Les Catalans du FC Barcelona six coupes sur six par MARC-SABATES.COM

Le jeune attaquant de Barcelone, Pedro, est devenu mercredi le premier joueur de l'histoire à marquer dans six compétitions différentes lors d'une même saison. Il a inscrit le troisième but catalan lors de la victoire sur les Mexicains d'Atlante (3-1) en demi-finale du championnat du monde des clubs.

«Je suis ravi. C'était un objectif que j'avais en tête et que je veux dédier à mes partenaires», a déclaré le joueur de 22 ans dont le but contre Atlante est venu s'ajouter à ses réalisations dans les Supercoupes d'Espagne et d'Europe, en Liga, en Coupe du Roi et en Ligue des Champions.

Pedro fait mieux que son illustre partenaire de club, l'Argentin Lionel Messi, qui a marqué dans cinq compétitions différentes: en Championnat, Ligue des Champions, Coupe du Roi, Supercoupe d'Espagne et au Mondial des clubs.



Un gol del canterano da la victoria al Barcelona (1-0) ante el Almería
Todos los datos del partido

RTVE.es / EFE 03.10.2009
Victoria por la mínima y pidiendo la hora. El Barça del triplete venció al Almería (1-0) gracias a un gol del canterano Pedro a la media hora de partido. Ante un equipo que el año pasado se llevó una goleada -aunque entonces no estaba entrenado por Hugo Sánchez- el campeón no mostró el fútbol alegre de otros encuentros.

Pese a la discreta imagen mostrada este sábado, el Barça puede extraer como conclusiones positivas en primer lugar los tres puntos, muy importantes en una jornada en la que Sevilla y Real Madrid, segundo y tercero, miden sus fuerzas entre ellos.

Las otras dos conclusiones positivas son el estado de gracia de Pedro -o Pedrito, como también le llaman- y el regreso de Andrés Iniesta a los terrenos de juego como titular y jugando los 90 minutos completos.

El equipo andaluz asumió su inferioridad sin complejos. Hugo Sánchez colocó a Chico, un central, junto a Ortiz, y ambos se convirtieron en la sombra de Xavi e Iniesta: toda una declaración de intenciones. El Almería apostó por desactivar así el principal caudal de juego ofensivo barcelonista, pero a costa de renunciar a cualquier posibilidad creativa en su centro del campo.

Porfíandolo todo a la velocidad de Crusat en una contra o a que Uche cazara un balón colgado en el área, el equipo almeriense sobrevivió gracias a ese otro fútbol, en el que las interrupciones constantes de juego y las innecesarias pérdidas de tiempo favorecen siempre al que menos propone.

Velasco Carballo también contribuyó a ello al ser demasiado permisivo con la dureza del conjunto visitante durante la primera mitad. El árbitro madrileño no amonestó a Pellerano por una dura entrada a Messi y se comió un penalti de Bernardello al crack argentino antes de la media hora, aunque también perdonaría la expulsión a Puyol en la segunda parte.

Al Barça se le atragantó ese planteamiento desde el principio, hasta que Xavi decidió que si no podía crear juego era mejor culminarlo llegando desde atrás. Messi asumió los galones para ofrecerse en la mediapunta, Ibrahimovic se dejó caer a la banda para descongestionar el centro y Márquez fue el encargado de sacar el balón desde atrás para habilitar a los de arriba con desplazamientos en largo.

El equipo de Guardiola demostró tener recursos para sobreponerse a la adversidad, y así llegaron un par de internadas de Messi, una doble ocasión de Xavi y Pedro -ambos remataron al palo derecho de Diego Alves de forma consecutiva- y otro cabezazo del primero que se marchó fuera por poco.

Pero tuvo que ser Pedro, el que abriera la lata a la media hora de juego. El canterano, agarró una balón cedido por Maxwell en la corona del área, se dio media vuelta y armó un derechazo que se colocó como una obús por toda las escuadra.

