DIVERS FOOT BLEU

ils sont 4 en rouge de cette generation 1987 dans la liste des 22

Équipe de France - Vainqueur du championnat d'Europe 2004 des moins de 17 ans
1 Costil • 2 Josse • 3 Mangani • 4 El Mourabet • 5 Thicot • 6 Ducasse • 7 Songo'o • 8 Yahiaoui • 9 Menez • 10 Nasri • 11 Ben Arfa • 12 Akakpo • 13 Apo • 14 Constant • 15 Marseille • 16 Riou • 17 Cesto • 18 Benzema • 19 Erding • Entraîneur : Bergeroo

pour une fois il a pas tort
Equipe de France : Larqué juge "scandaleux" d'obliger Blanc à "devoir sanctionner"
Jean-Michel Larqué, ancien capitaine de l'équipe de France de football, a estimé "scandaleux" d'obliger le nouveau sélectionneur Laurent Blanc à "prendre lui-même des décisions concernant les 23 d'Afrique du Sud", dans une interview à Sud Ouest Dimanche. "Il était la dernière personne à devoir sanctionner des gens qui n'étaient pas sous sa responsabilité au moment des faits incriminés", ajoute Larqué, ex-commentateur de TF1, pour qui cette situation "souligne l'incompétence du conseil fédéral". AFP

Jusqu'où cette tragédie à la française va-t-elle aller ?
Après la convocation de Patrice Evra, Nicolas Anelka, Franck Ribéry, Eric Abidal et Jérémy Toulalan déférés en raison de leur implication présumée dans l'histoire du « bus de la honte », c'est au tour de Raymond Domenech et de Jean-Pierre Escalettes d'être convoqués par la Fédération française de football en tant que témoins.

L'ancien sélectionneur des Bleus et l'ex président de la fédératio
n feront le voyage en compagnie de Jean-Louis Valentin, l'ancien directeur général adjoint de la FFF et de l'entraîneur adjoint Alain Boghossian.

Pour Jean Lapeyre, directeur général adjoint de la FFF
, qui annonce clairement qu'il va y avoir un « débat contradictoire » :
«C'est bien d'avoir un éclairage avec les personnes
qui étaient présentes en Afrique du Sud et
qui étaient partie prenante.»

Quelle équipe contre la Norvège ?
Hier, Laurent Blanc a
aligné deux formations :
la première en 4-4-2
(Ruffier - Fanni, Rami, Mexès, Cissokho - Ben Arfa,
L. Diarra, M'Vila, Ménez - Benzema, Hoarau),

l’autre en
4-2-3-1 (Ruffier - Fanni, Rami, Mexès, Cissokho -
L. Diarra, Cabaye - Ben Arfa, Nasri, Ménez - Benzema

quelquefois certains me fatiguent de leur discours paroles paroles même lui hidalgo je l'ecoute pas tjs

là je trouve que son approche est bonne





Faire passer un message : "le plaisir avant tout".
Blanc doit aller à l'essentiel.
Il doit prôner la simplicité.
Jouer simple, c'est déjà faire preuve de génie. »




Mercredi soir, Laurent Blanc inaugurera son costume de sélectionneur face à la Norvège. Un moment «déterminant», qu'a connu Michel Hidalgo en 1976. Pour Francefootball.fr, l'ancien patron des Bleus détaille l'importance de ce premier rendez-vous, censé «marquer une forme de rupture».

« Michel Hidalgo, vous souvenez-vous de votre premier match comme sélectionneur de l'équipe de France ?
Parfaitement ! C'était en 1976 (le 27 mars, précisément). On avait fait match nul face à la Tchécoslovaquie (2-2), qui était l'une des plus grandes nations européennes de l'époque. Ce match avait aussi marqué les débuts de Michel Platini en Bleu. Il avait dit à Henri Michel : "laisse-moi le ballon et je marque". Et il avait marqué sur coup franc. C'est ce genre d'anecdotes qui marquent ensuite la vie d'un groupe.

Ce premier match a-t-il une symbolique particulière ?
On l'appréhende toujours parce qu'il débute un nouveau cycle et qu'il est souvent déterminant pour la suite. A mon époque, le contexte n'était pas très favorable, parce qu'on jouait devant notre public, au Parc des Princes, et que l'équipe de France n'était plus rien depuis 1966 ! J'avais un avantage, et non des moindres : auparavant, j'étais l'adjoint de Stefan Kovacs (sélectionneur des Bleus de 1973 à 1975). Je connaissais donc parfaitement les qualités et les défauts de tous les joueurs. Mais devenir sélectionneur, cela donne une responsabilité qui change forcément les rapports avec les joueurs. Il fallait garder la relation de proximité que j'entretenais avec eux, tout en installant une certaine distance.

« Plus qu'un projet de jeu, un projet de comportement »
L'équipe de France sort d'une Coupe du monde chaotique en Afrique du Sud. Ce contexte est-il favorable à Laurent Blanc ?
Incontestablement. Dans ce contexte, il peut plus facilement marquer une forme de rupture avec ce qui s'est fait auparavant. Sa mission, c'est de remettre les pendules à l'heure. De redorer l'image de l'équipe de France. D'imposer un autre style, une autre approche. Plus qu'un projet de jeu, c'est un projet de comportement qu'il doit mettre en place. Il veut imposer du respect, des règles de vie commune. Blanc, c'est un peu une main de fer dans un gant de velours. Sa carrière force le respect. Elle va l'aider à asseoir son autorité.

