ARGENTINA DANSEZ NOUS LE TANGO

L'Argentine passe en quarts de justesse

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Grâce à but d'Angel Di Maria en prolongation (118e), l'Argentine s'est qualifiée in extremis ce mardi pour les quarts de finale aux dépens de la Suisse (1-0 a.p.). L'Albiceleste y affrontera le vainqueur du match entre la Belgique et les Etats-Unis, programmé en soirée (22h00).

Mondial-2014 : L'Argentine affrontera la Belgique en quart de finale
Le 01 juillet à 17h24 | Mis à jour il y a 6 heures
L’Argentine de Lionel Messi est en quarts. PHOTO/AFP
Les Belges affronteront les Argentins, samedi en quart de finale du Mondial-2014. Ce mardi soir, les Diables Rouges ont éliminé les Américains au bout des prolongations grâce à des buts de De Bruyne (92) et Lukaku (105). Les hommes de Jurgen Klinsmann réduisant la marque par Green (106).
Un peu plus tôt, l'Argentine, également poussée en prolongation par la Suisse, s'est qualifiée in extremis (1-0 a.p.) pour son troisième quart de finale consécutif en Coupe du monde.

Di Maria (118) a profité d'une accélération plein axe de Messi, qui a attiré tous les défenseurs sur lui, pour forcer le verrou suisse d'une frappe décroisée, après un décalage parfait du quadruple Ballon d'Or. 
Le programmes des quarts de finale 
Vendredi 4 juillet à 18 h : France - Allemagne
Vendredi 4 juillet à 22 h : Brésil - Colombie
Samedi 5 juillet à 18 h : Argentine - Belgique
Samedi 5 juillet à 22 h : Pays-Bas - Costa Rica

Coupe du Monde
01 juil 2014 à 21:20

Sergio Romero file en quart...
par @motaccard
© Photo : AS MONACO
L'Argentine a lutté pour éliminer la Suisse. Un but d'Angel Di Maria à la toute fin des prolongations a offert à l'Albiceleste son passeport pour les quarts de finale.

Mondial : la Belgique défiera l'Argentine de Messi
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Publié le 02/07/2014 à 07h28 , modifié le 02/07/2014 à 07h58 par 
SudOuest.fr avec AFP


La Belgique a réussi à atteindre son objectif, une participation aux quarts de finale du Mondial, en écartant les Etats-Unis (2-1) grâce à Kevin De Bruyne et Romelu Lukaku




[size]
Stade : Arena Fonte Nova (Salvador de Bahia, Brésil)
[/size][size][size]
ACTIONS


Buts
[/size][/size]

• 93'
  De Bruyne
  107'
  Green
  
  Passeur Bradley
  
  
• 105'
  Lukaku
  Passeur De Bruyne
  

[size][size]
Cartons
[/size][/size]

• 42'
  Kompany
  18'
  Cameron
  

[size][size]
Remplacements
[/size][/size]

• 60'
  Mertens
  par Mirallas
  32'
  Johnson
  
  par Yedlin
  
  
• 91'
  Origi
  par Lukaku
  72'
  Zusi
  
  par Wondolowski
  
  
• 111'
  Hazard
  par Chadli
  105'+2
  Bedoya
  
  par Green
  
  

[size][size]
COMPOSITIONS D'ÉQUIPES

4-2-3-14-1-4-1
[/size][/size]

• TITULAIRES
  
  
• REMPLAÇANTS
  
  

[size][size]

[/size][/size]

• 1
  Courtois
  
  
• 2
  Alderweireld
  
  
• 4
  Kompany
  
  
  
• 5
  Vertonghen
  
  
• 6
  Witsel
  
  
• 7
  De Bruyne
  
  
  
• 8
  Fellaini
  
  
• 10
  Hazard
  
  
  
• 14
  Mertens
  
  
  
• 15
  Van Buyten
  
  
• 17
  Origi
  
  
  

• 1
  Howard
  
  
• 3
  González
  
  
• 4
  Bradley
  
  
• 5
  Besler
  
  
• 7
  Beasley
  
  
• 8
  Dempsey
  
  
• 11
  Bedoya
  
  
  
• 13
  Jones
  
  
• 19
  Zusi
  
  
  
• 20
  Cameron
  
  
  
• 23
  Johnson
  
  
  

• 12
  Mignolet
  
  
• 13
  Bossut
  
  
• 18
  Lombaerts
  
  
• 19
  Dembélé
  
  
• 20
  Januzaj
  
  
• 23
  Ciman
  
  
• 9
  Lukaku
  
  
  
  
• 11
  Mirallas
  
  
  
• 22
  Chadli
  
  
  

• 6
  Brooks
  
  
• 9
  Johannsson
  
  
• 10
  Diskerud
  
  
• 12
  Guzan
  
  
• 14
  Davis
  
  
• 15
  Beckerman
  
  
• 17
  Altidore
  
  
• 21
  Chandler
  
  
• 22
  Rimando
  
  
• 2
  Yedlin
  
  
  
• 16
  Green
  
  
  
  
• 18
  Wondolowski
  
  
  

[size][size]

BRADLEY
Michael

N°4 - Milieu
Etats-Unis
Coupe du Monde
4 matches
1 passes décisives
98 min. / match

[/size]








C
'est une génération dorée, emmenée par Eden Hazard. La Belgique a atteint son but mardi soir à Salvador : elle s'impose 2-1 face aux Etats-Unis, grâce aux buts de Kevin De Bruyne et Romelu Lukaku
Dans la moiteur de l'Arena Fonte Nova (82% d'humidité), les Diables Rouges ont longtemps buté sur un incroyable Tim Howard et, malgré une déferlante d'occasions, ils ont dû attendre la 93e minute pour ouvrir le score.

