STADE VELODROME

ca peut se voir comme ca pour les anti psg
le plus important c'est de marquer 3 points
pour esperer etre dans les 2 premeirs et champion's league directe

Cela a déjà été le cas, mardi, à Old
Trafford. Comme cette semaine
en Ligue des champions et en Ligue
Europe, c’est au tour des rencontres
du championnat de France
de Ligue 1 et Ligue 2 de débuter,
ce week-end, par une minute
de silence en hommage aux victimes
et disparus du tremblement
de terre au Japon.
La venue du Paris-SG, dimanche
au stade Vélodrome, comme le déplacement
de l’ACA à Caen seront
autant d’opportunités, pour le
football français d’être solidaire
avec le peuple japonais

VRAI 3 JOURS AU LIEU DE 5
C EST ASSEZ IMPORTANT

L'entraîneur du PSG Antoine Kombouaré n'a pu cacher sa déception après la défaite de son équipe (2-1) contre l'OM hier soir au stade Vélodrome : "Ce soir je suis déçu et à la fois assez satisfait de la prestation de mon équipe. On a raté le coche à mon sens en première mi-temps. En deuxième mi-temps, on a baissé de pied physiquement. On n’a pas existé. Il faut dire que l’OM, lui, avait deux jours de récupération en plus, même si je ne cherche pas d’excuse."

Le Stade Phocéen
à l’affiche du Vélodrome ?
RUGBY Le club pourrait jouer
en baisser de rideau de la 2e demi-finale
de Top14 le 28 mai

Le dernier match du Vélodrome dans sa configuration actuelle pourrait être un match de rugby du
Stade Phocéen. A condition toutefois que la LNR donne son accord.




Dernier obstacle
à lever : obtenir
l’accord de la Ligue
nationale de rugby


La saison dernière, déjà,
l’idée d’organiser une rencontre
au stade Vélodrome
avait germé dans l’esprit
des dirigeants du club, qui s’appelait
encore Marseille-Vitrolles.
Tout semblait alors réuni :
le Rugby Club Toulonnais y prenait
déjà ponctuellement ses
quartiers et le club marseillais,
qui évoluait à l’époque en Fédérale
1, comptait dans ses rangs
une tête d’affiche susceptible
d’attirer le public en la personne
de Jonah Lomu. Ne restait
plus qu’à faire coïncider les rendez-
vous des deux clubs.
Mais, dans le but de préserver
la pelouse du stade Vélodrome
pour les matches de l’OM,
locataire principal de l’enceinte
du boulevard Michelet, jamais
un tel lever de rideau
n’avait pu être organisé. Et
avec la relégation administrative
du Stade Phocéen en Fédérale
2, on pensait cette idée enterrée
pour plusieurs années.
Il n’en est rien. Avec l’organisation,
pour la première fois
sur un même site, à Marseille,
des demi-finales de Top 14 les
27 et 28 mai, l’idée de voir le Stade
Phocéen fouler la pelouse
du Vélodrome est revenue au
goût du jour. Si la Ligue nationale
de rugby a opposé une fin
de non-recevoir à un éventuel
lever de rideau, celle-ci étudie
actuellement la faisabilité d’un
baisser de rideau après la demi-
finale du samedi 28 mai, ce
qui permettrait aux Marseillais
de disputer un 8e de finale de
championnat de France de Fédérale
2.
Avantage non négligeable,
les considérations liées à la préservation
de l a pelouse
n’auront pas lieu d’être puisque
cette rencontre serait la
dernière disputée au stade Vélodrome
dans sa configuration
actuelle, avant que ne commencent,
en juin, les travaux de rénovation
en vue de l’accueil de
l’Euro 2016 de football.
L’idée a d’autant plus de crédit
que la municipalité voit
d’un bon oeil le fait qu’un club
marseillais soit directement
concerné par ce week-end
100% rugby. "Marseille a la
chance d’avoir été choisie pour
organiser pour la première fois
deux demi-finales de championnat.
Et ce serait bien que le Marseille
du rugby soit pleinement
associé à cette grande fête", soutient
Maurice Di Nocera,
conseiller municipal délégué
aux grands événements et aux
grands équipements.
De nombreuses animations
sur la thématique du ballon
ovale seront mises en place
dans l a v i l l e l o r s de ce
week-endcomme l’installation
d’un écran géant sur la place
d’Estienne d’Orves les jours
des matches ou encore d’une
exposition à la Chambre de
commerce.
Dernier obstacle à lever pour
que le Stade Phocéen puisse
évoluer au Vélodrome: obtenir
l’accord de la Ligue nationale
de rugby, organisatrice des demi-
finales de Top 14 et qui a
par conséquent la charge d’assurer
la sécurité au stade. "Rien
n’est encore certain, mais il n’y
a pas, à mon sens, d’a priori négatif
de la part de la Ligue, assure
Louis Poretti, secrétaire général
du Comité de Provence.
En tout cas, le Comité soutient
la démarche." La réponse de la
LNR devrait intervenir dans les
prochains jours.
"Chat échaudé craint l’eau froide",
dit le dicton que les dirigeants
du Stade Phocéen se
sont réapproprié. Loin des déclarations
tapageuses et souvent
prématurées d’un passé
pas si lointain, ils se sont retroussé
les manches après la relégation
pour redorer l’image
du club. Outre les résultats de
l’équipe première, c’est un travail
en profondeur qu’ils mènent
au quotidien. Une action
qui n’est pas passée inaperçue
aux yeux de nos confrères de Midi
Olympique qui décerneront
au club le Trophée Midol,
lemois prochain, pour le récompenser
de ses efforts.