El 1-0 no alteró lo más mínimo al Almería, que desde el primer minuto perdió de vista la portería defendida por Valdés y no parecía tener intención de adelantar sus líneas en busca del empate, incluso después de la reanudación.

Sin embargo, los de Hugo Sánchez, lejos de acusar el haber estado corriendo durante tanto tiempo detrás del balón, parecieron encontrarse más cómodos sin él con el paso de los minutos.

Fue el Barça el que empezó a dar síntomas de relajación o tal vez de cansancio a la hora de juego. Antes, Márquez, Xavi, e incluso Iniesta, lo habían probado de lejos, pero el equipo de Pep Guardiola carecía de la profundidad y movilidad que le había permitido derribar el muro almeriense en la primera mitad.

La entrada de Piatti y Nieto revitalizó el ataque del Almería y Guardiola apostó por los musculosos Keita y Touré Yaya para que empujaran a sus compañeros desde el centro del campo.

Con los dos africanos sobre el terreno de juego, el conjunto azulgrana dejó de sufrir y volvió a recuperar el control de juego. Ibrahimovic a punto estuvo de sentenciar el encuentro, pero se encontró con la manopla de Alvés.

En la última jugada del partido, Uche tuvo la única ocasión del Almería en todo el encuentro, pero su disparo, con la zurda y con poco ángulo, salió muy desviado.

Champion du Monde des Clubs (penalty refusè sur Xavi et Estudiantes marque sur hors jeu)
Champion d' Europe super coupe
Ligue des Champions
Coupe Du Roi
Lliga
Super coupe d ' Espagne
Et oui et dire que j ' avais tout prèvu et qu ' on se foutè de moi sur un autre site de Cassis -Carnoux.
mon dernier message sur ce site de gamins , je defends Maitre Bienvenou , il me radie , pauvres petits cons (quand on accuse faut des preuves) .Je suis au service du protocole au plus grand club Omnisports au Monde ( on a le Hand que le real n ' a pas) on a 7 à 8 joueurs formès au club , je voulais faire un match Cassis Carnoux Barça , le Oyl me prend pour un touriste .Les amis du Beausset on pu assister gratuitement à Barça 1 Real de Madrid 0 avec visite du musèe le tout gratuitement grace à mes amis le President Joan Laporta ( qui doit laisser sa place , election en Mai 2010 ) et Jordi Gomez. Sur une lettre de mon President , Marc en voyant comment tu t ' es investit depuis plusieurs annèes , on peut rien te refuser.Enfin laissons les imbèciles des independant car le royaume des cieux leur appartient .L ' autre parle plus de L ' OM ? 22 ans sans titre ? qui dit mieux Jacques Kachkar , Kalifa ?
La Catalogne à battue l ' Argentine 4 à 2 .
Bienvenou moltes felicitats !!!Vull que miris aquest web WWW.MARC-SABATES.COM
Marc Sabatés
Domaine de Sammiguier
Les Combes
83870 Signes .
France.

Sabatés le Catalan //*// a écrit:Champion du Monde des Clubs (penalty refusè sur Xavi et Estudiantes marque sur hors jeu)
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Et oui et dire que j ' avais tout prèvu et qu ' on se foutè de moi sur un autre site de Cassis -Carnoux.
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Marc Sabatés
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La justice est en marche
pour interdire aux imbéciles d'écrire avec des fautes d'orthographe

et pour rétablir la vérité
les larmes me montent aux yeux d"émotion

03/01/2010 | à 23:22| Foot - TransfertsLe Barça cherche un milieu
Afin de palier les départs de Seydou Keita et Yaya Touré à la CAN, qu'ils joueront avec le Mali et la Côte d'Ivoire du 10 au 31 janvier, le Barça pourrait recruter cet hiver. Selon l'édition en ligne de Marca, Pep Guardiola aurait deux noms en tête de liste : Ibrahim Afellay, le milieu hollandais du PSV Eindhoven (23 ans), et Miguel Veloso, même âge, qui évolue au Sporting Portugal.

