PROGRAMME DES MATCHS OLYMPIENS....

Ils se sont enfin libérés
LE JEU Longtemps en berne, l’animation olympienne a été à la hauteur du potentiel offensif après la pause

Les Olympiens ont su
s’appuyer sur un jeu
en mouvement d’une
franche efficacité

Valbuena a donné le tournis à la défense lilloise avant de permettre à Rémy d’égaliser. L’OM a bien réagi


Il s’est équilibré après le repos,
quand l’OM a réussi à se souvenir
qu’il était capable de faire circuler
le ballon et avait en sa possession
des arguments autrement plus décisifs
que regarder jouer l’adversaire.
Lille a aussi baissé de pied, affecté
par son match de jeudi en Ligue
Europe. Techniquement très irrégulier,
le débat a été assez correct,

Si l’OM attendait un vrai déclic
cette saison, celui-ci est
peut-être survenu, hier soir.
Tellement prévisible dans son jeu,
ces derniers temps, le champion de
France a enfin présenté une palette
nettement plus variée et plus séduisante.
Il lui a fallu une mi-temps
pour se libérer, mais cela valait la
peine de patienter. Car ses accélérations,
sa progression à une touche
de balle et ses permutations incessantes
ont fini par étouffer une formation
lilloise longtemps omniprésene
pourtant.
Après avoir complètement fait
abstraction de cette base essentielle,
l’OM a su s’appuyer sur un jeu
en mouvement d’une franche efficacité.
Statiques, amorphes et subissant
l’impact physique du Losc
avec une rare passivité, les Olympiens
ont fait craindre le pire en 1re
période. Avec une animation offensive
au point mort, ils se dirigeaient,
alors, tout droit vers le
K.-O. Remanié avec l’intégration
de Kaboré, suppléant Cissé blessé
et aligné au côté d’André Ayew ( titularisé
pour la deuxième fois d’affilée
en relayeur), l’entrejeu ne pesait
pas suffisamment sur les débats.
D’autant que Lucho Gonzalez,
totalement absent, n’assurait
pas son rôle, alors, de premier défenseur
et de distributeur.
Dans la lignée de ses précédentes
sorties, l’OM n’avait toujours pas
les idées en place à ce moment-là.
Cette somme de carences passe encore
devant des oppositions aussi
peu consistantes que Nancy et Zilina,
deux formations dominées malgré
un allant offensif qui avait déjà
été proche du néant (1-0 à chaque
fois). Mais c’est évidemment un
état qui ne pardonne pas sur la pelouse
d’un adversaire homogène
dans toutes ses lignes, saignant et
imaginatif. Hier, le Losc n’a pas seulement
été entreprenant dans le
camp olympien, il a su également
se montrer le plus souvent compact
dans sa propre partie de terrain.
Après la pause, l’OM a donc
dû hisser son niveau de jeu et multiplier
les enchaînements dans la latéralité
comme en profondeur
pour déstabiliser un ensemble nordiste
trop peu sollicité jusque là.
Cette intention a parfaitement fonctionné
sur le premier but de Rémy
astucieusement décalé par Valbuena
qui avait d’ailleurs été l’Olympien
le plus véloce et le plus inspiré
en 1re période.
Sur ce coup-là, l’ancien Libournais
a judicieusement quitté son
couloir gauche pour repiquer, exploitant
au mieux une relance instantanée
de Mandanda et suppléant
Lucho dans l’axe. En revanche,
ce dernier fut bien à sa place
pour ajuster Landreau sur le 2e but
olympien. Sur cette séquence, l’international
argentin hérita d’un service
bien dosé de Gignac, parti à
toute vapeur sur le côté droit. Trop
figé au cours des 45 premières minutes,
le Martégal s’était également
mis au diapason de ses partenaires.
Si cela pouvait le débloquer pour
de bon.


Hervé Piccirillo
aurait pu siffler
une faute sur Valbuena
à l’entrée
de la surface
(10e). Il aurait pu
en faire de même
et signaler un pénalty
sur Rémy, accroché du
bras par Béria, dans la zone de
vérité (60e).



On se doutait bien que le début de
saison du Losc n’était en rien
conforme avec son réel potentiel.
Depuis quelque temps déjà, cette
équipe monte en puissance à l’instar
de sa petite perle Eden Hazard.
En 1re mi-temps, ce dernier
n’a cessé de permuter avec Sow et
Gervinho sur le front de l’attaque.
Mais la formation nordiste, trop
déséqulibrée, a fini par craquer défensivement.


