté avec Laurent Blanc ?
Non. J’essaie de lui montrer que je suis capable de rattraper mes erreurs. Je sais que je peux m’imposer. Sans me la raconter, je suis bien vu en Italie. C’est le terrain qui par le et j’espère être là contre le Brésil (NDLR: le 9 février au Stade de France).

Etes-vous déçu qu’il ne vous ait pas téléphoné ?
Il n’y a pas de soucis. Il a sûrement d’autres choses à faire.

Que vous manque-t-il pour vous imposer ?
Un peu de temps. Je suis quelqu’un qui a besoin de sentir la confiance de son entraîneur.
Vous appartenez à la génération des Benzema, Nasri et Ben Arfa. Allez-vous prendre le pouvoir ?
L’heure a son né. C’est à nous de jouer. Il y a de belles choses à faire.

Quelle est votre opinion sur l’histoire des primes ?
Il ne faut pas se casser la tête avec ça.

Comment avez-vous vécu ce qui s’est passé en Afrique du Sud ?
On ne saura jamais ce qu’il s’est vrai- ment passé. Ce n’est donc pas la peine de continuer à en parler.

Aux yeux de beaucoup de personnes, Nicolas Anelka est passé pour un voyou…
(Agacé.) Ce sont des conneries ! Les voyous ne sont pas dans le foot. Il y a seulement des caractères différents. Anelka est resté vrai jusqu’au bout, avec ses qualités et ses défauts. C’est un joueur que j’ai toujours admiré. Des décisions ont été prises, mais le suspendre 18 matchs, c’était le condamner définitivement. Il a payé pour tout le monde.

Pourquoi jouez-vous avec le no 94 qui est celui du Val-de-Marne, votre département d’origine ?
Je n’oublie pas d’où je viens. Quand des parents viennent te dire merci, comme mardi à Vitry, ça fait plaisir.

Avez-vous envie d’être un exemple ?
Je ne sais pas si j’en suis un. Le plus important est de respecter les autres et de rester soi-même.

FRANCE:MÉNEZ
TITULAIRE?
Si Laurent Blanc souhaite s’appuyer
sur l’ossature de l’équipe
victorieuse à Wembley, les absences
conjuguées de Samir
Nasri et Mathieu Valbuena, blessés,
le contraignent à modifier
quelque peu ses plans. Le sélectionneur
national devrait ainsi titulariser
Jérémy Ménez, très en
vue ces dernières semaines sous
le maillot de l’AS Rome. Malgré
sa mauvaise passe, Yoann Gourcuff
devrait également débuter
cette rencontre amicale dans
l’entrejeu aux côtés d’Alou Diarra,
de retour de suspension, et
de Yann M’Vila. Karim Benzema
garde la main sur le front de l’attaque.
Les deux Olympiens, Steve
Mandanda et Loïc Rémy, devraient
être remplaçants

EXCELLENT EXCELLENT HIER generation 1987 CHAMPIONS D EUROPE DES 17 ANS

DRIBBLEUR PUISSANT RAPIDE DECISIF

PLUSIEURS FOIS

REMY QUI EST RENTRE A PARU PLUS EMPRUNTE ..

Benzema Comment expliquez-vous cette efficacité ?
J'ai la réussite de mon côté, mais je bénéficie aussi du travail des équipiers. Ce soir, Jérémy Menez m'a mis un caviar.

BIEN PLUS RAPIDE QUE PIERRE DE CANAL
Bleus - Ménez, «le vrai Jérémy»

Après une première période discrète, Jérémy Ménez s'est réveillé après la pause. Passeur décisif face au Brésil (1-0), mercredi soir, l'attaquant de l'AS Roma espère avoir donné un nouveau virage à sa carrière internationale.

Il avait connu les sifflets du Stade de France face à la Biélorussie, le 3 septembre dernier. Jérémy Ménez sait désormais ce que cela fait de sortir sous les applaudissements du public dyonisien. «Deux fois plus de plaisir !», s'exclame-t-il. Cinq mois après avoir quitté les Bleus, l'attaquant Romain y a signé un retour plein de promesses. Après un enchaînement drible-enchaînement-centre, il a délivré à Karim Benzema le but de la victoire. «Une action de grande classe», souligne Laurent Blanc. Une action cousine d'une autre offensive qu'il avait initiée juste avant la pause. Aucun doute possible, Jérémy Ménez a du «talent», insiste le sélectionneur. Il lui reste encore simplement à apprendre à ne pas l'exprimer par intermittence. Au vu de sa deuxième période, il en aura forcément l'occasion.

