Les Catalans du FC Barcelona six coupes sur six par MARC-SABATES.COM

LE BETONNEUR MOURHINO RCOMMENCE

EN 2 MATCHS LE BARCA N A MIS QU UN SEUL BUT



21 avril 2011
Le roi, c'est le Real
Après prolongation, le Real Madrid bat (1-0) le Barça et remporte sa dix-huitième Coupe du Roi sur un but de Ronaldo à la 103e minute.

Le Real décroche la Coupe du Roi sur un but de Ronaldo.
Le Real a gagné la Coupe du Roi (1-0 a.p, but de Ronaldo), premier succès après six Clasicos sans victoire contre le Barça. Ça promet pour la C1 !

Samedi, en Championnat, lors de l'Acte I au Bernabeu, Cristiano Ronaldo avait enfin débloqué son compteur contre le FC Barcelone sur le penalty égalisateur (1-1). Mercredi, CR7 a offert au Real Madrid le premier titre de l'ère Mourihno, le 18e trophée du Real en Copa del Rey qui est aussi le premier depuis 18 ans dans cette compétition. La star madrilène a inscrit le seul but d'un match nettement plus emballant mais aussi marqué par la nervosité des acteurs (1-0 a.p). Dans ce Clasico version Coupe du Roi, l'attaquant portugais a longtemps manqué le dernier geste (12e, 31e, 36e). Mais il s'est élevé plus haut qu'Adriano à la 103e minute pour propulser un centre idéal de Di Maria sous la barre de Pinto. Un but "à la Ronaldo", tout en détente stratrosphérique.

Le 0-0 au tableau d'affichage de Mestalla à la fin du temps réglementaire ne rend pas justice à une partie rythmée par de nombreuses occasions. Chacun a eu sa période, le Real la première, le Barça la seconde. Au final, l'épilogue signé Ronaldo est une belle victoire pour son compatriote Jose Mourinho. Décrié ces derniers jours pour ses choix tactiques prudents, y compris au sein du Real lui-même, le Special One a aligné un 4-3-3 autour d'un Mesut Özil encore étincelant dans le décalage de ses partenaires. Casillas a sorti un grand match devant Pedro, le plus dangereux des Barcelonais (52e, 69e, 76e). Le Real qui avait perdu 5 Clasicos avant le nul de samedi met un terme à cette disette et marque son territoire face à son rival.


Il l'a marqué au sens propre avec un jeu musclé, limite même d'Arbeloa sur Villa ou de Pepe sur Messi. Le Brésilien, encore positionné dans l'entrejeu a montré son bon côté en smashant une tête sur le poteau (44e). Le système Mourinho aura réussi à contrarier la construction du Barça. Privés de leur préparation habituelle au milieu, les Catalans ont de fait eu moins souvent le ballon qu'à l'accoutumée et se seront approchés plus difficilement du but adverse. Messi a tenté lui aussi, mais n'a pas eu son rayonnement habituel (deux frappes quand même aux 66e et 75e). Commencée par une relative déception, la série des Clasicos est monté en régime à Valence. Prochains rendez-vous les 27 avril et 3 mai

tout mais pas ça

Foot - ESP - Barça - Énormes soucis en défense


Quelle défense alignera le Barça en demi-finale de la Ligue des champions mercredi face au Real Madrid ? Déjà privé d'Abidal, Adriano et Puyol, le club catalan pourrait avoir perdu Milito et Maxwell. Les deux joueurs se sont légèrement blessés samedi lors de la victoire contre Osasuna (2-0). Le Brésilien, très médiocre face à Pampelune, a des «douleurs au niveau du pubis» et Milito a «une petite lésion» musculaire à la jambe droite, a indiqué le club qui précise que les deux joueurs passeraient des examens complémentaires dimanche. (avec AFP)

Sans Messi, Xavi ou encore Iniesta dans le onze de départ, le FC Barcelone a assuré l'essentiel ce samedi face à Osasuna (2-0). Le leader de la Liga compte toujours huit points d'avance sur le Real Madrid.


Longtemps irrésistible, Barcelone a une nouvelle fois mis en évidence ses actuelles difficultés devant Osasuna (2-0). Très réalistes, les Catalans n'ont en effet pas semblé s'être complètement remis de leur défaite en finale de la Coupe d'Espagne face à leurs rivaux du Real Madrid (1-0 a.p.).

