LES BLEUES

YOU DON'T SPEACK ENGLISH ......ALORS PASSEZ VOTRE CHEMIN....
MAIS POUR NE PAS MOURIR IDIOT
ICI C ETAIT UN SUJET SUR LES FEMININES FRANCAISES

Blanc at home with Les Bleues
Wednesday 2 September 2009by Emmanuelle Hingant from Tampere
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Delphine Blanc hopes to feature again against the Netherlands
Having made her major finals bow in France's last Group B outing against Norway at UEFA WOMEN'S EURO 2009, defender Delphine Blanc told uefa.com she is fitting in well as Les Bleues target a last-four berth against the Netherlands on Thursday.

Family support
The 26-year-old was given plenty of support in the 1-1 draw with Norway by her father, who first gave her a taste for football and who has taken time off work to follow her performances in Finland. "I was proud and then I was a little anxious because I haven't played that many games at such a high level," she said of the match at the Helsinki Football Stadium. "The support of our families is important – that's what makes us go forward. We heard them in the stands, we felt supported. It was important to us."

Different position
Employed in central defence for her club, Montpellier Hérault SC, Blanc nonetheless had to contend with playing out of position for her country. "With the national team, I play on the right side," she explained. "Given the physical state of the team, with Sandrine Dusang not totally recovered [and not in the squad], Corine Franco injured in the first game and Amandine Henry injured before – I knew that if I was playing, I would be on the side rather than in the middle. But I like this position."

Good atmosphere
She also feels a fully fledged squad member, despite earning only 12 caps since her March 2006 debut. "The atmosphere's good," she said. "There are different generations but we more or less know each other. We meet every weekend in the league and that makes integration easier."

Quarter-finals
The former Olympique Lyonnais and RC Saint-Étienne player knows a little less than many of her colleagues about the Netherlands, however, having not featured in the 2-0 home loss to the Oranje last December. "I don't know this team very well but I think they're within our reach," she said. "But in a football match, anything can happen. We have to get ready in order to qualify for the semi-finals. It would be really disappointing [to lose] because I think we have what it takes to do something good. We were very satisfied to progress. Now, as we're here, we might as well go all the way."

Les joueuses de l'équipe de France de football se mettent à nu

Sarah Bouhaddi, Gaétane Thiney et Corine Franco



Gaétane Thiney, Sarah Bouhaddi, Corine Franco, Elodie Thomis, 99 sélections à elles quatre

, n'ont pas voulu jouer les pin-up mais porter un message : «
Faut-il en arriver là pour que vous veniez nous voir jouer ? »

REPONSE ....OUI

TROP CANON Elodie Thomis : au poste d'attaquante

VRAIMENT C MAGNIFIQUE
LE FOOT FEMININ....

Gaétane Thiney, Sarah Bouhaddi, Corine Franco, Elodie Thomis, 99 sélections à elles quatre, n'ont pas voulu jouer les pin-up mais porter un message : « Faut-il en arriver là pour que vous veniez nous voir jouer ? »

ARTICLE DU PRINTEMPS 2009
COMME LE TEMPS PASSE ...

Équipe de France. 4 joueuses nues pour la bonne cause



Gaétane Thiney, internationale française, a accepté de poser nue pour promouvoir le football féminin. Photo AFPGaétane Thiney, Sarah Bouhaddi, Corine Franco, Elodie Thomis, 99 sélections à elles quatre, n'ont pas voulu jouer les pin-up mais porter un message : « Faut-il en arriver là pour que vous veniez nous voir jouer ? »

La réponse est « Oui ». Les Bleuettes se sont senties humiliées par les cinq lignes que leur a royalement accordées un quotidien sportif au lendemain de leur qualification pour l'Euro-2009. Depuis leur strip-tease, elles voient défiler les médias qui les snobaient.

