EQUIPE DE FRANCE
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Re: EQUIPE DE FRANCE
FOOTBALL ÉQUIPE DE FRANCE
Avec Mandanda et Payet
contre le Portugal? L’enchaînement du calendrier
- réception au Stade de
France du Portugal samedi, déplacement
en Arménie mardi -
aurait pu laisser présager d’une
ligne de conduite pour Didier
Deschamps. À savoir, aligner ses
"titulaires" pour faire face à laSelecçao
de Cristiano Ronaldo et
donner l’occasion aux derniers
appelés de s’exprimer du côté
d’Erevan.
Pourtant, le sélectionneur tricolore
pourrait avoir d’autres
plans en tête. Hier, lors de la
séance d’entraînement à huis
clos à Clairefontaine, Deschamps
a travaillé un schéma
en 4-2-3-1; dans lequel apparaissent
deux Olympiens, Steve
Mandanda et Dimitri Payet.
Le capitaine de l’OM gardait
en effet les buts des "titulaires",
Benoît Costil lui faisant face.
Deschamps avait déjà annoncé
qu’il comptait donner du temps
de jeu à ses gardiens et que Hugo
Lloris ne disputerait qu’une
seule des deux rencontres. Le
gardien de Tottenham devrait
donc se concentrer sur le déplacement
en Arménie... Une aubaine
pour Steve Mandanda, qui
n’a plus porté le maillot des
Bleus en match officiel depuis le
5 juin 2013, lors d’un déplacement
victorieux en Uruguay
(0-1).
Dimitri Payet, lui, n’a plus
joué avec l’équipe de France depuis
le 10 septembre 2013. Si Didier
Deschamps a loué ses prestations
en tant que meneur de
jeu de l’OM, le Réunionnais a
évolué hier sur le flanc droit du
milieu de terrain; avec Mathieu
Valbuena en position axiale, soit
un rôle qui correspond à celui
qu’il remplissait la saison dernière.
Depuis, cependant, Payet a
fait le plein de confiance et a su
faire évoluer son jeu, gagnant en
efficacité en le dépouillant du superflu.
Et il a clairement l’envie
de saisir cette nouvelle chance
qui lui est offerte. André-Pierre
Gignac, lui, devrait prendre encore
(un peu) son mal en patience.
Et se tenir prêt pour suppléer
Karim Benzema, lequel ne disputera
sans doute pas le match
dans son intégralité...
Avec Mandanda et Payet
contre le Portugal? L’enchaînement du calendrier
- réception au Stade de
France du Portugal samedi, déplacement
en Arménie mardi -
aurait pu laisser présager d’une
ligne de conduite pour Didier
Deschamps. À savoir, aligner ses
"titulaires" pour faire face à laSelecçao
de Cristiano Ronaldo et
donner l’occasion aux derniers
appelés de s’exprimer du côté
d’Erevan.
Pourtant, le sélectionneur tricolore
pourrait avoir d’autres
plans en tête. Hier, lors de la
séance d’entraînement à huis
clos à Clairefontaine, Deschamps
a travaillé un schéma
en 4-2-3-1; dans lequel apparaissent
deux Olympiens, Steve
Mandanda et Dimitri Payet.
Le capitaine de l’OM gardait
en effet les buts des "titulaires",
Benoît Costil lui faisant face.
Deschamps avait déjà annoncé
qu’il comptait donner du temps
de jeu à ses gardiens et que Hugo
Lloris ne disputerait qu’une
seule des deux rencontres. Le
gardien de Tottenham devrait
donc se concentrer sur le déplacement
en Arménie... Une aubaine
pour Steve Mandanda, qui
n’a plus porté le maillot des
Bleus en match officiel depuis le
5 juin 2013, lors d’un déplacement
victorieux en Uruguay
(0-1).
Dimitri Payet, lui, n’a plus
joué avec l’équipe de France depuis
le 10 septembre 2013. Si Didier
Deschamps a loué ses prestations
en tant que meneur de
jeu de l’OM, le Réunionnais a
évolué hier sur le flanc droit du
milieu de terrain; avec Mathieu
Valbuena en position axiale, soit
un rôle qui correspond à celui
qu’il remplissait la saison dernière.
Depuis, cependant, Payet a
fait le plein de confiance et a su
faire évoluer son jeu, gagnant en
efficacité en le dépouillant du superflu.
Et il a clairement l’envie
de saisir cette nouvelle chance
qui lui est offerte. André-Pierre
Gignac, lui, devrait prendre encore
(un peu) son mal en patience.
Et se tenir prêt pour suppléer
Karim Benzema, lequel ne disputera
sans doute pas le match
dans son intégralité...
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Re: EQUIPE DE FRANCE
[size=40]Gignac : «La France est au-dessus du Portugal»
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Deux jours avant la confrontation des deux équipes au Stade de France, André-Pierre Gignac a donné son avis sur le niveau des Bleus et des Portugais. Et pour l’attaquant de l’OM, la France (9e au classement Fifa et quart de finaliste de la Coupe du monde) évolue un cran au-dessus de son prochain adversaire (11e et éliminé au premier tour) : «Depuis le barrage de la Coupe du monde contre l’Ukraine, je pense que la France est au-dessus du Portugal, s’est avancé l’attaquant. Il ne faut pas sous-estimer le Portugal, qui a de grands joueurs, de grandes individualités, mais aujourd’hui je pense que la France est une vraie équipe.»
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Deux jours avant la confrontation des deux équipes au Stade de France, André-Pierre Gignac a donné son avis sur le niveau des Bleus et des Portugais. Et pour l’attaquant de l’OM, la France (9e au classement Fifa et quart de finaliste de la Coupe du monde) évolue un cran au-dessus de son prochain adversaire (11e et éliminé au premier tour) : «Depuis le barrage de la Coupe du monde contre l’Ukraine, je pense que la France est au-dessus du Portugal, s’est avancé l’attaquant. Il ne faut pas sous-estimer le Portugal, qui a de grands joueurs, de grandes individualités, mais aujourd’hui je pense que la France est une vraie équipe.»
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Re: EQUIPE DE FRANCE
- Equipe De France : Benzema et Lloris absents de l'entraînement
- Equipe De France : Gignac ne se compare pas à Ronaldo
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Re: EQUIPE DE FRANCE
[size=40]Quelle gestion de groupe pour Deschamps jusqu'à l'Euro ?[/size]
Près de 600 jours séparent les Bleus (qui affrontent le Portugal samedi à 20h45) de l'Euro. Comment Didier Deschamps doit-il faire évoluer son groupe d'ici là, et combien de joueurs doit-il tester ? L'étude de la gestion des dernières sélections - titrées (Allemagne, Espagne, Italie) ou non (Brésil) - offre des éléments de réponse.
1
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Didier Deschamps dispose de moins de deux ans pour préparer l'Euro. (Alexis Reau/L'Equipe)
«Les joueurs se connaissent tous depuis deux ans. Il y a une base, une vie de groupe. Ils ont envie d’avoir un avenir ensemble.» Au début du mois de septembre dernier, alors que l’élimination en quart de finale de la Coupe du monde commençait à être digérée et que les Bleus se tournaient progressivement vers l’Euro 2016, Didier Deschamps confirmait son envie de conserver une bonne partie des joueurs emmenés au Brésil. Aussi bien en termes de fond de jeu, de résultats que d’état d’esprit, le groupe tricolore de 2014 a donné satisfaction à un sélectionneur qui avait beaucoup tâtonné durant ses deux premières années à Clairefontaine.
Pour préparer l’Euro à domicile, Deschamps a déjà une idée en tête pour gérer son groupe : «donner du temps de jeu aux joueurs sélectionnés au Mondial pour les aguerrir», et renouveler l'effectif pour «élargir la palette de choix» (ce qu’il a commencé à faire en convoquant depuis cet été Gignac, Payet, Jallet, Mathieu, Lacazette, Costil et Yanga-Mbiwa). À quel point doit-il ouvrir son groupe ? Ou à l’inverse jusqu’où doit-il protéger son noyau dur ? Y a-t-il des règles à respecter durant ces deux années pour optimiser les chances de briller à l'Euro ? L’étude de la gestion des sélections récemment titrées donnent des indices.
Près de 600 jours séparent les Bleus (qui affrontent le Portugal samedi à 20h45) de l'Euro. Comment Didier Deschamps doit-il faire évoluer son groupe d'ici là, et combien de joueurs doit-il tester ? L'étude de la gestion des dernières sélections - titrées (Allemagne, Espagne, Italie) ou non (Brésil) - offre des éléments de réponse.
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Didier Deschamps dispose de moins de deux ans pour préparer l'Euro. (Alexis Reau/L'Equipe)
«Les joueurs se connaissent tous depuis deux ans. Il y a une base, une vie de groupe. Ils ont envie d’avoir un avenir ensemble.» Au début du mois de septembre dernier, alors que l’élimination en quart de finale de la Coupe du monde commençait à être digérée et que les Bleus se tournaient progressivement vers l’Euro 2016, Didier Deschamps confirmait son envie de conserver une bonne partie des joueurs emmenés au Brésil. Aussi bien en termes de fond de jeu, de résultats que d’état d’esprit, le groupe tricolore de 2014 a donné satisfaction à un sélectionneur qui avait beaucoup tâtonné durant ses deux premières années à Clairefontaine.
À quel point renouveler un groupe sur deux années ?
Pour préparer l’Euro à domicile, Deschamps a déjà une idée en tête pour gérer son groupe : «donner du temps de jeu aux joueurs sélectionnés au Mondial pour les aguerrir», et renouveler l'effectif pour «élargir la palette de choix» (ce qu’il a commencé à faire en convoquant depuis cet été Gignac, Payet, Jallet, Mathieu, Lacazette, Costil et Yanga-Mbiwa). À quel point doit-il ouvrir son groupe ? Ou à l’inverse jusqu’où doit-il protéger son noyau dur ? Y a-t-il des règles à respecter durant ces deux années pour optimiser les chances de briller à l'Euro ? L’étude de la gestion des sélections récemment titrées donnent des indices.
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Re: EQUIPE DE FRANCE
Les sélections sacrées ces dernières années n’ont jamais changé plus de dix joueurs sur des compétitions séparées par deux années. L’Allemagne championne du monde 2014 était la même à sept éléments près de la Nationalmannschaft demi-finaliste de l’Euro 2012. Pour trouver moins d’évolution, il faut observer la France de l’Euro 2000 (4 nouveaux joueurs par rapport à 1998, Ramé, Micoud, Wiltord et Anelka) et l’Espagne de 2012 (5 nouveaux joueurs par rapport à 2010, Jordi Alba, Azpilicueta, Monreal, Cazorla et Soldado). Ces changements minimes de ces deux sélections s’expliquent notamment par le fait qu’elles venaient d’être titrées et visaient le doublé avec un groupe à peine retouché. Attardons-nous sur l’évolution de la Roja des années 2000, titrée à trois reprises (2008, 2010 et 2012).
Luis Aragones (sélectionneur de 2004 à 2008) a mis du temps avant de consolider son groupe, en témoigne l’évolution de sa sélection en 2006 (12 joueurs différents de 2004) et 2008 (10 joueurs). Mais l’éclosion d’une génération d’exception (Casillas, Iniesta, Xavi, Xabi Alonso, Ramos, Puyol, Fabregas, Torres, Villa), presque toujours présente de 2006 à 2014 et autour de laquelle les sélectionneurs ont construit leur noyau dur, les a poussés à restreindre leur groupe. Seuls 8 nouveaux éléments sont apparus en 2010, puis 5 en 2012 et à nouveau 5 en 2014.
Vicente Del Bosque n'a effectué que très peu d'essais, comptant sur les cadres comme Xavi. (L'Equipe)
Le contre-exemple du Brésil de Luiz Felipe Scolari, qui préparait comme les Bleus actuels une compétition à domicile, est intéressant. Revenu à la tête de la sélection en novembre 2012, l’ancien entraîneur de Chelsea avait moins de deux ans pour façonner une équipe capable de remporter le titre mondial à l’été 2014. «Il y a beaucoup de nouveaux joueurs capables de jouer pour la Seleçao d'une année ou sur l'autre, expliquait-il lors de son intronisation. La Coupe des confédérations (été 2013) nous donnera des indications sur des changements tactiques à apporter, sur des joueurs s'il faut les changer.»