Bien trop inconstant face à la modeste équipe de Pampelune, le champion d'Espagne en titre a tout de même fait le travail par David Villa (23e), auteur de sa première réalisation depuis le 26 janvier, et Lionel Messi (87e) -son 50e but toutes compétitions confondues, un record !-, entré en jeu en cours de seconde période.

Messi fait mieux que Puskas

Le prodige argentin dépasse le légendaire attaquant hongrois du Real, Ferenc Puskas, auteur de 49 buts lors de la saison 1959-1960 ! Une superbe performance qui ne masque pas tout à fait la baisse de régime blaugrana depuis quelques semaines. Mis en danger à maintes reprises par l'actuel seizième du Championnat, le FCB aurait pu logiquement concéder le nul si les attaquants de Pampelune s'étaient montrés plus efficaces. Peu importe. Les trois points de la victoire sont bel et bien là. Et avec de nouveau huit longueurs d'avance sur le Real Madrid à cinq journées du terme de la saison, les Barcelonais restent plus que jamais maîtres de leur destin

C1 - Barcelone - Sans Maxwell, avec Milito


C'était prévisible, c'est désormais officiel : le FC Barcelone sera privé de Maxwell pour sa demi-finale aller de Ligue des champions contre le Real Madrid, mercredi soir. Le défenseur brésilien s'est blessé samedi au cours de la victoire contre Osasuna (2-0). Il souffre d'une pubalgie. Son absence -qui s'ajoute à celles d'Eric Abidal et d'Adriano- devrait conduire Pep Guardiola à aligner Carles Puyol au poste d'arrière gauche. Victime d'une élongation minime de la jambe gauche, Gabriel Milito est en revanche opérationnel.

Le groupe du Barça : Valdés, Pinto - Alves, Piqué, Puyol, G. Milito, Montoya - Xavi, Iniesta, Mascherano, Sey. Keita, Sergio, Thiago, Fontas, Sergi Roberto - Villa, Pedro, Afellay, Jeffren, Messi

Real-Barça, duel éternel
JEAN-BERNARD STERNE
27/04/2011, 06 h 00
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Cristiano Ronaldo face à Iniesta, le Real contre le Barça, la capitale qui défie la Catalogne. (Photo AFP)
Certains voudraient voir dans les Real - Barça, et vice-versa, un éternel recommencement. Celui de la lutte des Catalans contre l’ancienne équipe officielle de la dictature espagnole, soutenue par le pouvoir centraliste et absolu de la capitale. Un raccourci qui relève plus de la légende que de la vérité historique ! Personne n’a oublié que durant de nombreuses années, le stade du Barça était le seul endroit où l’on pouvait ouvertement exprimer sa “catalanité”, drapeaux et chants à l’appui, sans être réprimé par la Guardia civil de Franco.

De même, il est faux de croire que le Real s’est servi du franquisme. C’est exactement le contraire ! Le régime était à ce point isolé au niveau international qu’il s’est rapproché du club quand les Merengues ont commencé à gagner des coupes d’Europe. El Caudillo avait besoin de montrer une bonne image de l’Espagne à l’extérieur. Ce Real historique de Di Stefano (1953-1964) provoquait l’admiration partout et ramenait des devises au pays. Le franquisme a donc voulu s’y associer. Mais l’histoire aurait pu être radicalement différente...

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Si la Coupe d’Europe avait été créée trois ou quatre ans auparavant, quand le Barça de Kubala dominait le foot de la tête et des épaules, il y a fort à parier que c’est avec cette équipe que le franquisme aurait fait sa propagande.

Comme l’écrivit un jour Jacques Prévert, "le hasard ne frappe jamais par hasard." De quoi enflammer un peu plus l’extrasportivité de cette rencontre pas comme les autres, où politique, sentiment identitaire, économie, mysticisme, sujets en tous genres et contre-vérités, côtoient allégrement les buts de Cristanio Ronaldo et les arabesques d’artiste de Lionel Messi. Entre autres...