2’ Mandanda en deux temps
Les Dogues mettent le feu dès le début de match dans la
défense olympienne. Cabaye, d’une frappe soudaine à
l’entrée de la surface, contraint Mandanda à se coucher
puis à écarter le danger du pied.
18’ Gervinho n’en profite pas
Diawara rate sa relance. Hazard récupère et trouve
Gervinho. L’Ivoirien progresse le long de la ligne des six
mètres mais bute sur Mbia qui dévie en corner.
26’Cabaye concrétise
Déjà auteur d’un coup franc qui avait obligé
Mandanda à s’envoler (22), le milieu de poche
lillois est dans tous les bons coups. Il résiste
à Kaboré dans l’axe, lance astucieusement Hazard dont
le centre est renvoyé par Mbia. Cabaye est à la réception
et ouvre la marque d’une frappe parfaite du plat du pied.
Lille 1 - 0 OM
39’ Gignac sans conviction
En manque de ballons, l’attaquant olympien se précipite
lorsqu’il se retrouve en position de tirer. Sa frappe
enroulée des 20 mètres n’inquiète pas Landreau qui n’a
qu’à capter facilement la balle. L’OM est hors du coup...



53’Valbuena et Rémy débloquent l’OM
Mandanda vient encore d’être sollicité par
Gervinho (52), mais les Olympiens, à la
peine en première période, affichent de
bien meilleures intentions. Valbuena donne le tournis à
l’arrière-garde lilloise et décale astucieusement Rémy
qui égalise d’une frappe puissante en pleine lucarne.
Lille 1 - 1 OM
71’Lucho, la délivrance…
L’Argentin, discret jusqu’alors, est à l’affût
à l’entrée de la surface et donne l’avantage à
l’OM d’une frappe détournée par Mavuba. Ouf…
Lille 1 - 2 OM
81’Rémy, encore lui !
L’OM a complètement changé de visage. Rémy,
déjà auteur de l’ouverture du score, aggrave la
marque en reprenant d’une tête piquée un corner
superbement frappé par Cheyrou.

ILS VONT AVALER TOUS CRUS LES BRETONS DE NOEL



L'OM s'est enfin libéré lundi 25 octobre 2010 à 19H18

Longtemps en berne, l'animation olympienne a été à la hauteur du potentiel offensif après la pause


Le bloc olympien se jette sur Lucho, qui donne l'avantage. L'OM réussit un joli coup mais revient de très loin face à Lille...



Si l'OM attendait un vrai déclic cette saison, celui-ci est peut-être survenu, hier soir. Tellement prévisible dans son jeu, ces derniers temps, le champion de France a enfin présenté une palette nettement plus variée et plus séduisante. Il lui a fallu une mi-temps pour se libérer, mais cela valait la peine de patienter. Car ses accélérations, sa progression à une touche de balle et ses permutations incessantes ont fini par étouffer une formation lilloise longtemps omniprésene pourtant.

Après avoir complètement fait abstraction de cette base essentielle, l'OM a su s'appuyer sur un jeu en mouvement d'une franche efficacité. Statiques, amorphes et subissant l'impact physique du Losc avec une rare passivité, les Olympiens ont fait craindre le pire en 1re période. Avec une animation offensive au point mort, ils se dirigeaient, alors, tout droit vers le K.-O.

Remanié avec l'intégration de Kaboré, suppléant Cissé blessé et aligné au côté d'André Ayew ( titularisé pour la deuxième fois d'affilée en relayeur), l'entrejeu ne pesait pas suffisamment sur les débats. D'autant que Lucho Gonzalez, totalement absent, n'assurait pas son rôle, alors, de premier défenseur et de distributeur.

Dans la lignée de ses précédentes sorties, l'OM n'avait toujours pas les idées en place à ce moment-là. Cette somme de carences passe encore devant des oppositions aussi peu consistantes que Nancy et Zilina, deux formations dominées malgré un allant offensif qui avait déjà été proche du néant (1-0 à chaque fois). Mais c'est évidemment un état qui ne pardonne pas sur la pelouse d'un adversaire homogène dans toutes ses lignes, saignant et imaginatif.