Quelle sera sa priorité ?
Instaurer un dialogue avec les joueurs. Leur parler, mais surtout, les laisser parler. On peut échanger sur des principes de jeu, les consulter. Mais le sélectionneur doit garder son pouvoir de décision sur le choix des joueurs, la mise en place tactique et l'animation.

« Le système, on s'en fout ! »
Un nouveau sélectionneur doit-il nécessairement introniser un nouveau système de jeu pour imposer sa patte ?
Tout le monde se demande si l'équipe de France va jouer en 4-2-3-1, en 4-4-2 ou en 4-4-machin. Mais on s'en fout ! Le système, c'est secondaire. Déjà, il faudrait savoir avec quel système jouait Raymond Domenech. Ce qui compte, c'est l'animation du jeu. Elle dépend du profil des joueurs. Et, donc, des choix du sélectionneur.

Les joueurs sont arrivés lundi midi et repartiront mercredi soir, après le match amical face à la Norvège. C'est un peu court pour construire une équipe, non ?
Il ne faut pas six mois pour faire une équipe ! En deux jours et demi, on peut déjà jeter les bases du jeu que l'on souhaite pratiquer.


Faire passer un message : "le plaisir avant tout".
Blanc doit aller à l'essentiel.
Il doit prôner la simplicité.
Jouer simple, c'est déjà faire preuve de génie. »

GENERATION 87 ..ON VOUS ATTEND

Malgré le revers concédé, cette rencontre a permis de mettre en lumière la fameuse génération 1987, même s'il reste encore du travail à faire. (Photo

La génération dorée, celle de 1987, a encore du boulot. Emmenée par ses loustics de 23 ans ? Nasri, Ruffier, Rémy, Ménez, Benzema, Ben Arfa, notamment en deuxième période où la plupart ont été alignés, l'équipe de France n'a pas réussi à s'imposer, à Oslo, face à la Norvège. Pire, elle a même perdu (1-2). Mais le score ne comptait pas pour ce premier match de Laurent Blanc sur le banc français. Ce qui est clair en tout cas, c?est que l'ère Raymond Domenech est bel et bien terminée. La banderole brandit par les supporters tricolores avant la rencontre - «Avec Blanc, on sort du noir» - a pris tout son sens. Certes, le résultat n'est pas au rendez-vous, mais le jeu proposé par ces nouveaux Bleus pousse à l'optimisme.

Du bon et du moins bon
Les prestations de Guillaume Hoarau, Loïc Rémy, Moussa Sissoko, Hatem Ben Arfa et même Jérémy Ménez ont été très satisfaisantes. Ils se sont tous mis en évidence offensivement. Le Marseillais s'offrant même l'unique but de sa sélection sur une frappe limpide du gauche dont il a le secret (1-0, 48e). Problème, dans la foulée, le manque d'agressivité de Hoarau a permis aux Norvégiens de revenir à hauteur (1-1, 50e). Puis vingt-deux minutes plus tard, c'était au tour de Lassana Diarra d'offrir un but aux Scandinaves. En perdant bêtement le ballon dans l'entrejeu, le milieu de terrain du Real Madrid a permis au contre de partir et de voir Huseklepp inscrire un doublé (1-2, 72e). Un autre homme a réussi à se mettre en évidence, ce mercredi. Mais lui, pour son excellente prestation : Yann M'Vila. Le milieu de terrain du Stade Rennais, sans pression, a récupéré et animé le jeu en première période, tel un patron. Sans doute le meilleur Bleu. Et il n'a que vingt ans...


Un quatuor intéressant
Entre temps, la génération 1987, qui a fait ses classes ensemble dans toutes les sélections de jeunes, a montré que les joueurs qui la composent ont du talent. Beaucoup même. Les accélérations foudroyantes de Ben Arfa ont mis le feu à la défense norvégienne, les dribbles tout en finesse de Benzema ont été intéressants, même si l'on sent que ce dernier manque de confiance, et la justesse de Ménez mérite d'être revue. De son côté, Samir Nasri, qui avait les clés du jeu, a sans cesse tenté de trouver des brèches et de créer des décalages. Si le résultat n'est pas au bout, avec la répétition des rencontres internationales et des rassemblements français, nul doute que ce savoureux mélange sera à délecter. Il faut juste travailler encore et encore et polir ce diamant qui est entre les mains du nouveau sélectionneur. -

GIGI JE LE SENS PAS BIEN...ET VOUS

APPAREMMENT SES JOUEURS AUSSI




À Marignane, stade Saint-Exupéry. Mi-temps : 0-1.
Arbitre : M. Bouzalmat, assisté de MM. Poree et Moudery.
Buts: Zayatte (35), I. Traoré (52).
Mali : S. Diakité (O. Sissoko, 46) - D. Diakité (I. Keïta, 68), Diamouténé (cap ; Berthé, 46),
A. Maïga, Tamboura (A. Sidibé, 46) - S. Sow (Fané, 34), B. Traoré, A. Traoré (A. Keïta,
46), S. Diarra (Y. Diarra, 46) - Samassa, Maïga. Entraîneur : Alain Giresse.
Guinée: N. Yattara - I. Camara, Kalabane, A. Diallo, I. Bangoura - Zayatte (cap. ; H. Baldé,
68) - I. Yattara (A. Cissé, 88), Bah (Sacko, 63), Constant (O. Bangoura, 80), I. Traoré -
I.Bangoura (L. Touré, 46). Entraîneur : Michel Dussuyer

ÉQUIPEDEFRANCE● Les
cinq meneurs jugés. Evra, Abidal,
Toulalan, Ribéry et Anelka sont
convoqués ce matin par la commission
de discipline de la FFF
pour leur implication dans la
"grève de Knysna" lors du Mondial.
Les sanctions peuvent aller
d’une simple amende à un retrait
de licence !

