LES PLUS JOLIES FEMMES AU MONDE SONT EN MEDITERRANEE

LA FEMME CHOCOLAT ...A DEGUSTER MODEREMENT
SURTOUT POUR LE COEUR

L'école du désir
07-07-2008








Toutes les mêmes...(photo Migué Mariotti)Aix en Provence. Soixante ans après “Così fan Tutte” se redécouvre toujours. Abbas Kiarostami ouvre l’espace pour une éducation sentimentale toute en finesse. Un spectacle réussi.

Così fan tutte (comprendre : toutes les mêmes) peut, selon le regard porté sur cette histoire absurde d’amants interchangeables, tomber du côté noir et grinçant de la farce misogyne. Abbas Kiarostami préfère privilégier le sous-titre : la scuola degli amanti, l’école des amoureux. Il ne s’agit plus d’un méchant pari topé sur le dos de deux péronnelles évaporées mais d’une éducation sentimentale, un rappel au principe de réalité comme remède à la folie des passions amoureuses.
Don Alfonso se fait plus pédagogue réaliste que philosophe cynique. On sent le bonhomme davantage inquiet de protéger les deux imprudents sigisbées des excès du désir que de les conduire à une douloureuse désillusion. En ceci, la soubrette Despina se place en vraie alter ego de Don Alfonso. Jeune femme malicieuse revenue de tout et des hommes, elle rappelle opportunément à ces demoiselles que : “Les hommes sortent tous du même moule… Ils n’aiment en nous que leur plaisir.” Il faut donc leur rendre la monnaie de leur pièce et les gouverner avec des “je veux et je peux.”


Kiarostami, le cinéaste


Etrangère à son univers culturel, Abbas Kiarostami traite l’œuvre avec un respect infini, une réserve timide d’amant transi. Excellent directeur d’acteur, il n’impose aucune relecture. Chaque mot, chaque intention de da Ponte est parfaitement lisible. Si la première scène installe les chanteurs devant la projection d’une terrasse de café où les clients en costumes contemporains observent la scène du pari avec attention, le décor principal et les costumes de Chloe Obolensky nous introduisent dans une très classique villa italienne aux murs et colonnes ocre clair, réchauffée par les lumières chaudes et rasantes de Jean Kalman.
Cinéaste, Kiarostami opte donc pour la projection vidéo sur le mur du fond. Une haute falaise avec de faux air du Cap Canaille. Une baie, la mer. Un bateau arrive de l’horizon. C’est la tartane qui emporte les amants à la guerre. Pas d’intentions symboliques ou redondantes. L’image offre une issue intelligente au huis clos du théâtre. Elle ouvre l’espace et permet une respiration vers l’infini. Le dispositif se referme au final présentant un orchestre avec, comme mis en abyme, son chef, qui d’ailleurs, sortira de l’écran pour venir saluer.
Kiarostami, à l’instar de beaucoup de ses films a voulu un long plan séquence, sans solution de continuité, allant jusqu’aux changements à vue avec des techniciens en noir. Le metteur en scène l’a raconté : L’idée est le fruit du hasard. Lors d’une répétition, un rideau n’est pas tombé et Kiarostami a vu là l’occasion de ne pas briser l’unité de lieu et de temps. L’ensemble dégage une grande impression de douceur, de finesse et de drôlerie.


Les voix de l’Académie


Aucune star sur le plateau mais des jeunes gens au métier déjà solide. Des voix souvent issues de l’Académie, et qui, bien qu’encore en devenir, n’en offrent pas moins une homogénéité d’ensemble du meilleur aloi. Remplaçant au pied levé Finnur Bjarnason souffrant, le slovaque Pavol Breslik enlève son Ferrando d’un ténor clair et musicien. Edwin Crosley-Mercer est un Guglielmo viril et chaleureux. Déjà entendu à Aix dans Don Gionnai en 1993 et Hercules d’Haendel, William Shimell, joue les Don Alfonso en vieux maître es-passion qui vit par procuration ce que l’âge lui interdit désormais. La Fiordiligi de Sofia Soloviy séduit avec l’air “Come scolglio” et Janja Vuletic en Dorabella déploie un assez beau mezzo. Toutes deux savent charmer en étourdies légères et inconséquentes. Judith van Wanroij, a fréquenté à Aix les masterclasses de Teresa Berganza. On se souvient de sa vis comica bien trempée, et d’un caractère vocal très affirmé. Elle ne déçoit pas en Despina au timbre piquant et malicieux. Là où elle aurait pu en faire des tonnes, elle joue au contraire en retenue. Une grande dame du chant est sans doute en train de naître. Tradition aixoise depuis la Berganza et la “Stich”.
A la tête de la Camerata Salzburg Christophe Rousset est très attentif aux chanteurs. Il en oublierait presque l’orchestre. Hormis un flagrant déséquilibre du côté d’une timbale un peu trop présente, l’orchestre d’instruments anciens, évite la sécheresse baroqueuse et s’avère très mozartien. Tempi réglés au rasoir et timbres aux couleurs. Un Così du soixantième anniversaire respectueux dans l’esprit et moderne dans la forme, réjouissant pour le regard et pour l’esprit.

