L "EXCELLENTISSME BENOIT... CHEYROU

INFIRMERIE
Courses et soins
pour Cheyrou

Tandis que les Olympiens se sont livrés
à une longue séance, alternant
physique et travail avec ballon,
Benoît Cheyrou, touché au genou en
deuxième période contre Lille, ce qui
l’avait contraint à sortir, s’est contenté
de courir en solitaire, avant de procéder
à des soins à l’intérieur du bâtiment
sportif. Il devrait reprendre
avant la fin de la semaine et postuler
pour Le Havre, en 16e de finale de la
Coupe de France.

L’entraînement a tout de même eu lieu,
sauf pour Benoît Cheyrou qui a encore effectué
des courses en solo. Une décision
sera prise demain, mais quand on connaît
la prudence de Didier Deschamps avec les
blessés, on s’achemine, au mieux, vers un
Cheyrou sur le banc. Ou au repos

flash13100


20/01/2012 à 11h59 Par contre cheyrou il faut qu'il se retape correctement parce que quand il est sorti dimanche l'équipe était beaucoup moins equilibree

Mais en tête
du petit groupe de joueurs qui effectuaient
des tours de terrain, on
n’aura pas manqué de remarquer
Benoît Cheyrou et Jérémy Morel,
confirmant ainsi leur capacité à jouer
dimanche à Rennes.

❚ CHEYROU
Comme c’est souvent le cas, il a sauvé le
milieu de la noyade en première période
et offert au fantôme de Lucho Gonzalez
une balle qui aurait pu amener
l’égalisation. Quand il a lui-même été servi,
il n’a pas laissé passer l’offrande, d’un
tir tendu où la main de Diallo a manqué
de fermeté.


Benoît Cheyrou: "C’est une victoire importante qui fait du bien
car elle nous permet de poursuivre notre série. Nous avons fait un
match sérieux sans concéder beaucoup d’occasions. L’égalisation
juste avant la pause nous a fait du bien car les Rennais nous avaient
pressés assez haut. Mais nous ne nous sommes jamais affolés.
Après, nous avons fait preuve de réalisme, nous étions sûrs de nous
et nous avons eu plus de maîtrise après la pause. Nous sommes
bien, mais nous partons de très loin.
Si nous ne continuons pas notre série, nous serons de nouveau largués
car ça va très vite devant aussi. Nous avons fait un début de
saison catastrophique mais il faut continuer à avoir confiance, simplicité,
humilité, ne pas s’enflammer et continuer de faire des efforts,
dès mercredi, contre Nice."

Cheyrou : "Nous n'avons pas fait notre meilleur match de la saison"2 contributions Publié le jeudi 02 février 2012 à 07H39


Titularisé dans l'entrejeu marseillais, Benoît Cheyrou savoure la qualification de l'OM pour la finale de la coupe de la Ligue, voici sa réaction. "Le principal, c'est la qualification pour la finale, c'est une belle perspective, reconnaît le milieu de terrain olympien. Nous n'avons pas fait notre meilleur match de la saison mais c'était la coupe et l'essentiel était de passer."

"Avec le carton rouge de Mathieu, ça va être un petit plus compliqué contre Lyon, même si jusqu'à présent nous avons toujours su pallier les absences. Nous allons continuer avec un groupe homogène et solidaire. Nous nous battrons avec nos armes."

"Nous avons toujours
su pallier les absences."
BENOÎTCHEYROU

CHEYROU Benoît

Un but d’avant-centre, du droit, pour lancer la rencontre. Un match démarré sur les chapeaux de roue mais dans lequel il lui a manqué un deuxième souffle pour tenir la cadence. L’accumulation des rencontres y est sans doute pour beaucoup.

Restons dans lasimplicité"
ENTRETIEN BenoîtCheyrou prône les valeurs
collectives pour balayer toute pensée individualiste
nuisible à l’équilibre



Benoît Cheyrou portera aujourd’hui le maillot de l’OM pour la
47e fois en coupe d’Europe. Depuis son arrivée au club, voici
cinq saisonsmaintenant, il a participé à toutes les campagnes, accompagné
la lente construction européenne, emmagasiné
l’expérience nécessaire pour être le référent idéal à l’heure d’un nouveau
huitième de finale.
Au fil du temps, il a gardé la sagesse, le contrôle des mots. Dans
l’entretien qu’il nous a accordé, il glisse quelques messages essentiels,
rappelle le bienfait des valeurs collectives. Il remplit son rôle afin
d’éviter à l’équipe de prendre des chemins de traverse.