A LIRE ABSOLUMENT AUX TOILETTES
TRANSIT INTESTINAL GARANTI

Son livre va avoir l'effet d'une bombe dans le football français ! Jean-Pierre Paclet, ancien médecin de l'équipe de France, sort «L'Implosion» ce jeudi dans les kiosques. Un document qui révèle notamment des analyses de sang suspectes en 1998 (Photo Presse-Sports). «Des analyses de sang ont révélé des anomalies sur plusieurs Bleus juste avant la Coupe du Monde 1998. On peut avoir de forts soupçons quand on connaît les clubs où certains joueurs évoluaient, notamment ceux du championnat en Italie», extrait Le Parisien.

«Il n'y avait pas de preuves»
Mais pour l'ancien médecin de l'équipe de France, c'est une chose que «tout le monde sait. Je n'ai rien inventé, précise-t-il. Avoir un taux d'hématocrites élevé ne prouvait pas qu'ils avaient pris de l'EPO. Comme il n'y avait pas de preuves, on ne les a pas embêtés. Mon collègue de la Juventus Agricola a quand même été condamné par la justice italienne avant d'être acquitté. C'est de notoriété publique qu'il y avait des pratiques pour le moins limites à la Juventus à l'époque». Autrement dit, le premier visé serait Zinedine Zidane.

Le jour où Domenech perd le contrôle...
On y apprend que ce dernier aurait été insulté à de nombreuses reprise par Materazzi, tout comme l'ancien médecin des Bleus, pendant qu'il se faisait soigner lors de la finale contre l'Italie en 2006 : «Tu ne sers à rien, docteur de merde. Il est mort, le vieux. Tu comprends, il est mort», aurait lancé le défenseur italien. Paclet révèle également que Vieira souhaitait prendre des produits suspects pour jouer absolument l'Euro 2008 alors qu'il était victime d'une lésion sur cinq centimètres avec saignement à la cuisse gauche. Il dévoile aussi que Thuram aurait refusé de jouer un autre match après le 13 juin 2008 et la défaite (4-1) contre les Pays-Bas. Enfin, Paclet revient sur le jour où Raymond Domenech, lors d'un entraînement à la veille de Roumanie-France le 4 septembre 2009, a perdu le contrôle des Bleus. On y apprend que Thierry Henry, lassé des reproches de son ancien sélectionneur, lui aurait ainsi lancé, au nom de l'équipe de France
: «Nous aussi, on a quelque chose à vous dire
. On reste sur notre faim. On s'emmerde pendant vos entraînements...»

RECONQUETE DU PUBLIC AVANT DE RECONQUERIR DES TITRES
MOI CA ME CONVIENT TOUT A FAIT

La séance de lundi après-midi a donné une première indication :
les Bleus sont décidés à jouer et à reconquérir leur public.

Un soleil radieux, une température plus printanière qu'estivale. Lundi après-midi, l'entraînement des Bleus - le premier de la semaine à Clairefontaine - s'annonçait idyllique. Il a débuté à 17h35, sous l'ovation des quelque deux cents supporters qui avaient déployé trois drapeaux bleu-blanc-rouge dans la tribune du stade Pierre Pibarot. Quarante minutes plus tard, la séance tourne au vinaigre. Karim Benzema grimace.
S'écroule sur la pelouse. Les deux mains sur le visage. Sa cheville droite le fait souffrir. L'attaquant du Real Madrid a pris un mauvais coup, lors d'une opposition à six contre six. Les soigneurs se précipitent vers Benzema. Le joueur de 23 ans est toujours au sol lorsqu'ils lui posent un bandage. Cinq minutes plus tard, il reprend l'entraînement. Péniblement. Il quittera le terrain vers 18h30, peu de temps avant ses partenaires, avec une énorme poche de glace autour de sa cheville douloureuse. Et regagnera les quartiers de l'équipe de France en voiture. Simple mesure de précaution, affirme le staff médical des Bleus, qui indique que «Karim Benzema a été ménagé». Pour l'heure, sa participation aux matches face à la Biélorussie et en Bosnie n'est pas remise en cause.