« Les retombées sont énormes , juge Pierre-Jean Golven, directeur de la communication de la FFF, à l'origine de la campagne. Cette initiative originale a permis d'attirer les médias qui peuvent ensuite venir constater sur le terrain que le foot féminin est un joli football. »

La presse, focalisée sur les performances des « Grands Bleus », n'est pourtant pas la seule à être visée par la campagne. Avec 65 000 licenciées, la France piétine en matière de football féminin. Une discipline qui fédère 1 million d'Allemandes.

« En croisade »

« Le manque de féminité est le deuxième préjugé qu'il nous faut combattre après l'absence d'intérêt sportif », poursuit Pierre-Jean Golven. « Nous avons voulu montrer que les joueuses n'en sont pas dénuées. » Et ainsi convaincre les femmes françaises qui hésitent à chausser les crampons.

En avril, Foot Mag fera sa Une sur la plastique de Gaétane Thiney. La joueuse du FCF Juisy a été honorée d'un éditorial de Jean-Pierre Escalettes, le président de la fédération.

Si quatre filles seulement ont répondu à l'appel, en janvier, « elles seraient beaucoup plus nombreuses à accepter aujourd'hui », si l'on en croit Matthieu Brelle-Andrade, leur attaché de presse qui n'avait jamais été aussi débordé. « Toute l'équipe a adhéré. Elles se sentent en croisade », reprend M. Golven.

Depuis quelques jours, la vie de ces filles, éducatrices, secrétaires, professeurs de sport, a quelque peu changé. « On a encore de la marge avant que cette campagne prenne de proportions démesurées, mais on a l'assurance d'être suivis sur le terrain », poursuit-il.

Fin août en Finlande, l'équipe de France va relever un sacré défi devant les meilleures nations du monde. Les bleuettes se retrouvent dans la poule de l'Allemagne, la Norvège et l'Islande. Elles ont une chance infime de créer l'exploit. Mais plus, sans doute, de faire parler d'elles.

bienvenou a écrit:VRAIMENT C MAGNIFIQUE
LE FOOT FEMININ....

FÉMININES●
La France corrige l’Estonie. Si l’équipe de Raymond
Domenech n’a inscrit qu’un but en Coupe du monde, la sélection
féminine, elle, cartonne.

Après s’être imposée à l’aller 12-0 (!) au
Havre, les joueuses de Bruno Bini ont battu l’Estonie 0-6 à Tallinn.
Avec huit victoires en huit matches, elles occupent la tête de leur
groupe de qualification pour le Mondial 2011.

Après avoir partagé les points avec la Colombie, mardi (1-1), l'équipe de France féminine des moins de 20 ans s'est imposée difficilement face au Costa Rica, ce vendredi à Bochum (2-0). Longtemps indécise, la rencontre a basculé sur un penalty arrêté par la gardienne française Laëtitia Philippe à la 59e minute.

Huit minutes plus tard, Marina Makanza ouvrait le score, avant de doubler la mise à la 83e minute. Makanza avait déjà inscrit l'unique but tricolore lors du premier match de la sélection tricolore. Avec quatre points en deux rencontres, les Bleuettes de Jean-Michel Degrange, avant d'affroter l'Allemagne mardi, sont en bonne position pour se qualifier pour les quarts de finale

bienvenou a écrit:VRAIMENT C MAGNIFIQUE
LE FOOT FEMININ....

[/quote]

bienvenou a écrit:






LES BLEUES MATENT LES SERBES
MOI AUSSI JE VOUDRAIS ETRE MATE PAR ELLES ..

France - Serbie : 7-0 25/08/2010

L'équipe de France a bouclé le 1er tour des éliminatoires de la Coupe du monde 2011 par une nouvelle victoire, face à la Serbie (7-0) mercredi à Troyes. Les Bleues étaient déjà assurées de leur qualification pour les barrages. Face aux Serbes, Gaëtane Thiney a réalisé un triplé. Thomis, Bussaglia, Delie et Abily ont également marqué. La France termine invaincue en ayant gagné tous ses matches, avec surtout cinquante buts marqués et zéro encaissé !

bravo ;;;ON VA DEVENIR SUPPORTRICE DES BLEUES

Grâce à sa victoire (3-2) en Italie, l'équipe de France féminine a validé son billet pour la Coupe du monde 2011, en Allemagne. Pour les joueuses de Bruno Bini, ce n'est que justice après un parcours sans faute durant les qualifications.