❚ Sentez-vous l’équipe
sereine à l’heure de rencontrer
l’Inter ?
S é r é n i t é n ’ e s t
peut-être pas le bon
mot. Nous avons
c o n f i a n c e en
n o u s , mais j e
prends le match
contre Valenciennes
commeune petite piqûre
de rappel. Lors des dernières
semaines, nous
avons développé notre
meilleur football, en nous appuyant
sur de la simplicité, de
l’humilité, l’envie de jouer pour le
partenaire. Samedi, les travers
d’individualisme du début de saison
sont réapparus.
Le résultat n’est pas bon sur le plan
comptable. Psychologiquement, il
peut être bénéfique: nous sommes
contraints de rester dans la simplicité,
encore plus contre une équipe
aussi expérimentée que l’Inter.
❚ Selon vous, samedi était-ce un
égarement collectif, de quelques individualités
ou les têtes étaient-elles
déjà tournées vers l’Inter ?
N’oublions pas d’où nous partons.
Un début de saison catastrophique,
par notre faute essentiellement.
Nous sommes sur une super dynamique.
Il ne suffit pas d’obtenir des
résultats contre Lille, Rennes, mais
de les réaliser contre des équipes
présumées plus faibles. J’appelle à
la vigilance lors des prochaines semaines.
❚ Vous évoquiez le début de saison.
Vous avez eu un rôle important pour
sortir le collectif de l’enlisement,
quand il s’est agi de resserrer les boulons.
À30 ans, par rapportàmon ancienneté
dans le vestiaire, je suis conscient
d’avoirmon lot de responsabilités, sur
l’exemplarité notamment. Le meilleur
moyen d’être un leader est de montrer
des signes forts par les actes.
On ne peut pas bouger un mec si on
n’est pas soi-même exemplaire.
Ma vision est restée la même au fil des
années. À 20 ans, j’essayais de l’être
pour que nul n’ait quelque choseàme
reprocher, pour avoir la conscience
tranquille.
❚ Certains agissements vous ont-ils
agacé ?
L’excès d’individualisme. L’équipe a
prouvé lors du mois de janvier et du
début de février qu’elle était capable
de bien jouer au ballon. C’est notre
première période. Les joueurs doivent
prendre conscience d’une chose essentielle:
si l’équipe tourne bien, les
individualités ressortiront. L’inverse
n’est pas possible. Briller individuellement
pour sauver le collectif n’est pas
recevable.
❚ La simplicité est l’acte le plus difficile
dans le football.
Justement. Le foot est un sport simple,
les hommes le rendent compliqué.
Lille est notre match le plus abouti.
Nous sommes donc capables de
présenter de belles prestations. J’en ai
douté pendant quelques semaines,
voire quelques mois.
❚ Cela vous met-il en rage quand on
voit l’évolution de l’équipe aujourd’hui
et tout le temps perdu finalement pour
mettre tout cela en place ?
Il y a dans ce groupe les qualités
techniques, physiques. La différence
se joue dans les têtes. Si on fait l’effort
pour l’équipier, il le rendra.
❚ C’est de la gestion humaine.
Le haut niveau se joue en grande partie
dans la tête.
❚ La volonté aussi.
La remise en question, encore. Il est
nécessaire d’avoir confiance en soi,
mais pour avancer il faut avoir une
part de doute. Personne ne détient la
vérité. On apprend des autres.
❚ Existe-t-il des raisons de se faire
une montagne de l’Inter ?
Pas par rapport à l’Inter. Par rapport à
nous! Depuis deux saisons, nous sortons
des poules. Ce n’est pas un hasard.
Elles n’étaient pas aisées. Les années
précédentes, nous n’y étions pas
parvenus. On se disait: "On est du même
niveau, mais il manque toujours
un petit truc."
On a appris à faire en sorte que ce détail,
de la concentration, l’approche
du rendez-vous, garder son sang-froid
pour ne pas être dépassé par
l’événement, tourne en notre faveur.