Hier, le Losc n'a pas seulement été entreprenant dans le camp olympien, il a su également se montrer le plus souvent compact dans sa propre partie de terrain. Après la pause, l'OM a donc dû hisser son niveau de jeu et multiplier les enchaînements dans la latéralité comme en profondeur pour déstabiliser un ensemble nordiste trop peu sollicité jusque là. Cette intention a parfaitement fonctionné sur le premier but de Rémy astucieusement décalé par Valbuena qui avait d'ailleurs été l'Olympien le plus véloce et le plus inspiré en 1 re période.

Sur ce coup-là, l'ancien Libournais a judicieusement quitté son couloir gauche pour repiquer, exploitant au mieux une relance instantanée de Mandanda et suppléant Lucho dans l'axe. En revanche, ce dernier fut bien à sa place pour ajuster Landreau sur le 2e but olympien. Sur cette séquence, l'international argentin hérita d'un service bien dosé de Gignac, parti à toute vapeur sur le côté droit. Trop figé au cours des 45 premières minutes, le Martégal s'était également mis au diapason de ses partenaires. Si cela pouvait le débloquer pour de bon.

monzon9226/10/2010 à 07h00
Pour les inconditionnels !!!!!"Didier Deschamps a reconnu en conférence de presse avoir commis certaines erreurs lors cette rencontre comptant pour la 10e journée :« Je me suis trompé en première période. J’avais prévu de le laisser venir. Mais on a été attentistes comme si on avait le cul entre deux chaises. En deuxième mi-temps, la consigne était d’aller les chercher plus haut et de leur mettre la pression. Alors on a eu un résultat "

DEMAIN
Guingamp - OM ...............17h, France 2
SAMEDI 30 OCTOBRE
OM- Rennes ............21h, Orange Sport
MERCREDI 3 NOVEMBRE
Zilina - OM .....................20h45, Canal+
DIMANCHE 7 NOVEMBRE
PSG - OM.............................21h, Canal+
SAMEDI 13 NOVEMBRE
OM- Lens .............................19h, Foot+
SAMEDI 20 NOVEMBRE
Toulouse - OM ...............horaire à fixer
MARDI 23 NOVEMBRE
Spartak Moscou - OM..................18h30
SAMEDI 27 NOVEMBRE
OM- Montpellier ...........horaire à fixer

Souffrant d'une contusion à une cheville depuis dimanche et la victoire marseillaise à Lille (2-3, 10e j. de L1), Mathieu Valbuena a dû se résoudre à déclarer forfait pour le déplacement à Guingamp ce mercredi (17h00) pour le compte des huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue.

Par ailleurs, Didier Deschamps a décidé de laisser Steve Mandanda et Gabriel Heinze au repos. En revanche, Charles Kaboré, gêné ces derniers jours par des douleurs au genou droit, est finalement opérationnel.

Le groupe marseillais
Riou, Andrade - Azpilicueta, Diawara, N'Diaye, Taiwo, Sabo - Abriel, Cheyrou, Kaboré, Lucho Gonzalez, A. Ayew, Mbia, Cissé - Rémy, J. Ayew, Brandao, Gignac

Guingamp-OM : ce serait bon pour le moral mercredi 27 octobre 2010 à 07H20


Ménagé à Lille, Taye Taiwo retrouve ce soir sa place de titulaire ainsi que le brassard de capitaine avec pour mission de ramener la qualification de Bretagne.
Ils étaient plus de 15 000, le 28 mars dernier, autour du Vieux-Port, à chanter leur fierté, leur passion pour le maillot blanc. À bord d'un bus à impériale, puis au balcon de la mairie, les Olympiens avaient salué une foule en délire. Bien sûr, il ne s'agissait "que" de la coupe de la Ligue; mais après dix-sept interminables années sans titre majeur (champion de D2 et coupe Intertoto n'ont pas marqué les esprits), cela valait bien un triomphe.

http://www.laprovence.com/article/om-a-la-une/guingamp-om-ce-serait-bon-pour-le-moral
A fortiori au terme d'une finale magnifique face au champion de France en titre, Bordeaux (3-1), dans une enceinte de Saint-Denis enfin porte-bonheur pour l'OM; une nuit de fête qui venait conclure un parcours semé d'embûches (qualifications à Saint-Étienne dans le temps additionnel 3-2, contre Lille dans la douleur 2-1 et à Toulouse en prolongation 2-1).

Au moment d'entrer en lice, cet après-midi, dans la compétition chère à Frédéric Thiriez, les Olympiens auront sans doute en tête la suite de leur marathon : Rennes dans son habit de leader samedi au Vélodrome, la manche retour à Zilina et, enfin, le PSG au Parc. Trois virages à ne pas louper en à peine huit jours; et l'addition pourrait encore se corser en cas de qualification pour les quarts de finale, programmés pour les hommes de Didier Deschamps le mercredi 10 novembre, soit soixante-douze heures avant la réception de Lens... Ouf !