Choisir entre le Real et le Barça, c’est tout simplement s’accorder le droit à l’orgueil. C’est aussi affirmer une identité. Une appartenance clanique. L’antagonisme dure depuis plus de cent ans ! Un siècle de rivalité, de trahisons footballistiques, d’héroïsmes sportifs et de mesquineries, aussi.

Mais que serait le Real sans le Barça ? Et vice-versa

Liga: Barcelone et Madrid trébuchent dans le sprint

dimanche 01 mai 2011 à 00H35

MADRID (Reuters) - Le FC Barcelone, battu par la Real Sociedad samedi, n'a pas profité de la défaite du Real Madrid plus tôt dans la journée pour accroître son avance en tête de la Liga.

Après le faux pas à domicile des Madrilènes face au Real Saragosse (2-3), les Catalans avaient l'occasion de prendre une marge de onze points à quatre journées de la fin.

L'ouverture du score par Thiago Alcantara à la 29e minute avait pourtant montré le chemin aux Barcelonais. Mais Diego Ifran, puis Xavi Prieto sur pénalty, ont mis fin à la série d'invincibilité du Barça, qui n'avait pas perdu en championnat depuis la 2e journée.

En cas de victoire, les Barcelonais auraient pu égaler le record d'invincibilité en Liga, détenu par la Sociedad qui avait enchaîné 32 matches sans défaite lors de la saison 1979-1980.



Les deux équipes auront l'occasion de s'expliquer directement pour la dernière fois de la saison mardi en Catalogne, en demi-finale retour de la Ligue des champions.

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2 mai 2011
Xavi : «C'est lamentable»
Avant de retrouver le Real, Xavi est revenu sur la semaine agitée, sans pour autant chercher à jeter de l'huile sur un feu déjà bien attisé.

«L'entraîneur du Real Madrid est un polémiste, et ça, ce n'est pas d'aujourd'hui», estime Xavi à la veille de retrouver le Real.
Sans langue de bois, Xavi Hernandez, le meneur de jeu du FC Barcelone, est revenu sur la semaine agitée, sans pour autant chercher à jeter de l'huile sur un feu déjà bien attisé.

Interrogé d'entrée sur la polémique lancée la semaine passée par José Mourinho, reprochant au Barça de profiter d'aides arbitrales pour remporter ses titres, Xavi a été clair. «Ce n'est pas à moi de juger son comportement. L'entraîneur du Real Madrid est un polémiste, et ça, ce n'est pas d'aujourd'hui. A Barcelone, nous tentons d'échapper à ce contexte extra sportif, en tentant de répondre sur la pelouse. Mais parfois c'est difficile. Les amis, la famille, les gens sont là pour nous le rappeler sans cesse».

Relancé sur les plaintes déposées par le Real Madrid contre une présumée attitude anti-sportive des Blaugranas
Xavi a répété plusieurs fois le même mot «lamentable» ! «Je trouve ça lamentable car nous avons toujours démontrer le contraire, par notre comportement, notre respect des adversaires... Ces plaintes ne veulent rien dire et n'aboutissent nulle part, je trouve ça vraiment lamentable, pathétique. Elles ont été déboutées (par l'UEFA), c'est logique». Mais Xavi s'est aussi voulu rassurant pour l'avenir en assurant que ces tensions, nées de ces quatre Clasicos en 18 jours, n'auront aucune répercussion au sein de la sélection espagnole. «Nous sommes des professionnels et lorsque nous rejoignons la Roja, c'est pour donner le maximum. Nous avons remporté ensemble un Euro et une coupe du monde, dans une ambiance formidable. Il n'y a pas de raisons que tout cela entraîne de mauvaises relations en sélection». -

9 mai 2011
Le Barça y est presque
Le FC Barcelone a remporté dimanche le derby de catalogne contre l'Espanyol (2-0). Désormais, un point suffit au Barça pour être champion.


Messi, ici contre le Real, est face à de nombreux défis en cette fin de saison.
Le Barça a repris ses huit points d'avance sur le Real en battant l'Espanyol, dimanche (2-0). Il ne lui en manque plus qu'un pour être titré.