Ce Jérémy-là, c'est celui «qui a fait énormément de progrès depuis deux ans, qui travaille comme un fou à la Roma, se félicite Philippe Mexès qui le côtoie également en club. En deuxième période, on a vu le vrai Jérémy. Celui qui se fait plaisir et qui fait la différence pour gagner des matches». En première, en revanche, l'ancien Monégasque est encore apparu trop «timoré» (Blanc). S'il ne s'est pas cherché d'excuses, l'attente et la pression générées par son retour ne sont certainement pas étrangères à cette entame au diesel. Avant le match, le sélectionneur avait flairé le danger : «Je lui avais dit : quot;Ne fais pas attention à ce qui est écrit. Ce n'est pas ta dernière chance. C'est ta deuxième chance. Il y en aura d'autresquot;».

«Au début, je cherchais un peu mes marques, concède l'intéressé. Mais au fil du match, je me suis senti mieux en mieux. A l'image de l'équipe...». Contre les Biélorusses, Ménez avait trinqué pour les autres. Cette fois, il est parvenu à tirer son épingle du jeu. Sa passe décisive était un «caviar», estime le buteur et ami Karim Benzema. «Ça m'a fait plaisir, et je pense que ça s'est vu sur les images, répond le Romain. Karim, c'est la famille. Même si ce n'est pas moi qui marque, on en profite tous ensemble». Ce qui ne l'empêche pas de nourrir quelques ambitions personnelles. Ménez «ne s'en est jamais caché», son objectif reste de «s'imposer» durablement dans cette équipe de France. «Et je pense avoir montré que j'en avais la capacité...».

Zoom
Jérémy Menez : « C’est mon objectif de m’imposer »
le 11/02/2011 à

Jérémy Menez et Karim Benzema, bras dessus, bras dessous, ou l’image d’une équipe de France rajeunie et sur la pente ascendante.

Cinq mois après sa titularisation ratée face à la Biélorussie, l’ancien Sochalien Jérémy Menez a offert une passe décisive et marqué de précieux points mercredi soir face au Brésil.

Jérémy, quelles leçons tirez-vous de ce succès face au Brésil ?
Tout simplement qu’on reste maintenant sur plusieurs résultats positifs, et on tenait vraiment à garder cette dynamique. On a su le faire face au Brésil, ça nous permet d’engranger encore plus de confiance pour la suite. Bien sûr, ça a été plus facile à dix contre onze, même s’ils n’étaient pas non plus très dangereux avant l’expulsion.
Quant à vous, vous avez su vous mettre nettement plus en valeur que face à la Biélorussie.
C’était mieux, c’est sûr. Au début, j’ai surtout essayé de ne pas perdre trop de ballons, mais je me suis mis en confiance petit à petit. Je cherchais mes marques. À la mi-temps, on a parlé avec l’équipe, on voulait aller plus de l’avant. Et tout le monde s’est senti mieux, moi y compris.
Vous êtes de plus passeur décisif, pour votre ami Karim Benzema. Une grande joie ?
Oui, ça m’a fait plaisir de donner un but à Karim. C’est la famille ! Même si ce n’est pas moi qui marque, on en profite tous ensemble.
Vous sentez-vous capable de vous imposer sur la durée en Bleu ?
C’est mon objectif de m’imposer et de marquer avec l’équipe de France, je ne l’ai jamais caché. C’est resté mon objectif, même après mon revers face à la Biélorussie. Ce sont des choses qui arrivent, je me suis servi de ça pour me reconcentrer sur mon jeu et repartir de l’avant. J’avais pris un coup au moral mais je n’ai pas baissé la tête, et j’ai bossé comme un fou avec la Roma pour revenir plus fort en Bleu.
Et le public du Stade de France a accompagné votre sortie par une belle ovation.
L’ovation, ça fait deux fois plus plaisir, surtout après les sifflets face à la Biélorussie (sourire) ! Mais bon, je n’en parle plus, c’est du passé ! Mais dans le foot, en tout cas, rien n’est jamais conquis. Une ou deux défaites, et ça repartira à zéro. On doit donc continuer à avancer, et enchaîner les succès pour que notre reconstruction soit rapide.
S.D.

