Les Catalans du FC Barcelona six coupes sur six par MARC-SABATES.COM

Le Barça recrute jeune
En attendant Alexis Sanchez et Cesc Fabregas, le FC Barcelone a annoncé la signature de Kiko Femenia, le prometteur joueur de Hercules Alicante.


Kiko Femenia est un petit pari pour le club catalan.
En attendant Alexis Sanchez et Cesc Fabregas, le FC Barcelone a annoncé ce mercredi la signature de Francisco Femenia Far, dit Kiko Femenia, le prometteur joueur de Hercules Alicante. Ce dernier a été acheté 2 millions d'euros plus 1,5 millions de bonus liés à la revente. La durée du contrat n'a pas été dévoilée. Le milieu de terrain, âgé de 20 ans, a disputé 34 matches (21 titularisations) et inscrit un but la saison dernière avec Hercules, relégué en Liga B. Il a été l'une des révélations de la saison

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20/07/2011 à 09:09 Accord pour Sanchez au Barça

«L'accord est total». Le transfert d'Alexis Sanchez à Barcelone est visiblement en très bonne voie. C'est Gino Pozzo, le fils du propriétaire de l'Udinese, arrivé dans la nuit de mardi à mercredi en Catalogne, qui a confirmé l'information à la radio RAC
Un transfert à 45 millions d'euros

Eliminé de la Copa America, l'international chilien est attendu dans les prochains jours en Espagne pour signer son contrat. Pas avant vendredi puisque l'agent du joueur traite une autre affaire en Italie ce mercredi et que les dirigeants italiens ne seront pas disponibles jeudi pour officialiser un transfert qui devrait leur rapporter 45 millions d'euros au total (fixe et bonus inclus).

Sanchez au Barça, c'est fait ! Annoncé depuis le début du mercato, le transfert d'Alexis Sanchez à Barcelone a livré son épilogue jeudi soir. Le club blaugrana a annoncé sur son site Internet la signature pour cinq ans de l'international chilien de l'Udinese. Le montant du transfert s'élève à 26 millions d'euros, «plus un bonus de 11,5 millions en fonction des résultats».

le Barça brille

Le tournoi amical de Munich a été remporté par le FC Barcelone, champion d'Europe en titre. Souverains, les catalans ont battu mercredi en finale le Bayern Munich (2-0), grâce à un doublé de la jeune pépite Thiago Alcantara (42e, 75e). Devant son public de l'Allianz Arena, les Bavarois ne sont pas parvenus à tenir le rythme face à la formation de Guardiola, privée de Messi, Xavi et Puyol, lequel ne reprendra la compétition que dans trois semaines. «Nous avons mérité (cette victoire) car nous avons su exploiter nos possibilités», a jugé l'auteur des deux buts peu après la partie.

Jeffren va signer au Sporting - Jeffren va quitter Barcelone, qui vient pourtant de perdre deux joueurs de complément (Afellay et Soriano) sur blessure. L'ailier international Espoirs espagnol de 23 ans va rejoindre le Sporting CP pour une durée de cinq ans. Le club portugais va verser 5 millions d'euros pour s'attacher les services du joueur formé à Tenerife qui n'a joué que 13 matches la saison dernière avec le Barça.

Guardiola : «Encore une recrue»

Si son équipe est intouchable depuis trois ans, Pep Guardiola veut encore renforcer son groupe et s'attend à une saison intense : «Tout le monde veut faire tomber l'équipe qui domine.»

«Josep Guardiola, comment se passe la préparation de votre équipe à moins de deux semaines du début de la saison ?
Tout va bien même si le groupe n'est pas encore au complet. Les matches de préparation sont convaincants, tout le monde est très impliqué. Le stage de pré-saison permet à certains joueurs de se révéler, comme c'est le cas de Thiago Alcantara par exemple, et à certains jeunes de la cantera de découvrir la vie de l'équipe première. C'est quelque chose auquel j'attache beaucoup d'importance.