A défaut de remporter le titre ce week-end, le Barça s'est offert une victoire dans le derby catalan, jamais anodine aussi bien pour les supporters que pour les joueurs. Face à l'Espanyol dimanche (2-0), les hommes de Pep Guardiola ont aussi repris leur marche en avant après leur accident de parcours, à San Sebastien contre la Real Sociedad la semaine dernière (1-2). Un succès qui leur permet de récupérer ces fameux huit points d'avance sur le Real, vainqueur samedi à Séville (6-2). Pas tout à fait suffisant encore donc, pour lever les bras, et se tourner vers l'autre objectif de cette fin de saison : la finale de Ligue des champions contre Manchester United. Mais les jours sont à présent comptés. Dans trois exactement, à Levante, les Blaugrana pourraient cette fois être débarrassés en cas de nouveau succès.

Après la correction infligée à l'aller au voisin honni (5-1), les socios du Camp Nou attendaient aussi bien voire mieux aujourd'hui. D'autant qu'au coup d'envoi, Guardiola avait aligné la grosse équipe, excepté Fontas préféré à Puyol côté gauche. Un choix qui n'a pas tardé à porter ses fruits puisqu'après une demi-heure de grosse domination, Andres Iniesta a fini par trouver l'ouverture dans la défense fermée à double tour de l'Espanyol. En solo, l'international a inscrit son huitième but en Liga, d'une frappe en force dans un petit espace (29e). David Villa aurait bien aimé l'imiter mais à l'issue d'une superbe séquence collective, l'ancien Valencien n'a pas trouvé le cadre (37e). Au contraire de Gérard Piqué, juste après la reprise, dont la tête au premier poteau a fait mouche (48e). Une fois n'est pas coutume, Lionel Messi s'est montré discret. L'Argentin n'a pas marqué et reste du coup en retrait derrière Cristiano Ronaldo au classement des buteurs. A nouveau acclamé pour son entrée en jeu (72e), Eric Abidal a lui eu plus de temps pour toucher le ballon. Pour participer à la fête, qui ne semble jamais s'arrêter à Barcelone

Le Barça pourrait être sacré en milieu de semaine

Iniesta a inscrit un but dimanche contre l'Espanyol.
Un point suffit arraché mercredi à Valence contre Levante et le Barça sera champion pour la 21e fois de son histoire. Le club catalan, qui n'a perdu qu'un seul match à l'extérieur en Liga cette saison (à Saint-Sébastien), pourrait être champion sans jouer en cas de match nul ou de défaite du Real Madrid contre Getafe, mardi au stade Santiago-Bernabeu.

Le FC Barcelone aurait pu avoir une première possibilité dimanche si le Real Madrid avait perdu la veille à Séville. Mais le Real a pulvérisé le club andalou au stade Sanchez-Pizjuan (6-2) repoussant le sacre du Barça, vainqueur 2-0 de l'Espanyol, d'au moins une journée.


Dans la perspective de la fin de saison et surtout de la finale de la Ligue des champions, prévue le 28 mai à Londres contre Manchester United, le Barça continue de récupérer des joueurs. Après Abidal la semaine dernière, le défenseur brésilien Maxwell et l'attaquant espagnol Bojan Krkic ont reçu le feu vert des médecins lundi matin. Ils pourraient rejouer très vite

Le Barça dribble le nuage...
Le FC Barcelone part dès ce soir à Londres pour éviter le nuage de cendres.
Superbe mais gênant nuage de cendres craché par la bouche du volcan islandais Grimsvötn...
Le Barça part dès ce soir, avec deux jours d'avance, pour Londres. Histoire d'éviter le nuage de cendres islandais qui commence à perturber les vols.

Le FC Barcelone partira dès ce mardi soir pour Londres, au lieu de jeudi, à cause des cendres émises par le volcan islandais Grimsvötn. «Le voyage aura lieu aujourd'hui (mardi), dans un vol prévu vers 22h00 (même heure en France) après un entraînement à Barcelone», a expliqué un porte-parole du club catalan.

Avait été évoqué un peu plus tôt un départ anticipé mais mercredi seulement pour la capitale anglaise où le Barça affronte Manchester United en finale de la Ligue des champions, samedi à Wembley. Objectif du club : ne pas revivre la mésaventure de l'année dernière lorsque les Barcelonais avaient dû rallier Milan en car en raison, déjà, du nuage de cendres du volcan Eyjafjöll. Ils s'étaient inclinés 3-1 en demie aller de la C1 contre l'Inter...