NOUS ON A LE PETIT A LEUR PROPOSER
Selon La Provence, l'agent , Christophe Hutteau de Mathieu Valbuena se trouvait à Paris samedi où il aurait rencontré Alain Roche, le responsable de la cellule recrutement du Paris-SG.

IL POURRAIT CONTINUER VERS BARCELONE.............

ILS EN ONT PERDU UNE........

Tenant du titre, Barcelone a été éliminé par le FC Séville. Après avoir perdu 1-2 au Camp Nou à l'aller, les Catalans n'ont gagné que 1-0 en Andalousie.

A Séville (1-0), il a manqué un but à Barcelone pour passer en quarts de finale. Une petite réalisation qui aurait pu venir de Messi, qui a sorti de superbes actions (67e, 69e), ou d'Ibrahimovic, qui n'a pas su mettre au fond l'immanquable après le poteau de l'Argentin (69e). Mais les Catalans n'ont réussi qu'une seule fois à percer le coffre-fort de Séville (1-0). Palop a fait des miracles sur sa ligne puisque sur les seize tirs barcelonais, un seul a fait trembler les filets : la délicieuse frappe enroulée du droit de Xavi à la 64e.

Préféré à un Bojan énorme à Tenerife (5-0), Ibrahimovic a été transparent au Sanchez-Pizjuan. Pourtant, avec Messi, Iniesta, Xavi et Henry, le Barça a envoyé du jeu. Puyol a été très solide derrière, tout comme Pinto sur les rares incursions des joueurs locaux

. Mais pour la première fois de l'ère Guardiola
, le Barça est éliminé d'une compétition.
Il l'est la tête haute
ce mercredi soir

Toujours privé de quelques éléments majeurs, le club catalan tentera de s'éviter toute mauvaise surprise sur le terrain du VfB Stuttgart, ce mardi (20h45), en huitième de finale aller de « sa » Ligue des champions. Avec un Thierry Henry sans doute encore mis à contribution après de longues semaines de purgatoire.

Thierry Henry et Pep Guardiola n'y échapperont pas pendant encore quelques semaines au moins. Après la mise à l'écart de l'attaquant français depuis le début de l'année, la titularisation et le but de ce dernier, samedi face au Racing Santander (4-0), n'ont pas calmé les ardeurs des médias. Les questions demeurent, mais à l'heure d'affronter Stuttgart en huitièmes de finale de la Ligue des champions, le Barça devrait compter une deuxième fois d'affilée sur Henry. Il faut dire que Guardiola doit composer avec un effectif réduit. Seydou Keita et Eric Abidal sont restés en Catalogne, alors que Zlatan Ibrahimovic (cheville), Xavi (cuisse) et Dani Alves (cuisse) restent incertains. L'attaquant suédois devrait cependant retrouver sa place en pointe après avoir fait l'impasse sur le match de Liga le week-end dernier.

Stuttgart ne se fait pas d'illsuions
Face un VfB Stuttgart ragaillardi par son large succès face à Cologne en Bundesliga (5-1), l'affrontement s'annonce quasiment sans danger pour les Catalans, déterminés à conserver leur précieux titre. Les coéquipiers de Mathieu Delpierre, seulement neuvièmes en Championnat, ne partent évidemment pas avec les faveurs des pronostics. Sortis tant bien que mal de leur phase de poule derrière le FC Séville, les Allemands ne se font guère d'illusions. Mais la première défaite en Liga du Barça face à l'Atletico Madrid, il y a dix jours (1-2), a prouvé que les Barcelonais, bien qu'impressionnants de maîtrise, sont loin d'être intouchables. Au VfB d'entretenir son rêve inavouable.

APRES RONNEY UN AUTRE LUTIN MARQUE AUSSI

LES ALLEMANDS SONT DEVENUS ABONNES AU NOU CAMP

APRES LE BAYERN STUTTGARTT 0 A 4 ...CA DEVIENT HABITUEL



L'entraîneur du FC Barcelone est ravi que son équipe, championne d'Europe en titre, soit parvenue à se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions après son brillant succès face à Stuttgart (4-0). Il n'a pas non plus manqué d'encenser Leo Messi, une nouvelle fois auteur d'un match énorme.