Vous dites que votre groupe n'est pas encore au complet. D'autres arrivées sont-elles possibles ?
Nous ne fermons la porte à rien. Je pense qu'il me faudrait encore une recrue. Ne me demandez pas le nom du joueur que je souhaiterais faire venir, vous savez très bien de qui je veux parler (Cesc Fabregas, ndlr). Mais je n'oublie pas les possibilités que nous avons avec les nombreux talents de notre centre de formation. C'est un réservoir important sur lequel nous devons compter. Il ne faut jamais oublier que les jeunes de la Masia sont l'avenir du club.

Votre saison débute dans moins de deux semaines par un double Clasico en Supercoupe d'Espagne. Y pensez-vous déjà ?
Non, pas encore. Le match aller a lieu dans une dizaine de jours et il y a encore beaucoup de travail à faire avant de disputer cette rencontre. Tout ce que je sais, c'est que cette Supercoupe sera un duel très intense entre deux équipes qui vont vouloir gagner ce trophée afin de débuter de la meilleure manière possible la saison. Ma seule et unique préoccupation à l'heure actuelle est de travailler avec mon groupe au complet afin que tout le monde soit dans la meilleure forme possible pour entamer la saison. Entre les joueurs qui sont encore en congés et ceux qui soignent quelques pépins physiques, je n'ai pas encore pu travailler avec tout le monde. Mais je ne m'inquiète pas pour autant, je savais que cela allait se passer ainsi.

Le Barça domine l'Europe depuis maintenant trois saisons. Comment envisagez-vous la saison à venir ?
Je ne suis pas du genre à trop me prendre la tête avec les objectifs. C'est sûr que j'aimerais que l'équipe continue à pratiquer du beau jeu tout en gagnant des matches et en remportant des trophées. Le FC Barcelone traverse une période faste depuis plusieurs saisons, mais il ne faut pas se reposer sur ses lauriers. Personne ne sait jusqu'à quand cela va durer, mais tout le monde travaille très sérieusement pour que le club continue de remporter des titres. La saison à venir sera encore une fois très difficile car tout le monde veut faire tomber l'équipe qui domine. Je m'attends, une nouvelle fois, à une saison très intense.

Intense, à l'image des multiples Clasicos qui seront joués durant la saison...
(Sourire). Intense, c'est le mot adéquat. Mais les Clasicos ne déterminent pas l'issue d'une saison. Ce qui m'intéresse, ce sont les titres».

Transferts - Milito (Barça) à l'Independiente

Après huit ans passés en Espagne, Gabriel Milito rentre au pays, et même à la maison puisque le défenseur international argentin va retrouver son club formateur, l'Independiente. Le joueur quitte donc le Barça où il n'aura vraiment joué qu'une seule saison, sa première en 2007. Longtemps blessé ensuite, puis relegué dans la hiérarchie des axiaux, le cadet des frères Milito n'aura jamais ces derniers années réussi à convaincre Pep Guardiola de lui faire de nouveau confiance. Il part néanmoins de Catalogne avec des titres en pagaille, pour rejoindre une autre formation qu'il connaît bien, celle avec laquelle, dans la banlieue de Buenos Aires, il avait remporté le Championnat argentin en 2002. Les montants et durée du contrat n'ont pas été communiqués

décision imminente pour Fabregas....


Chaud pour Cesc admet Wenger... Arsène Wenger a déclaré s'attendre à parvenir «très rapidement», et sans doute ce week-end, à une décision concernant le transfert du milieu de terrain espagnol Cesc Fabregas vers le FC Barcelone.

Et ça ne fait que commencer !
.Supercoupe d'Espagne. Déjà du grand spectacle pour le premier clasico.