«Le Mondial, c'est un rêve», nous avait déclaré Gaëtane Thiney, à l'aube du match retour face à l'Italie pour se qualifier pour la Coupe du monde. Le rêve est devenu réalité, mercredi, après la belle victoire des Bleues à Gubbio (3-2). Pourtant, à la pause, les Françaises ne faisaient sans doute pas les fières après avoir encaissé le premier but en compétition officielle depuis onze matches (pour 47 buts marqués !). Un but synonyme d'élimination après le match nul (0-0) de samedi dernier à Besançon. Mais sans doute recadrées par leur sélectionneur Bruno Bini, à la pause, les joueuses françaises sont parvenues à refaire leur retard grâce à Elise Bussaglia sur un tir dévié puis à prendre un avantage décisif grâce à un fantastique but de Gaëtane Thiney, l'attaquante de Juvisy.

La deuxième Coupe du monde officielle de l'histoire !
En toute fin de match, Sonia Bompastor, d'un coup franc «platinien» donnait un peu plus d'ampleur à la victoire. Du moins, le croyait-on puisque sur le coup d'envoi, les Italiens réduisaient la marque après une boulette de la gardien française, Bérangère Sapowicsz. Une boulette sans conséquence finalement. Grâce à ce beau succès, les Bleues ont donc validé leur billet pour le Mondial allemand qui aura lieu en 2011. Ce sera alors la deuxième participation des féminines à la plus grande compétition planétaire. En 2003, lors de l'unique Coupe du monde officielle disputée, les Françaises n'avaient pas réussi à sortir de leur poule, se faisant griller la politesse par le Brésil et la Norvège. Ces deux nations pourraient de nouveau croiser la route des Bleues lors du Mondial. Avec, espérons-le, un autre résultat au final

FIFA ● Bruno Bini nominé. Ancien
directeur technique régional
de la Ligue de la Méditerranée,
Bruno Bini, qui a grandi à
Laragne, est nominé par la Fifa
pour être entraîneur de l’année
de football féminin 2010, récompense
attribuée pour la première
fois. Le sélectionneur des
Bleues connaîtra le verdict le
10 janvier 2011, à Zurich

Bleues - Meilleroux : «Eviter les grandes»




Ophélie Meilleroux, défenseur centrale de l'équipe de France féminine. (EQ)
La défenseur tricolore Ophélie Meilleroux «ne pense pas encore» au Mondial (juillet 2011). Priorité à la préparation qui débute vendredi contre la Pologne (20h00), à dix jours du tirage des groupes.

«Ophélie Meilleroux, dans quel état d'esprit l'équipe de France féminine aborde-t-elle sa préparation pour le Mondial allemand ?
On est soulagées de s'être qualifiées dès le premier barrage contre l'Italie (0-0 en France, 3-2 en Italie). Depuis septembre, la pression est retombée, on ne pense pas encore au Mondial. Plutôt à travailler lors des stages et des matches amicaux.

Le tirage au sort des groupes aura lieu le 29 novembre à Francfort. Avez-vous des préférences ?
En phase de poules, on aimerait juste éviter les grandes nations, comme l'Allemagne ou le Brésil. Après, tout le monde voudra aller loin donc ce sera costaud quel que soit le tirage. L'exemple des Etats-Unis (obligés de jouer un 2e barrage contre l'Italie après leur défaite contre le Mexique, NDLR) montre que les surprises sont possibles.