Deux cent cinquante deux vols ont été annulés mardi à cause du passage du nuage de cendres sur l'Ecosse et le nord de l'Irlande. La situation pourrait perturber le déplacementdes supporters blaugranas. «C'est compliqué», a reconnu le porte-parole du club. «Pour l'instant on maintient les réservations de vols, et on envisage des trajets alternatifs en car», a-t-il ajouté.

Guardiola : "Si on joue comme en 2009, on ne gagnera pas"

Derniers conseils avant la finale. © FRANCK FIFE
Barcelone-Manchester, c'est la finale de rêve de la Ligue des champions et c'est ce soir (20 h 30) en même temps que la revanche de la finale de 2009. Pep Guardiola, l'entraîneur du Barça, se dit persuadé que son équipe ne pourra pas l'emporté comme il y a deux ans à Rome avec le niveau de jeu pratiqué à l'époque.

Est-ce que le Barça joue mieux depuis le sacre de Rome en 2009 ?


" C'était une folie de gagner la coupe dès la première année, et tous les autres trophées. Mais si on joue comme en 2009, on ne gagnera pas. J'ai revu le match: dans l'impact défensif et l'intensité, ils ont été meilleurs. Il faut qu'on joue plus vite qu'alors. Certes on avait gagné 2-0 et je n'échangerais pas les places, mais c'est la vérité".

Une victoire ferait-elle de ce Barça la meilleure équipe de l'histoire ?

"C'est impossible de répondre. Il y a eu beaucoup de grandes équipes, le Real Madrid de Di Stefano, le Milan, le Santos de Pelé... Je ne peux pas nous comparer à eux, l'esprit et l'époque sont différents. On parle de meilleure équipe de l'histoire, mais c'est comme les films: seul le temps dit si ce sont de grands films".

Y a-t-il un risque à faire jouer ensemble Puyol et Abidal ?

"Tous sont prêts, eux deux et les autres, ça dépend de ma décision. Je suis très heureux qu'ils soient disponibles, ils ont passé des moments durs, Abidal a surmonté une tumeur. Rien que le fait qu'ils soient avec nous, c'est déjà un grand succès".

N'avez-vous pas le vertige en contemplant les neuf titres remportés en trois ans ?

"J'ai toujours pensé que c'était le Barça qui avait conquis ces titres, moi j'en fais partie, mais sans la structure, on n'aurait pas ces joueurs. L'important est de gagner des titres. Parfois on en perd, mais continuer à être aussi fort est l'objectif".

Ferguson voulait vous recruter comme joueur...

"Vivre une expérience en Italie a été très spécial, avec les gens que j'ai rencontrés, mais si Manchester m'avait vraiment voulu, je crois que j'y serais allé (sourire). Mais ça n'aurait pas été une bonne décision parce qu'à cette époque j'étais go down go down (en baisse, ndlr)".

Le Barca sur Agüero? Priorité de recrutement de la Juventus Turin, Sergio Agüero serait également dans le viseur du FC Barcelone, qui n'arrive pas à recruter Alexis Sanchez, selon El Mundo Deportivo

Thiago Alcantara prolonge : Le FC Barcelone a officialisé mercredi sur son site internet la prolongation de contrat de Thiago Alcantara. Le milieu de terrain, sacré champion d'Europe avec l'équipe d'Espagne des moins de 21 ans le week-end dernier, a prolongé jusqu'en 2015. Sa clause libératoire est désormais fixée à 90 millions d'euros.

BARCELONE● Ça se précise pour Alexis Sanchez et Cesc
Fabregas. Le club catalan pourrait réaliser deux gros coups dans
les jours à venir. En effet, Barcelone aurait trouvé un accord
(autour de 40 millions d’euros, bonus compris) avec l’Udinese
pour s’attacher les services du Chilien. Quant à l’Espagnol, actuellement
en vacances à... Barcelone, il pourrait quitter Arsenal
en échange de 35 millions d’euros plus quelques bonus.

Pedro prolonge jusqu'en 2016 : Pedro va signer un nouveau contrat avec le Barça jusqu'en juin 2016. Auparavant lié jusqu'en 2015, l'international espagnol voit sa clause de cession passer de 90 à 150 millions d'euros.