© PHOTO AFP ADRIAN DENNIS

Lukaku, juste rentré au jeu, a fait parler sa fraîcheur pour déborder sur son flanc droit et servir De Bruyne qui pouvait enfin tromper Howard, infranchissable jusque-là.
Ensuite, scénario inverse : c'est De Bruyne qui offrait le 2-0 à Lukaku pour son premier but en Coupe du monde (105e).
Les Belges ont ensuite tremblé quand Julian Green ramena le score à 2-1 à la 107e minute. Puis le gardien Thibaut Courtois a déjoué un fantastique coup-franc tout en combinaison. Mais les Diables ont tenu...

© PHOTO AFP FRANCISCO LEONG

Avant ce dénouement heureux pour eux, il en avait fallu des occasions aux Belges pour percer le mur américain !
Depuis le début de cette Coupe du monde, toutes les équipes s'alignent avec des défenses renforcées au moment d'affronter la Belgique.
Le sélectionneur des Etats-Unis Jürgen Klinsmann n'a pas procédé autrement que ses homologues algérien, russe et sud-coréen avant lui en disposant cinq défenseurs dans son onze de base.
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• L'assaut s'est poursuivi
  

[size]
Qu'à cela ne tienne, les Diables Rouges critiqués avant ce match pour la faible qualité de leur jeu (sur le plan du spectacle) malgré le neuf sur neuf réussi en poules, ont offert un récital auquel il n'a manqué que les buts durant les 90 premières minutes.
Durant la majeure partie de la première période, les hommes de Marc Wilmots ont passé leur temps dans le camp adverse se créant des occasions par Alderweireld (volée à la 22e), Vertonghen (lancé par Hazard à la 26e), Hazard (tir 29e) et De Bruyne (reprise 45e).
Le gardien belge Thibaut Courtois n'a lui guère frémis sur les quelques contre-attaques, même s'il a dû se coucher sur des frappes de Clint Dempsey.
Ce scénario s'est répété après la pause, les Belges passant souvent près de l'ouverture du score par Origi notamment et sa tête heurtant la barre (56e) puis sa reprise contrée par Tim Howard (71). Et l'assaut s'est poursuivi, toujours selon le même scénario.
Howard, le cauchemar des attaquants belges, a longtemps repoussé l'échéance en réussissant un grand match. Quel rempart ! Ce Mondial est décidément celui des gardiens.
"Ne pas atteindre les quarts de finale serait un échec", avait dit Axel Witsel à la veille du match. Nous avons des joueurs de talents, nous sommes en parfaite condition, nous avons les qualités pour passer: on ne veut pas s'arrêter-là".
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• Et maintenant l'Argentine
  

[size]
Les Diables Rouges fondaient également leur optimisme sur leurs deux dernières rencontres remportées sur la Team USA, en mai 2013 (4-2) à Cleveland et quelques mois plus tôt fin 2012 (1-0) à Bruxelles.
A Salvador, ils ont confirmé qu'ils sont bel et bien la bête noire des Etats-Unis ces deux dernières années.
L'inexpérimentée équipe de Belgique (le deuxième groupe le plus jeune de ce Mondial), qui n'avait plus disputé de Coupe du monde depuis 2002, fait déjà preuve d'une belle maturité, à l'image du jeune attaquant Divock Origi, invité surprise de ce Mondial et qui a fait tellement souffrir la défense US.
Les Diables Rouges, qui avaient atteint les demi-finales en 1986, peuvent à nouveau rêver du dernier carré. Mais il faudra passer par un duel face à l'Argentine de Lionel Messi samedi à Brasilia.
Sur ce qu'ils ont montré à Salvador, Vincent Kompany et les siens peuventambitionner faire mieux que la Suisse éliminée par l'Albiceleste plus tôt dans la journée.
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Mondial 2014 : l'Argentine en quarts en éliminant la Suisse
1 COMMENTAIRE
Publié le 01/07/2014 à 20h42 , modifié le 01/07/2014 à 20h58 par 
SudOuest.fr, avec AFP


L'Argentine s'est qualifiée pour les quarts de finale du Mondial en battant la Suisse 1 à 0 après prolongation mardi à Sao Paulo
Lionel Messi félicité après la victoire de son équipe devant la Suisse© PHOTO 
AFP JUAN MABROMATA








L
'Argentine, poussée en prolongation par la Suisse, s'est qualifiée in extremis (1-0 a.p.) pour son troisième quart de finale consécutif en Coupe du monde, mardi à Sao Paulo.
Di Maria (118e) a profité d'une accélération plein axe de Messi, qui a attiré tous les défenseurs sur lui, pour forcer le verrou suisse d'une frappe décroisée, après un décalage parfait du quadruple Ballon d'Or.  La Nati devra encore patienter avant de disputer un quart de finale, qu'elle attend depuis 60 ans et le Mondial-1954 joué à domicile. 
Dans une Arena Corinthians baignée de soleil, les Argentins se sont faits bousculer par des Suisses solides en défense et explosifs en attaque, avec un Shaquiri beaucoup plus en vue que Messi.  Le scénario s'est inversé en seconde période avec une Albiceleste dominatrice et entreprenante, qui a buté sur Benaglio, vigilant sur les actions chaudes. 
Les Suisses se sont repris en prolongation pour repartir en attaque. Après le but de Di Maria, Dzemaili a eu l'occasion d'égaliser mais sa tête a été repoussé par le poteau droit de Romero (120).
L'Argentine rencontrera samedi à Brasilia le vainqueur du match entre la Belgique et les Etats-Unis, qui devaient s'affronter en soirée (22h00 en France). 