On l’avait quitté le 20 juin
dernier, sur la pelouse du
stade Vélodrome, avec le
sentiment du devoir accompli
après une première édition de
la Champion’s Cup franchement
réussie. On l’a retrouvé,
hier soir, toujours au Stade Vélodrome,
mais dans les salons
d’honneur cette fois. Plus motivé
que jamais, Jean-Christophe
Marquet a lancé la 2e édition du
plus grand rassemblement de
jeunes footballeurs de moins 11
ans (U11) de la région.
Aux côtés des différents partenaires
de l’événement, l’ancien
joueur de l’OM a tenu à rassembler
les présidents des 72 clubs
participants pour présenter les
grandes lignes de la compétition.
Cette année, les qualifications
se dérouleront le samedi
16 et le dimanche 17 avril, aux
stades de La Pomme et Delort.
Quant aux phases finales, elles
se dérouleront le samedi
7 mai, sur la pelouse du Vél’.
Mais grande nouveauté, elles
concerneront 16 équipes, et
non plus "seulement" 8 comme
c’était le cas l’année dernière.
"Respect et fair-play"
"On a voulu permettre à un
plus grand nombre de jeunes
joueurs de fouler la pelouse du
stade Vélodrome, se réjouit
Jean-Christophe Marquet. La
journée démarrera donc dès le
matin, puis l’après-midi, on repartira
sur le même principe
que l’année dernière". À savoir
huit qualifiés qui s’affronteront
dans des matches à éliminations
directs.
Une recette qui a déjà fait ses
preuves l’année dernière. "C’est
vrai qu’on s’était régalé, se souvient
Marcel Anastasio, le président
d’Aubagne. Les gamins
étaient allés jusqu’en finale,
c’était magique". "Cela avait été
une vraie fête du football", surenchérit
Janvier Liguori, son
homologue de la JO Saint-Gabriel.
Cette fois encore, l’organisation
des rencontres sera donc
confiée aux membres du District
de Provence. "C’est très important
pour nous car ils ont
l’habitude de gérer autant de
matches, souligne Marquet. On
a parlé d’étendre la Champion’s
Cup à toute la région, mais on
va d’abord s’attacher à confirmer
la première édition".
Une ambition partagée par
les élus locaux. "La Champion’s
Cup a su créer une dynamique
dans la ville, estime Maurice Di
Nocera, conseiller municipal
délégué aux grands équipements
et grands événements.
"Dès l’année prochaine le Vélodrome
sera en travaux, mais on
trouvera une solution pour rester
ici. Et tous se retrouver dans
le nouveau stade". D’ici là, la
Champion’s Cup se sera
peut-être encore développée.
Preuve de ce succès, les organisateurs
ont dû refuser certains
clubs pour cette 2e édition.
Mais tout le monde pourra
se tenir au courant de ce qui
se passe sur le site internet de la
compétition.
Quant à la charte et aux valeurs
de la Champion’s Cup, elles restent
les mêmes. "Le respect, le
fair-play, la convivialité et la solidarité",
conclut Jean-Christophe.
Car ce n’est que commecela
que la fête pourra être encore
plus belle...