De fait, Scolari a procédé par étapes. Le tacticien a d’abord mis de côté les anciens cadres (seuls Julio César, Dani Alves, Thiago Silva et Ramires ont disputé le Mondial 2010 et 2014) et a énormément essayé de joueurs. Puis il a dessiné une sélection lors de la Coupe des confédérations (tournoi remporté) qu’il a peu retouchée (8 changements avec sa sélection du Mondial). De fait, son groupe a abordé la Coupe du monde avec des automatismes et un vécu commun, même récent. Mais la Seleçao a également manqué de fraîcheur, de ressort, voire d’expérience et de concurrence sur certains postes, comme celui d’avant-centre. Ce bilan pose la question de la mise à l’écart rapide et définitive de Ronaldinho, Kaka ou Pato, des joueurs habitués à gérer la pression.
Yann STERNIS
Le modèle espagnol
Luis Aragones (sélectionneur de 2004 à 2008) a mis du temps avant de consolider son groupe, en témoigne l’évolution de sa sélection en 2006 (12 joueurs différents de 2004) et 2008 (10 joueurs). Mais l’éclosion d’une génération d’exception (Casillas, Iniesta, Xavi, Xabi Alonso, Ramos, Puyol, Fabregas, Torres, Villa), presque toujours présente de 2006 à 2014 et autour de laquelle les sélectionneurs ont construit leur noyau dur, les a poussés à restreindre leur groupe. Seuls 8 nouveaux éléments sont apparus en 2010, puis 5 en 2012 et à nouveau 5 en 2014.
Seulement 31 joueurs testés en équipe d'Espagne de 2010 à 2014
Les résultats de la Roja en 2010 et 2012 ont donné raison à la gestion fermée de Vicente Del Bosque, mais la débâcle de 2014 suggère que le sélectionneur aurait dû progressivement régénérer son groupe. Au-delà des évolutions de sa sélection définitive, il n’a que très peu effectué d’essais. L’ancien entraîneur du Real a appelé seulement 16 joueurs non-champions du monde entre 2010 et 2012 (dont trois jeunes, Botia, Dominguez et Montoya emmenés pour faire le nombre lors d’un amical au Chili), et 15 entre 2012 et 2014. En février 2013, Del Bosque avait justifié cette prudence par la difficulté des matches de qualification pour le Mondial 2014 (Finlande le 22 mars et France le 26).Vicente Del Bosque n'a effectué que très peu d'essais, comptant sur les cadres comme Xavi. (L'Equipe)
Löw a beaucoup tenté
D’autres sélectionneurs ont fait preuve de beaucoup moins de retenue. À la recherche d’un groupe homogène, Didier Deschamps a convoqué entre 2012 et 2014 26 joueurs qui n’ont finalement pas été convoqués au Mondial 2014. Même s’il avait déjà constitué une colonne vertébrale, Joachim Löw a sélectionné sur cette même période 35 joueurs finalement non-retenus pour le Mondial. Un chiffre qui peut toutefois être nuancé. Pléthore de cadres allemands (notamment ceux de Dortmund) ont été blessés durant cette période, et Löw a profité d’une tournée aux Etats-Unis en mai 2013 pour appeler neuf novices qui n’ont, ensuite, plus porté le maillot de la Nationalmannschaft.Le contre-exemple brésilien
Le contre-exemple du Brésil de Luiz Felipe Scolari, qui préparait comme les Bleus actuels une compétition à domicile, est intéressant. Revenu à la tête de la sélection en novembre 2012, l’ancien entraîneur de Chelsea avait moins de deux ans pour façonner une équipe capable de remporter le titre mondial à l’été 2014. «Il y a beaucoup de nouveaux joueurs capables de jouer pour la Seleçao d'une année ou sur l'autre, expliquait-il lors de son intronisation. La Coupe des confédérations (été 2013) nous donnera des indications sur des changements tactiques à apporter, sur des joueurs s'il faut les changer.»
De fait, Scolari a procédé par étapes. Le tacticien a d’abord mis de côté les anciens cadres (seuls Julio César, Dani Alves, Thiago Silva et Ramires ont disputé le Mondial 2010 et 2014) et a énormément essayé de joueurs. Puis il a dessiné une sélection lors de la Coupe des confédérations (tournoi remporté) qu’il a peu retouchée (8 changements avec sa sélection du Mondial). De fait, son groupe a abordé la Coupe du monde avec des automatismes et un vécu commun, même récent. Mais la Seleçao a également manqué de fraîcheur, de ressort, voire d’expérience et de concurrence sur certains postes, comme celui d’avant-centre. Ce bilan pose la question de la mise à l’écart rapide et définitive de Ronaldinho, Kaka ou Pato, des joueurs habitués à gérer la pression.
Privilégier l'esprit de groupe au talent
Avant l’Euro 1996, Aimé Jacquet avait montré qu'il savait également trancher en éloignant Éric Cantona et David Ginola de sa sélection. Un choix payant pour la bande à Zidane. Aragones aussi avait écarté Raul avant l’Euro 2008 pour laisser s’épanouir sa nouvelle génération, et notamment ses attaquants Villa et Torres. Didier Deschamps en a déjà fait de même, privilégiant l’esprit de groupe à une individualité, aussi talentueuse et performante qu’elle soit (Samir Nasri).Yann STERNIS
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Re: EQUIPE DE FRANCE
Çaprendvraiment tournure
MATCH AMICAL Les Bleus, dont le collectif continue de grandir, ont battu le Portugal grâceàdes buts de Benzema et Pogba
MATCH AMICAL Les Bleus, dont le collectif continue de grandir, ont battu le Portugal grâceàdes buts de Benzema et Pogba
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Re: EQUIPE DE FRANCE
Les Bleus confirment leur embellie
Par Teddy Vadeevaloo, 11-10-2014
- Reuters
L’équipe de France s’est imposée face au Portugal en amical, au Stade de France (2-1). Les Bleus poursuivent sur leur lancée après la victoire contre l’Espagne (1-0) et le nul en Serbie (1-1) il y a un mois.
France-Portugal 2-1
France : Benzema (3e), Pogba (69e)
Portugal : Quaresma (77e sp)
Les Bleus s’affirment. Dans leur préparation à l’Euro que la France organise dans deux ans, les Tricolores maintiennent leur bonne dynamique. Après avoir disposé de l’Espagne (1-0), et réalisé un nul plus laborieux en Serbie (1-1), la bande à Deschamps a battu le Portugal au terme d’une rencontre bien maîtrisée (2-1). Hormis une fin de match difficile par manque de ressources physiques, les Français ont encore affiché un visage cohérent face à des Portugais en reconstruction pour le premier match du nouveau sélectionneur Fernando Santos. Il faut dire que les Bleus se sont facilités la tâche en ouvrant rapidement la marque suite à un bon mouvement côté gauche entre Matuidi, Valbuena et Griezmann. Ce dernier renversait le jeu vers Sagna, dont la frappe était mal repoussée par Rui Patricio. En embuscade, Benzema pouvait inscrire son 25e but en sélection (1-0, 3e).
Une entame parfaite qui connaissait certains prolongements tant la maîtrise était bleue. Face à un Portugal seulement dangereux sur une tête de Ronaldo bien repoussée par Mandanda après la pause (52e), les Tricolores alliaient sérieux derrière et créativité devant. Et parvenaient à réaliser le break sur une action amorcée par Evra, relayée par Benzema, et conclue par Pogba, d’une frappe bien placée (2-0, 69e). Buteur, le Turinois provoquait ensuite un penalty transformé par Quaresma (2-1, 77e). Une réaction cependant trop tardive pour des Portugais globalement limités. La confiance continue d’être au beau fixe pour les Bleus...
Les joueurs du match
Seul leader offensif des Bleus depuis le départ à la retraite de Franck Ribéry, Karim Benzema doit prendre ses responsabilités. Face au Portugal, il a en tout cas réalisé un match plein avec un but et une passe décisive. Le Real est bien représenté puisqueRaphaël Varane s’est montré impérial en défense centrale. Toujours bien placé, l’ancien Lensois a réalisé des interventions tranchantes face à son compère de club, Cristiano Ronaldo.
On n’a pas aimé
Promu titulaire avec les absences de Mamadou Sakho et Laurent Koscielny, Eliaquim Mangala n’a pas semblé toujours serein pour accompagner Varane. Puissant mais maladroit dans ses relances, le défenseur le plus cher de l’histoire (54 millions d’euros) va devoir prouver un peu plus pour gagner sa place. Côté portugais, Cristiano Ronaldoen a gardé sous le pied, à trois jours d’un déplacement important pour sa sélection au Danemark.
Par Teddy Vadeevaloo, 11-10-2014
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- Reuters
L’équipe de France s’est imposée face au Portugal en amical, au Stade de France (2-1). Les Bleus poursuivent sur leur lancée après la victoire contre l’Espagne (1-0) et le nul en Serbie (1-1) il y a un mois.
France-Portugal 2-1
France : Benzema (3e), Pogba (69e)
Portugal : Quaresma (77e sp)
Les Bleus s’affirment. Dans leur préparation à l’Euro que la France organise dans deux ans, les Tricolores maintiennent leur bonne dynamique. Après avoir disposé de l’Espagne (1-0), et réalisé un nul plus laborieux en Serbie (1-1), la bande à Deschamps a battu le Portugal au terme d’une rencontre bien maîtrisée (2-1). Hormis une fin de match difficile par manque de ressources physiques, les Français ont encore affiché un visage cohérent face à des Portugais en reconstruction pour le premier match du nouveau sélectionneur Fernando Santos. Il faut dire que les Bleus se sont facilités la tâche en ouvrant rapidement la marque suite à un bon mouvement côté gauche entre Matuidi, Valbuena et Griezmann. Ce dernier renversait le jeu vers Sagna, dont la frappe était mal repoussée par Rui Patricio. En embuscade, Benzema pouvait inscrire son 25e but en sélection (1-0, 3e).
Une entame parfaite qui connaissait certains prolongements tant la maîtrise était bleue. Face à un Portugal seulement dangereux sur une tête de Ronaldo bien repoussée par Mandanda après la pause (52e), les Tricolores alliaient sérieux derrière et créativité devant. Et parvenaient à réaliser le break sur une action amorcée par Evra, relayée par Benzema, et conclue par Pogba, d’une frappe bien placée (2-0, 69e). Buteur, le Turinois provoquait ensuite un penalty transformé par Quaresma (2-1, 77e). Une réaction cependant trop tardive pour des Portugais globalement limités. La confiance continue d’être au beau fixe pour les Bleus...
Les joueurs du match
Seul leader offensif des Bleus depuis le départ à la retraite de Franck Ribéry, Karim Benzema doit prendre ses responsabilités. Face au Portugal, il a en tout cas réalisé un match plein avec un but et une passe décisive. Le Real est bien représenté puisqueRaphaël Varane s’est montré impérial en défense centrale. Toujours bien placé, l’ancien Lensois a réalisé des interventions tranchantes face à son compère de club, Cristiano Ronaldo.
On n’a pas aimé
Promu titulaire avec les absences de Mamadou Sakho et Laurent Koscielny, Eliaquim Mangala n’a pas semblé toujours serein pour accompagner Varane. Puissant mais maladroit dans ses relances, le défenseur le plus cher de l’histoire (54 millions d’euros) va devoir prouver un peu plus pour gagner sa place. Côté portugais, Cristiano Ronaldoen a gardé sous le pied, à trois jours d’un déplacement important pour sa sélection au Danemark.
aladin- Messages : 115038
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Re: EQUIPE DE FRANCE
[size=49]France - Portugal (2-1) : les Bleus en maîtres de gala[/size]
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Publié le 12/10/2014 à 06h00 , modifié le 12/10/2014 à 07h57 par
Frédéric Laharie
PHOTO AFP
[size=73]C[/size]
ette victoire ne comptera pour rien d'autre que pour le titre officieux de champion d'Europe des matchs amicaux. Mais ce succès, le neuvième consécutif contre le Portugal depuis 1975, va poser une pierre de plus sur la route qui mène les Bleus jusqu'à l'Euro 2016 (1).