Anaïs Governatori : une jolie fille et une belle âme...

Paru le lundi 24 août 2009 9 commentaire(s)

Photo : Franck Fernandes
Après une soirée sous le signe de l'élégance, qui a sacré Anaïs Governatori, Miss Côte d'Azur, la jeune reine a promené, hier, sa radieuse beauté dans les rues du Vieux-Nice, sous le regard émerveillé des passants
Anaïs Governatori, 20 ans, Miss Nice depuis juillet, couronnée Miss Côte d'Azur, samedi soir au théâtre de Verdure de Nice. A l'annonce du verdict, ils se sont effondrés tous les trois. L'heureuse élue, sa mère, son père. Tous en larmes. « Un gros choc, raconte la nouvelle représentante azuréenne, sacrée devant onze autres candidates. Je pensais être dans les 3 premières, mais pas en tête ». Pourquoi donc ? Elle ne se trouve pas jolie Anaïs ? Allez, franchement... «Je ne me trouve pas moche, mais je ne suis pas exceptionnelle. Je dois plaire. »

Zéro défaut

Bien sûr qu'elle a plu au jury et au public avec sa démarche féline, sa cambrure élégante, ses longues jambes, sa chevelure lisse, son profil de médaille, ses yeux sombres, sa bouche ourlée, ses mains fines impeccablement manucurées. Zéro défaut.

Racée. Gracieuse. Émue. Heureuse. Honorée de représenter Nice et sa région. C'est ainsi qu'elle nous est apparue hier, la ravissante Anaïs, après sa nuit victorieuse. Elle qui défendra les couleurs de la Côte d'Azur, lors de l'élection de Miss France, le 5 décembre prochain, palais Nikaïa : « Un plaisir motivant que cette finale se déroule à Nice. »

Donc, elle va s'y préparer. Avec ses arguments. Physiques. Ils crèvent les yeux. Intellectuels : depuis 4 ans, Anaïs a quitté le domicile familial de Cap-d'Ail pour la Baie des Anges où elle suit des études de langues étrangères appliquées. Anglais, italien, espagnol. Elle s'apprête à suivre un master afin de devenir interprète, si possible dans une ambassade.

Coaching parental

Préparation en solo ? Non. Le père, José, travaillant pour le gouvernement monégasque, est son coach sportif. Jogging, marche, tennis, natation... Précieux et toniques adjuvants pour garder une ligne sans scorie, car, si elle ignore le tabac et l'alcool, Anaïs est gourmande : « Les pizzas, les pâtes, j'adore ! Et le Nutella alors, c'est terrible...».

Ensuite, il y a maman. Isabelle, professeur des écoles également en principauté, canon elle aussi, et affectée à l'intendance de sa douce chérie. « C'est notre miss de coeur, on va l'épauler jusqu'au bout. »

Tentée par une carrière de top-modèle cette nana very « Nice » ? Du tout : « Miss, ça me correspond mieux que mannequin, qui ne consiste qu'à porter des habits. En plus, les mannequins ne sourient jamais. Tout le contraire de moi, qui suis très souriante, très nature. »

Et sensible : « Je pense à Yasmine Kheil, Miss Grasse, récemment victime d'un grave accident de scooter. Elle aurait dû être là samedi soir. J'espère la voir l'année prochaine, lorsque je remettrai mon titre ». Une belle âme...

Derrière les froufrous de Miss Côte d'Azur

VIDEO

http://www.nicematin.com/ra/cotedazur/207523/par/20090823/nice-derriere-les-froufrous-de-miss-cote-d-azur

Paru le dimanche 23 août 2009 à 19:02 0 commentaire(s)

Le Théâtre de Verdure accueillait hier soir l'élection de Miss Côte d'Azur. Anaïs Governatori, miss Nice, a remporté le titre qui lui permettra, le 5 décembre prochain, de participer à Miss France 2010. Plongée au coeur des coulisses.