Quand Barthez canarde Lloris...
Avant cet épisode, les vingt-deux joueurs de l'équipe de France avaient participé à un entraînement d'une heure quinze. Appelés de dernière minute pour pallier au forfait de Lassana Diarra, Anthony Réveillère et Yohan Cabaye étaient bien présents. Cette séance fut axée sur la récupération pour les dix joueurs qui ont joué dimanche. Pendant une grosse demi-heure, les Lillois (Rami, Cabaye), les Parisiens (Hoarau, Sakho), les Bordelais (Carrasso, Trémoulinas, Alou Diarra) et les Marseillais (Mandanda, Valbuena, Rémy) se contentaient d'un footing en guise de décrassage avant de conclure leur séance par des étirements. Dans le même temps, Fabien Barthez s'occupait personnellement d'Hugo Lloris. Pas de cadeaux : pendant une vingtaine de minutes, le gardien lyonnais s'est littéralement fait mitrailler par les missiles de l'ancien portier des Bleus.

Les douze autres joueurs ont, eux aussi, eu le droit de toucher le ballon. Soucieux de «produire un jeu de qualité car c'est le meilleur moyen de gagner des matches», dixit Laurent Blanc, le staff tricolore a beaucoup insisté sur la conservation du ballon. «Faîtes tourner et jouez au sol. Dès qu'on joue en l'air, on ne maîtrise plus rien», a martelé Jean-Louis Gasset, qui dirigeait les opérations pendant que Blanc observait avec plus de recul.


ALLEZ LOLO ELLE EST A NOUS ..EN 2014 ON LA RAMENE A LA MAISON


L'entraînement s'est achevé vers 18h45. Laurent Blanc a alors ordonné à ses joueurs de ramasser les bouteilles d'eau et de ranger les buts. Il les a ensuite appelés dans le rond central pour saluer leurs supporters. Qui ont répondu par des applaudissements nourris.
L'opération reconquête est en marche.

Zidane, la visite express
ÉQUIPE DE FRANCE Le champion du monde était invité à faire partager son expérience aux Bleus hier

Pendant que les joueurs s’échauffaient, "Zizou" discutait avec Fabien Barthez, Laurent Blanc,
Jean-Louis Gasset et Alain Boghossian. Il a aussi joué au tennis-ballon


"Je n’ai pas à leur donner
de conseils. S’ils sont là,
c’est qu’ils le méritent."
ZINEDINE ZIDANE




On appelle cela un bon
coup de com’. Mise au
placard durant six longues
années - de 2004 à 2010 -
par Jean-Pierre Escalettes, la génération
1998 marque son retour.
Laurent Blanc sélectionneur,
Alain Boghossian adjoint
- il l’était déjà à la fin de l’ère
Domenech -, Fabien Barthez intervenant
régulier auprès des
gardiens, et maintenant Zinedine
Zidane, censé prodiguer ses
conseils auprès des nouveaux
venus. Une sorte de "coach
mental" ponctuel, selon le "Président".



Après eux, à qui le tour ? Car
à ce rythme-là, les champions
du monde sont bien partis
pour concurrencer l’OM Star
Club et le Variété Club de France.
Si le "divin chauve" est bien
présent à Clairefontaine depuis
le début de semaine, il
n’occupe en revanche aucune
fonction officielle. Ce qui ne
l’empêche pas de poser quand
mêmesur la traditionnelle photo
d’équipe.
"Zizou", lui, était convié à la
séance d’entraînement matinale
pour faire profiter de son expérience
aux Bleus du futur.
L’ancien meneur de la Juve et
du Real a notamment conversé
avec Louis Saha et Philippe
Mexès. "Je n’ai pas à leur donner
de conseils. S’ils sont là, c’est
qu’ils le méritent", a expliqué
l’enfant de La Castellane.
Le champion du monde
n’était plus réapparu dans le
fief des Yvelines depuis sa fin
de carrière en 2006. Alors, il en
a bien profité. Il a enfilé son
chasuble, tapé la discute une
bonne vingtaine de minutes en
tête à tête avec Fabien Barthez,
puis a retrouvé l’un de ses jeux
favoris : le tennis-ballon.
"Ça m’a fait bizarre de remettre
l’équipement et de retrouver
le vestiaire", confie le Marseillais,
qui a préféré l’intimité
du château de Clairefontaine
pour organiser une séance vidéo
qui a visiblement eu son effet
auprès du groupe.
"Il a parlé de l’amour du
maillot . C’est un exemple, lance
Adil Rami. Il nous a apaisé
l’esprit. Mais ce qu’il nous a dit,
ça restera entre quatre murs...
Moi je l’avais toujours vu à la télé
alors ça fait quelque chose. Il
nous a fait un discours qui est
bien entré dans ma petite tête."
Clichy : "Il était réservé"
Le Lillois n’est pas le seul à
avoir été marqué par les tuyaux
du conseiller de Florentino Perez
au Real Madrid. "On nous a
projeté des petits montages sur
ce qu’il avait fait en équipe de
France. Il s’est exprimé, non pas
avec une gêne, mais il était réservé,
raconte Gaël Clichy. C’est
un plaisir de le voir, c’était merveilleux,
on est resté bouche bée.
Il nous a dit de porter haut les
couleurs de l’équipe de France.
Il a confiance en nous." "Il n’a
pas eu des discours très longs,
mais on ne peut être que réceptif",
abonde Mathieu Valbuena.
Reste que les recommandations
de Zidane n’auront pas
servi à grand chose si les Bleus
présentent le même visage
qu’en Afrique du Sud. Il va falloir
maintenant passer de la parole
aux actes...