GUARDIOLA EN VEUT DIX MAINTENANT
FO PAS EXAGERER QUATRE C" PAS MAL DEJA


Josep Guardiola (entraîneur du FC Barcelone): «Etre en quarts est une très bonne nouvelle. Si lors des dernières années seul Manchester United (en tant que tenant du titre) y est arrivé, c'est un signal fort. Nous avons mis beaucoup d'intensité, eu beaucoup de profondeur dans les mouvements et eu la possession du ballon. J'ai longtemps félicité l'équipe car elle a très bien répondu sur le terrain. L'objectif est d'obtenir le meilleur de (Zlatan Ibrahimovic, remplaçant mercredi) parce que c'est un joueur d'une autre dimension. J'étais resté sur un bon feeling à la fin du match contre Valence (gagné 3-0 dimanche) avec Titi (Henry) et Pedro et je voulais revoir ça. Mais Titi sera totalement de retour quand il jouera sur le côté gauche comme il a joué au centre (de l'attaque). J'attends toujours plus de lui, je veux qu'il soit plus agressif face au but. Mais il nous a beaucoup aidés. Yaya (Touré) est un grand joueur, il a fait un grand match. Nous savons de quoi (Messi) est capable, c'est le meilleur. Et le meilleur a toujours une grande influence. (Michael) Jordan avait beaucoup d'influence avec les Bulls. Messi aussi».

Victor Valdés (gardien de but du FC Barcelone): «C'est un très bon résultat pour que les gens se rendent compte qu'on essaie toujours de bien jouer au football. Je donne un 10 (sur 10) à l'équipe. La Ligue des champions est une compétition dans laquelle ce sont les petits détails qui comptent, il faut avancer pas à pas. (En quarts de finale) ce sera dur contre n'importe quel rival».

Christian Gross (entraîneur du VfB Stuttgart): «Le Barça mérite sa qualification, il n'y a pas de discussion possible. Nous n'avons pas pu arrêter Messi dans les moments décisifs du match. Le Barça a vite mené 2-0 et était euphorique. C'est devenu très difficile pour nous. Nous n'avons pas pu attaquer sur les côtés comme nous le souhaitions. Je pense que (Messi) est avec raison le meilleur joueur du monde. On peut logiquement le comparer à Maradona. C'est incroyable quand on sait l'âge qu'il a (22 ans)»

CE BARCA LA A UN ARSENAL DE REPONSES OFFENSIVES ...A VOIR DEMAIN

PAS DE DE FENSE AU BARCA

PAS BESOIN
ILS GARDENT LE BALLON 75 % DU TEMPS DS LE CAMP ADVERSE

http://foot.canalplus.fr/coupes-d-europe/champions-league/videos?sc_cmpid=SPfootmsncanalMSNmsnfr&vid=332749

APRÈS LE NUL À ARSENAL (2-2)
Messi, le génie du Barça
BARCELONE 4 - ARSENAL 1




Camp Nou. Mi-temps : 3-1.
Arbitre : Wolfgang Stark (Allemagne).
Buts - Barcelone: Messi (21, 37, 42, 88). Arsenal : Bendtner (18).
Avertissements - Arsenal : Denilson (31), Rosicky (44), Éboué (67).
Barcelone: Vitor Valdes - Daniel Alves, G. Milito, Marquez, Abidal (Maxwell, 53) -
Busquets, S. Keita, Xavi - Messi, Bojan (Y. Touré, 56), Pedro (Iniesta, 86).
Entraîneur : Josep Guardiola.
Arsenal: Almunia - Sagna, Vermaelen, M. Silvestre (Éboué, 63), Clichy - Diaby, Denilson,
Nasri - Walcott, Bendtner, Rosicky (Eduardo, 73).
Entraîneur : Arsène Wenger.