Vous êtes défenseur central. Redoutez-vous les équipes les plus physiques du plateau ?
On a vu à l'Euro que lorsqu'on tombe contre des l'Allemagne ou la Norvège, il y a effectivement de grandes attaquantes très solides. En tant que defenseur, on doit se préparer à ces duels. Il faut à la fois être
présentes à l'impact individuellement mais aussi organisées collectivement pour les contenir.

L'Allemagne promet des stades pleins pour cette Coupe du monde. Croyez-vous que cet événement peut donner un coup de fouet à votre sport en France ?
L'Allemagne, c'est un autre monde. Les Allemandes ont beaucoup de supporters, le soutien de la population. L'évolution en France pourra dépendre de notre parcours. A nous de montrer une belle image du foot feminin en Allemagne.

Que pensez-vous de la campagne de promotion du foot féminin avec Adriana Karembeu en ambassadrice ?
C'est une bonne chose. On a pu rencontrer Adriana. Elle est très sympa, simple. C'est la bonne personne pour montrer que le foot est aussi un sport de filles. J'espère qu'elle pourra contribuer à changer certaines
mentalités et que les familles n'hésiteront plus à venir nous voir et à envoyer leurs enfants dans les sections féminines.

La Pologne ?
C'est un premier match de préparation. Notre objectif est de continuer à ne pas prendre de but (0 but concédé en 10 matches de qualification, hors barrages). Et aussi peaufiner la tactique et marquer le plus possible.»

Bini: «Une belle soirée»




Bruno Bini, le sélectionneur de l'équipe de france féminines. (EQ)
Bruno Bini a de quoi être ravi : vendredi soir, l'équipe de France féminines a conclu l'année 2010 par un large succès face à la Pologne (5-0). Plus que ce dix-septième match consécutif sans défaite, le sélectionneur des Bleues retient la manière. «On a souri au jeu, on a fait de belles combinaisons, s'est-il félicité après la rencontre. On a réussi à donner du temps de jeu à plusieurs joueuses, c'est une belle soirée. Le groupe mûrit».

«C'est une belle fin de saison, cela fait toujours plaisir de terminer sur un bon résultat, insiste Laura Georges, la défenseure de l'Olympique Lyonnais. Cela nous permet de bien préparer le Mondial.» Dont le tirage au sort aura lieu dans dix jours, à Francfort