Titulaire face au Brésil et auteur de la passe décisive pour Karim Benzema sur le but de la victoire française (1-0), Jérémy Ménez n'est plus titulaire à la Roma depuis. Mathieu Valbuena aurait dès lors peut-être pu lui être préféré par Laurent Blanc. Mais problème, le Marseillais vient tout juste de reprendre après une blessure au genou gauche. A la question de savoir si le Romain méritait davantage sa convocation que l'Olympien, le sélectionneur ne s'est pas caché.

«Ce n'est pas la question. Même si Jérémy a beaucoup moins de temps de jeu avec le nouvel entraîneur de la Roma, je n'oublie pas que c'est un joueur qui a fait une action décisive contre le Brésil, a ainsi expliqué Blanc. Il a été bon, notamment pendant vingt minutes. Il a lui aussi un potentiel intéressant. Quant à Mathieu, j'estime qu'il n'est pas tout à fait apte physiquement à répondre à ces deux matches. C'est ce qui a fait certainement la différence.»

Pourquoi avoir sorti Menez alors qu'il était incontestablement le meilleur joueur sur le terrain
et le seul à donner de la vitesse à cette équipe de France ?


Son match contre le Brésil avait été sujet à discussion, le mois dernier. Passeur décisif, Ménez n'avait pas fait l'unanimité. Cette fois, on prend peu de risques en affirmant que l'attaquant de l'AS Roma a particulièrement séduit contre la Croatie. Dans (presque) tous les bons coups en première période, il s'est également révélé précieux dans son replacement défensif et aurait pu compter une, voire deux passes décisives de plus à son compteur si Benzema ne s'était pas montré maladroit.

Parce qu'il avait promis d'essayer de donner du temps de jeu à tout le monde sur l'ensemble des deux matches, Laurent Blanc a choisi de le remplacer à l'heure de jeu par Loïc Rémy. Mais Ménez s'affirme comme une alternative crédible dans le couloir droit. Surtout si Ribéry joue à gauche.

ITALIE● AS Rome: clash Ménez-Montella. Hier, une altercation a opposé
l’international français et son entraîneur à l’AS Rome. Ménez
aurait mal réagi à une critique de Montella. Au début du mois, l’ancien
Sochalien a refusé une prolongation de contrat...

SES JAMBES VONT BIEN ..MAIS JE CRAINS POUR SON CERVEAU



17 mai 2011 Ménez est «fataliste»

Relégué sur le banc de la Roma, Jérémy Ménez ne comprend pas le choix de Vincenzo Montella.
Peu utilisé par Vincenzo Montella depuis son arrivée sur le banc de la Roma, Jérémy Ménez s'est confié

Jérémy Ménez a vraiment envie que la saison se termine. Au moins pour voir plus clair dans son avenir. N'entrant pas vraiment dans les plans de Vincenzo Montella, l'entraîneur de la Roma, l'attaquant international français a confié son mal-être
«Jusqu'en mars, j'étais vraiment bien. Après... Je suis quelqu'un qui a besoin de sentir la confiance de l'entraîneur pour me sentir au mieux. (...) J'ai été déçu par le départ de l'ancien entraîneur, Claudio Ranieri. Après, ça ne s'est pas passé comme je le souhaitais. Je ne me suis pas trop senti soutenu», a-t-il expliqué avant d'attaquer les médias : «Je ne sais pas ce qu'a la presse, ici, avec moi. Mais bon, il faut faire avec. (...) Elle envenime toujours les choses.»Le joueur, très peu en vue sur le terrain lorsqu'il est utilisé, reconnaît tout de même des torts. «J'ai mes torts aussi. Je suis quelqu'un qui fonctionne beaucoup à l'affectif. Je faisais tout sur le terrain pour rendre à Ranieri et Damiano ce qu'ils m'avaient donné, confie l'ancien joueur de Sochaux. (...) Par déception, j'ai peut-être fait un peu moins avec Montella. (...) J'aime bien bouger, courir, etc. Et peut-être qu'aux entraînements, petit à petit, tu en fais moins. Donc physiquement, tu es un peu moins bien. Du coup...» A un an de la fin de son contrat, Ménez ne sait pas de quoi son avenir sera fait. «Il faudra demander aux dirigeants. S'ils veulent me vendre, il faudra discuter à la fin du Championnat», a déclaré celui qui pourrait peut-être rejoindre Philippe Mexès à l'AC Milan.