QUALIFICATIONS POUR L’EURO 2012
- Demain, au Stade de France :
France - Belarus ...........................21h, TF1
- Mardi 7 septembre, à Saravejo :
Bosnie - France .............................21h, TF1

EXORCISER

LA SPIRALE DE LA DEFAITE

C EST MA SPECIALITE

Football : les Bleus chutent encore, le Bélarus en profite
Publié le vendredi 03 septembre 2010 à 22H49

STOP

Deux matches, deux défaites pour Laurent Blanc pour le début de son mandat à la tête de l'équipe de France. Après l'échec en Norvège, les Bleus ont été battus sur le fil par le Bélarus (0-1), ce vendredi soir au Stade de France, dans le cadre des éliminatoires pour l'Euro 2012. Une défaite pour le premier match du groupe D, concédée après un but de Kyslyak à la 85e.

Côté olympien, si Steve Mandanda a observé la partie depuis le banc de touche, Loïc Rémy et Mathieu Valbuena ont connu des fortunes diverses. Le premier, titularisé par Laurent Blanc, a dû quitter ses partenaires à la 34e après un choc avec un adversaire. Selon les premières constatations, l'attaquant de l'OM souffrirait d'une lésion de l'adducteur droit et la durée de son indisponibilité pourrait être comprise entre deux et trois semaines. Le second, qui a remplacé l'ancien Niçois, s'est pour sa part illustré dans une rencontre peu emballante. Auteur d'une reprise de volée à la 70e, qui a contraint le portier adverse à claquer le ballon, le "Petit" s'est montré disponible en distillant de nombreux centres.

Prochain rendez-vous ce mardi, en Bosnie-Herzégovine, pour une rencontre déjà cruciale...

LES MEDIAS ..
JE NE FERAIS AUCUN COMMENTAIRE NI POUR LUN NI CONTRE LES AUTRES
LA POLEMIQUE RESTE AU VESTIAIRE
..IL NOUS FAUT DES RESULTATS EN RESTANT SOLIDAIRE DE LOLO JLOUIS ET LES AUTRES

Deux matches, deux défaites. Laurent Blanc, le nouveau sélectionneur des Bleus, ne pouvait pas imaginer pire départ sur le banc tricolore. Si la rencontre amicale face à la Norvège (1-2) du 11 août dernier comptait "pour du beurre", le revers face à la Biélorussie, vendredi à domicile pour le compte des éliminatoires de l'Euro 2012 (0-1), fait désordre. Sur le papier, les Biélorusses étaient largement prenables. Mais les Bleus ont affiché bien trop de lacunes tactiques et techniques pour espérer le nul ou la victoire. Le "Président" a-t-il une part de responsabilité dans cet échec ? En partie, assure l'Equipe dans son édition de dimanche, pointant du doigt la mauvaise gestion des séances d'entraînement de l'ex-coach de Bordeaux. Non affirme pour sa part Gabriel Obertan, interrogé par notre site vendredi au Stade de France, après le match. «La défaite peut se comprendre car les joueurs n'ont pas l'habitude d'évoluer ensemble. Ils n'ont eu qu'un seul rendez-vous jusque-là, contre la Norvège. Ils manquent d'automatismes».

Courbis : «Laisser de côté l'idée de beau jeu»
«Avec l'équipe alignée vendredi, c'était difficile de faire mieux», concède également Rolland Courbis, joint par nos soins. En bon «vieux frère expérimenté», l'ancien entraîneur de l'OM fait par ailleurs remarquer que «Laurent Blanc a peut-être été trop optimiste avec son idée de beau jeu». «Evidemment, tout le monde préfèrerait voir du beau jeu, estime-t-il. C'est comme avec les femmes, on prèfère tous sortir avec Miss France plutôt qu'avec un laideron. Mais il ne faut pas se voiler la face. Cette équipe est plus malade qu'on ne le pense. La situation n'est pas compliquée, elle est très compliquée. Laurent va devoir laisser de côté son idée de beau jeu et revenir à des choses très simples. Miser sur une bonne récupération du ballon et une réelle solidité. Cela ne nous empêchera pas de marquer des buts. Vous verrez, tout sera rectifié mardi face à la Bosnie. Je ne me fais aucun souci.»

Lizarazu : «La sortie du tunnel est loin»
Perçu comme un véritable sauveur en France, et jouissant d'une popularité sans égal avec son prédécesseur, Laurent Blanc a au moins déjà rétabli deux choses depuis son intronisation : le dialogue avec les médias et les supporters, et le respect du maillot. Et puis, avec lui, on parle enfin de football. Ne reste donc plus désormais qu'à obtenir des résultats. Dans l'Equipe, dimanche, Bixente Lizarazu semble ne pas trop se faire d'illusions. «Aujourd'hui, nous n'avons plus de bases ni de certitudes. La sortie du tunnel est loin. Il faudra du temps». Courbis n'est pas d'accord. «Attendons de voir ce que donnera cette équipe lorsqu'elle sera renforcée par Gourcuff, Ribéry, Nasri et Benzema. Avec ces joueurs, on est capable de battre n'importe qui !». Reste à le démontrer sur le terrain. -

L'information provient du quotidien Les Echos : Suite au fiasco sud-africain de cet été, les sponsors (Photo Presse-Sports) des Bleus ont décidé de mettre en place un système de «bonus-malus» en fonction des résultats de l'équipe de France entre 2010 et 2014.