Le Barça, censé être « en retard dans sa préparation » de l'aveu de son propre coach Pep Guardiola, a déjà envoyé un signal au Real, à l'Espagne, à l'Europe entière. Piégés d'entrée par un festival d'un Benzema qui confirme sa grande forme, passeur décisif pour Özil, les Catalans ont vite réagi avec le réveil de Messi, absent des débats en début de partie. Le double ballon d'or a surgi pour servir Villa, auteur d'une merveilleuse frappe enroulée pied droit dans la lucarne opposée de Casillas, puis pour inscrire comme un grand le deuxième but, en résistant à une rugueuse défense madrilène. Car les joueurs de José Mourinho ont déjà annoncé la couleur. Offensifs, les Merengue ont également imposé beaucoup d'engagement physique, dans une rencontre déjà très intense pour un match de reprise. Xabi Alonso égalisera après la pause dans un clasico moins malsain que les affrontements du printemps… Seulement quatre cartons, et pas vraiment de contestations des acteurs, malgré un arbitrage parfois très contestable. Pour preuve dans les ultimes secondes, le penalty flagrand oublié pour Ronaldo, accroché par un Valdés très heureux sur l'action. Quasiment sur la séquence suivante, Pedro aurait également pu obtenir un coup de sifflet dans la surface. Le Barça se contentera d'un nul avec deux buts à l'extérieur, qui le met en position de force pour le retour, mercredi (23h) au Camp Nou.

REAL MADRID 2 - FC BARCELONE 2

MT : 1-2. Arbitre : Fernando Teixeira Vitienes ; Spectateurs : 79 000.

Pour le Real Madrid : Özil (13), X. Alonso (54).

Pour le FC Barcelone : Villa (36), Messi (45+1).

REAL MADRID CF : Casillas (cap) - S. Ramos, Pepe, Carvalho, Marcelo - X. Alonso, Khedira (Callejon, 58) - Özil - Di Maria (Coentrao, 53), Benzema (Higuain, 81), C. Ronaldo. Entraîneur : José Mourinho.

Avertissements : Khedira (31), X. Alonso (78), Coentrao (90).

FC BARCELONE : Valdés- D. Alves, Mascherano, Abidal, Adriano (Piqué, 61) - Keita - Thiago (Xavi, 58), Iniesta - Sánchez, Messi, Villa (Pedro, 73).

Entraîneur : Josep Guardiola. Avertissement : Sanchez (53).

VA Y AVOIR DU SPECTACLE

Super Coupe d'Europe-Finale 20h45 FC Barcelone-FC Porto

Da Fonseca: "La Liga reste alléchante"

01/09/2011 à 06:53, modifié le 30/08/2011 à 15:18

Omar Da Fonseca estime que la domination du Barça et du Real ne fait pas d'ombre à la Liga. (
Le Barça et le Real Madrid sont-ils avantagés en Liga? Pour Omar Da Fonseca, cela ne fait aucun doute, et ce depuis des lustres. De là à dire qu'ils nuisent au football espagnol, il y a un pas que l'ancien attaquant argentin ne franchit pas. Consultant Football.fr depuis la précédente Copa America, l'observateur assidu du football ibérique a défendu l'intérêt de la Liga, "le football le plus poétique" selon lui, après la polémique née cette semaine des premiers cartons du Barça et du Real. Da Fonseca a également analysé en profondeur le jeu du Barça et ne tarit pas d'éloges sur le "nouveau phénomène" Thiago Alcantara.

Football.fr: Bonjour Omar, vous étiez à Barcelone ce lundi pour la rencontre face à Villarreal (5-0). Comment était l'ambiance au Camp Nou?
Omar Da Fonseca: A la fin du match, l'ambiance était magnifique. C'est l'été, donc il y avait beaucoup de touristes. On sent qu'il y a un véritable engouement pour ce jeu, qui touche presque à l'art lyrique. Il y avait beaucoup d'enfants, beaucoup de femmes, venus assister à un grand spectacle, à l'opéra du Barça: une symphonie de onze joueurs que rien ne peut empêcher de jouer (rire).