[/size][/size]
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S'ils continuent sur ce rythme, ces deux ans sans autre enjeu que se préparer à remporter une troisième compétition organisée à domicile ne vont pas paraître si long que cela. Hier soir, l'équipe de France n'a pas été parfaite, loin de là. Elle a été menacée jusqu'au bout par une Seleçao qui n'était pas venue pour rigoler, à trois jours d'un déplacement déjà crucial au Danemark, après son faux pas initial contre l'Albanie.
L'équipe de Blaise Matuidi, capitaine du soir, a souffert jusqu'à la dernière minute. Mais, dans ce match plein de vie et de bonnes intentions, elle a tenu et elle a maintenu bien vivante la flamme allumée un soir de novembre 2013, dans ce même Stade de France, en barrage retour de qualification au Mondial contre l'Ukraine.
Didier Deschamps avait demandé de soigner les centres, la veille lors de son point presse ? Le sélectionneur français a été parfaitement entendu puisque les deux buts du soir ont été inscrits sur des décalages venus du côté gauche.
Le Basque a aussi pu constater le rôle prépondérant tenu par Karim Benzema, buteur un an jour pour jour après avoir dégrippé la machine contre l'Australie au Parc des Princes, et vainqueur symbolique du duel à distance avec son coéquipier du Real Madrid Cristiano Ronaldo (lire en page suivante). Le leader offensif des Bleus a ajouté une passe décisive déliée - lointaine cousine de celle de Pelé en finale de la Coupe du Monde 1970 - sur le but de Paul Pogba.
Que faut-il retenir d'autre de la part des Français ? Qu'ils ont attaqué ce match pied au plancher, imposant un pressing très haut qu'a dû apprécier l'entraîneur marseillais Marcelo Bielsa présent dans les tribunes du Stade de France.
À cette envie de mordre dans la rencontre, ils ont ajouté une excellente animation sur les côtés qui ont créé de véritables brèches dans le premier quart d'heure.
Idéalement lancés par le but précoce (3e) de Benzema, ils ont laissé le jeu aux Portugais par la suite, dans le costume d'équipe de contres qui leur va bien. Sauf qu'en face, les coéquipiers de Cristiano Ronaldo n'avaient visiblement pas décidé d'en garder sous la semelle avant le déplacement à Copenhague.
L'ironie de cette rencontre a voulu que le Portugal ait réduit l'écart (pénalty de Quaresma, 77e) - le premier but encaissé au Stade de France par les Bleus depuis mars 2013 contre l'Espagne (1-1) - quelques secondes seulement après la sortie de sa star mondiale qui aura tout tenté hier soir. Mais quand ça ne veut pas...
(1) Qualifiée d'office, la France participe au Groupe I des éliminatoires sans que ses résultats soient pris en compte.
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Publié le 12/10/2014 à 06h00 , modifié le 12/10/2014 à 07h57 par
Frédéric Laharie
[size=23]Par Karim Benzema, buteur et passeur décisif, les Bleus ont conquis une victoire de prestige hier soir face à des Portugais dangereux jusqu’au bout.
Un centre en retrait de Griezmann est à l’origine de l’ouverture du score des Bleus dès la 3e minute hier soir, face au Portugal.[size=16]© PHOTOPHOTO AFP
[size=73]C[/size]
ette victoire ne comptera pour rien d'autre que pour le titre officieux de champion d'Europe des matchs amicaux. Mais ce succès, le neuvième consécutif contre le Portugal depuis 1975, va poser une pierre de plus sur la route qui mène les Bleus jusqu'à l'Euro 2016 (1).
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S'ils continuent sur ce rythme, ces deux ans sans autre enjeu que se préparer à remporter une troisième compétition organisée à domicile ne vont pas paraître si long que cela. Hier soir, l'équipe de France n'a pas été parfaite, loin de là. Elle a été menacée jusqu'au bout par une Seleçao qui n'était pas venue pour rigoler, à trois jours d'un déplacement déjà crucial au Danemark, après son faux pas initial contre l'Albanie.
L'équipe de Blaise Matuidi, capitaine du soir, a souffert jusqu'à la dernière minute. Mais, dans ce match plein de vie et de bonnes intentions, elle a tenu et elle a maintenu bien vivante la flamme allumée un soir de novembre 2013, dans ce même Stade de France, en barrage retour de qualification au Mondial contre l'Ukraine.
Didier Deschamps avait demandé de soigner les centres, la veille lors de son point presse ? Le sélectionneur français a été parfaitement entendu puisque les deux buts du soir ont été inscrits sur des décalages venus du côté gauche.
Le Basque a aussi pu constater le rôle prépondérant tenu par Karim Benzema, buteur un an jour pour jour après avoir dégrippé la machine contre l'Australie au Parc des Princes, et vainqueur symbolique du duel à distance avec son coéquipier du Real Madrid Cristiano Ronaldo (lire en page suivante). Le leader offensif des Bleus a ajouté une passe décisive déliée - lointaine cousine de celle de Pelé en finale de la Coupe du Monde 1970 - sur le but de Paul Pogba.
[size=33]Pogba le symbole[/size]
Un Pogba impliqué sur quatre des sept derniers buts français mais qui a résumé hier soir tout le chemin que la nouvelle génération française doit encore accomplir pour tutoyer durablement le gratin européen. Ses sucreries techniques ont failli avoir un goût acidulé pour son équipe, mais il a pu compter à chaque fois sur la vigilance de Raphaël Varane, véritable chef d'une défense bleue qui a su tenir le score jusqu'au bout.Que faut-il retenir d'autre de la part des Français ? Qu'ils ont attaqué ce match pied au plancher, imposant un pressing très haut qu'a dû apprécier l'entraîneur marseillais Marcelo Bielsa présent dans les tribunes du Stade de France.
À cette envie de mordre dans la rencontre, ils ont ajouté une excellente animation sur les côtés qui ont créé de véritables brèches dans le premier quart d'heure.
Idéalement lancés par le but précoce (3e) de Benzema, ils ont laissé le jeu aux Portugais par la suite, dans le costume d'équipe de contres qui leur va bien. Sauf qu'en face, les coéquipiers de Cristiano Ronaldo n'avaient visiblement pas décidé d'en garder sous la semelle avant le déplacement à Copenhague.
[size=33]Ronaldo a tout tenté[/size]
S'il faut deux équipes pour faire un bon match, alors la Seleçao a parfaitement tenu son rôle. Pour la première de Fernando Santos sur le banc, elle a poussé toutes ses attaques jusqu'au bout. Il a fallu toute la solidarité qui caractérise les Bleus depuis bientôt onze mois, et le talent de Steve Mandanda auteur d'un arrêt de grande classe face à Cristiano Ronaldo (52e).L'ironie de cette rencontre a voulu que le Portugal ait réduit l'écart (pénalty de Quaresma, 77e) - le premier but encaissé au Stade de France par les Bleus depuis mars 2013 contre l'Espagne (1-1) - quelques secondes seulement après la sortie de sa star mondiale qui aura tout tenté hier soir. Mais quand ça ne veut pas...
(1) Qualifiée d'office, la France participe au Groupe I des éliminatoires sans que ses résultats soient pris en compte.
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Re: EQUIPE DE FRANCE
Pas fini de grandir
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Publié le 13/10/2014 à 06h00 par
frédéric laharie
PHOTO AFP
frédéric laharie f.laharie@sudouest.fr C'est le propre des belles promesses de susciter les plus grandes exigences. Un mois après l'Espagne (1-0), le deuxième succès de prestige, conquis de belle lutte contre le Portugal (2-1) samedi soir au Stade de France dans un match vivant et séduisant malgré l'absence d'enjeu, en dit finalement aussi long sur le chemin accompli par les Bleus de Didier Deschamps depuis onze mois que sur la route encore à parcourir pendant les vingt à venir jusqu'à l'Euro 2016 à domicile (1). On pourrait s'arrêter, et même s'extasier, sur cette vague qui les porte depuis ce fameux 19 novembre contre l'Ukraine (3-0 après la défaite 2-0 de l'aller à Kiev), définitivement l'acte de naissance de cette équipe de France. En moins d'un an, en passant par un baptême du feu réussi...
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Publié le 13/10/2014 à 06h00 par
frédéric laharie
Le plus intéressant dans la bonne série actuelle des Bleus, confirmée par la victoire de samedi contre le Portugal (2-1), c’est l’importante marge de progression jusqu’à l’Euro 2016.
Impressionnant face à son coéquipier du Real Cristiano Ronaldo, Raphaël Varane a encore progressé.© PHOTOPHOTO AFP
frédéric laharie f.laharie@sudouest.fr C'est le propre des belles promesses de susciter les plus grandes exigences. Un mois après l'Espagne (1-0), le deuxième succès de prestige, conquis de belle lutte contre le Portugal (2-1) samedi soir au Stade de France dans un match vivant et séduisant malgré l'absence d'enjeu, en dit finalement aussi long sur le chemin accompli par les Bleus de Didier Deschamps depuis onze mois que sur la route encore à parcourir pendant les vingt à venir jusqu'à l'Euro 2016 à domicile (1). On pourrait s'arrêter, et même s'extasier, sur cette vague qui les porte depuis ce fameux 19 novembre contre l'Ukraine (3-0 après la défaite 2-0 de l'aller à Kiev), définitivement l'acte de naissance de cette équipe de France. En moins d'un an, en passant par un baptême du feu réussi...
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Re: EQUIPE DE FRANCE
rance - Portugal (2-1) : les Bleus en maîtres de gala
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Publié le 12/10/2014 à 06h00 , modifié le 12/10/2014 à 07h57 par
Frédéric Laharie
PHOTO AFP
C
ette victoire ne comptera pour rien d'autre que pour le titre officieux de champion d'Europe des matchs amicaux. Mais ce succès, le neuvième consécutif contre le Portugal depuis 1975, va poser une pierre de plus sur la route qui mène les Bleus jusqu'à l'Euro 2016 (1). S'ils continuent sur ce rythme, ces deux ans sans autre enjeu que se préparer à remporter une troisième compétition organisée à domicile ne vont pas paraître si long que cela. Hier soir, l'équipe de France n'a pas été parfaite, loin de là. Elle a été menacée jusqu'au bout par une Seleçao qui n'était pas venue pour rigoler, à trois jours d'un déplacement déjà crucial au Danemark, après son faux pas initial contre l'Albanie. L'équipe de Blaise Matuidi, capitaine du soir, a souffert jusqu'à la...
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Publié le 12/10/2014 à 06h00 , modifié le 12/10/2014 à 07h57 par
Frédéric Laharie
Par Karim Benzema, buteur et passeur décisif, les Bleus ont conquis une victoire de prestige hier soir face à des Portugais dangereux jusqu’au bout.
Un centre en retrait de Griezmann est à l’origine de l’ouverture du score des Bleus dès la 3e minute hier soir, face au Portugal.© PHOTOPHOTO AFP
C
ette victoire ne comptera pour rien d'autre que pour le titre officieux de champion d'Europe des matchs amicaux. Mais ce succès, le neuvième consécutif contre le Portugal depuis 1975, va poser une pierre de plus sur la route qui mène les Bleus jusqu'à l'Euro 2016 (1). S'ils continuent sur ce rythme, ces deux ans sans autre enjeu que se préparer à remporter une troisième compétition organisée à domicile ne vont pas paraître si long que cela. Hier soir, l'équipe de France n'a pas été parfaite, loin de là. Elle a été menacée jusqu'au bout par une Seleçao qui n'était pas venue pour rigoler, à trois jours d'un déplacement déjà crucial au Danemark, après son faux pas initial contre l'Albanie. L'équipe de Blaise Matuidi, capitaine du soir, a souffert jusqu'à la...