HISTOIRES DE MAISONS DE FEMMES EN MEDITERRANEE

THÉÂTRE
Un Molière
pour Alice Belaïdi

L’Avignonnaise a été
récompensée par le prix
de la révélation féminine.



23 ans, Alice Belaïdi voit
son talent récompensé par
un Molière./

On a d’abord souri, avec
-grande première pour une cérémonie
des Molières - Feu la mère
de Madame de Feydeau mise
en scène par Jean-luc Moreau,
qui ouvrait cette 24e édition, présentée
par Michel et Marie Drucker,
depuis la Maison des Arts de
Créteil. On a ensuite attendu et
surtout espéré. Ce moment du
"Molière de la révélation théâtrale
féminine". Et tant pis si une
mauvaise enveloppe - celle
d’une autre catégorie en fait - mise
entre les mains de Marie Drucker
prolongea le suspense. C’est
bien Alice Belaïdi, superbe dans
sa robe rouge, qui a été couronnée.
Une suprême récompense
pour ce "diamant brut" découvert
par Gérard Gélas (présent,
hier soir dans la salle), dans ses
ateliers du théâtre du Chêne
Noir à Avignon; et qui brille depuis
deux ans dans les Confidences
à Allah de Saphia Azzedine.
Nul doute d’ailleurs que cette
statuette, pourrait constituer un
sacré tournant dans la carrière
pour Alice. Un an tout juste
après s’être installée à Paris et
avoir intégré l’agence d’acteurs
Cinérat.
Parmi les autres lauréats de
cette soirée présidée par Line Renaud,
on relèvera que le Molière
du comédien a été décerné à
Laurent Terzieff dans L’Habilleur
de Ronald Harwood et
Philoctète d’Eschyle et celui du
metteur en scène à Alain Françon
pour La Cerisaie.
Claire Nadeau dans La Serva
amorosa et Henri Courseaux
dans La Nuit des rois se sont respectivement
vus remettre la statuette
récompensant le second
rôle féminin et masculin
Enfin Les 39 marches mise en
scène par Eric Métayer (pièce comique)
complète la liste des récipiendaires.

Julia Brunet nouvelle
miss Côte bleue



Bernard Montiel, présentateur de télévision,
entourant la miss
marseillaise et sa dauphine


Décor somptueux et d’actuali-
600 spectateurs attablés
dans un gymnase Alain-Calmat
affichant complet, invités prestigieux,
candidates très belles.
L’élection de Miss Côte bleue
2010 a été un grand cru, tant côté
scène que côté salle l’autre
soir à Sausset-les-Pins.
Les quinze candidates ont défilé
en robe de mariée, avant les
tenues cabaret et les très attendus
maillots de bains, les passages
étant joliment entrecoupés
des exhibitions enlevées et sensuelles
des "Latine Crazy".
Pour le jury composé de personnalités
régionales, c’était le
début du casse-tête autour du
président, le député-maire
UMP Éric Diard et le présentateur
de télévision Bernard Montiel,
invité surprise qui joua le
jeu avec humour et humilité.
La soirée s’est ensuite poursuivie
avec le gala des Miss,
avant le verdict conduisant à
l’élection de la plantureuse Marseillaise
Julia Brunet, qui sera
donc Miss Côte bleue 2010. La
nouvelle élue, très émue, n’a
vraiment rien à envier aux
"ex-miss" CélineMichel et Émilie
Ladsous, présentes et toujours
rayonnantes. Le verdict a
été d’autant plus incontestable
que le duo gagnant avait été pronostiqué
dans cet ordre aussi
bien par le jury que par le public
ou même les miss entre elles.
Une autre marseillaise, Amandine
Guyon, sera une seconde
dauphine également ravissante.
La nouvelle miss 2 010 a
ébloui et fait l’unanimité par sa
beauté sauvage, sa plastique et
son charisme.

Miss Bouches-du-Rhône 2010 est de Roquevaire
Publié le dimanche 30 mai 2010 à 17H20
L'élection de Miss Bouches-du-Rhône organisée hier soir par le Comité Miss France De Fontenay au Casino de Carry-le-Rouet a été remportée par Julie Dovetta, 18 ans de Roquevaire. Sa première dauphine, Angeline Jean, 18 ans, est marseillaise.