"Je veux aller gagner à Guingamp, même si je serai obligé de faire souffler certains joueurs", a lancé Didier Deschamps. Un discours qu'il répétera aujourd'hui encore à son onze de départ probablement inédit, mais extrêmement motivé. Et si Guingamp n'a rien de glamour, ni sur le terrain où l'équipe a chuté au printemps dernier en National (actuellement 2e), ni à l'extérieur où la capacité du stade du Roudourou est pile le double de la population de la ville (18 000 contre 9 000...), les Olympiens ont un rang à tenir et auraient du mal à assumer une humiliation devant un club de troisième zone.

VICTOIRE ETRIQUEE 1 A 0 DE L EQUIPE IBIS AVEC UN ANDRADE DE CIRQUE DANS LES BUTS QUI GARDE MIRACULEUSEMENT SA CAGE INVIOLEE

CARTONS ROUGES AUX DEUX COMMENTATEURS DE FR2
EMMANUEL PETIT ET KADER BOUDAOUD ...UN VRAI SUPPLICE DE LES ECOUTER

BUT DE ANDRE AYEW
ABRIEL M A ENORMEMEN DECU

Deschamps : "J'ai atteint mes trois objectifs"
27 contributions Publié le jeudi 28 octobre 2010 à 07H18


André Ayew a marqué le seul but de la rencontre.


Voici la réaction de Didier Deschamps après la victoire de l'OM à Guingamp et la qualification en quart de finale de cette compétition que les Olympiens ont remporté la saison dernière.

- Mission accomplie avec cette qualification pour les quarts ?
On était venu pour ça, on repart avec, donc c'est l'essentiel. Je n'ai pas été surpris de la qualité du jeu de Guingamp, car j'avais vu leur match contre Rennes (3-1 au tour précédent). Nous avons eu du mal à trouver l'agressivité et la motivation nécessaires et, au final, on mène 1-0 sur notre seule occasion à la mi-temps. Eux étaient prêts.

- Vous ne retirez que des satisfactions de cette soirée ?
J'avais trois objectifs ici: la qualification, faire récupérer plusieurs joueurs et repartir sans pépins. On a pratiquement rempli ces trois conditions, même si Cissé a ressenti une nouvelle douleur à sa cuisse et Mbia s'est plaint d'un coup à la hanche, déjà touché à Lille.

- Êtes-vous déçu de ne pas avoir vu davantage de détermination chez les "habituels remplaçants" de votre équipe ?
Je n'en ai pas vu beaucoup d'agressifs, qu'ils aient débuté ou non à Lille... Je peux comprendre le contexte. On aurait gagné à privilégier la simplicité dans le jeu. Quand je vois Lucho, c'est une ou deux touches de balle et, donc, autour ça bouge et on trouve des espaces. C'est mieux que quatre ou cinq... On a fait les efforts mais on n'a pas été très explosifs.

Expulsé contre Montpellier pour une charge
plus spectaculaire que violente, le capitaine
du Stade Rennais n’a pas été "blanchi" hier
soir par la commission de discipline de la Ligue.
Malgré la défense assurée notamment
par Pierre Dréossi, le manager général du
club breton, Kader Mangane - qui s’est entraîné
hier avec les "remplaçants" - sera suspendu
demain contre l’OM.
Du coup, c’est Rod Fanni - tout juste remis
d’un claquage - qui devrait le remplacer en
charnière centrale ; hier matin, le Martégal a
confié qu’il s’agissait là "d’une option, mais
que rien n’était figé".
L’équipe probable : Douchez - Danzé, Fanni,
Kana-Biyik, Théophile-Catherine - Mvila - Kembo,
Tettey, Dalmat, Marveaux - Montano.

équipes probables.