L’Inter est un cran au-dessus.
L’expérience lui permet de gérer au
mieux les petits détails.
❚ Vous évoquez les saisons passées.
Parlons du huitième de finale contre
Manchester, il y a un an. Vous ne nous
l’enlèverez pas de l’esprit, l’équipe est
restée avec le freinàmain.
Je suis d’accord. Je pensais dernièrement
à ladouble confrontation contre
le Milan AC, ily adeux ans. On a le sentiment
de rivaliser et on ne gagne pas.
Sur la préparation, ces mecs ont 30 voire
50 matches de Ligue des champions.
On a pris de l’expérience face à
eux, onamoins de stress.
Aujourd’hui, on ne les regarde plus
comme si nous étions des fans. Cet aspect
m’a déplu contre Manchester, on
se souciait plus de savoir avec qui on
échangerait le maillot, celui avec lequel
on prendrait la photo. Je l’avais
dit au groupe trois jours après avant
de retrouver le PSG pour bouger tout
le monde.
❚ À 30 ans, on n’idéalise plus personne.
Non.
❚ Cela devrait être inscrit dans la
culture locale: au diable la renommée
des autres, ici c’est Marseille. Il y a un
esprit à ancrer durablement.
Je suis d’accord. Cet état d’esprit doit
perdurer. L’OM doit faire peur en Ligue1et
commenceràeffrayer en Europe.
❚ Mais il y a encore du travail.
On progresse.
❚ L’équipe est-elle trop jeune pour
que transpire sur le terrain un esprit
que tout une ville porte dans ses gènes?
L’exemple doit venir d’en haut. Desdirigeants,
du staff. Les dirigeants peuvent
se projeter sur le long terme.
C’est plus difficile pour un entraîneur
ou un joueur. Mais cet esprit doit être
transmis de génération en génération.
On doit le sentir en nous dès qu’on revêt
ce maillot.
❚ Est-ce compliqué pour un joueur de
s’imprégner de l’histoire d’un club ?
Ce n’est pas évident. Ce qui doit l’être,
c’est la transmission du savoir, des valeurs
d’une génération à l’autre.
L’ancienneté a un rôle important sur
ce point.
Il y a des joueurs comme GiggsàManchester,
par exemple, qui à 37 ans
jouent encore et transmettent au quotidien.
❚ Vous voyez-vous à 37 ans avec
ce maillot de l’OM ?
Je n’en sais rien. Aurais-je encore envie?
Aurais-je encore la possibilité de
jouer à ce niveau ?
❚ Quel est votre meilleur souvenir de
Ligue des champions ?
(Longue réflexion...) Aucun n’égale le
titre de champion de France. C’était
tellement attendu ici. J’étais au club
depuis trois ans.
Savoir que j’ai accompagné le club
dans cette quête est une immense fierté.
Ce n’est pas une joie instantanée,
plutôt une joie construite, car les années
précédentes ont compté dans la
conquête de ce titre.
La consécration d’un travail de plusieurs
années apporte plus de fierté
qu’un but.
❚ Finalement, votre satisfecit est
d’avoir participé sur le long terme à
l’écriture d’une page du club.
Oui, c’est une fierté.Commel’est mon
parcours. J’en suis à ma 13e année
chez les pros, j’ai connu la Ligue 2, la
Ligue 1, la coupe d’Europe, disputé
40 matches par saison.
❚ Il manque le maillot bleu...
Forcément. Jouer pour son pays est
un facteur émotionnel plus important.
❚ Est-ce une blessure ?
Non. L’équipe de France a la chance
d’être portée par tout un pays, 60millions
de personnes. Ma chance est
d’évoluer dans un club porté par plus
de 60 millions de supporters dans le
monde.
Pour les gens, il y a plus de fierté d’être
supporter de l’OM que de l’équipe de
France. J’ai été gâté ces dernières saisons
d’être transporté par cette ferveur-
là.
❚ Une ferveur susceptible de vous
porter pour éliminer l’Inter ?
Je l’espère. En ce moment au stade,
c’est compliqué. Il est temps que les
travaux soient terminés. Il manque de
la densité humaine. C’est un gâchis