Il a été impossible de départager les deux 2e dauphines, ex-aequo donc, Mélodie Flament, 19 ans, de Fos-sur-Mer et Mounira Aidoune, 21 ans, de Vitrolles.


Julie Dovetta concourra pour le titre de Miss Provence en septembre à Bandol.


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Lacoupe du succès
pour la coiffeuse Charline
A 18 ans, la "meilleure apprentie de France"
travaille à la Prédina

Charline Gohel et son modèle Alix Chauvel lors de la finale à Paris. A 18 ans, la coiffeuse istréenne fait
partie des gagnantes du concours
"Des meilleurs apprentis de France


Sans se faire de cheveux
blancs, Charline Gohel appréhendait
néanmoins
quelque peu sa participation au
concours des "Meilleurs apprentis
de France", catégorie
coiffure. Des craintes qui s’avérèrent
infondées au cours de la
finale, le 12 septembre dernier
à Paris, lorsque le jury cita son
nom parmi les quinze gagnants
de l’épreuve. À ce stade, 46 candidats
étaient encore en course.
"C’était peut-être la meilleure
soirée dema vie, souligne la jeune
fille âgée de 18 ans. Il s’agit
d’un des concours les plus prestigieux
que l’on puisse faire. Nous
avons été réceptionnées rue
Royal où se tenait la sélection
avant de rejoindre le carrousel
du Louvre pour un défilé de haute
coiffure française. À son issue,
les résultats ont été proclamés."
Au moment de la compétition,
Charline achevait l’obtention
de son CAP au lycée de coiffure
Attoyan de Marseille. Précédemment,
elle avait passé une
année à l’école de coiffure de
Martigues. "J’ai toujours voulu
être coiffeuse. Matante, qui réside
aujourd’hui en Italie, tenait
un salon à Istres lorsque j’étais
petite. J’y passais beaucoup de
temps."
Après avoir décroché la médaille
régionale en avril, rendant
hommage à l’enseignement
du lycée Attoyan, Charline
a préparé la finale avec soin
passant au peigne fin l’étendue
de ses techniques. Sur le thème
de "L’embellissement de la femme
pour une soirée de gala", sa
prestation ne devait souffrir
aucun faux pli. Avec Alix Chauvel,
une amie qui lui a servi de
modèle, elle s’es entraînée chaque
soir à confectionner le
meilleur chignon.
"Je le voulais glamour et très
moderne. J’ai pu compter sur le
soutien d’une de mes professeurs
qui me prodiguait beaucoup
de conseils." Pourtant, le
grand soir, la jeune coiffeuse
n’était pas très satisfaite du résultat.
"La coiffure n’était pas
conforme à ce que je voulais réaliser,
notamment pour le lissage."
Apparemment le jury n’a
pas été aussi sévère qu’elle,
puisque Charline a décroché
une médaille d’or qui lui sera remise
en janvier 2011 au Sénat.
Et pour l’avenir ? "Je travaille depuis
un mois au salon de coiffure
"Graffiti" de la Prédina et
compte passer une maîtrise.
Après je ne sais pas encore,
peut-être ouvrir mon propre salon
ou enseigner", ajoute la jeune
fille qui avoue aussi un intérêt
pour les défilés de mode. Espérons
que dans le futur, rien
ne viendra couper son élan.

apparemment ce sujet est pas mal regardé
va savoir pourquoi



Yasmine Bleeth actrice d'origine americano-algérienne

SAUSSET
La nouvelle Miss
Provence est...

Les quinze plus belles filles de la
région passeront la soirée de demain
à Sausset. Une seule d’entre
elles en repartira avec le titre
de Miss Provence et la possibilité
d’aller le défendre, début décembre,
face aux représentantes des
autres régions françaises. Objectif
: prendre le titre de Miss France
(ce sera le 4 décembre à Caen
devant les caméras de TF1) version
Endemol, la "guerre des
Miss" ayant contraint Geneviève
de Fontenay à mettre sur pied
son concours Miss nationale... diffusé
sur internet 24 heures plus
tard. 500 spectateurs parmi lesquels
Jean-Pierre Foucault, venu
en voisin, Valérie Bègue, la très
médiatique Miss France 2008 et
Sébastien Lorca, pilier de la comédie
musicale Ali Baba et les
40 voleurs, scruteront les candidates
qui se produiront sur scène.



Parmi elles, la brune Saussétoise
Stéphanie Raffini (photo).