En froid avec Vincenzo Montella qui a assuré l'intérim au poste d'entraîneur de la Roma jusqu'en fin de saison, l'ancien sochalien, Jérémy Ménez envisage d'aller voir ailleurs pendant cette trêve estivale. Le prochain entretien entre Ménez et Luis Enrique, nouvel entraîneur romain, pourrait sceller le futur de l'international français.

De nombreux clubs envisagent de racheter la dernière année de contrat qui lie le joueur au club romain. Le Milan AC, la Juventus seraient sur les rangs. Le PSG et L'OM pourraient bientôt se positionner sur le dossier Ménez

20 juin 2011
Ménez : «Paris peut me plaire»
Annoncé avec insistance du côté du Paris-SG, Jérémy Ménez a expliqué à Francefootball.fr que le projet pourrait lui plaire.

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Ménez, ici entre Sakho et Gameiro chez les Bleus, pourrait retrouver ses deux compères au PSG.
Annoncé avec insistance du côté du Paris-SG, Jérémy Ménez a expliqué à Francefootball.fr que le projet pourrait lui plaire.

En équipe de France, Jérémy Ménez évolue avec Hoarau, Sakho ou encore Gameiro. Mais l'attaquant de la Roma pourrait retrouver ces trois joueurs dès la saison 2011-2012 sous le maillot du Paris-SG où il est annoncé avec insistance. «Le projet du PSG pourrait me plaire. S'il y a des moyens, une grosse équipe, ça pourrait me plaire de venir jouer à Paris», a avoué à Francefootball.fr le joueur formé à Sochaux, assurant ne pas considérer un éventuel retour en L1 comme une régression. «Je ne vois pas les choses comme ça, explique-t-il. C'est fini ça...»Paris, qui devrait de nouveau travailler sur le dossier Varanne (Lens) dès lundi, bouge ses pions : selon la chaîne Italia 1, Ménez (sous contrat jusqu'en juin 2012) et Marco Borriello (attaquant italien de 29 ans prêté avec option d'achat par le Milan à la Roma) seraient d'accord pour rejoindre le PSG qui vient d'être racheté par des investisseurs qataris très ambitieux

le jeudi 14 juillet 2011 à 15H27



Un nouvel international français débarquera-t-il à l'OM d'ici la fin du mercato ? C'est ce qu'avance Europe 1, qui annonce que Jérémy Menez, le milieu de terrain de l'AS Roma, devrait "signer à Marseille dans les prochains jours". L'ancien Monégasque n'est plus assuré d'être titulaire dans le club de la capitale italienne, et souhaiterait se garantir du temps de jeu en vu de l'Euro 2012.

Menez à Paris lundi ?
Ménez devrait signer trois ou quatre ans au PSG
Ménez, ici entre Sakho et Gameiro chez les Bleus, pourrait retrouver ses deux compères au PSG.


Le PSG a aussi avancé sur le cas de Jérémy Menez, l'attaquant international de la Roma (24 ans, 5 sélections).
son transfert dans la capitale devrait avoisiner 8 millions d'euros et le joueur signerait un contrat de quatre ans. Son arrivée devrait se confirmer au plus tard en début de semaine prochaine.

Jérémy Menez au PSG: il ne manque plus que la signature
Publié le 24/07/2011 à 21:19
Avec cinq sélections en Bleu, Menez espère disputer le prochain Euro. Pour cela, il lui faut du temps de jeu, ce qui sera le cas au PSG / Photo AFP
L'attaquant de l'AS Rome et de l'équipe de France, Jérémy Menez, doit signer lundi un contrat de trois ans avec le Paris Saint-Germain.
Le PSG, passé sous actionnariat qatari, n'avait plus été actif au mercato depuis la signature d'un autre attaquant international, le Lorientais Kevin Gameiro, le 12 juin.

Le buzz était monté autour de Jérémy Menez depuis samedi soir.

Son nouvel entraîneur à l'AS Rome, Luis Enrique, avait confié à l'issue d'un match amical samedi soir: "Menez n'a pas joué car il y a une tractation en cours pour lui et nous n'avons pas voulu courir de risque".