A 21 heures
MARSEILLE - RENNES
Arbitre : M. Fautrel
Marseille: Mandanda (cap) - Azpilicueta, K. Diawara, Mbia (Heinze), Taiwo (ou Heinze) - Lucho, Kaboré, A. Ayew (ou Be. Cheyrou) - Rémy, Gignac, Valbuena
Rennes: Douchez - Danzé, Fanni, Kana-Biyik, Théophile-Catherine - Mvila - Dalmat, Tettey - Kembo, Montano, S. Marveaux

En raison des fortes pluies qui s'abattent sur Marseille
méteo france a lancé une vigilance orange
le match pourrait etre reporté

si le temps le permet demain
OM - Rennes, dimanche à 17h

SPECTATEUR AU VELODROME JE TE DIS PAS SOUS LE DELUGE
PAS DE QUOI S ABRITER UNE VRAIE F GALERE




samedi 30 octobre 2010 23:59
«La décision s'imposait»
La décision de reporter OM-Rennes à dimanche a été acceptée par tous. «C'était impossible de jouer», dit Antonetti. «Dangereux», ajoute Anigo.




Les pluies ont provoqué le report d'OM - Rennes
Pour le choc au sommet de la 11e journée, il faudra attendre. En raison de très mauvaises conditions météorologiques, Marseille-Rennes a été reporté à dimanche 17h00. Une décision qui n'a pas provoqué de remous.

Frédéric Antonetti ne pourra pas se plaindre de l'accueil qui lui a été fait, ce samedi, à Marseille. Un vrai accueil de Breton, avec des pluies diluviennes matinées de bourrasques de vent, du froid ... De quoi se sentir pleinement chez lui. Ces conditions météorologiques dantesques ont logiquement poussé le corps arbitral à décréter le report de la rencontre au dimanche 31 octobre 17h00, avec décision finale prise à 13h00. «Le match est bien reporté à demain (dimanche, NDLR). La LFP a prévu 17h00, le corps arbitral sera donc présent à 13H00 ici pour prendre une décision définitive en fonction de l'évolution de la météo», a expliqué l'arbitre de la rencontre, M. Freddy Fautrel, avant de confirmer l'état très critique de la pelouse du Vélodrome : «Il y a de très très nombreuses flaques. Déjà en arrivant à 19h15, j'étais très pessimiste sur l'état du terrain. Je n'ai pas eu besoin de faire le test du ballon.»

Marseillais comme Rennais, qui se sont réunis pour discuter du déroulement des événements, n'ont rien objecté à la chose : «Les deux parties ont accepté la décision car vu l'état du terrain, elle s'imposait d'elle même», a assuré l'arbitre. «C'est toujours embêtant mais c'est comme ça, on s'adapte. Là, c'était vraiment pas possible», a assuré Frédéric Antonetti. «Il n'y a pas eu débat sur l'idée de joueur ou non ce soir. Jouer, c'était impossible et dangereux, a convenu le directeur sportif de l'OM, José Anigo. On a vraiment envie de jouer demain : s'il y a une accalmie, il faudra que cela se fasse.» Un impératif qui se comprend bien pour les Phocéens, qui doivent assurer un long déplacement à Zylina en Ligue des champions mercredi. «Si on ne joue pas demain, ce sera très difficile de caser le match dans notre calendrier. Demain n'est certes pas la meilleure solution car on joue trois jours après, mais on n'a pas le choix», a poursuivi José Anigo. Les techniciens du stade devront donc évacuer le maximum d'eau ce soir mais «s'il tombe autant d'eau dans la nuit, ce sera compliqué». Et en terme de préparation, les deux équipes vont devoir composer avec ces circonstances exceptionnelles. Le programme de Frédéric Antonetti ? «Vous voulez savoir ce qu'on va faire ? Et ben on va manger et on va aller dormir!» - A.-S. BOURDET, à Marseille *Les billets du match de ce samedi seront valables dimanche

: les Bouches-du-Rhône en vigilance orange à partir de 12 heures
Publié le dimanche 31 octobre 2010 à 08H18


Météo France a émis un nouveau bulletin de vigilance Orange pour les départements des Alpes-Maritimes, des Bouches-du-Rhône, du Gard, de l'Hérault, de la Lozère et du Var. Et ce, à compter de 12h05 ce dimanche 31 octobre jusqu'au lundi 1er novembre à minuit. De fortes pluies et des orages violents devraient s'abattre dans ces secteurs


le match sera suremnt reporté aux calanques grecques

12h :23 La pluie se calme, le président est arrivé

Alors que la pluie a quelque peu cessé ces dernières minutes, le président Jean-Claude Dassier vient d'arriver au Vélodrome aux alentours de 12h20. On attend toujours l'arrivée des arbitres.

12:46

Les arbitres viennent d'arriver

L'arbitre du match Fredy Fautrel ainsi que ses assistants viennent d'arriver au Vélodrome à 12h45. Ils ont directement rejoint un bureau pour tenir la réunion technique avec toutes les composantes de la rencontre. La décision sur le report ou non du match sera alors connue.