Lionel Messi est tout simplement génial. Arsenal l’a appris à ses
dépens hier soir, dans un Camp Nou en fusion. Les Londoniens, décimés
par les blessures, furent pourtant valeureux et ont même entretenu
l’espoir d’une qualification quand Bendtner, servi par Walcott,
trompait Valdes en deux temps. Mais ce quart de finale fut le
show du Ballon d’Or 2009; une frappe du gauche limpide pour égaliser
(21), un enchaînement tout en vitesse et précision (37) pour donner
l’avantage au Barça, un duel astucieusement gagné face à Almunia
(42), puis un ultime raid conclu en deux temps (88) pour couronner
le tout ; Messi était trop fort pour cet Arsenal-là. Rendez-vous
est pris avec l’Inter en demi-finale (21 et 28 avril)...

CLASICO ...IL SUFFIT QUE LE BARCA
FASSE B NUL A BERNABEU ...LUON L A FAIT

ALORS

Ça promet des étincelles




Au match aller, au Camp Nou, le FC Barcelone l'avait emporté 1-0 (but de Zlatan Ibrahimovic). (EQ)
Tous deux au top de leur forme, le Real et le Barça s'affrontent samedi à Bernabeu dans un clasico potentiellement décisif pour le gain de la Liga (22h00). Focus.

A égalité de points (77) en tête de la Liga, le Real Madrid et le FC Barcelone vont s'affronter avec l'ambition de prendre seul les commandes du classement qui établira après ce Clasico sa hiérarchie en fonction de la différence de buts particulière. En cas de match nul, c'est donc le Barça, vainqueur à l'aller (1-0), qui sera leader. En revanche, si le Real l'emporte avec un but d'écart, c'est la différence de buts générale (actuellement favorable à Madrid) qui départagera les deux équipes.

Même s'il ne convainc pas toujours dans le jeu, le Real Madrid est en ce moment une machine inarrêtable. Les Merengues, qui ont digéré leur élimination en Ligue des champions face à Lyon (0-1, 1-1) restent sur une incroyable série de douze victoires consécutives en Liga avec pas moins de 41 buts inscrits, soit une moyenne affolante de 3,41 buts par match.
Eblouissants mardi contre Arsenal (4-1), le Barça du génial Messi ne peut pas arriver à Santiago-Bernabeu avec plus de confiance. Les Catalans viennent d'engranger 22 points sur 24 possibles en Championnat.

Manuel Pellegrini devra se passer de Kaka samedi soir. Le Brésilien, qui souffre d'une pubalgie chronique, a tout fait pour revenir à temps. Peine perdue. Les deux Français Karim Benzema et Lassana Diarra seront bien présents, tout comme Xabi Alonso, qui s'est entraîné à part jeudi et vendredi.
De son côté, Josep Guardiola sera privé de son attaquant Zlatan Ibrahimovic, gêné par une lésion à un pied. Gérard Piqué est lui de retour de suspension. Thierry Henry devrait une nouvelle fois débuter sur le banc.

«Le Real Madrid est une grande équipe et je ne crois pas que nous soyons favoris». De Josep Guardiola, vendredi en conférence de presse.

Comme le nombre de buts marqués par Lionel Messi en sept matches contre le Real. Seules deux équipes lui réussissent mieux : l'Atletico (7 buts en 8 matches) et le FC Séville (7 buts en 7 matches).

ALORS SABATES BARCA ROI D ESPAGNE OU DE CATALOGNE
C L "HISTOIRE DE L" ANE CATALAN ET DU TAUREAU ESPAGNOL QUI RECOMMENCE ..

32e j. - Le Barça à sa main




Bojan et Pedro peuvent se congratuler, le titre se rapproche pour le Barça.
Toujours sur un nuage, les Catalans ont disposé sans souci du Deportivo La Corogne (3-0) pour compter provisoirement six longueurs d'avance sur le Real Madrid.