[size=36]Di María s'impose en messie[/size]

Publié le 02/07/2014 à 03:49, Mis à jour le 02/07/2014 à 07:54

Huitièmes de finale. Hier. Après un match éprouvant, l'Argentine triomphe en fin de prolongation devant la Suisse de Shaqiri (1-0)

Face à la solidité défensive de la Nati, Messi a mis du temps à trouver la solution mais finalement été passeur décisif pour Di María./ Photo AFP

La Suisse y a cru jusqu'au bout de la prolongation mais à la fin, c'est l'Argentine qui gagne. L'Albiceleste a obtenu son ticket pour les quarts de finale après un match compliqué, rythmé par les phases d'attaque mal conclues et le manque d'efficacité. Mais comme d'habitude depuis le début de ce Mondial, la sélection emmenée par Sabella s'en est sortie grâce à son homme providentiel, ou plutôt son duo offensif de feu, pourtant frères ennemis à l'année. Messi, le Barcelonais, a servi Di María, le Madrilène, pour le but salvateur. 1-0, score final. L'Argentine a souffert, autant que l'Allemagne contre l'Algérie lundi, mais file aussi en quart.
Benaglio, un rempart pas récompensé
L'Argentine a tenu le ballon la quasi-totalité du match, ne descendant que très rarement au-dessous des 60 % en sa faveur. Si pendant les 45 premières minutes elle a largement dominé, c'est pourtant la Suisse qui s'est révélée être la plus dangereuse, bien que beaucoup moins entreprenante offensivement. D'abord par Xhaka, qui met Romero en difficulté, ensuite par la lourde frappe de Behrami dans la foulée (27). Le gardien argentin est à nouveau sur la trajectoire.
À la 39e minute, se produit une des actions que les joueurs de la Nati regretteront sans doute le plus, Drmic en tout cas. L'attaquant de pointe se retrouve seul devant Romero qui, étrangement, ne sort pas pour combler le retard de sa charnière centrale (il devrait prendre des leçons avec Neuer). Dans la précipitation, il choisit le lob plutôt que le tir en finesse à ras-de-terre. Romero se saisit du cuir sans problème.
Mais le gardien qui a le plus brillé hier est bel et bien Benaglio. Pas trop mis en difficulté en première mi-temps, tant les tentatives argentines étaient molles, le portier suisse a ensuite été agressé. Le mot est fort mais les statistiques le justifient : 29 tirs, 22 cadrés, et plus d'arrêts que de ballons repoussés par les défenseurs rouges. Benaglio a fermé les angles de tir à merveille, Lavezzi (29) et Rojo (58) en ont fait les frais, entre autres. Du haut de son mètre 94, il a également nettoyé la lucarne à plusieurs reprises – une claquette sur une tête d'Higuain, 62, ou encore des deux poings sur un missile de Di María, 109 – pour garder sa cage toute propre 117 minutes durant.
Un travail très mal récompensé quelques instants avant le coup de sifflet final de l'extra-time. Une fin de match vécue comme une injustice tant les efforts fournis ont été importants.
Dzemaïli va s'en mordre les doigts
Toute la prolongation se déroule sur un faux rythme. Enfin une grosse partie en tout cas. Les organismes sont épuisés. La qualité de conduite de balle et le choix dans le dernier geste commencent vraiment à laisser à désirer. Le ton change côté suisse quand Dzemaïli entre (113), pendant que l'Argentine trouve un second souffle.
Le compteur tourne mais Messi s'engouffre dans l'axe, résistant au passage au tacle de plusieurs défenseurs, totalement aspirés par sa prise d'initiative et en oubliant de marquer Di María. La Pulga continue de provoquer et parvient à décaler Di María qui place un plat du pied puissant et imparable pour Benaglio (1-0, 118e). Il ne reste pas beaucoup de temps mais la Suisse n'abdique pas. Dzemaïli, virevoltant depuis son entrée en jeu, a l'occasion d'égaliser sur corner dans le temps additionnel de la prolongation mais sa tête heurte le poteau. Cruel. L'aventure s'arrête là pour la Nati qui devra encore patienter avant de disputer un quart de finale qu'elle attend depuis 60 ans.

[size=36]rgentine-Di Maria: ''On a contrôlé''[/size]

voir la photo






L'Argentine s'est qualifiée ce mardi à Sao Paulo pour les quarts de finale de la Coupe du monde 2014. Cependant, la sélection d'Alejandro Sabella a dû attendre la prolongation et la 28e minute de celle-ci pour s'imposer 1-0 devant la Suisse. C'est Angel Di Maria, bien aidé par Lionel Messi, qui a donné la victoire aux siens. "Je voulais absolument marquer ce but pour ma fille et ma femme qui me soutiennent, savourait le natif de Rosario au coup de sifflet final. C'est vrai qu'on n'a pas très, très bien commencé, mais on a su se reprendre, on n'a jamais perdu espoir. Ils ont eu une occasion, ce face-à-face avec notre gardien, mais, derrière, on a contrôlé le match. [...] On a tout donné. On savait qu'on pouvait risquer d'aller en prolongation et même aux tirs au but, on l'a vu avec les autres huitièmes, mais on a tout donné sur le terrain et on l'a fait." Au prochain tour, l'Albiceleste affrontera la Belgique ou les Etats-Unis.

[size=30]ondial: l'Argentine croit un peu trop au Messi[/size]
02/07/2014 16:53
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L'Argentin Lionel Messi lors du 8e de finale face à la Suisse au Mondial, le 1er juillet 2014 à Sao Paulo - AFP
L'Argentine ne guérit pas du tout de sa Messi-dépendance, mais le docteur Sabella ne semble pas inquiet alors que se profile la venimeuse Belgique en quarts de finale du Mondial-2014.