14:07 OM - Rennes : Le match encore reporté !

OM-Rennes : l'arbitre explique sa décision de reporter le match
31/10/2010 à 17:45:27

http://www.laprovence.com/video/OM-Rennes%2B%253A%2B%2Bl%2527arbitre%2B%2Bexplique%2Bsa%2Bd%25C3%25A9cision%2Bde%2Breporter%2Ble%2Bmatch/iLyROoafZVml/laprovence/actualite
Fredy Fautrel explique pourquoi il a choisi de ne pas faire jouer le match phare de cette 11e journée de Ligue1. Une décision somme touteraisonnable, vu l'état du terrain

OM-Rennes : l'inévitable report dimanche 31 octobre 2010 à 15H34
L'arbitre de la rencontre, Fredy Fautrel a pris une sage décision.

La décision de Fredy Fautrel et du délégué Michel Lebrun a été prise quelques minutes après 14 heures. En inspectant la pelouse du stade Vélodrome pour la deuxième fois en une heure, l'arbitre et le délégué de la rencontre ont rendu le verdict le plus sage aux yeux de tous : le report. "Avec mes assesseurs, nous avons agi en notre âme et conscience, dit Fredy Fautrel. L'accalmie météorologique constatée à 13 heures augurait d'une possibilité de pouvoir donner le coup d'envoi, mais avec la nouvelle averse, le risque était trop grand."

Les précipitations ont recommencé à tomber sur Marseille quelques minutes avant sa sortie du tunnel, succédant à une éclaircie apparue vers 12h45. Deux zones du terrain ont particulièrement attiré son attention : les parties latérales proches des poteaux de corner, situés à proximité du virage Sud. Malgré un drainage du terrain efficace, d'imposantes flaques d'eau subsistaient : "La sécurité des joueurs n'étaient pas assuré", poursuit l'arbitre qui a confié aux dirigeants olympiens sa crainte de voir un stade vide et le peu de spectacle donné aux supporters, en cas de maintien.

Fredy Fautrel a vu juste. L'équipe rennaise, en attente dans un hôtel à Marignane, a pris un avion à 16 heures pour rejoindre la Bretagne où elle s'entraînera aussitôt arrivée. Les Olympiens étaient au vert au centre d'entraînement Robert Louis-Dreyfus et ont participé à une séance aussitôt que Didier Deschamps a appris de la voix du coordinateur sportif, Louis Vassallucci, le renvoi de la rencontre.

Il reste maintenant à trouver une date pour reprogrammer ce rendez-vous. Les discussions ont commencé dès samedi soir. Le 1er et le 15 décembre semblent convenir aux deux parties, mais la décision finale appartient à la commission d'organisation des compétitions. Celle-là même qui attend toujours de préciser combien de supporters olympiens peuvent monter au Parc des Princes, pour PSG - OM du 7 novembre.

Zilina-OM : voyage au bout de l'insolite
5 contributions Publié le mardi 02 novembre 2010 à 07H30

Avant Zilina, l'OM avait déjà effectué des déplacements peu communs en Coupe d'Europe


Infographie LP


Destination, l’inconnu ! Tout à l’heure, l’OM atterrira à Zilina, nouveau point de chute sur la scène des compétitions européennes. Un adversaire mystérieux, des infrastructures assez sommaires, un environnement pour le moins dépaysant : cette étape slovaque n’a rien d’ordinaire. Ce n’est pas la première fois que l’OM prend la direction d’un endroit aussi peu anodin. L’histoire continentale du club olympien est balisée par des escales de ce type, autant de haltes propices aux anecdotes cocasses et aux images fortes. Revue des expéditions les plus marquantes avec les témoins de l’époque. (augmenter la taille de la carte)


1968 : IZMIR - DJORKAEFF : "LE PLONGEON D'ESCALE"
C'est pratiquement le grand saut européen pour l'OM qui avait juste effectué une première excursion en Belgique, face à l'Union Royale Saint-Gilloise six ans plus tôt, déjà dans le cadre de la Coupe des Villes de Foire. Mais pour l'équipe de Robert Domergue, ce déplacement en Turquie a d'abord été un grand plongeon. Celui du gardien Jean-Paul Escale dans le port d'Izmir. "C'était la veille du match, raconte Jean Djorkaeff en souriant. On s'était baladés sur le port et Jean-Paul avait malencontreusement glissé dans une eau qui n'était vraiment pas propre! On s'était tous écroulés de rire. Mais on avait vite repris nos esprits, car avec les barges, l'endroit était quand même dangereux et on s'était empressés de remonter Jean-Paul. Le lendemain, le match fut encore plus houleux (2-0)!"