www.championscup.fr

Faire jouer des dizaines de jeunes au Stade Vélodrome pendant toute une journée...

Maurice Di Nocera, Jean-Christophe Marquet, Richard Miron, Michel Gau et Cyril Astier. Le président du District de Provence, Michel Gau, également présent lors de la présentation officielle, ne se montre pas moins enthousiaste : "Quand je vois autant de monde présent ce soir (mardi, ndlr), ça fait rêver. Le projet de Jean-Christophe Marquet suscite beaucoup d'engouement. Avec notre participation et celle du Conseil général, cela donne un gros évènement. Cette année, tous les clubs ont voulu s'inviter, et ce fut difficile d'en laisser juste devant la porte..." En effet, même s'il n'est pas question de "remuer le couteau dans la plaie", dixit le président, cette Champion's Cup est aujourd'hui un des seuls moyens pour les équipes U11 de s'exprimer dans la région, puisqu'il n'y a plus de championnat U11, remplacé qu'il est par une "compétition qui ne fait pas l'unanimité auprès des clubs", selon Michel Gau.
Finalement, quelles que soient les motivations, la Champion's Cup est bien un évènement attendu et déjà apprécié, avant même sa deuxième édition. Sans oublier l'essentiel : faire jouer des dizaines de jeunes au Stade Vélodrome pendant toute une journée, et leur donner des images plein la tête
et nourrir leurs rêves pendant un bon moment...

De nouvelles dispositions pour les VIP ?
Au terme de la saison, de nouvelles directives devraient être prises
dans certains stades, dont le Vélodrome, sur l’accueil des VIP et des
médias. De nombreuses personnalités ne sont soumises à aucune
fouille de sacs ni palpation à l’entrée de ces lieux publics. La LFP entend
unifier les pratiques et respecter au mieux les décrets d’application
: "Pourquoi un homme politique ou une célébrité doivent-ils se
soumettre à une obligation dans un aéroport et pas dans un stade ?",
s’interroge un fonctionnaire de la Préfecture. Avec les passe-droits,
on crée des inégalités et on soulève des mécontentements

Le stade Vélodrome ouvert à tous pendant les vacances de Pâques
Publié le samedi 09 avril 2011 à 17H35


Durant les vacances de Pâques (du 18 avril au 6 mai), cinq visites par jour seront organisées au stade Vélodrome, du lundi au vendredi. Deux visites réservées aux groupes, à 13h et 14h, et trois visites pour les individuels, à 14h, 15h et 16h.

Aucune réservation n'est nécessaire, sauf pour les groupes de plus de 15 personnes.

Pour plus d'informations : 04 91 13 89 03

L'OM n'en profite pas
1418 contributions Publié le dimanche 10 avril 2011 à 19H05

Le club olympien a gâché l'occasion de revenir à un point de Lille, ce dimanche, en concédant le nul face à Toulouse (2-2).


Mathieu Valbuna n'a pas trouvé la faille. Muselé par les Toulousains, le "Petit" a eu moins d'influence.

Cyril Sollier



OM-Toulouse : 2-2. L'OM peut se mordre les doigts. Après avoir vu le Losc buter contre le Rocher monégasque, hier soir, les hommes de Didier Deschamps avaient le pain et le couteau pour s'approcher au plus près du leader lillois. Mais cétait sans compter sur l'envie toulousaine.

Car sur la pelouse du Vélodrome, c'est bien le "Téfécé" qui a dicté sa loi à l'OM. Maigre consolation, André-Pierre Gignac a permis aux siens de garder l'espoir grâce à son égalisation dans les dernières minutes. Sans ça, l'OM aurait d'ores et déjà pu faire une croix sur le titre.