"Je suis juste un membre du groupe", a poliment répondu Lionel Messi, mais personne n'est dupe. Contre la Suisse (1-0 a.p.), une inspiration de son génial capitaine et une belle frappe d'Angel Di Maria, un des seuls Argentins à exister derrière le maître, ont encore tiré le sélectionneur de l'embarras. Car pendant les 118 premières minutes le système d'Alejandro Sabella n'avait produit que trois vraies grosses occasions.
"Je fais toujours mon autocritique", promet le sélectionneur, mais il n'a "pas de critique particulière à faire aux joueurs, ni à eux ni à l'encadrement, même si on peut toujours s'améliorer." Sabella trouve que "d'une manière générale (l'Argentine) a produit une bonne partition collective" contre la Suisse.
Où est Higuain?
Mais justement, le jeu d'équipe ne se dessine pas vraiment. Ezequiel Lavezzi s'est dépensé contre les Suisses, il a permuté avec Di Maria, mais sans jamais se montrer menaçant.
Cette formation confie tous ses ballons chauds à Messi, le remède miracle des trois matches précédents. Déjà contre l'Iran il a évité à la dernière minute un nul embarrassant (1-0).
Avec ses quatre buts, plus le but contre son camp provoqué contre la Bosnie et la passe à Di Maria, Messi est directement responsable de six des sept buts argentins. Et l'Albiceleste n'a pas encore rencontré de cadors (Bosnie, Iran, Nigeria et Suisse).
Mais les joueurs s'en tiennent au même discours rassurant de leur entraîneur. "Les héros se sont les 23 joueurs et les techniciens", assure Di Maria, seul lieutenant fiable de Messi jusqu'ici.
Les autres soldats ont déserté, réellement comme Kun Agüero, blessé et encore incertain pour les quarts, ou virtuellement comme Gonzalo Higuain, fantomatique contre la Suisse. Arrivé blessé et fatigué de Naples, "Pipita" ne semble pas au niveau de ce Mondial.
Au milieu, Javier Mascherano fait toujours bonne garde mais son alter ego Fernando Gago est bien décevant.
'Garder l'équilibre'
La charnière centrale, Federico Fernandez et Ezequiel Garay, n'inspire pas une immense confiance et le meilleur défenseur argentin depuis le début du tournoi, Marcos Rojo, a pris un avertissement qui le prive du match contre les Belges.
Mais cela non plus n'inquiète pas Sabella. "José Maria Basanta va probablement jouer le prochain match, Rojo est très bon mais nous avons confiance en Basanta aussi", explique-t-il.
Toujours calme, Sabella "félicite les joueurs pour avoir gardé l'équilibre". "Ce n'est pas parce qu'on se trouve dans une situation désespérée qu'il faut laisser des espaces à l'adversaire", dit-il.
Si l'Argentine défend comme contre la Belgique, reine de la contre-attaque, le quart de finale de Brasilia risque de mettre du temps à se dénouer lui aussi...
Il défend sa tactique d'"exercer plus de pression au centre pour être moins attaqués sur les flancs car c'est ce qui a débouché sur le but" contre la Suisse.
Évitant les questions sur le jeu collectif, les joueurs évoquent leur sens du sacrifice, comme Di Maria ("Nous donnons notre âme, notre vie sur chaque ballon"), ou soulignent que l'Argentine n'est pas la seule favorite à souffrir et à s'imposer au bout des matches.
"Hier c'était l'Allemagne, avant-hier la Hollande, aujourd'hui l'Argentine, dit Mascherano, tout est difficile dans le football, il n'y a pas d'adversaire facile."
Messi aussi se félicite que l'équipe ait "su souffrir", car "il faut passer par des moments comme ça" pour atteindre "le rêve de tout un pays". Malgré les performances mitigées, "nous sommes sur la bonne voie". Si c'est le guide qui le dit.

[size=40]30 000 supporters attendus

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Entre 20 000 et 30 000 supporteurs argentins sont attendus samedi dans la capitale brésilienne pour le quart de finale de la Coupe du monde contre la Belgique, selon l'ambassade d'Argentine à Brasilia. Ils étaient environ 90 000 à s'être déplacés à Rio de Janeiro et Porto Alegre lors des matches de poule et 70 000 à Sao Paulo pour le huitième de finale face à la Suisse (1-0) mardi.




Un parking gratuit leur a été réservé dans le nord de la ville, a annoncé le gouvermenent local dans un communiqué. Des douches, des toilettes et un accès à l'eau potable ont été installés dans ce parking pouvant accueillir jusqu'à 4.000 véhicules. «Nous sommes prêts à accueillir les Argentins et à leur donner toute notre attention», a déclaré le ministre du Tourisme, Luis Otavio Neves. (Avec AFP)

Maradona critique encore l'Albiceleste

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Diego Maradona s’est encore fendu d’une sortie musclée envers le jeu développé par la sélection argentine, qui disputera son quart de finale samedi face à la Belgique (18h). «C’est comme si nous n'avions pas encore commencé» a déclaré le Pibe de Oro à la télévision vénézuélienne. «Ils doivent se mettre dans la tête que nous ne pouvons pas être le "Sporting Messi". Peut-être qu’il peut marquer un super but... mais si elle (la sélection, ndlr) ne se détache pas du Kid (Messi, ndlr), on ne pourra pas lui sauter dessus demain pour le désigner comme coupable d’une éventuelle catastrophe» a expliqué le champion du monde 1986. «Messi est très seul...  L'équipe ne fait pas de changements de rythme, il n’y a pas de mouvements en attaque», a ajouté Maradona, disant que les joueurs n'avaient pas une attitude de mort-de-faim. Pour lui, le groupe est à 40 % de ses capacités.

La belgique en progrès, l'Argentine dans le doute

Publié le 03/07/2014 à 08:29

À froid. Vainqueurs après la prolongation, les deux pays ont rendez-vous en quarts

Le duel entre Lionel Messi et Eden Hazard promet./ Photo AFP


Dans une Coupe du monde louée pour son esprit offensif et son caractère indécis, la rencontre Argentine-Suisse a atteint des sommets d'ennui. On n'attendait pas forcément grand-chose des Helvètes, mais l'Argentine a franchement déçu. Depuis le début de la compétition, l'Albiceleste s'en sort sur des exploits de Lionel Messi.