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Re: EQUIPE DE FRANCE
[size=30]Les Bleus en plein rêve[/size]
13/10/2014 05:38
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Paul Pogba, au côté de Patrice Evra, continue d'impressionner sous la tunique bleue. - (AFP)
Des succès de prestige, la prise de pouvoir du duo Pogba-Varane et un Benzema conquérant : la France prépare au mieux l’Euro.
[size]
Hors normes. Le mot a été lâché, samedi, par Didier Deschamps au sujet de Paul Pogba et de Raphaël Varane, encore irrésistibles contre le Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1). A 21 ans, les deux joueurs pourraient faire figure d'espoirs, mais par leur niveau de jeu et leur aisance technique et physique, ils incarnent aujourd'hui beaucoup plus que cela.
Pogba, auteur du deuxième but, mais fautif sur le penalty portugais, doit encore apprendre à simplifier son jeu. Mais ce que réalise le jeune milieu de terrain à son âge reste tout simplement prodigieux. Champion du monde des moins de 20 ans en 2013, avec le titre de meilleur joueur, élu meilleur jeune du Mondial 2014, Pogba s'est en plus imposé à la Juventus de Turin. Et ses statistiques (5 buts en 19 sélections) sont d'ores et déjà impressionnantes pour un milieu de terrain.
Six cents jours avant l'Euro 2016
Raphaël Varane, autre fleuron de la génération 1993, connaît lui aussi une ascension fulgurante. La manière dont il a muselé l'attaque portugaise et un certain Cristiano Ronaldo démontre que les Bleus tiennent en lui le patron incontesté de leur défense.« Il a une assurance, une confiance, il va vite, sait comment se placer et il est intelligent », a résumé Deschamps après la rencontre face au Portugal. Avec un but et une passe décisive, Karim Benzema a été le détonateur des Bleus face aux Portugais. L'absence de concurrence et la confiance maintes fois réitérée de Deschamps à son égard lui font visiblement un bien fou. En inscrivant son 25e but en 74 sélections, le buteur du Real Madrid a envoyé un signal fort à ses concurrents. Gignac, Lacazette, Ben Yedder ou encore Rémy devront batailler pour gagner leur place. Mais il reste près de six cents jours avant le début du championnat d'Europe et la France a encore du travail pour aborder le tournoi dans la peau du principal prétendant au titre. Les deux succès contre l'Espagne (1-0) et le Portugal (2-1), lors de matchs sans enjeu, à domicile et sur des scores étriqués, n'autorisent pas encore les Bleus à s'enflammer.« On peut toujours progresser », a ainsi lancé le perfectionniste Deschamps, qui a remarqué « quelques pertes de balles » fâcheuses. Mais le sélectionneur a aussi vu une nouvelle facette de sa formation, capable d'effectuer « des attaques placées » et de ne plus se contenter d'opérer seulement sur des contres rapides. Son 4-4-2 en losange avec son traditionnel milieu Cabaye-Pogba-Matuidi, et un Mathieu Valbuena placé juste derrière les attaquants, enrichit également la panoplie tactique des Bleus, pour l'instant parfaitement lancés vers cet Euro 2016 organisé à domicile.
la phrase
« Si vous échangez les deux avants-centres des deux équipes, ce n'est pas le même résultat. »
Didier Deschamps, a tenu à saluer la performance de l'attaquant des Bleus Karim Benzema, après le succès probant de l'équipe de France contre le Portugal (2-1). Auteur d'un but et d'une passe décisive, le buteur du Real Madrid s'est montré particulièrement à son avantage. Aligné à la pointe de l'attaque portugaise aux côtés de Ronaldo, Danny, l'attaquant du Zénith Saint-Pétersbourg, s'est lui montré totalement transparent.[/size]
13/10/2014 05:38
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Paul Pogba, au côté de Patrice Evra, continue d'impressionner sous la tunique bleue. - (AFP)
Des succès de prestige, la prise de pouvoir du duo Pogba-Varane et un Benzema conquérant : la France prépare au mieux l’Euro.
En Bleu, Varane tutoie l'excellence |
Hors normes. Le mot a été lâché, samedi, par Didier Deschamps au sujet de Paul Pogba et de Raphaël Varane, encore irrésistibles contre le Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1). A 21 ans, les deux joueurs pourraient faire figure d'espoirs, mais par leur niveau de jeu et leur aisance technique et physique, ils incarnent aujourd'hui beaucoup plus que cela.
Pogba, auteur du deuxième but, mais fautif sur le penalty portugais, doit encore apprendre à simplifier son jeu. Mais ce que réalise le jeune milieu de terrain à son âge reste tout simplement prodigieux. Champion du monde des moins de 20 ans en 2013, avec le titre de meilleur joueur, élu meilleur jeune du Mondial 2014, Pogba s'est en plus imposé à la Juventus de Turin. Et ses statistiques (5 buts en 19 sélections) sont d'ores et déjà impressionnantes pour un milieu de terrain.
Six cents jours avant l'Euro 2016
Raphaël Varane, autre fleuron de la génération 1993, connaît lui aussi une ascension fulgurante. La manière dont il a muselé l'attaque portugaise et un certain Cristiano Ronaldo démontre que les Bleus tiennent en lui le patron incontesté de leur défense.« Il a une assurance, une confiance, il va vite, sait comment se placer et il est intelligent », a résumé Deschamps après la rencontre face au Portugal. Avec un but et une passe décisive, Karim Benzema a été le détonateur des Bleus face aux Portugais. L'absence de concurrence et la confiance maintes fois réitérée de Deschamps à son égard lui font visiblement un bien fou. En inscrivant son 25e but en 74 sélections, le buteur du Real Madrid a envoyé un signal fort à ses concurrents. Gignac, Lacazette, Ben Yedder ou encore Rémy devront batailler pour gagner leur place. Mais il reste près de six cents jours avant le début du championnat d'Europe et la France a encore du travail pour aborder le tournoi dans la peau du principal prétendant au titre. Les deux succès contre l'Espagne (1-0) et le Portugal (2-1), lors de matchs sans enjeu, à domicile et sur des scores étriqués, n'autorisent pas encore les Bleus à s'enflammer.« On peut toujours progresser », a ainsi lancé le perfectionniste Deschamps, qui a remarqué « quelques pertes de balles » fâcheuses. Mais le sélectionneur a aussi vu une nouvelle facette de sa formation, capable d'effectuer « des attaques placées » et de ne plus se contenter d'opérer seulement sur des contres rapides. Son 4-4-2 en losange avec son traditionnel milieu Cabaye-Pogba-Matuidi, et un Mathieu Valbuena placé juste derrière les attaquants, enrichit également la panoplie tactique des Bleus, pour l'instant parfaitement lancés vers cet Euro 2016 organisé à domicile.
la phrase
« Si vous échangez les deux avants-centres des deux équipes, ce n'est pas le même résultat. »
Didier Deschamps, a tenu à saluer la performance de l'attaquant des Bleus Karim Benzema, après le succès probant de l'équipe de France contre le Portugal (2-1). Auteur d'un but et d'une passe décisive, le buteur du Real Madrid s'est montré particulièrement à son avantage. Aligné à la pointe de l'attaque portugaise aux côtés de Ronaldo, Danny, l'attaquant du Zénith Saint-Pétersbourg, s'est lui montré totalement transparent.[/size]
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Re: EQUIPE DE FRANCE
Les réservistes de sortie
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Publié le 14/10/2014 à 06h00
PHOTO AFP
A
près le succès de prestige récolté face au Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1), samedi au Stade de France, les Bleus retournent à l'ordinaire et retrouvent un adversaire bien plus modeste, imposé par le tirage au sort de la phase qualificative du Championnat d'Europe 2016 (les résultats de la France, placée dans le groupe I, ne sont pas pris en compte). Cette fois-ci, il n'y aura pas de superstar à l'horizon et quasiment aucun danger, l'atout n° 1 des Arméniens, l'attaquant du Borussia Dortmund Henrikh Mkhitaryan, étant forfait sur blessure. L'occasion rêvée pour le sélectionneur d'effectuer une petite revue de ses troupes et de donner du temps de jeu à tout son...
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Publié le 14/10/2014 à 06h00
Trois jours après leur victoire face au Portugal (2-1), les Bleus se rendent ce soir (18 heures) à Erevan où Didier Deschamps devrait offrir du temps de jeu à ses remplaçants.
André-Pierre Gignac devrait être titularisé ce soir à Erevan.© PHOTOPHOTO AFP
A
près le succès de prestige récolté face au Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1), samedi au Stade de France, les Bleus retournent à l'ordinaire et retrouvent un adversaire bien plus modeste, imposé par le tirage au sort de la phase qualificative du Championnat d'Europe 2016 (les résultats de la France, placée dans le groupe I, ne sont pas pris en compte). Cette fois-ci, il n'y aura pas de superstar à l'horizon et quasiment aucun danger, l'atout n° 1 des Arméniens, l'attaquant du Borussia Dortmund Henrikh Mkhitaryan, étant forfait sur blessure. L'occasion rêvée pour le sélectionneur d'effectuer une petite revue de ses troupes et de donner du temps de jeu à tout son...
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Re: EQUIPE DE FRANCE
[size=36]Des Bleus en démonstration en Arménie[/size]
Publié le 15/10/2014 à 03:47, Mis à jour le 15/10/2014 à 08:00
Et 1, et 2 et 3-0 ! Les hommes de Didier Deschamps n'ont fait que répéter leurs classiques hier soir et auraient même pu faire mieux avec un peu plus de justesse.
Victoire nette, sans bavure et surtout sans fioriture. Les remplaçants de l'équipe de France avaient la parole hier soir, en Arménie, et ils se sont bien fait entendre, même si le sentiment de Didier Deschamps à la mi-temps – «peut mieux faire» – s'est confirmé à la fin malgré les 3 buts inscrits.
Avant le coup d'envoi, tout le monde s'accordait à dire que la victoire ne serait qu'une formalité pour les Bleus. D'abord car les forces vives de l'équipe de France semblaient, sur le papier, bien supérieures, mais aussi parce que l'Arménie avait laissé beaucoup d'énergie ce week-end en obtenant le nul (1-1) contre la Serbie en vue des qualifications pour l'Euro-2016.
Le premier quart d'heure a failli contredire cette impression d'infériorité tant les Arméniens ont mis du rythme. Gênés, les Français ont été un peu brouillons dans les toutes premières minutes à l'image de Sissoko, coupable d'une vilaine semelle sur Sarkisov et immédiatement averti (4). Piqués au vif, ils n'ont pas mis longtemps à réagir. Bien servi par Gignac, Rémy ouvre le score de près face à Berezovski, gardien quarantenaire de l'Arménie (. Leur complicité technique lorsqu'ils étaient tous les deux à l'OM n'ayant toujours pas disparu.
Au retour des vestiaires, les Arméniens se montrent plus entreprenants. Sur une passe en retrait de Sarkisov, Mkrtchian tente sa chance des 20m mais Mandanda – impeccable en première période – capte le ballon en deux temps (47). Puis les Bleus reprennent leur petit rythme de croisière, bien aidés par l'entrée de Pogba à la mi-temps. Le Turinois de 21 ans reprend les rênes du milieu. Ses qualités techniques parlent dès la 55e minute où il obtient un penalty, transformé par Gignac pour son 5e but en 19 sélections.
Puis Deschamps procède aux changements prévus. Griezmann remplace Sissoko (60) et ne met pas longtemps à s'illustrer. Et alors que les Arméniens commencent à montrer d'énormes signes de fatigue, Gignac en profite pour servir l'attaquant de l'Atlético en profondeur. Après un double contact, Griezmann solde le score du match (84) : 3-0 ! Les Bleus s'imposent sans forcer en ayant produit le minimum syndical au niveau du jeu mais en gardant à l'esprit «cette idée directrice» qui plaît tant à Didier Deschamps.
ARMENIE 0 - 3 FRANCE
MT : 0-1. Republican Stadium à Erevan, 10.000 spectateurs.
Arbitre : M. Istvan Kovacs (ROU).
Pour la France : Rémy (, Gignac (55, sp), Griezmann (84).