1970: TRNAVA - LOUBET : "EN PLEIN RIDEAU DE FER"
Deux ans plus tard, c'est sur le même score que l'OM devait s'incliner à Trnava, première escale du club en Slovaquie, trente ans avant Zilina. "Ce pays n'était pas encore indépendant (la Slovaquie faisait partie de la Tchécoslovaquie, ndlr) et on était à l'époque du Rideau de fer, témoigne Charly Loubet. Je me souviens de tous ces gens qui faisaient la queue devant les magasins pour manger. Ils avaient faim. C'était dramatique. C'est le genre d'images que l'on ne peut pas oublier."

1971 : ZABRZE - LOPEZ : "L'ÉMOTION À AUSCHWITZ"
Quand ils débarquent en Pologne, les Olympiens de Lucien Leduc sont saisis par le froid. "Il a également plu tout au long du match, se souvient Jean-Pierre Lopez. Dans les tribunes, ce n'était qu'une forêt de parapluies!" Dans le Stadion Slaski de Chorzow, les conditions étaient compliquées, mais l'OM allait assurer sa qualification pour les 8es de finale de la Coupe des clubs champions. La force de résister, les Olympiens l'avaient peut-être puisée, la veille, lors de la visite de l'ancien camp de concentration d'Auschwitz. " Cela nous avait tous marqués, confie Jean-Pierre Lopez, la gorge encore nouée. Au retour, plus personne ne parlait dans le car."

1975 : IÉNA - GRANSART : "LA BALADE AVEC DES POLICIERS"
Dans le bus qui le menait de l'aéroport jusqu'à la ville d'Iéna, à son arrivée en Allemagne de l'Est, Roland Gransart avait été d'abord frappé, lui, par "les éclairages de gros tracteurs dans les champs en pleine nuit". D'autres images sont intactes dans la mémoire de l'ancien défenseur olympien. "Le matin du match, indique-t-il encore, on avait effectué la traditionnelle balade et pour celle-ci, on avait été étroitement encadrés par des policiers en civil. On ne risquait pas de s'échapper de 20 mètres!"

1990 : TIRANA - PARDO : "SUR UNE AUTRE PLANÈTE" Facile vainqueur à l'aller, l'OM a pratiquement son billet pour les 8es de finale de la C1 en poche lorsqu'il rallie Tirana. " Ce fut un choc!, s'exclame Bernard Pardo. L'Albanie était un pays qui manquait de tout. On avait même dû changer d'hôtel tant le nôtre était insalubre. Dans la rue, les gens nous demandaient sans cesse des médicaments, des vêtements... Beaucoup circulaient en charrette. C'était vraiment surprenant. Nous étions sur une autre planète."

1/4 DE FINALE COUPE DE LA LIGUE
OM-MONACO
mercredi 10 novembre 2010 à 20h45
Stade Vélodrome
+ d’infos
PRIX DES PLACES :
Officielle 30 €
Prestige 25 €
Honneur 20 €
Jean Bouin 15 €
Ganay Centre 10 €
PLACES DISPONIBLES :
- Sur le site Internet Officiel OM.net
- Par téléphone au 3229 (0,34€/min)
- Musée Boutique stade Vélodrome
- Boutique officielle OM St Férreol
- Made in Sport Vitrolles - CCS Marseille
- Pro Shop Miramas
- Brasserie du Cap Plan-de-Campagne
- Sur le site www.digitick.com
- Magasins Carrefour, Fnac, Géant, Système U,
Intermarché Leclerc, Virgin et Auchan, dans toute la France

PSG-OM : les supporters olympiens contre-attaquent mardi 02 novembre 2010 à 16H47
Les différentes associations de supporters de l'OM ont réagi rapidement. Après avoir pris connaissance de la décision de la Commission d'organisation des compétitions de fermer la tribune visiteurs du Parc des Princes, dimanche pour le clasico, elles ont décidé de contre-attaquer. Après réflexion avec leurs avocats, elles ont déposé, aujourd'hui en fin d'après-midi, au tribunal administratif de Marseille une demande d'exécution de l'ordonnance rendue par ce même tribunal la semaine passée et une fixation d'astreinte pour la LFP.