 Demain, 20 h 30, gymnase
Alain Calmat.04 42 45 60 65.

MissProvence:beaucoup
d’étoilespouruneseule reine
SAUSSET-LES-PINS L’élection aura lieu demain soir, à guichets fermés

Dix des quinze candidates qui concourront samedi soir
pour savoir laquelle représentera la Provence à l’élection de Miss France.



Après la guerre des miss,
les événements se précisent
: s’agissant de l’élection
de Miss Provence 2010 au
gymnase Alain Calmat, on sait
que la belle demoiselle qui sera
choisie demain à Sausset postulera
en suivant au titre officiel
de Miss France le 4 décembre à
Caen devant les caméras de
TF1.
Elles seront quinze à rêver,
chacune avec ses arguments et
toutes avec une chance certaine
d’être élue, du moins si on en
croit les castings, présélections
et élections (la dernière en date
est Miss Marseille élue dimanche
dernier) qui furent âpres et
ont révélé un haut niveau.
Localement, le coeur du public
saussétois battra sans doute
un peu plus fort pour les
beaux yeux et la plastique de rêve
de Stéphanie Raffini, l’enfant
du pays. Une chose est sûre, devant
plus de 500 personnes assises
qui se sont arrachées en
quelques heures, la soirée promet
d’offrir une qualité et un
prestige jamais égalés encore,
sous l’égide d’Endemol. Aux côtés
des nombreuses personnalités
régionales annoncées,
Jean-Pierre Foucault assistera à
la soirée, en voisin.
Valérie Bègue, la très médiatisée
miss France 2008 sera, elle,
à la fois la caution et l’ambassadrice
de charme d’Endemol
pour cette élection officielle, et
aura à ses côtés d’autres miss
"sortantes" de la région. Côté
scène, les 15 postulantes effectueront
leurs traditionnels passages
en tenue de soirée, et
maillot de bain. Entre ces moments
très attendus, le spectacle
proposé sera de qualité : Sébastien
Lorca, pilier de la comédie
musicale Ali Baba et les 40
valeurs sera l’attraction chantante
de la soirée. Mais le moment
fort restera bien sûr l’élection
de la reine de la soirée, et
peut-être future reine du pays.

Demain à 20h30 au gymnase Alain
Calmat à Sausset.04 42 45 60 65.

Et si Miss Marseille devenait
ce soir reine de Provence...
Analisa, 18 ans, portera les couleurs de sa ville, ce soir à Sausset-les-Pins

Analisa, 18 ans, de Saint-Barnabé, portera
ce soir les couleurs de Miss Marseille et
tentera de décrocher la couronne provençale



Quand le verdict est tombé
dans la nuit de vendredi à
samedi sur la scène de
l’amphithéâtre de l’hôtel Pullman
Palm Beach, Analisa Kebaili
n’en croyait pas ses yeux. À
18 ans, elle venait d’être élue
Miss Marseille , devant ses dauphines
Virginie Philippart et Marine
Vicendone! C’est elle qui
portera haut les couleurs de la
ville, parmi la quinzaine de jeunes
filles, ce soir, lors de l’élection
officielle de Miss Provence,
à Sausset-les-Pins (gymnase
Alain Calmat); Un spectacle qui
se jouera à guichets fermés,
avec à la clé un ticket pour la
grande finale de Miss France,
(version Endemol) le 4 décembre
prochain à Caen, devant les
caméras de TF1.
Étudiante au lycée de la Cadenelle
en BTS Commerce international,
Analisa, 1,71 mètres, qui
vit à Saint-Barnabé (12e), se présentait
pour la première fois à
ce type d’élection. "C’estmatante
qui m’a incité à m’inscrire,
m’expliquant que ce sera une
grande opportunité pour moi. Je
ne pensais pas gagner surtout
qu’en chorégraphie je n’étais pas
contente de moi".
La toute nouvelle Miss Marseille
avoue apprécier "le milieu
de la mode et de la beauté". Celle
qui voudrait partir à l’étranger
p o u r t r a v a i l l e r d a n s
l’import-export "mais peut-être
aussi intégrer une école de commerce
comme Euromed", ne cache
pas "un brin d’anxiété ; mais
je suis déjà super heureuse de
participer..."
En tenue de soirée puis en
maillot de bain, sous les yeux de
Jean-Pierre Foucault et de Valérie
Bègue, Miss France 2008, la
belle Marseillaise va-t-elle devenir
la reine de Provence?