Avant-hier, c'est encore lui qui a débloqué la situation, en adressant une passe décisive pour Angel Di Maria en toute fin de prolongation (118). C'est encore passé pour cette fois, mais jusqu'à quand ?
La Belgique a en revanche été plus enthousiasmante contrairement à ses matches du premier tour. Face à des Américains qui ont misé sur leur seule défense et surtout sur la dextérité de leur gardien, Tim Howard pour survivre, les partenaires d'Eden Hazard ont longtemps buté sur le mur bâti par Jürgen Klinsmann qu'on a connu plus inspiré sur le plan offensif. Mais ces Américains-là n'ont pas d'autres arguments pour faire illusion. La Belgique l'a vite montré en scorant à deux reprises lors de la prolongation (De Bruyne et Lukaku).
La revanche de 1986
Le duel des numéros 10 entre le quadruple Ballon d'or Lionel Messi et la pépite belge Eden Hazard, samedi au stade national Mané-Garrincha de Brasilia s'annonce savoureux. On va savoir ce que les Belges, annoncés comme des outsiders, ont dans le ventre. Leur dernier fait d'arme lors d'un Mondial remonte à 1986. Ils avaient alors atteint les demi-finales face à l'Argentine et s'étaient retrouvés 4es après avoir été battus dans la petite finale par la France de Platini et consorts.
Cette fois, ils ont leur chance face à cette Argentine poussive qui joue sans enthousiasme contrairement à ses supporters qui rêvent tout haut d'une troisième étoile.

Pays-Bas, Argentine : pas si évident

Publié le 04/07/2014 à 08:18

Demain. Une sacrée demie se prépare, mais le Costa Rica et surtout la Belgique peuvent surprendre

.


Si la logique qui prévaut depuis le début du tournoi est respectée, on s'oriente tout droit vers une demi-finale Pays-Bas – Argentine qui aurait fière allure sur le papier. Ce serait quand même faire peu de cas du Costa Rica, qui ne fait plus rire personne en Angleterre ou en Italie et de la Belgique, plat pays qui ne l'est plus tant que ça sur la planète footballistique.

C'est sûr qu'une victoire du Costa Rica face aux Néerlandais ferait un sacré buzz dans le Landerneau. Impressionnants lors du premier tour avec trois victoires en autant de matches, les hommes de Louis van Gaal ont perdu de leur superbe face au Mexique en 8e de finale. Comme souvent, ils ont subi la pression des rencontres à élimination directe, d'autant que le Mexique n'avait rien à perdre dans cette confrontation beaucoup plus équilibrée qu'il n'y paraissait.
Un derby Pays-Bas –Belgique ?
Le Costa Rica a sensiblement suivi la même trajectoire. Ascendante en poule avec deux succès de prestige sur l'Italie et l'Uruguay et un match nul face à l'Angleterre. Un parcours extraordinaire pour un si petit pays. Le 8e de finale a été plus compliqué face à la Grèce, le genre d'adversaire coriace qui laisse peu de place à l'imagination et à l'initiative. Résultat, une prolongation et la séance des tirs au but. La pièce est tombée côté pile, mais la barre sera sans doute plus haute vu l'état de forme d'Arjen Robben.
Pour l'Argentine, c'est autre chose. Sur le papier, l'Albiceleste a de la gueule, mais sur le terrain, elle a tendance à rester muette. Sans inspiration ni enthousiasme. Évidemment, sur une inspiration, Lionel Messi peut changer un match à lui tout seul, mais une hirondelle n'a jamais fait le printemps sur le long terme. Si les hommes d'Alejandro Sabella ne rehaussent pas leur niveau, c'est carrément l'automne qui guette cette formation. D'autant que la Belgique est sans doute mieux carrossée que le Costa Rica pour voir plus loin. Cette équipe qui a dominé la Croatie, la Serbie et l'écosse pour se qualifier dispose d'éléments jeunes qui jouent dans les meilleurs championnats européens. Les partenaires d'Eden Hazard ont débuté le Mondial timidement quant au contenu, mais leur 8e de finale, face aux états-Unis il est vrai, n'a pas dû rassurer les Argentins. Finalement, la fameuse logique ne plaiderait-elle pas pour une demie Pays-Bas – Belgique.
Presque un derby…

[size=30]Messi et Hazard, au quart de tour[/size]
05/07/2014 05:33
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L'Argentine compte encore beaucoup sur Messi. - (AFP)

	Le Brésil poursuit sa route
	Voir l'infographie en grand format

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Il ne peut en rester qu'un : le quart de finale entre Argentine et Belgique aujourd'hui mettra aux prises Lionel Messi, le quadruple Ballon d'Or, et Eden Hazard, considéré comme l'élève du maître argentin. L'autre quart propose un duel plus déséquilibré sur le papier entre les Pays-Bas et le Costa Rica.
> Argentine - Belgique : Messi-Hazard, c'est qui le meneur ? Le match à Brasilia rappellera aux plus anciens le souvenir d'un Argentine - Belgique en demi-finale du Mondial 1986 à Mexico. Diego Maradona avait marqué le doublé de la victoire (2-0). Les parallèles sont tentants entre l'affiche d'aujourd'hui et celle d'hier. Ce samedi, il y aura d'un côté l'astre Messi et de l'autre la promesse Hazard. Un meneur pur et l'autre plus à l'aise comme ailier mais plaque tournante de son équipe. La hiérarchie voudrait que Messi l'emporte. Mais la physionomie des matchs dessine une tendance un peu différente. Le joueur du Barça porte son équipe à bout de dribble et a déjà marqué quatre buts dans ce tournoi. Ses coéquipiers censés l'aider – à l'exception de Di Maria qui sauve les apparences –, déçoivent au Brésil, à l'instar de Higuain ou Lavezzi. Alors qu'Hazard peut compter sur une équipe beaucoup plus riche avec des joueurs comme Lukaku ou Origi.
> .[/size]

[size=40]Sabella: «Peu de changements»
En dépit du rendement faiblard de Gonzalo Higuain ou de Federico Fernandez, le sélectionneur argentin assure qu'il fera confiance à l'ossature de l'équipe, samedi contre la Belgique (18h00).