ZILINA BUDGET 5 M€ COMME UN BON CLUB DE NATIONAL EN FRANCE
A ETE REMIS A LA PLACE QU ELLE AURAIT DU DEJA AVOIR AU MATCH ALLER

NE PAS TIRER DE PLANS SUR UNE EQUIPE QUI JOUE UN CLUB SI FAIBLE

L'OM n'a pas fait de sentiment 03/11/2010 22:34


La très faible équipe de Zilina n'a pas pesé bien lourd face à l'OM (0-7), qui reste en course pour une qualification en huitièmes de finale grâce au plus large succès en Coupe d'Europe de son histoire. Marseille a préparé le Clasico face au Paris-SG, dimanche, de la meilleure des façons.

L'OM avait le couteau sous la gorge avant ce déplacement exotique sur la pelouse de Zilina, champion de Slovaquie. Il se l'est mis entre les dents dès le coup d'envoi. Les modestes Jaune et Vert, au niveau de jeu digne d'une petite équipe de National, voire de CFA, n'ont rien pu faire pour empêcher le club phocéen de remporter le plus large succès de son histoire en Coupe d'Europe. La démonstration, qui a débuté dès la 12e minute avec le premier but de Gignac en Ligue des champions, de la cuisse, s'est prolongée tout au long de la rencontre.

Gignac ouvre son compteur en C1
L'attaquant marseillais, qui n'avait marqué qu'un but sous ses nouvelles couleurs en deux mois et demi de compétition, en a profité pour se remonter le moral en s'offrant un triplé face à une défense slovaque pour le moins accueillante (12e, 21e, 54e). Le premier de sa carrière en Ligue des champions, et son premier tout court depuis le 26 août 2006, lorsqu'il jouait à Lorient (3-1 contre Nantes). Entre-temps, Heinze (24e), Rémy (36e) et Lucho (51e) avaient corsé l'addition. Il n'y a donc pas eu de match, mais les Marseillais ont respecté l'adversaire en marquant sur presque toutes leurs attaques, sans la jouer trop facile.

Une victoire à Moscou suffirait...
La joie de Lucho après le septième but, d'un plat du pied serein alors qu'il était seul face au pauvre Dubravka (63e), a d'ailleurs prouvé que la mission était accomplie, et bien accomplie. L'OM s'est offert une finale dans ce groupe F, le 23 novembre prochain à Moscou, face au Spartak. Le goal-average étant désormais soigné (+5) par rapport aux Moscovites (-1), étrillés à Chelsea (1-4) à cause d'Anelka (49e), Drogba (62e) et Ivanovic (66e, 90e+2), une victoire au stade Luzhniki permettrait à l'OM de passer. Pas encore de quoi pavoiser, d'autant que dimanche se jouera un autre gros choc face au Paris-SG. Mais l'OM ne pouvait pas mieux le préparer

Pas de boycott, ni de DH" (Dassier)
jeudi 04 novembre 2010 à 16H36
Prévue ce jeudi après-midi, la réunion entre l'OM et les groupes de supporters s'est finalement tenue aujourd'hui en milieu de journée, dans la salle de presse du centre Robert Louis-Dreyfus. Les différentes parties ont décidé d'attendre la décision du tribunal administratif de Marseille, dont l'audience est prévue vendredi à 14 heures. Tout le monde semble être sur la même longueur d'onde. "Il n'y a pas eu de problème. Il n'a même pas été question d'un boycott de la rencontre, ni même d'envoyer la DH ou les féminimes. Les supporters se sont montrés responsables", nous a confié Jean-Claude Dassier.


cheik-is-back04/11/2010 à 19h14 | 2
(2/2) vite un kleenex
On peut quand même dire que Mr-Dassier, à encore fait la Girouette, décidément peu stable ce volatile… Je n’appréciais pas particulièrement Pape pour diverses raisons mais au moins il tenait bon sur ce genre de Guéguerre de genre…

Bon, cette fois on parle sérieusement : Tout le monde est content, les espaces de pub et les journaux se sont bien vendu ? On imagine aisément que oui et c’est bien là le principal ! et aller zou on met en vente les places de la ligue avec une petite plus-value histoire d’être conforme à la pratique… et le bénéfice net se monte à : Chut c’est pour la cause…

Merci de m’insulter chacun son tour, j’essaierais de répondre à ça cette nuit… là je retourne bosser… @+