Walter Sabatini, directeur sportif de l'AS Rome, en avait dévoilé un peu plus ce dimanche: "C'est un choix difficile. Il n'a pas encore été cédé, je lui ai donné la permission de quitter le stage (d'avant saison) et d'aller rencontrer le PSG, mais il manque encore l'accord (final)".

Menez avait dit au revoir à ses équipiers romains et avait pris la direction de Paris.

Plusieurs médias italiens et français s'accordent sur l'idée d'un transfert autour de 8 millions d'euros.

C'est un retour en France pour le jeune joueur de 24 ans, né dans la région parisienne à Longjumeau, et qui avait débuté dans le football professionnel à Sochaux puis à Monaco, avant de rallier l'AS Rome.

Comme Gameiro, en signant dans un club français en vue, Menez, qui compte cinq sélections en Bleu, est pratiquement sûr d'avoir du temps de jeu. Il se positionne donc en vue de l'Euro 2012 en Ukraine et en Pologne. Le sélectionneur Laurent Blanc n'a jamais caché qu'il préférait que ses internationaux aient beaucoup de temps de jeu avant un grand tournoi et ne tentent pas l'aventure à l'étranger quand c'est possible.

L'aventure avec la Roma s'était terminée en demi-teinte pour Menez. Titulaire avec Claudio Ranieri, il avait moins joué avec l'arrivée de Vincenzo Montella (entraîneur de la Roma la saison passée) et avait aligné des matches parfois moyens, comme en demi-finale retour de Coupe d'Italie à l'Inter Milan (1-1), où il était dans l'équipe de départ.

Montella n'avait pas été tendre avec lui en fin de saison: "Menez a beaucoup joué, contrairement à ce qu'il pense. Mais il arrive qu'un joueur ait un blocage physique, psychologique, émotionnel, abstraction faite de l'entraîneur".

Et d'ajouter: "Avec l'encadrement, nous avons fait tout ce qu'il était possible pour que Menez ait le meilleur rendement, je dirais même qu'avec lui, je suis allé au-delà d'une simple relation technique."

Montella n'avait pas été conservé à l'issue de la saison, remplacé par Luis Enrique.

La dernière saison de Menez à la Roma avait été marquée par un épisode traumatisant: le caillassage de sa voiture par un supporteur de la Roma déçu après un match en Coupe d'Italie fin avril.

La voiture était alors conduite par le frère du joueur, ce dernier étant assis sur le siège passager. Les deux frères avaient ensuite porté plainte et une escorte policière avait été mise à la disposition de l'attaquant quand il partait du stade.

remontant un cran de plus, on retrouve un Jérémy Ménez qui a alterné jeu long et jeu court, qui a parfois permuté avec Nenê et réalisé quelques accélérations. L'ancien Romain est sans doute celui qui est le plus loin de sa forme optimale, de fait, c'est aussi celui qui a repris l'entraînement le plus tard. Malgré cela, Ménez a donné le change, il s'est bien démené et a su combiner, notamment avec un Gameiro qu'il connaît déjà en Bleu. Appliqué, il ne devrait pas mettre bien longtemps à prendre totalement ses marques au sein d'une équipe parisienne qui a sans doute emmagasiné de la confiance lors de ce tournoi.

FRAIS COMME LA ROSE
3 PARISIENS DANS LES TRIBUNES DE L4'EDF EN ROUMANIE

Ménez : «Se concentrer sur notre jeu»

Un mois et demi après son arrivée au Paris-SG, Jérémy Ménez a fait le point sur sa situation et ses ambitions pour cette saison. Si le natif de Longjumeau (Essonne) ressent une «énorme fierté» d'évoluer dans son «club de coeur», il a bien conscience que lui et ses partenaires devront «mouiller le maillot» pour atteindre leurs objectifs.

L'ancien Sochalien ne se le cache d'ailleurs pas. Une saison réussie passe impérativement par un titre de «champion de France». «On commence à voir une belle équipe du PSG, estime ainsi Ménez sur le site de son club. On sait que l'on peut encore mieux faire. Nous avons à coeur d'atteindre nos objectifs mais il faudra faire abstraction de tout ce qui se passe autour de nous, et se concentrer sur notre jeu.»