Arménie : Berezovski (cap.) (Kasparov, 61) - Hovhannisian, Haroyan, Arzoumanian, T. Voskanian, Hajrapetian - Mkrtchian (Aslanian, 90+1), Pizzelli (Karapetian, 82), Iedigarian (Dashian, 58) - Sarkisov (Hambardzumian, 65), Simonian (Hovsepian, 69).
Sélectionneur : Bernard CHALLANDES (SUI).
Avertissement : Voskanian (26, tacle dangereux sur Sissoko).
FRANCE : Mandanda - Jallet, Varane, Mathieu, Digne - Schneiderlin, Matuidi (cap.) (Pogba, mt) - Sissoko (Griezmann, 60), Payet (Cabella, 60), Rémy (Valbuena, 73) - Gignac (Benzema, 87).
Sélectionneur : Didier DESCHAMPS.
Avertissements : Sissoko (4, semelle sur Sarkisov), Jallet (78, faute involontaire sur Dashian).
Les buts
8e : Loïc Rémy ouvre le score à bout portant du pied droit sur un centre à ras de terre de Gignac. Le Marseillais a profité d'une longue ouverture de Mathieu sur la droite pour contrôler et servir l'attaquant de Chelsea au millimètre près aux 6m (0-1).
55e : Gignac double la mise sur penalty en réalisant le contre-pied parfait face à Berezovski. Le penalty a été obtenu par Pogba après un magnifique dribble dans la surface qui lui a permis d'éliminer deux défenseurs arméniens avant de tomber après un contact avec Haroyan (0-2).
84e : Griezmann inscrit le 3e but. Après une deuxième passe décisive de Gignac, l'attaquant de l'Atlético Madrid élimine Kasparov avec un super-double contact qu'il conclut par une frappe du pointu pied gauche (0-3).
Publié le 15/10/2014 à 03:47, Mis à jour le 15/10/2014 à 08:00
Football - Équipe de France. Match amical. Hier soir, les Tricolores n'ont pas eu vraiment besoin de s'employer pour s'imposer largement en Arménie
Pour son retour en tant que titulaire, André-Pierre Gignac a été décisif. Il est impliqué sur les trois buts avec deux passes (pour Rémy et Griezmann) et un penalty transformé pour son 5e but en 19 sélections / Photo AFP
Et 1, et 2 et 3-0 ! Les hommes de Didier Deschamps n'ont fait que répéter leurs classiques hier soir et auraient même pu faire mieux avec un peu plus de justesse.
Victoire nette, sans bavure et surtout sans fioriture. Les remplaçants de l'équipe de France avaient la parole hier soir, en Arménie, et ils se sont bien fait entendre, même si le sentiment de Didier Deschamps à la mi-temps – «peut mieux faire» – s'est confirmé à la fin malgré les 3 buts inscrits.
Avant le coup d'envoi, tout le monde s'accordait à dire que la victoire ne serait qu'une formalité pour les Bleus. D'abord car les forces vives de l'équipe de France semblaient, sur le papier, bien supérieures, mais aussi parce que l'Arménie avait laissé beaucoup d'énergie ce week-end en obtenant le nul (1-1) contre la Serbie en vue des qualifications pour l'Euro-2016.
Le premier quart d'heure a failli contredire cette impression d'infériorité tant les Arméniens ont mis du rythme. Gênés, les Français ont été un peu brouillons dans les toutes premières minutes à l'image de Sissoko, coupable d'une vilaine semelle sur Sarkisov et immédiatement averti (4). Piqués au vif, ils n'ont pas mis longtemps à réagir. Bien servi par Gignac, Rémy ouvre le score de près face à Berezovski, gardien quarantenaire de l'Arménie (. Leur complicité technique lorsqu'ils étaient tous les deux à l'OM n'ayant toujours pas disparu.
Le retour en grâce de Gignac
Le meilleur attaquant de Ligue 1 (9 réalisations) n'avait plus goûté à l'équipe de France depuis près d'un an avant ce rassemblement. Hier, sa hargne a prouvé qu'il était prêt à s'imposer à nouveau sous le maillot bleu. Très actif en attaque, Gignac n'a pas non plus manqué de peps et de justesse à la récupération du ballon, ses interceptions amenant souvent du danger dans la surface arménienne comme celle précédant la 2e occasion et le poteau de... Rémy (20). D'ailleurs, en première période, à part le montant et le but, rien de bien croustillant à se mettre sous la dent, sauf un tir cadré de Gignac, pas inquiétant pour Berezovski (37).Au retour des vestiaires, les Arméniens se montrent plus entreprenants. Sur une passe en retrait de Sarkisov, Mkrtchian tente sa chance des 20m mais Mandanda – impeccable en première période – capte le ballon en deux temps (47). Puis les Bleus reprennent leur petit rythme de croisière, bien aidés par l'entrée de Pogba à la mi-temps. Le Turinois de 21 ans reprend les rênes du milieu. Ses qualités techniques parlent dès la 55e minute où il obtient un penalty, transformé par Gignac pour son 5e but en 19 sélections.
Puis Deschamps procède aux changements prévus. Griezmann remplace Sissoko (60) et ne met pas longtemps à s'illustrer. Et alors que les Arméniens commencent à montrer d'énormes signes de fatigue, Gignac en profite pour servir l'attaquant de l'Atlético en profondeur. Après un double contact, Griezmann solde le score du match (84) : 3-0 ! Les Bleus s'imposent sans forcer en ayant produit le minimum syndical au niveau du jeu mais en gardant à l'esprit «cette idée directrice» qui plaît tant à Didier Deschamps.
ARMENIE 0 - 3 FRANCE
MT : 0-1. Republican Stadium à Erevan, 10.000 spectateurs.
Arbitre : M. Istvan Kovacs (ROU).
Pour la France : Rémy (, Gignac (55, sp), Griezmann (84).
Arménie : Berezovski (cap.) (Kasparov, 61) - Hovhannisian, Haroyan, Arzoumanian, T. Voskanian, Hajrapetian - Mkrtchian (Aslanian, 90+1), Pizzelli (Karapetian, 82), Iedigarian (Dashian, 58) - Sarkisov (Hambardzumian, 65), Simonian (Hovsepian, 69).
Sélectionneur : Bernard CHALLANDES (SUI).
Avertissement : Voskanian (26, tacle dangereux sur Sissoko).
FRANCE : Mandanda - Jallet, Varane, Mathieu, Digne - Schneiderlin, Matuidi (cap.) (Pogba, mt) - Sissoko (Griezmann, 60), Payet (Cabella, 60), Rémy (Valbuena, 73) - Gignac (Benzema, 87).
Sélectionneur : Didier DESCHAMPS.
Avertissements : Sissoko (4, semelle sur Sarkisov), Jallet (78, faute involontaire sur Dashian).
Les buts
8e : Loïc Rémy ouvre le score à bout portant du pied droit sur un centre à ras de terre de Gignac. Le Marseillais a profité d'une longue ouverture de Mathieu sur la droite pour contrôler et servir l'attaquant de Chelsea au millimètre près aux 6m (0-1).
55e : Gignac double la mise sur penalty en réalisant le contre-pied parfait face à Berezovski. Le penalty a été obtenu par Pogba après un magnifique dribble dans la surface qui lui a permis d'éliminer deux défenseurs arméniens avant de tomber après un contact avec Haroyan (0-2).
84e : Griezmann inscrit le 3e but. Après une deuxième passe décisive de Gignac, l'attaquant de l'Atlético Madrid élimine Kasparov avec un super-double contact qu'il conclut par une frappe du pointu pied gauche (0-3).
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Re: EQUIPE DE FRANCE
L'équipe de France domine tranquillement l'Arménie (3-0)
Le 14 octobre à 20h11 | Mis à jour il y a 13 heures
PHOTO/AFP FRANCK FIFE
L'équipe de France a dominé l'Arménie 3-0, mardi en match amical à Erevan, et poursuit sa campagne de préparation à l'Euro-2016 sur une bonne dynamique. Après le succès de prestige récolté face au Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1), samedi au Stade de France, les Bleus, qui se sont présentés avec une équipe fortement remaniée (8 changements par rapport à samedi), ont remporté une large victoire face à un adversaire modeste, 52e nation à la FIFA.
Les deux premiers buteurs, Loïc Rémy (7e) et André-Pierre Gignac (55 s.p), se sont montrés très remuants et déterminés, et ont sans doute marqué des points auprès de leur sélectionneur. Les Arméniens entreprenants et rapides en première mi-temps se sont quant à eux progressivement éteints et ont souffert en fin du match, tandis que Deschamps continuait à faire tourner son effectif.
A la 84e minute, Antoine Griezmann (entré à la 60e) parti dans le dos de la défense arménienne et à la limite du hors jeu, a conclu la large victoire des Bleus. Depuis son élimination en quart de finale de la Coupe du monde, la France reste sur trois victoires (Espagne 1-0, Portugal 2-1 et Arménie 3-0) et un nul (Serbie 1-1).
Le 14 octobre à 20h11 | Mis à jour il y a 13 heures
PHOTO/AFP FRANCK FIFE
L'équipe de France a dominé l'Arménie 3-0, mardi en match amical à Erevan, et poursuit sa campagne de préparation à l'Euro-2016 sur une bonne dynamique. Après le succès de prestige récolté face au Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1), samedi au Stade de France, les Bleus, qui se sont présentés avec une équipe fortement remaniée (8 changements par rapport à samedi), ont remporté une large victoire face à un adversaire modeste, 52e nation à la FIFA.
Les deux premiers buteurs, Loïc Rémy (7e) et André-Pierre Gignac (55 s.p), se sont montrés très remuants et déterminés, et ont sans doute marqué des points auprès de leur sélectionneur. Les Arméniens entreprenants et rapides en première mi-temps se sont quant à eux progressivement éteints et ont souffert en fin du match, tandis que Deschamps continuait à faire tourner son effectif.
A la 84e minute, Antoine Griezmann (entré à la 60e) parti dans le dos de la défense arménienne et à la limite du hors jeu, a conclu la large victoire des Bleus. Depuis son élimination en quart de finale de la Coupe du monde, la France reste sur trois victoires (Espagne 1-0, Portugal 2-1 et Arménie 3-0) et un nul (Serbie 1-1).
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Le 14 octobre à 20h11 | Mis à jour il y a 13 heures
PHOTO/AFP FRANCK FIFE
L'équipe de France a dominé l'Arménie 3-0, mardi en match amical à Erevan, et poursuit sa campagne de préparation à l'Euro-2016 sur une bonne dynamique. Après le succès de prestige récolté face au Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1), samedi au Stade de France, les Bleus, qui se sont présentés avec une équipe fortement remaniée (8 changements par rapport à samedi), ont remporté une large victoire face à un adversaire modeste, 52e nation à la FIFA.
Les deux premiers buteurs, Loïc Rémy (7e) et André-Pierre Gignac (55 s.p), se sont montrés très remuants et déterminés, et ont sans doute marqué des points auprès de leur sélectionneur. Les Arméniens entreprenants et rapides en première mi-temps se sont quant à eux progressivement éteints et ont souffert en fin du match, tandis que Deschamps continuait à faire tourner son effectif.
A la 84e minute, Antoine Griezmann (entré à la 60e) parti dans le dos de la défense arménienne et à la limite du hors jeu, a conclu la large victoire des Bleus. Depuis son élimination en quart de finale de la Coupe du monde, la France reste sur trois victoires (Espagne 1-0, Portugal 2-1 et Arménie 3-0) et un nul (Serbie 1-1).
Le 14 octobre à 20h11 | Mis à jour il y a 13 heures
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L'équipe de France a dominé l'Arménie 3-0, mardi en match amical à Erevan, et poursuit sa campagne de préparation à l'Euro-2016 sur une bonne dynamique. Après le succès de prestige récolté face au Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1), samedi au Stade de France, les Bleus, qui se sont présentés avec une équipe fortement remaniée (8 changements par rapport à samedi), ont remporté une large victoire face à un adversaire modeste, 52e nation à la FIFA.
Les deux premiers buteurs, Loïc Rémy (7e) et André-Pierre Gignac (55 s.p), se sont montrés très remuants et déterminés, et ont sans doute marqué des points auprès de leur sélectionneur. Les Arméniens entreprenants et rapides en première mi-temps se sont quant à eux progressivement éteints et ont souffert en fin du match, tandis que Deschamps continuait à faire tourner son effectif.