Actuellement, le PMU, GDF Suez et le Crédit Agricole versent chacun 4 millions d'euros par an. Les partenaires officiels (SFR, Carrefour, Sport 2000 et Citroën) donnent environ 1,4 millions d'euros. Les fournisseurs officiels (Pasquier, Coca-Cola et Continental) lâchent quant à eux 500 000 d'euros.

TOYOTA LE JAPONAIS A ARRETE REMPLACE PAR CITROEN
LE CREDIT AGRICOLE SE DIT PARTENAIIRE DE TOUS LES FOOTBALL ET PAS DES BLEUS
PMU VIENT D ARRIVER
GDF SUEZ C L" ETAT DONC CA SORT D "UNE POCHE ET CA RENTRE DS UNE AUTRE POCHE
NOEL LEGRAET RESP MARKETING A LA FFF LUI AUSSI EST DS LA TOURMENTE

Mécha Bazdarevic Né en 1960 à Sarajevo La bataille du milieu gagnée, la clé du succès français
Mardi soir à Sarajevo, «c'est au milieu que la France a gagné la rencontre.»

Miralem Pjanic et Zvjezdan Misimovic, les deux créateurs du jeu bosnien n'ont pas vu le jour. Et, lorsque ce duo n'a pas le loisir de s'exprimer, «l'équipe de Bosnie n'est plus du tout la même». A leur décharge, le Lyonnais et le nouveau joueur de Galatasaray «sont quand même tombés sur trois joueurs en face d'eux (Alou Diarra, Yann M'Vila et Abou Diaby) très bons, solides, performants dans la récupération et qui en imposent physiquement.» Quoi qu'il en soit, ce n'est pas en jouant le football pratiqué au stade Asim Ferhatovic-Hase que les joueurs de Susic avaient une chance de l'emporter. «Il aurait fallu mettre plus de folie, pratiquer un jeu plus direct pour déstabiliser l'équipe de France.» Et encore, pas dit que cela aurait suffi. «Je le répète, les Bleus, même s'ils n'ont pas encore tous les automatismes, étaient pas mal du tout hier soir (mardi).» Pas mal du tout, c'est bien l'expression qui revient le plus souvent, ce mercredi, au moment d'évoquer la prestation de l'équipe de France

POUR QUE L "EDF DONNE DE LA LUMIERE A M6 ON VEUT DES BUTS BLEUS

AUDIENCE
M6 cartonne !


Après le résultat poussif des
Bleus pour le début des éliminatoires
de l’Euro 2012, on pensait
que seuls les téléspectateurs
les plus courageux ou les
irréductibles allaient squatter
leur canapé pour regarder Bosnie-
France. Autant dire peu de
monde. Eh bien non ! Les hommes
de Laurent Blanc attirent
visiblement toujours les supporters,
pour le plus grand plaisir...
de M6.
La rencontre commentée par
Thierry Roland et Jean-Marc
Ferreri a rassemblé 8,1 millions
de personnes. Et jusqu’à 10 millions
dans le dernier quart
d’heure. Ça tombe bien, c’est
quasiment dans ce laps de
temps que les deux buts ont été
inscrits !
La 5e audience
historique de la chaîne
Avec une part d’audience de
32,2 %, M6 était au top mardi
soir. "C’est très important pour
nous car nous nous inscrivons
dans une démarche de retransmissions
sportives plus fréquentes.
Nous avons compris que ce
genre d’événements fédérait la
population. C’est pour cela que
nous avons acheté deux autres
matches de la France. Ceux face
à la Roumanie et au Luxembourg",
a expliqué le service de
presse de M6.
Car i l s ’ a g i t du record
d’audience en 2010. Mais surtout,
il représente la 5e meilleure
audience de la chaîne depuis
son lancement en mars 1987.
"Sur les cinq records recensés
chez nous, quatre ont été atteints
pendant des matches de
foot. Contre un seul pendant la
célèbre émission de télé-réalité
Loft Story. Il n’y a pas photo",
poursuit le service de presse.
Après la Ligue Europe et le
Trophée des Champions, le parcours
des Bleus réussit à M6. Et
réciproquement. "La France n’a
jamais perdu un match depuis
que nous commentons", lançait
mardi soir Thierry Roland.
Le foot va donc prendre une
place majeure dans la programmation
de la chaîne privée.
D’ici à ce que le duo Roland-Larqué
se reforme... "Thierry a téléphoné
à Jean-Mimi. Il aurait été
très heureux de retravailler avec
son ancien acolyte. Mais visiblement,
Jean-Michel Larqué a
d’autres projets", affirme M6.
On ne peut pas tout avoir

La quatrième journée de Premier League devrait permettre à trois joueurs français, Hatem Ben Arfa (Newcastle), Sébastien Squillaci (Arsenal) et William Gallas (Tottenham), de faire leurs grands débuts avec leur nouveau club.