Ce n'est pas que ce résultat et surtout la manière soient de bon augure pour le sprint final mais, en réduisant l'écart d'un tout petit point avec le Losc, l'OM ne recule pas. Il s'était pourtant placé dans les meilleures conditions en ouvrant la marque par l'intermédiaire de Rémy (30e). Bien placé, l'ancien Niçois a profité de la boulette de Valverde, sur un centre de Cheyrou, pour faire lever le Vel' comme un seul homme.

La bronca du Vélodrome, les regrets de l'OM


Mais le public s'est vite retrouvé sur les fesses. D'abord avec l'égalisation toulousaine juste avant la pause. Il faut dire que la défense ciel et blanc y a mis du sien pour donner une offrande pareille à Braaten, qui ne s'est pas fait prier pour ajuster Mandanda (45e+1). De retour des vestiaires, Cetto a ensuite mis le coup de bambou sur le peuple marseillais. Plus haut et plus vite que tout le monde, notamment du portier olympien, le capitaine toulousain a donné l'avantage au "Téfécé" d'une tête puissante sur corner (61e).

C'est le moment choisi par le stade tout entier pour faire dévaler une terrible bronca des tribunes. Il a fallu que "DD" lance Gignac, cloué sur le banc pour affronter son ancien club. Sur un déboulé côté gauche de Rémy et une remise parfaite, le Martégal a expédié le ballon au fond des filets (84e). 2-2 !

Finalement, ce résultat est même inespéré. Car si l'OM n'a pas profité de cet après-midi printanier pour fondre sur le Losc, c'est qu'il ne le méritait pas. Le "Téfécé", lui, est venu chiper les 15e et 16e points perdus par les Olympiens dans leur antre cette saison. L'OM évite donc le pire mais il peut nourrir des regrets...

"La ferveur du rugby me fascine"
ÉRIC DI MECO L’ancien Olympien est un fan de ballon ovale et ne manquera pas RCT-Toulouse, samedi, au Vélodrome

Sa passion pour le rugby n’est plus un secret. Teigneux et volontaire au
temps où il évoluait avec l’OM, Monaco et l’équipe de France, Éric
Di Meco devait naturellement se reconnaître dans ce sport de contact,
généreux et sans fard. "Le foot, je suis tombé dedans dès que j’ai commencé à
marcher, mais le rugby, ça me plaît depuis tout petit aussi, indique l’ancien
footballeur pro (1981-1998). Je suis originaire du Vaucluse et plus particulièrement
de Robion. C’est à côté de Cavaillon qui avait, dans les années 1970, une
belle équipe de jeu à XIII en élite. Mon prof de maths était entraîneur et il nous
parlait que de ça. Quand on faisait du sport à l’école, c’était du rugby!"
Samedi, Di Meco sera au stade Vélodrome pour assister à Toulon-Toulouse.
"Chaque fois que je suis à Marseille quand il y a un match, j’y vais. Que ce soit
pour Toulon, les demi-finales du Top 14 ou le XV de France, se réjouit-il. C’est
la même chose à Paris. Si le boulot ("100%Foot" notamment) m’y conduit lors
d’un week-end de match, je fais en sorte de me rendre au Stade de France."
La fièvre du rugby a gagné cet "Historique" de l’OM. Il est même intarissable
sur le sujet


"Dans le foot, les anciens
ont plaisir à se revoir aussi,
mais ce n’est pas pareil."