A la 84e minute, Antoine Griezmann (entré à la 60e) parti dans le dos de la défense arménienne et à la limite du hors jeu, a conclu la large victoire des Bleus. Depuis son élimination en quart de finale de la Coupe du monde, la France reste sur trois victoires (Espagne 1-0, Portugal 2-1 et Arménie 3-0) et un nul (Serbie 1-1).
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Re: EQUIPE DE FRANCE
L'équipe de France domine tranquillement l'Arménie (3-0)
Le 14 octobre à 20h11 | Mis à jour il y a 13 heures
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L'équipe de France a dominé l'Arménie 3-0, mardi en match amical à Erevan, et poursuit sa campagne de préparation à l'Euro-2016 sur une bonne dynamique. Après le succès de prestige récolté face au Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1), samedi au Stade de France, les Bleus, qui se sont présentés avec une équipe fortement remaniée (8 changements par rapport à samedi), ont remporté une large victoire face à un adversaire modeste, 52e nation à la FIFA.
Les deux premiers buteurs, Loïc Rémy (7e) et André-Pierre Gignac (55 s.p), se sont montrés très remuants et déterminés, et ont sans doute marqué des points auprès de leur sélectionneur. Les Arméniens entreprenants et rapides en première mi-temps se sont quant à eux progressivement éteints et ont souffert en fin du match, tandis que Deschamps continuait à faire tourner son effectif.
A la 84e minute, Antoine Griezmann (entré à la 60e) parti dans le dos de la défense arménienne et à la limite du hors jeu, a conclu la large victoire des Bleus. Depuis son élimination en quart de finale de la Coupe du monde, la France reste sur trois victoires (Espagne 1-0, Portugal 2-1 et Arménie 3-0) et un nul (Serbie 1-1).
Le 14 octobre à 20h11 | Mis à jour il y a 13 heures
PHOTO/AFP FRANCK FIFE
L'équipe de France a dominé l'Arménie 3-0, mardi en match amical à Erevan, et poursuit sa campagne de préparation à l'Euro-2016 sur une bonne dynamique. Après le succès de prestige récolté face au Portugal de Cristiano Ronaldo (2-1), samedi au Stade de France, les Bleus, qui se sont présentés avec une équipe fortement remaniée (8 changements par rapport à samedi), ont remporté une large victoire face à un adversaire modeste, 52e nation à la FIFA.
Les deux premiers buteurs, Loïc Rémy (7e) et André-Pierre Gignac (55 s.p), se sont montrés très remuants et déterminés, et ont sans doute marqué des points auprès de leur sélectionneur. Les Arméniens entreprenants et rapides en première mi-temps se sont quant à eux progressivement éteints et ont souffert en fin du match, tandis que Deschamps continuait à faire tourner son effectif.
A la 84e minute, Antoine Griezmann (entré à la 60e) parti dans le dos de la défense arménienne et à la limite du hors jeu, a conclu la large victoire des Bleus. Depuis son élimination en quart de finale de la Coupe du monde, la France reste sur trois victoires (Espagne 1-0, Portugal 2-1 et Arménie 3-0) et un nul (Serbie 1-1).
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Re: EQUIPE DE FRANCE
Le retour gagnant de Gignac
Par Cyrille Haddouche, 14-10-2014
André-Pierre Gignac, buteur et double passeur décisif pour les Bleus en Arménie - Panoramic
André-Pierre Gignac a saisi sa chance en Arménie en inscrivant un penalty et en délivrant deux passes décisives. Le meilleur buteur de la Ligue 1 a ainsi mis fin à cinq ans d’abstinence en sélection.
Un retour marquant. Pour sa première titularisation en équipe de France depuis une défaite humiliante face à l’Afrique du Sud lors du Mondial 2010, André-Pierre Gignac ne s’est pas loupé. Le meilleur buteur de Ligue 1 (9 buts) a montré que son exceptionnel état de forme en championnat était transposable à l’échelon international. Avec un but et deux passes décisives, l’attaquant marseillais s’est mis en valeur à Erevan.
Reconstitution de ligue dissoute
«Il a été très intéressant dans le jeu. Il est mobile. Il est au top de sa condition physique. Il a fait beaucoup d'efforts, c'est très bien pour lui et l'équipe de France. Il avait peu joué contre le Portugal mais c'était prévu qu'il joue plus ce match-là. Il a confirmé sa grande forme. Il est intéressant avec ses qualités. Il est efficace, c'est ce qu'on demande à un attaquant», l’a félicité Didier Deschamps, convaincu par sa performance pleine tant sur le plan de l’implication que de la réussite offensive.
Très en jambes, Gignac a lancé son match en délivrant une passe décisive à son ancien coéquipier phocéen Loïc Rémy (17e). Cette reconstitution opportune de ligue dissoute permettait aux Bleus d’éteindre promptement les velléités arméniennes. Volontaire dans ses courses et dans son travail de harcèlement des défenseurs adverses, Gignac lançait à nouveau Rémy, qui trouvait le poteau. Ce dernier lui rendait la pareille mais le buteur olympien se heurtait au gardien arménien. La combativité et l’activité de Gignac étaient récompensées au retour des vestiaires lorsqu’il transformait sans trembler un penalty obtenu par Pogba (55e).
Force 5
Ce cinquième but en sélection lui permet de mettre un terme à cinq ans d’abstinence sous le maillot bleu puisque sa dernière réalisation internationale remontait à l’ère Domenech lors d’un match contre l’Autriche (3-1), le 14 octobre 2009 au Stade de France. Très convaincant, il donnait même encore plus d’apprêt à sa prestation en offrant à Antoine Griezmann le troisième but d’une passe létale traversant la défense arménienne.
«Cette victoire est de bon augure pour la suite et la prochaine sélection, a-t-il savouré. Personnellement, ce but et ces deux passes sont une bonne statistique, mais le plus important reste la performance collective. En attaque, la concurrence est féroce. Je ne pense pas avoir particulièrement marqué de points. Mais par rapport à ma dernière sélection en Géorgie (Ndlr : En septembre 2013), où ma timidité m'a joué des tours, j'ai pris mes responsabilités. Je me suis dit que c'était peut-être ma dernière chance. Là, j'ai acquis pas mal d'expérience.» Gignac ne devrait pas attendre plus d’un an avant de retrouver les Bleus, son retour en Arménie en fait une doublure crédible à Karim Benzema alors qu’Olivier Giroud est blessé jusqu’au mois de janvier.
Par Cyrille Haddouche, 14-10-2014
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André-Pierre Gignac, buteur et double passeur décisif pour les Bleus en Arménie - Panoramic
André-Pierre Gignac a saisi sa chance en Arménie en inscrivant un penalty et en délivrant deux passes décisives. Le meilleur buteur de la Ligue 1 a ainsi mis fin à cinq ans d’abstinence en sélection.
Un retour marquant. Pour sa première titularisation en équipe de France depuis une défaite humiliante face à l’Afrique du Sud lors du Mondial 2010, André-Pierre Gignac ne s’est pas loupé. Le meilleur buteur de Ligue 1 (9 buts) a montré que son exceptionnel état de forme en championnat était transposable à l’échelon international. Avec un but et deux passes décisives, l’attaquant marseillais s’est mis en valeur à Erevan.
Reconstitution de ligue dissoute
«Il a été très intéressant dans le jeu. Il est mobile. Il est au top de sa condition physique. Il a fait beaucoup d'efforts, c'est très bien pour lui et l'équipe de France. Il avait peu joué contre le Portugal mais c'était prévu qu'il joue plus ce match-là. Il a confirmé sa grande forme. Il est intéressant avec ses qualités. Il est efficace, c'est ce qu'on demande à un attaquant», l’a félicité Didier Deschamps, convaincu par sa performance pleine tant sur le plan de l’implication que de la réussite offensive.
Très en jambes, Gignac a lancé son match en délivrant une passe décisive à son ancien coéquipier phocéen Loïc Rémy (17e). Cette reconstitution opportune de ligue dissoute permettait aux Bleus d’éteindre promptement les velléités arméniennes. Volontaire dans ses courses et dans son travail de harcèlement des défenseurs adverses, Gignac lançait à nouveau Rémy, qui trouvait le poteau. Ce dernier lui rendait la pareille mais le buteur olympien se heurtait au gardien arménien. La combativité et l’activité de Gignac étaient récompensées au retour des vestiaires lorsqu’il transformait sans trembler un penalty obtenu par Pogba (55e).
Force 5
Ce cinquième but en sélection lui permet de mettre un terme à cinq ans d’abstinence sous le maillot bleu puisque sa dernière réalisation internationale remontait à l’ère Domenech lors d’un match contre l’Autriche (3-1), le 14 octobre 2009 au Stade de France. Très convaincant, il donnait même encore plus d’apprêt à sa prestation en offrant à Antoine Griezmann le troisième but d’une passe létale traversant la défense arménienne.
«Cette victoire est de bon augure pour la suite et la prochaine sélection, a-t-il savouré. Personnellement, ce but et ces deux passes sont une bonne statistique, mais le plus important reste la performance collective. En attaque, la concurrence est féroce. Je ne pense pas avoir particulièrement marqué de points. Mais par rapport à ma dernière sélection en Géorgie (Ndlr : En septembre 2013), où ma timidité m'a joué des tours, j'ai pris mes responsabilités. Je me suis dit que c'était peut-être ma dernière chance. Là, j'ai acquis pas mal d'expérience.» Gignac ne devrait pas attendre plus d’un an avant de retrouver les Bleus, son retour en Arménie en fait une doublure crédible à Karim Benzema alors qu’Olivier Giroud est blessé jusqu’au mois de janvier.
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Re: EQUIPE DE FRANCE
[size=40]Du jamais vu depuis 2003 ![/size]
voir la photo
En inscrivant 3 nouveaux buts mardi soir, à Erevan, lors de sa nette victoire sur l'Arménie (3-0) en amical, l'équipe de France a d'ores et déjà établi avec un total de 32 buts inscrits en 2014 son meilleur bilan offensif sur une année civile depuis... 2003. Cette année-là, les Bleus avaient signé un record absolu avec 40 réalisations. Les joueurs de Didier Deschamps auront l'opportunité de faire mieux encore, et peut-être d'améliorer cette marque, à l'occasion de leurs deux derniers rendez-vous de l'année face à l'Albanie, à Rennes, le 14 novembre (20h45) puis quatre jours plus tard, face à la Suède de Zlatan Ibrahimovic, le 18 novembre (21 heures).
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En inscrivant 3 nouveaux buts mardi soir, à Erevan, lors de sa nette victoire sur l'Arménie (3-0) en amical, l'équipe de France a d'ores et déjà établi avec un total de 32 buts inscrits en 2014 son meilleur bilan offensif sur une année civile depuis... 2003. Cette année-là, les Bleus avaient signé un record absolu avec 40 réalisations. Les joueurs de Didier Deschamps auront l'opportunité de faire mieux encore, et peut-être d'améliorer cette marque, à l'occasion de leurs deux derniers rendez-vous de l'année face à l'Albanie, à Rennes, le 14 novembre (20h45) puis quatre jours plus tard, face à la Suède de Zlatan Ibrahimovic, le 18 novembre (21 heures).
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Re: EQUIPE DE FRANCE
[size=30]Les Bleus ont de l'avenir[/size]
16/10/2014 05:35
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Paul Pogba et Raphaël Varane ont de nouveau brillé. - (AFP)
[size]
Varane et Pogba ont crevé l’écran lors des victoires de la France contre le Portugal (2-1) et en Arménie (3-0), alors que les Marseillais ont marqué des points.
Si les Français ne disputeront pas de match officiel avant 2016, les places seront chères pour disputer l'Euro en France. Les deux derniers matchs amicaux l'ont prouvé. Bilan.
Ils sont intouchables
> Varane : pas forcément titulaire au Real Madrid, il l'est indiscutablement en Bleu et a même hérité du brassard en seconde période en Arménie, à 21 ans… Contre le Portugal, il a été impérial dans tous les compartiments. Un patron.