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Alejandro Sabella fera confiance à ses titulaires habituels. (L'Equipe)

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«Alejandro Sabella, avez-vous déjà votre équipe en tête pour samedi ?
Rien n’est encore vraiment tranchée mais j’ai l’équipe de base. Il faut que je discute avec mon staff et que je parle aux joueurs. On a regardé tout le monde depuis trois jours, j’ai une idée. On a des variantes dans nos système de jeu mais on devrait garder la même philosophie et le même schéma. Il n’y aura pas trop de changements.

Qu’arrive-t-il à Gonzalo Higuain, qui ne marque pas, et à Federico Fernandez, qui semble en difficulté?
"Pipa" a eu un problème en fin de saison, il a été blessé (à la jambe gauche, le 17 avril) et a eu des douleurs sérieuses. Il n’a pas pu s’entraîner à 100% mais c’est un joueur qui ne renonce jamais. Il court et se sacrifie, il coopère avec l’équipe pour occuper les espaces. Nous avons une grande confiance en lui car c’est un grand joueur. Il n’a pas marqué jusqu’ici, c’est un manque de chance. Federico? Ce n’est pas toujours facile de défendre face aux contre attaques quand l’adversaire a beaucoup d’espaces devant lui. Mais on est une équipe, avec tout ce que ça veut dire. J’ai une grande confiance en Federico, il a toujours fait son boulot.



[size]L’équipe est-elle prête après les difficultés qu’elle a rencontrées contre la Suisse?
Je réfléchis, je suis responsable. Je sais bien que nous n’avons pas encore atteint le niveau qu’on souhaite. Mais on est là. Le Costa Rica a battu l’Italie et l’Uruguay et a fait match nul contre l’Angleterre. Nous, on a gagné nos quatre matches, c’était serré, c’est vrai, mais on a eu un certain rendement malgré tout. La Coupe du monde est très difficile. Il y a eu des surprises, les petites équipes sont très bien préparées, tactiquement. Le football est mondialisé, il s’est globalisé. On est à peu près tous au même niveau. Il faut savoir sortir du triomphalisme argentin.

Les Argentins prennent-ils leur équipe pour ce qu’elle n’est pas?
Ce triomphalisme, c’est notre attitude. C’est culturel. Quand j’étais gosse, on me disait toujours qu’on était les meilleurs du monde alors qu’on ne l’était pas, et qu’on n’avait jamais gagné la Coupe du monde. On n’est pas les meilleurs: parfois on est bons, parfois on est moins bons.



[/size][size]Que pensez-vous de la Belgique?
C’est une très bonne équipe avec une génération dorée et un immense avenir devant elle. Je n’aime pas ressortir des noms des adversaires, mais ils ont un des meilleurs gardiens de but de la Coupe du monde. Certains jouent à Manchester City ou au Bayern Munich, ça se passe de commentaires. Des faiblesses? Si on en a vu, on ne vous le dira pas.

Faut-il craindre que votre équipe soit une nouvelle fois dépendante de Lionel Messi?
Une équipe qui a un joueur comme Messi dépend forcément de lui. C’est le meilleur joueur au monde. On attend toujours de lui qu’il fasse quelque chose et c’est normal. Parfois, il te surprend, parfois non. L’équipe l’aide à se sentir à l’aise et lui donne le soutien dont il a besoin pour s’exprimer. Quand on marque contre la Suisse, Palacio arrache un ballon dans les pieds de Lichtsteiner avant de servir Leo, qui fait la différence et sert Di Maria. C’est un travail d’équipe. Il y a quatre ans on le critiquait parce qu’il n’était pas assez bon et aujourd’hui on dit qu’on dépend trop de lui. C’est comme ça…
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[size=40]Sabella, l'anti-Maradona
Le sélectionneur de l'Argentine, Alejandro Sabella, est un personnage peu connu du grand public. Son portrait avant le quart de finale contre la Belgique, ce samedi (18h00).

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Alejandro Sabella est un homme discret et humble. (L'Equipe)

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D'où vient-il ?

Alejandro Sabella a été pendant quinze ans un honnête milieu de terrain. De 1974 à 1989, il a notamment défendu les couleurs de River Plate (son club formateur), d’Estudiantes (2 titres de champion), mais aussi de Sheffield et Leeds en Angleterre. International à huit reprises au milieu des années 80, il est devenu entraîneur après avoir suivi pendant 17 ans son mentor Daniel Passarella, dont il a été l’adjoint aussi bien en sélection argentine (1994-1998), uruguayenne (2000-2001) ainsi qu’en club (Parme, Monterrey, Corinthians et River Plate). En 2009, il a enfin décidé de voler de ses propres ailes et de devenir entraîneur numéro un. D’abord sur le banc d’Estudiantes (2009-2011), avec lequel il a failli remporter la Copa Libertadores (contre le Barça).



Pourquoi lui ?