Avec de nombreuses absences en défense, Guardiola a testé un dispositif en 3-4-3. Qu'avez-vous pensez de ce système?
On a eu l'impression qu'ils ont commencé au petit trot, un peu au ralenti, mais ça va être encore plus vrai désormais, parce que les Fabregas, Xavi, Iniesta, Messi et autre Thiago Alcantara sont des milieux créateurs qui ont besoin de toucher très souvent le ballon, de construire, de permuter avant de faire la bonne passe ou le bon dribble. Ça permute, mais toujours au même rythme, ils bougent, mais pas avec des accélérations. Ils maîtrisent tellement la préparation qu'ils savent qu'à un moment donné ils vont déclencher la passe dans la zone où il n'y aura personne, où quelqu'un va se présenter avec un effet de surprise. Donc ils jouent tout le temps sur le même tempo, ils aspirent un peu l'adversaire, ils l'endorment, pour un moment donné lui planter une banderille dans le dos.

"Thiago est plus fort que Xavi et Iniesta"

Est-ce que ce football, où c'est l'intelligence qui prime, peut devenir lassant à regarder?
Je ne sais pas s'il peut devenir lassant, mais ce Barça est en tout cas en train de remettre en question un paquet de références de jeu. Beaucoup d'entraîneurs dans l'histoire du football ont dit: "Il ne faut pas donner une passe au défenseur axial quand on est latéral, il ne faut pas donner une passe au milieu défensif quand il est dos au but dans une zone défensive, il faut essayer de jouer avec des avant-centres..." Le Barça, il joue sans avant-centre! Il n'y a personne qui, au départ, occupe l'axe. Personne! Justement, le fait de libérer cette zone axiale, en gardant deux ailiers fixes (Sanchez et Pedro lundi soir, ndlr), ça permet à Messi, Iniesta ou Fabregas de s'y engouffrer à tout moment.

Est-ce que ce Barça est en train de révolutionner le football?
Sans faire de véritable révolution, il est en train de nous montrer qu'avec des joueurs de football qui ont l'intelligence d'esprit d'occuper librement des zones où il n'y a pas de coéquipier, qui s'appliquent à la perte du ballon, se regroupent tout de suite sur le porteur et font un effort simultané, on peut réaliser de très grandes choses. Tout le monde dit: "Oui, mais on n'a pas les mêmes joueurs..." Le fait est qu'au Barça, le critère de sélection c'est le savoir-faire et non l'impact athlétique. Je suis allé les voir à l'entraînement durant les clasicos (en Supercoupe d'Espagne, ndlr), et j'ai vu des choses que je n'avais jamais vu auparavant! Ce Thiago Alcantara, tu verrais les choses qu'il fait! Bon, c'est à l'entraînement, mais il fait avec un ballon de ces contrôles, de ces prises, il la lève, il la remet, il fait une espèce de double contact dans l'air pour se la passer par dessus, des trucs que je n'ai jamais vu! Et pourtant je me suis entraîné avec Diego Maradona...

En parlant de Thiago, on a l'impression qu'il est au-dessus du lot, au même titre que le trio Messi-Xavi-Iniesta, que c'est le 4e génie du Barça...
Oui. Je ne connais pas sa mentalité ni son état physique mais comme footballeur, il a un potentiel exceptionnel. Ça fait deux ans que je le suis, quand il commençait à rentrer dans l'équipe première du Barça, à 18, 19 ans, et à chaque fois il m'a impressionné. Je pense même qu'il est plus fort que Xavi et Iniesta en qualités intrinsèques de footballeur. Il profite aussi de l'absence d'ego dans cette équipe, tout le monde est content de jouer les uns pour les autres, tout le monde a mangé le même lait et suit une tradition, une culture, qui peuvent lui être bénéfique. Pour moi, Thiago est un phénomène. C'est le pur produit du football total, d'excellence, que fabrique le Barça, parce qu'il sait tout faire. Il peut joueur sur un couloir, il peut défendre, techniquement c'est un virtuose, il frappe bien etc...

suite
L'Espagne, le football le plus poétique"