Benoît Cheyrou: "Nous ne regardons pas les
autres, mais notre parcours à nous. Nous avons perdu
trois points. Nous avons été mauvais et nous
avons eu ce que nous méritions. Nous sommes encore
plus en difficulté, mais nous devons lutter
jusqu’au bout. Rejouer mardi est une bonne chose
CHEYROU
Il a touché beaucoup de ballons, essayé
d’orienter, mais le flanc gauche
était atone, le reste étant bouché,
il a donc souvent tourné en
rond ou rendu l e b a l l o n à
l’adversaire

Benoît CHEYROU
Remplaçant mardi au stade Giuseppe-Meazza, le vice-capitaine olympien retrouvera
normalement une place de titulaire ce soir.

Cheyrou : «On n'a pas peur» 27/03/2012 17:43:17


Pas certain de débuter contre le Bayern, mercredi au Vélodrome, Benoît Cheyrou a estimé que les Phocéens auront une carte à jouer. En l'absence de Mandanda (suspendu), Benoît Cheyrou est venu assumer ses responsabilités de vice-capitaine devant la presse, mardi à la veille du quart de finale aller de C1 face au Bayern. Pas certain de débuter la rencontre, il a assuré que l'OM a ses chances face aux Munichois.

«Benoît Cheyrou, le Bayern reste sur 22 buts inscrits en cinq matches. Avez-vous des craintes au moment d'aborder ce quart de finale ?
Le Bayern ne nous fait pas peur. C'est un grand club européen pour lequel on n'a beaucoup de respect, mais non, on n'a pas peur. Nous sommes d'abord très heureux d'être encore en lice dans cette compétition. On va jouer le coup à fond pour la qualification. Si on dispute la Ligue des champions, c'est pour affronter des équipes comme celles-là. Ça sera difficile, mais on est content.

Marseille se trouve toujours dans une passe difficile. On ne peut pas dire que vous abordez ce match dans les meilleures conditions...
Gagner ou perdre avant une telle rencontre n'offre de toute façon aucune garantie pour la qualification. Ça va se jouer sur les deux matches. C'est vrai qu'en Championnat, on se trouve dans une mauvaise passe, mais on a prouvé contre l'Inter qu'en Ligue des champions, on était capable de faire un exploit. Si nous nous qualifions, ça restera un exploit. Nous sommes prêts à aborder ce quart de finale dans les meilleures conditions.

«On a nos chances. Il y aura des espaces derrière»
Quand on voit les prestations que l'OM est capable de livrer en Ligue des champions par rapport à celles en Championnat, n'y a-t-il pas tout simplement un problème de motivation?
Pas du tout. Ça n'engage que moi, mais pour ma part, je préfère me qualifier pour la prochaine Ligue des champions en finissant dans les trois premiers du Championnat que de me qualifier pour les demi-finales. La motivation, elle est là, à chaque match. C'est simplement que ces derniers temps, on se trouvait face à une configuration où c'était à nous de faire le jeu alors qu'on avait justement du mal à trouver des solutions par le jeu. Contre le Bayern, ce sera différent. C'est une équipe offensive qui a l'habitude d'avoir le ballon. Ça sera, je pense, comme face à l'Inter qui avait poussé et qui nous avait laissé des espaces derrière. Même si le Bayern reste favori, on a nos chances.»

L’INTERROGATION
Quel capitaine pour l’OM?

Bonne question ! Seul Deschamps
y répondra.
Si Mandanda est suspendu,
Cheyrou assume généralement
cette fonction. Or, si Deschamps
associe Diarra et Mbia au milieu
et préserve son 4-2-3-1, Cheyrou
sera sur le banc. Le numéro
3, Kaboré, sera remplaçant.
On pourrait appeler le capitaine
Haddock, mais il existe encore
des solutions. À l’ancienneté, le
brassard reviendrait alors à André
Ayew. Et si les cervicales de
ce dernier ne lui permettent pas
d’être sur le terrain, Mbia pourrait
assumer la fonction. Et si...
On lance un appel d’offres

"Il y a du respect,
mais le Bayern
ne nous fait pas peur."
BENOÎTCHEYROU

03/04/2012 - 23:29
OM-Cheyrou: "Ils n'ont même pas forcé"
Mardi soir, l'Olympique de Marseille a quitté la Ligue des champions en quart de finale, battu (2-0) à l'aller comme au retour par le Bayern Munich. Benoît Cheyrou, le milieu de terrain phocéen, a reconnu la supériorité de ses adversaires allemands après le match. "Il y avait une classe d’écart. Sur la double-confrontation, ils nous ont donné une belle leçon collective, une leçon de football. Je pense qu’ils n’ont même pas forcé. On va maintenant penser à bien récupérer, explique l'ancien Auxerrois sur le site officiel du club. Il faut vite se remettre en question individuellement et collectivement, se remobiliser sur le prochain match. On n’a pas le temps de trop cogite