Gallas Tottenham samedi (16h)
Hatem Ben Arfa Newcastle samedi (16h).
Sébastien Squillaci, Arsenal samedi (16h)

Il aura mis le temps, mais il a fini par obtenir ce qu'il voulait : quitter l'OM. Prêté à Newcastle le 28 août, Hatem Ben Arfa semble pressé de retrouver les terrains avec son nouveau club, 8e après trois matches (1 victoire, 1 nul, 1 défaite). «Je veux commencer à travailler dur pour alimenter Andy Carroll. Je pense que cela nous permettra de marquer beaucoup de buts cette saison» lâchait-il jeudi. Restait à savoir si le joueur serait prêt physiquement. D'après son coach, il l'est. «Il lui manquait un peu d'entraînement, mais il avait fait une bonne partie de la pré-saison et, juste avant de venir ici, il avait joué une rencontre internationale (Norvège-France). Donc en ce qui concerne son état de forme, il n'y a pas de problème», a ainsi déclaré Chris Hughton. L'histoire d'amour entre Ben Arfa et la Premier League devrait donc débuter samedi, contre un autre promu, Blackpool

Sébastien Squillaci, qui a rejoint Arsenal le 26 août, devrait lui profiter du forfait du Belge Thomas Vermaelen pour débuter avec les Gunners, deuxièmes du classement avec deux victoires et un nul. «Il va jouer, assure son coach, Arsène Wenger. Il a de l'expérience et il peut compenser l'absence de Thomas». Le défenseur central de 30 ans, qui n'a toujours pas disputé le moindre match officiel cette saison (il n'a pas quitté le banc lors du match aller de la SuperCoupe d'Espagne contre le Barça et n'était même pas dans le groupe au match retour), doit avoir des fourmis dans les jambes. Il en évacuera une grande partie samedi (16h) contre une équipe de Bolton cinquième et encore invaincue (1 victoire, 2 nuls).

Gallas est prêt,
Le dernier Français à débuter sous ses nouvelles couleurs ce week-end se nomme William Gallas. Mais, contrairement à ses deux compères, lui ne découvre pas la Premier League, qu'il fréquente depuis maintenant neuf ans (cinq à Chelsea, quatre à Arsenal). Pas encore au point physiquement pour le match face à Wigan, lors de la précédente journée (0-1), le défenseur de 33 ans devrait enfiler pour la première fois le maillot de Tottenham samedi (16h) sur la pelouse de West Bromwich. Surtout que Michael Dawson, blessé avec la sélection anglaise, est forfait. Onzièmes du classement, les Spurs auront bien besoin de leur nouveau taulier en défense pour tenter de remonter un peu la pente.

champion du lancer de chrono et des déclarations hypocrites
on devrait la mette comme nouvelle discipline aux JO DE 2012

mmplunkett le 15 septembre à 11:42
à Poupouillou : c'est vrai que c'est insupportable ! Pour en revenir au duo Houllier, Duverne, avec ces 2 là, Aston Villa va être champion du lancer de chrono et des déclarations hypocrites. Gare aux joueurs qui commettraient des erreurs. Qu'ils sachent qu'ils seront irrémédiablement lâchés (lynchés ?) par leur manager.

kzbiz33 le 15 septembre à 11:36
ah la demission ne serait que du flan!!! tout ca juste pour suivre gégé à Londres ou je ne sais ou



Démissionnaire lundi de son poste d'entraîneur adjoint d'Arles-Avignon, Robert Duverne pourrait rapidement rebondir du côté de l'Angleterre. Comme le dévoile L'Equipe de ce mercredi, l'ancien préparateur physique de l'équipe de France devrait rejoindre Aston Villa pour y retrouver Gérard Houllier. Les deux hommes ont en effet déjà travaillé ensemble à l'Olympique Lyonnais de 2005 à 2007.

ATTAQUE FRANCO-FRANCAISE CONTRE DEFENSE FRANCAISE


Anelka /Drogba/ Malouda
Sagna/Koscielny/Squillaci /Clichy

Le derby londonien s’annonce
bouillant. "Je ne pense
pas que l'on puisse se permettre
de perdre un deuxième
match, surtout contre Arsenal",
annonce Didier Drogba.
Battus à Manchester City (0-1)
samedi dernier, les Blues
s’étaient déjà refait une santé face
à l’OM en milieu de semaine.
Aujourd’hui, ils espèrent reprendre
leur marche en avant en
championnat sur leur pelouse face
à Arsenal.
Les Gunners résisteront-ils à
Drogba? Les statistiques ne plaident
pas en leur faveur. Depuis
qu'il évolue à Chelsea, l'international
ivoirien a déjà marqué
douze buts en dix rencontres face
à Arsenal.
D’autant plus que la défense
d’Arsène Wenger (parfois 100%
française avec Sagna, Koscielny,
Squillaci, Clichy) a pris l’eau ces
derniers temps. "Je pense qu'ils
sont capables d'arrêter Drogba,
indique toutefois Kieran Gibbs.
Drogba est un joueur de classe
mondiale, mais je pense que
deux défenseurs de très haut niveau
sont venus nous rejoindre
(Squillaci et Koscielny). Ils sont
vraiment complets, et ne sont pas
effrayés de se battre. Ils ne se laissent
pas impressionner par le public.
Quand ils rentrent sur le terrain,
ils se montrent vraiment dominants.
Ils ont eu un impact immédiat
sur cette super-équipe."
Le problème c’est que si jamais
le talent de Didier Drogba
ne suffisait pas, FlorentMalouda
ou Nicolas Anelka épatants (sept
buts chacun depuis le début de
saison toutes compétitions
confondues) seront là pour briser
les espoirs des Gunners