Ce phénomène a fait mal à Villarreal. Son président a d'ailleurs lancé un pavé dans la marre après la rencontre en évoquant les privilèges économiques dont profitent le Barça et le Real. Comprenez-vous cette colère?
Bien sûr, mais ça c'est évident. Ça fait des siècles que ça dure. Ces deux équipes dépassent la connotation purement sportive. C'est d'ordre politique, d'ordre traditionnel, géographique... Il y a une dimension qui va au-delà du côté sportif de l'équipe de football. Et c'est sûr qu'ils ont tous les avantages dans la répartition des droits télévisuels, dans la répartition des choix quand ils vont jouer les matches... Ce sont deux institutions internationales, tout le monde connaît le Barça et le Real dans le monde entier. Donc ils bénéficient de gros sponsors qui les accaparent tout de suite, c'est évident. Et ça, je pense que ça va encore s'accentuer, et on va se digérer encore plus vers un championnat bipolaire. Peut-être qu'un jour on ira vers un championnat européen avec ces deux clubs, mais je ne serai peut-être plus vivant... Mais c'est sûr que ces deux clubs font la différence grâce aux appuis et aux privilèges dont ils bénéficient.

Cette bipolarité manifeste ne rend-elle pas la Liga inintéressante selon vous?
Non, je ne suis pas d'accord avec ça parce que je continue à dire que l'Espagne c'est le football le plus lyrique, le plus poétique, le plus light. Moi quand je vois jouer Villarreal, Séville, Valence, Getafe, je continue à voir du grand football que j'apprécie. Un football avec un esprit d'ouverture. C'est très rare de voir en Espagne un match où il y aura un catenaccio et des mecs pour jouer tous derrière. Même lundi soir, Villarreal n'a pas joué tous derrière en venant au Barça. Autant il y a deux clubs qui se dégagent, autant le championnat continue d'être alléchant, intéressant, parce qu'il exprime une façon de jouer à laquelle j'adhère entièrement.

Donc selon vous, même si le paramètre suspense disparaît, le beau jeu confère suffisamment de charme à la Liga?
Oui, le beau jeu, mais aussi l'esprit combattif des autres équipes. Il y aura forcément des batailles, il y aura des matches difficiles. Quand le Real va se déplacer à l'Atlético, quand il va défier l'Espanyol, quand il va aller à Valence ou Séville... Ces déplacements sont loin d'être gagnés d'avance. Et puis, on s'attend encore à une lute acharnée lors des clasicos. Il y a tout un cirque autour qui vaut la peine. Moi je suis très client, parce que j'aime, parce que ça me plaît.

Les deux Grands d'Espagne ne se sont, eux pas éparpillés : au menu, une ou deux grosses pointures et des bonnes affaires.
le Barça, a fait revenir Cesc Fabregas (29 millions d'euros) au bercail, et recruté Alexis Sanchez (26M d'euros).

http://www.20minutes.fr/article/784960/video-victor-valdes-gardien-barca-yeux-dos

Vidéo: Victor Valdès, le gardien du Barça, a des yeux dans le dos
2 commentaires Créé le 11/09/2011 à 18h28 -- Mis à jour le 11/09/2011 à 19h50

Capture d'écran du match entre la Real Sociedad et le FC Barcelone, le 10 septembre 2011. —20Minutes

FOOTBALL - Lors du match nul contre la Real Sociedad, le portier catalan a bien failli encaisser ridicule...
On peut faire partie de la meilleure équipe du monde et passer à deux doigts du ridicule. Samedi soir, le FC Barcelone se déplace chez la Real Sociedad de Philippe Montanier. Les hommes de Pep Guardiola ont ramené le match nul (2-2), mais les Basques auraient pu espérer mieux si Victor Valdès n’avait pas des yeux dans le dos. En revenant vers son but, et donc en tournant le dos au jeu, il ne voit pas arriver vers lui un dégagement adverse. Le problème, c’est que celui-ci est cadré, et qu’il faut un sauvetage in-extremis du gardien catalan pour éviter l’humiliation au grand Barcelone.

L'orgueil du Barça
Le 17/09/2011 à 21:54 | Mis à jour le 17/09/2011 à 22:14

Tenu en échec la semaine dernière par la Real Sociedad (2-2), le FC Barcelone a repris sa marche sur Valence en écrasant Osasuna (8-0). Un score record sous Pep Guardiola.