Le quotidien d’un sélectionneur
est celui d’un nomade.
Souvent sur la route
pour aller superviser des joueuses
ou des adversaires, Bruno Bini
a cependant réussi à se poser
un moment. De passage à Marseille,
le sélectionneur de l’équipe
de France féminine, qui a
grandi à Laragne et occupé la
fonction de CTR à la Ligue de la
Méditerranée pendant 8ans, est
venu se ressourcer avant de repartir
de plus belle lundi avec le
tirage au sort du Mondial 2011,
en Allemagne.
"Je viens à Marseille une à
deux fois par an, confie-t-il. À
chaque fois, j’essaie de rendre visite
à mon ami Marcel Sportiello
(président de l’US 1er Canton, il
tient le restaurant "Au Sanglier"
sur le Vieux-Port, ndlr). Mais, ce
quime manque le plus, c’est l’ambiance
du stade Vélodrome lorsque
les joueurs de l’OM entrent
sur le terrain."
L’ambiance des grands soirs,
Bruno Bini la connaît déjà avec
l’équipe de France féminine.
"Nous avons joué contre la Pologne,
à Angers, devant 5 000 spectateurs.
Quelques jours plus
tard, Angers recevait Le Havre en
Coupe de France devant
1500 spectateurs. Le football féminin
devient donc porteur et
réalise même des scores très intéressants
sur Direct 8, qui diffuse
nos rencontres", se félicite-t-il.
Des chiffres dus en grande partie
à des résultats éloquents :
l’équipe de France reste sur
17matches sans défaite (la dernière
remonte à août 2009) et a
réussi un parcours sans faute
dans sa poule de qualification
avec dix victoires en autant de
matches, 50 buts marqués, 0 encaissé.
La patte Bini ? Lui-même se
définit comme un affectif. "Je ne
suis bien que lorsque je suis avec
mes joueuses. Je ne supporte pas
que l’on dise du mal d’elles,
avoue-t-il. Mais quand je compose
mon équipe, j’ai un coeur de
pierre. Je me dis que ce qui est
bon pour le groupe l’est pour
moi. L’inverse n’est pas forcément
vrai. Il m’est arrivé par
exemple de sélectionner des filles
avec lesquelles je n’avais pas forcément
d’affinités mais dont la
présence était indispensable à
l’équipe."
Il y a pourtant un élément sur
lequel il ne transige pas : l’état
d’esprit. "Que l’on appartienne à
l’encadrement ou que l’on joue,
je n’arrive pas à concevoir de venir
en équipe de France sans être
heureux d’y être, tranche-t-il.
Tous les soirs, je rédige un journal
dont j’affiche les pages pour
que les joueuses les lisent. À chaque
fois, cela commence par la
phrase : Aujourd’hui va encore
être une belle journée."
Uneméthode forcément atypique,
que le technicien revendique,
tout en restant conscient
des réalités de sa fonction. "Je ne
suis jamais allé à l’université car
la seule matière que je voulais approfondir,
c’est le bon sens. Je
suis reconnaissant de l’éducation
que j’ai reçue demes parents
et, pour un petit gars de Laragne,
entendre jouer La Marseillaise
pour "son" équipe, c’est beau, ça
prend aux tripes. Si j’ai eu du
temps pour travailler, c’est aussi
parce que les résultats ont suivi",
poursuit celui qui ne cache pas
son amitié avec Raymond Domenech,
alors qu’il est aujourd’hui
de bon ton, même au niveau fédéral,
de hurler avec la meute.
Ambitieux pour le Mondial allemand
(du 26 juin au 17juillet),
Bruno Bini ne redoute qu’une
chose : "Tomber dans la poule
de l’Allemagne et surtout de
jouer contre elle le match d’ouverture,
à Berlin, dans un stade à
guichets fermés."
"J’ai un bon groupe, notamment
parce que l’équipe sourit
sur le terrain et à la vie, ajoute-
t-il. L’objectif est de se qualifier
pour les Jeux olympiques.
Pour cela, il faudra faire partie
des deux meilleures équipes européennes
du Mondial. Si nous y
parvenons, nous ne serons pas
loin du dernier carré

Un best-of des filles»





Sandrine Soubeyrand va battre le record de Lilian Thuram avec 143 s

»

L'équipe de France féminine s'est brillamment qualifiée pour le Mondial allemand (26 juin - 11 juillet), mais les clubs de l'élite en France peinent à fédérer l'intérêt.
«Le football féminin manque en France d'arguments essentiels à son développement : des clubs puissants assez nombreux, une formation coordonnée entre clubs et fédération pour installer de véritables filières de talents, sans oublier les stades et le public qui font partie du spectacle. L'exemple allemand montre toutefois qu'il est possible de faire mieux. Peut-être pas pour diffuser à court terme des matches en intégralité mais pourquoi pas sous forme de best-of.»

FÉMININES ● Les Bleues victorieuses. Les filles de Bruno Bini se
sont imposées, hier lors du tournoi de Chypre, contre la Suisse
(2-0, buts de Thiney et Abily). Elles défient les Pays-Bas, demain.

FÉMININES● Les Bleues pour la 3e place. Vainqueur hier de son
dernier match de poule face à la Nouvelle-Zélande (5-2), l’équipe
de France féminine disputera demain le match de la 3e place du
tournoi de Chypre

LES BLEUES EN MARINIERE LA CA FAIT EFFET DE MODE



Tour Elite Euro UEFA 2011 U19 Féminine
Demarle : " Nous gardons espoir"
Battue 3-0 au Danemark par l'équipe du pays hôte lors de son entrée en lice dans le Tour Elite de l'Euro, la sélection nationale des U19 féminine s'est relancée après un succès 7-0 face à la Lituanie. Pour les coéquipières de Sidonie Demarle, la situation est claire : il s'agira de battre ce mardi (15h00) à Vejle les Pays-Bas par quatre buts d'écart. La jeune attaquante toulousaine évoque ce challenge qui pourrait lui ouvrir la voie de la phase finale en Italie.