ATTAQUE FRANCO-FRANCAISE CONTRE DEFENSE FRANCAISE


Anelka /Drogba/ Malouda
Sagna/Koscielny/Squillaci /Clichy

Le derby londonien s’annonce
bouillant. "Je ne pense
pas que l'on puisse se permettre
de perdre un deuxième
match, surtout contre Arsenal",
annonce Didier Drogba.
Battus à Manchester City (0-1)
samedi dernier, les Blues
s’étaient déjà refait une santé face
à l’OM en milieu de semaine.
Aujourd’hui, ils espèrent reprendre
leur marche en avant en
championnat sur leur pelouse face
à Arsenal.
Les Gunners résisteront-ils à
Drogba? Les statistiques ne plaident
pas en leur faveur. Depuis
qu'il évolue à Chelsea, l'international
ivoirien a déjà marqué
douze buts en dix rencontres face
à Arsenal.
D’autant plus que la défense
d’Arsène Wenger (parfois 100%
française avec Sagna, Koscielny,
Squillaci, Clichy) a pris l’eau ces
derniers temps. "Je pense qu'ils
sont capables d'arrêter Drogba,
indique toutefois Kieran Gibbs.
Drogba est un joueur de classe
mondiale, mais je pense que
deux défenseurs de très haut niveau
sont venus nous rejoindre
(Squillaci et Koscielny). Ils sont
vraiment complets, et ne sont pas
effrayés de se battre. Ils ne se laissent
pas impressionner par le public.
Quand ils rentrent sur le terrain,
ils se montrent vraiment dominants.
Ils ont eu un impact immédiat
sur cette super-équipe."
Le problème c’est que si jamais
le talent de Didier Drogba
ne suffisait pas, FlorentMalouda
ou Nicolas Anelka épatants (sept
buts chacun depuis le début de
saison toutes compétitions
confondues) seront là pour briser
les espoirs des Gunners

Euro de foot: primes de victoire de 10.000 euros prévues pour les Bleus
La prime de victoire en match de qualification à l'Euro-2012 a été fixée à 10.000 euros par joueur et par match gagné, a expliqué jeudi le vice-président de la Fédération française de football (FFF) Noël Le Graët. "Un joueur qui jouerait tous les matches de qualification et les gagnerait (10 en tout sur deux ans d'une campagne de qualification, soit 100.000 euros) toucherait, en ajoutant la prime de qualification à l'Euro une somme de 240.000 euros (soit une prime de qualification de 140.000 euros) sur deux ans", a expliqué M. Le Graët lors d'une conférence de presse sur la stratégie...
marketing de la Fédération.

Le barème est 10.000 euros en cas de victoire, la moitié en cas de nul et rien pour une défaite.

S'ajouteront à cela les primes de matches amicaux, établies sur

un barème en fonction du classement Fifa de l'adversaire: s'il est positionné de 1 à 10 au classement Fifa, c'est 14.000 euros en cas de victoire, 10.000 euros de 10 à 40, et si l'adversaire est classé en dessous du rang 40 6.000 euros, a détaillé M. Le Graët. Là aussi, le barème prévoit la moitié en cas de nul et rien pour une défaite.

En plus de tout cela, il y a aussi des primes liées au droit à l'image. "On a clarifié ces rapports: les sommes versées ne seront plus liées aux résultats, mais ce sera une somme fixe par match -10.000 euros- de dédommagement économique, puisque pendant les rassemblements on a interdit aux joueurs leurs sponsors personnels", a expliqué M. Le Graët. Cette prime ne concerne, cette fois, pas seulement le joueur qui joue mais les 23 joueurs convoqués à chaque rassemblement.

LE CAPITANAT
Le brassard
va encore tourner

Après Philippe Mexès en Norvège
et Florent Malouda face
au Bélarus, Alou Diarra a été
capitaine lors des deux dernières
rencontres des Bleus
contre la Bosnie et la Roumanie.
Mais Laurent Blanc a laissé
planer le doute pour la suite
des éliminatoires. "Le capitanat
va tourner entre
trois-quatre-cinq joueurs et
après on prendra une décision
à la fin de la saison des
éliminatoires", a précisé l’ancien
entraîneur des Girondins

PAS DE SUFFISANCE


Laurent Blanc se méfie et une nouvelle fois fait appel à sa mémoire de joueur en rappelant la victoire peu glorieuse (1-0) en 1999 contre Andorre sur un penalty de Frank Leboeuf à dix minutes de la fin, avec des Bleus alors champions du monde.

Aujourd'hui, la France est 27e(faudra pas oublier de dire merci aux 2 types ci dessous )
au classement mondial et ne risque plus la suffisance
.

bien triste de s'interesser au real
et pas de s'investir à la fff

MERCI RAYMOND

Au 20 octobre 2010, la Fédération Française de Football enregistre 1.562.859 licenciés contre 2.078.956 à fin juin 2010. Un point devra être réalisé fin novembre
en vue d’affiner la baisse réelle, compte tenu de retards apportés dans la délivrance des licences, mais à l'heure actuelle celle-ci se matérialise par un demi million de licenciés en moins