Lionel Messi a marqué un triplé et réussit deux passes décisives contre Osasuna samedi.
Si le doute avait pu naître dans certains esprits après le partage des points contre la Real Sociedad et l'AC Milan (2-2) , le Barça a levé toute ambiguïté contre Osasuna (8-0). Non, le Barça n'est pas désorganisé par l'arrivée de Cesc Fabregas, positionné en meneur de jeu derrière le duo Messi - Villa. Et oui, c'est toujours une machine de guerre capable de combiner jeu et résultats. Ce samedi, les disciples de Pep Guardiola n'ont eu besoin que d'une mi-temps pour faire exploser une équipe pourtant regroupée en 4-5-1 par son entraîneur, Jose Luis Mendilibar.



Avec une possession de balle surréaliste de 85% dans cette première période, les Barcelonais ont planté cinq buts, et pas n'importe lesquels. Sur le premier (4e), Lionel Messi, auteur d'un triplé, est à la reprise sur une remise de la tête de Dani Alvès, après une transversale millimétrée de Sergio Busquets. Que dire du deuxième (12e), celui de Fabregas ? Au terme d'une action collective, Messi lui a remis le ballon en une touche. L'ancien Gunner ne s'est pas posé pas de question et a armé une reprise qui a trompé le pauvre Fernandez Moreno, qui a récupéré plus de ballons dans ses filets qu'il n'en a touchés... Un scénario idéal pour le coach catalan qui a pu ménager ses joueurs les plus fragiles. Éric Abidal, à l'origine du quatrième but sur une longue ouverture à destination de David Villa, n'a joué que 45 minutes, Carles Puyol a eu droit à 8 minutes de "rab", tandis que Xavi a cédé sa place à Afellay, quatre minutes après avoir marqué le sixième but du Barça (56e), sur une passe décisive de Messi. Et dire qu'Andrès Iniesta et Alexis Sanchez étaient assis en tribunes. Ça fait peur.

Le sponsoring barcelonais de la Fondation du Qatar fait beaucoup discuter, mais pour les socios du Barça, point de débat. Réunis en assemblée samedi, ils ont approuvé très majoritairement la présence de ce sponsor sur leur maillot depuis le début de cette saison. «Les socios ont ratifié de manière massive l'accord signé avec Qatar Sports Investment pour le sponsoring du maillot par le biais de la Qatar Foundation», indique un communiqué du club.

Soumis au vote, ce contrat a rencontré le soutien massif des socios : 697 ont voté pour, 76 contre et 36 blanc. Le Barça, qui va toucher 171 millions d'euros jusqu'en 2016, est ainsi définitivement lié pour cinq ans à l'organisme fondé en 1995 par l'émir Ahmad Ben Khalifa Al-Thani.

Barça et Milan assurent
Ce ne devait être qu'une formalité.
Ça l'a effectivement été. Sans surprise, le FC Barcelone et l'AC Milan ont assis encore davantage leur suprématie en tête du groupe H.
En déplacement à BATE Borisov (5-0), les Catalans se sont régalés : 3-0 à la mi-temps, avant que Messi auteur d'un doublé (38e, 56e), et Villa (90e) ne maquillent encore davantage le score
. Moins à son avantage, l'AC Milan a attendu la deuxième période pour disposer du Viktoria Plzen (2-0) grâce à deux réalisations d'Ibrahimovic (53e) et Cassano (66e).

Alexis Sanchez dans les 21
Le 30/10/2011 à 17:22

Victime d'une déchirure à la cuisse droite le 10 septembre chez la Real Sociedad, Alexis Sanchez est sur le chemin du retour. L'attaquant international chilien fait même partie du groupe de 21 joueurs que le Barça emmène à Prague pour le match de C1 contre Plzen. Pep Guardiola décidera lundi s'il le met dans les 18. Tous les joueurs sont présents.

Le groupe barcelonais
Valdés, Pinto, Oier - Dani Alves, Piqué, Puyol, Maxwell, Adriano, Abidal, Fontas - Fabregas, Xavi, Iniesta, Thiago, Mascherano, Keita, Sergio Busquets, Isaac Cuenca - Villa, Messi.