Le FC Barcelone a parfaitement digéré la démonstration livrée il y a quatre jours à Santiago Bernabeu. Le Clasico évacué, les Catalans ont même provisoirement prix six points d'avance sur le Real Madrid en étrillant le Deportivo La Corogne au Camp Nou (3-0). Après l'ouverture du score de Bojan, idéalement servi par Xavi (1-0, 15e), le Barça a déroulé en seconde période. Profitant d'un dégagement manqué d'Aranzubia, Pedro a ainsi inscrit son neuvième but de la saison en Liga d'un superbe lob de quarante mètres (2-0, 68e), avant que Yaya Touré n'achève le festival quelques instants plus tard (3-0, 72e). Sûr de sa force, concentré et appliqué, voilà donc le Barça lancé à pleine vitesse vers un nouveau titre. Et le Real a une pression d'enfer avant son déplacement à Almeria, jeudi (20h00).

Un peu plus tôt dans la soirée, le Real Majorque a manqué une occasion en or d'assommer un peu plus le FC Séville. Battus la veille à Valladolid (1-2), les Andalous avaient ouvert la porte aux joueurs des Baléares. Mais ces derniers ont buté sur le Real Saragosse (1-1), et ne comptent qu'un point d'avance sur les Sévillans à la quatrième place. A six journées de la fin de la Liga, les hommes de Gregorio Manzano sont tout de même les mieux placés pour être le dernier représentant espagnol lors de la prochaine Ligue des champions. Pour conserver ce précieux sésame, ils ont deux rencontres très abordables à négocier à domicile, face à Osasuna et Malaga. L'exploit est en marche, et «l'autre Liga» vaudra le coup d'oeil jusqu'au bout



Rang Equipes Points Joués Gagnés Nuls Perdus b.pour b.contre diffs
1 FC Barcelone 83 32 26 5 1 80 19 61
2 Real Madrid 77 31 25 2 4 83 28 55

3 Valence CF 56 31 16 8 7 50 35 15

4 Real Majorque 52 32 15 7 10 50 37 13
5 FC Séville 51 32 15 6 11 46 38 8
6 Athletic Bilbao 48 31 14 6 11 45 42 3
7 Getafe 47 32 14 5 13 46 40 6
8 Villarreal 46 32 13 7 12 46 44 2

Le FC Barcelone renforce sa place de leader après sa facile et logique victoire (3-0) face à la Corogne

Qualifié pour les demi-finales de la Ligue des champions, vainqueur du Clasico le week-end dernier sur la pelouse du Real Madrid (2-0), le FC Barcelone continue de dérouler et d'engranger les points en cette fin de saison. La victime de la soirée s'appelle le Deportivo La Corogne, écrasé au Nou Camp mercredi (3-0). La formation galicienne enchaîne un septième match sans victoire tout en voyant s'évaporer au fil des journées ses espoirs de qualification européenne. Tout sourit en revanche aux Blaugrana dont le large et logique succès conforte leur place de leader avec six points d'avance sur les Merengues qui ne jouent que jeudi soir à Almeria. Cette fois-ci, ce n'est pas Lionel Messi, même impérial, qui fit la différence, mais Bojan, après une offrande du maître à jouer Xavi (15e) et Pedro d'un lob somptueux (68e) avant qu'un missile de Yaya Touré ne scelle définitivement la marque (71e). Si Leo n'a pas marqué son 25e but de l'année 2010, Barcelone est désormais invaincu depuis quatorze matches.

Henry toujours sur le banc
Une victoire qui ne donne pas forcément le sourire à Thierry Henry, entré en jeu dans le dernier quart d'heure. L'ancien Gunner, depuis le banc, a une nouvelle fois constaté que Pep Guardiola ne comptait plus vraiment sur lui. Malgré l'absence d'Ibrahimovic et d'Iniesta, le coach catalan avait plutôt décidé de titulariser les jeunes pousses de la Masia, le centre de formation du Barça, Bojan, Jeffren et Pedro. Un choix justifié au vu du scénario de la rencontre (Bojan et Pedro buteurs, domination catalane sans partage) et un choix tourné vers l'avenir.

Un avenir où Henry ne semble plus avoir sa place.