Dans le rugby, on est à une période charnière, entre valeurs et professionnalisme", estime Éric Di Meco

❚ Vous êtes un vrai mordu de rugby !
(Sourire) Je chambre souvent Moscato
sur l’histoire des valeurs et la
culture du rugby, mais cela existe
bien. Personnellement, c’est vrai,
j’aime beaucoup ce sport. D’abord, le
jeu en lui-même. Là, il ne faut pas se
planquer, c’est un jeu d’hommes!
J’apprécie également tout ce que ce
sport véhicule. Désormais, j’ai l’occasion
de croiser beaucoup d’anciens
rugbymen. Quand je vois la complicité
qui les unit aujourd’hui encore, ça me
fascine. Dans le foot,mêmesi on a toujours
plaisir à se revoir aussi, ce n’est
pas comme ça. Néanmoins, je pense
que le rugby va perdre cet aspect-là
avec l’essor du professionnalisme.
Àmon avis, les rugbymen vont devenir
comme les footeux.
❚ Pour le moment, en tout cas, ces valeurs
restent intactes...
Je pense que c’est en train de se perdre,
car malheureusement, le professionnalisme
accru va modifier certains
principes. De plus en plus de
joueurs vont changer de club et davantage
courir le contrat. Ce ne sera plus
comme avant, à l’époque où on commençait
et on finissait sa carrière dans
le même club. On était, alors, prêt à
mourir pour son pote car on avait grandi
avec lui. J’ai le sentiment que tout ça
va disparaître au profit d’autres données,
lesquelles mettent l’accent notamment
sur des joueurs surentraînés.
En ce moment, on est à une période
charnière: s’il y a encore des valeurs,
le côté professionnel s’amplifie.
❚ Quel regard l’ancien footballeur pro
de premier plan porte-t-il sur le rugby
professionnel ?
Le rugby est devenu extrêmement
physique. Là, maintenant, les mecs, ce
sont des armes de guerre ! Ce sont des
épées! Aujourd’hui, si tu n’es plus affûté,
tu ne peux plus entrer sur le terrain,
sinon tu joues ta vie en prenant un
gars en planche. Les types, ce sont des
athlètes de haut niveau dans un sport
de combat. C’est un plaisir de regarder
des matches, car il y a beaucoup d’engagement
et ça va de plus en plus vite.
C’est vivant, même si, parfois, certaines
équipes privilégient un jeu ultra défensif.
❚ Avez-vous déjà assisté à des matches
au stade Mayol?
La saison dernière, j’étais allé voir
RCT-Clermont (26-21). J’adore l’ambiance
là-bas ! En règle générale, la ferveur
qui accompagne le rugby mecaptive.
Même au stade Vélodrome. Je me
souviens de RCT-Perpignan à Marseille
(33-23, il y a un an), c’était fabuleux!
À chaque fois, les supporters des
deux clubs sont mêlés. C’est vraiment
bon enfant. Ça fait plaisir d’aller au stade
dans ces conditions. Tu as envie d’y
emmener tes gamins.
❚ Vous ne retrouvez pas un contexte
pareil dans le football ?
(Catégorique) Non. Si je suis persuadé
que le rugby professionnel va rattraper
le foot sur le terrain, je suis certain,
en revanche, qu’il en sera différemment
dans les tribunes. Pendant un
bon moment encore, le rugby sera
épargné par les problèmes liés à l’indiscipline
et à la violence des supporters.
C’est vraiment un autre monde.
❚ Que ressentez-vous lorsque vous
voyez le Vélodrome - votre ancien antre
avec l’OM - investi par le rugby ?
Il n’y a rien de bizarre à ça. Il faut
quandmêmese rappeler qu’à une époque,
le Vel’ a abrité régulièrement des
matches de rugby à XIII. Quand j’étais
à l’OM, Joël Coste, qui était notre docteur,
nous en parlait, lui qui était issu
de ce sport. Ce devait être génial !
J’aimerai vivre ça. Je trouve, en tout
cas, désolant qu’il n’y ait pas un grand
club de rugby à Marseille. Il y a eu des
tentatives, comme avec le hand et le
basket, mais le club de sport qui veut
s’installer dans cette ville doit impérativement
jouer les premiers rôles sinon
il meurt de sa petite mort. C’est terrible,
mais des résultats moyens ne peuvent
pas supporter la concurrence
avec le foot. S’il y a un club de rugby,
celui-ci devra évoluer dans le haut du
tableau du Top 14. C’est donc compliqué.
Mais dans le même temps, je suis
sûr que l’avenir du rugby professionnel
passera par les grandes métropoles.
Dès lors, il faudra un club de rugby
en élite à Marseille dans les dix ans à
venir, car il y a un bassin économique
des plus prospères et en phase avec le
développement de ce sport qui va impliquer
de plus en plus d’argent.