Sidonie, quel regard portez-vous, avec un peu de recul, sur l'entrée en matière face au Danemark ?
"Nous sommes passées à travers de ce premier match et après vingt bonnes premières minutes marquées par deux belles occasions, nous avons payé très cher trois erreurs défensives. C'est une défaite amère (3-0), car si nous n'avons pas produit de beau jeu, nous n'avons pas été dominées. Nous avons manqué de réussite devant la gardienne danoise et si nous avons beaucoup centré, nous n'avons pas assez tiré au but."

Le groupe conserve néanmoins ses chances après son festival offensif face à la Lituanie.
"L'objectif était de nous remettre en confiance, de produire du beau jeu en retrouvant nos automatismes (7-0)."

Vous avez inscrit à cette occasion votre premier doublé en sélection.
"J'hérite d'abord du ballon à la suite d'un contre favorable face à une défenseur et je peux frapper depuis l'entrée de la surface de réparation. Je marque ensuite mon deuxième but sur penalty. Ce premier doublé me permet de porter à trois mon total de buts en sélection, après une première réalisation face à l'Angleterre."

Que savez-vous de l'adversaire néerlandais ?
"Ce sera une première pour moi, mais je sais que c'est une équipe dont les joueuses athlétiques et techniques sont douées pour les duels. A nous de savoir répondre. L'objectif est simple : il faudra gagner par quatre buts d'écart. C'est une mission difficile mais qui reste possible. Physiquement, nous sommes au point après avoir effectué de bons décrassages après les matches. La première défaite nous avait fait mal, mais nous gardons espoir."

Quelle attaquante êtes-vous ?
"Je joue beaucoup en remise, souvent dos au but en écartant le jeu, avec un goût pour le jeu de tête. J'ai une bonne protection de balle, mais je dois améliorer ma vitesse et ma vision du jeu. Je suis le plus souvent associée à Rose Lavaud et Viviane Asseyi. J'avais intégré Clairefontaine en 2007, après avoir débuté à Hyères à 7 ans et avoir joué avec les sélections du Var et de la Ligue de Méditerranée. Après le CTNFS, j'ai rejoint Bagneux en D2 où j'ai terminé trois ans meilleure buteuse du club. Après trois très belles années, j'ai rejoint cette saison Toulouse où l'adaptation s'est parfaitement passée."

Equipe de France féminine 03/05/11 - 10:10

9 Lyonnaises avec les Bleues

OutilsBruno Bini a dévoilé sa liste de 18 joueuses pour le match amical France - Ecosse du 18 mai.

Laura Georges, Sabrina Viguier, Wendie Renard, Sonia Bompastor, Corine Franco, Louisa Nécib, Camille Abily, Eugénie Le Sommer et Sandrine Brétigny particeperont au prochain rendez-vous de l'Equipe de France féminine. A quelques semaines de la Coupe du monde en Allemagne, la France affrontera l'Ecosse le mercredi 18mai, à Brest.

Elodie Thomis, blessée, Sarah Bouhaddi et Amandine Henry ne figurent pas sur cette liste, mais font partie de la liste des 36 susceptibles de participer au Mondial. Corine Franco et Sandrine Brétigny font leur grand retour avec les Bleues.

FIFA● Coupe du monde féminine: Louisa Nécib présélectionnée. La
Marseillaise de Lyon fait partie de la liste des 30 joueuses présélectionnées
par Bruno Bini pour disputer la Coupe du monde féminine
2011, qui se déroulera cet été en Allemagne. La liste définitive
sera désignée après le stage de préparation des Bleues à
Saint-Jean-de-Monts, qui aura lieu du 31 mai au 4 juin.