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En 2011, après l’échec lors de la Copa America organisée à domicile, il succède à Julio Batista, lequel avait pris la suite de Diego Maradona. Du volcanique El Pibe de Oro par exemple, Sabella n’a pas grand-chose en commun. Lui est plutôt discret, humble et fin tacticien. Son arrivée à la tête de la sélection apaise les esprits au sein d’une fédération pour le moins tiraillée. Son expérience, sa rigueur et son caractère posé ont été perçus comme des atouts non négligeables. Sabella a vite séduit son monde et compris qu’il fallait confier le brassard de capitaine à Lionel Messi, afin de le rendre plus responsable. La Pulga est (bien) entourée de Higuain, Di Maria et Agüero - les 4 fantastiques selon la presse du pays - mais pas de Tevez, écarté afin qu’il ne nuise pas à la bonne entente du groupe. Un pari risqué mais, pour l’instant, les résultats parlent pour lui.



C'est quoi sa philosophie ?

Fan comme beaucoup de Marcelo Bielsa - le nouvel entraîneur de l’OM -, Alejandro Sabella applique certains principes de jeu assez clairs. Il est par exemple à la base un ardent défenseur du 4-4-2. Au Brésil, il fait toutefois plutôt jouer l’Albiceleste en 4-3-3 (en 3-5-2 en première période contre la Bosnie, 1-0), avec Higuain et Agüero (ou Lavezzi) sur les côtés. S’il se dit fier de sa ligne d’attaque, qu’il considère comme la meilleure du monde, il ne se montre pas aussi enthousiaste de son secteur défensif, qui l’inquiète. Loin d’être flamboyante depuis le début du Mondial, l’Argentine mise sur des vertus de travail et d’humilité pour atteindre les sommets. Et ça, c’est un vrai changement.
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Mondial 2014 : l'Argentine qualifiée pour les demi-finales

Publié le Samedi 05/07/2014 à 19H42







L'Argentine est la troisième équipe qualifiée pour les demi-finales, après l'Allemagne et le Brésil hier, grâce à sa victoire 1-0 contre la Belgique. Le but de la victoire a été inscrit par Gonzalo Higuain dès la 8e minute de jeu.
En demi-finale, les Argentins affronteront mercredi 9 juillet les Pays-Bas

Lucas Ocampos : "L’Argentine peut gagner"
par @simonremoussin
© Photo : Prodution AS Monaco
Vainqueur 1-0 de la Belgique, l'Argentine s'est qualifiée pour les demi-finales de la Coupe du monde. Lucas Ocampos, le meneur de jeu argentin de l'AS Monaco, est aux anges et croit plus que jamais en la victoire finale de son pays.

Quart de finaliste des éditions 2006 et 2010, l'Argentine a cette fois passé le cap. Un superbe but de Gonzalo Higuain inscrit dès la 8e minute de jeu a suffi au bonheur de l'Albiceleste, à commencer par son représentant monégasque, Lucas Ocampos : "Je suis très content de la qualification de mon pays. C’est merveilleux pour l’ensemble de mes compatriotes. Maintenant nous sommes tous tournés vers cette demi-finale. Cette sélection est très forte, avec Messi, Higuain, Di Maria… Je suis fier de cette sélection. Et j’espère que l’on va aller loin. L’Argentine peut gagner la Coupe du Monde."
L'ancien ailier de River Plate n'oublie pas son ami et portier R&B lors de la saison 2013/2014, Sergio Romero : "Sergio fait un bon Mondial. Je lui souhaite de continuer comme cela et de continuer à stopper tous les tirs."

Mondial 2014 : l'Argentine élimine une Belgique décevante (1-0)
1 commentaire
Publié le 06/07/2014 à 06h00 , modifié le 06/07/2014 à 06h54 par
SudOuest.fr avec AFP


Selon un scenario très proche du quart de finale entre la France et l'Allemagne, l'équipe qui a ouvert le score en début de match a préservé son avantage jusqu'au bout

Samedi 5 juillet 2014 à 18:00


Argentine

Belgique
Tirs au but -
1-0
Mi-temps1 - 0

• 8'Higuain[ 1 - 0 ]
  

Arbitre : Nicola Rizzoli
Stade : Mané Garrincha (Brasilia, Brésil)
68551 spectateurs (99%)
Actions



Tirs au but0 - 0

2ème mi-temps des prolongations0 - 0

1ère mi-temps des prolongations0 - 0

2ème mi-temps0 - 0

• 81'
  Higuain
  par Gago
  
• 75'
  Hazard
  par Chadli
  
• 75'
  Biglia
  
• 71'
  Lavezzi
  par Palacio
  
• 69'
  Alderweireld
  
• 59'
  Mirallas
  par Mertens
  
• 59'
  Origi
  par Lukaku
  
• 53'
  Hazard
  

1ère mi-temps1 - 0

• 33'
  Di Maria
  par Pérez
  
• 8'
  Higuain[1-0]
  

Le match a démarré à 18:00
Tirs aux buts

Buts

• 8'
  Higuain
  

Cartons

• 75'
  Biglia
  53'
  Hazard
  
• 69'
  Alderweireld
  

Remplacements

• 33'
  Di Maria
  par Pérez
  59'
  Origi
  par Lukaku
  
• 71'
  Lavezzi
  par Palacio
  59'
  Mirallas
  par Mertens
  
• 81'
  Higuain
  par Gago
  75'
  Hazard
  par Chadli
  

Compositions d'équipes

4-4-24-2-3-1

• Titulaires
  
  
• Remplaçants
  
  

• 1
  Sergio
  
  
  
• 2
  Garay
  
  
  
• 4
  Zabaleta
  
  
  
• 6
  Biglia
  
  
  
  
• 7
  Di Maria
  
  
  
  
• 9
  Higuain
  
  
  
  
  
• 10
  Messi
  
  
  
• 14
  Mascherano
  
  
  
• 15
  Demichelis
  
  
  
• 22
  Lavezzi
  
  
  
  
• 23
  Basanta
  
  
  

• 1
  Courtois
  
  
  
• 2
  Alderweireld
  
  
  