"Le stade Vélodrome
faisait trembler les
adversaires de l’OM et
les arbitres. Aujourd’hui,
il ne fait plus peur.
À l’extérieur, quand on
est 300 ou 3 000, il y a
plus de ferveur que dans
un stade Vélodrome de
50000 personnes."
UN SOUTH WINNER

Les 16 qualifiés : Burel, Air Bel, Aubagne,
SO Caillols, St-Gabriel, Rousset, Gignac,
ES Pennoise, Velaux, OM, Mazargues,
ASPTT Marseille, US 1er Canton,
Bouc Bel Air, Marignane, CO Merlanais

VISITE
LestadeVélodrome
ouvertà touspendant
les vacancesdePâques
Du 18 avril au 6 mai, le stade Vélodrome
accueille les curieux
pour des visites guidées.Dulundi
au vendredi, deux visites quotidiennes
sont réservées aux
groupes, à 13 et 14 h, et trois
sont réservées aux individuels,
à 14, 15et 16heures. Les réservations
ne sont pas nécessaires,
sauf pour les groupes de plus
de quinze personnes. Le prix
d’entrée est fixé à 6 euros, les
enfants de moins de cinq ans
bénéficient, eux, de la gratuité.
Plus d’informations au
04 911389 03.
Inscription sur place, boulevard
Michelet, au bungalow sur le
parking RTM.

Le match le plus fou de
l’histoire olympienne. Cert
e s , i l y a e u u n
OM-Saint-Étienne (4-3,
en 1957) ou Lyon-OM (5-5
en novembre 2009). Mais
celui-là est unique parce
que l’OM se retrouve mené
4-0 à la mi-temps au
Vélodrome, alors que son
équipe a été bâtie pour viser
le titre, avec les arrivées
de Maurice, Pirès,
Luccin, Bravo, Blondeau,
Gourvennec, pour renforcer
Blanc, Ravanelli,
Roy, Dugarry, Camara,
Brando, Gallas...
Bref, les exploits de
Bakayoko, sur des passes
millimétrées de Gravelaine
qui vient de
quitter le club, le coup franc de
Sauzée, les buts encaissés par Porato,
qui joue à la place de Köpke
sont indigestes. Au point que
beaucoup de gens quittent le stade
à la pause, dégoûtés.
On connaît même des journalistes
partis à 4-2.
"Il y en a encore beaucoup qui
croient encore aujourd’hui qu’on
a perdu", rigole Éric Roy.
À la reprise, d’ailleurs, Fugier a
l’occasion de marquer un cinquième
but, mais Porato le devance.
Courbis a décidé de jouer
le tout pour le tout, il a remplacé
un milieu, Gourvennec, par un
attaquant, Camara, et va en sortir
un autre, Bravo, au profit
de Dugarry. Les deux mal-aimés
vont tout faire péter après le but
de Maurice. Duga marque
deux fois, Roy égalise en signant
un but similaire à celui de Blanc
avec les Bleus contre le Paraguay.
Passe lobée de Pirès, remise
de la tête de Ravanelli et tir de
Roy. "J’ai frappé comme un
sourd", dit-il.
Enfin, une faute de Serredzum
sur Pires offre le penalty de la victoire
que Laurent Blanc transforme.
Le Vélodrome est un cratère,
les Héraultais sont effondrés.
Inoubliable. À couper le souffle.

GAGNER 2 MATCHS DE SUITE DS LA MEME SEMAINE A DOMICILE
PAS FACILE
MAIS IL FAUDRA LE FAIRE

Attention : aucun transport en commun dimanche 1er mai Publié le samedi 30 avril 2011 à 16H32


Attendez-vous à de grosses pagailles demain à Marseille, que ce soit pour aller au stade Vélodrome assister au match OM-Auxerre à 17h ou au Salon de la moto et du scooter, parc Chanot. En effet, en raison de la Fête du travail, il n'y aura aucun transport en commun : ni bus, ni métro, ni tramway !