ILS CROIENT AU DÉCLIC À PARIS
Cheyrou:"Le PSG?Ça tombeàpic!"
Paris, Montpellier, Lyon en finale de la coupe
de la Ligue... Le programme des dix prochains
jours est dantesque pour une formation en pleine
dérive. Mais certains voient là l’occasion idéale
pour rebondir et sauver ce qui peut encore l’être.
Comme on l’a déjà entendu mainte et mainte fois
ces dernières semaines...
"Je ne vois pas ce calendrier comme un risque
pour nous, souligne Benoît Cheyrou, le ton calme
et fédérateur. Au contraire, c’est une manière de
bien terminer la saison. Il reste des matches importants,
il n’est pas question de terminer la saison
en roue libre. Dans notre situation, le match
du PSG tombe à pic dimanche ; ça avait déjà été
un déclic lors du match aller. Alors à nous de bien
récupérer pour avoir un maximum de fraîcheur,
car on s’attend à un gros match au Parc des Princes,
à tous les niveaux."
Les yeux légèrement plissés, la mâchoire serrée,
André Ayew est lui persuadé que l’OM saura
aborder ce Clasico. "Qu’on perde ou qu’on gagne
avant Paris, on s’en fout un peu, a lâché le Ghanéen,
faisant ainsi table rase de l’élimination à
Munich et des désillusions précédentes. On va aller
là-bas pour aller chercher la victoire et je peux
vous assurer (en insistant bien sur le verbe) qu’on
verra un autre OM que celui de ces dernières semaines".
Son avis est partagé par César Azpilicueta: "Le
PSG, c’est plus qu’un simple match, prévient
l’Espagnol. On vit la pire des séries et on veut
changer ça; et le meilleur moyen d’y parvenir,
c’est de jouer contre Paris. Que ce soit pour nous,
pour les supporters ou pour la ville, un match
contre le PSG est toujours très important et ce
rendez-vous peut agir en déclic, comme ce fut le
cas lors du match aller."
Gagner à Paris, la seule bouée de sauvetage
qu’il reste à l’OM pour éviter le naufrage

L’AVENIR
Cheyrou veut rester

Si Didier Deschamps continue d’entretenir le mystère en choisissant
de ne pas s’exprimer au sujet de son avenir, Benoît Cheyrou,
lui, a annoncé qu’il souhaiterait effectuer une sixième saison sous
le maillot olympien. "Le fait de ne pas jouer la Ligue des champions
l’année prochaine, c’est négatif pour le club, reconnaît le milieu
de terrain, arrivé à Marseille en 2007. On sait que c’est un
accident et, pour ma part, j’ai envie de rester pour ça, pour montrer
que, malgré l’échec, on peut rebondir et faire remonter l’OM
où il se doit d’être. J’aimerais rester. Peut-être qu’ici, on ne veut
pas que je reste. Je ne sais pas. Il y aura une discussion en fin de
saison, comme c’est le cas à chaque fois. Est-ce que ce sera toujours
lemême entraîneur, le même président, les mêmes joueurs ?
Personne ne sait s’il va rester. Mais on ne se pose pas de question,
notre objectif aujourd’hui, c’est de bien finir la saison. Après, il y
aura des vacances suffisamment longues avec l’Euro pour
s’interroger. Chaque chose en son temps. On dit la même chose à
chaque fois, mais c’est la vérité

Lorient-OM : Cheyrou forfait 8 contributions Publié le mercredi 25 avril 2012 à 11H51


Victime d'une inflammation aux adducteurs, Benoit Cheyrou ne s'est pas entraîné ce matin. Il est forfait pour le déplacement à Lorient

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OM-Nancy : Cheyrou sur la bonne voie11 contributions Publié le dimanche 29 avril 2012 à 12H42


Forfait pour le déplacement à Lorient en raison d'une inflammation aux adducteurs, Benoît Cheyrou devrait reprendre l'entraînement collectif dans les prochaines vingt-quatre heures. Hier matin, lors du traditionnel décrassage, le milieu de terrain a couru et fait quelques exercices.

Après avoir observé quelques jours de repos, il y a donc de fortes probabilités pour qu'il soit opérationnel pour la venue de Nancy, mercredi, au stade Vélodrome.

Par ailleurs, Loïc Rémy, de retour de blessure au Moustoir, n'a pas ressenti la moindre gêne à sa cheville meurtrie.