«Rendre la confiance que l'on m'a donnée»

Concernant son adaptation, le numéro 7 du Paris-SG reconnait n'avoir rencontré aucun problème depuis son arrivée dans la capitale. «J'ai été accueilli de la meilleure des manières, ce qui m'a fait énormément plaisir, se réjouit-il. C'est peut-être un peu plus facile pour moi car je suis originaire de la région. Je suis arrivé dans un groupe super et j'espère rendre la confiance que l'on m'a donnée.»

Jérémy Ménez : « L'équipe monte en puissance »

Auteur de la passe décisive pour Pastore contre Brest dimanche (1-0), Jérémy ménez a de nouveau joué un rôle clef dans la victoire du PSG en Ligue Europa contre Salzbourg (3-1), jeudi soir au Parc des Princes. A l'origine du penalty transformé par Nene, auteur du 3e parisien, l'ancien joueur de la Roma est en train de se rendre indispensable. « Il faut essayer de faire de belles choses tout en étant efficaces », estime le milieu offensif du PSG, pour qui « l'équipe monte en puissance » au fil des rencontres

il a dans son jeu de footballeur des qualités que j'aime bien
mais en tant qu''homme je ne le perçois pas
surement cet accent parigot+ importé des cités que là je deteste

Ménez s'en sent capable
le 06/10/2011 à 09:15

Remplaçant en septembre, Jérémy Ménez pourrait profiter des absences de Benzema et Ribéry pour grignoter du temps de jeu et prouver que Blanc «n'a pas tort» de lui accorder sa confiance.


Jérémy Menez veut sortir du banc.
La probabilité est extrêmement faible, mais elle a au moins le mérite d'exister. Avec Gomis, Rémy et désormais Cissé, Jérémy Ménez fait partie des joueurs cités par Laurent Blanc susceptibles de pallier le forfait de Karim Benzema contre l'Albanie, vendredi au Stade de France. L'intéressé n'objecte pas : «Depuis tout petit, j'ai tout le temps évolué dans l'axe, sauf ces deux-trois dernières saisons. Ça me ferait retrouver quelques sensations» . A choisir, l'attaquant préférerait le côté gauche, celui qui lui permet de rentrer sur son bon pied. Mais avec seulement six sélections au compteur, il ne se trouve pas en position de revendiquer quoi que ce soit. Après avoir été cantonné au banc des remplaçants en Albanie et en Roumanie le mois dernier, Ménez aspire d'abord «à montrer des choses sur le terrain» : «Je m'en sens capable ».

Il appartient à cette catégorie de joueurs prisés par le sélectionneur : ceux capables de dribbler et de faire la différence individuellement.
Entre les absences de Benzema, Ribéry et Gameiro, le bon début de saison du PSG auquel il a contribué (1 but, 3 passes décisives) et dont il espère tirer profit, l'ancien Romain se trouve des raisons d'y croire. Il appartient à cette catégorie de joueurs prisés par le sélectionneur : ceux capables de dribbler et de faire la différence individuellement. «Mes qualités premières» , dit-il. Alors que les organismes sont soumis à rude épreuve, en témoigne l'hécatombe de blessés qui sévit dans les rangs tricolores, le joueur de 24 ans présente également l'avantage de se «sentir super bien» . Mieux en tout cas qu'en début de saison, lorsqu'on lui reprochait de ne pas être assez concerné par le repli défensif. «Je n'étais pas au top physiquement, plaide-t-il. J'avais du mal à revenir, mais aujourd'hui, c'est fini» .

«Professionnalisme et rigueur»
Cette embellie, Ménez l'explique par le travail physique qu'il s'impose depuis son passage en Italie. Là-bas, l'ancien Sochalien a appris «le professionnalisme et la rigueur» . Deux notions qu'il applique au quotidien sous les couleurs du Paris-SG. «On arrive presque tous trois quarts d'heure avant l'entraînement pour faire notre muscu, raconte-t-il. Quand on n'est pas habitué, c'est dur, mais aujourd'hui, ça me sert, j'en ai besoin, et je sens que j'ai progressé» . Suffisamment pour prétendre à une place de titulaire vendredi ? «Le coach n'a donné aucune indication...» Qu'il soit sur le pré, sur le banc ou en tribunes, Ménez exhorte de toute façon ses équipiers à «garder la ligne de conduite» fixée par Laurent Blanc, et ce en dépit des indisponibilités. «On a commencé une belle aventure, ça serait dommage d'en rester là...»