> Pogba : le joyau des Bleus a un talent hors-norme. Son but contre le Portugal, d'une limpidité insolente, et le penalty provoqué à Erevan après un enchaînement insensé de dribbles, ont donné de la marge aux Bleus.
> Benzema : il a remporté son duel à distance avec le Portugais Ronaldo, en ouvrant le score puis en donnant la passe décisive pour le deuxième but de Pogba. Sa capacité à être un danger constant en fait l'avant-centre incontesté des Bleus, même si, comme il le plaide lui-même, il n'est « pas qu'un buteur ».
Ils en imposent
> Matuidi : il a été éblouissant contre le Portugal. Porté par le brassard qu'il revêtait pour la deuxième fois, il a été un infatigable travailleur et dominé son sujet. Légitimement fatigué, il a été moins en vue en Arménie.
> Evra : à 33 ans, il vit une seconde jeunesse. Contre les Portugais, il a été virevoltant, imposant son physique en défense et pesant offensivement. Il a parfois été trop gourmand, mais le voir à ce niveau est réjouissant.
Ils ont marqué des points
> Mandanda : même si son statut de numéro deux n'a pas été officiellement annoncé par Deschamps, lui se considère comme tel. Sa performance, d'une grande solidité, l'a conforté. En Arménie, il a été du même bois.
> Schneiderlin : à Erevan, il a imposé sa loi dans l'entre-jeu, sa présence physique et son aisance tactique faisant merveille. Sans faire de bruit, le joueur de Southampton se pose comme une alternative crédible à Cabaye.
> Gignac : en l'absence de Giroud, blessé, le Marseillais a réussi son retour, avec un but et deux passes décisives en Arménie. Combatif, il a joué « comme si c'était (sa) dernière chance ». Et s'est affirmé comme un candidat sérieux pour être la doublure de Benzema.
> Griezmann : passé au travers contre l'Espagne, il s'est fait tancer par Deschamps et a retenu la leçon. Face aux Portugais, il a musclé son jeu et proposé de belles choses. Son but plein de vista en Arménie l'a récompensé.
> Rémy : il a été excellent comme rarement contre l'Arménie, avec un but à la clé. Il s'est fait violence pour prouver qu'il savait être bon en tant que titulaire.
Ils doivent faire plus
> Payet : contrairement à Gignac, il n'a pas entièrement confirmé sa forme olympienne. Son début en Arménie a été intéressant, la suite moins.
> Mathieu : en Arménie, ses vingt premières minutes ont été pénibles et auraient pu coûter cher sans la vigilance de Varane. Il doit être plus constant.
Ils ont perdu des points
> Jallet : ses limites ont été manifestes pour son retour, face à des Arméniens qui n'étaient pas des terreurs. Difficile d'imaginer le revoir sans les aléas des indisponibilités de ses concurrents.
> Digne : il a été encore trop timoré en Arménie. Il devra se faire violence pour pérenniser sa place chez les Bleus.
> Mangala : contre le Portugal, ses approximations auraient pu coûter cher. Il lutte plus avec Mathieu pour la quatrième place chez les axiaux qu'avec Sakho ou Koscielny pour la deuxième.
la phrase
« Le football est censé rassembler les gens et notre jeu ne doit pas être mêlé à toute forme de politique. Les scènes à Belgrade étaient inexcusables. »
Michel Platini, président de l'UEFA, a condamné, hier, via Twitter, les incidents qui ont conduit à l'arrêt définitif du match de qualification à l'Euro 2016 Serbie - Albanie, mardi. Les incidents à l'origine de l'interruption ont éclaté lorsque le stade a été survolé par un drone auquel était accroché un drapeau d'une carte de la « Grande Albanie », projet nationaliste visant à regrouper dans un même État les communautés albanaises des Balkans.
L'UEFA a d'ailleurs ouvert des procédures disciplinaires contre les deux fédérations. La Serbie est visée pour jet de fumigènes et projectiles, problème de gestion de spectateurs, envahissement du terrain par des supporters, organisation déficiente et usage de lasers. L'Albanie est visée pour refus de jouer et déploiement d'un drapeau illicite.[/size]
16/10/2014 05:35
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Paul Pogba et Raphaël Varane ont de nouveau brillé. - (AFP)
Les Bleuets peuvent s'en mordre les doigts |
Varane et Pogba ont crevé l’écran lors des victoires de la France contre le Portugal (2-1) et en Arménie (3-0), alors que les Marseillais ont marqué des points.
Si les Français ne disputeront pas de match officiel avant 2016, les places seront chères pour disputer l'Euro en France. Les deux derniers matchs amicaux l'ont prouvé. Bilan.
Ils sont intouchables
> Varane : pas forcément titulaire au Real Madrid, il l'est indiscutablement en Bleu et a même hérité du brassard en seconde période en Arménie, à 21 ans… Contre le Portugal, il a été impérial dans tous les compartiments. Un patron.
> Pogba : le joyau des Bleus a un talent hors-norme. Son but contre le Portugal, d'une limpidité insolente, et le penalty provoqué à Erevan après un enchaînement insensé de dribbles, ont donné de la marge aux Bleus.
> Benzema : il a remporté son duel à distance avec le Portugais Ronaldo, en ouvrant le score puis en donnant la passe décisive pour le deuxième but de Pogba. Sa capacité à être un danger constant en fait l'avant-centre incontesté des Bleus, même si, comme il le plaide lui-même, il n'est « pas qu'un buteur ».
Ils en imposent
> Matuidi : il a été éblouissant contre le Portugal. Porté par le brassard qu'il revêtait pour la deuxième fois, il a été un infatigable travailleur et dominé son sujet. Légitimement fatigué, il a été moins en vue en Arménie.
> Evra : à 33 ans, il vit une seconde jeunesse. Contre les Portugais, il a été virevoltant, imposant son physique en défense et pesant offensivement. Il a parfois été trop gourmand, mais le voir à ce niveau est réjouissant.
Ils ont marqué des points
> Mandanda : même si son statut de numéro deux n'a pas été officiellement annoncé par Deschamps, lui se considère comme tel. Sa performance, d'une grande solidité, l'a conforté. En Arménie, il a été du même bois.
> Schneiderlin : à Erevan, il a imposé sa loi dans l'entre-jeu, sa présence physique et son aisance tactique faisant merveille. Sans faire de bruit, le joueur de Southampton se pose comme une alternative crédible à Cabaye.
> Gignac : en l'absence de Giroud, blessé, le Marseillais a réussi son retour, avec un but et deux passes décisives en Arménie. Combatif, il a joué « comme si c'était (sa) dernière chance ». Et s'est affirmé comme un candidat sérieux pour être la doublure de Benzema.
> Griezmann : passé au travers contre l'Espagne, il s'est fait tancer par Deschamps et a retenu la leçon. Face aux Portugais, il a musclé son jeu et proposé de belles choses. Son but plein de vista en Arménie l'a récompensé.
> Rémy : il a été excellent comme rarement contre l'Arménie, avec un but à la clé. Il s'est fait violence pour prouver qu'il savait être bon en tant que titulaire.
Ils doivent faire plus
> Payet : contrairement à Gignac, il n'a pas entièrement confirmé sa forme olympienne. Son début en Arménie a été intéressant, la suite moins.
> Mathieu : en Arménie, ses vingt premières minutes ont été pénibles et auraient pu coûter cher sans la vigilance de Varane. Il doit être plus constant.
Ils ont perdu des points
> Jallet : ses limites ont été manifestes pour son retour, face à des Arméniens qui n'étaient pas des terreurs. Difficile d'imaginer le revoir sans les aléas des indisponibilités de ses concurrents.
> Digne : il a été encore trop timoré en Arménie. Il devra se faire violence pour pérenniser sa place chez les Bleus.
> Mangala : contre le Portugal, ses approximations auraient pu coûter cher. Il lutte plus avec Mathieu pour la quatrième place chez les axiaux qu'avec Sakho ou Koscielny pour la deuxième.
la phrase
« Le football est censé rassembler les gens et notre jeu ne doit pas être mêlé à toute forme de politique. Les scènes à Belgrade étaient inexcusables. »
Michel Platini, président de l'UEFA, a condamné, hier, via Twitter, les incidents qui ont conduit à l'arrêt définitif du match de qualification à l'Euro 2016 Serbie - Albanie, mardi. Les incidents à l'origine de l'interruption ont éclaté lorsque le stade a été survolé par un drone auquel était accroché un drapeau d'une carte de la « Grande Albanie », projet nationaliste visant à regrouper dans un même État les communautés albanaises des Balkans.
L'UEFA a d'ailleurs ouvert des procédures disciplinaires contre les deux fédérations. La Serbie est visée pour jet de fumigènes et projectiles, problème de gestion de spectateurs, envahissement du terrain par des supporters, organisation déficiente et usage de lasers. L'Albanie est visée pour refus de jouer et déploiement d'un drapeau illicite.[/size]
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Re: EQUIPE DE FRANCE
[size=30]Bleus: Varane et Pogba au top, Gignac et Mandanda convaincants[/size]
15/10/2014 13:06
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Les Français Paul Pogba et Raphaël Varane tentent de reprendre un ballon de la tête contre l'Arménie, le 4 octobre 2014 à Erevan - AFP Franck Fife
Raphaël Varane et Paul Pogba ont encore crevé l'écran lors des victoires de l'équipe de France contre le Portugal (2-1) et en Arménie (3-0), André-Pierre Gignac et Steve Mandanda ayant également tiré leur épingle du jeu.
. Ils sont intouchables
Varane: Pas forcément titulaire au Real Madrid, il l'est indiscutablement en Bleu et a même hérité du brassard en seconde période en Arménie, à 21 ans... Contre le Portugal, il a été impérial dans tous les compartiments, se permettant même de frustrer plusieurs fois le talent de Ronaldo. Un patron.
Pogba: le joyau des Bleus a un talent hors-norme. C'est d'ailleurs en ces termes que Deschamps les a qualifiés lui et Varane. Son but contre le Portugal, d'une limpidité insolente, et le penalty provoqué à Erevan après un enchaînement insensé de dribbles, ont donné de la marge aux Bleus. Même sa faute, involontaire, commise pour le penalty portugais ne saurait ternir son éclat.
Benzema: il a remporté son duel à distance avec Ronaldo, en ouvrant le score puis en donnant la passe décisive pour le 2e but de Pogba. Sa capacité à être un danger constant en fait l'avant-centre incontesté des Bleus, même si, comme il le plaide lui-même, il n'est "pas qu'un buteur".
. Ils en imposent
Matuidi: il a été éblouissant contre le Portugal. Porté par le brassard qu'il revêtait pour la 2e fois, il a été un infatigable travailleur et dominé son sujet. Légitimement fatigué, il a été moins en vue en Arménie.
Evra: à 33 ans, il vit une seconde jeunesse. Contre les Portugais, il a été virevoltant, imposant son physique en défense et pesant offensivement. Il a été parfois trop gourmand, mais le voir à ce niveau est réjouissant.
. Ils ont marqué des points
Mandanda: même si son statut de numéro 2 n'a pas été officiellement annoncé par Deschamps, lui se considère comme tel et l'a dit après le match contre le Portugal. Sa performance, d'une grande solidité, à l'image de sa main ferme pour repousser une tête de Ronaldo, l'a conforté. En Arménie, il a été du même bois.
Schneiderlin: en Arménie, il a imposé sa loi dans l'entre-jeu, sa présence physique et son aisance tactique faisant merveille. Sans faire de bruit, le réserviste passé mondialiste ne déçoit pas et se pose comme une sérieuse alternative à Cabaye.
Gignac: en l'absence de Giroud, blessé, le Marseillais a réussi son retour, avec un but et deux passes décisives en Arménie. Combatif, en réussite, il a joué "comme si c'était (sa) dernière chance". Et s'est affirmé comme un candidat sérieux pour être la doublure de Benzema.
Griezmann: passé au travers contre l'Espagne, il s'est fait tancer par Deschamps et a retenu la leçon. Face aux Portugais, il a musclé son jeu et proposé de belles choses. Son but plein de vista en Arménie l'a récompensé pour son réveil.