  
• 4
  Kompany
  
  
  
• 5
  Vertonghen
  
  
  
• 6
  Witsel
  
  
  
• 7
  De Bruyne
  
  
  
• 8
  Fellaini
  
  
  
• 10
  Hazard
  
  
  
  
  
• 11
  Mirallas
  
  
  
  
• 15
  Van Buyten
  
  
  
• 17
  Origi
  
  
  
  

• 3
  Campagnaro
  
  
  
• 11
  Maxi Rodriguez
  
  
  
• 12
  Orión
  
  
  
• 13
  Fernández
  
  
  
• 17
  Fernández
  
  
  
• 19
  Álvarez
  
  
  
• 20
  Kun Aguero
  
  
  
• 21
  Andújar
  
  
  
• 5
  Gago
  
  
  
  
• 8
  Pérez
  
  
  
  
• 18
  Palacio
  
  
  
  

• 3
  Vermaelen
  
  
  
• 12
  Mignolet
  
  
  
• 13
  Bossut
  
  
  
• 16
  Defour
  
  
  
• 18
  Lombaerts
  
  
  
• 19
  Dembélé
  
  
  
• 20
  Januzaj
  
  
  
• 23
  Ciman
  
  
  
• 9
  Lukaku
  
  
  
  
• 14
  Mertens
  
  
  
  
• 22
  Chadli
  
  
  
  

Coupe du Monde













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L
'Argentine s'est qualifiée pour les demi-finales du Mondial-2014 en battant une ambitieuse mais décevante Belgique 1 à 0, samedi au stade Mané-Garrincha de Brasilia. Pour une place en finale, l'Argentine sera opposée mercredi à Sao Paulo aux Pays-Bas, vainqueurs du Costa Rica aux tirs au but.

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Double championne du monde (1978, 1986) et finaliste en 1990, l'Albiceleste retrouve le dernier carré pour la quatrième fois de son histoire.
Le bonheur de Messi et ses partenaires© Photo AFP ADRIAN DENNIS
Poussée par 30 000 supporters, l'Albiceleste a assuré le service minimum grâce au réveil d'Higuain qui a signé son premier but du Mondial en tout début de match. L'attaquant de Naples a récupéré une passe contrée de Di Maria et a repris instantanément de volée des 18 m pour tromper Courtois (8e). Higuain a encore trouvé la transversale (55e) avant d'être remplacé par Gago (81e).
Gonzalo Higuain hurle sa joie après son but© Photo AFP MARTIN BUREAU
Messi s'est montré plus discret qu'à son habitude: un coup franc au-dessus (40e) et une contre-attaque rondement menée mais au terme de laquelle il a buté sur l'excellent gardien de l'Atletico Madrid (90e+3).
Les Diables Rouges ont été bien timides et n'ont guère inquiété Romero hormis sur une tête de Mirallas, préféré à Mertens, juste à côté de la cage (42e).
En seconde période, les hommes de Wilmots se sont bien lancés à l'assaut du but argentin mais de façon désordonnée et sans toujours une grande conviction à l'image d'Hazard, présenté comme la perle du Plat pays mais qui ne s'est distingué que par un carton jaune (53e). Le joueur de Chelsea, transparent, a d'ailleurs cédé sa place à Chadli (75e).
Eden Hazard a été totalement transparent© Photo AFP ADRIAN DENNIS
A l'heure de jeu, Wilmots a poursuivi son coaching avec les remplacements de Mirallas par Mertens et Origi par Lukaku. Mais rien n'y a fait.
En 1986 au Mexique, l'Argentine avait battu en demi-finales la Belgique (2-0), sur un doublé de Maradona. Les Diables Rouges avaient enregistré leur meilleur résultat en Coupe du monde avec une quatrième place. Ils devront encore patienter pour faire oublier leurs glorieux aînés.

Le 05/07/2014 à 22:56:00 | Mis à jour le 06/07/2014 à 00:04:17 Foot
Coupe du Monde ARG Di Maria : Sabella «espère» 53
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RSS Sorti sur blessure à la 33e minute du quart de finale face à la Belgique, samedi à Brasilia (1-0), Angel Di Maria sera-t-il remis pour la demi-finale contre le vainqueur de Pays-Bas - Costa Rica, mercredi prochain ? Selon le compte Twitter de la FIFA en portugais, le milieu offensif argentin souffre d'un problème à une cuisse, mais la gravité de sa blessure n'était pas encore connue samedi soir. Selon une source française, il serait "out" pour la suite du Mondial. Le scanner prévu devrait donner une réponse.
Higuain : «Di Maria est un joueur-clé, il est très important pour nous» «J'espère que ce n'est pas grave pour Di Maria», a simplement déclaré le sélectionneur Alejandro Sabella après la qualification de l'Argentine. «L'équipe était bien équilibrée et Di Maria provoquait beaucoup. Il a été très bon quand il était sur le terrain», a-t-il ajouté. «Di Maria est un joueur-clé, un de nos titulaires. Je suis désolé de cette blessure. On fera le maximum pour qu'il soit rétabli pour la demi-finale car il est très important pour nous», a de son côté déclaré l'attaquant Gonzalo Higuain.

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Orange Sports 05-07-2014 - 22:18
par Thomas Pisselet
Argentine: Sabella évite la gamelle de l'année (vidéo)

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Involontairement, Gonzalo Higuain a bien failli faire très mal à Alejandro Sabella. Après avoir effacé un défenseur belge d'un joli petit pont, à la 55e minute du quart de finale entre l'Albiceleste et les Diables rouges, l'attaquant argentin a failli doubler la mise mais a finalement vu sa frappe heurter la barre transversale de la cage gardée par Thibaut Courtois. Une action vécue intensément par le sélectionneur sud-américain, tout proche de se casser la figure

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