Rémy: il a été excellent comme rarement contre l'Arménie, avec un but à la clé, un tir sur le poteau et une passe presque décisive pour Gignac. Il s'est fait violence pour prouver qu'il savait être bon en tant que titulaire.
. Ils doivent faire plus
Payet: contrairement à Gignac, il n'a pas entièrement confirmé sa forme olympienne. Son début en Arménie a été intéressant, la suite moins. Un peu de suffisance ?
Mathieu: en Arménie, ses 20 premières minutes ont été pénibles et auraient pu coûter cher sans la vigilance de Varane. Il doit être plus constant.
. Ils ont perdu des points
Jallet: ses limites ont été manifestes pour son retour, face à des Arméniens qui n'étaient pas des terreurs. Difficile d'imaginer le revoir sans les aléas des indisponibilités de ses concurrents
Digne: il a été encore trop timoré en Arménie. Il devra se faire violence pour pérenniser en Bleu. Sa chance de ne pas voir Kurzawa venir le doubler ? Le comportement répréhensible du Monégasque lors de l'élimination (4-1) des Espoirs en Suède en barrage pour l'Euro-2015.
Mangala: contre le Portugal, il n'a pas tiré son épingle du jeu. Ses approximations auraient pu coûter cher. Il lutte plus avec Mathieu pour la 4e place chez les axiaux qu'avec Sakho ou Koscielny pour la 2e.
15/10/2014 13:06
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Les Français Paul Pogba et Raphaël Varane tentent de reprendre un ballon de la tête contre l'Arménie, le 4 octobre 2014 à Erevan - AFP Franck Fife
Raphaël Varane et Paul Pogba ont encore crevé l'écran lors des victoires de l'équipe de France contre le Portugal (2-1) et en Arménie (3-0), André-Pierre Gignac et Steve Mandanda ayant également tiré leur épingle du jeu.
. Ils sont intouchables
Varane: Pas forcément titulaire au Real Madrid, il l'est indiscutablement en Bleu et a même hérité du brassard en seconde période en Arménie, à 21 ans... Contre le Portugal, il a été impérial dans tous les compartiments, se permettant même de frustrer plusieurs fois le talent de Ronaldo. Un patron.
Pogba: le joyau des Bleus a un talent hors-norme. C'est d'ailleurs en ces termes que Deschamps les a qualifiés lui et Varane. Son but contre le Portugal, d'une limpidité insolente, et le penalty provoqué à Erevan après un enchaînement insensé de dribbles, ont donné de la marge aux Bleus. Même sa faute, involontaire, commise pour le penalty portugais ne saurait ternir son éclat.
Benzema: il a remporté son duel à distance avec Ronaldo, en ouvrant le score puis en donnant la passe décisive pour le 2e but de Pogba. Sa capacité à être un danger constant en fait l'avant-centre incontesté des Bleus, même si, comme il le plaide lui-même, il n'est "pas qu'un buteur".
. Ils en imposent
Matuidi: il a été éblouissant contre le Portugal. Porté par le brassard qu'il revêtait pour la 2e fois, il a été un infatigable travailleur et dominé son sujet. Légitimement fatigué, il a été moins en vue en Arménie.
Evra: à 33 ans, il vit une seconde jeunesse. Contre les Portugais, il a été virevoltant, imposant son physique en défense et pesant offensivement. Il a été parfois trop gourmand, mais le voir à ce niveau est réjouissant.
. Ils ont marqué des points
Mandanda: même si son statut de numéro 2 n'a pas été officiellement annoncé par Deschamps, lui se considère comme tel et l'a dit après le match contre le Portugal. Sa performance, d'une grande solidité, à l'image de sa main ferme pour repousser une tête de Ronaldo, l'a conforté. En Arménie, il a été du même bois.
Schneiderlin: en Arménie, il a imposé sa loi dans l'entre-jeu, sa présence physique et son aisance tactique faisant merveille. Sans faire de bruit, le réserviste passé mondialiste ne déçoit pas et se pose comme une sérieuse alternative à Cabaye.
Gignac: en l'absence de Giroud, blessé, le Marseillais a réussi son retour, avec un but et deux passes décisives en Arménie. Combatif, en réussite, il a joué "comme si c'était (sa) dernière chance". Et s'est affirmé comme un candidat sérieux pour être la doublure de Benzema.
Griezmann: passé au travers contre l'Espagne, il s'est fait tancer par Deschamps et a retenu la leçon. Face aux Portugais, il a musclé son jeu et proposé de belles choses. Son but plein de vista en Arménie l'a récompensé pour son réveil.
Rémy: il a été excellent comme rarement contre l'Arménie, avec un but à la clé, un tir sur le poteau et une passe presque décisive pour Gignac. Il s'est fait violence pour prouver qu'il savait être bon en tant que titulaire.
. Ils doivent faire plus
Payet: contrairement à Gignac, il n'a pas entièrement confirmé sa forme olympienne. Son début en Arménie a été intéressant, la suite moins. Un peu de suffisance ?
Mathieu: en Arménie, ses 20 premières minutes ont été pénibles et auraient pu coûter cher sans la vigilance de Varane. Il doit être plus constant.
. Ils ont perdu des points
Jallet: ses limites ont été manifestes pour son retour, face à des Arméniens qui n'étaient pas des terreurs. Difficile d'imaginer le revoir sans les aléas des indisponibilités de ses concurrents
Digne: il a été encore trop timoré en Arménie. Il devra se faire violence pour pérenniser en Bleu. Sa chance de ne pas voir Kurzawa venir le doubler ? Le comportement répréhensible du Monégasque lors de l'élimination (4-1) des Espoirs en Suède en barrage pour l'Euro-2015.
Mangala: contre le Portugal, il n'a pas tiré son épingle du jeu. Ses approximations auraient pu coûter cher. Il lutte plus avec Mathieu pour la 4e place chez les axiaux qu'avec Sakho ou Koscielny pour la 2e.
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Re: EQUIPE DE FRANCE
[size=36]Des Bleus sans état d'âme[/size]
Publié le 16/10/2014 à 03:48, Mis à jour le 16/10/2014 à 09:11
Mardi, Pogba a remplacé Matuidi à la mi-temps mais n'a pas hérité du brassard de capitaine. Deschamps a décidé de le donner à Varane./ Photo AFP
L'équipe de France a clôturé cette nouvelle trêve internationale avec deux nouvelles victoires convaincantes même si les matches n'avaient toujours aucun enjeu.
Jusqu'à l'Euro-2016, pour lequel elle est qualifiée d'office en tant que pays hôte, l'équipe de France va enchaîner les matches amicaux sans enjeu. Après l'ivresse de la Coupe du monde, le danger était donc grand de voir les Bleus démobilisés face à ce programme fastidieux. Il n'en est rien. Pogba, Varane and co n'ont pas de pitié pour leurs adversaires, quels qu'ils soient. En effet, l'élan brésilien est toujours vivace et les Français mettent un point d'honneur à ne pas en dilapider les acquis.
Le bilan de l'après-Mondial est à ce titre éloquent. Avec 3 victoires et un nul concédé par les réservistes en Serbie (1-1), les troupes de Didier Deschamps frôlent le sans-faute. Le menu proposé y est sans doute pour beaucoup, l'Espagne (1-0) et le Portugal (2-1) étant des adversaires de prestige. Mais même contre l'Arménie, brillamment battue 3-0, la motivation n'a pas flanché. Preuve que les Bleus ont déjà les yeux rivés vers l'Euro.
Ce qui permet par exemple aux deux prodiges de 21 ans Varane, devenu le plus jeune capitaine de l'après-guerre en seconde période mardi, et Pogba, encore étincelant contre le Portugal et l'Arménie, de continuer tranquillement à prendre de la bouteille et de s'imposer comme des piliers. Avec des joueurs de ce calibre, qualifiés de «hors normes» par le sélectionneur, la France peut envisager le meilleur lors de l'Euro.
Publié le 16/10/2014 à 03:48, Mis à jour le 16/10/2014 à 09:11
Football - En battant le Portugal et l'Arménie, les Tricolores ont rendu la tâche des candidats à un poste en A plus difficile.
Mardi, Pogba a remplacé Matuidi à la mi-temps mais n'a pas hérité du brassard de capitaine. Deschamps a décidé de le donner à Varane./ Photo AFP
L'équipe de France a clôturé cette nouvelle trêve internationale avec deux nouvelles victoires convaincantes même si les matches n'avaient toujours aucun enjeu.
Jusqu'à l'Euro-2016, pour lequel elle est qualifiée d'office en tant que pays hôte, l'équipe de France va enchaîner les matches amicaux sans enjeu. Après l'ivresse de la Coupe du monde, le danger était donc grand de voir les Bleus démobilisés face à ce programme fastidieux. Il n'en est rien. Pogba, Varane and co n'ont pas de pitié pour leurs adversaires, quels qu'ils soient. En effet, l'élan brésilien est toujours vivace et les Français mettent un point d'honneur à ne pas en dilapider les acquis.
Le bilan de l'après-Mondial est à ce titre éloquent. Avec 3 victoires et un nul concédé par les réservistes en Serbie (1-1), les troupes de Didier Deschamps frôlent le sans-faute. Le menu proposé y est sans doute pour beaucoup, l'Espagne (1-0) et le Portugal (2-1) étant des adversaires de prestige. Mais même contre l'Arménie, brillamment battue 3-0, la motivation n'a pas flanché. Preuve que les Bleus ont déjà les yeux rivés vers l'Euro.
Deschamps entretient la spirale vertueuse
En 2014, les Bleus n'ont perdu qu'une seule fois : au Mondial contre le champion allemand (0-1). Mais l'essentiel de cette aventure ne peut pas se résumer à ce seul match. On ne le répétera jamais assez : un groupe est né et jusqu'à présent, il continue à bien vivre. Le principal mérite en revient à Deschamps. Au lieu de jouer l'ouverture tous azimuts et d'entreprendre une vague d'essais avec le risque de casser cette spirale vertueuse, le sélectionneur a maintenu sa confiance aux «mondialistes», ne laissant entrer des nouveaux dans les 23 qu'en cas de pépins physiques.Ce qui permet par exemple aux deux prodiges de 21 ans Varane, devenu le plus jeune capitaine de l'après-guerre en seconde période mardi, et Pogba, encore étincelant contre le Portugal et l'Arménie, de continuer tranquillement à prendre de la bouteille et de s'imposer comme des piliers. Avec des joueurs de ce calibre, qualifiés de «hors normes» par le sélectionneur, la France peut envisager le meilleur lors de l'Euro.
Les portes se ferment...
Les Espoirs s'étant lamentablement vautrés lors des barrages de l'Euro-2015, la relève n'est plus assurée. Les jeunes devront batailler en club pour tenter de grappiller une sélection en A où les places sont de plus en plus chères. D'autant que certains se sont déjà engouffrés dans les petites brèches laissées par «DD». Avec un but et deux passes décisives en Arménie, Gignac a marqué des points en attaque. Payet, autre Marseillais transfiguré par Bielsa, a lui aussi su saisir sa chance. Les autres postulants devront donc prendre leur mal en patience.
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Re: EQUIPE DE FRANCE
[size=36]OL: Domenech veut Lacazette chez les Bleus[/size]
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Raymond Domenech aimerait voir Alexandre Lacazette revenir chez les Bleus. "Je reprends ma campagne pro Lacazette. Encore un grand match pas seulement pour son but mais pour toutes ses prises de balle et ses passes", a ainsi écrit l'ancien sélectionneur sur Twitter, dimanche, après le succès de l'OL face à Montpellier, dans le cadre de la 10e journée de Ligue 1.
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Raymond Domenech aimerait voir Alexandre Lacazette revenir chez les Bleus. "Je reprends ma campagne pro Lacazette. Encore un grand match pas seulement pour son but mais pour toutes ses prises de balle et ses passes", a ainsi écrit l'ancien sélectionneur sur Twitter, dimanche, après le succès de l'OL face à Montpellier, dans le cadre de la 10e journée de Ligue 1.
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